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1.
Summary There is an autonomy in life that contrasts with physico-chemical processes. It has its own biological causality. Each type of life has its teleological as well as causal side. The researches of biology should therefore be devoted to causality and teleology simultaneously, and not to one or other exclusively. Causal and teleological interpretations must not however be confused. Every life is a whole; in the organism all vital processes are integrated, and causality and teleology inherent in the whole. For the concept of teleology we can substitute that of sense. The sense of vital processes transcends the individual organism. Man must also be considered as a whole: physical and psychical are different modes of expression of an organism which functions as a whole.
Résumé Comparée aux phénomènes physico-chimiques, la vie possède une autonomie; elle obéit à sa propre causalité biologique. Tout phénomène de vie présente non seulement un aspect causal, mais encore un aspect final; aussi le devoir de la biologie n'est-il jamais de diriger ses recherches uniquement en raison de la causalité ou uniquement en raison de la finalité, mais toujours simultanément en raison de l'une et de l'autre. Il ne faut pas confondre l'interprétation tirée de la causalité et celle tirée de la finalité. Chaque vie forme un tout; tous les phénomènes de la vie se produisent intégrés dans l'organisme; causalité et finalité appartiennent à la totalité de l'organisme. L'idée de la finalité peut se remplacer par celle du sens; le sens des phénomènes de la vie dans l'organisme n'est pas seulement individuel, mais toujours aussi supraindividuel. L'homme doit pareillement être considéré comme un tout; le physique et le psychique sont deux formes différentes d'expression de l'organisme humain, qui se comporte comme une totalité.
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2.
L. Lison 《Protoplasma》1929,7(1):489-504
Conclusions Envisageant le comportement général des amibocytes des Invertébrés au point de vue de son expression physique et mécanique, nous en arrivons à la conclusion qu'aucun des phénomènes spécifiques qu'ils présentent ne peut Être rapporté à une simple application de pures lois physico-chimiques. Dans la physiologie des pseudopodes lamellaires des amibocytes, on avait voulu faire intervenir pour une large part les phénomènes de tension superficielle. Nous avons montré que le rôle de ces derniers est en réalité absolument secondaire et ne peut Être pris en considération. La genèse des ptéropodes avec leur forme typique ne peut Être assurée qu'avec le concours de forces étrangères, difficiles à déterminer d'ailleurs. Bien plus, le maintien des ptéropodes ne peut Être assuré qu'en dépit mÊme des forces de tension superficielle; ces dernières tendent à faire rétracter le pseudopode; et si celui-ci jouit d'une stabilité considérable, celle-ci est due précisément à des forces antagonistes des forces de tension superficielle et qui disparaissent à la mort de la cellule.La rétraction physiologique des ptéropodes est d'une complexité telle qu'on ne peut raisonnablement la regarder comme résultant du libre jeu des lois physiques connues.MÊme des manifestations assez comparables, morphologiquement tout au moins, à des phénomènes physiques simples, tels que l'étalement des lames hyaloplasmiques ou leurs propriétés d'adhésivité aux corps solides révèlent des propriétés qui ne peuvent Être rapportées à des lois physiques connues.Bref, le comportement général de la lamelle hyaloplasmique de l'amibocyte ne peut Être situé dans le domaine physique dont certains auteurs avaient voulu le faire dépendre. Son étude relève du domaine biologique.  相似文献   

3.
Pierre Dangeard 《Protoplasma》1956,46(1-4):152-159
Résumé Cette étude de la coloration vitale des grains de pollen chez quelques Angiospermes met en évidence une certaine diversité de leur vacuome, soit dans sa morphologie, soit dans son chimisme. Même sans le secours des colorants vitaux l'observation montre que le contenu des grains de pollen mûrs est très varié; grâce aux colorants vitaux vacuolaires nous pouvons reconnaître, avec plus ou moins de certitude, des éléments appartenant au vacuome, mais il existe en outre d'autres matériaux appartenant au paraplasme et qui contribuent à donner au protoplasme un aspect finement ou grossièrement granuleux très fréquent. Leur nature chimique est, semble-t-il, encore mal connue.Ainsi nous voyons que l'étude du vacuome des grains de pollen germés ou non germés, comme également de leur contenu cytoplasmique, forme un champ de recherches encore vaste et qui rentre bien dans le cadre de laProtoplasmatologie activement prospectée par l'école autrichienne des cytologistes.  相似文献   

