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1.
Un des problèmes taxonomiques les plus compliqués concernant les Trichoptères européens est celui de la plupart des espèces ibériques et pyrénéennes du genre Micrasema, habitants caractéristiques du Rhitral, ces espèces restant à ce jour imparfaitement connues et difficiles à déterminer. L´étude d’un grand nombre d´exemplaires (mâles) a permis de trouver une solution pour la plupart des problèmes. M. servatum (Navás 1918), distribuée dans les parties N.O. de la Péninsule; M. cenerentola Schmid 1952, connue du Centre et du N.O. de l´Espagne; et M. salardum Schmid 1952, connue des Pyrénées Orientales espagnoles, sont des espèces distinctes. M. gabusi Schmid 1952 décrite de la Sierra Nevada, est un synonyme de M. longulum McLachlan 1876, une espèce largement distribuée en Espagne. M. difficile Mosely 1933, décrite des Pyrénées françaises, est un synonyme de M. vestitum Navás 1918, espèce endémique des Pyrénées Centrales et Occidentales (France et Espagne). L´identité de M. moestum (Hagen 1868) pose un problème particulier : il est possible que sous ce nom on désigne actuellement une paire d´espèces cryptiques à l´état adulte, qu´il est pratiquement impossible de distinguer par leurs genitalia, mais dont les larves sont bien distinctes.  相似文献   

2.
Résumé La variabilité de la sensibilité des larves de la noctuelle égyptienne du coton,Spodoptera littoralis Boisduval à l'hyphomycète entomopathogèneNomuraea rileyi (Farlow) Samson a été abordée en étudiant la variabilité interclonale du champignon et la variabilité de l'insecte-h?te à travers des populations d'origines géographiques différentes. En raison de la polyphagie de l'espèce-cible, l'influence de la plante-h?te sur la sensibilité des larves phytophages a aussi été prise en compte. Les traitements ont consisté à exposer les larves à un inoculum sporal déposé par pulvérisation sur des rondelles de feuille calibrées pendant 24 h. L'activité pathogène, à l'égard des larves du 1er stade, des 12 clones monosporaux de la soucheN. rileyi 5 varie significativement (TL50 compris entre 4,7 et 6,2 j à la dose de 3.104 spores/cm2). Cette variabilité intraspécifique observée à un moment donné est néanmoins du même ordre que la variabilité de l'activité de la souche-mère polyclonale, relevée sur une période de 4 ans (TL50 compris entre 4,5 et 6,6 j). Les 3 populations originaires d'Isra?l, d'Egypte et du Maroc ont présenté une sensibilité comparable àN. rileyi 5 après contamination des larves nouveau-nées avec des doses croissantes d'inoculum (DL50 comprises entre 0,7.104 et 1,1.104 spores/cm2 et TL50 compris entre 5,1 et 5,5 j à la dose de 3.104 spores/cm2). L'alimentation des larves, depuis l'éclosion, sur 4 espèces végétales: chou, coton, féverole ou aubergine, n'a pas modifié significativement la sensibilité des larves du 3e stade (DL50 comprises entre 0,3.103 et 0,7.103 spores/cm2 et TL50 compris entre 4,0 et 4,3 j à la dose de 3.104 spores/cm2). La souche polyclonaleN. rileyi 5 para?t bien adaptée à la noctuelle égyptienne du coton en raison de sa stabilité, de son agressivité à l'égard des populations d'origines géographiques différentes et de l'absence d'effet de l'alimentation des larves sur l'infection.   相似文献   

3.
The interactions of the hyperparasitoidsCatolaccus aeneoviridis (Girault) andSpilochalcis side (Walker) with the microsporidansNosema heliothidis Lutz & Splendor andN. campoletidis Brooks & Cranford are described. Neither hyperparasitoid species was infected upon parasitization of pupae of the primary parasitoidCampoletis sonorensis infected withN. heliothidis. However, upon development inCampoletis pupae infected withN. campoletidis, adults ofC. aeneoviridis were infected systemically; trassovarian transmission of the microsporidan to F3 individuals was also shown.S. side was also infected byN. campoletidis but in this hyperparasitoid, microsporidan development was arrested in the sporoblast stage. Mature spores were not observed in infectedS. side adults and the microsporidan was not transmitted transovarially. The interactions of the hyperparasitoids with the two microsporidans were not demonstrably detrimental as data on the developmental period and adult longevity of infected or exposed hyperparasitoids were similar to those of control individuals.
Résumé Les auteurs décrivent les interactions entre deux hyperparasitoides,Catolaccus aeneoviridis etSpilochalcis side, et les microsporidies,Nosema heliothidis etN. campoletidis. Aucune des espèces hyperparasitoides ne fut infectée quand elles ont parasité des nymphes du parasitoide primaire,Campoletis sonorensis infecté parN. hehothidis. Cependant, les adultes deC. aeneoviridis furent infectés systématiquement lors qu'ils se développèrent dans des nymphes deCampoletis infectées parN. campoletidis; la transmission transovarienne de la microsporidie jusqu'aux individus de la F3 a été également démontrée.S. side a été aussi infecté parN. campoletidis mais chez cet hyperparasitoide le développement de la microsporidie a été arrêté au stade de sporoblaste. Les spores mures n'ont pas été observées dans les adultes deS. side et la microsporidie n'est pas transmise par la voie transovarienne. Les interactions entre les hyperparasitoides et les deux microsporidies n'ont pas d'effet nuisible démontrable puisque la durée de développement et la longévité des adultes chez les hyperparasitoides contaminés ou exposés sont comparables à celles observées chez les témoins.


