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1.
Résumé Certains stades juvéniles de charançons des céréales du genreSitophilus ont été soumis à un séjour prolongé dans des compositions gazeuses modifiées par le dioxyde de carbone (CO2).Les auteurs se sont placés dans des conditions de teneur en CO2 constante (50%), associée à des teneurs en oxygène comprises entre 4 et 20%, pour étudier les conditions d'une synergie entre l'effet spécifique du CO2 et la présence d'une forte teneur résiduelle en oxygène. Les effets ont été observés sur les stades juvéniles les plus évolués (larves et nymphes) des espècesS. oryzae (L.) etS. granarius (L.), (Coleoptera: Curculionidae).L'accroissement de la vitesse de mortalité chezS. oryzae est significative avec l'augmentation de la pression partielle d'oxygène. Cet effet de synergie provoqué par l'oxygène n'est pas significatif avecS. granarius, bien qu'il existe aussi avec cette espèce une tendance à l'amélioration de l'efficacité insecticide à court terme avec les mélanges à forte teneur résiduelle en oxygène.Il en est déduit des hypothèses sur les effets des mélanges gazeux à composition modifiée par le CO2 au niveau de la physiologie générale de ces insectes, qui est très difficile à appréhender directement à cause du mode de développement des stades juvéniles des charançons (formes cachées dans le grain).  相似文献   

2.
Résumé Les plantules de Blastocladiella emersonii prélevées de cultures synchrones puis incubées en présence de glycine à la lumière absorbent, par comparaison avec celles maintenues à l'obscurité: a) moins de glycine lors de leur première phase de développement (à faible activité isocitritasique); b) plus de glycine lors de leur deuxième phase de croissance et multiplication nucléaire prolongées (à forte activité isocitritasique). Ces effets s'annulent en absence de CO2.Incubées en présence de glycine-2-C14, les plantules dans leur 2ème phase de développement (b) ont accumulé davantage de radioactivité dans leur acide désoxyribonucléque (ADN) à la lumière qu'à l'obscurité.Les radio-chromatogrames d'ADN hydrolysé ont révélé que le C14 était essentiellement incorporé dans les bases pyrimidiques, cytosine et thymine.  相似文献   

3.
Under natural conditions Eugaster stridulates in the afternoon until after sunset and in the morning; it has been shown that the threshold for activity is higher in darkness than in dim light.The concept of a continuously increasing sensitization was found also to cover the observation of the stridulation of Eugaster.In continuous darkness and in dim light an endogenous rhythm does appear at high temperature; at lower temperature and at higher illumination the stridulation is irregularly distributed through the diel.The typical round of song may be recognized at constant temperature and 12 hours light and 12 hours darkness; however, it becomes more distinct and more like the natural pattern at high temperature in the daytime and low in the night.
Résumé Des mâles isolés d'Orthoptères Ensifères stridulent chaque jour à une certaine heure, commencant généralement au crépuscule.Dans des travaux précédents (Nielsen et Dreisig 1970, Dreisig et Nielsen 1970) il a été démontré que cette forme d'activité rhythmique et d'autres analogues sont dues à une restauration progressive d'un état de sensibilité spécial, pendant la période de repos. La sensibilisation se produit plus vite à une température élevée qu'à une température basse. L'activité se déclenche lorsqu'un certain seuil de sensibilité est atteint, ce qui dépend des conditions extérieures actuelles, par exemple l'éclairage et la température. Eugaster diffère des Ensifères déjà examinés en ce que la stridulation, dans le cas de l'alternance naturelle entre le jour et la nuit, est divisée en deux périodes, la première au cours de l'après-midi et se prolongeant jusqu'au delà du crépuscule, la seconde se déclenchant vers le lever du soleil.L'existence d'un «sensibilisateur» chez Eugaster est en accord avec le fait que l'ampleur d'activité des deux périodes de chant dépend de la température au cours de la matinée précédant la reprise de la l'activité de l'après-midi (t.max. dans les figures 1 et 2).Dans les expériences de laboratoire pendant lesquelles l'éclairage et la température furent réglés, il a été constaté que le seuil de déclenchement était plus bas (donc atteint plus vite) à une lumière faible dans l'obscurité absolue. Cela confirme les suppositions tirées des expériences faites à la lumière naturelle, à savoir que l'obscurité inhibe la stridulation et que la pause entre les deux périodes d'activité est l'effet d'une faible illumination.Dans le laboratoire la répartition normale se produisit à une température constante et avec 12 heures de lumière et 12 heures d'obscurité (ou d'éclairage très faible). La répartition fut bien plus distincte en cas de température élevée pendant la période d'éclairage et de température basse pendant la période d'obscurité.A l'obscurité (ou en éclairement faible) constante, l'activité s'est manifestée en «libre cours» (free-running rhythm) avec une période inférieure à 24 heures, si la température était constamment au-dessus de 23°. En cas de température plus basse (au-dessous de 20°) la répartition de la stridulation fut irrégulière. C'est aussi le cas avec un fort éclairage constant.
