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1.
The effects of dietary tannin on midgut epithelial structures were compared in two closely related species of swallowtail caterpillars — Papilio polyxenes, a species restricted to the tannin-free Umbelliferae, and P. glaucus, which feeds on tanniniferous tree species in several families. The effects of tannin ingestion were compared in second and fifth instar caterpillars. While large numbers of lesions were found in the guts of P. polyxenes ingesting tannins, only one small lesion was found in any P. glaucus ingesting tannins. No such lesions could be found in larvae of either species raised on tannin-free leaves. The observed histopathological changes, discussed in detail, resemble those previously reported in several species of Lepidoptera in response to a variety of substances and may represent a general degenerative response to the presence of toxins in the gut.
Résumé L'étude à porté sur les effets de tanins dans l'alimentation sur les structures épithéliales de l'intestin moyen des chenilles de second et cinquième stades, de deux espèces très voisines: Papilio polyxenes-espèce ne consommant que des ombellifères sans tanins-et P. glaucus qui s'alimente sur des arbres contenant des tanins et appartenant à plusieurs familles. Alors qu'après ingestion de tanins, de nombreuses lésions ont été observées sur l'intestin de P. polyxenes, seulement quelques petites lésions ont été trouvées sur l'intestin de P. glaucus. Aucune lésion de même type n'a été observée dans les chenilles de ces espèces élevées sur feuilles sans tanin. Les modifications histopathologiques, discutées en détail, correspondent à la mortalité induite par le tanin due à une septicémie bactérienne et peut représenter une réponse dégénérative à la présence de substances toxiques dans l'intestin.
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2.
Tannin-rich extracts were painted on leaves of Q. emoryi (Fagaceae) that contained first instar larvae of a leaf miner, Cameraria sp. (Lepidoptera: Gracillariidae, Agrifoliella group), to test the role of tannins in increasing parasitism, while controlling for changes in protein content and physical damage. Miners from leaves that were treated with tannins had higher rates of parasitism by hymenopterans, but decreased mortality from other causes. The negative and positive effects of tannins balanced since overall larval survivorship was equivalent for leaf miners on tannin-enriched and control leaves. The tannin-rich extract also affected larval development because pupal weight was decreased for leaf miners in treated leaves. Tannins can have both adverse and beneficial effects on these phytophagous insects.
Résumé Des extraits riches en tanins ont été étalés sur des feuilles de Quercus emoryi contenant des chenilles de ler stade de Cameraria sp., pour contrôler l'influence du tanin dans l'accroissement du parasitisme sans modifier la teneur en protéines ni provoquer de dommages physiques. Les mineuses de feuilles traitées avaient des taux plus élevés de parasitisme par les hyménoptères, mais une diminution des autres causes de mortalité. Les effets négatifs et positifs des tanins se sont équilibrés, puisque la survie des mineuses était la même pour les feuilles traitées que pour les témoins. Les extraits riches en tanin ont agi sur le développement larvaire puisque le poids des chrysalides des mineuses de feuilles traitées était plus faible. Les tanins peuvent ainsi avoir des effets nuisibles et bénéfiques sur ces insectes phytophages.
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3.
The eastern swallowtail butterfly, Papilio glaucus, is often classified as a polyphagous species but growth of individuals is hindered rather than aided by feeding on a sequence of plants in no-choice situations. The spicebush swallowtail, Papilio troilus, is a close relative of P. glaucus. P. troilus has restricted its feeding primarily to the Lauraceae and the efficiency of P. troilus larvae in utilizing foodplants in this family is 2 x – 3 x that of the generalized P. glaucus larvae. Again, however, a sequence of acceptable foods reduces rather than favors larval growth rate.
