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1.
Under natural conditions Eugaster stridulates in the afternoon until after sunset and in the morning; it has been shown that the threshold for activity is higher in darkness than in dim light.The concept of a continuously increasing sensitization was found also to cover the observation of the stridulation of Eugaster.In continuous darkness and in dim light an endogenous rhythm does appear at high temperature; at lower temperature and at higher illumination the stridulation is irregularly distributed through the diel.The typical round of song may be recognized at constant temperature and 12 hours light and 12 hours darkness; however, it becomes more distinct and more like the natural pattern at high temperature in the daytime and low in the night.
Résumé Des mâles isolés d'Orthoptères Ensifères stridulent chaque jour à une certaine heure, commencant généralement au crépuscule.Dans des travaux précédents (Nielsen et Dreisig 1970, Dreisig et Nielsen 1970) il a été démontré que cette forme d'activité rhythmique et d'autres analogues sont dues à une restauration progressive d'un état de sensibilité spécial, pendant la période de repos. La sensibilisation se produit plus vite à une température élevée qu'à une température basse. L'activité se déclenche lorsqu'un certain seuil de sensibilité est atteint, ce qui dépend des conditions extérieures actuelles, par exemple l'éclairage et la température. Eugaster diffère des Ensifères déjà examinés en ce que la stridulation, dans le cas de l'alternance naturelle entre le jour et la nuit, est divisée en deux périodes, la première au cours de l'après-midi et se prolongeant jusqu'au delà du crépuscule, la seconde se déclenchant vers le lever du soleil.L'existence d'un «sensibilisateur» chez Eugaster est en accord avec le fait que l'ampleur d'activité des deux périodes de chant dépend de la température au cours de la matinée précédant la reprise de la l'activité de l'après-midi (t.max. dans les figures 1 et 2).Dans les expériences de laboratoire pendant lesquelles l'éclairage et la température furent réglés, il a été constaté que le seuil de déclenchement était plus bas (donc atteint plus vite) à une lumière faible dans l'obscurité absolue. Cela confirme les suppositions tirées des expériences faites à la lumière naturelle, à savoir que l'obscurité inhibe la stridulation et que la pause entre les deux périodes d'activité est l'effet d'une faible illumination.Dans le laboratoire la répartition normale se produisit à une température constante et avec 12 heures de lumière et 12 heures d'obscurité (ou d'éclairage très faible). La répartition fut bien plus distincte en cas de température élevée pendant la période d'éclairage et de température basse pendant la période d'obscurité.A l'obscurité (ou en éclairement faible) constante, l'activité s'est manifestée en «libre cours» (free-running rhythm) avec une période inférieure à 24 heures, si la température était constamment au-dessus de 23°. En cas de température plus basse (au-dessous de 20°) la répartition de la stridulation fut irrégulière. C'est aussi le cas avec un fort éclairage constant.
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2.
Summary Lotus tenuis was inoculated withRhizobium spp. and grown at three different night temperatures (17, 21 and 27°C) and at two different photoperiods for each temperature: short days (SD) of 8-h light and long days (LD) of 16-h light. Night temperature exerted a stronger effect on dry-matter partitioning than of total dry-matter accumulation. Leaf area increased under LD though less N per leaf area was found. A greater number of leaves under SD might be linked to a day-length effect upon apical dominance and hence on branching, thus resulting in a greater crown growth. Nodulation and nitrogen fixation was greater under SD though specific nodule activity was the same regardless of the environmental conditions of growth. It can be concluded that the best planting time forLotus tenuis would be in the autumn when the days are shortening and the temperature is lower.
Effet de la température nocturne et de la photo-période sur la croissance nodulaire et la fixation d'azote chez Lotus tenuis
Résumé Lotus tenuis a été inoculé avecRhizobium spp. et mis à croître aux trois températures nocturnes, de 17, 21, et 27°C et à deux photo-périodes pour chaque température: des jours courts (SD) de 8 heures de lumière et des jours longs (LD) de 16 heures de lumière. La température nocturne exerce un effet davantage marqué sur la répartition de la matière sèche que sur l'accumulation totale de la matière sèche. La surface foliaire augmente dans le cas des LD bien que l'on trouve moins d'azote par unité de surface foliaire. Dans le cas des SD, de plus grands nombres de feuilles pourraient être liés à un effet de longueur de jours sous dominance apicale, c'est-à-dire en banchement, résultant donc dans la croissance d'une plus grande couronne. La nodulation et la fixation d'azote sont plus grandes dans le cas des SD bien que l'activité spécifique des nodules soit la même, indépendamment des conditions environnementales de croissance. On peut en conclure que le meileur moment de plantation pourLotus tenuis serait l'automne lorsque les jours raccourcissent et que la température est plus basse.
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3.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

4.