Paper No. 4123 of the Journal Series of the North Carolina State University Agricultural Experiment Station, Raleigh, North Carolina.  相似文献   

4.
A l’occasion de la découverte d’une nouvelle espèce marocaine d’Apteranillus Fairmaire 1854: Apteranillus bichaini n. sp. provenant de l’extrémité occidentale de la chaîne de l’Atlas, de la découverte d’une nouvelle localité d’Apteranillus minosianus Lecoq & Quéinnec 2005 et de la capture du mâle de Typhlozyras camusi Jeannel 1960 jusqu’alors inconnu, toutes les espèces des genres Apteranillus, Typhlozyras et Apteraphaenops Jeannel 1907 sont redécrites et illustrées. Un tableau de détermination et une carte de répartition des genres et des espèces endogées et troglobies d’Aleocharinae d’Afrique du nord (Apteranillus, Anopsapterus, Drusilla (Apteranopsis), Apteraphaenops, Typhlozyras) sont donnés. La synonymie Apteranillus championi Bernhauer 1936=Apteranillus dohrnii Fairmaire 1854 n. syn. est établie. L’examen détaillé des caractères morphologiques des genres Typhlozyras et Apteraphaenops suggère l’appartenance de ces deux genres aux Athetini et non aux Lomechusini comme il est couramment admis jusqu’à présent, Apteraphaenops étant étroitement apparenté à Paraleptusa Peyerimhoff1901 et Typhlozyras à Geostiba Thomson 1858.  相似文献   

5.
Les analyses polliniques ont été effectuées sur 40 échantillons de miel qui proviennent des deux grandes régions phytogéographiques situées dans la province de León (N.O. de l'Espagne). La densité pollinique (grains de pollen/g de miel), est de moins de 10.000 grains/g dans 27 échantillons, de 10.000 à 50.000 grains/g dans 12 miels et de 50.000 à 100.000 grains/g dans 1 seul cas.

Treize miels monofloraux ont été typifiées: 3 de châtaignier (Castanea sativa) 1 de bruyère dont 4 d'Erica sp, 2 d'E. umbellata et 1 d'E. arborea, 1 de tournesol (Helianthus annuus) et 2 de lavande (type Lavandula pedunculata). Les autres miels sont tous multifloraux.

Dans l'ensemble des miels analysés, 122 formes de pollen on pu être identifiées. Les types polliniques Erica australis, Genista florida, Lotus corniculatus, Trifolium repens, Mentha aquatica, Plantago lanceolata, Poaceae, Prunus, Rubus ulmifolius et Salix fragilis ont été identifiées dans 80% des échantillons provenant des deux régions phytogéographiques alors que ceux de Cistus ladanifer et de Lavandula pedunculata sont typiques des seuls miels de la région Méditerranéenne. Dans la région phytogéographique Eurosibérienne, les communautés végétales les mieux représentées dans les spectres polliniques ce sont celles à gênets, à bruyères et à épineux. Dans les miels de la région Méditerranéenne il y a également une bonne représentation des genêts, des bruyères et des épineux qui font cependant partie d'associations végétales différentes comme l'indique la présence de Lavandula pedunculata, Lavandula sampaiana et Cistus sp.  相似文献   

