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1.
Résumé L'activité maximale de ponte des femelles vierges de Diadromus pulchellus Wsm., pourvues en hôtes 24 h après leur émergence, est atteinte au 9ème jour. Comme les femelles inséminées, les femelles vierges ont tendance à concentrer les pontes sur un même hôte car dans nos conditions expérimentales, un tiers des hôtes parasités ont été superparasités. Ce superparasitisme entraîne une perte de 31,1% des ufs émis. Les maximum d'hôtes parasités et superparasités sont atteints au moment de la plus forte activité de ponte.L'équivalence des effectifs des descendances théoriques (calculées à partir du nombre d'ufs sains émis) et des descendances réelles de femelles vierges, signifie d'une part, que, comme chez tous les hyménoptères à parthénogénèse arrhénotoque, les larves mâles issues d'ufs infertilisés sont hautement viables et d'autre part, que la larve victorieuse du combat larvaire atteint dans la majorité des cas le stade adulte libre.
Summary This study of the egg-laying behaviour of virgin females of D. pulchellus shows the relations between fecundity, superparasitism and the number of progeny.The highest egg-laying activity of the D. pulchellus virgin females, allowed access to their hosts (Acrolepiopsis assectella) 24 hr after emergence, was observed on the 9th day. In our experimental conditions, where each female was allowed access to five hosts, renewed daily, for 25 days, three quarters of the hosts available were actually parasitised. As with the fertilized females, the virgins tend to concentrate their eggs on the same host, so that a third of the parasitised hosts were superparasitised, causing a loss of 31,1% of the eggs laid.The greatest numbers of parasitised and superparasitised hosts were reached during the period of maximum oviposition.The equivalence of the theoretical number of progeny (based on the number of healthy eggs laid) and the actual progeny, shows that the survivors of larvae, competing in the same host, generally reach the free imaginal state.
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2.
In the carnivorous dipteran Sarcophaga bullata Parker, vitellogenesis was partially inhibited by injection of two doses of 12 g abscisic acid (ABA). There was no significant difference between injections on day 2 and 4, or on day 4 and 6. Higher and lower doses were less effective. The mixture of isomers inhibited vitellogenesis more than the cis-trans isomer. ABA had no effect on the total lipid concentration of the haemolymph but it inhibited the sharp increase in total protein concentration of the haemolymph and particularly that of vitellogenin, which normally occurred within 24 hr following liver feeding on day 4. Since vitellogenin synthesis is under the control of moulting hormone (MH), the MH activity was measured by radioimmunoassay to find out whether ABA might interact with vitellogenin synthesis via its hormonal inductor. Eight hours after liver feeding, there was a MH peak in the control groups while following ABA treatment this peak occurred after 18 hr. The inhibitory effect of ABA on vitellogenesis could be overruled by feeding sugar impregnated with ecdysterone (5 mg/g), not by topical application of JH. Our results suggest that ABA might interact with a mechanism which phytophagous and non-phytophagous insects share in common. If in phytophagous insects the same amount of ABA per gram weight, as was effective in Sarcophaga (about 200 g/g), is needed to reduce fecundity, it is not probable that this plant hormone plays a role in the seasonal synchronisation of the growth and reproduction of insects with the senescence of their host plants.
Résumé La vitellogenèse du diptère carnivore, Sarcophaga bullata a été partiellement inhibée par injection de deux doses de 12 g d'acide absisique (ABA). Il n'y avait pas de différence significative entre les injections du deuxième et quatrième jour, ou du quatrième et sixième jour. La mixture d'isomères a plus inhibé la vitellogenèse que le cis-trans isomère.ABA n'a pas eu d'effect sur la concentration totale des lipides de l'hémolymphe, mais il a inhibé l'augmentation brutale de la concentration protéique totale de l'hémolymphe, et particulièrement celle de la vitellogénine qui se produit normalement dans les 24 h après consommation de foie le 4ème jour. La synthèse de la vitellogénine étant sous le contrôle de l'hormone de mue (MH), l'activité MH a été mesurée par radio-immunologie, pour découvrir si l'ABA agissait sur la synthèse de la vitellogénine par intermédiaire de son inducteur hormonal. Huit heures après alimentation sur foie, le taux de MH chez les témoins était élevé tandis qu'après traitement avec ABA ce pic n'apparaissait qu'après 18 h. L'effet inhibiteur de l'ABA sur la vitellogénine a pu être neutralisé en fournissant aux mouches du sucre impregné d'ecdystérone (5mg/g), mais non par application locale d'hormone juvénile. Nos résultats suggèrent qu'ABA agit probablement sur un mécanisme commun aux insectes phytophages et non phytophages.Il est peu probable que l'acide absisique joue un rôle dans la synchronisation saisonnière de la croissance et de la reproduction des insectes avec la sénescence des plantes-hôtes.
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3.
Résumé Tetrastichus atriclavus, Eulophide de zone tropicale, s'attaque aux chrysalides de divers Lépidoptères. Il est élevé au laboratoire sur un hôte de remplacement: Galleria mellonella (Pyralidae), à 26°5 et à la photopériode 18 h (L) / 6 h (D).Dans ces conditions, l'accouplement a peu d'influence sur l'activité de ponte: la différence entre la fécondité des femelles vierges et celle des femelles accouplées n'est pas significative. De plus, les femelles vierges ont un fonctionnement ovarien comparable à celui des femelles accouplées.La fécondité est maximale en présence continue de l'hôte. L'absence d'hôte entraîne des rétentions, sans résorption. Lorsque l'hôte est introduit plusieurs jours après l'émergence du parasite, la capacité de ponte de ce dernier diminue. La diminution est d'autant plus grande que le temps de privation est plus long. Un grand nombre d'ufs est pondu immédiatement après l'introduction de l'hôte. Si le temps de privation est inférieur ou égal à 10 jours, on assiste, après la ponte massive du premier jour, à une reprise de l'activité du germarium.
Summary Tetrastichus atriclavus, an Eulophid which is found in tropical regions, parasitises pupae of several Lepidoptera. It is reared in the laboratory on Galleria mellonella pupae, at 26.5° and with the photoperiod 18 h (L)/6 h (D).Mating has little influence on oviposition: there is no significant difference between the fecundity of virgin and mated females. Fecundity is highest when the host is always present. When the host is provided several days after the emergence of the parasite, the number of eggs laid is lower, the decrease being higher as the absence of host is longer. Many eggs are laid just after the host is provided. If the absence of host is 10 days or less, the germarium becomes active again after the heavy oviposition on the first day.