The effect of chilling time on the termination of pupal diapause was studied in the Cinnabar moth, Tyria jacobaeae L., Lepidoptera: Arctiidae. Chilling followed by a temperature of 20°C was effective in terminating diapause. Chilling for 120 days immediately after pupation yielded the highest percentage emergence and resulted in the shortest total pupal development time (162 days). A more natural treatment, a warm period before cold treatment, did not result in a higher percentage of emergence or in a shorter total pupal development time.During hibernation this species experiences two successive processes: diapause development during the first three to four months of cold, followed by a period of quiescence. Application of high temperatures in this latter period immediately starts morphogenesis. The impact of a relative humidity of 70% during the pupal stage for complete wing unfolding is demonstrated. The underlying mechanism of diapause is discussed.
Résumé L'effet sur la levée de la diapause de différents régimes de température infligés aux chrysalides est étudié chez Tyria jacobaeae L. (Lepidoptera: Arctiidae). Une mise au froid suivie de hautes températures lève efficacement la diapause. Un refroidissement pendant 120 jours immédiatement après la nymphose entraîne le plus grand pourcentage d'éclosions et la durée totale du développement des chrysalides la plus courte (162.3 j). Un traitement plus naturel, une période chaude avant la période froide, n'entraîne pas un plus grand pourcentage d'éclosions ni une durée plus courte de développement.Il est proposé que durant l'hibernation cette espèce passe par deux processus successifs: un diapause durant les premiers trois ou quatre mois de froid, suivie d'une période de quiescence. Le transfert à des hautes températures pendant cette derpériode déclanche immédiatement la morphogénèse. L'influence d'un taux élevé d'humidité relative durant le stade chrysalide sur le déploiement complet des ailes est démontré. Le méchanisme de diapause sous-jacent est discuté.
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5.
Recovery time after experience of a given minimum temperature below torpor threshold is related to the value of that minimum, the length of time spent at that minimum, and the temperature prevailing during the recovery period above torpor threshold. A model can predict recovery time for flies experiencing a given temperature fluctuation if the length of time spent at the minimum is expressed as a proportion of LE50 at that minimum.The model has applications in defining the optimal protocol for chilling insects for use in the Sterile Insect Release Method. The model was confirmed by experiments showing that it is likely that flies will recover from non-lethal frosts before ant predators become active.
Résumé Le temps de récupération après avoir subi une température minimal située au-dessous du seuil d'engourdissement dépend de la valeur de ce minimum, du temps passé à ce minimum, et de la température au-dessus du seuil d'engourdissement pendant la période de récupération. Un modèle mathématique permet d'estimer le temps de récupération après avoir subi une chute de température déterminée, en fonction du temps passé au minimum thermique exprimé comme une fraction du LE50 (temps nécessaire pour tuer 50% des mouches) à ce minimum.Ce modèle s'est trouvé étayé par des observations montrant qu'il est probable que les mouches se remettent des gelées sublétales avant la reprise d'activité des fourmis prédatrices. Ce modèle peut être utilisé pour définir les conditions optimales de refroidissement des insectes utilisés lors de la libération d'individus stériles.
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6.
An apparatus was built to investigate the behavior of Aedes taeniorhynchus larvae and pupae under uniform illumination in a temperature gradient. Larvae were reared at 30.0° C and tested with and without access to food prior to and during the periods of observation. Preferred ranges for starved larvae were greater and spread over slightly lower temperatures than those selected by fed individuals. Fed larvae in all instars preferred the same approximate range, from 30° to 38°, but calculated average preferred temperatures disclosed a progressive increase with age, from 31.8° in the first instar to 34.6° in the early fourth instar. Late fourthinstar larvae (approaching pupation) chose slightly cooler temperatures (average of 33.0°). Animals from a laboratory colony cultured for several years at 27.0° gave, in the early fourth instar, a response almost identical to that shown by progeny of wild-caught females. When temperature for early fourth-instar larvae was slightly lower (33.5° compared with 34.6°). Observations by means of flash photography showed that the range of temperature selected by fed early fourth-instar larvae in total darkness was the same as under uniform illumination.
Résumé Un appareil a été construit en vue d'étudier le comportement des larves et nymphes d'Aedes taeniorhynchus soumises à un gradient de température, sous des conditions d'éctairement uniforme. Les larves étaient élevées à une température de 30° et soumises au test avec ou sans possibilité de se nourrir avant ou pendant les périodes d'observation. Les larves nonalimentées manifestaient un preferendum pour des limites de température plus larges et légèrement plus basses que celles observées avec des larves nourries. Ces dernières, à tous les stades larvaires, montrent un preferendum de 30° à 38°, mais le calcul de la température moyenne préférée révèle un accroissement progressif avec l'âge, passant de 31°8 au 1er stade larvaire à 34°6 au début du 4ème stade larvaire. Les larves du 4ème stade, peu avant la nymphose, préfèrent une température légèrement plus basse (moyenne de 33°). Dans un élevage, maintenu pendant plusieurs années au laboratoire à une température de 27°, les larves du début du 4ème stade montrent une réponse presque identique à celles provenant de femelles capturées dans la nature.Quand les larves sont élevées pendant une génération à 24° en lieu de 30° la moyenne du preferendum thermique pour les jeunes larves du 4ème stade est légèrement plus faible (33°5 au lieu de 34°6).Des observations au moyen de photographies par flash électronique montrent que le preferendum thermique est le même à la lumière ou à l'obsurité.
