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1.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

2.
The probing behavior of two aphid species, Myzus persicae (Sulz.) and Nasonovia ribisnigri (Mosley), was electronically monitored on susceptible and resistant lettuce lines using a DC amplifier. A waveform pattern associated with extracellular stylet pathway activities, pattern C, occurred for longer periods when either aphid species probed resistant plants. This pattern is usually regularly interrupted by drops in electrical potential lasting a few seconds, reflecting cell membrane punctures followed by rapid withdrawal of the stylet tips. For M. persicae on resistant lettuce a large increase in pattern C without these potential drops accounted for the increased duration of this pattern. For N. ribisnigri the increase in pathway activity on resistant plants was due to an increase in the more typical pattern C with potential drops, as well as to an increased duration of pattern F, associated with a curious type of stylet penetration within cell walls. Both aphids made more but shorter probes on resistant than on susceptible plants, and these probes led less frequently to periods of sieve element contact and ingestion. The effects of resistance appear to involve both mesophyll and phloem factors. The underlying mechanisms, however, remain unclear. The results indicate which stylet penetration activities or waveform patterns are of interest for further investigation of resistance mechanisms.
Résumé Le comportement de sondage de variétés sensibles et résistantes de laitues par deux espèces de pucerons, Myzus persicae (Sulz.) et Nasonovia ribisnigri (Mosley), a été enregistré électroniquement en utilisant un amplificateur DC. Les deux espèces de pucerons ont présenté une amplification de l'onde de type C associée au cheminement extracellulaire des stylets lors du sondage des variétés résistantes. Cette onde est normalement interrompue par des chutes de quelques secondes du potentiel électrique, traduisant des ponctions de la membrane cellulaire suivies par un rapide retrait de l'extrémité des stylets. La forte augmentation de l'onde C mais sans chutes de potentiel rend compte de la plus longue durée de cette onde chez M. persicae sur laitue résistante. L'accroissement du cheminement des stylets chez N. ribisnigri sur plantes résistantes est dû à une augmentation de l'onde C typique avec chutes de potentiel, ainsi qu'à une prolongation de l'onde F liée à la pénétration des stylets dans les parois cellulaires. Les deux espèces font des sondages plus brefs et plus nombreux sur variétés résistantes, et ces sondages entraînent des contacts moins fréquents avec les éléments criblés et débouchent moins souvent sur de l'ingestion. Les effects de la résistance semblent impliquer des facteurs liés à la fois au mésophylle et au phloème. Les mécanismes sous-jacents, cependant, ne sont pas encore clairs. Ces résultats Montrent que l'examen des ondes liées à la pénétration des stylets est important pour des études ultérieures sur les mécanismes de résistance.
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3.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
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4.
Résumé 58 échantillons de sol sont collectés dans des parcelles cultivées en blé du Centre et de l'Ouest de la France. Ces sols sont répartis en pots, infestés ou non par une souche agressive ou hypoagressive deGaeumannomyces graminis var.tritici et cultivés en blé pendant 3 mois. Les plantes sont alors arrachées pour appréciation du niveau de maladie et mesure du volume de racines développées dans chaque sol. L'analyse en composantes principales réalisée sur ces variables biologiques et les caractéristiques physicochimiques des sols montre que le niveau de la maladie observé est corrélée négativement avec le niveau potassique et la teneur en sable, corrélé positivement avec la teneur en limon. Dans certains sols il a pu être constaté un développement plus important du système racinaire à la suite de l'infestation par l'un ou l'autre des champignons et l'analyse révèle que ce phénomène est en étroite relation avec la teneur en manganèse échangeable.  相似文献   

5.
