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1.
Laboratory-reared and wild-collected adult female Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata Wiedemann, were exposed to two host fruit species, sweet orange (Citrus sinensis L.) and mock orange (Murraya paniculata Jack: Rutaceae). The effect of experience with a fruit species on acceptance of these fruit species (i.e., learning) differed between lab and wild females, but only for flies that were exposed to mock orange. Similar differences in fruit acceptance between lab and wild females were observed when individuals experienced with one fruit species were exposed to the other fruit species (i.e., switching). Finally, when each group was exposed to sweet orange, wild flies subsequently deprived of host fruit retained the effect of exposure on acceptance of mock orange 1 day longer than did lab flies subsequently deprived of host fruit. An hypothesis is presented by which selection under artificial culture gave rise to these differences.
Résumé Des Ceratitis capitata femelles, élevées au laboratoire ou obtenues dans la nature à partir d'Eriobotrya japonica, ont été mises en présence de Citrus sinensis et de Murraya paniculata. L'effet de l'accoutumance à une espèce de fruit sur l'acceptation ultérieure des fruits d'une espèce déterminée (c'est-à-dire l'apprentissage) n'était pas le même pour les mouches sauvages et pour les mouches de laboratoire accoutumées à M. paniculata. Les mouches sauvages accoutumées à M. paniculata tentent de pondre dans C. sinensis beaucoup moins fréquemment que dans M. paniculata. Par contre, les mouches de laboratoire accoutumées à M. paniculata tentent de pondre dans M. paniculata aussi souvent que dans C. sinensis. Des différences du même type entre mouches sauvages et mouches du laboratoire ont été observées quand les individus mis en expérience avec une espèce de fruit ont été ensuite exposés à l'autre espèce, c'est-à-dire lors de réapprentissage. L'acceptation finale par les mouches de laboratoire dépend un peu plus de l'exposition à C. sinensis et un peu moins à celle de M. paniculata que lors de l'acceptation finale par des mouches sauvages. Enfin, des mouches sauvages accoutumées à C. sinensis et privées de leurs fruits, conservent un jour de plus l'effet de l'accoutumance, lors de l'acceptation de M. paniculata, que les mouches de laboratoire placées dans les mêmes conditions.Nous émettons l'hypothèse qu'une sélection due aux conditions d'élevage est à l'origine de ces différences. L'élevage dans de grandes bouteilles de polyéthylène peut sélectionner des mouches qui apprennent plus difficilement en présence de petits fruits comme M. paniculata et qui conservent l'influence de l'expérience pendant un temps plus bref.
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2.
Casual observations suggested that female Mediterranean fruit flies (Ceratitis capitata Wiedemann) exploit fruit wounds (including pre-existing oviposition punctures) as oviposition sites. This behaviour was quantified under field conditions in a citrus grove on the Greek island of Chios. Fruit wounds influenced oviposition behaviour in three ways. First, females were more likely to land on oranges (Citrus sinensis) that were artificially wounded than into unwounded control oranges. Second, having landed, females were more likely to attempt oviposition into a wounded orange than into control oranges. Third, females that attempted oviposition into wounded oranges usually did so directly into or very near the wound. The diameter and depth of the wound significantly influenced the tendency for female flies to land on a fruit but not their propensity, having landed, to attempt oviposition in or near the wound. The significance of this behavior in nature and implications for management of the Mediterranean fruit fly are discussed.
Résumé Des observations fortuites nous ont suggéré que C. capitata Weidemann utilise les blessures des fruits, y compris d'anciennes piqûres de ponte, pour déposer ses oeufs. Ce comportement a été quantifié dans une orangeraie de l'île grecque de Chios. Les blessures des fruits influent sur la ponte de 3 façons. D'abord, les femelles atterissent plus fréquemment sur les oranges, Citrus sinensis, artificiellement blessées que sur les fruits intacts. Ensuite, après atterrissage, les femelles tentent plus souvent de pondre sur une orange blessée que sur des oranges intactes. Enfin, les femelles pondent directement dans la blessure ou à proximité. Le diamètre et la profondeur de la blessure influent sur la tendance à l'atterrissage, mais non sur les tentatives de ponte dans la blessure ou près d'elle. La signification de ce comportement dans la nature et ses conséquences sur la lutte contre C. capitata sont discutées.
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3.
Fluorescent orange sticky traps (15×20 cm) reflecting maximally at 590 nm captured significantly more Caribbean fruit flies than nonfluorescent orange traps. Fluorescent traps with reflectance peaks at 510 and 610 nm also tended to capture more flies than the plain orange traps. Fly capture rates were directly related to the proportion of total light reflected in the 580–590 nm region and to the intensity of light of this hue. The fluorescent orange paint combined these features (optimal hue and high-intensity emission). A disproportionate number of the captured flies were females (70%), as only ca. 50% of the adults reared from field-infested fruit were females. Most (80%) of the captured females were reproductively mature. These data support previous indications that responses to orange panels represent fruit-seeking rather than foliage-seeking behavior. The relevance of these findings is discussed in relation to fruit fly detection programs.