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7.
The development time, survivorship and age-specific fecundity of apterous and alate virginoparae of the sowthistle aphid, Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), reared on Sonchus oleraceus L., were measured under various temperature and light regimes. Within the temperature range of daily means of 12.5–24°C, speed of development and reproductive rate increased, while life span and total fecundity decreased, with an increase in temperature. The relationship between temperature and rate of development was nearly linear, with a notional development threshold estimated at about 2°C. The intrinsic rate of increase (rm) was positively correlated with temperature when calculated on a daily basis, but was inversely related to temperature when measured on a physiological time scale. Alatae generally had a longer development time, and achieved a lower reproductive rate and life-time fecundity, than apterae reared under identical conditions.Comparison of aphid performance under constant and alternating temperature regimes, and between successive generations under the same regime, showed that (1) the conditions experienced by the aphid as an embryo within its mother are important in determining survival and development and (2) tolerable temperature limits vary with the pattern and amplitude of the fluctuations of temperature.At 22°C, changes of photoperiod within the range of 12D:12L to 8D:16L had little effect on aphid performance.
Résumé La durée du développement, le taux de survie et la fécondité en fonction de l'âge ont été suivis chez les virginipares aptères et ailés du puceron: Hyperomyzus lactucae L., élevé sur Sonchus oleraceus L., et soumis à différentes conditions de température et de lumière. A l'intérieur de la gamme de températures moyennes de 12,5 à 24°C, la vitesse de développement et le rythme de reproduction augmentent, tandis que la longévité et la fécondité totale diminuent. La relation entre la température et la durée du développement est presque linéaire, avec un seuil théorique de développement évalué à environ 2°C. Le taux intrinsèque d'accroissement est lié positivement à la température calculée sur une base quotidienne, mais la relation est inversée quand la température est mesurée sur une échelle physiologique. Pour des conditions d'élevage identiques, les ailés ont eu, dans l'ensemble, une durée de développement plus longue, un taux de reproduction et une fécondité totale plus faibles que les aptères.La comparaison des performances des pucerons sous thermopériodes ou températures constantes, ou entre les générations en conditions identiques, a montré (1) que les conditions subies par l'embryon dans la mère conditionnent la survie et le développement; (2) que les limites des températures tolérables changent en fonction du type et de l'amplitude des fluctuations de température.A 22°C, des modifications de la photopériode, dans la gamme; 12D:12L à 8D:16L, ont eu peu d'effet sur les performances des pucerons.
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8.
The searching capacity of Pharoscymnus numidicus, determined by criteria of mobility and survival rates, increases with age of larvae. The searching pattern is of a random nature; the predator does not orientate toward its prey, and the direction of its movement is influenced by physical factors such as light. The ability to feed on alternative foods increases the predator's chance to survive under natural food scarcity conditions. In this respect, its cannibalistic behavior is of particular importance for survival. The feeding capacity is dependent on instar, sex, history of larvae in relation to amounts of food previously consumed, atmospheric temperature, and population density of the host insect.
Résumé La capacité de Ph. numidicus de trouver la proie, determinée par la mobilité et le degré de survie, s'améliore avec l'âge des larves. Les mouvements de recherche sont de nature aléatoire; le prédateur ne possède pas le pouvoir de percevoir la proie, et les directions de son mouvement sont déterminées par des facteurs physiques, comme la lumière. La possibilité de se nourrir sur des aliments non-spécifiques augmente les chances de survie dans les conditions d'une pénurie de nourriture naturelle. De ce point de vue le cannibalisme possède une importance particulière pour la survie. La capacité de se nourrir dépend du stade, du sexe, de la nourriture précédente, de la température atmosphérique et de la densité de population de l'insecte-hôte.


Contribution from the National and University Institute of Agriculture Bet Dagan, Israel. 1967 Series; No. 1200-E.  相似文献   

9.
Ability to survive exposure to single or repeated periods at a subzero temperature is related to the temperature experienced, whether it is approached quickly or slowly, the time for which it prevails and the interval between exposures.The severity of any low temperature can be expressed in terms of LE50 (time required to kill 50% of individuals with one exposure). Minima enduring for 35% LE50 do not cause any mortality, even when repeated daily. Minima enduring for 44% LE50 cause ca 14% mortality on the first occurrence but no more if repeated at 3 day intervals, but 3% more per occasion if repeated daily. Minima enduring for 88% LE50 cause ca 40% mortality on first occurrence and an equal amount at each recurrence even if each is 7 days apart. Minima enduring for 125% LE50 and over 150% LE50 cause respectively ca 80% and 100% mortality respectively on first occurrence.The daily maximum temperature (in the range 15°C to 25°C) appears to have little relevance to the mortality caused by a repeated minimum of -5°C. Flies of different ages have a similar ability to survive a repeated minimum of -6°C for up to six exposures, but thereafter old flies are more susceptible than young ones.These results can be related to mortality caused by frosty conditions in the field so long as the time spent at the minimum is known and the temperature on the ground can be measured or calculated.
