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1.
Zusammenfassung Bietet man weisellosen Arbeitsbienen den Extrakt von Königinnen gelöst in ihrem Trinkwasser (Extrakt von 200 Königinnen/l), so ist er nur wirksam — im Sinne einer Hemmung der Ausbildung von Weiselwiegen — wenn das Wasser wenig oder keinen Zucker enthält. Bei höheren Zuckerkonzentrationen (über 50–100 g/l) übt der Extrakt diese Wirkung nicht mehr aus.Weiter wurde gezeigt, dass die Anwesenheit einer mit Extrakt übersättigten Ersatzkönigin in einer Gruppe von im übrigen weisellosen Arbeitsbienen auch dann die Ausbildung von Weiselwiegen sowie die Ovarienentwicklung bei diesen Arbeitsbienen hemmt, wenn sie keinen direkten Kontakt mit der Ersatzkönigin hatten. Der Effekt beruht offenbar auf reiner Duftreizung durch den konzentrierten Extrakt.
Résumé La construction des cellules royales est inhibée lorsqu'on offre aux ouvrières d'Abeilles une solution aqueuse d'extrait de reines, ou une telle solution à laquelle on a ajouté du sucre, à la seule condition que le liquide ne contienne qu'une faible concentration de sucre. Si cette concentration est plus forte, l'extrait perd son pouvoir inhibiteur.Un extrait de reines très concentré attire les ouvrières; il inhibe le développement de leurs ovaires ainsi que la construction des cellules royales en dehors de tout contact direct des ouvrières avec la substance inhibitrice. Il semble, dans ce cas, que la chémoréception de la substance suffise à provoquer l'inhibition chez les ouvrières.
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2.
Zusammenfassung An insgesamt 16 Völkern wurden unter verschiedenen Bedingungen die Vorgänge untersucht, die zu den Ausflügen der jungen Bienenkönigin führen. Die Beobachtung ergab, daß die junge Königin nur flugbereit wird, wenn sie von den Arbeitsbienen in bestimmter Weise traktiert und durch den Stock gehetzt wird. Starke Aggressivität eines Volkes seiner jungen Königin gegenüber und starke Ausbildung der Arbeiterinnenovarien fallen zusammen, sind jedoch nicht miteinander gekoppelt.
Summary In 16 colonies of bees the behaviour of worker bees and of young virgin emergency-queens has been observed. The result is that the virgin does not become ready to fly unless she is treated in a certain way by the worker bees.On normal conditions (5 colonies observed) the newly emerged queen does not receive any attention from the workers in the first hours of her life. But from her first midday forth the bees give her great attention by touching, licking, feeding, and facing her. Some workers near the queen show a remarkable vibration of their abdomens in vertikal direction. Besides the queen is frequently attacked by workers who push her, cling on to her, pull her by her legs and wings, and sometimes overthrow her. The queen usually reacts upon such attacks by trying to defend herself, by piping, which causes a sudden numbnes of the bees, and by running away. The flight of the queen stimulates the workers to chase and attack her all the more and often it comes to methodical huntings after the queen. For the queen, the result is increased want of food and an increase of her bodily efficiency until she is ready to fly. Last preparations for flying are made by the queen herself: hurriedly she rushes about on the combs and suddenly she turns to light until she finds the entrance of the hive.—After each flight of the queen the attacks of the bees loose in strength, but become harder again before she starts next time. The attacks are not stopped till the queen begins laying.Observations at a colony dequeened long before receiving a newly emerged queen (strengthened attacks upon the queen) and observations at colonies made of newly emerged bees (no attacks upon the queen) proved the queen to be sooner ready to fly the more she is attacked by the workers. Mild treatment may cause the flights of the queen to be put off or even to be left undone.Colonies attacking their queens hard always contain a high percentage of anatomical laying workers. There seems to be a relation between aggressiveness (towards the queen) and ovary development in worker bees. There is however no direct relation: one colony that did not get any pollen (so that worker's ovaries could not develop) was attacking its virgin queen as well as normal control colonies.