Résumé Des pièges adhésifs (15×20 cm) fluorescents de coloration orange, dont la réflexion maximale se situe à 590 nm, capturent significativement plus de cette mouche des fruits (Anastrepha suspensa) que des pièges oranges non fluorescents. Des pièges fluorescents avec maxima de lumière réfléchie à 510 et 610 nm tendent aussi à capturer plus de mouches que des pièges oranges simples. Les taux de capture de mouches sont en relation directe avec la proportion de lumière totale réfléchie dans la région spectrale 580–590 nm et avec l'intensité lumineuse dans cette longueur d'onde. La peinture fluorescente orange combine ces deux avantages (couleur optimale et émission de forte intensité). Un nombre disproportionné des mouches capturées sont des femelles (70%) alors que seulement 50% environ des mouches issues de fruits naturellement infestés sont des femelles. La majorité (80%) des femelles capturées étaient génitalement mûres. Ces divers faits sont en accord avec les données antérieures établissant que les réponses aux panneaux oranges correspondent à un comportement de recherche de fruits plutôt que de recherche de feuillage. La valeur de ces observations est discutée en relation avec les programmes d'avertissements relatifs à la mouche des fruits.
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4.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
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5.
Previous foraging studies of individual Rhagoletis flies predict a positive relationship between the density of host fruits and probability of fruit infestation. This study examines how fruit density and other traits influence the distribution of Rhagoletis indifferens Curran larvae in an abandoned orchard. In 1986, when the level of fruit infestation was high, both the number of larvae/fruit and the percentage of fruits attacked were independent of fruit density at all spatial scales examined (among trees, within trees, or among fruit clusters). In 1987, when the level of fruit infestation was low and fruits were sampled throughout the season, the number of larvae/fruit was either independent of fruit density or, contrary to prediction, was inversely dependent on fruit density and tree size. In fruit-parasitic insects, as in many parasitoids, population-level responses to spatial variation in host density may be difficult to predict from analyses of individual behavior.
Résumé Des études précédentes sur Rhagoletis avaient suggéré que différentes caractéristiques de la plant-hôte,-densité des fruits, taille de la plante, présence de phéromones de marquage, etc.-, influençaient la prospection par les femelles gravides. Ce travail examine si ces caractéristiques sont utilisables pour prévoir la distribution des larves de R. indifferens dans un verger abandonné; par exemple, si une prospection concentrée dans les zones de forte densité de fruits entraîne une relation positive entre densité des hôtes et intensité des contaminations.En 1986, le niveau d'attaque était élevé: 89% des fruits examinés contenaient au moins une larve. Tant le nombre de larves par fruit que le pourcentage des fruits attaqués étaient indépendants de la densité des fruits et de l'échelle spatiale utilisée: entre les arbres, dans l'arbre, parmi le paquet de fruits. L'abondance de larves n'était pas plus liée à la taille de l'arbre, qu'à son aspect ou à sa position dans le verger. En 1987, quand l'attaque a été faible (<60% des fruits attaqués), l'échantillonnage des fruits pendant toute la saison a donné un nombre de larves par fruit, soit indépendant de la densité de fruits, soit, à l'opposé de nos prévisions, inversement dépendant de la taille de l'arbre et de sa densité en fruits. Bien que des infections multiples de fruits aient été fréquentes (17% des fruits contenaient de une à cinq larves), les larves étaient clairement distribuées uniformément parmi les fruits de l'arbre, probablement par suite de la présence de phéromones de marquage déposées après la ponte. Les mouches peuvent déceler lors de leur ponte la présence de larves d'autres espèces dans le fruit; la distribution des asticots est en relation négative avec celles des chenilles qui entrent plus tôt dans les fruits.Chez les insectes des fruits, comme chez de nombreux parasitoïdes, les réponses des populations aux variations spatiales de la densité de l'hôte peuvent difficilement être déduites de l'analyse du comportement individuel.
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6.
The oviposition response of Cryptophlebia leucotreta (Meyrick) (Lepidoptera: Tortricidae) to healthy navel and Valencia orange, Citrus sinensis (L.), fruit was measured in experimental orchards at Nelspruit, eastern Transvaal, South Africa, and was compared with the response to prematurely ripened fruit and injured fruit. Both premature ripening and injury increased the number of eggs laid on these fruit. Damaged fruit was almost twice as attractive as ripe fruit if the number of eggs laid can be used as a measure of attraction. Large wounds were no more stimulating than small lesions. The quantity of stimulus was not statistically significant, yet five or ten treated fruit in a cluster led to more egg-laying per fruit than a single treated fruit. More eggs were observed on healthy fruit within 50 cm of clusters of treated fruit than on healthy fruit on different trees, but this effect was not statistically significant.