Résumé L'aptitude à survivre à une ou plusieurs expositions à des températures inférieures à zéro dépend à la fois de leur sévérité et du laps de temps entre les expositions. L'effet d'une température minimale déterminée dépend de sa valeur, de sa durée et du type de refroidissement: brutal (step) ou progressif (ramp).Les effets de toute température minimale peuvent être exprimés en termes de LE50 (temps nécessaire pour obtenir une mortalité de 50% avec une exposition unique). Lorsque le temps d'application de la température minimale correspond à 35% du LE50, il n'y a pas de mortalité, de même dans le cas de répétitions quotidiennes. Lorsque le minimum est subi pendant 44% du LE50, il provoque environ 14% de mortalité après la première exposition, avec 3% supplémentaire après chaque exposition quotidienne, mais l'augmentation est nulle si l'exposition au froid n'a lieu que tous les 3 jours. Lorsque le minimum est subi pendant 88% de LE50, la mortalité après la première exposition est d'environ 40% et de même importance à chaque nouvelle exposition, même si elles sont espacées de 7 j. Lorsque la durée d'exposition au minimum correspond à 125% et à 150% de LE50, les mortalités sont respectivement d'environ 80% et 100% à la première exposition.La température maximale quotidienne, entre 15 et 25°C, semble avoir peu d'influence sur la mortalité provoquée par des expositions répétées à-5°C. Les mouches d'âges différents résistent de la même façon jusqu'à 6 expositions répétées à-6°C, mais au-delà les mouches âgées sont plus sensibles que les jeunes.Dans la mesure où, dans la nature, la durée d'exposition à la température minimale est connue et où la température dans le sol peut être calculée ou mesurée, ces résultats peuvent permettre d'interpréter la mortalité provoquée par le gel.
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10.
Quantitative enzyme-linked immunosorbent assay (ELSIA) was used to detect antigens of the aphid Sitobion averae (F.) in the guts of Linyphiidae, Carabidae and Staphylinidae. The effects of temperature, both constant and variable, and size of meal on the detection period and antigen decay rate were studied in the laboratory. Predators fed freshly-killed aphids were subsequently kept at one of several temperature regimes for a period from 0 to 13 days before being assayed for aphid remains. The proportion of prey remaining at intervals after feeding was measured. Curves were fitted to transformed data and the detection period estimated. The rate of decline in detectable remains was temperature-related, with the rate increasing as temperature increased. Prey remains in Staphylinidae declined much faster than in either Carabidae or Linyphiidae. In all but one case the decline was exponential with time. Variable temperature regimes produced results very similar to those obtained under conditions of constant temperature. Meal size produced a considerable difference in the amount of aphid remains detectable but little difference in the rate of decline or the estimated detection period. Data of the above types are a prerequisite for postmortem quantification of predator meals.
Influence de certains facteurs sur la détection par ELISA de vestiges de pucerons à l'intérieur des prédateurs
Résumé La recherche d'antigènes du puceron Sitobion avenae F. a été effectuée dans les tractus digestifs de Linyphiidae, Carabidae et Staphylinidae par ELISA (adsorption des antigènes sur l'anticorps fixé et dosage par l'anticorps enzymatiquement marqué). Les influences de la température, —soit constante, soit périodique —, de l'importance du repas, du moment de la détection et de la vitesse de disparition des antigènes ont été examinées au laboratoire. Des prédateurs alimentés en pucerons tués depuis peu ont été conservés de un à 13 jours à defférents régimes de températures avant la recherche de vestiges de pucerons. Une courbe d'atalonnage a été établie pour permettre la conversion de la valeur de la densité optique observée en mg de vestiges de pucerons en fonction du temps écoulé depuis le repas. Les données ont été soumises à une transformation angulaire et les courbes ajustées pour estimer la période de détection.La vitesse de disparition de vestiges détectables a augmenté avec la température. Les vestiges ont disparu beaucoup plus vite dans les Staphylinidae que dans les Carabidae ou les Linyphiidae. A l'exception d'un cas, la disparition était une expontentielle du temps. Les thermopériodes ont produit les mêmes effets que les températures constantes. La taille du repas a provoqué des différences considérables sur la quantité de pucerons décelable, mais peu sur la vitesse de la disparition ou la durée de la période où la détection est possible. L'obtention d'informations de ce type est une condition préalable à toute quantification post-mortem des repas de prédateurs.
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11.
