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1.
Flight activity of corn rootworm beetles, the northern (NCR), Diabrotica barberi (Coleoptera: Chrysomelidae), and western (WCR), D. virgifera virgifera, was monitored using malaise traps placed at the edges of two small cornfields. Populations of beetles in the fields peaked while corn was flowering, but capture in malaise traps remained low until silks had dried. Capture of NCR and (to a lesser extent) WCR then increased and remained high through the season. Malaise traps were constructed to permit separate collections of beetles that entered on each of two opposite sides. Female NCR that were captured in sides that faced toward corn tended to contain fewer mature eggs than those in sides facing away from corn. These findings support the hypothesis that female NCR emigrate from cornfields to feed when fresh silk and corn pollen (favored foods) become unavailable, but that egg-laden NCR actively seek corn when searching for oviposition sites.
Résumé Les activités de vol de D. barberi (NCR) et D. virgifera virgifera (WCR) ont été contrôlées par l'utilisation de pièges malais placés en lisière de deux petits champs de maïs. Les populations de ces coléoptères sont maximales quand le maïs fleurit, mais leurs captures sont restées faibles jusqu'à ce que les barbes du maïs aient été sèches. Les captures de NCR et, dans une plus faible mesure, celles de WCR ont alors augmenté et sont restées importantes pendant toute la saison. Les pièges malais ont été conçus pour que les adultes pénétrant par les côtés opposés soient récoltés séparément. Les femelles de NCR capturées face au champ de maïs avaient tendance à contenir moins d'ovocytes mûrs que celles capturées du côté opposé. Ces observations appuient l'hypothèse que les femelles NCR émigrent des champs de maïs pour s'alimenter, quand les barbes et le pollen de maïs, aliments préférés, deviennent indisponibles, mais que les femelles NCR pleines d'ovocytes mûrs recherchent le maïs quand elles sont en quête de lieux de ponte.
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2.
Laboratory tests with eggs of Diabrotica virgifera virgifera LeConte showed that during a 10-day hatching period, hatch of male eggs predominated on the first and second days, eggs of mixed sex, with ca. 1:1 ratio, hatched on the third and fourth days, and eggs hatching from the fifth to the tenth days were nearly all female. Overall, female eggs hatched a mean of 2.9 days later than male eggs. Not only did female eggs hatch later, but the time for posthatch development to the adult stage was 1.8 days longer for females. The later egg hatch and longer posthatch development for females resulted in female adults emerging a mean of 4.7 days later than male adults. Total adult emergence lasted 14 days; of this, males predominated during the first 5 days, and females predominated during the last 9 days. Males of D. v. virgifera appear to have evolved protandry (the tendency for males to emerge before females) by developing both a postdiapause embryonic stage and a combined larval and pupal stage of shorter duration.
Résumé L'observation, au laboratoire, pendant une période d'éclosion de dix jours, des oeufs de D. v. virgifera LeConte, a montré que les oeufs mâles prédominent les deux premiers jours d'éclosion, que les oeufs des deux sexes, avec des fréquences 0,5/0,5, ont éclos les troisième et quatrième jours, et que les oeufs éclos du cinquième au dixième jour étaient presque tous femelles. Globalement, les oeufs femelles ont éclos en moyenne 2,9 jours plus tard que les oeufs mâles. De plus, la durée du développement post-embryonnaire des femelles a demandé 1,8 jour en plus. Une éclosion plus tardive et un développement post-embryonnaire plus long ont entrainé une émergence des femelles en moyenne 4,7 jours après les mâles. La période d'émergence des adultes s'est étalée sur 14 jours; les mâles ayant dominé pendant les 5 premiers jours et les femelles pendant les 9 derniers. Les mâles de D. v. virgifera semblent avoir évolué vers la protandrie en acquerant, tant une diapause post-embryonnaire que des stades de développements larvaire et nymphal plus brefs.
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3.
Under field conditions in eastern South Dakota, USA three different planting dates of corn and three times of egg infestation were used to imposed synchronous and asynchronous timing of corn growth and Diabrotica virgifera virgifera LeConte egg hatch and subsequent development. Median occurrence of each of the three larval stages and of the adult stage for each of the infestation-planting treatments was determined by relating occurrence to thermal units and to days after infestation. No significant differences were found among the treatments for median occurrence of each life stage when the thermal unit approach was used. However, significant differences were found among treatments for median occurrence when the day after infestation approach was used. Consistent parameters are needed for prediction of the occurrence of life stages of this insect. Despite the various imposed conditions, this study indicates that the least variable method of predicting life stage occurrence and adult emergence of D. v. virgifera was the use of thermal unit accumulations (base 11°C).