Résumé Le comportement des Abeilles ouvrières et des jeunes reines remplaçantes, nouvellement écloses et vierges, a été observé dans 16 colonies. Il se manifesta que la jeune reine n'est prête à s'envoler que si elle est traitée d'une certaine façon par les ouvrières.Dans des conditions normales (5 colonies observées), les ouvrières ne tiennent aucun compte de la reine qui vient d'éclore. Or, dès le milieu de la première journée de sa vie, l'intérêt des ouvrières est très vif; elles touchent la reine, elles la lèchent, elles la nourrissent et se conforment sur elle. Quelques Abeilles à proximité de la reine manifestent un tremblement étrange de l'abdomen, dans le sens vertical. De plus, la reine est souvent attaquée par des ouvrières; elles la poussent, elles se cramponnent à elle, elles la tirent par les pattes et les ailes, et la renversent. La reine, par réaction, se défend ou s'enfuit; ou elle chante, ce qui fait tomber les Abeilles en torpeur. La fuite de la reine excite les Abeilles à la poursuite qui, parfois, dégénère en chasse acharnée. Le besoin alimentaire de la reine en devient plus fort, ses capacités physiques augmentent, jusqu'au moment où elle est enfin apte à l'envol. Elle s'élance alors avec frénésie par-dessus les rayons; tout à coup, elle se tourne vers la lumière et finit par trouver le trou de vol. Chaque fois que la reine rentre d'un vol, les attaques des Abeilles diminuent; mais elles redeviennent plus intenses jusqu'au départ suivant de la reine. Les attaques ne cessent que si la reine commence à pondre.Des observations faites dans une colonie orphelinée longtemps avant l'introduction de la jeune reine vierge (attaques renforcées contre la reine), ainsi que l'étude d'une colonie de jeunes Abeilles (pas d'attaques contre la reine) ont montré que la reine devient d'autant plus vite apte à l'envol qu'elle est attaquée par les ouvrières. Si la reine est traitée avec douceur, ses essors peuvent être fortement retardés ou même ils n'ont pas lieu.Chez les colonies qui attaquent vigoureusement leur jeune reine, on trouve toujours un grand pourcentage d'ouvrières pondeuses. Il semble donc qu'un rapport existe entre l'agressivité (contre la reine) et la formation des ovaires chez les ouvrières. Ce rapport, cependant, n'est pas direct: une colonie dépourvue de pollen, où, par conséquent, les ovaires des ouvrières ne pouvaient pas se développer, attaqua sa jeune reine aussi vigoureusement que les autres colonies de contrôle normales.
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3.
Résumé La distribution du butin a été suivie individuellement chez des ouvrières deFormica polyctena à l'extérieur de la colonie. On a observé la distribution effectuée par une ou plusieurs butineuses nourries avec du miel radioactif, après des temps variables.Malgré la distribution d'une quantié de nourriture surabondante, on constate que certains individus en reçoivent plus que d'autres. Il n'y a jamais égalité de niveau entre tous les individus d'un groupe.Les ouvrières de l'extérieur, qui avaient reçu une large part au commencement de la distribution, en avaient encore la plus grande partie à la fin de l'expérience, tandis que celles qui n'avaient rien ou reçu une part minime ne les égalaient jamais.Le même résultat a été observé quand la nourriture a été offerte directement sans passer par l'intermédiaire de butineuses. En utilisant des ouvrières ramassées à l'extérieur dans la forêt six heures avant l'expérience, on trouve également les mêmes résultats. Les ouvrières ayant reçu une ration importante refusent de la nourriture aux quémandeuses quand on les met au contact d'ouvrières affamées. Après avoir séparé les fourmis ayant reçu une grosse ration et celles n'anyant rien rçu ou très peu, il est apparu que ces dernières n'étatient pas aussi actives en ce qui concerne la distribution. Cela est également vrai quand on offre le butin directement sans l'intermédiaire des butineuses.L'observation individuelle et l'enregistrement du butin montrent que l'activité des quémandeuses ne provoque pas toujours la transmission. Celle-ci peut être refusée par des fourmis au jabot bien rempli.Le comportement des fourmis ayant reçu une grande ration et conservant la nourriture dans leur jabot est discuté en liaison avec la circulation de la nourriture dans le nid et l'existence d'insectes «transporteurs».
Zusammenfassung Bei der individuellen Verfolgung von radioaktiven Futter bei kleinen Gruppen von Aussendiensttieren der AmeiseFormica polyctena treten auch bei optimalem Futterangebot unterschiedliche Mengen bei den Einzelindividuen am Ende ciner Verteilung auf.In den Aussendienstgruppen haben meist die Tiere, die am Anfang viel erhalten haben, auch am Ende noch das meiste, oft noch stark gesteigert, während Tiere, die am Anfang wenig erhalten hatte, auch am Ende noch am tiefsten lagen. Eine Parallelität zeichnet sich klar ab; auch bei freier Aufaahme von Futter.Frisch gefangene Aussendiesttiere zeigten ein ähnliches Ergebnis.Die von Einzeltieren aufgenommene grosse Menge wird auch beim Zusetzen hungriger Tiere oft im Kropf zurückbehalten.Wurden in einer Gruppe Tiere, die viel, und Tiere, die wenig erhalten hatten, separiert, dann zeigten die schwach-radioaktiven Tiere eine weit geringere Verteilungs- und Aufnahmeaktivität als die Gruppe der starkradioaktiven Tiere. Dies gilt auch für die Aufnahme und Weiterverteilung von freiem Futter.Bei der individuellen Beobachtung und Ausmessung weitergegebenen Futters zeigte sich, dass nich unbedingt die Bettelaktivität für die erhaltenen Futtermenge entscheidend ist. Tiere mit gefülltem Kropf verweigerten häufig bei Anbettelung eine Weitergabe.Das Verhalten von Tieren, die während der verschiedenen Verteilungen das meiste erhielten und auch speicherten, wird im Zusammenhang mit dem Nahrungsfluss im Nest diskutiert, wobei auch das Vorhandensein von «Transporttieren» im Aussendienstbereich erörtert wird.
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4.
Zusammenfassung In der vorliegenden Arbeit wurde untersucht, wie hoch die Ausfälle bei Bienenvölkern im Verlauf des Winters sind und wieviele Bienen davon nachweislich erkrankt waren.Es konnte festgestellt werden, dass die Verluste im Vergleich zur Gesamtstärke der Völker sehr niedrig liegen und dass von den Toten nur ein verhältnißmäßig geringer Teil eine Erkrankung zeigte.Die Verteilung der Todesfälle auf die einzelnen Wintermonate zeigt ein starkes Austeigen gegen das Frühjahr zu, was auf ein Nachlassen der Widerstandskraft der Bienen schließen lässt. Die Möglichkeit einer Wirkung von Luftkörpern, vielleicht infolge der Temperaturverhältnisse, auf die Sterblichkeit zeigt sich durch das Ansteigen der Ausfälle bei polarer Kaltluft.Außerdem tritt eine Häufung von Todesfällen bei Kaltfrontdurchgängen auf, wogegen bei Warmfronten eher das Gegenteil zu finden war. Auch die Anzahl der kranken, toten Bienen scheint in einem Zusammenhang mit Frontdurchgängen zu stehen, doch reicht die Menge des statistischen Materials noch nicht aus, um diesen Zusammenhang zu sichern. Nosema z. B. zeigt einen Gipfel ebenfalls bei Kaltfrontdurchgängen. Tote Bienen, die einen Pilzbefall aufwiesen, fand man vermehrt nach WF und vor KF, also im Warmsektor.Im Verlauf der Untersuchungen zeigte sich, daß manche Bienen kurz vor ihrem Tode noch den Stock aktiv verlassen, um sich wahrscheinlich von der Gemeinschaft ihres Volkes zum Sterben zurückzuziehen.An Hand der Untersuchungsergebnisse ist es auch als wahrscheinlich anzunehmen, daß beim Unterschreiten einer bestimmten Größe der Wintertraube (evtl. durch Ausfälle), ein stärkerer oder je nach Anzahl der Bienen evtl. auch geringerer Kälteeinbruch zu hohen Verlusten und sogar zur Vernichtung des ganzen Volkes führen kann.
Summary In the present paper an attempt has been made to investigate how high a proportion of bees are lost from colonies during the course of the winter, and how many of these bees could be proved to have fallen ill.In comparison with the total strengh of the colonies, the losses are on an average very low, and of these, again, only a small proportion showed illnes. Towards spring a sharp increase in the number of deaths per month is noticeable, which may be attributed to the flagging resistance of the bees. There exists the possibility of the action of air masses, perhaps as a result of particular temperature conditions.During the passing of cold fronts there was an increase in the number of deaths, but with warm fronts rather the reverse. Nosema likewise showed a peak during the passing of cold fronts. Dead bees with fungus disease were more numerous after warm fronts and before cold fronts.Many bees leave the hive of their own accord, shortly before their death, probably in order to die away from the society of the colony.If the size of the winter cluster falls below a certain level (due possibly to losses), a cold wave leads to high losses and even to extermination of the entire colony.

Résumé Dans le présent travail, l'auteur examine le taux de mortalité dans une colonie d'abeilles au cours de l'hiver. Il s'intéresse, en outre, à déterminer le nombre d'abeilles mortes par suite de maladie.Comparativement au nombre total de la population d'une ruche, les pertes sont, en moyenne, très petites. Des signes de maladie n'ont pu être constatés que sur une partie insignifiante du total des abeilles mortes. Vers le printemps, la moyenne mensuelle de la mortalité monte d'une façon assez forte, ce qui peut s'expliquer par l'affaiblissement de la force de résistance des abeilles. Cela peut être également dû à l'influence du changement des qualités de l'air par suite de conditions particulières de température.Au passage de courants d'air froid, la mortalité s'accroît; au passage de courants d'air chaud, c'est plutôt le contraire qui se produit. De même les cas de nosema atteignent leur maximum au passage des courants froids. Par contre on trouve des abeilles mortes, avec des signes de mycose, surtout après le passage de courants chauds et avant les courants froids.Juste avant la mort, beaucoup d'abeilles quittent d'elles-mêmes la ruche et se retirent pour mourir en dehors de la communauté de la colonie.Quand la grappe d'hivernage (par exemple par suite de la mortalité des abeilles) se réduit en dessous d'un certain minimum, une brusque baisse de température peut causer de grandes pertes ou bien même aboutir à la destruction complète de la colonie.


Herrn Prof. Dr. K. v. Frisch und Frau Prof. Dr. R. Beutler danke ich für ihr Entgegenkommen, das mir die Durchführung der Versuche ermöglichte, ferner gilt mein Dank Herrn Veterinärrat Dr. Wojtek von der Bayer. Landesanstalt für Tierseuchenbekämpfung, für seine Mithilfe bei der Feststellung der Krankheitsbefunde. Ebenfalls danke ich der Deutschen Forschungsgemeinschaft mit deren Hilfe die Untersuchungen beendet werden konnten.  相似文献   

5.
Summary The presence of two castes, the egglayers or queens and the nonegglayers or workerlike females, is demonstrated inA. striata andA. persimilis although the castes are poorly defined. One or more queens may be present in a nest during the spring, at which time all individuals of the colony may perform all nesting activities including the collecting of pollen for the cells. After the first brood has emerged in June, there is only one egglayer per colony, and this individual, although continuing to guard and build cells, does not collect pollen. The other females of the colony, although frequently mated, rarely lay eggs but do carry on all other nesting activities. The queens and nonegglaying females differ in size averaged over the season, but there are no gross morphological differences between the two castes.
Zusammenfassung Die Anwesenheit zweier Kasten, die Eierlegerinnen oder Königinnen und die Nichteierlegerinnen oder arbeiterähnlichen Weibchen, inA. striata undA. persimilis, wird bewiesen, obgleich die Kasten undeutlich definiert sind. Eine oder mehr Königinnen können während des Frühlings im Nest sein, zu einer Zeit in der alle Individuen der Kolonie alle Nesttätigkeiten einschliesslich der Pollensammlung ausführen können. Nach der Eklosion der ersten Brut im June, ist nur eine Eierlegerin pro Kolonie da, welche weiter das Nest bewacht und Zellen baut aber keinen Pollen sammelt. Die anderen Weibchen der Kolonie, obgleich abermals gepaart, legen selten Eier. Sie führen jedoch alle weiteren Nestaktivitäten aus. Die Königinnen und Nichteierlegerinnen, sind im Jahresdurchschnitt verschieden gross, aber bedeutende morphologische Unterschiede zwischen den Kasten wurden nicht gefunden.