Henri Saëz 《Mycopathologia》1965,27(3-4):321-338
Résumé Au cours de l'autopsie de 58 jeunes mammifères sauvages, morts en captivité au Parc zoologique de Paris, nous avons effectué des prélèvements à différents niveaux du tube digestif: pharynx, estomac, intestin grêle, gros intestin et rectum. Chez ces animaux, mort-nés ou âgés de quelques heures à six jours, nous avonsrecherché, dans le matériel prélevé, les levures et lesGeotrichum. Les résultats sont analysés en fonction de deux question: 1-Flore fongique et Microorganismes en transit, II Vitesse de diffusion et d'implantation des champignons dans le tube digestif.Nous pensons qu'il existe une flore permanente et une flore saisonnière, auxquelles se superpose une flore étagée: flore du pharynx, flore de l'estomac, etc. .... La flore n'est pas constamment présente chez tous les animaux jeunes ou adultes. Nous passons en revue quelques facteurs qui peuvent agir sur elle. Nous mettons l'accent sur la température interne de l'hôte. A ce dernier facteur, s'oppose, au laboratoire, l'étude du comportement des souches isolées vis à vis de la température.Jusqu'à présent nous n'avons pas encore observé une véritable flore fongique constituée in utero. Parmi les 58 animaux examinés, l'implantation la plus manifeste a été vérifiée chez un Hippopotame âgé de deux jours. Cette colonisation est précédée de quelques vingt-quatre heures de la diffusion proprement dite, qui, elle, est très rapide. Cette progression des champignons à travers le tube digestif est parfois en avance sur celle du premier bol alimentaire.  相似文献   

12.
The variation in response to photoperiod and temperature of different populations of the peacock butterfly, Inachis io (L.) (Lepidoptera: Nymphalidae), was investigated to test the extent to which species can adjust their response to the environment, and therefore maximise their reproductive potential. The photoperiodic (adult) diapause induction response varies between populations, and appears to be finely tuned to the local conditions. There is however variation within populations and the response can be adjusted in a population by selective breeding. The developmental rate is not significantly different between three latitudinally distinct populations, over the range of temperatures tested, and pupal weights are similar at given temperatures. However, pupal weights increase with decreasing development temperature. The implications of these findings are discussed with reference to modelling life history strategies.
Résumé Inachis io (L.), observable dans une grande partie de l'Europe, y présente des différences quant au cycle biologique, au voltinisme et à la durée du développement. Trois populations provenant de la zone de transition entre monovoltinisme et bivoltinisme ont été échantillonnées pour examiner les différences de réponses à la photopériode et à la température, et pour évaluer l'étendue des possibilités d'adaptation de cette espèce à l'environnement et ainsi optimaliser son potentiel reproductif. L'induction photopériodique de la diapause est de type jour long pour toutes les souches examinées, mais la photopériode critique 50 (CPh50) varie suivant les populations et paraît étroitement ajustée aux conditions locales. Il y a cependant assez de variabilité à l'intérieur des populations pour que le seuil puisse être rapidement abaissé dans chaque population par des expériences d'élevage sélectif. Par contre, la vitesse de développement ne varie pas significativement entre les populations pour la gamme de température: 15–27°C. Les poids de chrysalides ne diffèrent pas suivant les populations, bien qu'ils augmentent quand la température de dévelppement diminue. On peut penser que des modèles, prédisant que la diminution du nombre de générations pendant une saison sera accompagnée d'une prolongation de la durée de développement et d'une augmentation de la taille, et que ceci est d'origine génétique et non le résultat seul du refroidissement de l'environnement, ne tiendront pas compte de l'absence de variation entre populations dans la relation entre température et développement.
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13.
Visual sensitivity and foraging in social wasps   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary While there is a distinction between that intensity of illumination which permits social wasps to forage, and that to which a sessile worker can respond, nevertheless illumination is the most critical of the environmental factors which control the activity of wasps. Low temperatures, high winds, and heavy rain all reduce activity but unless exceptionally severe do not wholly stop it. At dawn, when the critical level of illumination is attained, workers leave the nest, but at dusk they will not leave should the same critical level be due in the course of the foraging flight, after which they could not return.The three species of wasp,Vespula vulgaris, V. rufa, andV. germanica have a common threshold of illumination, although the hornet,Vespa crabro can forage in moonlight at an altogether lower illumination. Honey-bees normally need a still higher illumination than do wasps.In all these species, the thresholds of illumination are related to the length of the compound eyes, so that species with large eyes need less light by which to forage. Moreover, there is a slight difference between the threshold at dawn when workers leave the nest, and that at dusk, when they must needs have sufficient light by which to return. This difference is almost constant for each species, when, as is customary, one measures it on a logarithmic scale.Lastly, the estimates, which these experiments provide, of the threshold illuminations depend stochastically on the number of workers foraging. A correction for this bias is given.