Nous dédions ce travail à la mémoire du Professeur J. R. Le Berre, avec notre hommage reconnaissant et ému.  相似文献   

4.
Résumé Les réponses E.A.G. d'Acrolepiopsis assectella Zell., Lépidoptère Hyponomeutoïdea spécialiste des Allium, montrent une sensibilité à l'odeur de la plante-hôte larvaire A. porrum saine ou attaquée, et à ses composés volatils soufrés spécifiques, toutes odeurs actives dans l'attraction des deux sexes en olfactomètre. Le Ti-P2, le plus abondant et le plus spécifique du végétal est toujours le plus efficace. Ceci confirme le rôle prépondérant des substances allélochimiques soufrées dans la recherche de la plante-hôte. Une réactivité antennaire plus ou moins importante est également enregistrée avec l'odeur de certaines plantes non-hôtes (chou et tomate). L'antenne du lépidoptère est également très sensible à certains produits volatils du complexe odorant vert des végétaux qui sont identifiés dans l'odeur du poireau, le cis-hexen-3-ol-1 le plus actif est aussi le seul à être attractif. Le rôle biologique exact des composés verts et l'interférence de l'odeur complète de la plantehôte avec celle de plantes non-hôtes, telle que la tomate, efficace sur l'antenne et sur le comportement sont discutés.  相似文献   

