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1.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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2.
Josens  G. 《Insectes Sociaux》1971,18(1):1-13
Résumé Des enregistrements de températures ont été effectués dans des termitières deTrinervitermes geminatus Wasmann et dans le sol en juin 1968, puis en janvier 1969, avant, pendant et après le passage des feux de brousse.Les termitières deTrinervitermes geminatus Wasmann, partiellement épigées, sont soumises à de fortes variations de température en surface, en relation avec l'éclairement et les pluies. De même que dans le sol, ces variations se propagent lentement dans la termitière et s'atténuent avec la profondeur: leur amplitude passe de 40° C environ au sommet de la termitière à 2 ou 3° C dans les loges souterraines, amplitude également observée dans le sol à profondeur équivalente.Sans que l'on puisse parler de régulation thermique de la part des termites, il existe néanmoins une relation entre la température au centre du nid et la taille de ce nid: l'amplitude thermique journalière des nids de grande taille étant nettement plus faible que celle des petits nids. Ceci ne résulte probablement que de l'inertie thermique qui est plus importante dans les grandes termitières.L'influence immédiate du passage des feux de brousse se révèle négligeable: elle ne se manifeste qu'en surface de la partie épigée du nid.
Summary Temperature measurements have been made in mounds ofTrinervitermes geminatus Wasmann as well as in the soil. They have been recorded in june 1968 and in january 1969, before, during and after the bush fire.The temperature of the mounds varies with the conditions of enlightment and rain. At the top of the nests, the variations are about 40° C (72° F); in the subterranean rooms, they are about 2, 5° C (4, 5° F), just as in the soil at equal depth.The variation of temperature is smaller in bigger mounds but there is probably no regulation by the termites themselves. Only the mass of the mound seems to intervene in the deadening of the external variations of temperature.The immediate influence of the bush fire is insignificant: only the surface of the mound offers a very momentary variation.

Zusammenfassung Temperaturmessungen sind während der Monate Juni 1968 und Januar 1969 (vor, während und nach der Buschfeuer) in den Termithügel vonTrinervitermes geminatus Wasmann sowie in dem Boden vorgenommen worden.Die Temperatur des Nestes wird durch Licht und Regenbedingungen beeinflusst. Die Temperatur ändert sich ungefähr um 40° C in der Spitze des Nestes, während sie um 2–3° C in den unterirdischen Logen schwankt, ebenso wie die Temperatur im Boden in gleicher Tiefe.Die Temperaturschwankungen sind kleiner in grösseren Nesten. Die Temperaturregelung seitens der Termiten ist wahrscheinlich ausgeschlossen: nur die Masse des Nestes scheint die Dämpfung der Temperaturschwankung zu bedingen.Der Einfluss des Buschfeuers ist nicht besonders: nur die Oberfläche des Hügels zeigt eine momentane Temperaturschwankung.


Aspirant au Fonds National Belge de la Recherche Scientifique.

La présente étude entre dans le cadre des recherches poursuivies à la Station d'Ecologie tropicale de Lamto (B. P. 28, N'Douci (Rép. de Côte d'Ivoire), installée par l'E.N.S., avec l'aide du C.N.R.S. (R.C.P. no 60), dans le but d'analyser la structure et la vie d'une biocénose terrestre.  相似文献   

3.
Résumé Les expériences que nous avons réalisées nous ont permis d'étudier le rôle de l'absence du gaz carbonique dans l'atmosphère où se trouve l'Insecte. L'une des deux femelles deBombus est introduite dans une cellule microcalorimétrique en atmosphère normale, l'autre femelle dans une cellule dont l'atmosphère est dépourvue de gaz carbonique.Dans l'expression des résultats, je considère d'abord les indications fournies par la forme des enregistrements. Afin d'apporter une plus grande précision dans l'interprétation des enregistrements, j'ai effectué une étude quantitative de la thermogenèse.Les résultats concernant l'influence de la température sur la thermogenèse des reines de Bourdons sont généralement conformes à ce que nous connaissons de la stimulation du métabolisme thermique par une élévation de la température chez la plupart des Poïkilothermes.On peut noter, qu'à température égale, les reines deBombus terrestris ont une thermogenèse relative supérieure à celle des reines deBombus lapidarius. D'autre part, pour chacune des espèces considérées, les valeurs thermogéniques des reines deBombus sont plus élevées — à une exception près — lorsque celles-ci sont placées en atmosphère dépourvue de gaz carbonique.En conclusion, l'absence de gaz carbonique dans l'atmosphère de la cellule microcalorimétrique ne modifie pas profondément le niveau des échanges respiratoires des reines deBombus, dans les limites de mes expériences.
