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1.
Résumé Commencés en 1954, les essais de naturalisation deProspaltella perniciosi Tower pour la lutte biologique contre le Pou de San-José,Quadraspidiotus perniciosus Comstock dans la région Sud-Ouest de l'Allemagne ont conduit aux résultats suivants. Jusqu'en 1965, dans une région d'expérience de plus de 1 000 ha située près de Heidelberg, en moyenne le quart desQ. perniciosus ont été exterminés parProspaltella peerniciosi, tant sur les arbres où ils avaient été lachés, que sur les arbres voisins. Les résultats donnés par les graphiques et les tableaux précédents expliquent l'augmentation des taux de parasitisme, la composition et l'importance des différents éléments de la faune des parasites dans le Baden-Württemberg ainsi que dans la région de Stutgtart où se trouvent des échantillons de pommier du Connecticut. Dans les régions d'expérience,Prospaltella perniciosi est le parasite le plus important. L'origine du parasite joue seulement un r?le secondaire. LesProspaltella bisexués, mis en élevage et lachés depuis 1963 se sonst bien maintenus à c?té des races unisexuées qui avaient été libérées précédemment. Sous le climat des lieux d'expérience, leP. perniciosi parthénogénétique a aussi bien réussi que le bisexué.   相似文献   

2.
H. Audemard 《BioControl》1987,32(1):59-71
Résumé La lutte biologique contre les organismes nuisibles aux vergers évolue par étape vers une Protection intégrée. Dans cette optique, les recherches se développent en France sur les points suivants: effets indésirables des pesticides sur l'entomofaune auxiliaire, r?le d'abri-refuge pour l'entomofaune autochtone joué par l'environnement végétal des vergers, diversification des procédés de lutte, mise au point de méthodes plus sélectives, sélection de variétés résistantes ou moins sensibles aux attaques de plusieurs organismes nuisibles, amélioration des méthodes de surveillance des vergers pour la prévision des risques de dégats, lutte raisonnée contre les maladies cryptogamiques. La mise au point de programmes de lutte intégrée dépend essentiellement des possibilités de lutte disponibles contre les ennemis-clés. Dans les vergers de pommiers et de poiriers fran?ais, les ennemis-clés appartiennent à groupes d'arthropodes: Carpocapse (Cydia pomonella L.), Tordeuses de la pelure, Aphides, Psylle du poirier (Psylla pyri L.) Acariens phytophages et aussi à trois maladies fongiques: Tavelure du pommier (Venturia inaequalis Cke.) Wint., O?dium du pommier (Podosphaera leucotricha Ell. et Ev.), Tavelure du poirier (Venturia pirina (Bref.) Aderh. Les méthodes de lutte sélective sont passées en revue: régulateurs de croissance des insectes, lutte biologique par lachers de parasites et de prédateurs insecticide microbiologique, lutte par confusion avec les phéromones sexuelles. L'application de certaines d'entre elles dépend des possibilités de production industrielles d'agents biologique ou biotechnique. Les principaux éléments ayant contribué à une application pratique des programmes de lutte raisonnée et de lutte intégrée ont été: l'amélioration des connaissances biologiques et de la nuisibilité des organismes phytophages, ainsi que des méthodes de surveillance et de prévision permettant l'utilisation des seuils de tolérance économique l'aménagement de la lutte chimique contre le Carpocapse en vergers de pommiers, la démonstration de la bonne efficacité des prédateurs du Psylle du poirier, spécialement desAnthocoris. La lutte raisonnée, appliquée sur plusieurs milliers d'hectares de vergers de pommiers et de poiriers en France, a permis de réduire de plus de 50% le nombre de traitements avec un bon niveau économique de protection. Dans les vergers d'abricotiers, les maladies parasitaires, principalement l'Enroulement chlorotique causé par un mycoplasme, représentent les problèmes les plus importants. Des essais sont en cours pour parvenir à une lutte raisonnée contre la Petite mineuse (Anarsia lineatella Zell.) et le puceronHyalopterus pruni Geoffr. qui est l'agent de dissémination de la Sharka (maladie due à un virus de type I.L.A.R.).   相似文献   