Résumé Dans les conditions de l'est du Sud Dakota (USA), 3 dates de semailles de maïs et 3 dates de contamination avec des ufs de D. virgifera virgifera LeConte ont servi à imposer ou à empêcher la synchronisation des éclosions des ufs et par conséquent des développements ultérieurs. Les dates médianes d'apparition de chacun des 3 stades larvaires et des imagos ont été déterminées en relation avec les unités de température et le nombre de jours depuis la contamination. Aucune différence significative entre les dates médianes d'apparition n'a été mise en évidence par utilisation des unités de température; par contre, ces différences deviennent significatives lorsque l'on utilise le nombre de jours depuis la contamination. Des paramètres fiables sont nécessaires pour prédire la présence des différentes stades de cet insecte. En dépit des différentes conditions imposées pour cette étude, la méthode la moins capricieuse pour prédire l'apparition d'un stade larvaire et l'émergence des adultes est la somme de températures avec une base de 11°C.
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4.
Adult corn rootworm beetles,Diabrotica virgifera virgifera LeConte, were maintained on three dietary regimes which mimicked the progression of corn tissues that would be available in the field for beetles eclosing when corn was in the following growth stages: (A) after tassels had emerged but prior to silking and pollen shed; (B) while plants were silking and shedding pollen; and (C) after pollination was complete and silks had turned brown. A fourth regime (D) was established in which green corn silks, pollen, and leaves were provided throughout the study. The mean number of eggs laid per female over the 12-week duration of the study was 125, 235, 179, and 441 for regimes A, B, C, and D, respectively. Median length of life was 7.2, 7.2, 6.7, and 8.8 weeks for regimes A, B, C, and D respectively. Beetles in regime A laid a greater proportion of their eggs at an older age than did beetles from regimes B and C. To further investigate the influences on survival of changes in food quality of corn as plants and beetles aged, newly-eclosed beetles and beetles that had been maintained in caged plots of corn growing in a greenhouse for various lengths of time were caged on corn at different stages of growth, and the proportion of beetles surviving for 48 h was determined. Survival decreased as plants aged for both groups of beetles, but decreased at a faster rate for old than for young beetles.
Influence de l'alimenation sur la reproduction et la survíe deDiabrotica virgifera virgifera
Résumé D. virgifera virgifera LeConte a été placé sur des régimes nutritifs mimant l'évolution des tissus du maïs disponsibles dans le champ lorsque les insectes éclosent est aux stades suivants du maïs: 1) après émergence de l'épi mâle, mais avant l'apparition des barbes et l'émission du pollen; 2) lors de la présence de barbes et de l'émission de pollen; 3) après la pollinisation et quand les barbes ont bruni. Un quatrième régime a été fourni pendant toute l'expérience comprenant des barbes vertes, du pollen et des feuilles. Les pontes moyennes des femelles pendant les 12 semaines de l'étude on été 125, 235, 179 et 441 pour les régimes 1, 2, 3 et 4. Les dates de mort de la moitié des adultes a été 7,2, 7,2, 6,7 et 8,8 semaines pour respectivement les mêmes régimes. Les femelles du régime 1 pondent à un âge plus avancé que les femelles des régimes 2 et 3. L'influence des changements de la qualité alimentaire du maïs au fur et à mesure du vieillissement des plantes et deDiabrotica, a été déterminée par la survie au bout de 48 heures d'insectes éclos depuis peu et d'autres maintenus en cage sur des lots de maïs à différents stades poussant en serre depuis des temps plus ou moins longs. Plus les plantes sont âgées, plus la survie des 2 groupes deDiabrotica diminue, mais plus vite chez les lots d'insectes âgés.
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5.
Rearing larvae of Ips calligraphus (Germar) (Coleoptera: Scolytidae) in bolts of typical slash pine, Pinus elliottii Engelm. var. elliottii, with thin (TN; 0.5–1.5 mm) phloem (inner bark) relative to adult beetle body width significantly reduced body weight and lipid content of emerging adults compared with thick (TK; 2.5–3.5 mm) phloem-reared adults. Unmated (pre-nuptial) TK beetles averaged 2-fold longer daily and life-time flight duration than TN beetles. Daily flights were highly variable, averaging <20 min (longest daily flight=173 min). TK and TN beetles initiated flight, and the greatest number flew, on the first or second day after emergence form their rearing bolt; % of beetles flying and survival gradually declined to zero by day 9. Males (both TK and TN) averaged 2.5 days of flight, ca. 1 day longer than females. Fliers lived ca. 2-fold longer than non-fliers. Among TK and TN fliers, significant but weak positive correlations occurred between body weight and lifetime flight duration. Poor correlation between lifetime flight duration and longevity suggests little physiological cost to flight, but effects on fecundity were not assessed. Flight by mated, egg-laying (post-nuptial) beetles was substantially delayed (peaking on day 6), suggesting degeneration and subsequent regeneration of flight muscles.