Résumé L'auteur met en évidence, chezA. striata etA. persimilis, la présence de deux castes: pondeuses ou reines et femelles non pondeuses du type ouvrières; les castes sont cependant peu différenciées. La présence d'une reine et plus, dans le nid, peut être observée au printemps lorsque tous les individus de la colonie accomplissent les différentes tâches, y compris la récolte du pollen pour les cellules. Après l'apparition, en juin, du premier couvain, il n'y a plus qu'une pondeuse par colonie, celle-ci continue à construire des cellules et à s'en occuper mais ne récolte pas de pollen. Les autres femelles de la colonie, bien que souvent fécondées, ne pondent pas d'ufs mais se chargent des autres activités du nid. La taille moyenne des reines et des femelles non pondeuses diffère au cours de la saison, mais il n'y a pas de différence morphologique importante entre les deux castes.


Contribution number 1.282 from the Department of Entomology, The University of Kansas, Lawrence.  相似文献   

6.
Résumé Dans cet exposé, nous avons montré que les Abeilles sont capables de changer de place les réserves sucrées et le couvain. Ces comportements ne correspondent pas à des conditions de vie normales de la colonie.Cependant, le transport des réserves indique la possibilité, pour les Abeilles, de réagir à une perturbation importante selon un ordre que nous avions déjà établi dans l'élevage des larves (Montagner, 1962). C'est ainsi qu'en cas de nourrissement brutal et pendant une période de disette, elles tendent à grouper la majeure partie des réserves près de la reine, tout en laissant une place sur un cadre pour la ponte. La reine représenterait donc bien, dans la ruche, le potentiel survie à partir duquel les ouvrières auraient tendance à répartir leurs activités de façon décroissante.Par contre, les transports de couvain ne semblent répondre à aucun plan d'organisation comme chez les Fourmis. Nous avons montré qu'ils étaient associés à de profondes perturbations, telles que le manque de nourriture ou la perte de la reine.
Summary The results of these studies indicate that bees are able to remove sugary stores and brood.We have established that bees remove their stores according to a certain order that we also made evident when studying brood rearing (Montagner, 1962). So, the bees hoarded the most part of their stores in the side of the hive where the queen stood, when we fed them suddenly during a dearth time.Then, the queen would be in beehive the attractive center from which the workers would share theirs activities in a decreasing way.On the contrary, it never seemed to us that the removals of brood were connected to any right order as for ants. We have established that they were associated to great troubles in beehive such as a want of food or the death of the queen.

Zusammenfassung In diesem Bericht haben wir bewiesen, dass die Bienen die Zuckervorräte und die Brut an andere Plätze zu bringen vermögen. Dieses Verhalten entspricht nich den normalen Lebenszuständen der Kolonie.Soch bezeugt der Transport der Vorräte die Möglichkeit für die Bienen, gegen eine erhebliche Störung, nach einer bestimmten Regel zu reagieren, die wir schon bei der Aufzucht der Larven festgestellt haben (Montagner, 1962).Also, im Falle einer plötzlich verstärkten Zufuhr und während einer Mangelperiode haben sie die Neigung, den grössten Teil der Vorräte um die Königin zu sammeln, indem sie aber einen Platz für das Eierlegen auf einem Rahmen frei lassen. Die Königin würde also im Bienenstock die Möglichkeit der Fortdauer darstellen. Von dieser Tatsache ausgehend würden die Arbeiterinnen also ihre Tätigkeit in abnehmender Weise ausüben.Im Gegenteil scheinen die Brutversetzungen keinem Organisationsplan zu entsprechen, wie es bei den Ameisen der Fall ist. Wir haben gezeigt, dass sie mit schwerwiegenden Störungen, wie z. B. dem Nahrungsmangel oder dem Tod der Königin, in Verbindung stehen.
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7.
Summary The extent to which honey bee foragers from an apiary are influenced by the presence of bees from other colonies in the same field was studied with the aid of colonies whose bees were made radioactive with P32. It was found that the concentration of tagged bees decreased more near large apiaries than near a small group of eight colonies. The population density of all bees was found to be slightly greater near the three larger apiaries than elsewhere on the experimental fields.The total population of both marked and unmarked foragers was more uniform in a field in which no colonies were located, although a heavier concentration of marked bees was still evident at sampling stations within 110 yards of the edge nearest the experimental apiary from which they had flown.The experimental fields included two varieties of alfalfa, Narragansett and Ranger. A higher bee population existed on the Narragansett field of alfalfa than on the adjacent field of Ranger. Its greater attractiveness may have been because of its thinner stand density or of varietal differences.
Zusammenfassung Inwiefern Trachtbienen aus einem Bienenstand durch die Anwesenheit von Bienen aus anderen Völkern in demselben Feld beeinflusst werden, wurde mit Hilfe von Völkern studiert, deren Bienen mit radio-aktivem P32 markiert worden waren. Es wurde festgestellt, dass die Konzentration markierter Bienen nahe grossen Bienenständen stärker abfiel als nahe einer kleinen aus acht Völkern bestehenden Gruppe. Weiter wurde festgestellt, dass die Bevölkerungsdichte aller Bienen nahe den drei grösseren Bienenständen ein wenig höher war als anderswo auf den Versuchsfeldern.Die Gesamtbevölkerung sowohl der gezeichneten als auch der ungezeichneten Trachtbienen war gleichmässiger in einem Feld, in dem keine Völker aufgestellt waren, obgleich es an den Sammelstellen noch offensichtlich war, dass die gezeichneten Bienen innerhalb 100.6 Meter (110 Yards) des Feldrandes nächst dem Versuchsbienenstand, von dem sie anflogen, stärker konzentriert waren.Die Versuchsfelder umfassten zwei Abarten der Luzerne: Narragensett und Ranger. Eine stärkere Bienenbevölkerung existierte auf dem Feld mit Narragansett als auf dem angrenzenden Feld mit Ranger. Die grössere Anlockung ist möglicherweise durch die geringere Wachstumsdichte oder durch die Verschiedenheiten der Abarten verursacht worden.

Résumé Le degré auquel les Abeilles butineuses d'un rucher sont influencées par la présence d'Abeilles d'autres colonies dans le même champ a été étudié à l'aide de colonies dont on a marqué les Abeilles avec du P32 radio-actif. On a trouvé que la concentration des Abeilles marquées diminuait plus près des grands ruchers que près d'un petit groupe de 8 colonnies. On a trouvé que la densité de toutes les Abeilles était légèrement plus forte près des 3 plus grands ruchers que dans d'autres parties des champs expérimentales.La population totale et de butineuses marquées et de celles non marquées était plus uniforme dans un champ où aucune colonie n'était pas placée, bien qu'une plus forte concentration d'Abeilles était encore évidente aux lieux d'échantillonnage à 100,6 m (110 yards) du bord du champ le plus près du rucher expérimental d'où provenaient les Abeilles.Les champs expérimentaux renfermaient 2 variétés de luzerne: Narragansett et Ranger. Une plus forte population d'Abeilles existait sur le champ de Narragansett que sur le champ voisin de Ranger. La plus grande attractivité de la première était peut-être due à sa moindre densité de croissance ou à des différences de variété.