G. Bouxin 《Plant Ecology》1977,33(2-3):65-78
Résumé Dans un site de la forêt de montagne du Rwanda, diverses méthodes d'étude de la structure de la strate arborescente sont présentées. Grâce à diverses méthodes d'ordination et de classification, il est possible de représenter la distribution de la surface terrière de plusieurs espèces d'arbre le long d'un gradient d'humidité. L'analyse des coefficients de corrélation entre individus adultes et jeunes fait apparaître des différences entre l'écologie des arbres jeunes et adultes; à cause de la variance élevée des données, une standardisation est nécessaire. Le diamètre de l'arbre de surface terrière moyenne est une valeur de synthèse très intéressante sur le plan écologique. Les caractéristiques dendrométriques et écologiques de 4 groupements végétaux sont présentées; les courbes de fréquences de circonférences de trones sont un complément intéressant dans la compréhension de l'écologie des espèces.
Summary In a site of the Rwanda upland forest, different methods of study of the tree layer structure are presented. By using diverse ordination and classification methods, it is possible to represent the distribution of the basal area of several species along a moisture gradient. The analysis of the correlation coefficients between adult and young individuals of a same species exhibits differences in the ecology of young and adult trees; because of the high data variance, a standardization is necessary. The diameter of the tree of mean basal area is a very interesting synthesis value from an ecological point of view. The ecological and dendrometric characteristics of four groupings are presented; the frequency curves of trunk girth are an interesting complement to the understanding of the species ecology.
Toutes les données présentées ont été rassemblées pendant notre séjour à l'Institut national de la Recherche scientifique du Rwanda. Les ajustements à la fonction béta ont été réalisés sur l'ordinateur IBM 1130 de la Faculté des Sciences agronomiques de l'Etat à Gembloux; nous remercions vivement le Dr. J. Rondeux pour sa collaboration dans la réalisation du programme et des calculs.  相似文献   

6.
Résumé La répartition horizontale du zooplancton est étudiée; l'accent est mis sur la disposition relative des agrégats des diverses espèses et sur l'évolution de l'agrégation de ces espèces en fonction du temps et de l'intensité lumineuse incidente. Des précisions sont données qaunt aux pourcentages des divers stades d'une espèce dans et en dehors des agrégats.La répartition verticale des espèces et de leurs divers stades est décrite. Les fluctuations en surface au cours de 24 heures du nombre d'individus de toutes les espèces planctoniques et de leurs divers stades sont examinées et font l'objet d'une discussion.Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique Section Hydrobiologie (Dir.: Dr. G. Marlier)  相似文献   

7.
Résumé L'étude physico-chimique des eaux, couplée à celle de la répartition quantitative des espèces bryophytiques aquatiques et subaquatiques de la Sambre, de la Somme et de la Meuse (Belgique et Nord de la France), permet de tirer quelques conclusions quant à la résistance de ces espèces aux différents types de pollutions.La synthèse multivariable des résultats aboutit à l'élaboration d'un indice de qualité des eaux, qui est comparé avec l'indice similaire de Descy, relatif aux diatomées benthiques.
The physico-chemical analysis of the waters, in conjunction with the quantitative distribution of the aquatic and subaquatic bryophytes in the rivers Sambre, Somme and Meuse (Belgium and North France), has led to conclusions about species resistance to different kinds of pollution.The data's multivariable synthesis gives a quality index of water and permits comparison with Descy's index for benthic diatoms.
Recherches bénéficiant de l'appui du Fonds de la Recherche Fondamentale Collective: programme du Centre de recherches fondamentales sur les bioindicateurs de la pollution des milieux continentaux.  相似文献   

8.
Unless leaf-water content is maintained near the saturation level of excised leaves via high humidities and leaf-water supplementation via the petiole, larval growth is suppressed. In 87 paired feeding experiments involving sixteen species of Lepidoptera, the effects on larval growth of leaves with, and without, leaf-water supplementation were compared. Suppressive effects upon the efficiencies of larval growth were observed for larvae fed leaves without water supplementation. These effects were more pronounced for tree leaf-feeders than for forb leaf-feeders.