Résumé Le comportement de vol d'Ips calligraphus GERMAR (Scolytidae) a été examiné au laboratoire par une technique de vol captif. La génération parentale avait été artificiellement introduite, suivant la taille des adultes (1,6 à 2,1 mm) dans des morceaux de Pinus elliottii Engelm. variété elliottii au phloeme épais (TK=2,5 à 3,5 mm) ou fin (TN=0,5 à 1,5 mm) les larves se sont développées dans ces morceaux de pin. Le poids et la teneur en lipide des adultes obtenus à partir de TN étaient significativement inférieure à ceux de TK. Le poids des mâles les plus gros a été plus réduit que celui des femelles; les mâles les plus petits semblaient être moins efficaces dans l'initiation des attaques sur les arbres, et les femelles les plus petites ont eu une fécondité réduite.Les durées de vol quotidiennes pendant la vie des mâles TK vierges étaient en moyenne deux fois plus longues que celles des mâles TN. Les durées de vol quotidiennes étaient très variables: en moyenne moins de 20 minutes, mais la plus longue a été de 173 mn. En moyennes les adultes TN et TK ont commencé à voler, et volaient en plus grand nombre, le premier et le second jour après l'émergence. Ensuite la fréquence d'adultes volants et le pourcentage de surviveants, ont graduellement diminué jusqu'à tomber à zéro le neuvième jour. Les mâles TN et TK avaient des vols quotidiens plus longs et volaient environ 1 jour de plus que les femelles. L'activité de vol accrue des mâles reflète leur besoin de trouver dans la nature des arbres convenables; les vols des femelles peuvent généralement être plus brefs, étant plus directement orientés comme une réponse aux phéromones mâles.Les voiliers ont vécu environ 2 fois plus longtemps que les non-voiliers. Parmi les voiliers TK et TN il y avait une corrélation positive étroite entre le poids du corps et la durée totale des vols. Il n'y en a qu'une faible corrélation entre cette durée totale des vols et la longévité, suggérant un faible coût physiologique du vol. L'influence de cette durée des vols et du prélèvement consécutif de lipides sur la fécondité n'a pas été examinée. L'initiation au vol chez les individus fécondés a été sérieusement retardée (maximum le sixième jour) par rapport aux vierges, ce qui suggère un dégénérescence des muscles du vol associée à la reproduction, suivie d'une régénération importante, comme cela a été signalé chez d'autres Scolytes.Ces résultats contribuent à notre compréhension des facteurs conditionnant le comportement de vol et d'autres aspects fondamentaux de la biologie des insectes des pins. Une telle connaissance est nécessaire au développement d'une politique efficace de protection.
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6.
The diapause biology of the European corn borer (ECB), Ostrinia nubilalis (Hübn.), is described based on natural and controlled environment studies of feral and lab-reared ECB's in North Carolina (NC). The diapause response is described as a function of photophase (h of light/day) as well as a function of larval age (instar) at onset of diapause-inducing conditions. A critical photophase of 14.4 h and a critical mean larval instar of 3.3 is found in the lab studies and supported by three years of insectary studies. Seven years of black light trapping of ECB moths in Goldsboro, NC, revealed the likelihood of up to four moth flights/year.Information about the diapause biology of this insect is used to explain both the number of flights and the relative magnitude of the final moth flights. On average, the majority of ECB lineages pass through three generations/year with early maturing ECB's producing a significant and predictable fourth generation. The timing and magnitude of the fourth flight can be partly explained on the basis of the critical photophase and the timing and age structure of previous ECB generations. In most years, the fourth flight is smaller than the third due to the majority of the fourth generation's predisposition towards diapause. However, in at least one case (1977), the fourth flight was unusually large and could be predicted by slight temporal shifts in the previous three flights resulting in the majority of the fourth generation larvae averting diapause. The value of the ECB-diapause interaction as a model system for the explanation and prediction of dynamic phenological events is discussed.
Résumé La diapause d'O. nubilalis Hubn. est décrite d'après des études en conditions naturelles et programmées de souches sauvages ou élevées au laboratoire en Caroline du Nord. La diapause est décrite comme une fonction de la photophase (heures de jour/24 heures) et du stade larvaire au début des conditions inductrices de la diapause. Une photophase critique de 14,4 h et un stade critique larvaire de 3,3 ont été établis au laboratoire après 3 ans d'études en insectarium. 7 ans de piégeage à la lumière noire à Goldsboro, ont montré la vraisemblance de l'existence de 4 vols par an. Les données sur la diapause de cet insecte sont utilisées pour expliquer tant le nombre de vols que l'importance relative des derniers vols. En moyenne, la majorité des lignées ont 3 générations par an, O. nubilalis précoces produisant une quatrième génération conséquente et prédictible. La data et l'importance du 4ème vol peuvent être partiellement expliquées d'après la photophase critique, et la data et la structure en âge des générations précédentes. La plupart des années, le 4ème vol est moins important que le 3ème par suite de la prédisposition à la diapause de la majorité de la 4ème génération. Cependant, dans un cas au moins, en 1977, le 4ème était anormalement important et pouvait être prédit par de faibles changements temporels dans les 3 précédents vols, détournant de la diapause la majorité des chenilles de 4ème génération. La discussion porte sur la valeur du modèle fourni par la diapause de O. nubilalis pour expliquer et prédire la dynamique des évéments phénologiques.
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7.