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4.
Resumé La distribution et l'utilisation du carbone photoassimilé par des sojas (Glycine max L. Merr.) nodulés, cultivés en conditions naturelles ont été suivies durant deux années consécutives par expositions répétées et simultanées de plantes à du14CO2 et15N2 pendant une journée. Cette méthode couplée à une analyse détaillée des flux respiratoires au niveau des systèmes racinaires a permis de suivre le devenir du carbone en relation avec l'activité fixatrice d'azote. Les résultats montrent que le stade de développement des plantes au moment du marquage exerce une forte influence sur la distribution initiale du carbone. Ce sont les organes en forte croissance qui attirent le plus d'assimilats récents. Ainsi les organes reproducteurs, accumulent des quantités croissantes à partir de leur formation si bien qu'aux environs du jour 100, ils attirent près de 70% de la production nette. Les nodules eux stockent da 3 à 5% de cette production journalière entre les jours 50 et 100 alors que leur activité fixatrice chute déjà fortement dès le jour 85. Pendant la phase d'activité fixatrice optimale, les quantités de carbone perdues sous forme de CO2, pour le seul processus de réduction du N2, varient entre 2,5 et 7 mg par mg d'azote fixé. Ceci équivaut à la quantité de carbone destinée aux structures racines et nodules. Les transferts secondaires d'organes à organes se font à partir des organes végétatifs et puis des gousses vers les graines, mais essentiellement à partir de carbone assimilé durant la phase de remplissage des gousses (après le jour 80). Cependant, les quantités remobilisées sont faibles, ce qui indique que la croissance des graines dépend surtout d'une alimentation directe à partir de la photosynthèse.
Distribution and utilization of assimilated carbon in relation to dinitrogen fixation in soybean (Glycine max L. Merril)
Summary Distribution and use of photoassimilated carbon by nodulated soybeans (Glycine max L. Merr.) grown in natural conditions have been studied during two consecutive years by successive and simultaneous exposures of the plants to14CO2 and15N2 during one day. This method, together with detailed analysis of CO2 efflux by root systems made it possible to follow the fate of carbon in relation to dinitrogen fixation. The results showed that the stage of development at which the plants were labelled exerted a high influence on the initial distribution of carbon. The growing organs always attracted more of the recently assimilated carbon. So, the reproductive parts accumulated increasing proportions and by day 100 about 70% of the current net production was recovered in pods and seeds. Nodules stored from 3 to 5% of the daily production, from day 50 to day 100, when their fixation activity already dropped by day 85. During the period of optimal fixation the amount of carbon lost as CO2 due to the only process of N2 reduction ranged between 2.5 and 7 mg per mg of N2 fixed. This was equivalent to the amount of carbon directed towards roots and nodules structures during the same time. Secondary transfers by remobilization occurred from leaves and pods to the grains but mainly from the carbon assimilated during the podfilling stage (after day 80). However, these amounts were small indicating that grain development is mainly supported by current assimilates.
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5.
Mayaudon  Jacques  Simonart  Paul 《Plant and Soil》1958,9(4):367-375
Conclusions Par l'emploi de substrats radioactifs, il a été possible de montrer que le glucose, le ray-grass tel quel, la fraction soluble, les hemicelluloses et la fraction cellulosique du ray-grass ne sont pas, dans les conditions expérimentales appliquées, entièrement transformés en CO2 dans le sol après une période de deux mois.La décomposition du glucose est plus rapide que celle des hemicelluloses et celle-ci est plus rapide que celle de la fraction cellulosique. Pour le glucose et pour la fraction cellulosique, 11% et 15% respectivement ne se retrouvent pas sous forme de C14O2 tandis que pour la fraction soluble, pour les hemicelluloses et pour le ray-grass tel quel, c'est près de 20% qui ne sont pas oxydés en CO2.La décomposition de chacun de ces substrats radioactifs donne encore lieu à la production de produits organiques radioactifs que l'on trouve dans la fraction des substances solubles, dans la fraction groupant l'- et le -humus et dans l'humine. La radioactivité de cette dernière fraction est du même ordre de grandeur que la somme des deux autres fractions.Travail effectué sous les auspices de l'Institut pour l'Encouragement de la Recherche Scientifique dans l'Industrie et l'Agriculture (I.R.S.I.A.).  相似文献   

6.