In cooperation with theUtah Agricultural Experiment Station.  相似文献   

8.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

9.
Pregnancy and lactation in rats were investigated under standardized conditions at altitudes of 540 m and 3,450 m.There was a transitory anoestrus in some of the animals during the first 10 days at high altitude. Otherwise the conception rate and pregnancy were similar to those at ground level. Lactogenesis was delayed and lactation impaired at 3,450 m. The number of young and the mean weight of the young at day 21 of lactation was lower at 3,450 m than at 540 m.When mothers with their litters at high altitude were transferred from the usual room temperature of 21ÐC to 15ÐC lactation ceased almost completely, as was seen by the large losses of young. Lactation was also greatly impaired when mothers with litters 7 or 11 days post partum were taken from 540 m to 3,450 m altitude. A higher survival rate of the young and better growth was found when a fat enriched lactation diet was offered.
Zusammenfassung Die Trächtigkeit und Laktation von Ratten wurde unter standardisierten Bedingungen in 540 m und 3.450 m Höhe untersucht. Bei einigen Tieren wurde in den ersten 10 Tagen in der Höhe ein Anoestrus beobachtet. Abgesehen davon war die Aufnahmequote und der Verlauf der Trächtigkeit normal.Die Galaktogenese war verzögert und die Laktation vermindert in der Höhe. Dies war erkennbar an der kleineren Zahl Junge und an dem niedrigeren mittleren Gewicht der Jungen am 21.Tag der Laktationsperiode. Die Überführung von Müttern mit ihren Würfen aus 21ÐC in 15ÐC in der Höhe von 3.450 m am 10. Tag post partum bewirkte fast vollständiges Sistieren der Laktation bei den meisten Müttern; viele Junge starben und die Überlebenden wiesen eine mangelhafte Entwicklung auf. Ebenso wurde die Laktation unterbrochen, wenn Mütter mit Würfen am 7. oder 11. Tag post partum von 540 m auf 3.450 m Höhe gebracht wurden. Die Fütterung einer fettreichen Laktationsdiät wirkte sich günstig auf die Überlebensrate der Jungen und ihr Wachstum aus.

Resume On a examiné dans des conditions standard la durée de gestation et la lactation de rats élevés à 540 et à 3.450 m d'altitude. On a observé chez quelques individus un (Anoestrus) durant les 10 premiers jours de leur exposition à l'altitude. A part cela, la fécondité et la gestation se déroulèrent normalement.Le début de la lactation fut retardé et la durée de cette lactation raccourcie en altitude. On a pu le constater au plus petit nombre de jeunes élevés et à leur plus faible poids au 21ème jour d'alaitement. Le transport des femelles et de leurs portées d'un milieu à 21Ð dans un autre de 15ÐC (à 3.450 m d'altitude) le 10ème jour après la mise bas a provoqué un tarissement presque complet chez la plupart des femelles.De nombreux jeunes en périrent et les autres présentèrent un développement déficient. La lactation fut également interrompue par un déplacement des femelles et de leurs portées de 540 à 3.450 m d'altitude le 7ème ou le llème jour après la mise bas. Une nourriture spéciale, rich en graisse, eut un effet heureux sur le nombre de jeunes ayant survécu et sur leur croissance.
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10.
Summary Tranmission of honey in several species of ants was studied using radioactive iodide as a tracer. Great variation in transmission rates between species was noted, ranging from negligible transmission over a ten-day period (inPogonomyrmex badius) to complete colony saturation within thirty hours (inFormica spp.). The honey was passed mostly among workers, very little being given to the queens or larvae. Indirect evidence is cited which suggests the occurrrence of chain transmission beyond the primary donations given by the original foragers.
Zusammenfassung Die Uebertragung von Honig bei verschiedenen Arten von Ameisen wurde mit Hilfe von Zugabe radioaktiven Iodids untersucht. Eine mit der Mischung gefütterte Arbeiterin wurde in das Nest gesetzt, und die Verteilung des von ihr abgegebenen Honigs gemessen. Die Verteilungs-geschwindigkeit war sehr verschieden je nach der untersuchten Art: praktisch zu vernachlässigende Werte, sogar nach 10 Tagen, beiPogonomyrmex badius; vollständige Sättigung des Staates, nach 30 Stunden, beiFormica spp. Der Honig wurde hauptsächlich unter Arbeiterinnen verteilt; die Königinnen und Larven bekamen, wenn überhaubt, nur minimale Mengen. Die Resultate schienen darauf hinzuweisen, daß zur Verteilung im Staate nicht nur die Abgaben der ursprünglich gefütterten Arbeiterin verantwortlich waren, sondern auch Uebertragung der Empfänger untereinander.

Résumé On a étudié la transmission du miel chez plusieurs espèces de Fourmis en se servant d'iodure radio-actif comme traceur. On observe des différences considérables dans le taux de la transmission d'une espèce à l'autre, allant d'une transmission négligeable pour une période de dix jours (chezPogonomyrmex badius) à une saturation intégrale de la colonie en trente heures (chez certaines espèces deFormica). Le plus souvent, le miel est passé d'une ouvrière à une autre, les reines et les larves recevant très peu de miel. Une preuve indirecte suggère une transmission en chaîne au-delà des dons primaires par les ouvrières fourragères nourries à la source.


The authors wish to express their appreciation to Mr. E. W. Samuel, of the Harvard Biological Laboratories, whose expert aid and advice in the use of radioactive tracer technique made this study possible. Research was supported in part by a U. S. Public Health Service grant held by Eisner.  相似文献   

11.
Using monogynous and polygynous colonies of the fire ant, Solenopsis invicta Buren, we developed methodology to determine which behavioural subcaste of workers was responsible for executing unfamiliar queens that were introduced to them. Separation of subcastes and introduction of queens to each of these separately was partly effective, but more accurate results were obtained by removing workers that were in the act of executing queens, marking them individually, and returning them to the colony. Their subsequent behaviour was then recorded to determine whether they behaved like nurses, reserves, or foragers. The results showed that foragers are dominant in execution behaviour and that all morphological subcastes (minors, medias, and majors) are involved. This methodology may be applied to other social insect species.
Résumé A l'aide de colonies monogynes de S. invicta Buren, nous avons testé la sensibilité de deux méthodes: Premièrement, nous avons isolé les trois sous-castes temporelles des ouvrières (nurses, réserves et fourrageuses) auxquelles nous avons introduit des reines étrangères. Nous avons trouvé que les fourrageuses étaient le groupe le plus agressif, exécutant un pourcentage élevé des reines qui leur étaient présentées. Le degré de physogastrie de la reine étrangère, sa colonie d'origine et la présence de couvain n'avaient pas d'effet visible sur sa destinée. La sensibilité de cette méthode était limitée par la difficulté d'une séparation complète des souscastes temporelles.Deuxièmement, nous avons capturé des ouvrières exécutant activement des reines étrangères, après marquage nous les avons remises dans leur colonie pour observations ultérieures. Nous avons remarqué que leur localisation dans le nid et leur comportement correspondaient aux séquences trouvées pour les fourrageuses bien plus qu'à celles des ouvrières réserves ou nurses. Cette méthode est plus sensible. Des mesures de la largeur de la capsule céphalique de ces ouvrières ont montré qu'aucune des sous-caste morphologiques (mineurs, moyennes et majeurs) étaient dominantes dans le comportement d'exécution. Nos résultats indiquent que la sensibilité des ouvrières à certaines phéromones de la reine et odeur de la colonie augmente avec leur âge.
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12.
The Weibull function is shown to provide a particularly good fit for published data demonstrating the variation between individuals with respect to their susceptibility to decompression sickness. These data include the distributions of minimum bends depths for men and for goats breathing air,and that of resting pilots for aerial decompression.The correlations are shown to hold only if the vital parameter for estimating the imminence of symptoms is taken as the volume fraction of gas predicted to have separated from solution in unit volume of tissue.
Zusammenfassung Es wird gezeigt, dass die nach der Weibull-Gleichung berechneten Werte für die Variation der Empfindlichkeit von Individuen auf Caissonkrankheit besonders gut übereinstimmen mit gemessenen Werten. Diese Werte umfassen die Verteilung der minimalen Anzahl "bends" bei Menschen und Ziegen unter Luftatmung in verschiedenen Tiefen und von ruhenden Piloten bei Luftdekompression. Es wird gezeigt, dass die Korrelationen nur gültig sind,wenn als Parameter zur Bestimmung der drohenden Symptome das Gasvolumen verwendet wird,dessen Abtrennung von der Lösung in einer Volumeneinheit Gewebe vorausgesagt wird.