Thermogenesis in Bumble-bees' queens
Summary Experiments have been performed on queens ofBombus terrestris L. andBombus lapidarius L., with a Calvet micro-calorimeter. Curves of thermogenesis (thermograms) are first examined; they vary according to individuals, species, temperature of the ambiance, and composition of the atmosphere.As a rule, at constant temperature, queens ofBombus terrestris produce more heat than these ofBombus lapidarius.Experiments performed in the presence of sodium hydroxide in order to absorb the carbon dioxide elaborated display less undulated thermograms, but individual differences are wide.The thermogenesis of insects placed in micro-calorimetric cells without carbon dioxide is a little higher than that of females in normal atmosphere, but variable results of thermogenic reactions are sometimes observed.
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4.
An apparatus was built to investigate the behavior of Aedes taeniorhynchus larvae and pupae under uniform illumination in a temperature gradient. Larvae were reared at 30.0° C and tested with and without access to food prior to and during the periods of observation. Preferred ranges for starved larvae were greater and spread over slightly lower temperatures than those selected by fed individuals. Fed larvae in all instars preferred the same approximate range, from 30° to 38°, but calculated average preferred temperatures disclosed a progressive increase with age, from 31.8° in the first instar to 34.6° in the early fourth instar. Late fourthinstar larvae (approaching pupation) chose slightly cooler temperatures (average of 33.0°). Animals from a laboratory colony cultured for several years at 27.0° gave, in the early fourth instar, a response almost identical to that shown by progeny of wild-caught females. When temperature for early fourth-instar larvae was slightly lower (33.5° compared with 34.6°). Observations by means of flash photography showed that the range of temperature selected by fed early fourth-instar larvae in total darkness was the same as under uniform illumination.
Résumé Un appareil a été construit en vue d'étudier le comportement des larves et nymphes d'Aedes taeniorhynchus soumises à un gradient de température, sous des conditions d'éctairement uniforme. Les larves étaient élevées à une température de 30° et soumises au test avec ou sans possibilité de se nourrir avant ou pendant les périodes d'observation. Les larves nonalimentées manifestaient un preferendum pour des limites de température plus larges et légèrement plus basses que celles observées avec des larves nourries. Ces dernières, à tous les stades larvaires, montrent un preferendum de 30° à 38°, mais le calcul de la température moyenne préférée révèle un accroissement progressif avec l'âge, passant de 31°8 au 1er stade larvaire à 34°6 au début du 4ème stade larvaire. Les larves du 4ème stade, peu avant la nymphose, préfèrent une température légèrement plus basse (moyenne de 33°). Dans un élevage, maintenu pendant plusieurs années au laboratoire à une température de 27°, les larves du début du 4ème stade montrent une réponse presque identique à celles provenant de femelles capturées dans la nature.Quand les larves sont élevées pendant une génération à 24° en lieu de 30° la moyenne du preferendum thermique pour les jeunes larves du 4ème stade est légèrement plus faible (33°5 au lieu de 34°6).Des observations au moyen de photographies par flash électronique montrent que le preferendum thermique est le même à la lumière ou à l'obsurité.
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5.
Summary A field study of colonies ofNasutitermes costalis in a montane rain forest in Puerto Rico indicated that third stage large workers returned much more readily to nest surfaces to make repairs following a breaching disturbance than other worker types. Where no recent disturbance had been (or was an hour past) small workers, constituting (presumably) only about 24% of all workers in a nest, composed over 46% of the workers collected at the construction site. These findings are evidence of polyethism within theN. costalis worker caste.
Résumé Une étude sur le terrain de colonies deNasutitermes costalis, dans une forêt humide d'altitude à Porto Rico, montre que les grands ouvriers du troisième stade retournent beaucoup plus facilement à la surface du nid que les autres, afin d'y effectuer des réparations à la suite d'une démolition.Quand il n'y a pas eu de perturbations récentes (ou après un délai d'une heure), les petits ouvriers constituant, sans doute, 24% de la population des ouvriers du nid, se trouvent sur la surface dans la proportion de 46% an lieu de construction.Ces résultats mettent en évidence le polyéthisme à l'intérieur de la caste des ouvriers deN. costalis.