Résumé La ponte de c. leucotreta Meyrick (Lep.; Tortricidae) sur oranges (Navel et Valencia) saines a été évaluée dans des vergers expérimentaux de Nelspruit à l'est du Transvaal, en Afrique du Sud. Elle a été comparée à la ponte observée sur des fruits prématurés ou endommagés. Ces deux dernières situations ont augmenté l'effectif d'ufs pondus sur les fruits; si le nombre d'ufs pondus est utilisé comme critère d'attraction, les fruits endommagés étaient presque deux fois plus attractifs que les autres. La taille des blessures est sans effet. Des fruits ont été artificiellement endommagés ou conduits prématurément à maturité avec un badigeon d'acide 2-chloréthylphos-phorique. Ces stimului n'ont pas eu d'effet cumulatif significatif; pourtant la ponte était plus importante sur des paquets de 5 ou 10 fruits artificiellement modifiés, que sur des fruits modifiés isolés. Une ponte plus importante a été observée sur des fruits sains à moins de 50 cm d'un groupe de fruits modifiés. Il est probable que des signaux visuels et olfactifs orientent la découverte du fruit par la tordeuse. Ces résultats suggèrent que les substances volatiles ont plus d'influence que la couleur ou la taille du fruit.La protection contre cet insecte devrait comprendre l'élimination des fruits mûris prématurément ou abîmés, mais il faudrait préciser si les fruits endommagés sont ou non découverts par hasard. La concentration des pontes sur et autour de ces fruits peut aussi réduire les pontes dans le reste du verger.
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7.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
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8.
Batches of wild-caught adult females of Glossina palpalis palpalis R.-D. were treated topically (0.36 l per fly) with different doses of 14 chemical insecticides in acetone and subsequent abortion (if any) and death of each fly were recorded. Control flies received acetone alone. No fly was fed after treatment. Abortion rates of treated fly-batches and the corresponding control batch were compared by Fisher's exact test. The rate of abortion for 274 control flies rose from 1.1% on day 1 to 6.3% on day 5, then declined to the last abortions on day 9. The increase of rate probably resulted from increasing period of starvation. Significantly increased rates of abortion of eggs or immature larvae, compared with the control, were only found with high doses of fenitrothion, propoxur, permethrin and dieldrin and with various doses of sumithrin, sumicidin and deltamethrin. Abortion was most frequent for the last three; synthetic pyrethroids. All significant rates were for rapid abortion, within 24 h after treatment, and many abortions for sumithrin, sumicidin and deltamethrin were within 60 min Pyrethroid-treated flies frequently showed rapid and prolonged knock-down. Especially for pyrethroids, many aborted eggs or larvae were covered with white, sticky fluid. It is suggested that insecticides caused high rates of abortion by general relaxation of maternal muscles, thus opening the vaginal sphincter, smoothing the uterine wall and allowing accumulated milk gland secretions to flow into the uterus. This reduced friction between contents and the uterine wall and the egg or larva escaped passively through the vaginal aperture.
Résumé Les femelles de G. palpalis palpalis provenaient de captures de populations sauvages près d'Abuja au Nigéria. Les lots de mouches ont reçu des applications locales (0,36 l par mouche) de 14 insecticides chimiques à différentes doses. L'émission d'un oeuf ou d'une larve immature était considérée comme un avortement. Les témoins ont reçu de l'acétone. Les mouches n'ont pas été alimentées après traitement. Les résultats des différents lots ont été comparés par le test de Fisher. Pour 274 mouches traitées à l'acétone, le taux d'avortement croît de 1,1% le ler jour à 6,3% le 5e jour pour diminuer jusqu'au taux final le 9e jour, qui n'excède pas le taux naturel de 7%. On peut penser que le taux croissant est dû à la prolongation du jeûne et que l'acétone n'est pas un abortif. Les avortements se sont produits chez les mouches qui ont reçu chacun des 14 insecticides, les taux variant avec les doses, et pour la plupart des insecticides, augmentant avecle le temps depuis le traitement. Les taux d'avortement étaient particulièrement augmentés pour les lots traités avec des doses élevées de fénitrothion. propoxur ou perméthrine, et étaient très significativement augmentés chez ceux traités avec des doses très élevées de dieldrine ou différentes doses de sumithrine, sumicidine ou deltaméthrine: tous ces taux élevés étaient enrigstrés dans le jour après le traitement.Les avortements étaient particulièrement rapides, dans les 60 minutes, pour la sumithrine, la sumicidine et la delthaméthrine. Aucune mouche traitée à l'acétone ou à l'un des 11 autres produits n'a avorté dans les 60 minutes. Beaucoup de mouches traitées aux pyréthroïdes ont présenté un effrondement rapide et prolongé, suivant la dose. Beaucoup d'oeufs et de larves avortés après traitement aux pyréthroïdes étaient couverts d'un fluide blanc et visqueux. On peut estimer que les insecticides ont provoqué l'avortement par relâchement des muscles maternels, permettant l'ouverture du vagin, le déridement de la paroi utérine et la décharge dans l'utérus des secrétions de lait accumulées dans les glandes. Ceci a réduit la friction entre les parois de l'utérus et son contenu (oeuf ou larve) qui glissait à travers l'ouverture du vagin. Il est peu vraisemblable que les avortements induits par les insecticides puissent réduire les populations pendant les traitements.