6.
I. Hodek  Z. Ruzicka 《BioControl》1977,22(2):169-174
To check the sensitivity to photoperiod inSemiadalia undecimnotata Schneider the beetles were transferred to laboratory short day (12 L: 12 D) and long day (18 L : 6 D) both during diapause (mid-November) and after diapause (in mid-May, when most females were still in their hibernation quarters and when the outdoor photoperiod was 16 hr 40 min.). After diapause, most parameters of reproductive activity (fecundity, oviposition intensity, duration of pre- and post-oviposition periods) were identical at both photoperiods, indicating thus insensitivity to photoperiod. Only the incidence and duration of ovipositional arrests were higher under short-day conditions. In the middle of diapause the sensitivity to photoperiod was still high, so that reproduction was inhibited under short day and 20°–24°C.
Résumé Au cours de ce travail on a cherché à établir la sensibilité à la photopériode chezSemiadalia undecimnotata Schneider. Les insectes furent récoltés sur les lieux d'estivo-hibernation pendant (minovembre) et après la diapause (mi-mai) et placés au laboratoire sous une photopériode courte (12 J: 12 N) ou longue (18 J : 6 N). Après la diapause, la plupart des caractères de l'activité reproductrice (fécondité, intensité de l'oviposition, durée des périodes des pré-et post-oviposition) sont identiques sous les 2 photopériodes et montrent une insensibilité des insectes à la photopériode. Seulement les arrêts de l'oviposition sont sensiblement plus fréquents et plus allongés sous la photopériode courte. Au milieu de la diapause, la sensibilité à la photopériode est encore assez élevée et empêche la ponte sous une photopériode courte et à 20°–24°C.
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7.
Résumé L'infection par deux protozoairesAdelina melolonthae Tuzet-Vago etNosema melolonthae Krieg a été réalisée chez des larves deMelolontha melolontha L. au 3e age. Les deux parasites se développent dans le tissue adipeux, mais dans des zones différentes. Dans la partie la plus extérieure seulA. melolonthae envahit le tissue adipeux qui prend l'aspect de feuillets ou de cordons. On trouve aussi différents stades de développement de ce parasite dans les cellules hypodermiques et les cellules péricardiales. Autour de l'intestin,N. melolonthae forme avec les lobes qu'il parasite des masses volumineuses. A. melolontha etN. melolonthae ne coexistent jamais dans un même lobe.
Summary Larvae ofMelolontha melolontha L. at the 3rd stage were infected with two protozoansAdelina melolonthae Tuzet-Vago andNosema melolonthae Krieg. The two parasites developed in different areas of the fat body. The fat body of the outer part was invaded byA. melolonthae alone, taking the aspect of thin sheets or cords. Various stages in the development of the parasite were shown in hypodermic and pericardiale cells.N. melolonthae formed a heavy mass round the gut with the parasitized lobes. A. melolonthae never coexisted withN. melolonthae in the same lobe.
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8.
Resume Les auteurs étudient chez la tomate l'influence de la concentration saline et du rapport Na/Ca du milieu nutritif sur le développement de la fusariose vasculaire. A concentration saline élevée (50,4 meq/l), les plantes fanent tardivement mais brusquement et sans jaunissement préalable. La colonisation des tiges parF. oxysporum f. sp.lycopersici est tardive et faible; cependant à rapport Na/Ca élevé, elle augmente rapidement. Il n'y a pas d'acides aminés détectables dans la sève des plantes de 14 jours mais la teneur en N inorganique est toujours supérieure à 2.8 μg/ml. A concentration saline faible (2.5 meq/l), les feuilles jaunissent progressivement et précocement. La colonisation du xylème est précoce et dense; l'influence du rapport Na/Ca est faible. Les acides aminés sont présents dans la sève en quantités relativement importantes et d'autant plus que le Na/Ca cro?t. Ces résultats de l'évolution de la maladie sont discutés en relation avec la composition chimique des tissus et de la sève et la localisation histochimique du Na et du Ca.
Summary The influence of the salt concentration and of the Na/Ca ratio of the nutrient solution on the development of the fusarial wilt of the tomato has been studied. At high salt concentration (50.4 meq/l), plants wilt lately but suddenly without yellowing. The stem colonization byF. oxysporum f. sp.lycopersici is poor and late; however at higher Na/Ca it increases rapidly. There are no amino acids detectable in xylem sap of 14 days old plants but the content of inorganic N is always higher than 2.8μg/ml. At low salt concentration (2.5 meq/l), the yellowing of the leaves begins early and progressively. The xylem colonization by the parasite is dense and precocious; the influence of the Na/Ca is weak. The amino-acids are relatively abundant in xylem sap and their content increases with the increase of the Na/Ca ratio. These results of the development of the disease are discussed in relation to the chemical composition of the tissues and the xylem sap and the histochemical localization of Na and Ca.
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9.
Résumé La persistance des conidiospores deNomuraea rileyi (F.) Samson à la surface du couvert végétal a été étudiéein situ en culture de féverole (?Féverole 1 et 2?) et de chou. L'effet du rayonnement solaire sur la survie du germe a été analysé, d'une part, dans des microparcelles recouvertes d'écrans sélectifs arrêtant les radiations de longueurs d'onde inférieures à 320 nm (UV A+) ou à 400 nm (UV) ou par un écran total vis-à-vis du rayonnement direct (RYT) et, d'autre part, dans une microparcelle découverte (RYT+). Les conditions microclimatiques ont été suivies pendant toute la durée des expérimentations et le contr?le de l'activité résiduelle du champignon a porté essentiellement sur le dénombrement des spores viables sur milieu nutritif après mise en suspension d'un broyat des échantillons de feuilles prélevés sur le terrain. Dans le cas des variantes expérimentales (RYT+) et (RYT) le potentiel infectieux a été éprouvé sur des larves deSpodoptera littoralis Boisd. (Lépidoptère Noctuidae) alimentées pendant 24 h avec des rondelles de feuilles recueillies dans le couvert. La durée de demi-vie de l'inoculum sporal est étroitement liée à l'ensoleillement; par temps clair elle peut atteindre un minimum de 3,6 h (?Féverole 1?), alors que dans les microparcelles totalement protégées du rayonnement direct, elle est supérieure à 40 h. Les données d'activité pathogène confirment l'inactivation de l'inoculum soumis au rayonnement solaire. Parallèlement, le recours aux écrans transparents (UV A+) ou opaques (UV) au proche ultra-violet (320–400 nm) a permis de démontrer clairement l'effet léthal de l'UV A naturel sur les conidiospores deN. rileyi, dont les demi-vies peuvent être réduites jusqu'à 4 fois (?Féverole 1?: XUV A +=11,6 h au lieu de XUV−=48,2 h). A partir de ces résultats, on estime que par temps ensoleillé en été, le potentiel d'inoculum deN. rileyi exposé au rayonnement solaire direct peut chuter de 104 fois en une semaine, alors que par temps couvert cette réduction n'aurait été que de 100 fois. Avec la collaboration technique deH. Vermeil de Conchard.  相似文献   