Citrus leaves, banana squash and lemon fruit, labelled by photosynthesis, have been used as a source of 14C for red scale, Aonidiella aurantii (Mask.). The distribution of the isotope amongst the constituents of these plants has been studied using chemical methods of separation and chromatography.In citrus leaves, whether they were labelled as discs in the laboratory or in situ in the field, activity occurred as sucrose initially, but within 5 days a comparable amount was present in the amino acid, proline, and also in the insoluble carbohydrates, the proportions remaining fairly stable for long periods. Although the total activity of the leaf discs did not decrease with time, the activity of successive groups of newly hatched red scale larvae which fed on these discs for 10 days, fell significantly. It is suggested that due to the interaction of the insects' saliva with plant tissue, areas where red scale fed became depleted in activity. Sap obtained from the labelled discs contained activity in the form of sucrose and proline, but the body fluid from the mature female red scale contained activity in sucrose only.In banana squash and in lemons most of the activity occurred in the form of sugars, principally sucrose, with glucose taking up a greater proportion in the lemons; there was no appreciable activity in amino acids and a much smaller fraction in the insoluble carbohydrates.
Résumé On a utilisé des feuilles de citronnier, des courges () et des fruits de citronnier, marqués par photosynthèse, comme source de 14C pour la cochenille rouge, Aonidiella aurantii. La distribution de l'isotope parmi les constituants des tissus végétaux, c'est-à-dire, les sucres, les acides aminés et les hydrates de carbone insolubles, a été étudiée en utilisant des méthodes chimiques de séparation et de chromatographie.Les feuilles de citronnier furent marquées soit sous forme de disques au laboratoire, soit à l'état de feuilles intactes sur une branche d'arbre vivant. Dans les deux cas la radioactivité était présente d'abord sous forme de sucrose, mais après 5 jours une quantité comparable était présente dans un acide aminé, la proline, et dans les hydrates de carbone insolubles, et cela dans des proportions restant assez stables pendant de longues périodes. Le suc extrait des disques marqués, sur lesquels se sont nourries les cochenilles rouges, montre une radioactivité du sucrose et de la proline, mais le liquide de l'hémocoele de la femelle mûre de la cochenille rouge ne se révèle radioactif que sous forme de sucrose.Bien que la radioactivité totale des disques de feuilles de citronnier ne diminue que très lentement à la longue, l'activité moyenne obtenue par des groupes successifs de larves de cochenilles rouges récemment écloses, se nourrissant sur ces disques pendant 10 jours, diminue beaucoup plus rapidement. La différence ne peut être expliquée ni par le transport de l'isotope des fractions solubles aux fractions insolubles du tissu de feuille, ni par son prélèvement par les insectes suceurs; on considère comme probable que cette différence traduit la réaction de la plante à l'injection de salive par les insectes, ce qui conduirait à une respiration augmentée et une photosynthèse diminuée dans les régions du tissu foliaire où se nourrissaient les insectes.Chez les courges l'activité se maintient dans les régions qui ont été exposées à la lumière pendant la photosynthèse; cependant une quantité minuscule est transportée vers d'autres parties du fruit. L'activité est concentrée dans le sucrose et, dans une mesure moins importante, dans le glucose; il n'y a pas d'activité appréciable dans les acides aminés, et une fraction minime dans les hydrates de carbone insolubles, comparée à l'activité dans les feuilles de citronnier.Chez les citrons la quantité absorbée pendant la photosynthèse dépend d'une façon marquée de la maturité des citrons: les citrons verts absorbent une activité presque 10 fois supérieure à celle absorbée par des citrons mûrs. L'activité est partagée entre le sucrose et le glucose, et il n'y a pas d'activité appréciable dans les autres fractions.

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7.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

8.
The effect of a shift from a long to a short photoperiod on CO2 exchange of Chenopodium polyspermum was studied. Equal quantities of photosynthetic energy were given daily to the plants, long photoperiods being produced by low intensity red light extension. A change in the photoperiod was shown to affect the pattern of CO2 loss at the beginning of the night period and the onset of CO2 intake at the beginning of day time. These events seem to be under phytochrome control.The photoperiod had an effect on the slope of the CO2 curve of photosynthesis, efficiency of photosynthesis being increased after a short day. This effect was not due to a variation in the stomatal resistance.The action of O2 concentration on photosynthesis (Warburg effect) was affected by the photoperiodic treatment, being less important after a long day than after a short day.Involvement of phytochrome in photosynthetic efficiency and photorespiration is discussed.
