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1.
The fecundity of the South India strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) is 73 eggs for females developing in 31 days and increases to 94 eggs for females emerging after 41 days. Fed females lay 45–55 more eggs which is the egg-equivalent of the reserves unfed females had to sacrifice for activity. Competition as a larva did not reduce a female's fecundity. Oviposition is inhibited when females are given 25 or fewer beans for oviposition and it is reversed if females find fresh beans. Oviposition is generally released by beans carrying a below average number of eggs, thus, the eggs are almost uniformly distributed over the beans. Eggs are preferentially placed on the largest egg-free beans as expected if oviposition is released when a beetle goes from a smaller to a larger bean. The cues resulating host preferences, cowpea > mung pigeonpea chickpea, are secondary to the cues producing hyperdispersion and the selection of larger beans. We present a model for the oviposition behavior that accounts for the observed responses to species, size, and egg load of oviposition sites.
Résumé La fécondité de femelles isolées avec un mâle, sans aliment ni eau, et laissées sans perturbation avec 50 graines au moins sert de fécondité standard. Elle augmente avec le temps de développement de l'uf à l'adulte de 73 ufs (32 j) à 94 ufs (44 j). La fécondité potentielle, obtenue avec des femelles alimentées sur sucre est de 125 ufs. Des femelles maintenues avec moins de 25 graines réduisent leur fécondité.Plus de la moitié des femelles distribuent leurs ufs uniformément jusqu'à une densité de 1,5 uf. L'uniformité peut provenir de l'induction de réactions de ponte par les graines portant moins d'ufs que l'effectif moyen. L'hyperdistribution au dessus des densités de 3 ufs/graine révèle l'aptitude à distinguer les graines avec 3 ufs des graines avec 4 ufs. Il y a moins d'écarts par rapport à l'uniformité (erreurs) avec des graines à surface rugueuse. Des femelles avec 10 graines font moins d'erreurs que des femelles avec 50 ou 100 graines.Les ufs sont ajoutés aux plus grosses graines sans ufs; ainsi, plus il y a de graines qui portent des ufs, plus le poids des graines avec ufs diminue. Un tel schéma est prévisible si la ponte est induite par des graines plus grosses que les graines rencontrées précédemment. Les femelles présentent un ordre de préférence clair quand elles sont en rapport avec leurs hôtes classiques: Vigna unguiculata > V. radiata > Cajanus cajan > Cicer arietinum Les caractères spécifiques de l'hôte, plutôt que la taille ou la texture de la surface servent à la distinction entre les graines d'un même hôte.Ces résultats expérimentaux peuvent être utilisés pour la modélisation du comportement de ponte d'une femelle.
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2.
The fundamental cooling parameters, the cooling constant k, the heat transfer coefficient h, and the ultimate steady state temperature T, are explained and the methods for their determination are described. The conversion of k to a percentage, r%(T – Ta)/t, provides an understandable number which is useful for comparing the relative rates of cooling of different systems under different conditions. h is indispensable for coefficient calorimetry and T can be used to calculate separately the heat input from local generation and from blood circulation.
Zusammenfassung Die wesentlichen Abkühlungsparameter, die Abkühlungskonstante k, der Wärmeüberleitungskoeffizient h und die äusserste steady state Temperatur T, werden erklärt und die Methoden zu ihrer Bestimmung beschrieben. Die Umkehrung von k in Prozent, r%(T–Ta)/t, ergibt eine verständliche Zahl, die beim Vergleich der relativen Abkühlungsraten verschiedener Systeme bei unterschiedlichen Bedingungen nützlich ist. h ist unersetztlich für Koeffizient-Kalorimetrie und T kann zur Berechnung der Wärmeeingabe durch lokale Bildung und Blutzirkulation benutzt werden.

Resume On définit ici les principaux paramètres du refroidissement (la constante de refroidissement k, le coefficient de transfer de chaleur h et la température finale de l'état d'équilibre T) et on indique les méthodes permettant leur détermination. La conversion de k en une valeur relative, r%(T–Ta)/t, donne une grandeur compréhensible qui est utile lors de la comparaison des taux de refroidissement relatifs de divers systèmes soumis à des conditions variables. h ne peut être remplacé dans le coefficient de calorimétrie et T peut être utilisé dans le calcul séparé de l'apport de chaleur, soit par formation locale, soit du fait de la circulation sanguine.


Presented during the Fifth International Biometeorological Congress, 1–6 September 1969, Montreux, Switzerland.  相似文献   