Résumé La croissance des chenilles est supprimée quand la teneur en eau des feuilles coupées n'est pas maintenue proche de la saturation grâce à une humidité ambiante élevée et grâce à un apport d'eau supplémentaire par le pétiole. La comparaison des effets sur le développement larvaire de 16 espèces de Lépidoptères avec ou sans apport supplémentaire d'eau foliaire a été effectuée au cours de 87 expériences.L'absence d'apport supplémentaire d'eau affecte la croissance des chenilles alimentées sur feuilles. Les effets les plus marqués s'observent sur l'avant dernier stade et sont plus nets sur les chenilles consommant les feuilles d'arbres que sur celles consommant les plantes herbacées. L'E.C.D. (efficacité de conversion de la biomasse digérée) subit la réduction la plus nette, particulièrement chez les chenilles consommatrices de feuilles d'arbres. La teneur en eau de ces dernières est faible même quand elles sont saturées. La croissance des chenilles observée dans ces expériences laisse supposer que les feuilles d'arbres, avec une teneur à saturation de 50% à 75% d'eau, ne permettent pas le taux de croissance des chenilles des plantes herbacées dont la teneur en eau est de 80% à 95%.Un apport supplémentaire en eau pour les feuilles d'arbres peut empêcher la combustion superflue de biomasse assimilée et d'énergie pour l'eau métabolique, ainsi que toutes les tentatives pour mesurer les dépenses respiratoires liées au degré de spécialisation alimentaire larvaire ou les possibilités de détoxification devraient comprendre un apport supplémentaire d'eau pour maintenir la saturation des feuilles coupées. Même alors, l'efficacité des conversions de biomasse végétale, d'énérgie et d'azote pendant la croissance larvaire dépend fortement des disponibilités, pour les larves, des différentes plantes-hôtes, en eau foliaire.
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9.
The feeding, growth, activity and reproduction of two homopteran species, Rhopalosiphum maidis (Fitch) and Peregrinus maidis (Ashm.) were measured on sorghum plants of different heights. Both species had markedly poorer growth on smaller sorghum plants. The poor growth was found to be associated with less time spent feeding and a corresponding increase in activity.
Résumé On a mesuré la performance de deux espèces d'Homoptera, Rhopalosiphum maidis et Peregrinus maidis sur des plants de Sorgho de taille différente, en notant leur croissance, leur taux de reproduction, leur taux d'alimentation et leur niveau d'activité. Les deux espèces avaient une croissance sensiblement plus faible sur les jeunes plants de sorghum, liée au fait que les insectes passaient moins de temps à s'alimenter et plus de temps à se déplacer. Les deux espèces avaient également des taux de survie plus faibles lorsqu'elles étaient élevées sur des jeunes plants. Des travaux antérieurs faits sur des acrididés (Woodhead & Bernays, 1977) avaient aussi montré une réduction des quantités ingérées sur de jeunes plants de sorghum. Des travaux sont en cours sur les aspects biochimiques des changements de la sapidité du sorghum avec l'âge des plants.
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10.
Ootheca production is here investigated in three species of field-dwelling cockroaches under both field and controlled conditions. Mating is shown to have a significant effect on the length of the pre-oviposition and inter-oviposition periods, fecundity, female longevity and the formation of the ootheca. The occurrence of facultative parthenogenesis is confirmed in Ectobius lapponicus and E. pallidus.
Résumé Les effets de l'accouplement sur certains aspects de la biologie de la reproduction ont été étudiés, pour trois espèces de blattes champêtres du genre Ectobius, à la fois en conditions expérimentales et en conditions naturelles. E. lapponicus et E. pallidus se révèlent être des parthénogénétiques facultatives, bien que ce mode de reproduction entraîne une réduction de la fertilité de ces espèces. Cette parthénogenèse est thélytoque. Quelques ufs non fécondés de E. panzeri se développent partiellement, mais n'éclosent pas. Des différences dans certains aspects de l'oviposition apparaissent chez les 3 espèces entre les femelles vierges et les femelles accouplées. Les périodes de pré-oviposition et d'inter-oviposition sont allongées chez les femelles vierges. La forme des oothèques varie, celles déposées par les femelles accouplées sont plus courtes et plus larges. Des différences spécifiques sont manifestes dans le mode de dépôt et dans le sens de rotation de l'oothèque, ce dernier caractère étant aussi affecté de quelque façon par la copulation. La longévité des femelles vierges est plus grande que celles des femelles accouplées, bien qu'un moindre nombre d'oothèques soit déposé. En général les femelles des trois espèces se comportent de façon semblable dans les conditions expérimentales et en milieu naturel.