The freeflight behavior of Carpophilus hemipterus (L.) (Coleoptera: Nitidulidae) was investigated in a vertical flight chamber to measure takeoff propensity relative to beetle age and to determine the effect of food odors on phototactic orientation. A high-pressure sodium lamp presented from above induced a phototactic flight response, especially in beetles 3–7 days old. The majority of phototactic flights lasted less than 15 min for both males (73%) and females (85%), but ranged up to 100 min. A bimodal periodicity in flight propensity was recorded during the photophase with a small peak in activity occurring 14–10 h prior to scotophase and a large 4 h peak occurring from 3 h prior to scotophase to 1 h after when the onset of scotophase would normally have occurred. Beetles maintained with water as adults usually displayed higher levels of flight activity than did beetles maintained with artificial diet.After a period of vertical flight, photokinetic and phototactic response declined, and flight instability increased, as indicated by an overall decrease in the mean rate of climb, accompanied by an increase in the variability of this measure and an increase in horizontal displacement.When food odor (apple cider vinegar) was introduced the rate of climb dropped rapidly and beetles usually landed regardless of how long they had been in flight. When the food odor was removed, takeoff occurred and the beetle returned to its previous rate of climb. When food odor was repeatedly introduced during the same flight, there was no apparent cumulative effect, and each time it was removed, the beetle re-initiated phototactic flight. Unlike true migratory flight in which response to vegetative cues is temporarily inhibited until the insect has engaged in a period of phototactic flight, C. hemipterus flight could be better characterized as extended foraging in which phototactic flight is readily interrupted by encounters with food odor.
Résumé Le comportement de vol libre de C. hemipterus L. a été examiné dans une chambre à vent verticale pour déterminer la tendance au vol après l'émergence et observer l'influence de l'odeur d'aliments sur le vol phototactique. Une lampe à haute pression de sodium induit une réponse de col phototactique, qui débute le 3e jour et reste puissante jusqu'au 8e jour. La majorité des vols phototactiques duraient moins de 15 pour les mâles (73%) et les femelles (85%), mais pouvait se prolonger jusqu'à 100. Les femelles nourries sur régime artificiel présentaient la plus forte proportion de vol dépassant 35. Cependant, les adultes maintenus exclusivement en présence d'eau ont présenté un niveau d'activité de vol encore supérieur. Une tendance au vol à périodicité quotidienne bimodale a été notée avec un petit pic d'activité à 14–10 heures avant la scotophase et un grand pic durant 4 heures, de 3 heures avant la scotophase à une heure après le début de la scotophase.Après une période de vols verticaux, les réactions photocinétiques et phototactiques ont diminué, et l'instabilité des vols augmenté comme en a témoigné la diminution du taux total d'ascensions et l'accroissement de la variabilité de ce paramètre et des déplacements horizontaux. L'introduction d'odeurs d'aliments pendant le vol phototactique provoque une diminution immédiate du taux d'ascension et conduit généralement à un atterrissage indépendamment du temps antérieur de vol. Quand l'odeur était supprimée le décollage avait lieu et l'insecte retrouvait sont taux antérieur d'ascension. Quand la même odeur d'aliment a été réintroduite à répétition pendant le même vol, il n'y a pas eu d'effets cumulatifs apparents. Par opposition avec d'autres insectes présentant un véritable comportement migrateur pour lesquels la désinhibition des réactions végétatives ne se produit qu'après une longue période de locomotion continue, le vol de C. hemipterus est mieux caractérisé comme un comportement de prospection pour lequel les aliments inhibent immédiatement la dispersion.
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8.
A sample of nonmigratory Oncopeltus fasciatus (Dallas) (Hemiptera: Lygaeidae) from Puerto Rico was subjected to bi-directional selection for wing length for 20 generations. Response to selection was strong in both directions. In the 8th and 14th generations samples were drawn from the selected lines and tested for tethered flight. There was little flight observed and no correlation between wing length and flight duration. There was also no correlation between wing length and fecundity. These results contrast with results from a migratory population from Iowa, U.S.A. where there were positive genetic correlations between wing length and both flight and fecundity. A migration-life history syndrome was thus apparent in the migratory Iowa population, but was not present in the non-migratory population from Puerto Rico.
Résumé L'étude de la relation entre la longueur de l'aile, le vol et la fécondité a été faite sur une population sédentaire d'O. fasciatus de Porto Rico; les résultat ont été comparés à ceux d'une population migratrice de L'Iowa, U.S.A. Les punaises de Porto Rico ont été sélectionnées pour leurs ailes longues ou countes pendant 20 générations, en utilisant des lignées répétitives. Une forte réponse a été obtenue par rapport aux témoines des lignées non sélectionnées. Aux 8ème et 14ème générations de sélection, des punaises ont été prélevées pour examen de leur vol entravé. Très peu de vols ont été obtenus et il n'y avait aucune corrélation entre la durée du vol et la longueur de l'aile. Parallèlement, la fécondité pendant les 5 premiers jours de reproduction a été mesurée, et aucune corrélation n'a été mise en évidence, mais il n'y avait pas non plus de corrélation entre longueur de l'aile et fécondité. Ces résultats différent de ceux de la population migratrice de l'Iowa, pout laquelle il y avait une corrélation génétique positive entre longueur de l'aile, vol et fécondité. Chez les punaises de l'Iowa, il y aurait ainsi un syndrome biologique de migration avec des ailes longues, une fécondité élevée précoce et des vols de longue durée. II n'y avait pas de manifestation de ce syndrome chez les populations sédentaires de Porto Rico. Les O. fasciatus migrateurs et sédentaires différent évidemment par la base génétique de leur biologie.