Sommaire Parmi les facteurs du milieu qui contrôlent l'activité des guêpes, celui de l'intensité de lumière est le plus important; toutefois on note une différence entre l'intensité de lumière qui permet aux guêpes sociales de fourrager, et celle qui produit une réponse des ouvrières sessiles.En général, les basses températures, les vents forts, et les grandes pluies réduisent leur activité, mais ces facteurs ne l'arrêtent pas complètement, à moins qu'ils ne soient très marqués.A l'aube, quand le niveau critique de lumière est atteint, les ouvrières quittent le guêpier, mais, le soir, si elles s'attendent à ce que la lumière vienne à s'abaisser au cours de leur sortie au-dessous du niveau critique, elles ne sortent pas.Les trois espèces de guêpe,Vespula vulgaris, V. rufa, etV. germanica, réagissent au même seuil de lumière, mais le frelon,Vespa crabro, est capable de fourrager au clair de lune par une lumière moins intense. Normalement, les abeilles exigent une lumière plus intense que les guêpes.Dans toutes ces espèces, le seuil de lumière se rapporte à la hauteur des yeux composés, par conséquent les espèces pourvues de grands yeux sont à même de fourrager par une lumière moins intense. De plus, il y a une légère différence entre le seuil de lumière à l'aube, quand les ouvrières quittent le guêpier, et celui du soir lorsqu'elles ont besoin d'une lumière suffisante pour rentrer. Cette différence, quand elle est mesurée à l'échelle logarithmique, comme il est d'usage, est presque constante pour chaque espèce.Enfin, les évaluations du seuil de lumière dans ces expériences dépendent stochastiquement du nombre d'ouvrières en train de fourrager. On a tenu compte de ce fait.
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14.
Liver temperatures of male Wistar rats were measured continuously by a copper-constantan thermocouple in a climatic chamber under LD 12:12 hr light-dark cycle. When rats were exposed to cold of 8°C in the light period, liver temperature rose in the majority of the animals, while it fell in a dark period in most cases. It was found that the response of liver temperature change to cold exposure in a light period was distinct from that in a dark period. Further, it was suggested that the response varied with time in the light-dark cycle.
Zusammenfassung Die Lebertemperatur von männlichen Wistar Ratten in einer Klimakammer im LD 12:12 hr Licht-Dunkel Zyklus wurde mit einem Kupfer-Konstantan Thermoelement fortlaufend gemessen. Wenn die Ratten in der Lichtperiode 8°C Kälte ausgesetzt wurden, stieg die Lebertemperatur der meisten Tiere an, während sie in der Dunkelperiode in den meisten Fällen fiel. Der Reaktionsmodus des Lebertemperaturwechsels auf die Kälte ist in der Lichtperiode anders als in der Dunkelperiode. Die Reaktion scheint von der Zeit im Licht-Dunkel-Zyklus abzuhängen.

Resume On a mesuré la façon suivie la température du foie de rats mâles de la race de Wistar soumis, en chambre climatisée, à un cycle lumière/obscurité (L:O) de 12:12 hr. Pour ce faire, on a utilisé un couple thermo-électrique cuivreconstantan. Si l'on exposait ces animaux à une température de 8°C durant la période de lumière, la température du foie augmentait dans la plupart des cas pour s'abaisser dans l'obscurité. Le processus de variation due au froid de la température du foie est différente à la lumière de ce qu'il est dans l'obscurité. Cette réaction semble en outre dépendre du cycle LO.


A part of this study was reported at the Fifth International Biometeorological Congress, Montreux, Switzerland, 31 August – 6 September 1969.  相似文献   

15.
Summary Lethal temperatures for 24 hours' exposure below 10 per cent relative humidity were highest for scorpions and camel-spiders and higher for tenebrionid beetles than for crickets, cockroaches and earwigs. The rate of water-loss increased around the lethal temperature: pre-conditioning for 24 hours resulted in enhanced resistance to high temperatures for up to four hours. Heat death in Ocnera bispida is not related to water-loss and excess moisture adversely affected survival. Death was associated with a decrease in blood pH in this species and in the scorpion Leiurus quinquestriatus. It is suggested that heat death cannot be attributed to a single factor, but that in these cases it may be primarily related to the accumulation of acid waste products of metabolism.
Résumé Un nombre d'arthropodes déserticoles a été exposé à des températures létales pendant 24 heures à une humidité relative inférieure à 10%. Les températures létales des scorpions et des Solifuges étaient beaucoup plus élevées que celles des insectes; les températures létales des coléoptères tenébrionides dépassent celles des espèces d'insectes cryptobiontes. Le degré de perte d'eau augmente au voisinage de la température létale.La résistance aux températures élevées est augmentée d'un maximum de 4 heures par une acclimatisation préalable de 24 heures. La mort d'Ocnera bispida par la chaleur n'est pas causée par une perte d'eau; la présence d'un excès d'humidité exerce un effet néfaste sur la survivance. Chez cette espèce et chez le scorpion Leiurus quinquestriatus la mort est associée à une baisse du pH sanguin. L'auteur suggère que la mort ne peut être attribuée à un seul facteur, mais qu'elle est causée, dans le cas des espèces mentionnées, par l'accumulation de produits résiduels acides du métabolisme.
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16.