Resume On démontre que les valeurs des variations de la sensibilité à la décompression calculées selon la formule de Weibull correspondent très bien aux valeurs mesurées. Ces valeurs comprennent la répartition du nombre minimum de "bends" chez des hommes ou des chèvres respirant de l'air à différentes profondeurs ainsi quepour des pilotes au repos subissant une décompression.Les corrélations ne sont toutefois valables que si le paramètre principal d'estimation de l'imminence des symptômes est exprimé par le rapport entre le volume des gaz devant se séparer de la solution et le volume des tissus.
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13.
Zusammenfassung Man unterscheidet in der Organisation verschiedener Tiere folgende Kategorien von Parallelismen: 1) die Homologien, welche auf einen gemeinsamen Ursprung der betreffenden Organe hinweisen, 2) die Analogien, die als eine Folge von ähnlichen Funktionen (typische Analogie) oder der äusseren Wirkungen (Isomorphie) sekundär enstehen, 3) die Homomorphien, wodurch ich diejenigen Übereinstimmungen im Körperbau von verschiedenen Tieren bezeichne, welche auf Grund der allgemeinen Gesetze der Morphogenese zustande kommen. Das Studium der Homologien ist historischer Art, dasjenige der Homomorphien und Analogien typologischer Art.Man kann weiter unterscheiden: eine allgemeine Homomorphie, welche sich im Tierreiche überall, wo dazu günstige Bedingungen vorhanden sind, offenbart (z.B. trajektorielle Strukturen), und eine spezielle Homomorphie, welche als eine der Möglichkeiten bei einer begrenzten Anzahl von Tierformen hervortritt (z.B. die Komplexaugen neben den anderen drei Haupttypen von Sehorganen). Die Grenze zwischen diesen beiden Kategorien ist natürlich nicht sehr deutlich, ebenso wie manchmal die Grenze zwischen Homologien, Homomorphien und Analogien. Alle diese Erscheinungen beruhen letzten Endes auf morphogenetischen Gesetzen, können also als Homomorphien im weitesten Sinne des Wortes bezeichnet werden.
Sur l'homomorphie générale et spéciale
Résumé Dans l'organisation des divers animaux on peut distinguer les parallélismes suivants: 1) les homologies qui dénotent la descendance des porteurs des organes similaires d'un seul et même ancêtre, 2) les analogies qui se forment sous l'influence d'une fonction analogue ou des mêmes conditions extérieures, et 3) les homomorphies qui représentent la manifestation des propriétés fondamentales de la substance animée. Les homologies sont les phénomènes de l'ordre historique, tandis que les homomorphies et les analogies doivent être étudiées d'après une méthode typologique.Si une similitude homomorphique des formes se manifeste partout dans le règne animal ou au moins dans tous les cas où se trouvent des conditions favorables, il faut parler d'une homomorphie générale (p. ex. les structures trajectorielles). Si au contraire on observe le parallélisme seulement dans les cas isolés, comme p. ex. les yeux composés chez les Arthropodes, les Vers et les Mollusques, il faut parler de l'homomorphie spéciale. La limite entre ces deux catégories des phénomènes n'est pas très précise. De même il est difficile parfois de définir strictement si nous avons à faire à une homologie, à une analogie ou à une homomorphie. Tous ces phénomènes-là dépendent finalement des lois morphogénètiques. C'est pourquoi qu'on peut les indiquer comme des homomorphies dans le sens le plus étendu de ce mot.
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14.
Zusammenfassung Alle Formen von Leben entstanden aus der primitiven Zelle, betrachtet eher als eine Art denn als ein Individuum, welches die Fähigkeit für ununterbrochene Selbst-Teilung besass. Fortgesetzte Vermehrung der Zellen mag eins von drei verschiedenen Verfahren folgen: 1. Die zwei Zellen von jeder Teilung hervorgehend, mögen sich vollständig von einander trennen; diese Linie der Entwicklung der primitiven Zelle rief die Protozoa hervor. 2. Während die Zellen sich teilen, mögen sie mehr oder weniger unregelmässig zusammen hängen. Diese Linie rief die Porifera (Schwämme) hervor. 3. Die sich teilenden Zellen mögen regelmässig zusammenhängen, eine Blastula und eine Gastrula bildend. Die Gastrula ist fähig eine unbestimmte Anzahl von Variationen hervorzubringen, und durch diese Variationen in der Gastrula entstanden alle Tier-Typen ausser der Protozoa und der Porifera.Diese Linien der Entwicklung von der einzelnen Zelle stellen alle die physischen und geometrischen entfaltungsfähigen Möglichkeiten, denkbar im Falle von Zellen, dar, die die Kraft besitzen sich durch Selbst-Teilung zu vermehren. Da diese entfaltungsfähigen Linien einfach mechanische Antworten auf die geometrischen und physischen Eigentümlichkeiten sind, eigen der Vermehrung der sich selbst teilenden Zellen, so gibt es keine Rechtfertigung für die Annahme einer bestimmten Ordnung in ihrem Vorkommen. Es ist logischer anzunehmen, dass die primitive Zelle gleich nach ihrem Erscheinen sich nach jeder möglichen Richtung gleichzeitig entwickelte, kurz, dass alle die Haupttypen des Tierlebens gleichzeitig erschienen.Es gibt keinen Beweis gegen diese Annahme, welche in Übereinstimmung mit dem geologischen Hintergrund des Lebens ist, wie wir es verstehen; mit der Fossilien-Urkunde, wie illustriert durch Fossilien von genau vergleichbaren Umgebungen; und mit der angenommenen Nötigkeit für ein System von Kontrolle und Ausgleich zwischen den verschiedenen Typen von Leben.
Résumé Toutes les formes de la vie proviennent d'une cellule primitive unique, considérée comme espèce plutôt que comme individu, possédant le pouvoir de se multiplier par bi-partition répétée. La propagation continue de cellules peut avoir lieu de trois façons différentes: 1. Les deux cellules, après la division, peuvent se séparer complètement l'une de l'autre; cette forme de propagation de la cellule primitive a donné lieu aux Protozoaires. 2. Les cellules, en se divisant, peuvent rester liées plus ou moins irrégulièrement; cette forme de propagation caractérise les Porifères (spongiées). 3. Les cellules, en se divisant, peuvent rester liées selon un arrangement régulier, en formant une blastula et une gastrula; la gastrula peut être formée selon un infinité de modalités, et c'est à ces différences de la formation de la gastrula que sont dues toutes les espèces animales exceptés les Protozoaires et les spongiées.Ces formes de propagation de la cellule unique représentent la somme des possibilités d'arrangement permises par les lois de la géométrie et de la physique. Du moment que ces procédés de propagation sont soumis à un arrangement mécanique gouverné par des lois physiques et géométriques, il n'y a pas lieu d'admettre qu'il y ait, dans leur succession, d'ordre déterminé. Il est plus logique de supposer qu'aussitôt parue la cellule primitive se soit propager simutanément dans toutes les directions concevables, en d'autres mots que toutes les phyla animales se soient différenciées au même moment.Aucune preuve ne démont cette hypothèse qui, d'ailleurs, concorde avec les prémises géologiques de la vie telles que nous les comprenons, avec les vestiges fossilisés de couches géologiques strictément comparable, et avec la théorie qui admet l'établissement de l'équilibre entre les différentes espèces animales au moyen d'un contrôle et de limitations mutuelles.
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15.
Zusammenfassung Drohnenbrütigen Völkern können bei gleichzeitiger Zugabe einer geringen Menge von reinem Alkohol (95 Vol.-%) Königinnen zugesetzt werden. Dabei ist entgegen österreichischen Erfahrungen ein Zusatz von Morphin zum Alkohol, also ein ausPapaver somniferum hergestellter Morphinextrakt, nicht notwendig. Die betr. Völker nehmen zu jeder Jahreszeit innerhalb der Vegetationsperiode und bei jeder Witterung Königinnen jeglichen physiologischen Zustandes, begattet oder unbegattet bzw. sogar selbst drohnenbrütig, an.Unter dem Einfluss des Pheromons der zugesetzten Königin setzen sehr bald Degenerationserscheinungen in den Ovarien der Arbeiterinnen ein. Nach sechs Tagen Kontaktzeit mit der neuen Königin sind kaum noch Drohnenmütterchen vorhanden. Das Volk ist also weitgehend in den Normalzustand hinsichtlich seiner Ovarialausbildung überführt.
Summary It is possible to heal a honeybee colony containing laying workers giving a new queen-bee to such a colony simultaneously with pure alcohol (95 vol. %). These honeybee colonies accept at any season of the vegetation periode and at any meterological conditions queens in every physiological situation. Below the influence of the queens pheromon the honeybee workers are regressing to the normal situation of colony. The eggs in the laying workers ovaries are degenerating soon, after a few days.