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9.
Dispersal of adult Viburnum whitefly,Aleurotrachelus jelinekii (Frauenf.) was assessed over a period of 6 years, both in the field and in the laboratory. Flight activity did not appear to be strongly affected by normal variation in either temperature or windspeed. The aerial density of flying adults decreased rapidly with distance from the host plant. Movement up to 5 m from the host plant was found to be density dependent, although there is no suggestion that longer flights become more frequent at higher population densities. More males were caught at the beginning of the season and the number of males flying increased as the population density rose. Insects were flight mature after about 3 h, but flew readily only after 2 days. Longer flights were observed from younger females at a time when they would move from old to young leaves. Landing site preference was not recorded, which contrasts with the behaviour of the cabbage whitefly. Flight in the Viburnum whitefly appears to redistribute the population within the immediate habitat, but migration did not appear to be a significant demographic factor in the isolated populations studied.
Etude de l'activité de vold d'Aleurotrachelus jelinekii peu enclin au vol
Résumé La dispersion des adultes d'Aleurotrachelus jelinekii Frauenf, tant dans la nature qu'au laboratoire, a été estimée sur une période de 6 ans. L'activité de vol n'a pas paru être fortement modifiée par les variations de la température et de la vitesse du vent. Le nombre d'adultes en vol a diminué rapidement jusqu'à 5 m de la plante hôte, et il était density-dependent, bien que rien ne prouve que les vols les plus longs deviennent plus fréquents à des densités de population plus élevées. Plus de mâles ont été capturés au début de la saison et le nombre de mâles en vol s'est accru avec la densité de la population. Les insectes étaient aptes au vol 3 heures après la mue imaginale, mais ne volaient normalement que 2 jours après. Les vols les plus longs ont été observés chez les plus jeunes femelles au moment où elles devaient migrer de feuilles âgées à des feuilles jeunes. Les lieux d'atterrissage préférés n'ont pas été décelés. Le vol chezA. jelinekii semble redistribuer la population dans l'habitat immédiat et la migration n'apparaît pas être un paramètre démographique significantif dans les populations isolées étudiées.
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10.
The behavior of parasitoidCampoletis sonorensis females to cotton (Gossypium hirsutum) leaf odor sources was examined in a wind tunnel bioassay. Parasitoids exhibited oriented flights to cotton but not to inert sources, and flew in significantly greater proportion to glanded cotton when compared to glandless cotton in choice tests. A relative lack of volatile terpenes in glandless cotton may account for response differences. Significantly more parasitoids flew to theG. hirsutum cultivar Tamcot CAMD-E than to the diploid cottonsG. arboreum andG. anomalum in choice tests. Differences in volatile chemical composition of the diploid cottons may account for these results. The data are discussed with regard to host habitat location.
Réponse en tunnel de vol du parasitoïdeCampoletis sonorensis aux lignées et cultivars de coton
Résumé Campoletis sonorensis (Cameron) est attiré par diverses plantes et manifeste une forte attraction pour le coton (Gossypium hirsutum L.). Le vol étant certainement le moyen utilisé lors de la détection d'habitats chez ce parasitoïde, un test biologique en tunnel de vol a été développé pour évaluer ces réponses de détection d'habitat chez des femelles deC. sonorensis en présence de coton. Des essais comparatifs ont montré l'existence de vols orientés vers le coton mais non vers des sources inertes, et, sur le coton, les vols ont été plus nombreux vers les plantes avec glandes que vers celles sans glande. Ces résultats sont apparus consistents sur trois paires de lignées avec et sans glandes. Le coton dépourvu de glande ne possède pas, ou seulement en faibles quantités, les terpènes volatils présent en quantités abondantes dans le coton avec glandes. Ce fait peut donc être reponsable des différences de comportement de vol observé envers les deux types de coton. Lors d'essais comparatifs, un nombre de parasitoïdes significativement supérieur a volé vers le cultivarG. hirsutum L. Tamcot CAMD-E par rapport aux espèces diploîdesG. arboreum etG. anomalum. Les cotons diploîdes manquent de certains terpènes volatils démontré attractifs pourC. sonorensis et ces différences peuvent expliquer les résultats observés. Des changements significatifs de réponse des parasitoïdes peuvent donc naître des variations de composition chimiques résultant de pression de sélection naturelles ou artificielles.
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11.