3.
The effects of three constant (15°C, 20°C and 25°C) and one alternating (16–22°C, mean 19.5°C) temperatures on development, mortality, feeding, fecundity and longevity of Liriomyza trifolii (Burgess) on tomato plants cv. Moneydor were examined in the laboratory. Development rates and thresholds for each instar were estimated by means of linear regression. No correlation was found between life history variables and pupal length. Further, data on the biology of L. trifolii are given and discussed.The intrinsic rate of increase, rm, varied from-0.0023 viable female eggs//day at 15°C to 0.1254 eggs//day at 25°C and net reproduction from one viable female egg/ at 15°C to 26 eggs/ at 20°C. Generation time varied from 48 days at 15°C to 24 days at 25°C. Ninety % oviposition occurred within the first 115 degree-days of adult life at both 20°C and 25°C. Fecundity and longevity were highly correlated with the number of feeding punctures. The data indicate that tomato is a suitable host plant allowing populations of L. trifolii to increase if temperatures are above 16°C.
Influence de la température sur la biologie de Liriomyza trifolii élevé sur tomates
Résumé La vitesse de développement, la mortalité, l'alimentation, la fécondité et la longévité de L. trifolii (Burgess) élevés sur plants de tomates du cultivar Moneydor ont été examinées au laboratoire sous 3 températures constantes (15°C, 20°C et 25°C) et une thermopériode (16/22°C, moyenne 19,5°C). Les taux de développement et les seuils de chaque stade ont été déterminés à partir des droites de régressions. Aucune corrélation n'a été mise en évidence entre ces variables biologiques et la taille des pupes. De plus, certaines données sur la biologie de L. trifolii sont fournies et discutées.Le taux intrinsèque d'accroissement, rm a varié de-0,0023 oeuf viable/femelle/jour à 15°C à 0,1254 oeuf viable/femelle/jour à 25°C et la reproduction nette de 1 oeuf femelle viable/femelle à 15°C à 26 oeufs femelles viables/femelle à 25°C. La durée d'une génération a varié de 48 jours à 15°C à 24 j à 25°C. 90% de la ponte a eu lieu dans les 115 premiers degrés jours de la vie imaginale à 20 et 25°C. La fécondité et la longévité étaient fortement liées au nombre de piqûres nutritionnelles. Ces résultats montrent que la tomate est un hôte convenable permettant aux populations de L. trifolii de se développer lorsque la température est supérieure à 16°C.
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4.
Two biotypes of pea aphid, Acyrthosiphon pisum, have been recognized in Australia, by their susceptibility (S) or resistance (R) to certain isolates of the fungal pathogen Erynia neoaphidis. The responses of these two biotypes to 40 isolates of the fungus have shown that the R form is largely confined to two States, New South Wales and Victoria, but appears to have recently spread into Queensland and Tasmania. There is no evidence to suggest it occurs outside Australia. Sequential sampling of two field populations of pea aphids during 1981 and 1982 showed that the proportion of R form remained stable at 10.7±3.0 and 14.6±2.6% (mean±standard error) for the two populations. Glasshouse competition experiments run at the comparatively high temperature of 25°C resulted in the R form becoming dominant even when the initial ratio was 4:1 in favour of the S form. The ecological and genetical implications are discussed.
Résumé Deux types biologiques d'Acyrthosiphon pisum ont été définis, en Australie, suivant leur sensibilité (S) ou leur résistance (R) à certains isolats du champignon pathogène Erynia neoaphidis. Les réponses des deux biotypes à 40 isolats du champignon ont montré que la forme R est essentiellement cantonnée à deux états: Nouvelle Galle due Sud et Victoria, mais a récemment gagné le Queensland et la Tasmanie. Aucun élément ne fait dire qu'elle existe hors d'Australie. Des échantillonnages séquentiels des deux populations de pucerons dans la nature en 1981 et 1982 ont montré que la proportion de la forme R est restée stable à 10,7 et 14,62 dans les deux populations. Des expériences de compétition en serre à la température relativement haute de 25°C ont rendu la forme R dominante, même quand le rapport initial était de 4/1 en faveur de la forme S. La discussion porte sur les conséquences écologiques et génétiques.
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5.
At constant temperatures in the laboratory, the rate of development (i.e. the reciprocal of the time of development in days) of eggs of T. ampliata increased with temperature in the range 15–30°C and threshold temperature for egg development was calculated to be 8.2°. The percentage of eggs hatching tended to increase with temperature, but hatching at 25° was not significantly different from that at 30° and no eggs hatched at 10°. A formula for predicting egg-developmental time at known temperature is provided.At 25° incubation period decreased and the percentage of eggs hatching increased with increase in relative humidity from 51–53% to 100 per cent. Embryonic development and egg hatching were inhibited at relative humidities below 51–53 per cent.
Résumé La vitesse du dévelopment (c'est-à-dire la réciproque de la durée du développement en jours) des ufs de Tingis ampliata soumis au laboratoire à des conditions constantes de température, s'accroît avec cette température pour une gamme comprise entre 15 et 30°, cependant que la température limite inférieure pour le développement est de 8°2. Le pourcentage d'ufs écols tend à augmenter avec la température mais l'éclosion à 25° n'est pas significativement différente de celle à 30° et aucun uf n'éclot à 10°. Une formule est proposée permettant de prédire la durée de développement des ufs à une température donnée.Pour une température de 25°, la durée d'incubation et le pourcentage d'éclosion des ufs s'accroissent avec l'humidité relative (de 51–53% à 100%). Le développement embryonnaire et l'éclosion sont inhibés par une humidité relative inférieure à 51–53%.
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6.
Phyllotaxis,anthotaxis and semataxis   总被引:1,自引:0,他引:1  
Leppik  E. E. 《Acta biotheoretica》1961,14(1-2):1-28
Summary Long-lasting debates, caused by conflicting viewpoints among biometrists on the phenomena of rhythmic growth in plant shoots, are at last being settled on certain crucial points. Most workers today agree that not all symmetrical constructions in plants can be explained by the application of the phyllotaxis theory. This theory explains adequately the orthostichous arrangement of leaves on growing photosynthetic apices, but fails in the case of non-photosynthetic reproductive organs.In the present paper three successive systems of shoot arrangement are described: phyllotaxis for cauline leaves, anthotaxis for sporophylls, and semataxis for semaphylls (see Table II). Each of these systems serves a different purpose: photosynthesis, reproduction and advertisement, and is accordingly adapted to its special function. Phyllotaxis and anthotaxis are classical concepts dealing with the arrangement of leaves and flowers; semataxis is a new term used in this paper to describe the arrangements of semaphylls. Goethe's classical theory of the metamorphosis of plants (1790) and his hypothetical Urpflanze are discussed in this paper from the viewpoint of the phyllotaxis-semataxis relation.
Zusammenfassung Nach den langen Debatten über die Anwendbarkeit der Phyllotaxistheorie zur Erklärung der Blatt- und Blütenstellungen, hat man sich schliesslich über einige alte Streitfragen geeinigt. Man nimmt nun ganz allgemein an, dass nicht alle symmetrische Bildungen an Pflanzen sich mit der Anwendung der Phyllotaxisgesetze und Fibonazzi Reihe begründen lassen. Diese Theorie erklärt glaubwürdig die rhythmische Anordnung der vegetativen Blätter an den photosynthetischen Sprossen, nicht aber die symmetrischen Bildungen in den Blüten.In dem vorliegenden Aufsatz sind drei historisch nacheinander folgenden Entwicklungssysteme: Phyllotaxis, für die vegetativen Blätter, Anthotaxis für Sporophyllen und Semataxis für die Semaphyllen eingehend diskutiert worden. Phyllotaxis ist ein klassischer Begriff für die Anordnung der Blätter; Anthotaxis wurde später eingeführt, ist bis jetzt aber nur wenig in diesem Sinne gebraucht und deshalb in diesem Aufsatz neu definiert worden. Semataxis ist neu. Sie betrifft die Anordnung der Semaphyllen, der auffälligen Teile (meistens die farbigen Kronblätter oder die kronblätterartige Kelch- und Hochblätter) der von den Insekten bestäubten Blüten der höheren Pflanzen. Jedes von diesen Systemen dient einem bestimmten Zweck. Die phyllotaktische Anordnung der vegetativen Blätter bezweckt die rationellste Photosynthese. Anthotaxis ist die zweckmässigste Ordnung der Sporophyllen für die mechanische Bestäubung und Fruchtbildung, während Semataxis schliesslich die Ankündigung der insektenbestäubten Blüten bedeutet. Alle diese Systeme sind ihren besonderen Funktionen eingehend angepasst.Obwohl die historische Entwicklung der Sprossysteme der höheren Pflanzen nach der Reihenfolge: Phyllotaxis Anthotaxis Semataxis erfolgt, sind in dem vorliegenden Aufsatz mehrere Ausnahmen mit umgekehrter Richtung angeführt. Semataktische Bautypen können unmittelbar von Phyllotaxis, und anthotaktische Anordnungen von Semataxis abgeleitet werden.Ferner sind in diesem Aufsatz die klassischen Theorien vonGoethe über die Metamorphose der Pflanzen (1790) und die hypothetische Urpflanze von dem neuen Gesichtswinkel der Phyllotaxis- und Semataxislehre eingehend diskutiert worden.