Résumé Il est possible de ramener à l'état normal une colonie d'abeilles comprenant des ouvrières pondeuses. On introduit une reine nouvelle dans une telle colonie en même temps que de l'alcool pur (95 vol. %). Ces colonies acceptent la reine nouvelle à chaque saison de la période de végétation et dans chaque situation météorologique. Les ouvrières acceptent aussi une reine dans n'importe quelle situation physiologique. Sous l'influence de la phérormone de la reine la colonie d'abeilles revient à la situation normale. Les ufs dans les ovaries dégénèrent très vite, en peu de jours.
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16.
In the cooler portions of the six years 1961–1966, there were 22 weeks in which the night attendances for asthma at the Royal Brisbane Hospital Casualty Department were much higher than would be expected from the seasonal and annual variation, 23 weeks in which they were much lower, and 114 intermediate weeks. The high-asthma weeks differed significantly from intermediate weeks in having on the average a greater decrease from the previous week in mean and minimum temperature, dew point, relative humidity and rainfall, and a greater increase in hours of sunshine. There was a significant association with the arrival of a cold dry change. No significant difference was found with smoke density, fungal elements or pollens. In many of the individual high-asthma weeks the increase in asthma occurred within 48 hours after a definite fall in minimum temperature or dew point or both. However, in some of the weeks, particularly in spring, there had not been a cold or dry change, and many cold dry changes were not followed by an increase in asthma. The low-asthma weeks differed significantly from intermediate weeks in having on the average a higher dew point and relative humidity, more rainy days, a lower temperature range and fewer hours of sunshine. This applied particularly to autumn. In autumn and spring, rain was significantly less frequent on days with asthma attendances than on days with none. These relationships are largely the converse of those with high-asthma weeks.
Zusammenfassung Während der kühleren Jahreszeiten in 6 Jahren (1961–1966) waren 22 Wochen in denen die Anzahl der nächtlichen Einlieferungen wegen Asthma im Royal Brisbane Hospital weit höher war als die erwartete Anzahl, 23 Wochen in denen sie wesentlich geringer war, und 114 Wochen mit einer mittleren Anzahl Fälle. Die Wetterbedingungen während der Wochen mit vielen Asthmafällen waren signifikant unterschieden von denen mit mittlerer Häufigkeit. Im Mittel waren die mittlere und die Minimaltemperatur tiefer als in der vorausgegangenen Woche, es waren weniger Regen, niedrigere Luftfeuchtigkeit und mehr Stunden Sonnenschein. Es bestand eine signifikante Beziehung zu dem Eintreffen kalter trockener Luft. Dagegen bestand keine Beziehung zur Dichte der Luftverunreinigung und der Menge Pilzsporen und Pollen in der Luft. In vielen Wochen trat Asthma innerhalb 48 Stunden nach dem Fall der Temperatur und Feuchtigkeit auf. Während einiger Wochen dagegen, besonders im Frühling, lag dieser Wetterwechsel nicht vor und in vielen Fällen bewirkte der Wechsel keinen Anstieg der Asthmahäufigkeit. Während der Wochen mit niedriger Asthmahäufigkeit waren im Mittel die Feuchtigkeit erhöht, ein geringerer Temperaturwechsel, weniger Regen und weniger Sonnenscheinstunden, besonders im Herbst. Im Herbst und Frühling war signifikant weniger Regen an Tagen mit als an Tagen ohne Asthmameldungen. Diese Beziehungen waren weitgehend umgekehrt von denen in Wochen mit hoher Asthmahäufigkeit.