The role of light intensity and temperature in determining the onset of flight in the crepuscular dung beetle Onitis alexis Klug (Coleoptera: Scarabaeidae) was examined. Flight under natural light was highly synchronized, with two-thirds of the beetles that flew flying over a period of 10–12 min. In six flights on different days, the mean time of onset varied by up to 13 min, but mean onset occurred at fixed light intensity. Absolute light intensity therefore appears to be a vital cue in determining flight onset. Mean onset remained at this intensity when dusk was advanced artificially by up to about 8 min. However, when dusk was brought further forward, mean flight occurred at lower intensities and onset of flight took place over a longer period. This is interpreted as an overlapping of the period of light intensities suitable for flight with the circadian rhythm that brings the beetles to the surface. No beetles flew when kept under constant bright light or in the dark during the dusk period. Under conditions of constant dusk, the beetles appeared uncoordinated and, although the median time of onset of flight was only 3 min later than in the control flight, onset of flight was spread out over a much longer period. At soil temperatures of 20–22 °C, over 90% of the beetles flew. This percentage decreased with decreasing temperature, and less than 10% flew at temperatures of 16–17 °C.
L'incitation quotidienne au vol chez e bousier crépusculaire Onitis alexis Klug (Col. Scarabaeidae)
Résumé L'examen a porté sur le rôle de l'intensité lumineuse et de la température sur l'incitation au vol chez Onitis alexis. Le vol en lumière naturelle est fortement synchronisé, avec les deux tiers des adultes qui s'envolent en 10–12 min. Sur six vols pour différents jours, le moment moyen d'envol variait de 13 min, mais l'envol moyen avait lieu à une intensité lumineuse déterminée. La valeur absolue de l'intensité lumineuse paraît ainsi un signal crucial dans la détermination et l'incitation au vol. Le moment d'envol se maintient à cette intensité quand le crépuscule est artificiellement avancé jusqu'à 8 min environ. Cependant, quand le crépuscule est rendu encore plus précoce, l'envol moyen se produit à des intensités plus basses et est étalé. Ceci peut être interprété comme un chevauchement de la période des intensités lumineuses favorables à l'envol avec le rythme circadien qui conduit les bousiers à la surface. Aucun adulte ne vole quand il y a maintien de lumière constante ou d'obscurité à l'heure du crépuscule. En présence de crépuscule constant, les réponses sont hétérogènes, et, bien que le moment médian d'envol ne soit retardé que de 3 min, par rapport aux témoins, l'incitation à l'envol est étalée sur une période plus longue. Avec des températures au sol de 20–22 °C, plus de 90% des adultes s'envolent. Le pourcentage diminue avec la température, et moins de 10% s'envolent à 16–17 °C.
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12.
Résumé Nous avons étudié l'évolution de la tendance au vol de criquets élevés isolément au cours de plusieurs générations! Les vols ont eu lieu dans des enceintes isolées excluant tout stimulus externe à l'obscurité, à la lumière naturelle et à la lumière artificielle.Des vols continus et limités ne s'observent qu'en première génération d'isolement. On observe souvent des séries de très courts vols se succédant très vite. L'expression la plus courante de l'activité de vol est une succession de vols de quelques minutes séparés par des moments de repos de durée voisine. L'activité à la lumière est très faible, comparée à celle exprimée à l'obscurité. Elle varie, comme à l'obscurité, en fonction de la tendance au vol. Chez les deux sexes, celle-ci devient maximum le plus souvent avec la maturité sexuelle. L'activité est plus précoce chez les femelles; elle est aussi supérieure à celle des mâles.L'isolement réduit la tendance au vol de façon déterminante dès la première génération. Les femelles conservent mieux leur tendance au vol au cours des générations d'isolement.
Summary The flight tendency of locusts reared solitarily for several generations has been studied. Locusts were suspended for two hours every other day from individual roundabouts in isolated enclosures excluding all external stimuli; in darkness, artificial or natural light.The results include all types of locust flights as the best flyers were not selected beforehand. Limited continuous flights only occur during the first generation of solitary locusts. Series of very short flights following one another in rapid succession can often be observed. These series of flights have been called «linked flights». The most usual form of flight activity is a succession of flights each lasting from one to five minutes, separated by rest periods of about the same lenght.Flight activity in light is very low compared with activity in darkness. Natural light inhibits flight much less than artificial light. Flight activity in light as well as in darkness varies according to the individual locust's flight tendency.For both sexes, flight tendency increases to begin with during the first two weeks then becomes irregular or decreases, according to the individual or it's generation. This tendency then increases again and reaches a maximum generally coinciding with sexual maturity. Activity, for both sexes is formed of successive bursts varying in duration and importance. General flight tendency decreases in both sexes after the period corresponding to the first oviposition. Maximum activity is earlier in females than in males. The former possess a superior flight tendency. However there is a certain simultaneity between both sexes during the increase phase of general activity, and the decrease phase caused by ageing.The effect of isolation reaches almost total inhibition as soon as the first generation. Females maintain their flight tendency better throughout all successive generations reared solitarily.
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13.