Résumé Les taux de consommation, les rendements de transformation, les bilans de biomasse et d'azote, et la croissance de chenilles herbivores de Papilio glaucus et Papilio troilus ont été déterminés sur les plantes-hôtes naturelles dans des conditions écologiques contrôlées. Les effets d'une alternance périodique des plantes-hôtes tous les 2 jours ont été déterminés dans des expériences supplémentaires. Sur Sassafras (Lauraceae), Papilio troilus, plus spécialiste, croît plus vite et avec un meilleur rendement que Papilio glaucus, espèce généraliste. La croissance des 2 espèces de Papilio est supprimée quand on les oblige à changes d'aliments. Les gains en poids des larves et les poids finaux des chrysalides dans des séries alternantes sont intermédiaires, atteignant les moyennes observées entre les meilleures et pires alimentations avec une espèce végétale unique.Bien que l'on puisse conclure que l'alternance des plantes consommées réduit généralement la consommation et la conversion de la biomasse végétale des plantes-hôtes, Papilio glaucus est capable de survivre sur Lindera benzoin (Lauraceae) alternant avec cerisier et frêne, alors que toutes les chenilles meurent sur L. benzoin seul. D'autres faits montrent que cette Lauraceae ne peut être qu'occasionnellement acceptable comme plante-hôte naturelle par Papilio glaucus, tandis qu'elle est essentielle pour les populations plus spécialisées de P. troilus.Ceci suggère que toute classification en généraliste, ou polyphage, doit être accompagnée d'une discussion se référant à l'espèce, la population ou aux larves elles-mêmes. Des informations quantitatives sur des plantes supplémentaires seraient utiles pour distinguer entre l'aptitude des espèces et celle des individus à consommer des plantes-hôtes fournies alternativement ou simultanément.
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4.
The biological impact of consumption of sericea lespedeza (Lespedeza cuneata (Dumont) G. Don) genotypes varying in tannin content was examined for two generalist insect herbivores, Heliothis zea Boddie and Spodoptera frugiperda (J. E. Smith) (Lepidoptera: Noctuidae). Foliage of high- and lowtannin genotypes did not substantially affect the growth and development of either species when incorporated into meridic diet except at large concentrations where a diet containing high tanin genotypes reduced larval weight and delayed pupation of both species. Fresh foliage of sericea lespedeza with varying levels of tannin did not adversely affect larval growth and development of S. frugiperda. All genotypes were a poor host for H. zea in that most larvae died before pupation. Initial larval weight of H. zea was not consistently different between high- and low-tannin genotypes. Except for one low-tannin genotype having a greater efficiency of conversion of digested diet than the other genotypes, foliage tannin content had little effect on diet assimilation and utilization and larval developmental and consumption rates of stages 6 and 7 H. zea larvae. H. zea neonates also did not show a significant preference for any genotypes. Therefore, tannin content of sericea lespedeza had relatively little effect on the growth and development of these generalist insect defoliators which suggests that low-tannin genotypes of sericea lespedeza will not be substantially more susceptible to defoliation by these species. The poor performance of H. zea on all L. cuneata genotypes suggests that the plant may contain factors other than tannin that inhibit the growth and development of this species or that sericea lespedeza lacks essential nutrients for proper development of H. zea.
Résumé Les effets de la consommation de phénotypes de la légumineuse S. lespedeza (Lespedeza cuneata) (Dumont) (G. Don) dont les teneurs en tanin diffèrent, ont été examinés sur 2 insectes généralistes; Heliothis zea Boddie et Spodoptera frugiperda (J. E. Smith) (Lep.: Noctuidae). Le feuillage de phénotypes à teneur élevée ou basse en tanin n'a pas affecté considérablement la croissance et le développement des 2 espèces, quand il a été incorporé dans un régime méridique, sauf aux fortes concentrations où un régime contenant le phénotype riche en tanin a réduit le poids larvaire et retardé la nymphose des 2 espèces. Le feuillage frais de S. lespedeza avec différentes teneurs en tanin n'a pas nui au développement et à la croissance larvaire de S. frugiperda. Tous les phénotypes ont constitué un hôte désavantageux pour H. zea dont toutes les chenilles sont mortes avant la nymphose. Les poids initiaux des chenilles de H. zea ne différaient pas significativement suivant la pauvreté ou la richesse en tanin des phénotypes. A l'exception d'un phénotype pauvre en tanin ayant une plus grande efficacité de transformation lors de la digestion, la teneur en tanin du feuillage a eu peu d'effet sur l'assimilation du repas, son utilisation, les taux de consommation et le développement larvaire des stades 6 et 7 des chenilles d'H. zea. Les chenilles néonates de H. zea n'ont présenté aucune préférence significative pour l'un des phénotypes. Par conséquent, la teneur en tanin de S. lespedeza a eu relativement peu d'effet sur la croissance et le développement de ces deux généralistes défoliateurs, ce qui suggère que les phénotypes de S. lespedeza pauvres en tanin ne sont pas nettement plus susceptibles de défoliation par ces espèces. Les faibles performances de H. zea sur tous les phénotypes de S. lespedeza suggèrent que cette plante peut contenir des facteurs autres que les tanins qui inhibent la croissance et le développement de cette espèce ou que S. lespedeza manque de certains éléments nécessaires au développement de H. zea.