Resume Des statistiques de la permanence du "Royal Brisbane Hospital" il appert que durant les périodes froides des années 1961 à 1966, on a dénombré 22 semaines pendant lesquelles, la nuit, les entrées d'urgence causées par des crises d'asthme furent beaucoup plus nombreuses que ne le laissaient supposer les variations saisonnières et annuelles. Durant les mêmes laps de temps, on en a décompté 23 pendant lesquelles les crises nocturnes d'asthme étaient moins fréquentes et 114 qui occupent une position intermédiaire. Les semaines à haute fréquence d'asthme présentent des moyennes de température, des minimums journaliers, des points de rosée, des humidités relatives et des précipitations inférieurs et une durée d'insolation supérieure à la normale et cela de façon significative. On a pu déceler une relation significative entre les crises d'asthme et des invasions d'air froid et sec. On n'a par contre pas pu déceler de différences en ce qui concerne le taux de fumée ou le nombre de spores et de grains de pollen. Dans bon nombre de semaines avec de hautes fréquences d'asthme, le déclenchement des crises se produit 48 heures après la chute du minimum de la température ou du point de rosee, voire des 2 ensemble. Pourtant, quelques unes de ces semaines — au printemps surtout — n'ont pas connu d'invasion d'air froid et sec et de nombreuses invasions de ce type ne furent pas suivies d'une augmentation du nombre de crises. Les semaines de faible fréquence se distinguent de façon significative de la classe intermédiaire en ce sens qu'elles présentent en moyenne des points de rosée et une humidité plus élevés, plus de jours avec précipitations, une température plus basse et moins d'heures d'insolation. Ceci est valable surtout en automne. En automne et au printemps, la pluie fut moins fréquente les jours où l'on note des crises d'asthme qu'à ceux où il n'y en a pas. Cette relation est en général inverse à celle que l'on rencontre durant les semaines à haute fréquence de crises d'asthme.
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17.
Summary and conclusions Mutillid parasites,Pseudomethoca frigida (Smith), were frequently found in a nest aggregation ofLasioglossum zephyrum (Smith), and were observed in combat with the bees, thereby indicating their importance (and that of parasites and predators in general) in the evolution of nest guarding and supporting Michener's hypothesis that one of the important factors in the evolution of social behavior was the opportunity for defense by guards in nests containing more than one bee. Nesting aggregations may have evolved in several ways, one being selection of bees nesting in areas already proven successful. Such selection might be expected where subtle environmental differences are critical, and may take the form of return to the parental nest sites or joining some other nest aggregation. Aggregation probably increases parasite and predator pressure, thus perhaps providing the necessary selective pressure for colony formation with nest guarding, as well as providing the potentiality for colony formation by allowing females to enter different nests. The seemingly greater success in nest defense by larger colonies suggests that this is one of of the factors responsible for the evolution of increased colony size. The behavior of the bees in nest defense and of their mutillid parasites is described.
Zusammenfassung Die parasitische Mutillide,Pseudomethoca frigida (Smith), wurde mehrfach in den Kolonien vonLasioglossum zephyrum (Smith), beobachtet, als sie in Kämpfe mit diesen Bienen verwickelt war. Die einschlägigen Beobachtungen weisen auf die Wichtigkeit dieser, als auch anderer Parasiten und Räuber in der Evolution des Wächterwesens innerhalb der Bienen hin, indem sie Hypothese vonMichener unterstutzen, die besagt, dass einer der grundlegenden Faktoren fur die Entwicklung sozialen Verhaltens die Möglichkeit war ein Nest durch Wächter verteidigen zu können. Dies ist natürlich nur dann der Fall, wenn mehr als eine Biene im Nest vorhanden ist. Nisten im Verband, d. h. Nest-Ansammlung mögen sich auf verschiedenen Wegen entwickelt haben. Einer davon war die Selektion von Bienen, die immer bereits «erprobte» Nistplatze zum Nesten benützen. Eine derartige Selektion kann in solchen Fällen erwartet weredn, in denen geringfügige Unterschiede in den Umweltfaktoren für das Nisten entscheidend sind. Diese Selektion mag dann zur Rückehr zu den Geburtsplätzen oder zum Nesten in fremden Kolonierverbänden führen. Die Nester in Kolonierverbänden sind sicherlich Parasiten und Räubern erhöht ausgesetzt. Der entsprechende Selektiondruck mag dann nicht nur zur Formung von Kolonie mit einem organisierten Waechterwesen geführt haben, sondern auch die Möglichkeit mit eingeschlossen haben, dass die Bienenweibchen auch benachbarte Nester besuchen können. Der augenscheinlich grössere Erfolg in der Nestverteidigung im Falle von grösseren Kolonien weist darauf hin dass der erstere einer der Faktoren ist, die für die Evolution von grösseren Nestansammlungen ausschlaggebend sind.Das Verhalten der verteidigenden Bienen und das ihrer parasitischen Multilliden ist beschrieben.

Résumé Des parasites mutillides ont été souvent trouvés dans une agglomération de nids deLasioglossum zephyrum (Smith) et ont été observés en train de combattre les abeilles, ce qui permet de souligner leur importance (et celle des parasites et des prédateurs en général) dans l'évolution de la garde du nid et qui confirme l'hypothèse deMichener, selon laquelle un des facteurs importants dans l'évolution du comportement social est la possibilité de défense par des gardes dans les nids contenant un nombre d'abeilles supérieur à un.Les agglomérations de nids peuvent avoir évolué de différentes manières, l'une étant le choix de sites dans les aires, qui se sont déjà révélées propices. Une telle sélection peut être attendue là où des différences subtiles dans le milieu sont décisives. Elle peut prendre la forme d'un retour aux sites de nidification des parents ou le choix de n'importe quelle autre agglomération. Il est probable que l'agglomération augmente le nombre des parasites et des prédateurs et, par le fait même, procure peut-être la pression sélective nécessaire pour la formation de colonies avec gardiennage du nid. De même, l'agglomération procure aussi la possibilité de formation de colonies en donnant aux femelles l'occasion d'entrer dans différents nids. Le plus grand succès apparent dans la défense du nid par les colonies de plus grande taille suggère qu'il s'agit d'un des facteurs responsables de l'évolution de la colonie vers une augmentation.Le comportement des abeilles durant la défense du nid et celui de leurs parasites est décrit.


I am indebted to Dr.C. D. Michener of The University of Kansas for constructive criticism of this paper. I wish to thank him also for identification of the bee and Dr. ClaranceMickel of the University of Arizona for identification of the mutillid.  相似文献   

18.
Summary In 367 examinations of healthy honeybee colonies during each of the months September to March inclusive, conducted over 7 years, the quantities of brood present and the quantities of pollen in the combs were determined. The brood minimum occurred in October, when brood was present in only 14% of colonies, while throughout the period of wintering the quantity of pollen per colony averaged only 3 oz. In colonies which had been queenright, quantities of pollen stored in capped cells were negligible in comparison with quantities in open cells. It is suggested that bees may have come to winter practically without protein as a result of natural selection.
Zusammenfassung iN 367 Untersuchungen gesunder Bienenvölker während der Monate September bis Ende März über eine Periode von 7 Jahren wurde die Menge anwesender Brut und Pollens in den Waben festgestellt. Die Brutmenge war am niedrigsten im Oktober mit nur 14% aller Völker, während der Durchschnitt der Pollenmenge per Volk während der Winterungszeit nur 85 gr betrug. In Stämmen mit einer Königin war die Menge des in Waben verkapselten Pollens minimal im Vergleich zu der in unverkapselten Zellen. Es wurde vorgeschlagen, daß Bienen als Resultat nat ürlicher Auslese fast ohne Eiweiß überwintern.