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11.
The response of Erica australis to experimental burning, cutting and ploughing treatments was studied in two heathland communities where it was dominant. The treatments represent those most frequently originated by humans on these heathland communities throughout history. The response of this species in a community where it is dominant and there is no strong interspecific competition was also compared to that produced by it in a community where there is competition. It can be observed that the response to burning and cutting treatments is very similar with very fast spatial occupation in the first few years. From the point of view of time cover values increased in a pronounced manner during the first few years and this increase was stabilized from the fourth year. However, from this moment on a greater increase in this species' maximum height is evident. The response to ploughing is slower according to recovery mechanism (seedlings). Recovery is comparatively less in the area where there is no strong competition than in that where it exists between species. RésuméDans deux communautés de bruyère dominées par Erica australis on a étudié la réponse de cette espèce aux traitements expérimentaux de brûlage, coupe et labour. Ces traitements représentent les actions les plus fréquentes que l'homme a exercé sur ces communautés de bruyère tout au long de l'histoire. De la même façon, on a fait la comparaison de la réponse de cette espèce quand elle se trouve dans une communauté dominée principalement par elle, où elle n'y a pas une forte compétition entre les espèces, avec la réponse quand elle se situe dans une communauté où plusieurs espèces coexistent. On observe que la réponse aux traitements de brûlage et coupe est très semblable, en présentant une occupation spatiale très rapide pendant les premières années. Du point de vue temporel, leurs valeurs de couverture augmentent de façon plus prononcée pendant les premières années, et c'est à partir de la quatrième année que ce développement se stabilise. Cependant, c'est à partir de ce moment là qu'on remarque une augmentation plus grande en ce qui concerne la hauteur maximale de cette espèce. La réponse au traitement de labour est plus lente en relation avec la régénération par semences. L'effet de la compétition se traduit par une récupération qui suit un mode d'augmentation opposé à la situation originaire. Dans la surface où il n'existe pas une forte compétition, la récupération est comparativement plus faible que dans la station où il y existait une compétition entre les espèces.Mots clés: Maquis, Mécanismes reproductives, Perturbations expérimentales, Régénération, Rejets  相似文献   

12.
Résumé Au début du printemps les adultes de Coccinella septempunctata L. (Col., Coccinellidae) issus des sites d'hivernation, les larves et les nymphes qui en proviennent, fréquentent le sol et les parties basses du blé. En juin, les adultes nés dans le champ et leur descendance sont dispersés sur toute la hauteur des talles bien qu'une fraction non négligeable de leur population se rencontre à l'extrémité supérieure. La plupart des pontes sont déposées sous les mottes de terre, les pierres et les petites adventices qui constituent des sites privilégiés. Ces variations de la distribution de cette coccinelle peuvent être mises en relation avec le climat, en particulier la température, avec la thermophilie de cette espèce et avec la répartition sur les différentes parties des talles des 3 espèces de puceron qui se succèdent au cours de la saison. Ces observations sont importantes à considérer lors du choix ou de la mise au point d'une méthode d'échantillonnage.  相似文献   

13.