10.
From November, 1976 until October, 1979 citrus blackfly,Aleurocanthus woglumi Ashby and its parasite populations were sampled monthly in urban areas of Broward County, Florida. During this period, the parasites,Amitus hesperidum Silvestri andProspaltella opulenta Silvestri became established and exerted control onA. woglumi populations. Parasite succession was noted in thatA. hesperidum was first abundant and later replaced in abundance byP. opulenta. The 2 parasite species continued to coexist and exert mortality on low pest populations in spite of chemical spraying used for eradication showing that integrated control ofA. woglumi is a definite possibility now that the pest is well established in Florida.
Résumé De novembre 1976 à octobre 1979, on a échantillonné mensuellement dans les zones urbaines du Comté de Broward, Floride, les populations de la mouche noire des citrus,Aleurocanthus woglumi Ashby et de ses parasites. Pendant cette période les parasites,Amitus hesperidum Silvestri etProspaltella opulenta Silvestri se sont établis et ont limité les populations deA. woglumi. Une succession dans les parasites a été notée:A. hesperidum fut abondant d'abord et remplacé ensuite en fréquence parP. opulenta. Les 2 espèces ont continué à coexister et causent la mortalité des faibles populations du ravageur malgré les traitements chimiques utilisés pour l'éradication; ce qui montre la possibilité d'une lutte intégrée contreA. woglumi maintenant que ce ravageur est bien établi en Floride.
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11.
Les vingt-deux espèces actuellement répertoriées dans le genre paléarctique Amblytylus Fieber ont été examinées. Le genre est redéfini principalement d’après les caractères des genitalia mâles. Dix espèces sont maintenues dans le genre: A. albidus (Hahn 1834), A. amoenus Wagner 1958, A. arnoldiorum Kerzhner 1977, A. brevicollis Fieber 1858, A. concolor Jakovlev 1877, A. crassicornis Wagner 1964, A. jani Fieber 1858, A. montanus Wagner 1974, A. nasutus (Kirschbaum 1856), A. peitho Linnavuori 1997; toutefois, A. amoenus est considérée comme incertae sedis et A. jani comme nomen dubium. Deux espèces sont transférées dans le genre Megalocoleus Reuter: Megalocoleus delicatus (Perris 1857) n. comb., Megalocoleus tarsalis (Reuter 1894) n. comb. Dix espèces sont mises en synonymie; soit avec une espèce d’Amblytylus: A. similis Wagner 1971 n. syn. de A. albidus (Hahn 1834); A. gregarius Linnavuori 1961 n. syn. de A. brevicollis Fieber 1868; A. vittiger Reuter 1899 n. syn., A. longicornis Wagner 1953 n. syn. et A. eckerleini Wagner 1964 n. syn. de A. concolor Jakovlev 1877; soit avec une espèce de Megalocoleus: A. erectus Wagner 1971 n. syn. de M. longirostris (Fieber 1861); A. glaucicollis Kerzhner 1977 n. syn. de M. exanguis (Herrich-Schaeffer 1835); A. macedonicus Wagner 1956 n. syn. de M. naso (Reuter 1879) n. comb.; A. luridus Hoberlandt 1961 n. syn. et A. scutellaris Horvath 1905 n. syn. de M. delicatus (Perris 1857) n. comb. Un lectotype est désigné pour quatre espèces (Lopus nasutus Kirshbaum, Amblytylus vanduzeei Blatchey, Amblytylus scutellaris Horváth, Capsus delicatus Perris). Une clé d’identification pratique bilingue (français et anglais) basée surtout sur des caractères externes tente de séparer les espèces d’Amblytylus. Une clé révisée des espèces de Megalocoleus est également fournie. Les deux genres Amblytylus et Megalocoleus, très semblables par l’habitus, restent difficiles à définir. Seules les plantes-hôtes - des Poaceae chez les Amblytylus, des Asteraceae chez les Megalocoleus - et dans une moindre mesure la vesica pourvue de deux processus apicaux (Amblytylus) ou d’un seul (Megalocoleus) semble indiquer l’existence de deux groupes d’espèces distincts.  相似文献   