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9.
Populations of Glossina pallidipes from opposite ends of the species range were studied in the laboratory. Flies from Uganda had a higher reproductive rate than flies from Zimbabwe but produced slightly smaller offspring. The Zimbabwe flies were noticeably less willing to mate than those from Uganda under identical conditions but cross-breeding experiments resulted in similar reproductive rates regardless of the origin of the sexes; unwillingness to mate could not be attributed to one or other sex of the Zimbabwe flies. The F1 male hybrids showed normal fertility when back-crossed to females of maternal origin. Hence there is no indication that speciation has occurred. The flies from Zimbabwe possess supernumerary (B) chromosomes which are absent from the Uganda population. C-banding techniques showed the presence of a heavilybanded Y-chromosome in the Uganda flies while that of the Zimbabwe flies was featureless. The origin of the male parent in hybrids was clearly identifiable from an examination of the Y-chromosome while supernumeraries were present in the offspring from both crosses but in smaller numbers than in the Zimbabwe parents. The possession of supernumerary chromosomes is discussed in relation to the fitness of a population within a particular natural or laboratory environment.
Résumé Des populations de Glossina pallidipes des extrémités opposées de l'aire de l'espèce ont été examinées au laboratoire. Les mouches de l'Ouganda ont un taux de reproduction plus élevé que celles du Zimbabwe, mais produisent des descendants légèrement plus petits. En conditions identiques, les mouches du Zimbabwe sont nettement moins disposées à s'accoupler que celles de l'Ouganda, mais les expériences de croisements donnent les mêmes taux de reproduction quelle que soit l'origine des sexes; le peu d'ardeur à l'accouplement ne peut être attribué à l'un ou l'autre sexe des mouches du Zimbabwe. Les mâles hybrides de F1 sont totalement fertiles quand ils sont croisés en retour avec des femelles d'origine maternelle. Ainsi il n'y a aucun indice de subspéciation en cours. Les mouches du Zimbabwe ont un chromosome surnuméraire (B) absent de la population de l'Ouganda. Les techniques de banding C ont révélé la présence d'une bande très nette sur le chromosome Y des mouches de l'Ouganda, tandis que celles du Zimbabwe ne présentent pas ce caractère. L'origine du parent mâle des hybrides est facilement identifiable par examen du chromosome Y; par contre les chromosomes surnuméraires sont présents chez les descendants des deux types de croisements, mais en plus petit nombre que chez les parents du Zimbabwe. La possession de chromosomes surnuméraires est discutée en relation avec l'adaptabilité d'une population dans un habitat naturel particulier ou au laboratoire.
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10.
Many larvae from wild-caught female Glossina palpalis palpalis R.-D. treated topically with dieldrin or sumicidin or sumithrin or permethrin failed to pupariate and many larvae from mothers treated with sumicidin or sumithrin or neopynamin formed small or malformed puparia which failed to eclode. Puparia produced soon after maternal handling often did not emerge and many produced by flies starved more than 3 days also did not emerge. Very many puparia from dieldrin-treated mothers failed to emerge and non-emergence was common for puparia from flies treated with endosulfan or sumithrin or deltamethrin. Non-emerging puparia were produced soon after pyrethroid-treatment, probably due to effects on larval integumentand muscles, but were produced later after organochlorine-treatment, due to ingestion of insecticide by larvae while in utero.
Résumé Les expériences ont porté sur des femelles sauvages de Glossina palpalis palpalis R.D. capturées dans la nature. Les comparaisons ont porté sur l'état et les performances de lots de pupes provenant de mouches non-traitées et de larves mûres traitées localement avec de l'acétone (témoin) ou avec 14 insecticides différents.Toutes les larves témoin se sont nymphosées, mais le taux d'échec augmentait avec la diéldrine, la sumicidine, la sumithrine et la permethrine. Les pupes anormales (petites ou déformées) étaient plus nombreuses dans le lot témoin que dans le lot non-traité, et les fréquences étaient plus élevées que chez le témoin avec la sumidicine, la sumithrine et la néopynamine.Seulement 3 mouches sont issues de 107 pupes anormales; il n'y a eu aucune éclosion pour 28% des pupes du lot témoin contre 15% pour le lot non-traité. Pour le témoin le taux d'émergence était faible dans les pupes formées le premier jour (jour du traitement), par suite de la manipulation maternelle; il n'a pas augmenté jours 2 et 3, mais a diminué par la suite à cause du jeûne in utero. Les doses élevées de tous les insecticides réduisent plus les émergences que les doses faibles. Les organophosphates et le propoxur ne limitent pas les émergences, mais elles sont réduites par l'endosulfane, la sumithrine et la deltaméthrine, et très fortement par la diéldrine. Les pupes stériles ont été surtout formées dès le traitement aux pyréthroïdes (jour 1); et surtout plus tard (jours 2 et 3) lors des traitements aux organochlorés. L'ingestion par la larve in utero de grandes quantités d'insecticides pendant les 3 jours précédant la parturition était la principale cause de mortalité, et aussi de la forte tolérance aux organochlorés des femelles prégnantes. Les effets de pyréthroïdes sur l'activité musculaire réduisent aussi les émergences.Aucune mouche ne s'est alimentée après les traitements.