Sommaire Après de longs débats sur le phénomène de la croissance rhythmique des pousses des plantes, les biométristes s'accordent aujourd'hui sur certains points essentiels de la discussion. Au contraire des auteurs antérieurs, les chercheurs d'aujourd'hui admettent que toutes les constructions symétriques des plantes ne s'expliquent pas par l'application de la théorie de phyllotaxie. Cette théorie explique suffisamment la disposition orthostichique des feuilles sur des sommets photosynthétiques croissants, mais échoue dans le cas des organes reproductifs non-photosynthétiques.Dans le présent écrit trois systèmes successifs d'arrangements de pousses sont décrits: phyllotaxie pour feuilles caulines, anthotaxie pour sporophylles et sémataxie pour sémaphylles (voir table II). Chacun de ces systèmes sert à des fins différents: à la photosynthèse, à la reproduction et à l'avertissement, et s'adapte par conséquent à sa propre fonction.Phyllotaxie et anthotaxie sont des conceptions classiques pour désigner la disposition des feuilles et des fleurs, sémataxie est un term nouveau qui sert à désigner dans cette étude l'arrangement des sémaphylles.La théorie classique deGoethe sur la métamorphose des plantes (1790) et son hypothétique Urpflanze sont discutées dans cet écrit du point de vue de la relation existant entre la phyllotaxie et la sémataxie.


The author is indebted to Dr. W. H.Bragonier, Head of the Department of Botany and Plant Pathology for financial support of this project.

Journal Paper No. J — 3561 of the Iowa Agricultural and Home Economics Experiment Station, Ames, Iowa. Project No. 1073.  相似文献   