Résumé On étudie l'effet d'une variation de photopériode sur les échanges de CO2 de Chenopodium polyspermum. Les plantes reçoivent la même quantité d'énergie utilisable par la photosynthèse, l'allongement de la photopériode étant obtenu par addition au cours de la nuit de lumière rouge de faible intensité.Un changement de photopériode affecte à court terme le déroulement de la chute de respiration en début de nuit ainsi que la mise en route de la photosynthèse le jour suivant.Une variation de traitement photopériodique modifie l'efficience de la photosynthèse: la pente de la courbe de photosynthèse en fonction du CO2 est plus élevée après un jour court. Cet effet n'est pas dú à une variation de résistance stomatique.L'action de la concentration en oxygène de l'air sur la photosynthèse (effet Warburg) est également affectée par le traitement photopériodique: elle est moins importante après un jour long qu'après un jour court.On discute l'influence éventuelle du phytochrome sur l'efficience de la photosynthèse et la photorespiration.
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9.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

10.
Résumé On décrit le système neurosécrétoire caudal de Jenynsia lineata. L'urophyse de cette espèce est un organe bien différencié, séparé de la moelle par une membrane méningée discontinue, et formé de fibres qui y arrivent après avoir constitué un pédoncule principal. Les fibres ne pénètrent pas par celui-ci, le font par les orifices de la membrane méningée.Dans l'urophyse comme dans les cellules neurosécrétoires du système, la neurosécrétion se colore à l'aldéhyde fuchsine après oxydation par le KMnO4/ H2SO4; à l'hématoxyline chromique de Gomori elle se colore aussi, mais faiblement, et toujours après mordançage par de l'alun chromique dans le Bouin. On en discute les causes, par rapport aux données obtenues par d'autres auteurs.Il n'y a pas de cellules géantes, si caractéristiques du systéme neurosécréteur caudal d'autres Téléostéens. Les cellules neurosécrétoires du système sont petites et peu remarquables.Nous tenons à remercier le Dr. Juan H. Tramezzani de la lecture du manuscrit de ce travail, et des précieuses suggestions qu'il a bien voulu nous faire parvenir.  相似文献   

11.
A comparison was made in a 16-sided outdoor cage measuring 15 m in diameter of the numbers and physiological stages of mosquitoes taken in a light trap sample from a known population. For each brood, six suction and five light collections were made each night for six successive nights. Both response to light and flight activity tended to increase with age. However, neither the numbers taken at different times during the night nor the ovarian composition of the samples were comparable to collections made outdoors. These differences were probably caused by the contrast between illumination levels inside and outside the cage interacting with the circadian rhythm of crepuscular activity and the physical restrictions of the cage.
Résumé Le but de cette étude est de déterminer le rapport existant entre un échantillonnage par piège lumineux et la population réelle.Des moustiques, venus d'atteindre le stade imaginal, sont relâchés dans une vaste cage de 15 m de diamètre et de 2.5 m d'hauteur, puis sont seulement alimentés de sucre. La proportion de femelles autogènes, le taux d'accouplements, et les réserves énergétiques de chaque couvée ont été précisés. Pour chaque couvée, un mécanisme d'échantillonnage fait alternativement des échantillons par aspiration ou par lumière (en realité aspiration et lumière) pendant six nuits successives. L'échantillon par aspiration 1er commençait au coucher de soleil et terminait au crépuscule astronomique. Un échantillon (échantillon 2me), de duration 5 minutes, se faisait à cette heure et encore à 2200 (échantillon 4me), 0000 (échantillon 6me), 0200 (échantillon 8me) et au crépuscule astronomique du matin (échantillon 10me). Les échantillons 3me, 5me, 7me, 9me et 11me occupaient toutes les autres heures. Du clair de lune simulé se fournissait pour maintenir un niveau uniforme d'illumination pendant toutes les heures sauf les temps des échantillons crépusculaires. En compensation pour les durées inégales des échantillons par aspiration, on a reduit les données au nombre d'individus capturés en 5 minutes. Un échantillon à filet de balayage se faisait suivant les opérations de chaque nuit. Chaque jour on collectionnait les moustiques morts et on estimait les moustiques vivants dans la cage. On examinait les moustiques capturés pour déterminer l'état des ovaires des femelles. En addition, on opérait le mécanisme d'échantillonnage au dehors de la cage.Chaque couvée possédait ses propres caractéristiques concernant la proportion de femelles autogènes et accouplés, et pour les deux sexes la proportion alimenté de sucre, les réserves énergétiques, la mortalité, la réaction à la lumière et le niveau de l'activité du vol. Pour