Résumé Certains stades juvéniles de charançons des céréales du genreSitophilus ont été soumis à un séjour prolongé dans des compositions gazeuses modifiées par le dioxyde de carbone (CO2).Les auteurs se sont placés dans des conditions de teneur en CO2 constante (50%), associée à des teneurs en oxygène comprises entre 4 et 20%, pour étudier les conditions d'une synergie entre l'effet spécifique du CO2 et la présence d'une forte teneur résiduelle en oxygène. Les effets ont été observés sur les stades juvéniles les plus évolués (larves et nymphes) des espècesS. oryzae (L.) etS. granarius (L.), (Coleoptera: Curculionidae).L'accroissement de la vitesse de mortalité chezS. oryzae est significative avec l'augmentation de la pression partielle d'oxygène. Cet effet de synergie provoqué par l'oxygène n'est pas significatif avecS. granarius, bien qu'il existe aussi avec cette espèce une tendance à l'amélioration de l'efficacité insecticide à court terme avec les mélanges à forte teneur résiduelle en oxygène.Il en est déduit des hypothèses sur les effets des mélanges gazeux à composition modifiée par le CO2 au niveau de la physiologie générale de ces insectes, qui est très difficile à appréhender directement à cause du mode de développement des stades juvéniles des charançons (formes cachées dans le grain).  相似文献   

14.
Threshold dosage and type of dispersive response by aphids to the alarm pheromone, (E)--farnesene, were determined for fourteen species in the subfamilies Aphidinae and Chaitophorinae. Dosage required to disperse 50% of the most and least sensitive species was 0.02 ng and 100 ng, respectively. Some species dispersed at low dosages by walking and at high dosages by falling; others dispersed only by walking regardless of dosage. Sensitivity to alarm pheromone and type of dispersive response are interrelated with aggregation density and whether the aphid is myrmecophilous.
Résumé Quatorze espèces d'Aphides appartenant aux sous-familles des Aphidinae et Chaitophorinae ont été testées pour leur réponse à la phéromone d'alarme EBF, sur la base de la dose limite efficace et du type de réponse par dispersion des individus. Les doses d'EBF nécessaires pour disperser 50% des individus chez l'espèce la plus sensible sont de 0,02 ng, contre 100 ng pour l'espèce la moins sensible. Certaines espèces se dispersaient en marchant pour de faibles doses et en se laissant tomber pour de fortes doses; d'autres se dispersaient seulement en marchant, quelle que soit la dose. La sensibilité et le mode de réponse à la phéromone sont en relation avec la densité des groupements et avec le fait que l'espèce est ou non myrmécophile.
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15.
The relative importance of three factors-mating, nutrition, and crowding-in regulating the reproductive biology of Dysdercus fasciatus Signoret, D. nigrofasciatus Stål and D. cardinalis Gerst. was studied under standard laboratory conditions. Observations on mated and virgin females of these three species of Dysdercus showed that there were no significant differences in pre-oviposition period and inter-oviposition period. In D. fasciatus and D. nigrofasciatus there was, further, no significant difference in the rate of oocyte development; but D. cardinalis differed from these two species in that mating had a profound effect on the rate of oocyte development and consequently on the first oviposition. However, in all three species of Dysdercus mating had a significant effect on the number of eggs produced in each batch, the egg batches of mated females being significantly larger than those produced by virgin females. Further, in both D. fasciatus and D. nigrofasciatus virgin females lived longer than mated females but in D. nigrofasciatus mating had no significant effect on adult longevity. Mating activity was drastically reduced in starved adult bugs. But where it occurred under these conditions, mating did not have any effect on the development of the oocytes, even in D. cardinalis. Under starvation conditions, growth proceeded up to the stage where yolk deposition would normally occur, then stopped; the oocytes showed no signs of degeneration or oosorption. Crowding of female adults led to the acceleration of oocyte development and the onset of oviposition in all three species. These findings are discussed in relation to the known field biology of the three Dysdercus species.