7.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

8.
No significant variation in mating activity was observed among eight laboratory strains of the Mediterranean fruit fly (medfly), Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae). Two methods were used to select strains showing high and low mating activity: a single pair technique (SP) assessing time to mating and a mass technique (M) based on a mating index. Reciprocal pairings between fast and slow selected lines showed that the difference between the SP lines was female-determined whereas the difference between the M lines depended on the behaviour of both sexes. M selection, irrespective of its direction, affected two courtship parameters, vibration distance and vibration duration both of which tended to be shorter. M selection was also associated with a reduction in startle activity in females.
Résumé Aucune variation significative n'a été observée dans les activités sexuelles de huit souches de laboratoire de la mouche méditerranéenne du fruit, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera Tephritidae).Deux méthodes ont été utilisées pour sélectionner des souches manifestant une activité sexuelle basse ou élevée: une technique utilisant un seul couple (SP), basée sur la durée de la période avant copulation, et une technique de masse (M), basée sur un index d'accouplement.Des appariements réciproques entre les lignées rapides et lentes ont montré que la différence entre les lignées SP était déterminée par les femelles, tandis que la différence entre les lignées M résultait du comportement des deux sexes. La sélection M, quelle que soit sa direction, affects deux paramètres, la distance entre partenaires lors de la vibration et la durée de la vibration qui tous deux tendent à se raccourcir. La sélection M est aussi associée à une réduction de la réaction des femelles à un brusque stimulus lumineux (Startle activity).
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9.
Life tables of Tetranychus urticae Koch were used to assess resistance to spider mites in five varieties of cotton in the southern San Joaquin Valley of California. Experiments were conducted during midseason and again in mid- to late season. The most resistant variety was Pima S-5 and the most susceptible was Acala SJ-2. Resistance of S-5 was expressed primarily as lower mite survivorship and fecundity. Developmental rates were similar on all 5 varieties. Although differences in the net reproductive rate (Ro) were large, there were only slight differences in the intrinsic rate of increase (r). Comparisons of the data in the first and second experiment, showed that resistance to spider mites increased as the plants matured. It is hypothesized that increased resistance associated with plant maturation results from a decrease in available nutrients in the leaves of older plants.
Résumé Les tables de vie de T. urticae Koch ont servi à la mise en évidence de la résistance de cinq variétés de coton dans la partie méridionale de la vallée de San Joaquin en Californie. Les expériences ont eu lieu à la mi-saison et à nouveau de la mi à la fin saison. La variété la plus résistante a été Pima S-5 et la plus sensible Acala SJ-2. La résistance de S-5 s'est traduite d'abord par une diminution de la survie et de la fécondité des acariens. Les taux de développement ont été les mêmes sur les cinq variétés. Bien que les différences entre les taux de reproduction nets (Ro) aient été importants, il n'y a eu que de légères différences entre les taux intrinsèques d'accroissement (r). La comparaison des résultats des lère et 2ème expériences a montré que la résistance aux acariens a augmenté quand les plantes ont mûri. L'hypothèse est émise d'un accroissement de la résistance lié à la maturation par suite d'une diminution de la quantité de'éléments nutritifs dans les feuilles des plantes âgées.
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10.
The supercooling point (SCP) of individual Epirrita autumnata eggs (approx. 60 eggs batch-1) was tested each month from September (eggs newly laid) to April under laboratory conditions simulating winter temperatures in the field (from +4 to-30 °C). Parallel to each test, one batch of eggs was transferred from the acclimation treatment to room temperature (22 °C) and the incubation duration to the first 50% hatch was recorded, giving a measure of embryo growth at the time of the SCP test. Data also give information on egg mortality, which generally was low.The SCP was found to be equivalent to the lower lethal temperatures for this species. Already in autumn, the SCP was in a low range of-34.9 to-36.5 °C and either rose (at a storage temperature of -3 °C) to a range between-28.3 and-29.8 °C in February, due to reduced cold hardiness during embryogenesis, or remained unchanged because the eggs were in quiescence (at -10 °C).The time to 50% hatch at 22 °C decreased from 60 days to 10–14 days in January when it either continued to decrease up to hatch (at -3 °C), or remained unchanged, indicating end of diapause in January. In December, 260 degree-days (DD) above a threshold of +5.8 °C was required for 50% hatch; in February the corresponding figures were 362 DD and-2 °C.When the supercooling point moved from the low to the high SCP range, the frequency distribution of the individual SCPs changed from positively to negatively skewed. The transition was rapid, intermediary distributions being flat and covering both ranges.Thus, in the field the eggs run the risk of freezing mainly at two temperature levels: below about-36 °C during diapause and post-diapause quiescence (in midwinter) and below about-29 °C during embryogenesis (in late winter spring).
Résumé La température de congélation (supercooling point: SCP) de chaque uf de E. (Oporinia) autumnata (Lépido, géométride) (environ 60 ufs par ponte) a été examinée chaque mois, de septembre (ufs venant d'être pondus) à avril, dans des conditions simulant les températures hivernales de la nature (de-30° à +4 °C). Parallèlement à chaque expérience, une ponte était transférée aux fins d'acclimatation à la température du laboratoire (22 °C) pour noter la durée d'incubation des premiers 50% d'ufs éclos, afin d'avoir une donnée sur la durée du développement embryonnaire à l'époque de l'expérience de congélation, et sur la mortalité embryonnaire, d'ailleurs généralement basse.Le point de congélation (SCP) a correspondu pour cette espèce aux températures létales les plus basses. En automne déjà, la SCP avait une gamme basse de-34.9 à-36.5 °C et, soit s'élevait (pour une température de conservation >-3 °C) à une gamme de-28.3 à-29.8 °C en février, par suite de la diminution de la résistance au froid pendant l'embryogenèse, soit demeurait inchangée parce que les ufs étaient quiescents (<10 °C).Le temps d'éclosion 50 à 22 °C s'est abaissée de 60 j à 10–14 j en janvier pour ensuite, soit continuer de diminuer jusqu'à l'éclosion (>-3 °C), soit rester inchangé indiquant la fin de la diapause en janvier. En décembre, 260 degrés-jours (DD) au-dessus du seuil de +5.8 °C ont été nécessaires pour obtenir 50% d'éclosions, en février il a fallu 362 DD et-2 °C.Quand la température de congélation était déplacée de faibles à fortes valeurs de la SCP, la distribution des fréquences des SCP individuelles passait d'un biais positif à un biais négatif. La transition était rapide, les distributions intermédiaires étant plates et recouvrant les deux gammes.Ainsi les risques de congélation des ufs dans la nature se situent à deux niveaux: environ audessous de-36 °C pendant la diapause et la quiescence post-diapause (au milieu de l'hiver), et au-dessous d'environ-29 °C pendant l'embryogenèse (en fin d'hiver et au printemps).
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11.
A biometeorological analysis of the daily asthma complaints, classified in 5 degrees of severity, of 50 boys and 25 girls, 7 to 16 years old, at the asthma center Eykeloord (Eastern Netherlands), during 1964 has shown that in winter and early spring the number of asthma attacks in both sexes increased during periods of cooling. The total rise in asthma attacks increased with the length of the cooling period and decreased in relation to the length of the period of warming up. During the summer months June and August these meteorotropic effects were not statistically significant. The observations confirmed the previous findings at an asthma center in the Western Netherlands.
Zusammenfassung Eine biometeorologische Analyse der täglichen Asthmabeschwerden, die in 5 Schweregraden klassifiziert wurden, bei 50 Knaben und 25 Mädchen im Alter von 7 bis 16 Jahren in der Asthmaklinik Eykeloord (Ost-Holland)während des Jahres 1964 hat gezeigt, dass im Winter und Vorfrühling die Anzahl der Asthmaanfälle bei Kälteeinbrüchen zunimmt. Asthmaanfälle nehmen an Zahl mit der Länge der Kälteperioden zu und mit der Länge der Wärmeperioden ab.Während der Sommermonate Juni bis August waren diese Beziehungen zwar auch nachweisbar aber nicht signifikant. Die Beobachtungen bestätigten früheren Ergebnisse in einer Asthmaklinik in West-Holland.

Resume Une analyse biométéorologique des accès d'asthme a montré qu'en hiver et au début du printemps le nombre des dits accès augmente au moment d'une advection d'air froid. Pour ce faire, on s'est basé sur l'observation de 50 garçons et de 25 fillettes de 7 à 16 ans répartis en 5 classes d'acuité de la maladie. Tous étaient en traitement durant l'année 1964 à la clinique pour asthmatiques d'Eykeloord(Hollande orientale). Les accès d'asthme sont d'autant plus nombreux que la période froide est plus longue et leur nombre diminue parallèlement à la durée des périodes plus chaudes. La même relation a pu être établie durant les mois d'été (de juin à août), mais pas de façon significative. Ces observations confirment celles qui avaient été faites antérieurement dans une clinique pour asthmatiques de l'ouest de la Hollande.
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12.
The significance of pattern in vegetation   总被引:1,自引:0,他引:1  
Résumé A l'encontre de Scurfield (1956), il est inexact d'attribuer le pattern (écart à une distribution au hasard des espèces et des individus) dans les groupements végétaux, exclusivement ou principalement à la concurrence. Il peut être dû à la modification du régime physique ou à la morphologie, ou au comportement reproductif des espèces en question. L'hypothèse de Scurfield d'une tendance à une régularité croissante, inhérente à la végétation en évolution, n'est pas confirmée, Au contraire, il semble qu'il y ait une tendance à une diminution de l'intensité de pattern, et un accroissement de l'échelle de pattern au cours de la succession. L'étude du pattern peut constituer un instrument écologique utile.  相似文献   