12.
P. Grison 《BioControl》1962,7(3):269-270
Résumé L'utilisation des germes pathogènes est une solution du problème de la sélectivité. Des solutions concurrentes existent avec certains pesticides chimiques. L'utilisation des germes pathogènes est donc envisagée d'une manière pragmatique en négligeant les problèmes de recherches fondamentales. Pour cette raison les mycoses et les protozoonoses ne sont pas retenues. Les viroses offrent un exemple de la plus grande spécificité d'action. L'application des virus d'insectes a été surtout développée en sylviculture. Une grande difficulté est la multiplication des virus sur organismes vivants. Les bactérioses peuvent être seules retenues pour l'agriculture et l'arboriculture intensives: elles ont un spectre d'action assez étendu mais suffisamment sélectif; les bactéries qui nous intérresent peuvent être multipliées industriellement. Le statut deBacillus thuringiensis Berliner et les propriétés des préparations commerciales ont fait l'objet de développements récents. Dans une revue critique des applications de ces préparations en arboriculture fruitière, on considère d'abord le cas des Mineuses et des Tordeuses. Presque toutes ces chenilles sont susceptibles àB. thuringiensis. Mais la difficulté d'utilisation des préparations est de nature éthologique. De bons résultats sont obtenus au Canada contreArgyrotaenia et en U.R.S.S. contreHyponomcuta. En U.R.S.S. on utilise des produits mixtes à concentration réduite (0,5%) de préparation bactérienne et à concentration extrêmement faible (0,002%) de D.D.T. Les résultats contre le Carpocapse sont négatifs. Les résultats contre les chenilles défoliatrices sont très satisfaisants: en Hollande et au Canada contreMalacosoma; au Canada contre les Géométrides,Operophtera etAlsophila espèces très susceptibles àB. thuringiensis, à la dose de 1 à 2 pounds de préparation (titrant 30×109 spores viables par gramme) pour 100 gallons, soit environ, 1,5%; en France, ces résultats sont confirmés. En conclusion, l'utilisation en verger des prépararations commerciales deBacillus thuringiensis doit être ?intégrée? dans un programme général de protection comprenant à la fois les traitements chimiques et les méthodes culturales. De tels programmes sont actuellement expérimentés dans certains vergers de Pommiers par l'I.P.O. et le T.N.O. en Hollande.  相似文献   

13.
Résumé En France, une quarantaine de souches de l'EntomophthoraleZoophthora radicans (Brefeld) Batko ont été isolées d'Homoptères, de Lépidoptères, de Diptères et d'Hyménoptères. Le champignon s'est révélé capable d'exercer une action épizootique à l'égard du LépidoptèreTortricidae: Tortrix viridana L., de l'HomoptèreJassidae: Opsius stactogalus Fieb. et de l'HomoptèrePsyllidae: Trioza urticae L. Le comportement pathogène de 8 de ces souches (1 provenant d'un Lépidoptère, 2 de Diptères, 2 d'Hyménotpères et 3 d'Homoptères, respectivement d'un Aphide, d'un Jasside, d'un Psyllide), a été étudié simultanément vis-à-vis du puceronAcyrthosiphon pisum Harris. Les 8 souches diffèrent entre elles par leur infectivité, leur aptitude à produire des conidies et à former des rhizo?des. Parmi les 4 souches isolées en même temps dans la même localité, c'est la souche issue de Jasside et à un degré moindre la souche provenant de Psyllide qui se développeraient le plus rapidement dans les populations de pucerons, car elles possèdent, comparativement aux 2 autres souches, isolées respectivement d'un Hyménoptère et d'un Diptère, une forte infectivité et la plus grande capacité de conidiogénèse. Ces faits établissent sur des bases quantitatives l'existence chezZ. radicans d'une adaptation des souches à un h?te d'une famille proche dans la classification de celle de l'h?te d'origine.
Summary About 40 strains ofZoophthora radicans (Brefeld) Batko (Zygomycetes, Entomophthorales) were isolated in France from Homoptera, Lepidoptera, Diptera and Hymenoptera. Epizootics occurred in populations ofTortrix viridana L. (Lep.: Tortricidae), Opsius stactogalus Fieb. (Hom.: Jassidae) andTrioza urticae L. (Hom.: Psyllidae). The pathogenic behaviour of 8 of these strains (1 from Lepidoptera, 2 from Diptera, 2 from Hymenoptera and 3 from Homoptera: respectively from an aphid, a jassid and a psyllid) was studied simultaneously on the aphidAcyrthosiphon pisum Harris. The 8 strains differed from one another in infectivity and in their ability to produce conidia and to form rhizoids. Among 4 strains isolated at the same time in the same local area, that from the jassid and, to a lesser extent, that from the psyllid, were highly infective and produced more conidia per aphid than those from the Diptera and the Hymenoptera, suggesting that the former 2 would spread more effectively in aphid populations. These results establish quantitatively the existence inZ. radicans, of an adaptation of strains to an host taxonomically related to the host from which the strain was isolated.