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5.
Oviposition by a parasitoid wasp in an already parasitized host (= superparasitism) may result in larval competition and the loss of offspring. Consequently, in solitary species, the decision to superparasitize should be based on the probability of offspring survival. Females of Aphidius ervi Haliday and A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), two parasitoids of the pea aphid, discriminated between conspecific-and heterospecific-parasitized hosts. Both species showed partial preference for aphids previously attacked by A. smithi, a result predicted from the fact that A. ervi is superior to A. smithi in larval competition under most conditions. Females of A. smithi selectively attacked conspecific-parasitized pea aphids when given a choice between these and self-parasitized hosts. Results indicated that females of both species responded to an external pheromone-like marker to discriminate between selfconspecific-and heterospecific-parasitized aphids. In addition, A. smithi may use internal cues to recognize, and avoid oviposition in, aphids previously parasitized by A. ervi.
Résumé L'oviposition par une guêpe parasite dans un hôte qui a déjà été parasité (= superparasitisme) pourrait conduire à une compétition entre larves et à une perte de progéniture. Par conséquent, dans les espèces solitaires, la décision de superparasiter devrait être basée sur la probabilité de survie de la progéniture. Les femelles de Aphidius ervi Haliday et de A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), deux parasites du puceron du pois, ont discriminé entre les hôtes parasités par des individus de la même espèce et ceux parasités par des individus d'une espèce différente. Les deux espèces de parasite ont montré une préférence partielle pour les pucerons préalablement parasités par A. smithi, résultat qui était prévisible du fait que, dans la majorité des cas, A. ervi est supérieur à A. smithi dans la compétition entre larves. Les femelles de A. smithi ont sélectivement attaqué les pucerons parasités par un individu de la même espèce lorsqu'il leur était donné de choisir parmi ceux-ci et ceux parasités par les même individu. Les résultats indiquaient que les femelles des deux espèces répondaient à une sorte de phéromone externe pour distinguer les pucerons parasités par le même individu de ceux parasités par un individu de la même espèce et ceux parasités d'une autre espèce. En plus, A. smithi pourrait utiliser des signaux internes pour reconnaître et éviter l'oviposition dans les pucerons préalablement parasités par A. ervi.
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6.
Résumé 1. Les travaux deSarà (1953) et deBurton (1963) ont remis en question la valeur systématique des caractères morphologiques dans la classification des Eponges Calcaires, et ont proposé de considérer de nombreuses formes connues comme des variétés individuelles et régionales d'espèces très plastiques et variables. Nous avons essayé de préciser, par l'observation directe en plongée libre, la distribution et les préférences écologiques des Calcaires, de définir ainsi les limites naturelles de leurs populations, et d'étudier ensuite la variabilité des caractères morphologiques à l'intérieur de ces populations.2. Nous exposons ici l'exemple des espèces des genresClathrina etAscandra, étudiées en Adriatique, dans les régions de Marseille et de Roscoff. Leur distribution est en rapport direct et très précis avec l'exposition aux vagues et à la lumière, à tel point que sur une surface réduite plusieurs espèces se succèdent et se remplacent en fonction de l'exposition de l'endroit. Dans la règion de Roscoff cette distribution est plus large ce qui est dû aux effets des marées, mais les zones écologique préférentielles pour les espèces deClathrina ont pu être établies en fonction de l'importance de l'apport des sédiments par les eaux côtières.3. La possibilité de définir des populations dont la distribution est très précisemment délimitée malgré une coexistence dans un espace réduit, et qui ne sont pas réliées par les formes transitoires, permet d'éliminer l'hypothèse de la cospécificité de ces populations. Elle permet également d'établir les variations morphologiques possibles au sein d'une espèce, de retenir les caractères significatifs pour la classification, et finalement de distinguer les espèces qui se ressemblent morphologiquement. Dans le cas d'animaux qui, commeClathrina, possèdent très peu de caractères utilisables en systématique, c'est la seule façon de résoudre les problèmes de leur taxonomie.