13.
Preadult development and survival rates for a wild strain of melon fly in Hawaii were examined when reared on six common hosts at 25°C. These data were combined with information gathered on adult survival, fecundity and fertility in order to construct life tables.The duration of the egg stage was slightly over 1 day for this species. Depending on host, larval-to-adult development and survival rates were 17–20 days and 35–85%, respectively. Gross fecundity (total eggs) was 1293 eggs/ while net fertility (total fertile eggs weighted by hatch and adult survival) was 518 fertile eggs/. The finite rate of increase () for the species was conditional on the host on which it was reared and ranged from 1.08 to 1.12. The percent of adults in the stable age distribution averaged around 14% over all hosts.
Démographie d'une souche de Dacus cucurbitae Coquillet, originaire d'Hawaii
Résumé Le développement préimaginal et les taux de survie d'une souche sauvage de D. cucurbitae de Hawaí sur six hôtes courants ont été examinés à 25°C. Ces résultats ont été combinés aux informations récoltées sur la survie des adultes, la fécondité et la fertilité pour réaliser des tables de vie.La durée du stade oeuf est légèrement supérieure à un jour pour cette espèce. La durée de développement de l'éclosion de l'oeuf à l'imago et les taux de survie ont été respectivement de 17 à 20 jours et de 35 à 85% suivant les hôtes. La fécondité brute (ponte totale) a été de 1293 oeufs par femelle, tandis qui la fertilité (nombre total d'oeufs fertiles pondéré par les taux d'éclosion et de survie des adultes) était de 518 oeufs fertiles par femelle.Le taux d'accroissement () variait de 1,08 à 1,12 suivant l'hôte sur lequel D. cucurbitae a été élevé. La proportion d'adultes dans une distribution en âge stable était d'environ 14% sur tous les hôtes.
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14.
Hematocrit levels in highland (3900–4500 m) AKODON (4 species) showed no change following a month at sea level, but showed a reduction of about 50 ml/1 after an additional 1–2 months. Feral MUS established at 4500 m had more cells(570 vs.470 ml/l) than those from sea level; about half this advantage was lost after a week at sea level. Highland species or races showed no consistent advantage in erythrocyte level over lowland species. The lowland PHYLLOTIS DARWINII LIMATUS actually had a higher hematocrit than any of the highland PHYLLOTIS. Mean cell hemoglobin concentrations ranged from 28 to 33 g/100 ml in rodents, and to 42 g/100 ml in the alpaca.Mean cell volumes ranged from 44 to 65 3 in rodents, and were 25–263 for the alpaca and vicna. The cell hemoglobin mass varied from 13 to 18 g in rodents and was 11.5g in the alpaca and vicuña. None of these values for rodents appear remarkable.
Zusammenfassung Die HÄmatokrit-Werte von 4 Arten Hochland-AKODON (3900–4500 m) zeigten nach einem Monat Aufenthalt der Tiere auf Meereshöhe keine VerÄnderung; nach 2–3 Monaten waren die Werte 50 ml/l niedriger als der Vorwert. Wilde MUS in 4500 m Höhe hatten 570 ml und wilde MUS auf Meereshöhe 470 ml Erythrozyten/1 Blut. Wurden die Tiere aus der Höhe ins Tal gebracht, verschwand die HÄlfte des Unterschiedes innerhalb einer Woche. Die Erythrozyten-Werte von Hochland-Arten und -Rassen zeigten keine übereinstimmende überlegenheit über die von Tiefland-Arten. Tiefland PHYLLOTIS DARWINII LIMATUS hatten sogar einen höheren HÄmatokrit als Hochland PHYLLOTIS. In Hochland-Nagern betrug der mittlere Zell-HÄmoglobingehalt 28 bis 33 g/100 ml, in Alpaca bis 42 g/100 ml. Das mittlere Zellvolumen war bei Nagern 44–653 und beim Alpaca und Vivuna 25–263. Die Menge HÄmoglobin pro Zelle betrug 13–18g bei Nagern und 11-5g beim Alpaca und Vicuna. Die Werte bei Nagern im Hochland sind in keiner Weise bemerkenswert.