avec la collaboration technique de Madame N. Delatre.  相似文献   

14.
Seulement 21 espèces d’Apoidea sont répertoriées de Nouvelle-Calédonie. La pauvreté de cette faune est paradoxale si on la compare à la richesse et l’endémicité de la flore de l’île, mais s’expliquerait par le fait qu’elle a été isolée avant ou peu après l’apparition des Apoidea vers – 130 millions d’années. Les auteurs comparent aussi les données de plusieurs îles des océans Pacifique et Indien. Deux nouvelles espèces de Halictidae sont décrites: Homalictus cocos et Lasioglossum (Chilalictus) delobeli. Une nouvelle synonymie est établie: Homalictus risbeci (Cockerell, 1929) = Homalictus crotalariae (Cockerell, 1929). Deux taxons, Chalicodoma umbripenne et Megachile laticeps, sont signalés pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. Les relations entre les Apoidea et les 22 espèces végétales, sur lesquelles ces insectes ont été capturés, sont présentées et commentées.  相似文献   

15.
Aegidium parvulum Westwood, 1846, de Guadeloupe, A. vincentiae Arrow, 1903, de Saint-Vincent et A. dominicense (Cartwright & Chalumeau, 1977) de Dominique sont redécrits. A. chalumeaui n. sp. de Guadeloupe et A. dierkensi n. sp. de Martinique sont décrits. Les cinq espèces sont illustrées. Deux clés de détermination sont proposées, une pour les genres d’Orphninae néotropicaux et une pour les espèces du genre Aegidium des Petites Antilles.  相似文献   

16.
Résumé L'étude de la sensibilité des 4 espèces de noctuelles,Mamestra brassicae L.,Spodoptera littoralis Boisduval,Spodoptera frugiperda Smith etScotia ipsilon Hübner, aux hyphomycètes a été conduite avec 10 souches dePaecilomyces fumoro-roseus (Wize) Brown & Smith, 6 deNomuraea rileyi (Farlow) Samson, 1 deBeauveria bassiana (Bals.) Vuill. et 1 deMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor. Les chenilles nouvelles-nées agées de moins de 16 h ont été exposées pendant 24 h sur des rondelles de feuilles contaminées par aspersion des inoculums, puis élevées individuellement à 25±1°C. A la dose de 3.105 conidiospores/cm2, l'activité pathogène des germes sur les chenilles varie dans de larges proportions suivant l'espèce-h?te et suivant l'isolat considérés. L'espèce la plus sensible à la plupart des souches estM. brassicae et la plus résistanteS. littoralis. Les germes les plus performants présentent des temps létaux 50% compris entre 2 et 3,5 j (à la dose de 3.105 spores/cm2) et des doses létales 50% de 103 à 104 conidiospores/cm2 (mortalités cumulées le 6e j après traitement); ce sont les isolats:P. fumoso-roseus no 13, 32, 39, 40 et 45 pourM. brassicae, N. rileyi no 5 pourS. littoralis; P. fumoso-roseus no 32 pourS. frugiperda etM. anisopliae no 139 pourS. ipsilon. La virulence élevée du pathotypeN. rileyi no 5 pourS. littoralis et son agressivité à l'égard des 3 autres noctuelles, confirment l'intérêt de cet hyphomycète en dehors de son aire d'origine (Sud-Est des Etats-Unis). Par ailleurs, les aptitudes des souches européennes deP. fumoso-roseus montrent que cette espèce présente des potentialités pour la lutte biologique contre divers noctuides.
Summary Bioassays were carried out on 1st instar larvae to determine the relative susceptibility of 4 noctuid species,Mamestra brassicae L.,Spodoptera littoralis Boisduval,Spodoptera exigua Smith andScotia ipsilon Hübner to 10Paecilomyces fumoso-roseus, 6Nomuraea rileyi, 1Metarhizium anisopliae and 1Beauveria bassiana isolates. Neonate larvae, 2 to 16 h old, were exposed for 24 h to leaf pieces treated with conidial suspensions of each fungal strain and then transferred to untreated foliage at 25±1°C. When tested at 3×105 conidia/cm2, pathogenic activity of hyphomycetes towards noctuids showed high variability depending on both host-species and fungal isolate.M. brassicae was more