The importance of research on the ecological distribution for the taxonomy of calcareous sponges
The particular difficulties of the taxonomy of calcareous sponges are due to their great plasticity and their capacity for adaptation which obscure the natural limits of species. An attempt was made to define the natural populations of the Mediterranean species of the generaClathrina andAscandra through a study of their ecological distributions. The populations not connected by the transitory forms were defined by their ecological preferences, and, as they are found in a close cohabitation, were treated as having the specific values. The variability of different morphological features is discussed, the features significant for taxonomy are pointed out and the morphologically close species are defined.
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7.
Summary Observations on the ecology of four ant species in the Solomon Islands are described. The ants are the native speciesOecophylla smaragdina, andIridomyrmex cordatus, andAnoplolepis longipes andPheidole megacephala which are introduced. Brief accounts are given of each species' colony structure, nest sites, habitats and enemies. All species have a wide food range but the main sources are honeydew obtained from Homoptera and prey. Honeydew is most important as a component of the diet of the native ant species which show close relationships with endemic and native Homoptera. The two introduced ants depend to a greater extent on predation and this situation is contrasted with that in their source region, Africa. The topics covered in an investigation of the four species' water and temperature relations were resistance to desiccation, the relation between temperature and speed of movement of foraging workers and temperature and humidity preferences.Oecophylla smaragdina is tolerant of variation in both factors,P. megacephala is best suited to a relatively low temperature range andA. longipes to a high one, although susceptible to desiccation. These differences are realised in the species daily foraging times;O. smaragdina is diurnal,P. megacephala andI. cordatus are nocturnal andA. longipes is crepuscular with activity usually limited in the day by low humidity and at night by low temperature. It is concluded that the native species are best adapted to Solomon Islands conditions in terms of food supply and the physical, climatic environment.
Résumé On décrit des observations sur l'écologie de quatre espéces de fourmis aux îles Salomon. Il s'agit des fourmis des espèces indigènes d'Oecophylla smaragdina etIridomyrmex cordatus, et des espèces introduites d'Anoplolepis longipes etPheidole megacephala. L'auteur donne de brefs exposés sur la structure de colonie, sur le terrain de nid, sur l'habitat et sur les ennemis de chaque espèce. Toutes les espèces disposent d'une vaste étendue de nourriture, mais les sources principales en sont les miellats, retirés des Homoptera, et la proie. Le miellat est très important comme partie constituante de la nourriture des espèces de fourmis indigènes, qui montrent des rapports très proches avec les Homoptera endémiques et indigènes. Les deux espèces de fourmis introduites dépendent plutôt de la prédation, tandis qu'en Afrique, leur région d'origine, c'est le contraire. Dans un examen des quatre espèces, on a traité des sujets suivants: la résistance au dessèchement, la relation entre la température et la vitesse de mouvement des butineuses, et les préférences de température et d'humidité.Oecophylla smaragdina supporte bien la variation des deux facteurs,P. megacephala est adaptée le mieux aux températures relativement basses, tandis queA. longipes s'adapte le mieux à une température élevée, bien qu'elle soit prédisposée au dessèchement. C'est en observant les heures de la journée où les espèces butinent qu'on se rend compte de ces différence:O. smaragdina est diurne,P. megacephala etI. cordatus sont nocturnes.A. longipes est crépusculaire, et habituellement limite son activité diurne pendant les périodes de basse humidité, et son activité nocturne pendant les périodes de basse température. L'auteur a conclu que les espèces indigènes s'adaptent mieux aux conditions des îles Salomon en ce qui concerne la distribution de nourriture et l'entourage physique et climatique.
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8.
Ootheca production is here investigated in three species of field-dwelling cockroaches under both field and controlled conditions. Mating is shown to have a significant effect on the length of the pre-oviposition and inter-oviposition periods, fecundity, female longevity and the formation of the ootheca. The occurrence of facultative parthenogenesis is confirmed in Ectobius lapponicus and E. pallidus.