3.
H. Thill 《BioControl》1964,9(3):247-251
Résumé Les pruniers présentent des conditions spécialement favorables à l'étude des possibilités de la lutte intégrée, un seul traitement post floral avec des insecticides — sans addition de fongicides — étant nécessaire pour lutter contre les ennemis typiques des arbres à noyaux. L'observation de la biocoenose duran't des périodes plus longues fait para?tre des différences prononcées après l'application des produits chimiques usuels et de celle du Dipterex qui est moins dangereux pour la plupart des espèces d'acariens prédateurs et considéré de ce fait comme utilisable dans la lutte intégrée. Contre les insectes typiques pour les arbres à noyaux, la combinaison Parathion-Métasystémox s'est avérée être la plus efficace parmi les produits chimiques usuels; il en est de même pour le Dipterex. Les différences entre les deux produits précités se manifestent chez les araignées rouges; les produits usuels, après avoir exercé une action assez persistante, permettent vers la fin de l'été une ponte massive d'œufs d'hiver, ce qui entra?ne la menace d'une pullulation permanente pour les arbres. Tout en assurant la destruction des générations printanières de l'araignée rouge, le Dipterex épargne les acariens prédateurs qui, de leur c?té, amènent une diminution des pontes d'œufs d'hiver de cet ennemi. Son application répétée annuellement peut constituer une lutte efficace et être suivie de la disparition graduelle de l'araignée rouge.   相似文献   

4.
Résumé Le parasite exotiqueEpidinocarsis lopezi de Santis (Hyménoptère, Encyrtidae) a été introduit au Gabon en vue de la lutte biologique contre la Cochenille du manioc,Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. L'établissement du parasite constaté un an après son introduction montre que la vitesse de dispersion est de 70 à 120 km par an. La dispersion du parasite cst nettement plus lente en zone de forêt qu'en zonc de savane. L'évolution du pourcentage de parasitisme actif en fonction de la densité du ravageur montre que le parasite est capable de se maintenir à un taux de parasitisme compris entre 20 et 56%, pour des densités de population comprises entre 2 et 16 cochenilles par apex. L'établissement du parasite exotique se traduit dès la première année par un déplacement compétifif des parasites primaires indigènes de la biocoenose du manioc et une nette régression de l'abondance relative des hyperparasites dans l'entomocoenose. Les résultats obtenus suggèrent par ailleurs que pour un niveau trophique donné, l'abondance, exprimée en nombre d'h?tes parasités, est un bon indicateur de la compétitivité d'un parasite par rapport aux autres.   相似文献   

5.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

6.
Résumé La ?lutte intégrée? (?integrated control? des Américains) se propose de recourir à une combinaison avantageuse des différentes méthodes chimiques, biologiques et culturales de lutte contre les ennemis des cultures. Son objet est d'accro?tre le potentiel de défense intrinsèque du milieu cultivé contre les attaques des ennemis des plantes, particulièrement en modifiant les formes usuelles de la lutte chimique pour assurer une meilleure sauvegarde des organismes utiles. Ses problèmes, singulièrement dans le cadre de la monoculture intensive, concernent: ?l'intégration? des méthodes de lutte biologique dans un programme de lutte chimique modifiée, la détermination du niveau du seuil de tolérance économique des dégats commis par les déprédateurs, la meilleure connaissance du r?le des organismes utiles comme régulateurs de la densité de population des organismes nuisibles. Pour atteindre cet objectif et résoudre ces problèmes, il est indispensable de procéder à des recherches de base approfondies.   相似文献   

7.
The authors — all members of the recently established O.I.L.B. working group — give in this first report a brief introduction into the pest problem and the biological, economic and environmental aspects which are favourable for the application of genetic control methods againstR. cerasi.
Résumé En vue du développement des recherches sur la Mouche des cerises en Europe, un groupe de travail de l'O.I.L.B. pour la lutte génétique contreRhagoletis cerasi a été formé par les 4 auteurs. Des contributions du groupe seront désormais publiées sur le problème de la lutte autocide sous ce titre. Les hautes exigences imposées par le marché à la qualité intérieure et extérieure des cerises de table et de conserves d'une part, les pertes financières importantes causées par la disqualification des fruits infestés pour la distillation d'autre part, exigent des moyens de lutte efficaces. L'influence des mesures de lutte sur la biocénose doit cependant être minime. Les possibilités et avantages ainsi que les limites de l'application de la lutte génétique sont discutés en fonction de la situation favorable des points de vue topographique, écologique et biologique. En conclusion, la situation pour l'application de la lutte génétique peut être jugée favorable dans des cas choisis. Les taches de recherche qui en résultent sont commentées et complétées par un exposé sur la situation actuelle des travaux en cours.