susceptible to tested isolates than the other 3 noctuids. In contrast,S. littoralis was the most resistant species. The most active pathotypes had LT 50 values ranging from 2 to 3,5 days at the concentration of 3×105 conidia/cm2 and LD 50 values ranging from 103 to 104 conidia/cm2 (mortality recorded at 6 days post exposure). According to these data, there were 5P. fumoso-roseus isolates (nos 13, 32, 39, 40 and 45) highly active againstM. brassicae, oneN. rileyi isolate (no 5) againstS. littoralis, oneP. fumoso-roseus isolate (no 32) againstS. frugiperda and oneM. anisopliae isolate (no 139) againstS. ipsilon. Bioassays establishing the high virulence of the FloridaN. rileyi isolate (no 5) to the Egyptian cottonworm and its pathogenic activity against the other tested noctuids, confirmed the interest for this fungal entomopathogen which has been demonstrated on noctuid populations in the southeastern United States. Moreover results of the host range assays of European isolates ofP. fumoso-roseus showed that this species appears to be an other potentially valuable microbial control agent against noctuid pests.
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17.
Plusquellec, Y., Lafuste, J. & Webb, G. E. 1990 10 15: Organisation de type tétracoralliaire des rides septales de Palaeacis (Cnidaria, Carbonifére). Lethaia, Vol. 23, pp. 385–397. Oslo. ISSN 0024–1164. Precedemment signalée chez Kerforneidictyum (Pleurodictyforme dévonien), la rare disposition des rides septales suivant un mode tétracoralliaire est décrite chez un Palaeack sp. du Viséen d'Algérie et chez P. cuneiformis subsp. A du Viseen d'Australie. Chez Palaeacis sp. sont mises en evidence une ride septale cardinale forte en position externe opposée à une ride antipode déterminant un plan de symétrie bilatérale; de part et d'autre une zone systématiquement confuse marque l'emplacement des rides alaires. La reconnaissance des périantipodes prête à discussion et ce secteur présente une originalité certaine par rapport à celui des Tétracoralliaires. Chez P. cuneiformis subsp. A, une coupe transversale montre la présence de quatre rides proéminentes qui fusionnent dans I'axe du corallite et I'existence d'une symétrie bilatérale. La position systématique du genre Palaeacis est discutée: son attribution aux Tétracoralliaires est exclue, ancun caractére n'est incompatible avec le statut de Tabulé, la création d'une unité taxon-omique nouvelle regroupant Palaeacis, Trachypsammia et les Pleurodictyformes est envisageable mais actuellement prématurée. ? Palaeacis, Tabulata, Rugosa, rides septales, systématique, relations deparenré, Viséen. The tetracoral pattern of septal ridges described in Kerforneidictyum (Devonian Pleurodictyum-like coral) is scar'ce in the Tabulata, but has been found in Palaeacis sp. from the Visean of Algeria and in P. cuneiformis subsp. A from the Visean of Australia. Palaeacis sp. shows a strong cardinal septal ridge in peripheral position, just opposite the counter ridge. thus creating a plane of bilateral symmetry: an area on both sides. which is always blurred, indicates the position of the alar ridges. counter-lateral ridges are not easily identified and yield differing interpretation. Compared with the Rugosa this area presents distinctive features. In P. cuneiformis subsp. A, a transverse section exhibits four well-developed septal ridges that coalesce in the axis of the corallite with obvious bilateral symmetry. The systematic position of the genus Palaeacis is questioned: Rugosa it is not; it may belong to Tabulata: however, erecting a new higher taxon for Palaeacis, Trachypsammia and other Pleurodictyum-like corals is premature at our present state of knowledge. ? Palaeacis, Tabulata, Rugosa, septal ridges, systematic. affinities, Visean.  相似文献   