les femelles le niveau de l'activité du vol et la réaction à la lumière semblaient à augmenter avec l'âge, et la réaction à la lumière accroissait plus rapidement qu'accroissait l'activité du vol. A des heures différentes de la nuit il y avait peu de variation d'état des ovaires des femelles échantillonnées, mais il y avait plus de variation entre les échantillons par les méthodes différentes; par example, la proportion la plus petite des femelles gravides s'échantillonnait par filet de balayage et la proportion la plus grande par piège lumineux. La proportion la plus grande des moustiques alimentés de sucre aussi s'échantillonnait par filet de balayage.Les échantillons par aspiration 1er et 11me étaient petits et ne montraient pas des cimes d'activité crépusculaire, tandis que les échantillons 7me et 9me étaient plus grands que les 3e et 5me. Les échantillons par piège de lumière 2e et 10me prenaient deux fois plus des femelles que chacun des autres échantillons par piège de lumière. Le dessin des échantillons par aspiration et par piège de lumière dans la cage ne ressemblait pas au dessin au dehors. Ces différences probablement ont été causées par le contraste entre les niveaux d'illumination à l'intérieur et à l'extérieur de la cage qui s'entragit avec le rhythme circadien d'activité crépusculaire et les restrictions physiques imposées par la cage. Le comportement normal n'était pas possible et les résultats d'échantillonnage obtenus dans une cage, même tellement grande, n'étaient pas comparable aux résultats aux conditions naturelles.
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12.
Visual sensitivity and foraging in social wasps   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary While there is a distinction between that intensity of illumination which permits social wasps to forage, and that to which a sessile worker can respond, nevertheless illumination is the most critical of the environmental factors which control the activity of wasps. Low temperatures, high winds, and heavy rain all reduce activity but unless exceptionally severe do not wholly stop it. At dawn, when the critical level of illumination is attained, workers leave the nest, but at dusk they will not leave should the same critical level be due in the course of the foraging flight, after which they could not return.The three species of wasp,Vespula vulgaris, V. rufa, andV. germanica have a common threshold of illumination, although the hornet,Vespa crabro can forage in moonlight at an altogether lower illumination. Honey-bees normally need a still higher illumination than do wasps.In all these species, the thresholds of illumination are related to the length of the compound eyes, so that species with large eyes need less light by which to forage. Moreover, there is a slight difference between the threshold at dawn when workers leave the nest, and that at dusk, when they must needs have sufficient light by which to return. This difference is almost constant for each species, when, as is customary, one measures it on a logarithmic scale.Lastly, the estimates, which these experiments provide, of the threshold illuminations depend stochastically on the number of workers foraging. A correction for this bias is given.
Sommaire Parmi les facteurs du milieu qui contrôlent l'activité des guêpes, celui de l'intensité de lumière est le plus important; toutefois on note une différence entre l'intensité de lumière qui permet aux guêpes sociales de fourrager, et celle qui produit une réponse des ouvrières sessiles.En général, les basses températures, les vents forts, et les grandes pluies réduisent leur activité, mais ces facteurs ne l'arrêtent pas complètement, à moins qu'ils ne soient très marqués.A l'aube, quand le niveau critique de lumière est atteint, les ouvrières quittent le guêpier, mais, le soir, si elles s'attendent à ce que la lumière vienne à s'abaisser au cours de leur sortie au-dessous du niveau critique, elles ne sortent pas.Les trois espèces de guêpe,Vespula vulgaris, V. rufa, etV. germanica, réagissent au même seuil de lumière, mais le frelon,Vespa crabro, est capable de fourrager au clair de lune par une lumière moins intense. Normalement, les abeilles exigent une lumière plus intense que les guêpes.Dans toutes ces espèces, le seuil de lumière se rapporte à la hauteur des yeux composés, par conséquent les espèces pourvues de grands yeux sont à même de fourrager par une lumière moins intense. De plus, il y a une légère différence entre le seuil de lumière à l'aube, quand les ouvrières quittent le guêpier, et celui du soir lorsqu'elles ont besoin d'une lumière suffisante pour rentrer. Cette différence, quand elle est mesurée à l'échelle logarithmique, comme il est d'usage, est presque constante pour chaque espèce.Enfin, les évaluations du seuil de lumière dans ces expériences dépendent stochastiquement du nombre d'ouvrières en train de fourrager. On a tenu compte de ce fait.