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6.
The role of light intensity and temperature in determining the onset of flight in the crepuscular dung beetle Onitis alexis Klug (Coleoptera: Scarabaeidae) was examined. Flight under natural light was highly synchronized, with two-thirds of the beetles that flew flying over a period of 10–12 min. In six flights on different days, the mean time of onset varied by up to 13 min, but mean onset occurred at fixed light intensity. Absolute light intensity therefore appears to be a vital cue in determining flight onset. Mean onset remained at this intensity when dusk was advanced artificially by up to about 8 min. However, when dusk was brought further forward, mean flight occurred at lower intensities and onset of flight took place over a longer period. This is interpreted as an overlapping of the period of light intensities suitable for flight with the circadian rhythm that brings the beetles to the surface. No beetles flew when kept under constant bright light or in the dark during the dusk period. Under conditions of constant dusk, the beetles appeared uncoordinated and, although the median time of onset of flight was only 3 min later than in the control flight, onset of flight was spread out over a much longer period. At soil temperatures of 20–22 °C, over 90% of the beetles flew. This percentage decreased with decreasing temperature, and less than 10% flew at temperatures of 16–17 °C.
L'incitation quotidienne au vol chez e bousier crépusculaire Onitis alexis Klug (Col. Scarabaeidae)
Résumé L'examen a porté sur le rôle de l'intensité lumineuse et de la température sur l'incitation au vol chez Onitis alexis. Le vol en lumière naturelle est fortement synchronisé, avec les deux tiers des adultes qui s'envolent en 10–12 min. Sur six vols pour différents jours, le moment moyen d'envol variait de 13 min, mais l'envol moyen avait lieu à une intensité lumineuse déterminée. La valeur absolue de l'intensité lumineuse paraît ainsi un signal crucial dans la détermination et l'incitation au vol. Le moment d'envol se maintient à cette intensité quand le crépuscule est artificiellement avancé jusqu'à 8 min environ. Cependant, quand le crépuscule est rendu encore plus précoce, l'envol moyen se produit à des intensités plus basses et est étalé. Ceci peut être interprété comme un chevauchement de la période des intensités lumineuses favorables à l'envol avec le rythme circadien qui conduit les bousiers à la surface. Aucun adulte ne vole quand il y a maintien de lumière constante ou d'obscurité à l'heure du crépuscule. En présence de crépuscule constant, les réponses sont hétérogènes, et, bien que le moment médian d'envol ne soit retardé que de 3 min, par rapport aux témoins, l'incitation à l'envol est étalée sur une période plus longue. Avec des températures au sol de 20–22 °C, plus de 90% des adultes s'envolent. Le pourcentage diminue avec la température, et moins de 10% s'envolent à 16–17 °C.
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7.
Summary Thermotolerant strains ofRhizobium leguminosarum biovarphaseoli were isolated from nodules ofPhaseolus vulgaris grown in Kenyan soils, where high soil temperatures often exceed 40°C during sunny days. The isolates varied in their maximum growth laboratory temperature with two strains, 17 and 29B, able to grow at 42°C on yeast extract/mannitol agar media and at 40°C in liquid medium. These strains also survived better in moist clay soil at 38°C and 42°C and on seeds at room temperature but did not grow as well as several of the other strains at low pH. The thermotolerant strains nodulated three bean cultivars in a rooting medium that attained a daily maximum temperature of 36°C to 40°C but they varied in effectiveness according to the cultivar used.
Interaction dePhaseolus vulgaris avec des isolats thermo-tolérants deRhizobium leguminosarum biovarPhaseoli de sols du Kenya
Résumé On a isolé des souches thermo-tolérantes deRhizobium leguminosarum biovarphaseoli de nodules dePhaseolus vulgaris developpés dans des sols du Kenya où la température haute du sol dépasse souvent 40°C, les jours ensoleillés. Les températures de croissance maximum au laboratoire varient d'un isolat à l'autre, avec deux souches, 17 et 29B, capables de croître à 42°C sur milieu gélosé à l'extrait de levure et au mannitol et à 40°C sur milieu liquide. Ces souches survivent également mieux en sol argileux humide respectivement à 38 et à 42°C, et sur semences à température ambiante mais ne croissent pas aussi bien que plusieurs autres souches à pH bas. Les souches thermo-tolérantes ont nodulé trois cultivars de fèves en milieux propices à la germination qui atteignaient une température diurne maximum de 36 à 40°C mais elles varient en efficacité selon le cultivar utilisé.