Tingis ampliata has very limited capacity for flight; a few sexually immature individuals of both sexes flew during post-hibernation emergence in spring from early May to June. Flight did not occur in autumn, but bugs warmed to about 35°C apparently attempted flight by opening their wings. When too warm or when not warm enough bugs resorted to active walking rather than attempting to fly. After hibernation, among bugs similarly warmed in spring, 14.3% of females and 23% of males attempted flight and 7% of either sex achieved take-off flights, but these led to trivial horizontal displacement. Number of attempted flights increased with duration of exposure from 2–10 min in females.In both sexes of Tingis flight duration and proportion flying decreased and threshold increased after bugs emerged from hibernation in spring and no bugs flew after mid-summer. Flight duration varied with individuals from 0–20 sec in females and from 0–8 sec in males early in May. There was no significant difference in mean flight duration and the proportion of the sexes flying after mid-May. The proportion flying, average flight duration and flight threshold were similar in bugs tested immediately after capture and those tested 48 hr later.There was no evidence of flight muscle polymorphism in Tingis and no differential development or seasonal change in flight musculature of the sexes. The thorax of teneral adults in autumn was usually characterized by parenchymatous tissue saturated with creamish-white fat which was progressively replaced by flight muscles, especially the dorsal-longitudinals in autumn. Amount of flight muscles remained unchanged during winter but there was further development especially of the dorso-ventrals during the first 2 weeks of post-hibernation.
Résumé Tingis ampliata a une aptitude au vol très limitée; quelques individus immatures des deux sexes volent seulement au printemps de mai à juin, à la sortie de l'hivernage. Les insectes ne volent pas en automne, mais s'ils sont soumis à une température de 35°, ils étendent leurs ailes essayant apparemment de voler. Si la température est trop élevée ou si au contraire il ne fait pas assez chaud, ces punaises se déplacent activement sans essayer de voler.Après hibernation, des punaises soumises à un réchauffement comparable à celui intervenant au printemps, montrent 14.3% de femelles et 23% de mâles qui essaient de voler, 7% seulement de l'un ou de l'autre sexe, parvenant à prendre leur essor, ne réalisant d'ailleurs que des déplacements horizontaux peu importants.La durée de vol et la proportion d'insectes aptes au vol diminuent au cours du printemps chez les insectes issus d'hibernation; aucun insecte ne vole plus après la mi-été. La durée du vol varie de 0 à 20 sec chez les femelles et de 0 à 8 sec chez les mâles au début mai; passé mi-mai, il n'y a plus de différences significatives entre les sexes. Les résultats sont comparables chez des insectes testés immédiatement après capture ou 48 h plus tard.On n'a pas pu mettre en évidence de polymorphisme des muscles alaires entre les sexes, soit dans leur développement, soit dans un changement saisonnier. Le thorax des adultes au début de l'automne est habituellement caractérisé par un tissu parenchymateux rempli d'un corps gras crémeux, tissu qui est progressivement remplacé par les muscles alaires au cours de l'automne. La quantité de muscles alaires reste inchangée pendant l'hiver, mais ceux-ci se développent à nouveau, en particulier les muscles dorso-ventraux, au cours des deux premières semaines de post-hibernation.
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The cocoa-capsid Distantiella theobroma flies from its canopy substrate spontaneously but when disturbed first falls 1.2 to 1.9 m before flying. Adults are capable of flight 18 to 20 hr after the final moult. Flight is directly sunwards when the sun is low, but when it is high the bugs fly upwards in spirals and zigzags. Flight is terminated by the sight of vertical objects. Mean flight speed is 3.1±0.5 m/sec at 23°. Potential range is at least 1.1 km in females, 2.3 km in males. The other cocoa-capsid, Sahlbergella singularis, differs in being markedly nocturnal in its dispersal flights. Males fly far more often than females.Other factors affecting flight are discussed and the implications of the flight potential for control methods are mentioned. No part of Ghana's cocoa is out of range of colonisation by either species.
Résumé Le Capside du Cacao Distantiella theobroma s'envole spontanément et directement de son support, mais quand l'insecte est dérangé, il se laisse d'abord tomber et ne prend son vol qu'après une chute de 1,2 à 1,9 m. Les adultes sont capables de voler dans un délai de 18 à 20 h. après la dernière mue. Leur vol est orienté en direction du soleil quand celui-ci est bas sur l'horizon, mais s'il est haut l'insecte s'élève vers le ciel en effectuant des spirales et zig-zags. La vue de tout objet vertical provoque l'arrêt du vol et la pose sur ce support. La vitesse moyenne du vol est de 3,1±0,5 m/sec. à une température de 23°. Le rayon de vol est au moins de 1,1 km pour les femelles et de 2,3 km pour les mâles. L'autre punaise du cacao Sahlbergella singularis diffère de la précédente, ses vols de dispersion étant nettement nocturnes. Les mâles volent beaucoup plus souvent que les femelles.D'autres facteurs affectant le vol sont également discutés ainsi que les conséquences des potentialités de vol pour la mise au point de méthode de lutte. Toutes les zones du Ghana où se trouvent des plantations de cacao sont dans le périmètre de dispersion de chacune des deux espèces.
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15.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
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16.