Résumé La biologie de la reproduction de 3 espèces de Dysdercus du Kenya a été étudiée au laboratoire. Des 3 espèces, D. fasciatus Signoret présente les périodes les plus courtes de pré-copulation et de pré-oviposition. Puisque cette espèce est inféodée à un relativement petit nombre de plantes-hôtes, qui ont une courte saison de fructification procurant alors une ample source de nourriture, elle tire un avantage maximum de la brièveté de cette période favorable, grâce à la réduction des phases de pré-copulation et de pré-oviposition.Par contre D. nigrofasciatus Stål est adaptée à un très grand nombre de plantes hôtes et pour elle il n'est pas indispensable d'avoir une très grande capacité de reproduction. Cela s'applique encore mieux à D. cardinalis Gerst. qui a une plus longue période de pré-copulation et de pré-oviposition. Cette espèce préfère les plantes qui sont dispersées sur une grande superficie et cela exige une longue période de vol exploratoire avant de s'alimenter et de se reproduire.Chacune de ces 3 espèces s'accouple de façon presque continue, mais les observations faites au laboratoire montrent que l'accouplement n'a aucun effet notable sur la longévité des adultes, sur la durée des phases de pré-oviposition ou d'inter-oviposition et sur le nombre total d'ufs pondus chez D. fasciatus et D. nigrofasciatus. Chez D. cardinalis, au contraire, l'accouplement a un effet important sur la vitesse de croissance des ovocytes, mais non sur les autres aspects de la reproduction évoqués ci-dessus.Le rassemblement en masse des femelles adultes accélère le développement des ovocytes et déclenche la ponte dans chacune des 3 espèces de Dysdercus.L'alimentation a un effet sur le développement des ovocytes. De jeunes femelles adultes doivent être alimentées pendant au moins 3–4 jours avant de déposer leur première ponte. Après chaque ponte une alimentation plus abondante est encore nécessaire pour assurer le maintien de la production d'ufs. Les femelles de chacune des 3 espèces peuvent survivre avec de l'eau pure mais leurs ovocytes arrêtent leur développement au stade où normalement se dépose le vitellus, mais ils ne sont pas résorbés.
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16.
Résumé 1. Les travaux deSarà (1953) et deBurton (1963) ont remis en question la valeur systématique des caractères morphologiques dans la classification des Eponges Calcaires, et ont proposé de considérer de nombreuses formes connues comme des variétés individuelles et régionales d'espèces très plastiques et variables. Nous avons essayé de préciser, par l'observation directe en plongée libre, la distribution et les préférences écologiques des Calcaires, de définir ainsi les limites naturelles de leurs populations, et d'étudier ensuite la variabilité des caractères morphologiques à l'intérieur de ces populations.2. Nous exposons ici l'exemple des espèces des genresClathrina etAscandra, étudiées en Adriatique, dans les régions de Marseille et de Roscoff. Leur distribution est en rapport direct et très précis avec l'exposition aux vagues et à la lumière, à tel point que sur une surface réduite plusieurs espèces se succèdent et se remplacent en fonction de l'exposition de l'endroit. Dans la règion de Roscoff cette distribution est plus large ce qui est dû aux effets des marées, mais les zones écologique préférentielles pour les espèces deClathrina ont pu être établies en fonction de l'importance de l'apport des sédiments par les eaux côtières.3. La possibilité de définir des populations dont la distribution est très précisemment délimitée malgré une coexistence dans un espace réduit, et qui ne sont pas réliées par les formes transitoires, permet d'éliminer l'hypothèse de la cospécificité de ces populations. Elle permet également d'établir les variations morphologiques possibles au sein d'une espèce, de retenir les caractères significatifs pour la classification, et finalement de distinguer les espèces qui se ressemblent morphologiquement. Dans le cas d'animaux qui, commeClathrina, possèdent très peu de caractères utilisables en systématique, c'est la seule façon de résoudre les problèmes de leur taxonomie.
The importance of research on the ecological distribution for the taxonomy of calcareous sponges
The particular difficulties of the taxonomy of calcareous sponges are due to their great plasticity and their capacity for adaptation which obscure the natural limits of species. An attempt was made to define the natural populations of the Mediterranean species of the generaClathrina andAscandra through a study of their ecological distributions. The populations not connected by the transitory forms were defined by their ecological preferences, and, as they are found in a close cohabitation, were treated as having the specific values. The variability of different morphological features is discussed, the features significant for taxonomy are pointed out and the morphologically close species are defined.