First Report of the O.I.L.B. working group on genetic control of the European cherry fruit fly,Rhagoletis cerasi L.  相似文献   

8.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

9.
Prospaltella perniciosi Tower was imported in Greece to aid in the biological control ofQuadraspidiotus perniciosus Comstock. Two to 10 years following release in apple trees the parasite was found well established onQ. perniciosus with low parasitism exceed to 2–5%. Parasitism by indigenous natural enemies, mostlyAphytis spp., was also low. Considering that these trees also suffer damage by other major pests, in order to obtain full benefit from the biological control ofQ. perniciosus compatible methods of supressing these pests are required.
Résumé Prospaltella perniciosi Tower fut importé en Grèce pour la lutte biologique contreQuadraspidiotus perniciosus Comstock. Deux à 10 ans après son lacher dans des vergers de pommier, le parasite est trouvé bien implanté dans la population de Pou de San José, le taux de parasitisme oscillant entre 2 et 5%. Le parasitisme par des ennemis naturels indigènes, principalement parAphytis spp., était aussi bas. Tenant compte du fait que ces arbres subissent des dégats par d'autres ennemis importants et afin d'obtenir le maximum d'efficacité de la lutte biologique contreQ. perniciosus, des méthodes adéquates pour la répression de cet insecte sont exigées.
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10.
Résumé La toxicité du méthidathion a été mesurée sur 7 souches dePhytoseiulus persimilis provenant de collections de laboratoire, d'unités de production ou du terrain. Les résultats obtenus se sont avérés être très variables: la CL50 de la souche la plus résistante est 100 fois plus élevée que celle de la souche la plus sensible. Chaque souche a ensuite été sélectionnée pour la résistance à cet insecticide; toutes les souches ont répondu à la sélection et ont atteint des niveaux de résistance similaires. Elles ont ensuite été mélangées, à nouveau sélectionnées pour la résistance au méthidathion et à d'autres insecticides et utilisées dans les programmes de lutte intégrée. La résistance a pu ainsi être légèrement augmentée et la souche obtenue, bien qu'encore affectée par le méthidathion sur le terrain, n'est plus complètement éliminée par les traitements et est moins sensible aux résidus présents sur les feuilles.   相似文献   

11.
Deux types de structure kystique ont été observés au microscope éectronique. Dans le ler, qui correspond aux kystes d'infection ou gamontokystes, la cellule est relativement libre dans l'enveloppe kystique. Celle-ci est formée de 2 couches distinctes d'inégale épaisseur (ectokyste, endokyste) sécrétées par la cellule et doublées intérieurement par un mince feuillet cytoplasmique dûà une extension des plis cuticulaires. C'est la seule modification du cortex cellulaire. Par contre, dans le 2ème type les modifications sont beaucoup plus importantes. La cellule est étroitement accolée aux parois du kyste; crêtes et flagelles ont disparu de la surface. Cependant on retrouve leurs traces dans la région corticale, sous forme d'axonèmes intracytoplasmiques plus ou moins désorganisés et d'empilements de saccules associés à des rangées de microtubules. Ce seraient des kystes de résistance. Les structures observées dans ces derniers kystes nous permettent de discuter quelques idées sur la participation des microtubules et des systèmes membranaires à la morphogénèse du cortex des Opalines.  相似文献   

12.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

13.
Résumé Au cours de six essais le comportement des deux espèces d'acariens phytophages,Panonychus ulmi Koch etTetranychus viennensis Zacher, soumises à l'effet de divers fertilisants, insecticides et fongicides, a été étudié. Les investigations devaient permettre de suivre les conséquences chimico-physiologiques exercées sur la plante-h?te par les différents traitements, d'une part, et les répercussions entra?nées par celles-ci sur les acariens, d'autre part. L'action directe des produits appliqués sur les populations d'acariens a également fait l'objet d'études. Il n'a pas été possible d'établir une relation entre la teneur des feuilles de la plante-h?te en N, P, K, Ca, Mg et la densité et le comportement des populations d'acariens. Les expériences réalisées en vergers ont cependant révélé qu'une déficience en K est apparemment responsable d'un bas niveau des populations deP. ulmi. En cages recouvertes de mousseline, les arbres placés à l'abri des prédateurs et traités à l'azinphos méthyle ont présenté des populations deP. ulmi moins importantes que les arbres traités au DDT et au parathion, mais il n'a pas été possible d'enregistrer dans les feuilles des différences de teneur par rapport aux éléments susmentionnés. Les expériences réalisées à l'aide de mancozèbe ont révélé un effet répulsif ou léthal surP. ulmi. Il n'a cependant pas été possible de démontrer une action stimulatrice exercée par le captane, soufre mouillable, zinèbe, phaltane, TMTD et zirame. Un test en laboratoire a conduit à une population plus élevée pour les séries traitées à l'eau distillée et au soufre mouillable que pour les séries traitées au captane. Une teneur élevée des feuilles en zinc semble entra?ner un développement important des populations deT. viennensis.   相似文献   