Résumé Les valeurs hématocrites de 4 sortes d'AKODON de hautes terres (3000 – 4500 m) ne montraient pas de changement après un mois de séjour des animaux au niveau de la mer; après 2–3 mois, les valeurs étaient 50 ml/l plus basses que la valeur précédante. A 4500 m d'altitude les MUS sauvages avaient 570 ml érythrocytes/l sang et au niveau de la mer 470 ml. Les animaux transportés de l'altitude dans la vallée, la moitié de la différence disparut au bout d'une semaine.Les valeurs d'erythrocytes de sortes et rasses de hautes terres ne montraient point de supériorité concordante aux sortes de basses terres. PHYLLOTIS DARWINI LIMATUS de basses terres avaient mÊme un hématocrit plus haut que le PHYLLOTIS de hautes terres. Le contenu moyen de l'hémoglobine cellulaire des rongeurs de hautes terres était de 28 à 33/100 ml,chez Alpaca jusqu'à 429/100 ml. Aux rongeurs, la volume cellulaire moyenne,était 44–653et Alpaca et Vicuna avaient 25–263. Les rongeurs avaient une quantité d'hémoglobine par cellule de 13–18g, les Alpaca et Vicuna avaient 11,5g. Les valeurs aux rongeurs ne sont remarquable en aucun égard.
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15.
A direct causal relationship was demonstrated between soil temperature and insect ovipositional propensity. When ovipositional substrates (soils) at 5, 15, 22, 30, 35, and 40°C were presented in multiple treatment (choice) tests with air temperature at 15 or 22°C, onion flies, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae), laid the most eggs in the 22°C substrate. Only 50 eggs were laid when air temperature was increased to 30°C, as compared to 454 and 1128 eggs at 22 and 15°C, respectively. Thus, an air temperature of 30°C appears to be near the upper limit of onion fly ovipositional activity. The numbers of flies observed (counts taken every 15 min) on substrates ranging from 15 to 40°C were not significantly different. Reduced alightment/arrestment does not explain reduced oviposition on the warmer substrates; however, it may partly explain reduced oviposition on 5°C substrates. The range of substrate temperatures facilitating substantial oviposition was narrower than that eliciting alightment/arrestment on the substrate. The ca. 20°C ovipositional optimum corresponds well with temperatures favoring egg survival and development.
Résumé La température du sol est réglée, dans les pondoirs de D. antiqua, par un thermoblock, tandis que toutes les autres variables, associées au succédané d'oignon servant de stimulus de ponte, sont maintenues constantes. Une relation causale entre température du sol et activité de ponte est mise en évidence. Quand il y a choix entre des substrats de ponte à 5, 15, 22, 30 et 40°C, avec une température de l'air de 22°C, les mouches pondent surtout dans le substrat à 22°C. L'optimum thermique est de 20°C quand la température de l'air est abaissée à 15°C. La ponte n'est que de 50 ufs quand la température de l'air est portée à 30°C, contre respectivement 454 et 1128 ufs à 22 et 15°C. Ainsi, une température de l'air de 30°C paraît proche de la limite supérieure de l'activité de ponte de D. antiqua. Le nombre de mouches observées sur le substrat (toutes les 15 min.) ne varie pas significativement quand la température du substrat est entre 15 et 40°C. La gamme de températures provoquant la fixation sur le substrat est plus large que celle des températures provoquant une ponte importante. L'optimum de 20°C correspond bien aux températures favorables à la survie et à la croissance de D. antiqua.Ce travail montre l'effet important de facteurs abiotiques sur l'acceptation de la plante-hôte.
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16.
Zusammenfassung Ziel der Abhandlung ist die Untersuchung der grundlegenden Prinzipien einer autonombiologischen Kausalität. Wenn die Biologie in autonomer Weise auf ihr gemässe Prinzipien gegründet werden soll —wie das die Physik in ihrer Sphäre auch durchgeführt hat —, dann muss das biologische Denken sich zunächst von einem Idol befreien, das ihr von der klassischen Physik aufgezwungen ist. Das ist der Begriff des Mechanismus, der bei seiner Schaffung gewiss von grossem Werte auch für die Biologie gewesen ist, der aber heute dem biologischen Denken grossen Schaden dadurch zufügt, dass er es in eine ihm völlig fremde Richtung zwängt.Die Organismen und alle ihre Organe von der einfachsten Zellorganelle bis zum komplexesten Organsystem sind aber keine Mechanismen sondern Holismen (Smuts). Es wird versucht, die wesentlichen Kriterien des Holismusprinzips zu bestimmen. Zunächst gilt für sie das Axiom von v.Ehrenfels, demzufolge jeder Holismus mehr ist als die Summe seiner Teile. Das wird im einzelnen genauer analysiert. Weiterhin gilt für Holismen das Kompensationsprinzip vonGoethe. Damit im Zusammenhang stehen die Prinzipien der spezifischen Energie vonJohannes Müller, das Prinzip vonRedi (Omne Vivum ex Vivo), das Prinzip vonVernadsky über die Konstanz der Biosphäre, das Prinzip der phylogenetischen Kompensationen und das Prinzip von der Ektropie der Biosphäre.Alle diese Prinzipien werden im einzelnen diskutiert und analysiert. In engstem Zusammenhang miteinander bilden sie ein autonomes Axiomengefüge für die Biologische Erkenntnis, durch welches wiederum die eigentümlich biologische Kausalität charakterisiert ist. Genau in diesem Sinne sind Holismen verae causae (Smuts).
Contenido El presente ensayo tiene por fin supremo la investigación de los principios basicos de una autónoma causalidad biologica. Si se quiere fundar la Biologia en sus propios principios autónomos —como se lo ha hecho también con la Fisica misma —, entonces será primeramente necesario que la Biologia se delibera de una ideologia completamente extraña para ella, la cual la Fisica clásica le ha transferido. Esto es el concepto del mecanismo, que en su origin ha sido de gran valor también para la Biologia, pero que hoydia produce enorme daño a la Biologia.Los organismos y todos sus órganos de la mas simple organela celular hasta el mas complicado sistema de órganos sin embargo de ninguna manera no son mecanismos sino al contrario holismos (Smuts). Ahora se ensaya de determinar los criterios esenciales del principio del holismo. Primero es valido para los holismos el axioma de v.Ehrenfels que dice que cada Organismo representa más que la suma de sus partes. Además vale para holismos el principio de la compensación deGoethe. Con esto están relacionados los principios de la energia especifica deJuan Müller, el axioma deRedi (Omne Vivum ex Vivo), el principio deVernadsky acerca de la constancia de la biósfera, el principio de las compensaciones filogenéticas y el principio de la ectropia de la biósfera.Todos los mencionados principios y axiomas serán discutidos y analizados en sus particularidades. En su conjunto representan ellos un sistema de axiomas autónomos para el conocimiento biológico, el cual como tal caracteriza también la asi llamada causalidad biologica. Precisamente en tal sentido son los holismos verae causae (Smuts).


Diese Abhandlung ist Herrn Prof. Dr. v.Buddenbrock in Verehrung zum 70. Geburtstag dargebracht.  相似文献   