This work was carried out at University of Nairobi under NairobiRhizobium MIRCEN, P.O. Box 30197, Nairobi, Kenya.  相似文献   

8.
The size of cottonwood (Populus deltoides L. Bartr.) leaf discs used in insect feeding preference trials with the chrysomelid beetle, Plagiodera versicoloraLaich., was shown to affect behavior, and the outcome of the feeding trial. It is suggested that disc size has an effect because it alters the ratio of chemical signals from the cut leaf edge to those of the intact leaf center. The implications of this finding to the design of bioassays; to previously noted differences in feeding behavior for insects on discs versus leaves; and to the study of feeding preference and induction of plant defense are discussed.
Résumé Plagiodera versicolora Laich (Coléo., Chrysomelidae) a préféré significativement consommer les grandes rondelles (diamètre 17 mm) de Populus deltoides préalablement exposées à l'ozone ambiant, aux témoins exposés à de l'air filtré sur charbon de bois. Cependant, quand le diamètre a été réduit à 10 mm, les insectes n'ont plus préféré les feuilles soumises à l'ozone. Les préférences alimentaires de cet insecte consommant le centre des feuilles ont probablement changé parceque les signaux chimiques de la coupure ont surpassé ou masqué ceux des petits disques. Ainsi, le rapport périmètre sur surface du disque est un critère important de la procédure expérimentale. L'influence de la taille du disque dépend vraisemblablement du fait que l'insecte consomme le centre ou la pourtour de la feuille, de la taille de l'insecte et du type d'expérience. Nous en avons déduit que l'effet de la taille du disque est fréquent particulièrement chez les insectes consommant le centre des feuilles.Les modificatons du choix des insectes lorsque les plantes avaient été présentées sous forme de rondelles au lieu de feuilles ou plantes entières, peuvent être expliqués aussi par le changement des signaux provoqué par le découpage des rondelles, plutôt que par l'induction de modifications chimiques dues à la cueillette, comme cela a été précédemment indiqué par différents auteurs. Par ailleurs, dans les conditions naturelles, des changements dans les signaux chimiques des feuilles dus à une consommation antérieure par des insectes, peuvent être aussi importants dans le comportement alimentaire des insectes que n'importe quel changement chimique induit dans les feuilles par les dégâts.
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9.
Summary Growth ofSalmonella typhimurium, Staphylococcus aureus, Bacillus cereus andPseudomonas aeruginosa was inhibited when the pH of fermenting tef approached 5.0, 5.0, 5.5 and 5.0, respectively. However the test organisms grew in far more acidic conditions in broth than in fermenting tef and this is due to antimicrobial substance(s) being produced by some of the lactic acid bacteria. Except forBacillus cereus spores, all the test organisms were heat-inactivated during the baking process of the final tef injera.
Effet de la fermentation sur la croissance et la survie de Salmonella typhimurium, Staphylococcus aureus, Bacillus cereus et Pseudomonas aeruginosa dans le tef (Eragrostis tef) en fermentation
Résumé La croissance deSalmonella typhimurium, deStaphylococcus aureus, deBacillus cereus et dePseudomonas aeruginosa est inhibée lorsque les pH du tef en fermentation approchent respectivement 5:0, 5.0, 5.5 et 5.0. Toutefois, les organismes tests croissent dans des conditiones bien plus acides que dans le tef en fermentation. Ceci est dû à des substances antimicrobiennes produites par certaines bactéries lactiques. A l'exception des spores deBacillus cereus, tous les organismes tests sont inactivés par la chaleur durant le processus de cuisson.
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10.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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11.
Résumé 1) Une espèce nouvelle dePenicillium, P. marneffei,Segretain, Capponi, Sureau, a été isolée d'un rongeur du Centre Viet Nam,Rhizomys sinensis ou rat de bambou, provoquant la mortalité de cet animal en captivité,2) Ce champignon est expérimentalement pathogène pour la souris le hamster et le rat, atteints d'une réticulose macrophagique semblable à l'histoplasmose ou à la leishmaniose.3) Le champignon se développe dans les cellules réticulaires où il se présente sous forme ronde, ovale ou légèrement allongée. Il se multiplie par cloisonnement transversal.4)En culture à 37°,P. marneffei donne des cultures glabres, lisses ou plissées, de consistance crémeuse, ressemblant à une culture bactérienne et formées d'arthrospores.5)Par ses caractères botaniques, le champignon doit être considéré comme une espèce nouvelle, à rapprocher deP. janthinellum et deP.citrinum.