Résumé Les effets de l'accouplement sur certains aspects de la biologie de la reproduction ont été étudiés, pour trois espèces de blattes champêtres du genre Ectobius, à la fois en conditions expérimentales et en conditions naturelles. E. lapponicus et E. pallidus se révèlent être des parthénogénétiques facultatives, bien que ce mode de reproduction entraîne une réduction de la fertilité de ces espèces. Cette parthénogenèse est thélytoque. Quelques ufs non fécondés de E. panzeri se développent partiellement, mais n'éclosent pas. Des différences dans certains aspects de l'oviposition apparaissent chez les 3 espèces entre les femelles vierges et les femelles accouplées. Les périodes de pré-oviposition et d'inter-oviposition sont allongées chez les femelles vierges. La forme des oothèques varie, celles déposées par les femelles accouplées sont plus courtes et plus larges. Des différences spécifiques sont manifestes dans le mode de dépôt et dans le sens de rotation de l'oothèque, ce dernier caractère étant aussi affecté de quelque façon par la copulation. La longévité des femelles vierges est plus grande que celles des femelles accouplées, bien qu'un moindre nombre d'oothèques soit déposé. En général les femelles des trois espèces se comportent de façon semblable dans les conditions expérimentales et en milieu naturel.
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9.
Resumé Cette étude concerne l'influence de la température sur l'écophysiologie des deux espèces proches parentes de Planaires limnophiles: Polycelis tenuis et P. nigra, dans la region lyonnaise. Si les deux espèces font preuve de capacités voisines dans la zone des températures moyennes, la première l'emporte nettement dans les zones marginales, tant par sa tolérance à l'éffet létal de la chaleur que par son taux de reproduction au froid. En outre, l'existence de races physiologiques distinctes doit lui permettre de coloniser des milieux plus divers. P. tenuis apparait comme un animal vraiment eurytherme. Ces différents traits contribuent à expliquer l'habitat des deux espèces dans notre région.
Temperature as an ecological factor in the distribution of two closely related freshwater Triclads: an experimental study.The influence of temperature on the ecophysiology of two closely related limnophilic Triclads, Polycelis tenuis and P. nigra, in the Lyons region was investigated. Both species have the same physiological rate in the middle zone of the temperature range, but P. tenuis prevails at both ends of the range. It torelates higher temperatures and its reproduction rate is greater in the cold. Also, because of the existence of physiological races, it seems adapted to a greater diversity of situations. It appears as a real eurytherm These different points contribute an explanation for the habitat of both species in our region.
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10.
Résumé Une analyse par électrophorèse des protéines à 20 locus a été réalisée sur trois espèces du genre Mastomys au Sénégal. Malgré l'absence de locus diagnostique, une approche multivariée par analyses factorielles (AFC et AFD) permet néanmoins de reconnaître de façon sûre une des espèces en présence (M. cf. natalensis, 100% d'individus bien classés par l'AFD) et d'attribuer correctement les individus des deux autres espèces (M. erythroleucus et M. huberti) dans 92% et 77% des cas respectivement. Bien qu'écologiquement nettement différenciées, ces deux dernières espèces apparaissent très proches génétiquement (DNei=0,12) et montrent par ailleurs de hétérozygoties très elevées. Les faibles distances génétiques entre les trois espèces contrastent avec la forte différenciation chromosomique observée par ailleurs. Chez M. erythroleucus et M. huberti, les distances génétiques observées entre populations continentales ne sont pas corrélées avec les distances géographiques alors que les populations insulaires présentent une nette baisse de variabilité, en relation probable avec leur isolement géographique important. Par ailleurs, chez M. huberti, plusieurs populations s'écartent fortement de la panmixie. Ces tensions génétiques pourraient résulter de phénomènes d'introgression avec M. erythroleucus.
Compared genetic structures of three species of African rodents of the genus Mastomys from Senegal. A protein electrophoresis analysis at 20 loci was performed on three species of the genus Mastomys from Senegal. Although no diagnostic locus was found between the three species, they can be readily recognized by multivariate analysis (100% of the M. cf. natalensis, 92% of the M. erythroleucus and 77% of the M. huberti individuals could be correctly classified by discriminant analysis). Although ecologically quite clearly differentiated, M. erythroleucus and M. huberti were found to be genetically very close (DNei=0.12) and display very high heterozygosities. On the whole, the small genetic distances between the three species contrast with the high chromosomal differentiation that has been reported in another study. In M. erythroleucus and M. huberti, genetic distances between mainland populations are not correlated with geographic distances, whereas insular populations show an important decrease of variability probably linked with their geographic isolation. In M. huberti, some populations show a strong departure from panmictic equilibrium: these genetical tensions could result from introgression phenomena with M. erythroleucus.
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11.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
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12.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

13.