17.
Summary The honeybee can reach the nectar from the mouth of the hairy vetch blossom by tripping it, or she can insert her tongue between the petals at the base of the corolla tube and reach the nectar. These non-trippers are called base workers. The foraging method is learned and becomes fixed through success at foraging from a very few blossoms in one manner during almost random attempts to reach the nectar. A slightly larger percentage of trippers reached the nectar by inserting the tongue to their right than to their left of the sexual column. There were never many bees in the field that foraged some blossoms as trippers and others as base workers, nor were there many that foraged for pollen only. When there was a good nectar flow early in the season there were few bees foraging as base workers, and the number of trippers foraging for nectar only was about equal to the number gathering both pollen and nectar. After a few days with a poor nectar flow the percentage of tripping bees gathering nectar only decreased sharply, the percentage gathering both nectar and pollen increased slightly, and the percentage of base workers increased sharply. There was a larger proportion of base workers in vetch with scattered blossoms than in vetch with numerous blossoms, and also a larger proportion of base workers in vetch with a heavy aphid infestation than in vetch in which these insects were controlled. During a poor nectar flow base worker gathered larger loads of nectar than trippers. To explain these observations, it is proposed that bees prefer to gather nectar which yields the greatest return in sugar per unit expenditure of energy, and that base workers expend less energy in foraging from blossoms than trippers. It is believed that base workers are more sensitive than trippers to competing foragers, and thus are more likely to be forced into areas with the least competition, that as the nectar flow deteriorates more trippers than base workers cease to forage, and that most of the bees that normally trip blossoms but have had some experience as base workers, and possibly some other trippers, begin to forage exclusively as base workers.
Zusammenfassung Die Honigbiene kann vom Munde der behaarten rauhhaarigen Wickenblüte (Vicia villosa) aus an den Nektar kommen, indem sie die Blüte oben aufschnellen läßt, oder sie kann den Rüssel, zwischen den Blütenblättern am unteren Ende der Korollenröhre hindurchzwängen und so den Nektar erreichen. Diese Blüten nicht schnellenden öffnenden Arbeitsbienen nennt man Bodenarbeiterinnen. Die Sammelmethode wird erlernt und beibehalten durch erfolgreiches Sammeln nach derselben Methode an einigen wenigen Blüten bei fast planlosen Versuchen, den Nektar zu erreichen Ein etwas größerer Prozentsatz von blutenschnellendern Bienen erreichten den Nektar, indem sie den Rüssel rechts statt links an dem Stempel vorbeizwängten. Es gab nur wenige Bienen im Felde, die einige Blüten als Schnellerinnen, andere Blüten dagegen als Bodenarbeiterinnen besuchten; auch waren nicht viele da, die nur Pollen einsammelten. Bei reichlicher Nektartracht im Frühjahr gab es nur wenige Bodensammlerinnen, und die Anzahl von Schnellerinnen, die nur Nektar sammelten, war etwa der Anzahl derer gleich, die sowohl Nektar als auch Pollen sammelten. Nach ein paar Tagen mit schlechtem Nektarertrag ging der Prozentsatz von schnellenden Nur-Nektar-Sammlerinnen stark zurück; der Prozentsatz von Bienen, die zugleich Nektar und Pollen sammelten, nahm um ein weniges zu; und der Prozentsatz von Bodensammlerinnen erfuhr eine starke Erhöhung. Es wurden mehr Bodensammlerinnen in Wicken mit verstreuten Blüten festgestellt als in denen mit zahlreichen Blüten. Dasselbe gilt für Wicken, die stark mit Blattläusen verseucht sind, gegenüber solchen worin die Schädlinge im Zaum gehalten werden. Wenn wenig Nektar erzeugt wird, sammeln die Bodensammlerinnen mehr Nektar als die Schnellerinnen. Um diese Beobachtungen zu deuten, folgern wir so: die Bienen sammeln am liebsten da, wo die größte Ausbeute an Zucker je Einheit Energieverbrauch zu erzielen ist, und die Bodensammlerinnen verbrauchen weniger Energie beim Besuch der Blüten als die Schnellerinnen. Man glaubt weiter, daß die Bodenarbeiterinnen konkurrierenden Insekten gegenüber empfindlicher als die Schnellerinnen seien, und daß sie so mit größerer Häufigkeit gezwungen werden, Gebiete mit wenigern Konkurrenten zu besuchen; daß wenn die Tracht versiegt, mehr Schnellerinnen als Bodenarbeiterinnen zu sammeln aufhören, und daß die meisten Bienen, die normalerweise zu den Schnellerinnen gehören, aber außerdem etwas Erfahrung als Bodenarbeiterinnen haben (und vielleicht auch einige andere Schnellerinnen) jetzt ausschließlich als Bodenarbeiterinnen zu sammeln anfangen.

Sommaire L'Abeille peut atteindre par la bouche le nectar de la fleur de la vesce velue (Vicia villosa) en la tripping ou elle peut insérer la langue entre les pétales à la base de la corolle et ainsi attindre le nectar. Ces Abeilles non-tripping s'appellent les ouvrières de base. Cette méthode de butiner est apprise et devient fixe à cause du succès à butiner une petite quantité de fluers d'une seule façon pendant pour ainsi dire des essais d'atteindre le nectar à l'aventure. Un pourcentage plus grand de trippers ont atteint le nectar en insérant la langue à droite de la colonne sexuelle que celles qui l'ont insérée à gauche. Il n'y avait jamais beaucoup d'Abeilles dans le champ qui butinaient les fleurs tantôt comme trippers, tantôt comme ouvrières de base. Il n'y avait pas non plus beaucoup d'Abeilles qui butinaient le pollen uniquement. Quand il y avait une bonne miellée dans la première partie de la saison, il y avait peu d'Abeilles butinant comme ouvrières de base, et le nombre d'Abeilles tripping butinant le nectar uniquement était à peu près égal au nombre recueillant et le nectar et le pollen. Après quelques jours d'une miellée pauvre, le pourcentage des Abeilles tripping recueillant le nectar uniquement diminuait nettement, le pourcentage des Abeilles recueillant et le nectar et le pollen augmentait un peu, et le pourcentage des ouvrières de base augmentait nettement. Il y avait une plus grande proportion d'ouvrières de base dans la vesce aux fleurs dispersées que dans la vesce aux nombreuses fleurs, et aussi une plus grande proportion d'ouvrières de base dans la vesce infestée d'Aphides que dans la vesce dans laquelle les insectes étaient maîtrisés. Pendant une miellée pauvre, les ouvrières de base ont recueilli de plus grandes quantités de nectar que les trippers. Pour expliquer ces observations, il pense que les Abeilles aiment mieux recueillir le nectar qui donne le plus grand renvoi de sucre par unité d'énergie dépensée et que les ouvrières de base dépensent moins d'énergie à butiner les fleurs que les trippers. Je crois que les ouvrières de base sont plus sensibles que les trippers à la concurrence des autres butineuses et, donc, peuvent être plus facilement obligées d'aller dans les sections moins compétitives, que plus de trippers que d'ouvrières de base cessent de butiner quand la miellée s'amenuise, et que la plupart des Abeilles qui trip les fleurs habituellement, mais qui ont un peu d'expérience comme ouvrières de base, et, probablement quelques autres trippers, commencent à butiner exclusivement comme ouvrières de base.