Summary 1) A new species ofPenicillium, P. marneffei Segretain, Capponi, Sureau, has been isolated from a rodent of the center of Viet Nam,Rhizomys sinensis or bamboo rat; it causes the death of this animal living in captivity.2) This fungus is experimentally pathogen for mice, hamsters and rats: it produces a reticulosis similar to histoplasmosis or leishmaniosis.3) The fungus grows in the reticulo-endothelial cells in which its form is round, oval or slightly elongated. It multiplies by scissiparity.4) At 37° C the colony ofP. marneffei is glabrous, smooth or folded, resembling that of Bacteria and formed by arthrospores.5) By its botanical caracters, the fungus is considered as a new species to be classed nearP. janthinellum andP. citrinum.
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12.
Résumé L'incubation des oeufs d'Archanara sparganii, Esper (Lepidoptera: Noctuidae) s'étend sur 8 à 9 mois dans les conditions naturelles. Elle est temporairement interrompue par une diapause qui intervient à un stade précoce de l'embryogénèse et se prolonge de l'été à la fin de l'hiver. Au laboratoire, l'incubation est néanmoins possible à température constante entre 8 et 21 °C. Une étude expérimentale a montré que l'intensité de la diapause s'accroît lorsque la température en début d'incubation est portée pendant 15 jours de 11 °C à 15 °C et 21 °C. Aucun des modèles expérimentaux faisant intervenir la température n'a permis d'éviter totalement la diapause. La durée de celle-ci a néanmoins été réduite des trois quarts dans certaines circonstances, rendant possible l'éclosion des larves avant l'hiver. Ces résultats servent à interpréter les altérations du cycle biologique du nord au sud de la distribution d'A. sparganii. La perte rapide de réceptivité de Typha spp. à l'égard des larves jeunes justifie par ailleurs une entrée en diapause précoce de l'espèce sous climat méditerranéen.  相似文献   

13.
Daily increase in fresh weight was recorded for apterous and alate nymphs of S. avenae at 20°C. Comparison with a control group indicated that daily disturbance and weighing of nymphs did not affect significantly their growth, developmental time or survival. The increase in fresh weight of apterous and alate virginoparae at 20°C was best described by logistic equations. Alate virginoparae were significantly heavier than apterous virginoparae at birth and throughout most of their nymphal life, but they experienced a weight loss at the final ecdysis. The relative growth rate did not remain constant, but declined during development. The decline is associated with a decline in honeydew production per unit body weight. The implications of an inconstant relative growth rate and the marked loss in weight at the adult moult in alates are discussed.
Résumé L'enregistrement de l'augmentation quotidienne du poids frais à 20°C des larves ailées et aptères de S. avenae a montré que des perturbations quotidiennes n'affectent pas significativement la croissance, la durée du développement et la survie. Les équations logistiques décrivent plus exactement l'augmentation de poids frais des aptères et des ailés virginipares à 20°C. Les virginipares ailés étaient significativement plus lourds que les virginipares aptères à la naissance et pendant la plus grande partie de la vie larvaire, mais présentaient une perte de poids à la mue finale. Le taux de croissance relative ne restait pas constant, mais diminuait au cours du développement. La diminution était associée à une diminution de la production de miellat par unité de poids du corps. La discussion porte sur les conséquences de la variation de l'augmentation du poids relatif et de la perte marquée de poids à la mue imaginale.
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14.
Secondary effects of the entomopathogenic hyphomycete Beauveria bassiana (Bals.) Vuill. were investigated on adults of Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera:Chrysomelidae) treated as newly moulted 4th-instar larvae. Fecundity and egg hatching were monitored in surviving females mated with surviving males. When reared at 22°C, adult survivors showed a lessening of their reproductive potential during their whole life. According to the fungal inoculum dosage, the reductions of the total number of eggs laid per female and the mean number of eggs per egg mass ranged from 20% to 56% and from 18% to 46%, respectively. In contrast, at 25°C, the fecundity of survivors was not affected by the fungal infection. This variability of the secondary effects of B. bassiana according to temperature conditions might be related to the lower infection level of treated larvae at 25°C. Moreover, at both temperatures, eggs laid by females surviving fungal infection as larvae were as fertile as eggs laid by control insects. It is concluded that secondary effects of B. bassiana on the fecundity of the Colorado Potato Beetle are temperature-dependent and that they could become negligible at high temperatures under field conditions.