Hylobius abietis migrates by flight to new breeding habitats early in summer. Flight speed and height, wind speeds during flight, and flight direction in relation to wind were studied in the field. Flight duration estimates were obtained from flight mill experiments. Using these data dispersal distances of the females in a population were calculated. According to this tentative estimate a majority of the weevils migrated more than 10 km, and some as far as 80 km, during the entire flight period.
Aire de dispersion de Hylobius abietis (Coleoptera — Curculionidae)
Résumé Hylobius abietis émigre par vol vers de nouveaux habitats tôt en été. La vitesse et la hauteur de vol, la vitesse du vent pendant le vol, et l'orientation du vol en fonction du vent ont été étudiées dans la nature. Après l'envol de nombreux adultes s'élèvent au-dessus des arbres et volent orientés dans le sens du vent, ce qui est certainement une adaptation aux dispersions à distance par le vent. La vitesse de vol est de 1,9 m/s par rapport à celle de l'air. Les captures avec des pièges à succion ont fourni des indications sur la vitesse du vent pendant le vol; en combinant ces données avec les mesures de la vitesse du vol elle-même, une estimation de la fréquence relative des vitesses de disperison a été obtenue.L'estimation de la durée du vol a été obtenue en laboratoire par des expériences avec un moulin de vol. A partir de ces données les distances de dispersion des femelles dans une population ont été calculées. Selon ces essais d'estimation, la majorité des insectes émigrent à plus de 10 kilomètres et certains vont jusqu'à 80 kilomètres pendant l'ensemble de la période de vol.
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17.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

18.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

19.
Flight behavior ofPseudaletia (= Mythimna)separata Walker (Lepidoptera: Noctuidae) was observed around sunset in a grassland habitat at Morioka in northern Japan. Take-off flights by both females and males commenced on the first day following emergence. The proportion of moths flying increased gradually with age from 62% on day 1 to 86% on day 5. Flight could be categorized as ascending or short range, 2 to less than 10 m flights in the observation. The proportion of adults making ascending flights increased from 47% on day 1 to a maximum of 55% on day 2, and then gradually decreased to 29% on day 5. It is considered that the ascending flight is connected with long-distance migration. Mated females with matured eggs did not make ascending flights, but mated males did. Adults embarked on those flights at temperatures of 7.5°C or greater. On rainy days fewer adults flew upwards than on non-rainy days. The related species,Leucania pallens, did not fly up, but flew at slow speed at low altitude.
Résumé Le comportement de vol dePseudaletia (Mythimna) separata Walker (Lep., Noct.) a été observé vers le crépuscule au dessus de prairies à Morioka (Japon septentrional). Les envols des femelles et des mâles débutent le jour suivant l'émergence. La proportion de papillons en vol augmente progressivement, de 62% le premier jour, à 86% le 5e jour. Les vols peuvent être classés en ascendants (2 à 10 m) ou à courte distance (inférieurs à 2 m). La proportion d'adultes effectuant des vols ascendants augmente, de 47% le premier jour, à un maximum de 55% le 2e jour, pour diminuer progressivement jusqu'à 29% le 5e jour. On considère que les vols ascendants sont lié aux migrations à longue distance. Les femelles fécondées contenant des ufs mûrs ne font pas de vols ascendants, tandis que les mâles ayant eu une activité sexuelle le font. Les adultes effectuent de tels vols aux températures supérieures ou égales à 7.5°C. Par temps pluveuxmoins d'adultes ont des vols ascendants que par temps sec. L'espèce voisine,Leucania pallens n'effectue pas de vols ascendants, mais vole à faible vitesse à basse altitude.
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Western corn rootworm (WCR, Diabrotica virgifera virgifera LeConte) is highly sensitive to orally delivered double‐stranded RNA (dsRNA). RNAi in WCR is systemic and spreads throughout the insect body. This raises the question whether transitive RNAi is a mechanism that functions in WCR to amplify the RNAi response via production of secondary siRNA. Secondary siRNA production is achieved through RNA‐dependent RNA polymerase (RdRP) activity in other eukaryotic organisms, but RdRP has not been identified in WCR and any other insects. This study visualized the spread of the RNAi‐mediated knockdown of Dv v‐ATPase C mRNA throughout the WCR gut and other tissues using high‐sensitivity branched DNA in situ hybridization. Furthermore, we did not detect either secondary siRNA production or transitive RNAi in WCR through siRNA sequence profile analysis. Nucleotide mismatched sequences introduced into either the sense or antisense strand of v‐ATPase C dsRNAs were maintained in siRNAs derived from WCR fed with the mismatched dsRNAs in a strand specific manner. The distribution of all siRNAs was restricted to within the original target sequence regions, which may indicate the lack of new dsRNA synthesis leading to production of secondary siRNA. Thus, the systemic spread of RNAi in WCR may be derived from the original dsRNA molecules taken up from the gut lumen. These results indicate that the initial dsRNA dose is important for a lethal systemic RNAi response in WCR and have implications in developing effective dsRNA traits to control WCR and in resistance management to prolong the durability of RNAi trait technology.  相似文献   

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