5.
Résumé ChezCalotermes flavicollis, la formation des sexués néoténiques est plus facile, ou plus rapide, dans le sexe femelle que dans le sexe mâle.Les sexués femelles montrent un pouvoir inhibiteur à l'égard des individus femelles; les sexués mâles inhibent les mâles de façon moins complète; la stabilisation complète peut être obtenue dans les élevages unisexués, formés uniquement de mâles ou de femelles.La régulation du nombre des néoténiques ne se fait pas de la même façon dans les élevages et dans les élevages . Dans les premiers, 2 néoténiques subsistent, quelquefois 3; dans les seconds ne persiste qu'un seul néoténique , rarement deux.Ces résultats mettent en lumière le rôle différent joué par les mâles et les femelles dans les sociétés de Termites.  相似文献   

6.
Comparisons were made of the preferences shown by non-protein-fed females, protein-fed gravid females, and non-protein-fed males of the house fly, given choices between sucrose solution and either l-leucine or sodium phosphate buffer.In choice tests where non-protein-fed females showed little preference, protein-fed females and males both showed a strong preference for the sucrose solution. The findings suggest that l-leucine and sodium phosphate buffer are recognised by non-protein-fed females as indicators of nutrients for ovarian development.
Résumé Les choix alimentaires de 3 catégories de M. domestica: femelles n'ayant pas consommé de protéines, femelles à ovaires développés alimentées sur protéines, mâles n'ayant pas consommé de protéines, ont été examinés par leur absorption de solutions dans une paire de potomètres.Elles avaient le choix entre, d'une part une solution de sucrose et, d'autre part une solution de L. leucine ou d'un tampon de phosphate de soude.Pour les expériences où les femelles non préalablement alimentées sur protéines ne présentent aucune préférence, les femelles alimentées sur protéines et les mâles préfèrent nettement la solution de sucrose.Les résultats montrent que les femelles non alimentées sur protéines répondent plus que les femelles mûres et les mâles à la fois à la solution de L. leucine et au tampon de phosphate qu'au sucrose. Ceci suggère que l'impulsion sensorielle provoquée par ces deux breuvages est perçue par les femelles n'ayant pas consommé de protéines comme un indicateur d'aliments indispensables au développement ovarien.
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7.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

8.
Résumé Les auteurs, dans le cadre d'une étude ultrastructurale du foie foetal humain, ont utilisé une méthode directe à pH 8 pour mettre en évidence l'activité de la phosphatase alcaline.L'accumulation du produit final de la réaction histochimique (phosphate de plomb) a pu être observée de façon constante sur les membranes plasmatiques des hepatocytes et des érythroblastes. Dans la lignée érythropoïétique les dépôts sont toujours plus intenses sur les cellules les plus immatures.Les auteurs ont observé également des dépôts importants de phosphate de plomb dans certains granules péribiliaires ainsi que dans des granules des cellules érythropoïétiques.La disposition des dépôts le long des membranes cellulaires et dans certains organites cytoplasmiques est discutée en fonction de la technique de mise en évidence.
Summary A direct lead method for visualization of alkaline phosphatase activity at pH 8 was used in an electron microscope study of the foetal development of human liver.An accumulation of lead phosphate, the final product of the enzymatic reaction, was observed on the cell membranes of hepatocytes and also on those of erythroblasts, especially in immature cells.An intense reaction was observed in peribiliary granules and in granules of the erythropoietic cells.The localization of lead phosphate precipitate along the cell membranes and in some cytoplasmic bodies is discussed in relation to the procedure used.


Ce travail a été effectué avec l'aide du Fonds National Suisse de la Recherche Scientifique .  相似文献   