Résumé La présence des gousses et graines de six espèces de Phaseolus déclenche une ponte importante chez A. obtectus et stimule significativement la production ovarienne. Cependant, les meilleures performances ne sont pas observées avec P. vulgaris, hôte habituel, mais avec P. coccineus.Pour toutes ces espèces le tégument de la graine représente une barrière importante pour la pénétration des larves. Chez certaines espèces sauvages, et dans les conditions expérimentales, il permet une protection totale de la graine. Cette protection semble diminuer avec la domestication chez P. vulgaris.Lorsque les graines sont perforées artificiellement, les larves (une par graine) pénètrent sans difficulté, quelle que soit l'espèce. Les graines de P. coccineus et de P. vulgaris permettent le développement complet de la majorité des larves, tandis que dans celles de P. metcalfei et de P. acutifolius ne peut se développer qu'une faible partie de la population larvaire. Certains Phaseolinae peuvent donc stimuler la ponte sans permettre le développement des larves.Les femelles de la F1 provenant de P. coccineus ont des performances reproductrices supérieures à celles des femelles provenant de P. vulgaris (variétés sauvage ou cultivée). P. coccineus pourrait être considéré comme une des plantes-hôtes d'origine.
Summary The presence of pods and seeds of six Phaseolus species induces significant egg-laying in A. obtectus and strongly stimulates ovarian production. However, the best performances are not observed with P. vulgaris, the common host, but with P. coccineus.For all six species, the seed testa is an important barrier against larval penetration. For some wild species, it can give total protection of the seed, but this protection is reduced with domestication in P. vulgaris.For all species, when the seeds are artificially perforated, larvae (one per seed) penetrate easily. Most of the larvae can complete their development in seeds of P. coccineus and P. vulgaris, but only a small proportion of the larval population can develop in seeds of P. metcalfei and P. acutifolius. Thus certain Phaseolinae seeds stimulate egg-laying without allowing larval growth.Females of the F1 reared in P. coccineus have superior reproductive capacities than those reared in P. vulgaris. P. coccineus could be considered as one of the original host-plants of A. obtectus.
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14.
Interspecific pheromone responses indicate that the sex pheromones of eight species of the genus Yponomeuta Latreille are species specific. Female calling activity reaches a peak in the dark period, but at times varying from 1 to 10 days for different species. The response of the males to some chemicals corresponds with electrophysiological reaction patterns found by Van der Pers & Den Otter (1978).
Résumé Le comportement de pariade a été observé au laboratoire chez huit espèces du genre Yponomeuta avec des photopériodes 16/8 (L/O).Pendant l'appel sexuel, caractérisé par l'abaissement en avant de l'abdomen, provoquant l'extrusion de ses derniers segments et l'exposition des glandes à phéromones, il y a libération de la phéromone femelle.Toutes les espèces d'Yponomeuta ont le même comportement d'appel, mais le moment de la scotophase où il est maximum et l'âge auquel il débute, diffèrent suivant les espèces.La réponse des mâles aux phéromones sexuelles a été déterminée par un test biologique simple. Chaque espèce d'Yponomeuta présente un âge caractéristique de réponse optimale des mâles. L'étude du comportement des mâles en présence d'extraits d'abdomen femelles montre que chaque espèce possède une phéromone spécifique.Le comportement des mâles en présence de certaines substances chimiques est moins net qu'avec les phéromones femelles, bien qu'en accord avec les observations électrophysiologiques d'autres auteurs.
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15.
Foraging habits of five species of Trinervitermes occurring in W. Africa are described. The five species can be divided into two groups, comprising those which store grass fragments in the mounds and those which do not. Size distributions of stored grass fragments differ specifically. Experiments indicated that selective foraging of grass species may occur. Survival on various foods suggested adaptation to differing conditions in each species. The occurrence of all five species in one area seems to depend on a suitable mosaic of conditions.
Resume Ce travail est l'un d'une série d'études comparatives de biologie et d'écologie de cinq espèces de Trinervitermes en Afrique Occidentale. On y décrit les habitudes d'approvisionnement et les différences spécifiques. Les cinq espèces forment deux groupes, contenant l'un, T. ebenerianus, T. carbonarius et T. suspensus, lesquels entassent dans leur nids des fragments d'herbe; l'autre, T. oeconomus et T. auriterrae, lesquels n'en entassent pas. Les fragments d'herbe entassés sont de taille différente selon les trois espèces. Les expériences sur les deux espèces T. ebenerianus et T. carbonarius suggèrent que des approvisionnements sélectionnés d'espèces d'herbe peuvent se produire quand c'est possible. L'adaptation aux différentes conditions pour chaque espèce est suggerée par la survie des ouvriers qui se nourrissent différemment. On pense que T. auriterrae se rapproche le plus d'un ancêtre qui ressemble à Nasutitermes. La coexistence des cinq espèces dans un même habitat étendu, paraîtrait dépendre de la présence d'une mosaïque de conditions approprées sur une plus petite échelle
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16.