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17.
Conclusions L'invasion de la cornée par les leucocytes est tardive. Ces cellules sont évidemment destinées à servir de moyen de protection contre les microbes, mais elles ont encore probablement une autre fonction, qui reste inconnue, car elles se transforment par métaplasie en éléments différenciés, les cellules en épieu, décrites par Ranvier, dont la durée de vie est limitée.Cette métaplasie s'effectue au cours d'un processus spécial, qui m'a paru fort étrange lorsque j'ai commencé à l'étudier; mais la netteté des images observées aux différentes phases ne m'a laissé aucun doute sur sa réalité. Il ne peut d'ailleurs y avoir aucune erreur sur le sens dans lequel ces phases de la métaplasie se succèdent, à partir d'un leucocyte banal.Les leucocytes sont d'abord englobés par les cellules fixes en donnant des images identiques à celles de la phagocytose ordinaire; mais ils ressortent ensuite de ces cellules et redeviennent libres, ayant acquis une morphologie nouvelle, très caractéristique; souvent ils restent quelques temps rattachés par un mince filament à la cellule d'où ils sortent. Leur noyau a subi, chez l'adulte, mais non chez l'animal très jeune, un amoindrissement; il est normalement en bâtonnet régulier mais présente souvent une fragmentation qui indique un état de dégénérescence. Pourtant la plupart des cellules en épieu possèdent des pseudopodes lamelleux très développés, qui témoignent d'une grande activité migratrice. Les différents stades de cette évolution se rencontrent avec une très grande fréquence, dans toutes les coupes de cornée, et ils sont faciles à voir; s'ils n'ont pas été remarqués jusqu'ici, cela tient uniquement à des raisons techniques.  相似文献   

18.
Summary Distributions and abundances of ants were determined on the N, E, W and S upper slopes of a conical hill that had a gradient of conditions from moist-cool oakjuniper-pine woodland to warm-dry open shrub woodland. Species distributions varied remarkably with slope, even in terms of subfamilies and unique common species. A formicine was the most abundant species on the north slope. A different species of dolichoderine was most abundant on the other slopes. The assemblages of ant species were much more distinct for these small sites on each slope than are the known groups of species associated with vegetation types on a broad geographical basis. Interpretation of the causes of such specific assemblages awaits detailed information on species ecologies However, there is considerable circumstantial evidence that body size is an important factor. The percentage similarity of body size of pairs of species in the same site was least for common species of the same feeding guild; similarity was greater when one or both members of a pair were uncommon; similarities were highest for species in different guilds. Combinations of species that would have had very high size overlaps did not occur together. Some combinations that occurred were those that had the least overlap possible for the species known to occur on the entire hill.
Resume La répartition et l'abondance des populations de fourmis ont été analysées sur les versants d'une colline dont le couvert végétal va de la forêt touffue du type chênegenévrier-pin, humide et fraîche, au maquis ouvert, chaud et sec. On a constaté que la répartition des espèces variait de façon très marquée suivant la pente du versant, même en ce que concerne les sous-familles et les espèces uniques abondantes. Les assemblages d'espèces sont plus nettement démarqués dans ce cas que ne le sont ceux des groupes connus d'espèces associées avec des types de végétation sur des aires géographiques plus étendues. Avant de pouvoir donner une interprétation satisfaisante des causes qui déterminent les divers assemblages, il faudra disposer d'informations beaucoup plus détaillées sur l'écologie des diverses espèces. Il existe déjà, portant, beaucoup de preuves indirectes qui montrent l'importance de la taille spécifique. Les pourcentages de ressemblances des tailles spécifiques entre les espèces d'un même site étaient minimum chez les espèces communes appartenant au même groupe trophique. Les ressemblances étaient considérablement plus grandes lorsque l'un des membres d'une paire, ou les deux membres, appartenaient à des espèces rares. Les ressemblances maximum se rencontrent entre espèces appartenant à des groupes trophiques différents. On n'a trouvé aucune combinaison d'espèces communes dont les tailles spécifiques sont à peu près identiques. Les quelques combinaisons d'espèces communes qui ont été observées apparaissent entre espèces à la taille spécifique aussi divergentes que possible parmi toutes les expèces recensées dans l'air délimitée.