14.
F. D. Bennett 《BioControl》1971,16(1):111-124
A review of recent attempts of biological control of small moth borers of sugar caneDiatraea spp in the various contries in the West Indies, North and South America is given. In several areas where successful biological control has been achieved, the relative costs of the campaigns and the resultant added revenue are discussed.
Résumé Il est procédé à une revue des récents essais de lutte biologique contre les petits foreurs de la Canne à sucre,Diatraea spp., dans diverses régions des Antilles et de l'Amérique du Nord et du Sud. Dans plusierus cas où des succès ont été obtenus, le bilan économique de l'intervention biologique est établi: frais occasionnés et bénéfices dus aux augmentations de récolte.


Presented at the symposium O.I.L.B. on borer of graminaceous plants. Paris, 24th sept. 1970  相似文献   

15.
Résumé L'étude de la sensibilité deRhodnius prolixus St?l aux hyphomycètes a été conduite avec 5 isolats deBeauveria bassiana (Bals.) Vuill., un isolat deBeauveria brongniartii (Sacc.) Petch., 3 isolats deMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor., 4 isolats deNomuraea rileyi (Farlow) Samson et un isolat dePaecilomyces fumosoroseus (Wize) Brown et Smith. Les larves du 1er stade ont été traitées par pulvérisation avec des suspensions titrées de conidiospores. A la dose de 3.105 conidiospores/cm2, l'activité pathogène des germes varie suivant l'isolat considéré: 6 souches causent une mortalité supérieure à 50% et seulement 3 d'entre elles,B. bassiana no 297,B. bassiana no 326 etP. fumosoroseus no 56 provoquent 100% de mortalité. Les doses léthales 50% des isolates les plus agressifs sont respectivement de 2,57.104; 2,89.104 et 1,31.105 spores/cm2 (mortalité cumulée 10 j après le traitement dans les 2 premiers cas et 15 j après dans le 3e cas); leurs temps léthaux 50% atteignent 5,51; 5,24 et 13,34 j (à la dose de 3.105 spores/cm2). Le comportement infectieux de ces germes diffère puisque, quelle que soit la dose appliquée, la mortalité due à l'isolatB. bassiana no 297 est très élevée après 15 j, alors que la mortalité causée par les 2 autres souches reste dépendante de la dose audelà de 3 semaines. Par ailleurs, on constate que les 3 souches retenues ont été isolées à partir de cadavres d'espèces-h?tes appartenant à l'ordre des Hétéroptères, comme l'espècecible. En conclusion, ces essais de laboratoire permettent de sélectionner l'isolatB. bassiana no 297 comme candidat potentiel pour la lutte biologique contre le vecteur de la maladie de Chagas,R. prolixus.   相似文献   

16.
B. J. Wood 《BioControl》1963,8(1):67-82
Résumé L'application d'insecticides de contact sur lesCitrus à Chypre a apporté des perturbations à l'équilibre naturel si bien que certains insectes nuisibles ont pris une importance accrue et de sévères infestations d'insectes normalement sans importance sont survenues. Ceci est particulièrement sensible dans le cas des Coccides. La situation dans les cultures non traitées révèle de fa?on évidente que, à partLepidosaphes beckii newm., les cochenilles nuisibles ont des ennemis naturels capables d'assurer un contr?le économique en l'absence de facteurs adverses susceptibles de freiner leur activité. L'équilibre naturel du Pou rouge (Aonidiella aurantii mask) est très facilement bouleversé. Il devient spécialement dangereux quand les insecticides de contact sont utilisés. Les ennemis les plus fréquents des Cochenilles desCitrus sont répertoriés. Dans quelques cas, l'importance relative des espèces attaquant certains insectes nuisibles dans des situations variées, est précisée. L'importation de 5 espèces d'Aphytis est notée. L'intégration de la lutte chimique qui est nécessaire avec la lutte biologique est discutée. Enfin, les moyens de détermination des programmes de traitements sont esquissés.   相似文献   