4.
Conclusion Ce travail a pour but de montrer l'importance de l'action de l'aneurine comme facteur de croissance; les différentes hypothèses relatives à l'absorption et à l'utilisation de cette vitamine sont discutées. L'hypothèse d'une resynthèse de l'aneurine est admise; cependant en considérant critiquement la question, à l'aide des données fournies par tous les microorganismes étudiés, on constate qu'un certain nombre de faits sont encore à expliquer si l'on veut justifier cette hypothèse; dans certains cas, la possibilité d'une action séparée des deux constituants peut être envisagée.En accord avec l'intervention possible de l'aneurine comme catalyseur d'oxydo-réduction, le thiazol semble spécialement important.On est en droit de parler d'un métabolisme des facteurs de croissance.L'étude de la plante supérieure, qui synthétise elle-même son aneurine indispensable peut nous apporter des arguments importants sur le métabolisme et la biosynthèse de l'aneurine. Toutes ces considérations sont basées sur l'étude de l'aneurine seule; nous savons pourtant que dans beaucoup de cas, elle agit de concert avec d'autres facteurs de croissance.  相似文献   

5.
W. H. Schopfer 《Protoplasma》1941,36(1):546-557
Conclusions Nous confirmons la perméabilité et l'intrabilité du thiochrome pour les cellules des épidermes supérieurs des écailles de bulbesd'Allium. La très belle fluorescence bleue du thiochrome peut-être utilisée pour la détection intravacuolaire de cette substance à l'aide du microscope à luminescence. Le thiochrome fonctionne comme un fluorochrome vital, à action colorante très intense, dépourvu de toxicité dans les limites utilisées.Un certain nombre de caractéristiques sont indiquées, qui peuvent être utiles lors de l'utilisation du thiochrome en cytophysiologie: destruction par les UV, influence du pH sur la fluorescence. Dans des conditions de concentration déterminées du thiochrome et de l'acide ascorbique, le premier peut être utilisé comme indicateur fluorescent intracellulaire rendant visible l'intrabilité de l'acide ascorbique dans les cellules étudiées. La modification intracellulaire de la fluorescence bleue du thiochrome doit être attribuée avant tout à l'acidité de ce dernier. L'acide ascorbique utilisé sans solution tampon exerce une action toxique nette en concentration M/500, après 12 heures.La méthode peut-être éventuellement utilisée pour l'étude de l'intrabilité des acides.  相似文献   