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11.
Rates of dispersal of adult Dacus oleae Gmel. were measured on Corfu during June and early July using grids of McPhail traps. When released into an area with no new season fruit crop the mean distance travelled by the flies was over 400 m during the first 7 days. When released at an earlier stage into an olive grove with 30% of trees bearing a fruit crop estimated dispersal rates were lower (approx. 180 m in 7 days). These results indicate that adults which emerge in late May and June in areas with no new season fruit crop, which is a common situation because of the biannual fruiting cycle of the olive tree, start to disperse immediately despite the hot dry conditions and immaturity of the fruit in other areas. The significance of these findings in relation to current control strategies is discussed.
Résumé En 1977 et 1979, la dispersion des adultes de Dacus oleae a été étudiée en juin-juillet sur deux sites de l'île de Corfou, afin de réunir des informations concernant leur comportement en été. Des adultes élevés au laboratoire, et marqués à l'émergence avec une poudre fluorescente, ont été libérés dans une oliveraie au centre d'un réseau de trappes McPhail contenant un attractif d'hydrolisat de protéines et disposées en forme de croix. Les mouches capturées étaient prélevées régulièrement et examinées au laboratoire sous lumière ultraviolette. L'analyse des captures de mouches marquées a permis de définir la distance moyenne parcourue après le lâcher en fonction du temps (Fletcher & Economopoulos, 1976).La distance moyenne parcourue par les mouches la première semaine était de plus de 400 m si le lâcher avait lieu dans une oliveraie dépourvue de fruits; elle était de quelque 180 m si le lâcher avait lieu plus tôt, dans une oliveraie dont 30% des arbres portaient des fruits. Il est done plausible que les adultes émergeant en mai-juin dans des oliveraies dépourvues de fruits—situation courante à Corfou en raison de la fructification en général cyclique et synchronisée tous les deux ans des oliviers—se déplacent aussitôt en dépit du climat sec et chaud et de l'absence de fruits mûrs alentour. Les résultats montrent qu'en été, les mouches quittent leur zone d'émergence si les olives mûrissantes font défaut pour se concentrer dans des oliveraies portant de nouveaux fruits, confirmant ainsi le bien-fondé de la lutte actuellement pratiquée à Corfou.
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12.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
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13.
At topically applied doses of fenvalerate sublethal to resistant (R) and susceptible (S) flies, R flies immediately initiated a vigorous grooming behavior which allowed them to remove as much as 13% of the topically applied dose at 24 h. On the contrary, in S flies grooming was not immediately observed because S were quickly knocked down by the pyrethroid; however, grooming was observed in S after flies recovered from knockdown. Comparisons at 24 h between R flies free to groom and those restricted from grooming indicated that 90–100% of the parent compound that was recovered from the holding vials of freely grooming flies was rubbed off while only 0–10% was excreted. Additionally, grooming significantly affected the amount of radiocarbon recovered as unpenetrated insecticide, because R flies removed a portion of the topical material and deposited it in their holding vials.
Résumé Après application topiques de doses subléthales de fenvalerate à des mouches résistantes (R) et sensibles (S), les mouches R se nettoyent immédiatement et vigoureusement, ce qui leur permet d'éliminer jusqu'à 13% de la dose en 24 h. Au contraire chez les mouches S, ce nettoyage rapide n'a pas été observé, parce qu'elles étaient rapidement paralysées par le pyréthroïde. Cependant le nettoyage s'observe après que les mouches S aient récupéré. Des comparaisons après 24 h, entre des mouches R capables de se nettoyer et d'autres à qui l'on interdit cette activité de nettoyage indiquent que 90–100% des substances marquées au 14C, récupérées dans le récipient ayant contenu les premières, proviennent de l'élimination de l'insecticide par nettoyage et seulement 0–10% de l'excrétion de l'insecticide. De plus, le nettoyage diminue de manière significative la quantité récupérée de radiocarbone correspondant à de l'insecticide n'ayant pas pénétré dans l'insecte, parce que les mouches R enlèvent une partie du matériel et le déposent dans leur récipient.
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14.