17.
Dans les zones de savanes de l’Afrique, un genre d’abeille, Lipotriches Gerstaecker 1858, s’est spécialisé dans la collecte du pollen de graminées. Un site de nidification et l’aire de butinage de Lipotriches notabilis ont été suivis pendant trois années dans la région de Ngaoundéré au Cameroun. Le régime alimentaire pollinique est composé presque exclusivement du pollen de graminées, notamment Brachiaria ruziziensis abondant dans cette région. Le maïs est aussi visité et l’abeille contribue indirectement à la pollinisation par la mise en suspension dans l’air du pollen. Comme les graminées n’offrent pas de ressource sucrée, les femelles comme les mâles de L. notabilis butinent de temps en temps les Asteraceae pour la collecte de nectar. La consommation du pollen de graminées par les femelles a été aussi observée. Lespèce niche en bourgades dont la taille varie d’une dizaine à une centaine de nids. Le nid creusé dans un sol horizontal est du type progressif. Il comprend un tumulus, une cheminée verticale, un conduit principal vertical pouvant atteindre 65 cm de profondeur et en moyenne 3 conduits latéraux obliques de 4 à 16 cm aboutissant dans une ou plusieurs cellules successives. Les cellules des conduits latéraux sont approvisionnées simultanément et fermées de manière régressive. On compte un maximum de 10 cellules par nid. Généralement un nid est habité par une seule femelle, mais certains nids sont habités par deux ou trois. Lactivité de butinage de cette espèce est limitée dans la matinée. Dès 7 heures, elle s’envole pour le site de butinage. Après 11 heures, il n’y a généralement plus de nids ouverts. Les mâles n’ont pas été aperçus au niveau du site de nidification et l’accouplement a lieu sur le site de butinage. La période d’activité commence avec la saison des pluies en avril et se termine au début de la saison sèche en décembre, avec la fanaison des graminées.  相似文献   

18.
Résumé

Wasmannia auropunctata (Roger 1863) est une fourmi originaire d’Amérique du Sud. Elle a été introduite au Gabon vers 1920 par des agronomes qui l’ont utilisée comme agent de lutte biologique contre certains insectes parasites du cacaoyer. Aujourd’hui, cette fourmi se retrouve en zone forestière même hors des anciennes plantations de cacaoyers. Depuis 1984, sa présence a été signalée dans le parc national de la Lopé qui fait partie des réserves protégées du Gabon. Des études antérieures réalisées en Nouvelle-Calédonie ont montré que la présence de W. auropunctata a d’énormes conséquences sur la biodiversité car elle a fait disparaître l’ensemble des fourmis de cette région. Quel peut donc être l’impact de sa présence au Gabon dans la zone de la Lopé? Ces études préliminaires de l’impact de W. auropunctata sur la biodiversité de la Lopé ont consisté à évaluer la dispersion de cette espèce et la densité relative des autres espèces de fourmis en présence sur le site. Les résultats montrent que W. auropunctata se répartit selon un gradient décroissant du point d’introduction vers l’intérieur de la forêt jusqu’à une distance de 120 m. Il n’y a pas de W. auropunctata au-delà de cette distance. Du point d’introduction jusqu’à 80 m de distance, la densité relative des autres espèces de fourmis varie de 0 à 10 %. Lorsqu’il y a forte densité de W. auropunctata, les autres espèces de fourmis sont absentes.  相似文献   

19.
Resumé

Corrélation entre le nombre des chromosomes et les dimensions des microscopores dans la taxonomie botanique. spectre génétique pollinique.

Le concept de proportion domine dans la nature vivante. L'intéraction du noyau et du cytoplasme détermine sur le volume de ce dernier et en conséquence sur la cellule à l'état jeune, une régulation des dimensions cellulaires.