9.
Résumé L'activité de ponte d'Hydrellia griseola Fall. est étudiée dans différentes conditions expérimentales. Lorsqu'elles sont accouplées et qu'elles bénéficient d'un régime photopériodique, les femelles déposent leurs ufs sur une feuille d'Orge (Hordeum vulgare) exclusivement pendant la phase lumineuse.La ponte quotidienne débute le 3ème jour, augmente jusqu'au 5ème et diminue ensuite. L'activité de ponte n'est donc pas constante au cours du temps, mais aucun cycle n'apparaît.Quand les femelles sont vierges, la ponte est plus faible mais son évolution au cours du temps est la même.A l'obscurité continue la période préreproductrice s'allonge et l'activité de ponte est ralentie, tout en conservant pendant les premiers jours le rythme quotidien observé chez les femelles bénéficiant d'une photopériode.Enfin, l'absence momentanée de la plante-hôte pendant les premiers jours de la vie reproductrice arrête momentanément l'activité de ponte; celle-ci reprend très fortement le jour de la réintroduction du végétal; puis, les jours suivants, elle se stabilise au niveau de celle des témoins, l'ensemble se traduisant par un déficit dans le nombre des ufs pondus quand la plante-hôte est absente plus de 48 h.
Summary The egg-laying activity of Hydrellia griseola was studied. Mated females kept in an artificial photoperiod laid eggs on barley leaves during the light period only. Oviposition began when adults were 3 days old, and egg numbers laid rose to a peak on the 5th day, when it gradually declined. Egg laying was not constant. Virgin females shared the same trends, with oviposition occurring on the 3th day but less eggs were laid.When females were kept in continuous darkness with a male and a host plant for egg laying the preoviposition period was longer and egg laying was reduced during the first few days.The temporary removal of the host plant during the first few days temporarily arrests egg laying, which began again, vigorously, when the host plant was returned. Removal of the host plant for more than 48 h caused a reduction in the number of eggs laid.


Je dédie ce travail à la mémoire du Professeur J. R. le Berre, en hommage respectueux et ému.  相似文献   