To measure the progress of diapause termination in December and March and the difference in diapause intensity between populations from two altitudes, Coccinella septempunctata adults were exposed to 25° and to photoperiods 18L:6D or 12L:12D and the oviposition was recorded.In early December, C. septempunctata females from 600 m had the pre-oviposition period 1/3–2/3 shorter than the population from 1500 m. It was shorter under long day and in injured coccinellids under short day than in intact insects under short day. In mid-March the pre-oviposition period was considerably shorter, both after the hibernation outdoors and under 15°, indicating thus that diapause was over in almost all females. Photoperiodic response in post-diapause insects was shown by a gradual halt of oviposition after a decrease in daylength.In contrast to pre-oviposition of C. septempunctata, the pre-pupal period of Perilitus coccinellae did not get shorter between December and March.
Résumé En vue d'apprécier l'intensité de la diapause et son état d'avancement au cours du temps, en fonction des conditions d'hivernage, deux populations de Coccinella septempunctata sont récoltées dans le sud-ouest de la France, l'une à 600 m d'altitude, l'autre à 1512 m. Les insectes sont prélevés, d'une part, au milieu de la période d'hivernation (2 décembre), d'autre part, en fin de cette période (20 mars). Ils sont soumis à des photopériodes longues (18 L:6D) ou courtes (12 L:12D), dans des conditions de température de 25°, et on compare le délai nécessaire pour obtenir la ponte (période de pré-oviposition). Certains lots ont subi une mutilation, à titre expérimental: section des ailes postérieures.Chez les insectes prélevés début décembre, la durée de la période de pré-oviposition est de 1/3 à 2/3 plus courte pour la population de plaine hivernant à 600 m d'altitude. L'activation est plus rapide en jours longs (18h de photophase); elle est aussi plus rapide chez les coccinelles mutilées que chez des femelles indemnes, lorsqu'elles sont placées en jours courts.Chez les insectes prélevés en mi-mars la période de pré-oviposition est beaucoup plus courte; il en est de même chez des insectes prélevés en décembre mais maintenu en hibernation artificielle au laboratoire à une température de 15° et à l'obscurité. Des femelles réactivées en jours longs se révèlent sensibles dès l'achèvement de la diapause à une réduction de la photopériode qui provoque un arrêt progressif de la ponte.En contraste avec les variations observées dans la durée de la période de pré-oviposition chez les coccinelles réactivées en décembre ou en mars, la période de pré-émergence de leur parasite Perilitus reste la même et n'est pas plus courte en mars qu'en décembre.


Dedicated to Prof. Dr. Jan de Wilde, Wageningen, on the occasion of his 60th birthday.  相似文献   

17.
Summary At Westbank, British Columbia, temperatures at and near the soil surface had a notable effect on the foraging activities ofFormica subnitens Creighton; maximum activity occurred at average soil surface temperatures of 82.1° and 93.5°F. for morning and afternoon periods respectively. Relative humidity apparently influenced foraging activity but the methods used for recording data proved unsatisfactory. Evidence that light and atmospheric pressure influenced foraging activities was obtained, but as changes in these factors were associated with changes in temperatures and relative humidity the effects of each were not determined. Evidence was also obtained that the direction of ant travel was influenced to some extent by the compass position of the sun.
Résumé A Westbank (Colombie Britannique), les températures au sol et au voisinage de la surface du sol affectent les activités de récolte deFormica subnitens (Creighton; le maximum d'activité se produit lorsque la température moyenne de la surface du sol est de 82,1°F. le matin et 93,5°F. l'après-midi. L'humidité relative influe apparemment sur l'activité de récolte, mais les méthodes employées pour la mesure systématique de ses variations ne furent pas satisfaisantes. Il est évident que la luminosité et la pression atmosphérique influent sur les activités de récolte; mais, comme les variations de ces facteurs s'accompagnent de variations de température et d'humidité relative, ce qui revient à chacun n'a pas été déterminé. On a pu montrer également que la direction du déplacement des Fourmis était influencée par la position astronomique du soleil.


Contribution No. 3576,Entomology Division, Science Service, Department of Agriculture, Ottawa, Canada.  相似文献   

18.
The conditioning effect of cyclic photoperiods was studied in 9 experiments. Quail after 1 day of age were exposed to repeated cycles of 6 hr of light and 18 hr of darkness during their first 4 weeks.Afterwards the groups were established to study the effect of (a) ahemeral (unnatural daylength); (b) phase shifted, and (c) abbreviated photoperiods. The quail were kept on such regimens for 3 weeks. The results based on the 7-week testicular weights indicated that quail did not respond to a phase shift in the light period but responded to an abbreviation of a previously established photoperiod.Quail responded to unnatural daylength even when the actual and relative length of the dark period increased.
Zusammenfassung Die konditionierende Wirkung von zyklischen Photoperioden wurde in 9 Experimenten untersucht. Japanische Wachteln wurden nach der Geburt 4 Wochen einem Zyklus von 6L:18D Studen exponiert.Anschliessend wurden die Tiere in Gruppen eingeteilt, um die Wirkung von: (a) unnatürlicher Tageslänge; (b) Phasenwechsel, und (c) verkürzten Photoperioden bei 3 Wochen Exponierung zu prüfen.Die Ergebnisse beziehen sich auf das Hodengewicht nach 7 Wochen. Danach reagierten die Wachteln nicht auf einen Phasenwechsel in der Lichtperiode,wohl aber auf eine Verkürzung der bis dahin bestandenen Photoperiode.Wachteln reagierten auf unnatürliche Tageslänge auch dann, wenn die wirkliche und relative Länge der Dunkelperiode zunahm.