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13.
Summary The kinetic of15N2 diffusion has been measured in a system similar to that for the estimation of N2 fixation in plant microorganism associations cultivated in soil. The15N2 enrichment of the soil atmosphere reached an homogenous value one hour after injection of15N2 and is identical to that obtained by calculation, indicating that no adsorption occurs in the soil particles.
Diffusion du15N2 dans le sol pendant la mesure de fixation biologique de l'azote
Résumé La cinétique de diffusion du15N2 est mesurée sur un système identique à ceux pouvant être utilisés pour la mesure de fixation de l'azote chez les associations plantes-microorganismes cultivées sur sol. L'enrichissement homogène de l'atmosphère du sol est obtenu une heure environ après l'injection de15N2 et correspond à l'enrichissement calculé, ce qui indique qu'aucune adsorption n'a lieu dans les particules du sol.
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14.
In continuation of previous work on Eugaster guyoni (Nielsen 1971) stridulation and locomotor activity has been investigated under various conditions of temperature and illumination.The theory of continuously increasing sensitization was further corroborated, and it is attempted to determine the relative thresholds of release and cessation of stridulation.The subspecies E.g. fernandezi from the Sahara is in its daily stridulation activity adapted to a higher temperature than E.g. berlandi from the Sous valley; however, at the same temperature the number of chirps per minute is the same in the two subspecies.
Résumé Les deux sous-espèces d'Eugaster guyoni, fernandezi du Sahara et berlandi d'Agadir, diffèrent par leur activité stridulatoire. La sous-espèce du désert semble être adaptée à une température plus élevée de 5° que celle d'Agadir (E. berlandi).Les très jeunes adultes ont une très grande activité locomotrice pendant que la stridulation se développe graduellement pendant une période d'une semaine. Il semble y avoir un certain degré d'inhibition réciproque entre les deux activités locomotrice ou stridulatoire.Dans des conditions semi-naturelles l'activité du matin et du soir dépend de la température maximum atteinte durant la période de repos vers la fin de matinée.En condition d'éclairage permanent, les périodes de stridulation alternent irrégulièrement avec celles de repos. La quantité d'activité dépend de la température.Avec une alternance de 12 heures de lumiére et 12 heures d'obscurité l'activité stridulatoire dépend de la température comme en codition d'éclairage permanent. Cependant cette activité se répartit de façon caractéristique en deux périodes précédant et suivant le changement d'éclairement.Avec 12 heures de pleine lumière et 12 heures de lumière atténuée il n'y a normalement qu'une seule période de stridulation qui se manifeste surtout pendant la phase de lumière atténuée. Pour une température donnée l'activité est plus grande en lumière faible qu'en pleine lumière ou en obscurité.Une tentative est faite, dans la discussion, pour établir les valeurs relatives de la sensibilisation aux différents seuils de déclenchement et d'arrêt de la stridulation.
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Summary Heterotrophic and photoheterotrophic growth of the green algaeChlorella vulgaris andAnkistrodesmus braunii were examined and compared through growth measurements and mass carbon budgets. Using two different estimates of overall efficiency, based upon the ratios of CO2 evolved to substrate taken up and cellular carbon to substrate carbon utilized, it was concluded that both micro-organisms were capable of photoheterotrophy althoughC. vulgaris was more efficient thanA. braunii. Mass carbon budgets showed the distribution of carbon. After 11 days of growth in the light, 97 and 76% of the glucose substrate was accounted for as cell biomass forC. vulgaris andA. braunii respectively. Fermentation pathways appeared to function in both micro-organisms, particularly in the dark and in ageing cultures, as indicated by the apparent loss of carbon as volatile organics. The results obtained with the two micro-organisms studied demonstrate the ability of green algae to photoheterotrophically and heterotrophically convert a high proportion of an organic substrate into biomass. Thus, high-rate oxidation ponds should be considered from a heterotrophic perspective with a view to exploiting this heterotrophic potential.