Laboratory experiments tested whether two economically-important sibling species of tephritid fruit flies have evolved distinct egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. The egg-laying preferences displayed by apple maggot flies, R. pomonella, and blueberry maggot flies, R. mendax, on artificial fruits treated with apple and blueberry extract paralleled their egg-laying responses to whole apples and blueberries. R. pomonella flies laid more eggs than R. mendax flies in artificial fruits treated with extract from ripe McIntosh apples, and vice versa for artificial fruits treated with extract from ripe Bluehaven blueberries. Furthermore, both species laid more eggs in artificial fruits treated with extract from their respective host fruits than control artificial fruits which were not treated with fruit extract. Prior electroantennogram recordings from R. mendax and R. pomonella flies exposed to volatiles from pentane extracts of apples and blueberries indicate that the antennal sensitivity of both species is selectively tuned to their respective host fruit odors. This differentiation in their olfactory responses to fruit odors could be important in mediating their distinct ovipositional responses to blueberry and apple fruits. Extract from unripe McIntosh apples also elicited egg laying by R. pomonella flies, however, artificial fruits treated with unripe apple extract received 1.9 times fewer eggs than those treated with ripe apple extract. Moreover, the numbers of R. pomonella ovipositor punctures and eggs placed in wax artificial fruits were increased when the artificial fruits were treated with a blend of 7 identified apple esters. Black coloration on these artificial fruits and the presence of apple esters had a synergistic effect on the egg-laying behavior of R. pomonella flies, which caused them to lay substantially more eggs per black fruit than white fruit treated with the same concentration of apple esters. In summary, our results indicate that the egg-laying responses of R. pomonella flies are mediated by the integration of information from fruit chemical and visual cues, and that R. mendax and R. pomonella flies have evolved divergent egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. These findings are discussed in the context of other studies on plant compounds which influence the ovipositional behavior of phytophagous Diptera.
Stimuli chimiques des pommes et des myrtilles induisant la ponte des espèces jumelles, Rhagoletis pomonella et R. mendax
Résumé Des fruits artificiels en cire traités avec des extraits de fruits ont provoqué chez les espèces jumelles de R. mendax (Curran) et R. pomonella (Walsh) des réactions de ponte différentes suivant les stimulations chimiques par les fruits. Le comportement de ponte sur des fruits artificiels traités avec des extraits au pentane des myrtilles mûres (Vaccinium corymbosum L.) et de pommes mûres (Malus pumila Miller = Pyrus malus L.), est le même que sur des fruits naturels, ce qui montre que la réponse aux stimulations chimiques provenant du fruit constitue un aspect important de la reconnaissance de l'hôte. R. pomonella pond plus d'ufs que R. mendax sur les fruits artificiels traités à l'extrait de pommes mûres; c'est l'inverse pour les fruits traités aux extraits de myrtille. Les fruits artificiels traités avec des pommes ou des myrtilles provoquent la ponte de R. pomonella, tandis que les myrtilles mûres seules provoquent la ponte de R. mendax. Les extraits de pommes vertes stimulent la ponte de R. pomonella mais elle est alors 2 fois plus faible qu'avec des extraits de pommes mûres. Un mélange de 7 esters identifiés dans l'extrait de pomme induit aussi la ponte de R. pomonella. Le nombre de piqûres de tarièresfli dans les fruits artificiels en cire et le nombre d'ufs par fruit ont été augmentés par addition d'esters de pommes à des fruits blancs ou noirs. La couleur des fruits artificiels influence aussi la réaction de ponte de R. pomonella; la fréquence des piqûres de tarière contenant un uf et le nombre d'ufs par fruit étaient significativement plus élevés sur les fruits noirs que sur les fruits blancs traités avec la même concentration d'esters de pomme. Les fruits artificiels noirs traités avec la concentration la plus stimulante d'esters de pommes ont reçu 2, 3 fois plus d'ufs que les fruits blancs avec les mêmes concentrations en esters. Ces résultats montrent que les esters de pomme et la couleur noire stimulent synergiquement la ponte de R. pomonella sur des fruits artificiels.
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15.
Field tests on attraction of Caribbean fruit flies to 15×20 cm colored sticky traps releaved a clear preference for orange, followed by yellow and yellow-green. Lower capture rates were obtained for dark green, blue, red, black, and white. Reflectance spectra of painted surfaces were determined and it was noted that fly capture rates were directly related to the proportion of light reflected in the 580–590 nm region. Attraction appeared to depend primarily upon the hue rather than the intensity of emission. Responses to orange were considered to indicate fruit-seeking rather than foliage-seeking behavior because a disproportionate number of females was captured (3:1 : ratio), because foliage normally reflects maximally in the yellow-green rather than the orange region, and because a variety of host fruit reflects strongly in the orange region of the spectrum.
Résumé Des tests sur le terrain concernant l'attraction de la Mouche des fruits des Caraïbes à l'égard de pièges adhésifs colorés mettent en évidence une nette préférence de l'insecte pour la couleur orange, suivie de près par le jaune et le jaune-vert. Les taux de capture les plus faibles ont été obtenus par des pièges de couleur vert-foncé, bleue, rouge, noire et blanche. Le spectre de la lumière réfléchie par les surfaces peintes a été précisé et il a été remarqué que les taux de capture des mouches étaient en rapport direct avec la quantité de lumière réfléchie dans la gamme de 580–590 nm, mais l'attraction semblait dépendre en premier lieu de la couleur plutôt que de l'intensité de l'émission. Les réponses à la couleur orange semblent indiquer un comportement de recherche du fruit plutôt que recherche du feuillage, ceci en rapport avec la capture d'un plus grand nombre de femelles (30/10), et parce que le feuillage réfléchit normalement au maximum dans le jaune vert plutôt que dans l'orange, alors qu'une variété de fruit-hôte de cet insecte réfléchit fortement dans la zone du spectre correspondant à l'orange.