Résumé Chez Diadromus pulchellus WSM et D. collaris Gr., Hyménoptères Ichneumonidés parasitoïdes spécialistes des nymphes d'A. assectella lépidoptère inféodé aux Allium, des EAG sont enregistrés en réponse à l'odeur du poireau sain ou attaqué par les larves du phytophage, odeurs actives par ailleurs sur leur comportement locomoteur (cinèses). Le thiosulfinate de dipropyle (Ti-P2) très spécifique et abondant dans les Allium, et instable, est le mieux perçu par les deux parasitoïdes mais n'a aucun effet locomoteur chez D. pulchellus contrairement aux disulfures et thiosulfonates, plus stables et moins spécifiques. Les propriétés de l'acétate d'éthyle, actif sur l'antenne des deux parasitoïdes, et sur la locomotion de D. pulchellus expliqueraient en partie les activités biologiques du poireau attaqué sur ces parasitoïdes. Des EAG sont aussi obtenus chez les deux espèces avec l'odeur du chou et de composés soufrés plus ou moins spécifiques des Crucifères. Le thiocyanate de méthyle (TCN-M), le plus actif sur l'antenne et seul efficace sur le comportement locomoteur (de D. pulchellus), expliquerait en partie l'installation reconnue de D. collaris sur Plutella maculipennis spécialiste des Crucifères et rend celle de D. pulchelles vraisemblable.L'odeur des larves de dernier stade d'A. assectella est seule efficace sur l'antenne et la locomotion des femelles de D. pulchellus. Les mâles de ce dernier réagissent (EAG, locomotion) à des odeurs de cocons de l'hôte et particulièrement à ceux occupés par une femelle de leur espèce.  相似文献   

17.
The larvae of Alsophila pometaria (Harr.), feeding on the young foliage of oak, has a higher relative growth rate (RGR) and relative nitrogen accumulation rate (RNAR) than the larvae of Anisota senatoria (J. E. Smith), feeding on the mature foliage of oak. Although the young oak foliage is more efficiently digested by A. pometaria (higher AD's), it is not more efficiently assimilated and used for growth (no difference in ECI's). Thus, the higher growth rate of A. pometaria is due entirely to a higher consumption rate (RCR and RNCR). Young foliage is significantly higher in nitrogen and water than mature foliage, but phenol and tannin levels are comparable in young and old foliage. A. pometaria consumes the foliage of different oak species at the same rate, independent of nitrogen content, while A. senatoria increases its consumption rate in response to decreased nitrogen levels. As a result, the growth rate of A. pometaria is directly related to leaf nitrogen content, while the growth rate of A. senatoria is independent of leaf nitrogen. The two species of insects have digestive systems that are very similar biochemically, and that are well-designed for effective protein digestion. Tannins and phenols do not influence the nutrional indices of either species. We suggest that the major benefit of spring feeding is the availability of succulent, high-nitrogen foliage, and not the avoidance of high-tannin foliage. The spring feeder appears to have a feeding strategy that favors rapid growth at the expense of efficiency, while the late summer feeder has a strategy that favors efficiency over rate.