Un presupuesto para el carbono en el crecimiento heterótrofo de Ankistrodesmus braunii y Chlorella vulgaris
Resumen Se examinó y comparó el crecimiento heterótrofo y fotoheterótrofo midiendo crecimiento y presupuestos para el carbono de las siguientes algas verdes:Chlorella vulgaris y Ankistrodesmus braunii. La eficiencia general se estimó mediante dos parámetros: el cociente entre CO2 suministrado y CO2 fijado por el sustrato, y el cociente entre carbono celular y carbono del sustrato utilizado. Apartir de estas medidas se concluyó que ambos micro-organismos eran capaces de fotoheterotrofia aunqueC. vulgaris era más eficiente queA. braunii. Los presupuestos para la masa carbonada mostraron la distribución del carbono. Después de 11 días de crecimiento en presencia de luz el 97 y el 76% de la glucosa del sustrato se había transformado en biomasa celular enC. vulgaris y enA. braunii respectivamente. En ambos microorganismos parecieron funcionar vías fermentativas, especialmente en la oscuridad y en cultivos viejos, como se vio indicado por la aparente pérdida de carbono en formo de compuestos orgánicos volátiles. Los resultados obtenidos demuestran la habilidad de las algas verdes para convertir tanto fotoheterótrofa como heterótroficamente una elevada proporción de sustratos orgánicos en biomasa. Las balsas con una elevada demanda de oxigeno deberian, pues, de ser consideradas bajo una perspectiva heterótrofa con vistas a la explotación de dicho potencial heterótrofo.

Bilans carbonés d'Ankistrodesmus braunii et de Chlorella vulgaris en croissance hétérotrophe
Résumé Les croissances hétérotrophes et photohétérotrophes des algues vertesChlorella vulgaris etAnkistrodesmus braunii ont été étudiées comparativement en mesurant la croissance et en établissant des bilans carbonés. A partir de deux estimations distinctes de l'efficacité globale, consistant dans les rapports CO2 produit sur substrat utilisé et carbone cellulaire sur carbone métabolisé, il a été conclu que les deux micro-organismes sont photo-hétérotrophes, mais queC. vulgaris est plus efficace queA. braunii. La distribution du carbone a été déterminée par les bilans carbonés. Après onze jours de croissance à la lumière, les quantités de substrat carboné retrouvées dans la biomasse cellulaire deC. vulgaris et deA. braunii sont respectivement de 97 et 76%. Les voies fermentatives paraissent être présentes chez les deux microorganismes, et cela surtout à l'obscurité et dans les vieilles cultures, comme l'indique la perte apparente de carbone sous forme de composés organiques volatils. Les résultats obtenus avec les deux micro-organismes étudiés démontrent que les algues vertes sont capables de convertir photo-hétérotrophiquement et hétérotrophiquement une proportion élevée de la matière organique en biomasse. De ce fait, les étangs à taux d'oxydation élevée devraient être considérés du point de vue de l'exploitation de leur potentiel hétérotrophe.
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Résumé La sexualisation de la gonade chezViviparus viviparus se manifeste d'abord au niveau morphologique: tandis que l'ovaire s'organise en un tubule très peu ramifié, à large lumière, le testicule compact bourgeonne de nombreuses excroissances. Dans l'ovaire les cellules non germinales, futures cellules folliculeuses, se mettent en place autour des cellules germinales et les processus de la préméiose débutent précocement. Au contraire plusieurs étapes se succèdent au cours de la morphogenèse de la gonade mâle: après une phase d'intense multiplication cellulaire, accompagnée de la ramification du testicule, la lumière se creuse par dégénérescence des cellules centrales. Contre la lame basale, les cellules non germinales évoluent en cellules nourricières tandis que se différencient les spermatogonies primaires. La différenciation des premiers gamètes mâles est tardive.  相似文献   

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Résumé Nous décrivons deux méthodes, l'une colorimétrique, l'autre manométrique, qui permettent de mesurer l'activité nitrate-réductase des extraits d'A. braunii.Les formes réduites du benzyl-viologène, du méthyl-viologène et du FMN sont utilisées comme donneuses d'électrons. Les extraits bruts catalysent aussi la réduction de NO3 - aux dépens du NADH2, mais cette activité NADH2-nitrateréductase est beaucoup plus sensible à l'inactivation thermique et à l'action inhibitrice du p-chloromercuribenzoate que l'activité benzyl-viologène-nitrateréductase.Les extraits de cultures contenant du nitrate comme unique aliment azoté catalysent la réduction de ClO3 -. Diverses observations suggèrent que cette activité est due à la nitrate-réductase, et non pas à un enzyme dépourvu d'action sur NO3 -.Nous avons déterminé les constantes de Michaelis pour le benzyl-viologène, le méthyl-viologène et le FMN réduits, ainsi que pour le nitrate.Le pH correspondant à l'activité optimale est 6,8.La majeure partie de l'enzyme reste en solution après 2 h de centrifugation à 140.000×g.Le cyanure et l'azoture se comportent comme de puissants inhibiteurs, alors que le versène est sans effet.Nous avons purifié l'enzyme environ 10 fois par adsorption sur gel de phosphate de calcium et par précipitation au sulfate d'ammonium entre 20 et 40% de la saturation.La biosynthèse de la nitrate-réductase d'A. braunii est réprimée par les ions ammonium dans les cultures à la lumière ainsi que dans les cultures à l'obscurité.