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16.
A virus infection, associated with enlargement of the salivary glands (ESG) and gonadal pathology in Glossina pallidipes Austen (Diptera: Glossinidae), was studied in field-caught and laboratory-reared flies. The lifespan of both sexes of infected (ESG-) flies was significantly shorter than that of flies with normal salivary glands (NSG). NSG-females, mated to infected males only or to both infected and normal males, produced predominantly male progeny. In general, NSG-parents produced only NSG-progeny, and ESG-females only ESG-progeny. ESG-males were usually sterile, but a few NSG-females inseminated by ESG-males produced NSG-progeny. One NSG-female, mated first to an ESG-male and then to an NSG-male, produced 3 ESG-sons. As will be discussed, this virus may have important effects (reduced insemination rates, fecundity and lifespan, and sex ratio distortion) on laboratory colonies of G. pallidipes as well as on the regulation of its natural populations.
Résumé C'est à partir de mouches capturées et élevées au laboratoire à Kibwezi au Kenya, qu'a été étudiée l'infection virale, accompagnée d'hyperplasie des glandes salivaires (ESG) et la pathologie des gonades de G. pallidipes Aust. La durée de vie des mouches contaminées (ESG)_des 2 sexes était significativement plus brève que celle des mouches aux glandes salivaires normales (NSG). Des femelles NSG accouplées uniquement à des mâles contaminés ou à des mâles sains et contaminés, ont donné une descendance majoritairement mâle.En général, des parents NSG ont donné uniquement des enfants NSG, et des femelles ESG des enfants ESG. Les mâles ESG étaient généralement stériles, mais quelques femelles NSG inséminées par des mâles ESG ont donné des enfants NSG. Une femelle NSG accouplée en premier avec un mâle ESG et ensuite à un mâle NSG, a donné 3 fils ESG. Bien que les transmissions orales et sexuelles puissent être naturellement des modes de contamination, la transmission verticale de la mère à la descendance semble être le mécanisme le plus significatif du maintien de ce virus. L'apparition d'enfants ESG de parents NSG est dans quelques cas vraisemblablement due à la présence du virus chez quelques mouches NSG sans qu'il y ait apparemment infection, sans symptômes visibles. Le virus ESG peut avoir des effets importants (diminution des taux d'insémination, de la fécondité, de la durée de vie, et modification de la fréquence des sexes) dans les souches de laboratoire et aussi sur la régulation des populations naturelles de ce vecteur des trypanosomiases africaines.
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17.
In an isolated olive grove of approximately 350 trees, one yellow sticky trap combined with an ammonium acetate slow-release dispenser was hung in every tree of the large fruit varieties at the end of June or beginning of July for 3 consecutive years. In September, when small fruit varieties were becoming suitable for Dacus oleae (Gmelin) infestation, similar traps were also hung in all trees of these varieties, and the traps in the large fruit trees were replaced by new ones. All traps were removed at the end of December or in January, when harvest of the olive crop was completed. The olive fly population was low in the 1st year, while in the 2nd and 3rd it was high and very high, respectively.In the 1st year, the infestation in the experimental grove was kept very low and was comparable to, or even lower, than the infestation in olive groves treated with insecticides. In the 2nd year, in most cases the infestation was between 15–30%, while in the insecticide-treated groves it remained below 10%. In the 3rd year the infestation reached levels above 80% while in the insecticide-treated groves it reached levels between 30–45%.
Résumé Un piège gluant jaune associé à un diffuseur libérant lentement de l'acétate d'ammonium, a été suspendu dans chaque arbre d'une variété à gros fruits. L'expérience a eu lieu dans une oliveraie isolée de 350 arbres environ, pendant 3 années consécutives à la fin juin et au début juillet. En septembre, quand les variétés à petits fruits deviennent convenables pour la contamination par D. oleae, des pièges sont suspendus à tous les arbres de ces variétés, les pièges sur les arbres à gros fruits sont alors remplacés. Tous les pièges sont enlevés find décembre ou en janvier, quand la récolte des olives est terminée.En 1982, les températures maximales étaient chaque semaine très élevées de mi-juin à miseptembre (33°C et plus), tandis qu'elles n'étaient atteintes en 1983 et 1984 que de fin juin à mi-août. La population de mouches de l'olive était basse en 1982, tandis qu'elle était élevée en 1983 et très élevée en 1984.La première année (à population faible) l'attaque est restée basse et était comparable ou même plus faible à celle observée dans les oliveraies traitées avec insecticides. La seconde année (population élevée) elle était le plus souvent de 15 à 30% tandis que dans les oliveraies traitées, elle restait inférieure à 10%. La 3è année (population très élevée) l'attaque atteint 80% tandis que dans les oliveraies traitées, elle était de 30 à 45%.