6.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

7.
Summary Holistic biology, which during the last years has gained wide acceptance amoungst biologists and philosophers, aspires to a new point of view as regards the problem of life which transcends the opposing theories of mechanism and vitalism. The exponents of holism repudiate the purely mechanical theory, the principle of life is something more than a highly complicated physico-chemical process. At the same time, however, the characteristics of life should be traced to the principles of pure natural science, untroubled by the introduction of metaphysical factors such as entelechy etc.This critical review endeavours to show that holism is often used by its exponents entirely in the sense of entelechy, that is to say as a metaphysical principle. On the other hand we seek to point out that where holism has been used in the sense of natural science it by no means bridges the gulf between mechanism and vitalism. The same comment applies to the holism ofMeyer, the foundation of which (namely the deduction of theoretical physics from theoretical biology by simplifying the formula) may be right after all and is worthy of consideration.
Résumé La biologie totalitaire qui, ces dernières années, a pris une très grande extension chez les biologistes et les philosophes, requiert une attitude nouvelle vis à vis du problème de la vie, attitude qui puisse nous mener au-delà de l'opposition entre le mécanisme et le vitalisme. Le mécanisme est rejeté par les partisans de la biologie totalitaire; la vie est plus qu'un processus physico-chimique excessivement compliqué. D'autre part la nature spéciale du processus vital devra être expliquée par l'idée totalitaire, comprise uniquement de la façon dont on l'entend dans les sciences naturelles. Cette nature spéciale ne devra pas être expliquée, comme le fait le vitalisme, par l'introduction de facteurs métaphysiques comme par exemple l'entéléchie.Le but de la présente critique est de démontrer que l'idée totalitaire est employée souvent par les partisans de la biologie totalitaire purement dans le sens de l'entéléchie, c'est à dire comme un principe métaphysique. D'autre part notre critique cherche à démontrer que la totalité, comprise uniquement de la façon dont on l'entend dans les sciences naturelles, ne nous mène pas au-delà de l'opposition entre le mécanisme et le vitalisme. Cela est vrai aussi pour le holisme deMeyer, dont l'idée fondamentale (la dérivation de la physique théorique de la biologie théorique par la simplification des formules) n'est pas nécessairement fausse pourtant et est en tout cas très digne de considération.
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8.
A calculated correction factor due to food respiration is applied to the consumption term in energy budgets for invertebrates. The factor is expressed as a function of the growth rate of the invertebrates, the food respiration rate and the fraction of food remaining when changed. It is shown that applying this correction factor to several energy budgets balances them.
Résumé Il est bien connu que, dans les bilans énergétiques des invertébrés l'assimilation, calculée comme différence entre la consommation et la defécation, est supérieure à celle calculée comme addition de la production et de la respiration. Un terme de correction tenant compte de la respiration de la nourriture a été calculé pour être utilisé dans le calcul de la consommation. Il dépend de la vitesse de croissance des invertébrés, du taux de respiration de l'aliment et de la fraction qui en est consommée. Mais on constate que la vitesse de croissance des invertébrés n'influence que peu ce terme de correction, tandis que les deux autres facteurs, particulièrement la fraction de nourriture consommée, peuvent être très importants. La vitesse de croissance peut donc être considérée comme constante, ce qui permet un calcul exact du terme de correction. En l'appliquant à différents bilans énergétiques, les différences entre les deux estimations qui atteignaient 30% et 250%, se trouvent réduites à moins de 4%.
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9.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

10.
Résumé L'observation journalière de la ponte de la reine des abeilles permet de mettre en évidence la grande indépendance de ce phénomène par rapport aux conditions extérieures. Seule la carence alimentaire poussée assez loin paraît capable d'arrêter la ponte. Dans ce cas, l'apport de matériaux purement glucidiques provoque un nouveau départ. Mais, si on ajoute au sucre du pollen et de la gelée royale qui fournissent de l'azote et sans doute aussi d'autres substances annexes (peut-être de nature vitaminique), l'augmentation de la ponte atteint le double de celle des témoins. Il existe enfin unarrêt spontané automnal que même le renforcement de l'alimentation ne peut briser, et qui semble pouvoir être attribué à une diapause.  相似文献   