Some preliminary observations concerning the nitrate reductase of Ankistrodesmus branunii
Summary A colorimetric and a manometric method are described for the measurement of the nitrate reductase activity of extracts of A. braunii.Reduced forms of benzyl viologen, methyl viologen and FMN act as electron donors. Crude extracts catalyze also the reduction of NO3 - at the expense of NADH2, but this NADH2-nitrate reductase activity is much more sensitive to thermal inactivation and to the inhibitory action of p-chloromercuribenzoate than is the benzl viologen-nitrate reductase activity.Extracts of cultures containing nitrate as sole source of nitrogen catalyze the reduction of ClO3 -. Various observations suggest that this activity is due to the nitrate reductase and not to an enzyme without activity on NO3 -.Michaelis constants for the reduced forms of benzyl viologen, methyl viologen and FMN, as well as for nitrate, were determined.The pH optimum is 6.8.The majority of the enzyme remains in solution after 2 hr at 140,000×g.Cyanide and azide are strong inhibitors, but versene is without effect.We have purified the enzyme approximatively 10 times by adsorption on calcium phosphate gel and by precipitation with ammonium sulphate between 20 and 40% of saturation.Ammonium ions repress the biosynthesis of nitrate reductase by A. braunii grown under illumination or in the dark.
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Resume L'étude des transformations du mercure dans l'eau et les sédiments d'une rivière est entreprise selon un mode d'approche qui semble pouvoir être généralisé pour de nombreux problème d'écologie chimique.Il consiste en l'utilisation de deux paramètres physicochimiques pour caractériser le milieu du point de vue chimique (l'utilisation de diagramme Eh–pH permettant de prévoir le comportement chimique d'un élément dans le milieu étudié) et du point de vue biologique (le Eh et le pH permettant de caractériser de façon biologiquement significative les conditions dans lesquelles sont testées les capacités de transformation des communautés bactériennes).Il est montré que le comportement du mercure, après son accumulátion sous forme peu soluble dans les sédiments, dépend d'une balance entre la formation microbiologique de méthylmercure, beaucoup plus toxique que le mercure minéral, et la minéralisation de ce méthylmercure par action microbiologique ou par un processus chimique en présence de sulfure.Stagiaire de recherche au Fonds National Belge de la Recherche Scientifique.  相似文献   

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Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

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Conclusions Il n'est pas impossible, en toute première approximation, d'assimiler une société d'insectes à un système multistable (Ashby) et les individus qui la composent à un ensemble d'organes de base (von Neuman).Ce sont là, en effet, deux façons de raisonner qui permettent de retrouver par la théorie de nombreauses formes de comportement observées dans la nature et, surtout, d'aborder de manières complémentaires l'important problème des interactions sociales et de la transmission de l'information entre insectes sociaux.Il est clair, à la lumière des travaux d'Ashby, qu'un certain bruit de fond est nécessaire à l'intérieur d'une société d'insectes, afin de réaliser l'indépendance relative des différents sous-systèmes, dont l'ensemble est susceptible de s'adapter, dans des délais convenables, à toute modification d'environnement. Quant aux théories devon Neuman, elles permettent de comprendre comment l'existence de ce bruit de fond, si elle est cause du caractère aléatoire et plus ou moins incorrect de la transmission de l'information, n'entrave pas pour autant le fonctionnement correct et fidèle de l'ensemble de la société.Il est, par ailleurs, curieux de constater que l'étude des systèmes cybernétiques auxquels nous nous sommes constamment référé ici,visait à l'origine la mise en évidence des analogies qu'ils présentent avec le cerveau. Or, si l'on veut bien admettre le bien-fondé des considérations développées dans cet article, il existe des rapports relativement étroits entre ces systèmes et ceux que constituent les insectes sociaux. Il semble, dès lors, que l'application de la cybernétique à l'étude des sociétés d'insectes constitue une méthode d'investigation qui devrait se révéler fructueuse et conduire, en particulier, à un renouveau de la théorie du superorganisme.  相似文献   

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