Résumé Les effets secondaires de l'hyphomycète entomopathogène, Beauveria bassiana (Bals.) Vuill. sur la fécondité et la fertilité des insectes survivant à l'infection fongique ont été étudiés chez les adultes du doryphore Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera:Chrysomelidae) issus de larves contaminées en début de 4ème stade. Les insectes maintenus à 22°C ont présenté une réduction de leur potentiel reproductif. Ainsi, suivant la dose d'inoculum fongique, le nombre total d'oeufs pondus par femelle et le nombre moyen d'oeufs par opplaque ont baissé de 20% à 56% et de 18% à 46%, respectivement. En revanche, à 25°C la fécondité des adultes survivants n'a pas été affectée par la maladie. Cette variabilité en fonction des conditions thermiques peut être liée à la diminution de l'effet-dose du champignon sur les larves à 25°C par rapport à 22°C. Par ailleurs, quelles que soient les conditions thermiques (22°C ou 25°C) on ne constate aucun changement significatif de la fertilité des oeufs pondus par les femelles survivantes. Les auteurs concluent que les effets secondaires de B. bassiana sur la fécondité du doryphore dépendent des conditions thermiques et qu'ils pourraient devenir négligeables à des températures élevées en plein champ.
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15.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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16.
The intrinsic rates of increase (rm) ofCyrtobagous salviniae Calder & Sands from Brazil andC. singularis Hustache from Trinidad W.I., were determined in the laboratory at 23°C, 27°C and 31°C on nitrogen-rich plants of the aquatic weed,Salvinia molesta Mitchell.Variation in oviposition and immature survivorship accounted for most of the differences between species in rm values (exponential growth of a stable-age population in a non-limiting environment). Values for rm were higher forC. salviniae (0.210, 0.366, 0.404) than forC. singularis (0.148, 0.140, 0.064) at the three temperatures respectively. At all temperatures,C. salviniae laid seven times more eggs thanC. singularis while at 31°C oviposition was reduced for both species by 45%, and was accompanied by a reduction in egg hatch. Oviposition byC. salviniae was almost continuous (92% of weeks with some eggs laid) whereas oviposition byC. singularis was intermittent (50% of weeks) with intervals averaging 3 weeks without oviposition. Nitrogen concentration inS. molesta affected reproduction byC. singularis more thanC. salviniae, an increase of 0.1% (dry wt) increasing weekly oviposition by 7.0% and 3.6% respectively.The differences in rm for the two weevil species are discussed in relationship to their potential as biological control agents.
Taux intrinsèques d'accroissement deCyrtobagous singularies Hustache andC. salviniae Calder & Sands, utilsés dans la lutte biologique contreSalvinia molesta Mitchell
Résumé Les taux intrinsèques d'accroissement (rm) deC. salviniae du Bresil et deC. singularis de Trinidad, ont été établis au laboratoire à 23°C; 27°C; 31°C, sur des plants deS. molesta riches en azote.Les différences entre les rm des deux espèces provenaient pour l'essentiel de la ponte et de la mortalité préimaginale. Aux 3 températures, les valeurs de rm deC. salviniae (0.210; 0.366; 0.404) étaient supérieures à celles deC. singularis (0.148; 0.140; 0.064). A toutes les températuresC. salviniae a pondu 7 fois plus d'oeufs queC. salviniae; à 31°C, la ponte a été réduite de 45% pour les 2 espèces et été accompagnée d'une diminution des taux d'éclosion. La ponte deC. salvinae était presque continue (92% des semaines avec des oeufs), tandis que celle deC. singularis était intermittent (50% des semaines avec pontes), les interruptions étant en moyenne de 2 semaines. La teneur deS. molesta en azote a affecté la reproduction deC. singularis plus que celle deC. salviniae; un accroissement de 0.1% en poids sec, augmentant les pontes hebdomadaires respectivement de 7% et de 3.6%.Les différences de valeur de rm des 2 espèces sont examinées pour évaluer leurs potentialités comme éléments de la lutte biologique.
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17.