11.
Each plant can be recognized by its general shape. Nevertheless, this physiognomy is the result of a very precise structure that expresses the existence of a strong organization. The architecture of a plant depends on the nature and relative arrangement of each of its parts; it is at any given time the result of an equilibrium between endogenous growth processes and the constraints exerted by the environment. Architectural studies have been carried out for some twenty years and have led to the definition of several concepts that provide a powerful tool for studying plant form. The results obtained in this field show that the architecture of a plant can be summarized by a small number of elementary structures: internode, growth unit, axis, architectural model,... In the course of ontogenesis, these structures are repeated and reveal several levels of organization that seem to be only different stages of a common process of growth and transformation.
Résumé Toute espèce végétale peut être reconnue par sa forme générale. Toutefois, au-delà de cet aspect physionomique, la forme d'une plante repose sur une structure très précise qui traduit l'existence d'une grande organisation. L'architecture d'une plante dépend de la nature et de la position relative de ses différentes parties; elle est à tout instant, l'expression d'un èquilibre entre des processus endogénes de croissance et des contraintes extérieures exercées par le milieu. D'origine assez récente, les études en architecture végétale ont permis de dégager quelques concepts qui rendent compte du développement des végétaux. Les résultats obtenus dans ce domaine montrent que l'architecture d'une plante peut être résumée par un petit nombre de structures élémentaires: entre-noeud, unité de croissance, axe, modèle architectural,... Au cours du développement, ces structures élémentaires se répètent et dérivent les unes des autres traduisant l'existence de plusieurs niveaux d'organisation au sein de l'organisme végétal. L'analyse architecturale permet de révéler et de caractériser ces différents niveaux qui apparaissent alors comme les étapes d'un même processus dans une séquence précise et ordonnée d'événements.
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12.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

13.
Résumé Le lindane, insecticide organochloré n'a pas d'influence sur la croissance et la sporogenèse bactériennes, mais peut inhiber la multiplication des microorganismes eucaryotes à des teneurs variables suivant les espèces. Pour de courts traitements, les effects sont réversibles. L'inhibition se produit pendant la mitose dans les cellules végétales ce qui ne paraÎt pas Être le cas des cellules animales. La morphogenèse chezAcetabularia est ralentie ou stoppée ce qui paraÎt lié à un ralentissement des courants cytoplasmiques. Une synthèse du DNA est décelable dans les cellules traitées. Les cibles du lindane pourraient Être membrane plasmique ou structures contractiles; ce problème est discuté.
Analysis of the effects of the organochlorine insecticide lindane at the cellular level
Summary The insecticide lindane does not influence bacterial growth but can inhibit eucaryotic microorganism multiplication at levels depending upon the species. For short treatments the inhibition is reversible. It takes place during mitosis in plant cells which does not seem to be the case in animal cells.Acetabularia morphogenesis is slowed or arrested with the insecticide which is probably linked to a slow down of the cytoplasmic streaming. DNA synthesis is still occurring in treated cells. The possible targets, plasma membrane or contractile structures, are discussed.
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14.
Eduard Stadelmann 《Protoplasma》1951,40(3-4):617-623
Résumé Chambre d'observation microscopique à irrigation continue. — Cet appareil permet l'observation microscopique de coupes, etc, en milieu liquide constamment renouvelé. L'alimentation se fait par un réservoir, et la constance du milieu est garantie. L'alimentation peut se faire au choix au moyen du 4 liquides differents: On peut passer très rapidement de l'un à l'autre, et varier à volonté l'ordre de succession des liquides d'alimentation. Pendant ces opérations, l'objet reste constamment sous le microscope, et peut Être observé à volonté; on peut ainsi constater immédiatement les altérations produites par les changements de milieu.La circulation du liquide dans la chambre d'observation est assurée au moyen d'une dépression réglable à la sortie. A l'entrée, un robinet spécial, situé immédiatement en amont de la chambre, permet d'alimenter celle-ci avec le liquide désiré. La chambre elle-mÊme est constituée par des morceaux de lamelles appliquées sur une base également en verre: elle comporte un orifice latéral pour l'admission et l'évacuation du liquide. Sa face supérieure est constituée par une lamelle amovible, permettant l'introduction aisée de l'objet. L'étanchéité est assurée par une couche de vaseline sur les bords de la lamelle et une feuille mince de caoutchouc.