18.
Le genre néotropical Anomalocornis Carvalho & Wygodzinsky 1945, est révisé. Les espèces A. geijskesi Carvalho & Wygodzinsky 1945, A. ariasi Carvalho 1982, A. tucuruiensis Carvalho 1984, A. rondoniensis Carvalho 1984, A. couturieri Carvalho & Costa 1993 and A. peyreti Couturier & Costa 2002 sont redécrites, leurs femelles, ainsi qu’une nouvelle espèce de Colombie, A. gentyi n. sp. sont décrites. Les espèces se différencient entre elles par leur taille, la coloration du corps, la morphologie et la coloration des articles I et II de l’antenne du mâle et par la structure des génitalia. Les différentes espèces sont originaires du Brésil, de Colombie, de l’Equateur, du Pérou et du Surinam. Toutes les espèces, excepté A. ariasi, dont la plante-hôte n’est pas connue, vivent sur les inflorescences de palmiers.  相似文献   

19.
Résumé Le r?le des Entomophthorales dans la dynamique des populations de pucerons infestant la végétation spontanée est comparé d'une part en zone littorale (Basse-Normandie) et d'autre part en zone continentale (Vosges). En Basse-Normandie, le comportement anholocyclique de nombreuses espèces de pucerons contribue à la permanence des populations aphidiennes et, en conséquence, à la persistance de la mycose. Dans les Vosges, en raison des dures conditions hivernales, les pucerons ont un développement holocyclique et leurs colonies se développent pendant 6 ou 7 mois seulement; en 1974, la mycose appara?t au moment du maximum de la population aphidienne et une situation épizootique détermine le rapide déclin des populations. Dans les 2 régions,Erynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Entomophthora planchoniana Cornu,Neozygites fresenii (Nowak.) Remaud. & Kell. etConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Kell sont les pathogènes les plus communs. La fréquence deZoophthora phalloides Batko sur le littoral normand contraste avec sa rareté dans les Vosges.Conidiobolus osmodes Drechsler, occasionnellement observé en Normandie, n'a jamais été rencontré dans les Vosges.E. neoaphidis etE. planchoniana sont présents toute l'année. La première espèce est plus abondante au printemps, la seconde en automne.C. obscurus etZ. phalloides semblent mieux adaptés aux conditions fra?ches du printemps et de l'automne et sont très rarement rencontrés pendant la période chaude de l'été. En revanche,N. fresenii est trouvé surtout en été etC. osmodes presque exclusivement en hiver.Z. phalloides montre une préférence marquée pour des h?tes tels queMyzus ascalonicus Donc. etTubaphis ranunculina Wlk.;E. planchoniana attaque préférentiellement les espèces du genreCavariella. Les profils dynamiques des différents pathogènes des pucerons les plus communs sont donnés et les particularités écologiques de chaque pathogène sont précisées; les situation épizootiques se manifestent exclusivement en présence de populations aphidiennes de haut niveau. Toutes les espèces agissent comme de bons facteurs de régulation et, saufN. fresenii, sont capables de se maintenir aux dépens de populations aphidiennes très basses et clairsemées.
Summary The role of entomophthorosis in the dynamics of aphid populations infesting natural vegetation in northern littoral France (Basse-Normandie) and in northeastern continental France (Vosges) is compared. In Basse-Normandie, anholocyclic behavior of numerous aphid species contributes to the permanent presence of aphid populations and consequently, the persistence of mycosis. In the Vosges, severe winter, conditions result in holocyclic development whereby aphid colonies are present for only 6 to 7 months; during 1974 diseased specimens appeared when aphid populations were maximum, subsequent epizootic development caused a rapid decline of populations. In the 2 regions,Erynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Entomophthora planchoniana Cornu,Neozygites fresenii (Nowak). Remaud. & Kell. andConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Kell. are most common. The frequent occurrence ofZoophthora phalloides Batko in littoral Normandy contrasts with an apparent rarity in the Vosges.Conidiobolus osmodes Drechsler is occasionally encountered in Normandy, but is not found in the Vosges.E. neoaphidis andE. planchoniana are present throughout the year. The former is most abundant in the spring, the latter in the autumn.C. obscurus andZ. phalloides seem better adapted to cooler spring and fall conditions as their occurrence is exceedingly rare during the host summer period. In contrast,N. fresenii is found in the summer whileC. osmodes almost always occurs in the winter.Z. phalloides appears to prefer such asMyzus ascalonicus Donc. andTubaphis ranunculina Wlk.;E. planchoniana prefersCavariella spp. Dynamic profiles of the various pathogens of the most common aphids at different times of the year are given; ecological features of each pathogen are described; epizootics only occur in high aphid populations. All species act as good regulating factor and, with the exception ofN. fresenii, persist in very low aphid populations.
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20.
F. Hérard 《BioControl》1979,24(2):163-175
Résumé L'effet des ennemis naturels oophages deLymantria dispar (L.) est étudié dans une parcelle de la forêt de chêne-liège de Mamora, à partir d'échantillons de pontes prélevées au cours de l'été et de l'automne 1975. Les prédateurs sont les larves des coléoptèresTrogoderma versicolor (Creutzer),Anthrenus verbasci (L.) etTenebroides maroccanus Reitter; le parasite est l'hyménoptèreOoencyrtus kuvanae (Howard). Leur impact s'est accru au cours de l'été avant d'atteindre une valeur d'équilibre en automne. Au début de l'hiver, ils avaient détruits 76% des œufs déposés entre 0 et 2,5 m au-dessus du sol: les prédateurs ont dévoré la moitié de ces œufs et le parasite a tué 59% des œufs restant. Au-dessus de 2,5 m, tous les œufs sont morts: 76% par déficience physiologique et 24% tués par les prédateurs et parasites. La taille des pontes n'a pas d'influence sur les ennemis oophages. Le parasitisme est en corrélation avec le prédatisme lorsque celui-ci est compris entre 22% et 49% (en septembere et octobre): les pontes les moins démantelées par les prédateurs sont les plus parasitées. Le prédatisme et le parasitisme sont très variables d'un arbre à l'autre. La répartition hétérogène du parasitisme est liée aux conditions microclimatiques.
Summary The natural enemies attacking the eggs ofLymantria dispar (L.) in Morocco are larvae of the predaceous ColeopteraTrogoderma versicolor (Creutzer),Anthrenus verbasci (L.) andTenebroides maroccanus Reitter and the HymenopteraOoencyrtus kuvanae (Howard) and possiblyTelenomus spp. andGryon sp. The impact ofO. kuvanae increases during the summer but levels off during the autumn. By the beginning of winter these natural enemies had destroyed 76% of the eggs deposited on the trees from ground level to 2.5 m — the predators having consumed about 50% of the eggs and the parasite having killed about 26%. Above 2.5 m all the eggs were dead: 76% due to unknown natural causes and 24% killed by the predators and parasite. The size of the egg mass had no influence on the impact of the oophagous insects. There was a relation between parasitism and predation since predation removes between 22% to 49% of the eggs (in September and October); the masses that were the least disturbed were the most heavily parasitized. Predation and parasitism varied greatly from tree to tree. The heterogeneous distribution of the parasite is related to microclimatic conditions.


Cette étude a été réalisée au laboratoire de Zoologie de l'Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II à Rabat (Maroc), grace à l'appui de l'U.S.D.A., S.E.A. (PL 480. grant FG-Mo-102; project no F12-ENT-1).  相似文献   

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