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18.
Screwworm case incidence in a meteorologically and ecologically homogeneous region of Texas being treated with sterile flies was analyzed. Data from 19 years suggested that annual cases were not correlated with temperatures, rainfall, or crop moisture index. Cases in winter and summer were only minimally influenced by temperatures. No statistical relation between screwworm outbreaks and the meteorological variables was found. No convincing relation was found between strains of sterile flies released and screwworm cases. These data suggest that execution of the sterile male technique was decisive in the numbers of cases realized. The ultimate eradication of screwworms from the region is strong indication that the sterile male technique is robust and that intrinsic reproductive isolating mechanisms did not become prevalent among screwworm flies.
Résumé L'analyse de la présence de cohortes de larves de C. hominivorax dans une région climatiquement et écologiquement homogène du Texas, où des populations sont activies toute l'année ne révèle aucune corrélation entre les pullulations, les pluies, la température ou le déficit d'évaporation et l'humidité excessive. Aucune corrélation n'a pu être décelée entre les lignées de mouches stériles libérées et les cohortes de larves. Ces résultats suggèrent que la technique d'utilisation des mâles stériles est bonne et que des mécanismes intrinsèques d'isolement reproductif ne ssont pas encore devenus importants chez C. hominivorax.
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19.
In field experiments, larvae of codling moth Cydia pomonella (L.) rarely acquired granulosis virus on hatching from the egg, but picked up most later, on the tree surface. Deposits of virus sprayed in 1.0% w/v skimmed milk did not affect neonate larval behaviour. Larvae died, usually in the first instar, after entering treated fruit, but they frequently entered via the calyx or near the base of the stalk or through cracks in the skin, where little feeding damage by first-and sometimes second-instar larvae was seen.
Résumé En verger, la pulvérisation d'oeufs de carpocapse avec du virus de la granulose en suspension dans l'eau (additionnée de lait écrémé dilué à 1%) n'a pas modifié la survie des chenilles avant pénétration dans le fruit; par contre la pulvérisation des arbres a provoqué une forte mortalité. Bien que des chenilles consommant des poils et la surface des feuilles aient été observées avant leur pénétration dans le fruit, ce qui aurait pu provoquer leur contamination par le virus, il semble que la contamination létale provienne des fruits seuls.La présence de produit n'a modifié ni le comportement larvaire, ni le taux de pénétration dans les fruits; la mortalité y a lieu ensuite, généralement au premier stade. Dans 74 à 78% des cas, les chenilles ont pénétré dans le fruit par le calice ou près de la base du pédoncule — aucun dégât provenant de larves du premier stade n'y était visible, de même que dans le calice pour les larves du deuxième stade. Par contre, toute pénétration par la surface du fruit était repérable dès le premier stade. Il est possible que la répartition des lieux de pénétration dans le fruit influe sur la létalité due au virus et explique les variations d'efficacité observées en verger. Un système de classification des dégâts, provoqués lors de la pénétration dans le fruit, de chenilles du premier au troisième stade est proposé pour évaluer l'efficacité des essais en verger.
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20.
The angle of inclination of the surface on which flies prefer to land in vegetable crops was studied in field plots and in field-cages using one-sided sticky traps aligned in one plane but orientated in eight directions. The four Delia species studied, D. antiqua, D. floralis, D. platura and D. radicum, preferred to land on horizontal surfaces, indicating that they are likely to be trapped in largest numbers on traps with a horizontal trapping surface, such as water traps. This trend was even more pronounced with the Syrphidae. In contrast, greatest numbers of the carrot fly, Psila rosae, were caught on the lower surface of traps inclined at 45° to the vertical. The advantages of using traps inclined in this way for trapping P. rosae are that more flies are caught on such surfaces, the sticky trapping compound is protected from the adverse effects of rain, and the traps are highly selective.
Résu,é L'angle d'inclinaison de la surface sur laquelle les mouches préfèrent atterrir dans les cultures de légumes a été examiné dans la nature, dans des parcelles et dans des cages, en utilisant des pièges englués sur un côté, alignés dans le même plan, mais orientés dans 8 directions. Les 4 espèces de Delia étudiées: D. antiqua, D. floralis, D. platura, D. radicum, ont préféré atterrir sur des surfaces horizontales, ce qui implique qu'elles sont probablement prises en plus grand nombre sur des pièges avec une surface de capture horizontale, comme des pièges liquides. Cette tendance est encore plus prononcée chez les Syrphidae. A l'opposé, de nombreuses mouches de la carotte, Psila rosae, ont été capturées sur la face inférieure de pièges inclinés de 45°. Il est avantageux d'utiliser des pièges inclinés de cette façon contre P. rosae parce que, d'une part ils sont très efficaces, d'autre part le produit actif est protégé de la pluie et enfin, le piège est très sélectif.
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