Resume L'effet de mise en condition qu'ont des périodes cycliques de lumière a été étudié au cours de neuf essais. Des cailles japonaises ont été soumises dès le lendemain de leur éclosion et durant 4 semaines à un régime de 6 heures de lumière suivies de 18 heures d'obscurité. Ensuite, les oiseaux furent placés durant 3 semaines en groupe afin d'étudier l'effet: (a) d'une durée du jour non-naturelle;(b)du changement de phase et (c) d'une période d'éclairement très brève. Les répercussions de ces anomalies sont chiffrées au moyen du poids des testicules après 7 semaines.Selon ce critère, les cailles ne réagissent pas à un changement de phase dans la période de lumière, mais bien à un racourcissement de la durée d'éclairement par rapport à la période précédente. Les cailles ont aussi réagi à une longueur non-naturelle du jour, mais uniquement si la durée d'obscurité réelle et relative augmentait.


Presented at the 4th International Biometeorological Congress,New Brunswick, New Jersey, 26 August – 2 September 1966. This investigation was supported in part by USDA Regional Research Project W-50.  相似文献   

19.
Pathogenicity of nuclear polyhedrosis virus (NPV) to western spruce budworm larvae, Choristoneura occidentalis Freeman, increased as temperature increased. In constrast, at temperature extremes, mortality increased for a specified dose of malathion or diflubenzuron, while at the optimal temperatures (20–25°C), mortality decreased. Malathion was the fastest acting insecticide, followed by diflubenzuron and then NPV.Simulation results considered temperature dependent developmental rates of the larvae, energy consumption, time to achieve total mortality, and mortality at specified doses of insecticides. Low temperatures provided the greatest reduction in the amount of energy consumed by spruce budworm relative to the energy consumed when no treatment was applied. This was due to both the percent mortality and because total mortality was realized in the larval stage while at the higher temperatures, mortality was not fully realized until the pupal stage.
Résumé La température modifie la toxicité ou la pathogénie du virus de la polyhédrose nucléaire (NPV), du diflubenzuron, et du malathion consommés par Choristoneura occidentalis Freeman. La pathogénie du NPV augmente avec la température, si bien qu'il y a une relation linéaire entre mortalité et température. Pour le diflubenzuron et le malathion, la température est liée à la mortalité d'une façon gradiatique. Aux températures extrêmes, la mortalité augmente pour une dose donnée de malathion ou de diflubenzuron, tandis qu'aux températures optimales (20 à 25°C), la mortalité diminue. Des modèles multiples ont été utilisés pour évaluer les effets ci-dessus.Le moment de la mortalité finale observée et la mortalité cumulative ont été modifiés par la température, mais non par la dose d'insecticide. L'effet le plus rapide est obtenu avec le malathion, suivi par le diflubenzuron et enfin le NPV.Selon les résultats de simulation,—tenant compte des taux de développement larvaires à différentes températures, de la consommation d'énergie, du temps nécessaire pour obtenir la mortalité totale calculée et de la mortalité calculée, pour une dose donnée d'insecticide à une température particulière —, ce sont les basses températures qui réduisent le plus l'énergie consommée par la population par comparaison avec l'énergie consommée en l'absence de traitement. Ceci est dû au pourcentage de mortalité calculée et au fait que la mortalité est toujours obtenue au stade larvaire, tandis qu'aux températures plus élevées, la mortalité se poursuit jusqu'au stade nymphal.
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20.
Young onion flies were placed in cages at four temperatures, 15°, 18°, 21° and 24°. Every 2 days the development of the egg chambers in the ovarioles, mating, egg production and mortality were scored. Influence of the temperature on the speed of egg-chamber development was very distinct. There was a high positive correlation between the development of the first and the second egg chamber. At 24° a significant difference in speed of egg-chamber development was found at two low levels of light intensity.
Résumé L'influence de la température sur la maturation des follicules de la mouche de l'oignon, Hylemya antiqua Meigen, a été analysée.Des jeunes adultes ont été mis en 4 cages et soumis au régime des températures suivantes: 15°, 18°, 21° et 24°. La maturation des follicules de huit femelles a été vérifiée pour chaque température et après 2 jours, par examen des ovaires sur le vivant. L'activité d'accouplement a été également contrôlée, ainsi que la ponte et la mortalité.L'effet de la température sur la vitesse dé développement des follicules est très net. À 15° le premier follicule n'a pas encore atteint la maturité après 26 jours. Par contre aux températures plus élevées la maturation se déroule plus vite. Le développement du deuxième follicule est en corrélation positive avec celui du premier (r=0.866).À 24°, deux niveaux relativement bas de l'intensité de la lumière causent des différences dans la vitesse de développement des premiers follicules.
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