Published as technical contribution No. 2403, Texas Agricultural Experiment Station.  相似文献   

18.
The paper presents a method for a quantitative study of the influence of the diurnal air temperature cycle, the incidence of solar energy on exposed surfaces and transmission through glass areas, the longwave radiation exchange with the surroundings, and the energy exchange resulting from natural ventilation. The thermal response of a room in a typical concrete office building with glass areas facing south in the northern hemisphere is treated in detail by means of a digital computer program sufficiently general to handle a large variety of problems. For the first time the influence of programmed natural ventilation can be determined in advance. The design of optimal thermal enclosures can be achieved through the technique of exhaustive analysis using methods described in this paper.
Zusammenfassung Es wird über eine Methode für die quantitative Untersuchung der Einflüsse des tÄglichen Gangs der Lufttemperatur, der Sonnenenergieaufnahme an den bestrahlten OberflÄchen und durch die Glasfenster, des langwelligen Strahlungsaustausches mit der Umgebung und des Energieaustausches durch die natürliche Ventilation berichtet. Das thermische Verhalten eines Raumes in einem typischen Beton-Bürohaus mit südlich orientierten GlasfensterflÄchen auf der nördlichen Halbkugel ist ausführlich durch das digital Rechenmaschinenprogramm untersucht worden, das genügt, um eine ausführliche Anzahl verschiedener Probleme zu behandeln. Zum erstenmal kann der Einfluss der programmierten natürlichen Ventilation vorausbestimmt werden. Der Entwurf eines thermisch optimalen eingeschlossenen Raumes kann durch die hier beschriebenen erschöpfenden Analysen gegeben werden.

Resume Ce mémoire présente une méthode qui permet d'étudier quantitativement l'influence des facteurs suivants: Le cycle diurne de la température de l'air, l'angle d'incidence de l'énergie solaire sur les parois qui y sont exposées, la transmission de la chaleur à travers des surfaces de verre, les échanges d'énergie avec le milieu ambiant par rayonnement calorifique sur ondes longues et, enfin, les échanges d'énergie par ventilation naturelle. On étudie en détail les conditions thermiques d'une chambre située dans un bâtiment de béton pourvu de parois de verre exposées au sud, le tout étant situé à une latitude boréale. Cette étude est effectuée au moyen d'un programme d'ordinateur digital suffisament général pour s'appliquer à la solution de nombreux problèmes de transmission de chaleur. On montre, pour la première fois, que l'on peut déterminer d'avance l'influence d'une ventilation naturelle programmée. L'établissement de l'optimum thermique des intérieurs peut se faire par une analyse très poussée, c'est à dire à l'aide des méthodes décrites dans cette étude.
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19.
Several medium ingredients locally available in Egypt were investigated for their ability to support -endotoxin production by two mosquito-toxic strains ofBacillus thuringiensis H-14 usingCulex pipiens for the bioassay of -endotoxin. Soya beans, black-eyed beans, common peas and lentils supported good production of toxin whereas peanuts, fodder yeast, cheese whey and corn steep liquor gave only low amounts of toxin. Molasses as the sole carbon source at 2 and 3% (w/v) with soya (or Proflo) as the sole nitrogen source at 3% gave the best yields of toxin for strain M1 and S128 respectively.
Résumé On a étudié plusieurs ingrédients de milieu de culture, disponibles en Egypte pour leur capacité de favoriser la production d'endotoxine par deux souches deBacillus thurigiensis H-14, toxiques pour les moustiques, en utilisantCulex pipiens pour l'essaiin vivo d'endotoxine . Les fèves de soja, les haricots à taches noires, les pois communs et les lentilles favorisent la production de toxine, tandis que les arachides, la levure fourragère, le petit lait et la liqueur de trempage de maïs ne produisent que de faibles quantités de toxines. La mélasse comme seule source de carbone à 2% (p/v) avec la soja (ou le Proflo) comme seule source d'azote de 2 à 3% donnent les meilleurs rendements en toxine.
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20.
Behavioural experiments with Nemeritis canescens Grav. have demonstrated that the secretions from its Dufour's gland are used as a marker pheromone which can affect the behaviour of other wasps towards host caterpillars bearing it. The external marker is produced within the complex of secretions from the Dufour's gland and has oviposition deterrent effect which lasts approximately 32 h after deposition.The sequence of behaviour patterns shown by individual Nemeritis is described and shows a significant increase in escape and avoidance reactions towards Ephestia caterpillars treated topically with the Dufour's gland contents.This paper presents evidence for the first time to indicate that Nemeritis reacts to an external marker as well as to an internal one. Similar behaviour towards filter paper treated topically with contents of whole Dufour's gland and its component heneicosane contribute evidence for the conclusion that the gland contents influence the wasp's behaviour and hence its avoidance of superparasitism of its host.
Effets temporels de la sécrétion de la glande de Dufour sur la sélection des hôtes par Nemeritis canescens grav
Résumé Des expériences sur le comportement de N. canescens ont montré que les sécrétions de la glande de Dufour sont utilisées comme phéromone de marquage pouvant affecter le comportement des autres hyménoptères face aux chenilles contaminées. Ce maqueur externe est produit à partir des sécrétions de la glande de Dufour, il a un effet dissuasif qui dure environ 32 heures après son émission.La séquence des actes comportementaux de Nemeritis montre un accroissement significatif de réactions de fuite et d'évitement face à des chenilles d'Ephestia traitées superficiellement avec du contenu des glandes de Dufour.Cet article prouve pour la première fois que Nemeritis réagit aussi bien à des marqueurs externes qu'internes. Un comportement analogue vis à vis de papier filtre imprégné du contenu des glandes de Dufour et de son constituant hénéicosane constitue une preuve que le contenu de la glande influe sur le comportement de l'hymenoptère et ainsi lui évite de superparasiter ses hôtes.
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