Non seulement la forme des divers pollens, mais aussi leurs dimensions (en tenant compte des fluctuation possibles), constituent des caractères qui peuvent avoir une importance taxonomique, tant par eux memes que par le fait d'etre mis en rapport avec les nombres des chromosomes.

On a déjà constaté que le numéro diploïde 24 est le plus fréquent, soit dans le règne animal que dans le régne végétal et que les numéros diploïdes compris entre 12 et 32 sont plus fréquents dans les plantes, que les autres numéros. Corrélativement l'A. a constaté que le diamètre équatorial le plus fréquent dans les pollens est celui de 23–25 microns; suivent, avec des fréquences décroissantes, les mesures 16–14–18–32–12 etc. microns.

De même, tandis que les numéros diploïdes éleves (2a = 100–200) sont très rares dans les plantes, les espéces avec des pollens à grains volumineux sont elles aussi en nombre très réduit.

Parmi les Convolvulacées, au nombre chromosomique diploïde 2n = 14 de Cuscuta europaea correspondent des microspores de 18–25 μ à 2n = 50 de Convolvulus arvensis, microspores de 50–70 μ, tandis que les Ipomées ayant un nombre élevé de chromosomes (2n = 60, 2n = 90 ca.) ont des grains de pollen d'un diamètre de 150–210 microns. Parmi les Nyctaginacées, le genre Bougainvillea (2n=20) a des pollens de petites dimensions dont le diamètre equatorial est de 30–40 microns, tandis que le genre Mirabilis (2n = 58) a des graines de pollens de grandes dimensions, de 160–226 microns de diamètre.

Bien d'autres exemples de corrélation semblables, appartenant à plusieurs genres et families de plantes, peuvent être cités, sur la base de l'examen des pollens de plus de 1000 espèces.

Si des espèces de proche parenté et semblables au point de vue de la taxonomie, diffèrent entre elles par le nombre des chromosomes respectifs, elles diffèrent aussi quant aux dimensions des pollens.

Le cardinal diamétrique equatorial des grains de pollens des espèces vraisemblablement élémentaires et de leurs variétés est souvent très proche du cardinal chromosomique diploïde des entités respectives; il est quelquefois un des ses multiples, très rarement un sous-multiple.

Tandis que la proportionalité entre les dimensions des grains de pollen et le nombre des chromosomes est fréquente dans les espèce élémentaires, elle nè se rencontre pas dans beaucoup d'autre cas, à cause de l'interférence de la polyploïdie. Dans les Cucurbitacées, aux pollens avec grains de 20 et 22 μ (Bryonia dioica, Momordica charantia) correspondent 2n = 20 et 2n = 22 respectivement; tandis que dans les espèces à gros grains de pollens (Cucurbita pepo: 170 μ; Cucumis sativus: 72–76 μ) ont a trouvé jusqu'à present: 2n = 40,42 (80) et 2n = 14,28 respectivement.

Une des manifestations de la polyploïdie, est la présence dans les pollens de macro-grains, de grains abortifs, de sillons et de pores aberrants, en somme de grains atypiques par leur forme et parfois aussi par leur coleur, présence qui, outre à indiquer l'origine hybride, peut, dans certains cas, inciter à faire des recherches sur les parents supposés et à tirer un plus grand parti de ces caractères.

Dans bien de cas il est possible de dessiner les spectre des pourcentages selon lesquels les différentes entités on concouru à la constituion de la variété ou de la cultivar.

L'A. propose d'appeler un tel diagramme: spectre génétique pollinique. [Agrave] le définir concourent aussi bien les différences morphologiques et microchimiques, que le pourcentage des grains physiologiquement inactifs (abortifs).

La biométrie est très utile dans l'interprétation des préparations microscopiques hétérogènes des allopolyploïdes.  相似文献   

20.
Résumé L'auteur a étudié l'effet des lachers deTrichogramma cacoeciae en nombres différents sur 8 parcelles de 100 arbres chacune. En outre, 2 parcelles supplémentaires ont été choisies dans lesquelles 500 000 spécimens de Trichogrammes ont été introduits respectivement une semaine et deux semaines plus tard. Les résultats sont montrés par les figures 2, 3. Même la diminution par 20 du nombre des Trichogrammes libérés affecte à un faible degré seulement, la réduction du pourcentage d'infestation des fruits (fig. 2). La figure 3 montre clairement combien il est important que le Trichogramme soit introduit au moment favorable de la biologie du ravageur.   相似文献   

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