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19.
Résumé Dans ce travail, nous décrivons les manifestations cliniques produites par une espèce nouvelle de Trichophyton mégasporé à culture glabre que nous avons dénommé T. immergens. Cette espèce a été constatée dans notre pays onze fois chez l'homme et une fois chez un boeuf. Sa distribution géographique englobe presque tout le pays. Les malades étaient soit des agriculteurs, ou bien ils avaient contracté la maladie à la campagne. Comme source de contagion, on peut incriminer, avec une grande certitude, les bovidés, mais, bien sûr, la maladie se propage aussi de l'homme à l'homme. La peau glabre est surtout attaquée, mais le cuir chevelu et la barbe peuvent aussi être affectés primitivement. L'affection se présente en forme de placards orbiculaires, ayant une tendance à la dissémination et à la suppuration. Il peut même se produire un vrai Kérion.Le champignon montre, autour des cheveux ou des poils, la gaine typique d'un mégaspore. Les cultures se distinguent des autres Trichophyton mégasporés à culture glabre par les deux caractères importants suivants: 1° Elles sont presque complètement immergées sur milieu glycosé; 2° elles montrent, sur milieu maltosé, un centre irrégulier et autour de ce centre un anneau de duvet blanc et une auréole composée de rayons courts, égaux et serrés; l'aspect sur milieu maltose est donc différent de celui sur milieu glycosé. Sur milieux naturels, le champignon donne une culture duveteuse et y montre une morphologie microscopique très riche: des grappes de spores simples et composées, des vrilles longues et typiques et des nombreuses hyphes recourbées en crosse.  相似文献   

20.
In northeastern North Carolina, outbreaks ofTetranychus urticae Koch on commercial corn and peanut plantings were observed to coincide with flowering and fruiting of the crop host. In greenhouse studies, when equal mite numbers were started on plants in either vegetative or reproductive growth stages, populations increased significantly more after 3–4 weeks on reproductive plants of both corn and peanut. This direct response of mite populations to differences in plant phenology appears to be an important component in the population dynamics ofT. urticae. The importance of this effect in understanding mite outbreaks on corn and peanut is discussed, especially in reference to the corn-peanut agroecosystem in North Carolina.
Réponse de populations deTetranychus urticae Koch., aux phénologies du maïs et de l'arachide
Résumé Les populations de tétraniques sont souvent associées à la floraison et à la fructification des plantes attaquées. Dans les agrosystèmes maïsarachide du N.E. de la Caroline du Nord, l'augmentation rapide de populations deT. urticae a été observée lors de la maturation des épis mâles du maïs et du maximum de floraison de l'arachide. Bien que ces observations suggèrent une relation causale avec la phénologie des plantes hôtes, il est difficile de déterminer dans les conditions de la nature si l'augmentation des populations d'acariens sur les stades reproducteurs des plantes est due à une réponse à la phénologie des cultures ou à une autre cause, comme le passé de la population ou une immigration. Des expériences ont été réalisées dans une serre pour mettre en évidence l'action de la phénologie du maïs et de l'arachide sur les populations d'acariens en maîtrisant ces autres hypothétiques facteurs. Des effectifs identiques d'acariens femelles ont été libérés sur des plantes à des stades tant végétatifs que reproductifs, et ensuite laissés sans interventions pendant plusieurs semaines, au bout desquelles les effectifs sur chaque plante ont été dénombrés. Sur les deux hôtes, les populations sur plante à un stade reproducteur avaient augmenté significativement plus que sur les plantes de même espèce à un stade végétatif. Ces résultats montrent queT. urticae répond directement à des différences entre plantes à un stade végétatif et à un stade reproductif. Cette réponse semble jouer un rôle important dans la dynamique des populations deT. urticae.
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