Résumé On a déterminé les quantités de couvain et de pollen dans les rayons de 367 colonies saines examinées de septembre à mars durant sept ans. Quand le couvain était présent dans 14 p. 100 des colonies avec un minimum en octobre, la quantité de pollen par colonie pendant l'hivernage avoisinait 85 grammes en moyenne. Dans les colonies possédant une reine, la quantité de pollen accumulée en alvéoles fermées était négligeable par rapport à celle accumuée en alvéoles ouvertes. L'auteur suggère que la sélection naturelle peut expliquer le fait que les abeilles puissent passer l'hiver pratiquement sans protéines.
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19.
Summary With two combs and one or a small number of workers it was found that the comb itself without brood was less attractive than a comb with cocoon caps or larvae, but single workers were equally attracted to combs with a large or small number of larvae, or queen or non-queen larvae. A worker walked at random when off a comb and tended, when on a comb, to stay with the first group of larvae that it found.Observations in the field showed that adults formed a group at night at the bottom of the nest.Records from six observation nests of whole or almost whole colonies have been collected over a period of three years. In all cases a dominant comb, which carried a larger percentage of the workers than any other comb and usually the queen if present, was soon established. The dominant comb always contained brood, was nearest or one of the combs nearest the entrance, received most foragers, and workers grouped on it more frequently than other combs.The grouping behaviour of workers on a comb can be related to background temperature and caused comb temperature to increase to 29° C–32.5° C.The worker attention a larva received increased as the number of workers on its comb increased.Reasons for and the consequences of grouping behaviour, the appearance of a dominant comb and the position of the latter in the nest, are discussed.
Résumé Au cas où il y a deux rayons et soit un seul, soit un petit nombre d'ouvrières, on constate que le rayon sans couvain attire moins les ouvrières que celui operculé (cocons ou larves). Pour ce qui est d'un petit nombre ou d'un grand nombre de larves, ou encore des larves de reines ou de non-reines, l'attraction est égale pour chaque ouvrière. L'ouvrière ne se trouvant pas sur le rayon se déplace au hasard. De plus, quand elle est sur un rayon elle a tendance à rester avec le premier groupe de larves qu'elle trouve.L'examen des observations effectuées sur le terrain montre que les adultes se groupent la nuit, au fond du nid.Six nids, contenant des colonies entières ou presque entières, ont fait l'objet de plusieurs observations pendant une période de trois ans. Durant la même période, les résultats ont été enregistrés. Dans tous les cas, un rayon dominant s'est établi dans un bref délai. Ce rayon avait un plus grand pourcentage d'ouvrières que tout autre, et comportait généralement la reine. Le rayon dominant contenait toujours du couvain; il se trouvait le plus près de l'entrée du nid (ou bien était parmi les plus près); il recevait le plus grand nombre de butineuses, et des ouvrières s'y groupaient plus fréquemment que sur d'autres rayons.Il est possible d'établir un rapport entre le comportement des ouvrières lorsqu'elles se groupent sur un rayon, et la température ambiante. En effet, ce comportement a entrainé une hausse allant jusqu'à 29° C–32,5° C sur le rayon.L'attention que prêtait une ouvrière à la larve augmentait à mesure que le nombre d'ouvrières sur son rayon augmentait.On traite dans cet article du comportement observé lors d'un groupement, les raisons et les conséquences; ainsi que de l'apparition d'un, rayon dominant et de la position de celui-ci dans le nid.
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20.
Summary Information on flight periods and times of flight ofCubitermes ugandensis and ofC. testaceus in eastern Uganda is reviewed. All work was done in the laboratory with the exception of a few field observations on flight. Alates removed from the mound were negatively phototactic and gregarious. These characteristics were reversed by use of the wings. Alates would fly only if free of contact with other termites of the colony and in the presence of light. Observations were made on the flight activity ofC. ugandensis in connection with light intensity. Wing shedding in both species was stimulated by pairing or attempted pairing but, inC. ugandensis at least, was not dependent on such stimulation. Wing shedding was followed by indifference to light. Artificial wing removal demonstrated that inC. ugandensis the connection between loss of wings and loss of positive phototaxis was not a direct one. The method of wing shedding is discussed. Females of both spp. did not generally take up the calling attitude until they had paired with, and lost, a male. In the absence of males,C. ugandensis females would run actively for many minutes after wing shedding, after which the calling attitude was taken up between further periods of active running. An apparent defence mechanism against small predators, used byC. ugandensis females in the calling attitude, was noted. The presence of wings did not inhibit pairing in either species. Male tandems were frequent but nearly always very inconstant. Female tandems were not seen and no female was seen to follow a male. Tandems showed no positive geotaxis and remained indifferent to light.C. ugandensis females tended to climb up and down for some minutes after pairing. Thigmotaxis proved important in nest site selection by both species. Burrowing appeared to be dependent on external factors and not part of a behaviour pattern. Gregariousness returned with selection of the nest site but definite photonegative behaviour was not seen until the pairs were installed in cells. The plasticity of post-flight behaviour is discussed.
Zusammenfassung Die Arbeit berichtet über jahreszeitliche und tägliche Flugperioden vonCubitermes ugandensis und vonC. testaceus in Ost-Uganda. Die Untersuchungen wurden fast vollständig im Laboratorium ausgeführt. Geflügelte aus dem Nest genommen waren negativ phototactisch und hielten sich zusammen. Diese Eigenschaften wurden durch den Gebrauch der Flügel ins Gegenteil umgewandelt. Geflügelte flogen nur wenn sie nicht in Gesellschaft mit anderen Termiten des Baues und dem Lichte ausgesetzt waren. Beobachtungen wurden angestellt über Lichtintensität und die Flugfähigkeit vonC. ugandensis. Abwerfen der Flügel wurde in beiden Arten durch Paarung oder Paarungsversuche gefördert, hing aber, zum mindesten inC. ugandensis nicht von solcher Förderung ab. Auf das Abwerfen der Flügel folgte Gleichgültigkeit gegenüber Licht. Künstliche Entfernung der Flügel zeigte, dass beiC. ugandensis der Zusammenhang zwischen Flügelverlust und Verlust positives Phototaxis nicht direkt ist. Der Vorgang des Abwerfens der Flugel wird erörtert. Weibchen beider Arten nehmen im allgemeinen keine Lockstellung ein, bevor sie sich mit einem Männchen gepaart und es verloren hatten. Wenn Männchen fehlen, laufen Weibchen vonC. ugandensis nach Abwerfen der Flügel viele Minuten lebhaft herum, woraufhim zwischen weiteren Perioden lebhaften Laufens die Lockstellung eingenommen wurde. Eine mutmassliche Verteidungsmethode wenn im Lockstellung von Weibchen desC. ugandensis gegen Raubinsekten wurde beobachtet. Das Vorhandensein der Flügel behinderte Paarung in beiden Arten nicht. Männliche Tandems waren häufig, dauerten aber fast nie länger. Weibliche Tandems waren nicht zur Beobachtung, und es wurde nie beobachtet, dass ein Weibchen einem Männchen nachlief. Tandems zeigten keine positives Geotaxis und blieben gleichgültig gegenüber dem Licht. Weibchen vonC. ugandensis pflegten einige Minuten nach der Paarung auf- und abzuklettern. Thigmotaxis, war ein wichtiger Faktor bei beiden Arten in der Wahl eines Platzes für das Nest. Graben scheint von äusseren Faktoren abzuhängen und nicht Teil des Trieblebens zu sein. Der Trieb zur Vergesellschaftung kam mit der Wahl eines Platzes für das Nest wieder, aber deutliche photonegativen Verhalten wurde erst beobachtet, wenn die Paare sich in Zellen eingelebt hatten. Die Plastizität des Verhaltens nach dem Flug wird erörtert.

Résumé Des renseignements sont présentés sur les périodes et les heures de vol deCubitermes ugandensis etC. testaceus en Ouganda oriental. Presque tout le travail s'est effectué au laboratoire. Les ailés retirés du monticule étaient grégaires et négativement phototactiques. L'emploi des ailes renversa ces caractères. Les ailés nevolaient que s'ils étaient hors de contact avec d'autres termites de la colonie et dans la lumière. Des observations ont été faites sur l'intensité de la lumière et l'activité de vol chezC. ugandensis. La pariade ou un essai de pariade stimula l'amputation des ailes chez les deux espèces, mais, du moins chezC. ugandensis, cette stimulation n'était pas obligatoire. Après l'amputation des ailes, les adultes se montraient indifférents à la lumière. Par l'enlèvement artificiel des ailes, on a démontré que le rapport entre la perte des ailes et la perte de la phototaxie positive chezC. ugandensis n'est pas direct. Il y a une discussion des moyens utilisé par les, adultes pour perdre leurs ailes. En général, chez les deux espèces, les femelles n'adoptaient la posture d'appel que lorsqu'elles s'étaient accouplées avec un mâle et l'avaient perdu. En l'absence des mâles, les femelles deC. ugandensis couraient activement pendant plusieurs minutes après l'amputation de leurs ailes, puis prenaient la posture d'appel entre d'autres périodes de déplacement rapide. On nota l'emploi par les femelles deC. ugandensis dans la posture d'appel de ce qui paraissait être un mécanisme défensif contre les petits prédateurs. La présence des ailes n'empêcha pas la pariade chez l'une ou l'autre espèce. Des tandems mâles se voyaient souvent, mais ils étaient presque toujours instables. On n'a vu ni de tandems femelles ni une femelle derrière un mâle. Les tandems ne montraient aucune géotaxie positive et restaient indifférents à la lumière. Les femelles deC. ugandensis tendaient à grimper et redescendre pendant quelques minutes après la pariade. La thigmotaxie était importante dans le choix de l'emplacement du nid chez les deux espèces. Le creusement paraissait dépendre de facteurs extérieurs et ne pas faire partie d'un schéma de comportement. Une fois l'emplacement du nid choisi, les couples redevenaient grégaires, mais ils ne se montraient absolument photonégatifs que lorsqu'ils s'étaient installés dans des cellules. Il y a une discussion sur la plasticité du comportement après le vol.
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