Résumé Alimentées sur feuillage jeune de chêne, les chenilles d'Alsophila pometaria avaient un taux relatif de croissance (RGR) et un taux relatif d'accumulation d'azote (RNAR) plus élevés que les chenilles d'Anisota senatoria alimentées sur feuillage mûr de chêne. Bien que le jeune feuillage soit plus efficacement digéré par A. pometaria (AD plus élevé), il n'est pas assimilé et utilisé pour la croissance avec de meilleurs rendements (les ECI ne sont pas différents). Ainsi le taux de croissance plus élevé d'A. pometaria est dû entièrement à un taux de consommation plus important (RCR et RNCR). Le feuillage jeune est significativement plus riche en azote et en eau que le feuillage mûr, mais les niveaux de phénol et de tanins sont les mêmes. A pometaria consomme les feuilles de différentes espèces de chênes au même taux, indépendamment de la teneur en azote, tandis que A. senatoria accroît sa consommation en réponse à une diminution de la teneur en azote. Il en résulte que le taux de croissance d'A. pometaria dépend directement de la teneur en azote des feuilles, tandis que celui d'A. senatoria en est indépendant. Les systèmes digestifs des deux insectes sont biochimiquement semblables et sont efficaces pour la digestion des protéines. Les tanins et les phénols n'influent pas sur les indices nutritionnels de ces deux espèces. Nous estimons que le principal intérêt de l'alimentation printanière est la disponibilité en feuillage succulent, riche en azote, et non l'absence de feuilles à haute teneur en tanin. L'alimentation printanière semble correspondre à une strategie alimentaire qui favorise la croissance aux dépens de l'efficacité tandis que l'alimentation en fin d'été est une stratégie qui favorise l'efficacité sur la rapidité.
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18.
The exclusion of botanical species from the food plant range of the diamond-back moth larva is determined not only by the infrequency of adequate stimulants for feeding but also by a high frequency of occurrence of feeding inhibitors. A few plant species lack feeding inhibitors but are excluded by a deficiency of feeding stimulants. Some plants are devoid of decisive feeding inhibitors and contain effective feeding stimulants but yet are excluded as host plants by the possession of toxic principles. At least one plant species, Pisum sativum, devoid of mustard oil glucosides, is sufficiently palatable, nutritious and free of toxicants to support successive generations of Plutella larvae in the laboratory. The free mustard oils in the natural host plants apparently tend to inhibit dispersal of the larvae.
Resume L'exclusion d'espèces botaniques comme plantes pouvant servir de nourriture à la larve de Plutella maculipennis est detérminée non seulement par la râreté de stimulants nécessaires pour que l'insecte se nourrisse mais aussi par la présence fréquente de substances qui empêchent l'insecte de se nourrir. Quelques espèces de plantes qui n'ont pas de substances qui empêchent l'insecte de se nourrir, sont excluées par une déficience de stimulants. Certaines plantes n'ont pas de substances qui empêchent l'insecte de se nourrir et contiennent des stimulants efficaces, mais cependant elles sont excluées comme plantes nourricières par la possession de principes toxiques. Au moins une espèce de plante, Pisum sativum, qui ne possède pas les glucosides d'huile de moutarde, est assez agréable au goût, nourrissante et privée de toxines pour pouvoir soutenir des générations successives de larves de P. maculipennis dans la laboratoire. Les huiles de moutarde des plantes nourricières naturelles semblent empêcher la dispersion des larves.
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19.
Résumé Pour la première fois, les rotifères de la Camargue sont examinés. Des échantillons ont été pris aux environs de Salin de Badon, le long de la digue de mer et dans l'étang de Beauduc.Les 15 espèces trouvées sont nouvelles pour la région. Pour chacune d'elles, nous donnons l'écologie et la distribution dans l'eau saumâtre dans le monde entier.La plupart des espèces sont cosmopolites; une espèce est particulièrement intéressante, notamment Epiphanes mollis, dont c'est la première capture dans l'eau saumâtre de l'Éurope occidentale.

Rijkuniversiteit Gent. Laboratorium voor Systematische Dierkunde.  相似文献   

20.
The resistance to desiccation of six species of centipedes comprising four geophilomorphs, one lithobiomorph and one scolopendromorph, was measured. Spiracle structure was investigated in the geophilomorphs and it is suggested that the size of the spiracular opening and the degree of development of the lappets in the spiracle cup may be important in controlling the rate of water loss in geophilomorph species. The amount of water loss causing death appeared to be the same in all species and is therefore not a cause of different resistances to desiccation in the species studied.
Résumé La résistance à la dessiccation de six espèces de centipèdes (quatre géophilomorphes, une lithobiomorphe et une scolopendromorphe) a été mesurée. La structure des orifices spiraculaires des géophilomorphes a été examinée et l'auteur suggère que les dimensions des orifices spiraculaires et le degré de développement des valves dans la cupule spiraculaire sont importants pour le contrôle du degré de la perte d'eau chez les espèces géophilomorphes. La quantité de perte d'eau causant la mort semblait être la même pour toutes les espèces et n'est donc pas une cause de différentes résistances à la dessiccation chez les espèces examinées.
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