Résumé Les enregistrements thermiques continus m'ont permis de confirmer la constance de la température dans le nid à couvain:1o Du début à la fin de l'élevage; 2o dans les ruches faibles comme dans les ruches fortes; 3o dans les cadres du centre comme dans les cadres extrêmes du nid à couvain.J'ai constaté cependant des variations journalières de cette constante thermique plus importantes que celles signalées jusqu'à présent.J'ai mis également en évidence l'action de divers facteurs sur le comportement thermique de la colonie avec couvain: journées très chaudes, refroidissement brusque, orage, désertion, dérangement dans la colonie (visites ou chocs), claustrations.Une grande constance thermique en hiver dans certaines colonies d'Abeilles s'explique toujours par la présence de petites quantités de couvain.  相似文献   

18.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
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19.
Summary The incidence of enteropathogenicEscherichia coli was higher (33 to 50%) in uncooked chicken sausages than in pork sausages (10 to 43%). The toxigenic isolates in general were of O5 and O89 sero types ofE. coli. The amount of toxin produced varied in raw and boiled sausages as tested by ileal loop and rabbit skin permeability tests. The toxin production was invariably higher at 28°C or 37°C in raw and boiled sausages than at 45°C.
Resumen La incidencia de cepas enteropatógenas deEscherichia coli fue mayor (33 a 50%) en salsichas de pollo crudas que salsichas de cerdo. Los aislados toxinogénicos pertenecían en su mayoría a los serotipos O5 y O89 deE. coli. La variación en la cantidad de toxina producida entre salsichas crudas y hervidas se midió mediante pruebas de permeabilidad en asa ileal y piel de conejo. La producción de toxinas, tanto en salsichas crudas como hervidas, era mayor a 28°C o a 37°C que a 45°C.

Résumé L'incidence de souches entéropathogènes d'Escherichia coli était plus élevée (33 à 50%) dans les saucisses de poulet cru que dans les saucisses de porc cru (10 à 43%). Les souches toxigènes d'E. coli isolées étaient en général de type sérologique O5 ou O89. Les tests du loop iléal et de la perméabilité de la peau de lapin ont démontré que la quantité de toxine produite variait dans les saucisses crues et bouillies. La production de toxine était invariablement plus élevée à 28 ou à 37°C qu'à 45°C tant dans les saucisses crues que dans les saucisses bouillies.
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20.
Life table studies were conducted to assess the effect of constant temperature on the rate of population growth of the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Four temperatures, between 20 and 30.5°C, were tested. An inverse relationship was observed between temperature and most demographic parameters.The intrinsic rate of natural increase (rm) increased from 0.1 at 20°C to 0.2 at 27°C and 30.5°C. The net reproductive rate varied between 426.3 at 30.5°C and 584.7 at 20°C. The mealybug population reached 50% mortality after 37.5, 21.5, 19.0 and 19.0 days respectively at 20, 23.5, 27 and 30.5°C. The results indicate that P. manihoti can persist and increase in numbers within the range between 20 and 30.5°C.
Influence de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc Phenococcus manihoti
Résumé Des tables de vie ont été établies pour déterminer l'effet de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc, Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr., et ainsi comprendre les changements au sein des populations du ravageur dans les champs et mener à bien le programme de lutte biologique organisé à l'I.I.T.A. contre cette cochenille. P. manihoti, introduit à partir de l'Amérique latine en Afrique, y menace la production du manioc (Manihot esculenta Crantz).Le taux intrinsèque d'accroissement natural (rm) a augmenté de 0.114 à 20°C, à 0.185 à 27°C, avant de descendre à 0.182 à 30.5°C. Le taux net de reproduction (Ro) a été relativement élevé (426–584 oeufs femelles/génération). Dans nos conditions expérimentales, la mortalité a atteint 50% au bout de 37.5, 21.5, 19.0 jours respectivement à 20, 23.5, 27 et 30.5°C. La durée du cycle et le coefficient d'accroissement () étaient inversement liés à la température. Le ravageur possède la capacité de doubler sa population en 6.08 jours à 20°C alors que 3.81 jours seulement suffisent pour doubler la population à 30.5°C.Ces résultats nous ont permis de comprendre et d'expliquer l'énorme pouvoir de pullulation de la cochenille observé dans les champs pendant la saison sèche; il s'ensuit que les lâchers des entomophages produits en élevages doivent se faire très tôt au début de la saison sèche, afin de contrecarrer la grande fertilité et la capacité d'augmentation rapide des populations de P. manihoti.
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