Aus der Inaugural-Dissertation zur Erlangung des philosophischen Doktorgrades an der UniversitÄt Innsbruck, eingereicht am 22. Mai 1951  相似文献   

15.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

16.
Boischot  P.  Coppenet  M.  Hebert  J. 《Plant and Soil》1950,2(3):311-322
Conclusion Les expériences ci-dessus nous montrent que le P2O5 des solutions du sol à faible concentration se fixent sur les grains calcaire de la terre arable non par précipitation, mais par un phénomène d'adsorption.L'acide phosphorique ainsi fixé peut repasser en solution par le phénomène inverse de désorption pour être mis a la disposition des plantes lorsque le titre de la solution du sol en P2O5 s'appauvrit.Lorsqu'on ajoute au sol des engrais phosphates, la concentration en P2O5 autour des grains d'engrais peut ëtre suffisamment élevée pour qu'il y ait précipitation de phosphate gélatineux autour des granules d'engrais.Mais ces précipités se redissolvent au moins partiellement dans les solutions du sol et se fixent sur les grains calcaire suivant le processus que nous venons d'indiquer.  相似文献   

17.
Conclusions Nous ne méconnaissons pas le caractère encore hypothétique de ces considérations générales. Nous les croyons cependant utiles, car elles permettent de rattacher certaines constatations cellulaires à un ensemble plus vaste de modifications tissulaires dont elles représentent seulement un élément.Ces modifications tissulaires peuvent être provoquées par diverses conditions extérieures dont la plus immédiate et la plus essentielle pourraît bien être un excès local de CO2. On retrouve là, semble-t-il, un exemple assez net du rôle joué par CO2 en physiologie tissulaire et cellulaire.Comment cet excès de CO2 arrive-t-il à provoquer les altérations structurales qui viennent d'être décrites? Nous l'ignorons encore complètement. Que des processus enzymatiques, liés souvent aux infrastructures membraneuses, jouent un rôle en cette affaire, ceci paraît probable.Mais on se heurte là à un domaine encore inconnu. Il serait fort intéressant de préciser le rôle du CO2 dans ces phénomènes. De telles recherches mèneraient certainement à des conclusions fort importantes au point de vue de la pathologie pulmonaire. Toutefois, jusqu' à présent, nous restons encore dans le domaine de l'hypothèse.Avec la collaboration technique de C. Reuet.  相似文献   

18.
Conclusion En résumant: le lait comme milieu de culture est à mÊme d'apporter une précieuse contribution à la connaissance de la physiologie, de l'enzymologie et du métabolisme des microbes, ainsi qu'à la connaissance intime du lait mÊme, au service de la science pure et de la science appliquée, à la médecine, à l'industrie, à l'agriculture. Je n'ai pas besoin de rappeler la grande signification de la conquÊte de notions concernant la vie microbienne, aussi pour la biologie générale.Pourtant, de tout ce qui précède découle la nécessité que l'étude de l'action des bactéries sur le lait soit fondée sur l'examen de plusieurs cultures faites dans des laits différents avec des ensemencements assez larges et sous des conditions différentes de l'ambiance; et il faut avant tout que l'observation soit faite avec l'oeil du biologiste et avec la diligence et la persévérance queHugo de Vries pose comme conditionssine qua non pour ce genre de recherches.  相似文献   

19.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

20.
Résumé La localisation germinale de l'uf fécondé de grenouille, qui est déterminante de toute l'ontogénèse, et qui est définitivement fixée au moment oÚ la segmentation commence, n'existe pas dans l'uf qui vient d'Être imprégné par le sperme, et a fortiori dans l'uf vierge.Jusqu'à 45 minutes au moins après l'imprégnation, les ufs deRana fusca sont doués d'un pouvoir régulateur parfait; les lésions produites expérimentalement n'altèrent en rien le développement normal.Au contraire, dès une heure après la fécondation, c'est-à-dire, dès le moment où le spermatozoÏde, ayant traversé les enveloppes pénètre dans l'uf, la répartition spécifique des matériaux s'établit rapidement, de telle sorte que Ih 30 après l'imprégnation, le caractère de mosaÏque de l'uf prÊt à se segmenter est définitivement établi.L'action du spermatozoÏde est dans ce cas évidente. Cette action de la fécondation, que l'on peut appeler ses »manifestations dynamiques,« se place à cÔté des phénomènes nucléaires dont le résultat est essentiellement la transmission des caractères héréditaires.  相似文献   

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