10.
Exposure of sexually mature female Lasioderma serricorne (F.) to filter paper treated with the insect growth regulator (IGR), methoprene, resulted in a dose-dependent decrease in reproduction. Female reproductive behavior and fecundity were not affected. The lethal effect was manifested during late embryogenesis. Egg fertility was not influenced among untreated females that mated with males that had been exposed to the IGR.The effectiveness of this treatment suggests that methoprene may be useful in controlling the cigarette beetle on packaged commodities.
Résumé L'exposition de la femelle adulte de Lasioderma serricorne au contact d'un papier filtre traité avec du méthoprène, régulateur de croissance des insectes, a entraîné une réduction significative de la reproduction, en fonction de la dose. Ni le comportement, ni la fécondité ne furent affectés. La fertilité des ufs n'a pas été touchée chez les femelles non traitées qui s'accouplèrent avec des mâles ayant été exposés au méthoprène.L'efficacité du contact avec le méthoprène, en empêchant la reproduction des femelles de L. serricorne, aussi bien chez les femelles accouplées que chez les femelles vierges, et l'effet prolongé du méthoprène, permettent de considérer favorablement son usage pour le contrôle de cette espèce. Son emploi le plus efficace devrait concerner la protection des produits conditionnés en emballages.
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11.
When females of the screw-worm fly, Chrysomya bezziana Villeneuve, were given a choice of solutions of protein, sucrose and water, their protein intake was substantial only on days 2, 3 and 4 after emergence, and during the 3 days following the first oviposition. Protein consumption by males remained consistently low for 10 days following emergence.Protein ingestion by laboratory-bred autogenous and anautogenous females, autogenous wild females of C. bezziana, and females of the anautogenous blowly species, Chrysomya megacephala (F), was compared. During the first ovarian cycle (days 1–6), protein solution accounted for 9.5% and 9.4% of the total liquid intake of laboratory-bred and wild anautogenous females of C. bezziana. Protein ingestion by C. megacephala females during the first ovarian cycle represented 23% of the total liquids. During the second ovarian cycle in C. bezziana, protein ingestion represented 21% of total liquids.The presence of dry sucrose or sucrose solution of high concentration depressed protein intake during the first ovarian cycle in C. bezziana.Most feeding by females occurred during the photophase with early morning and late evening peaks in carbohydrate ingestion and a late afternoon peak in protein ingestion.The ecological implications of the results are discussed.
Résumé Quand les femelles de Chrysomya bezziana Villeneuve ont le choix entre des solutions de protéine, de sucrose et d'eau, la consommation de protéines n'est importante que lesond, troisième et quatrième jours après l'émergence, et pendant les 3 jours suivant la première ponte. La consommation de protéines par les mâles reste faible pendant les 10 jours qui suivent l'émergence.Les consommations de protéines par des femmelles de Chrysomya bezziana (sauvages autogènes, elevées en laboratoire autogènes et anautogènes) et par des femelles de l'espèce anautogène Chrysomya megacephala F. ont été comparées. Pendant le premier cycle ovarien (jours 1 à 6) les solutions de protéine ingérées par les femelles autogènes (issues du laboratoire et sauvages de Chrysomya bezziana) correspondent respectivement à 9,5% et 9,4% du liquide total absorbé. Pendant le premier cycle ovarien la quantité de protéine ingérée par les femelles de Chrysomya megacephala représente 23% du liquide absorbé total. Pendant le second cycle ovarien de Chrysomya bezziana, les protéines ingérées représentent 21% de l'absorption totale de liquide.La présence de sucrose sec ou en liquide à concentration élevée réduit la consommation de protéines pendant le premier cycle ovarien de Chrysomya bezziana.L'essentiel de l'alimentation des femelles en carbohydrates a lieu pendant la photophase avec des pics tôt le matin et tard le soir, et avec un pic en find d'après midi pour les protéines.Les conséquences écologiques de ces résultats sont discutées.
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12.
The patterns of flight activity of adult Distantiella theobroma were recorded in an actograph placed in the field. Flight activity of virgin females showed a non-linear increase with age, was highest around mid-day and related to sex attraction behaviour. Mated females and males both showed sharp peaks of activity in the late afternoons. Male flight was depressed by low light intensities and all activity declined with falling light intensity in the evenings and ceased entirely during the hours of darkness.
Résumé Un appareil a été conçu pour enregistrer l'activité de vol dans les conditions naturelles et a été utilisé pour étudier le comportement des mâles et des femelles de D. theobroma, aux diverses phases de leur vie imaginale.L'activité de vol de D. theobroma eest exclusivement diurne. Les femelles restent relativement inactives pendant les premiers trois jours de leur vie imaginale. Après le début de maturité et bien que non encore accouplées, on note un accroissement de leur activité qui est maximum vers le milieu du jour, mais s'atténue pendant la fin de l'après-midi, alors qu'elles manifestent un comportement d'appel et se révèlent attractives pour les mâles.Les femelles qui se sont accouplées montrent un début d'activité tôt le matin et qui s'accroît pour atteindre un pic bien marqué en fin de l'après-midi, pour décliner ensuite avec la baisse de l'intensité lumineuse. L'activité des mâles commence plus tard et atteint son maximum vers 16h30. Ceci coïncide avec le moment où le plus grand nombre de femelles manifestent un comportement d'appel. Le vol des mâles n'apparaît qu'au-dessus d'un certain seuil d'intensité lumineuse et est inhibé par la pluie.Le changement avec l'âge de l'activité des femelles vierges présente des modalités caractéristiques qui se révèlent concorder avec les variations du nombre de mâles attirés par les femelles vierges de différents âges.


This work was done as part of the programme of the International Capsid Research Team which was sponsored by the International Office of Cocoa and Chocolate.  相似文献   

13.
Ivermectin produced 100% mortality in adult teneral males, mature males and fertile females ofGlossina morsitans morsitans following a single meal of defibrinated pig blood containing concentrations of 0.1, 1.6 or >1.6 g ml–1 respectively. The lethal concentration was reduced to <0.04 g ml–1 for teneral males when fed repeatedly on treated blood. When pregnant females were fed a single blood meal containing ivermectin (0.08 g ml–1) on the day after their first larviposition, followed by normal blood meals, no offspring were produced in the subsequent reproductive cycle but full recovery occurred thereafter. A dose dependent decline in fecundity was measured and data were subjected to Probit analysis. Thus estimates were made of ivermectin concentrations in the peripheral blood of treated animals by measuring the reduction in fecundity induced in flies fed on such blood. Indications are that with subcutaneous injections at least, amounts greatly in excess of the recommended clinical dose would be required to achieve levels lethal to feeding flies following a single blood meal. Oral treatment of a horse with twice the anthelmintic dose of ivermectin (0.4 mg kg–1) produced a maximum concentration in the blood of about 0.14 g ml–1 within 24 h and this was adequate to reduce tsetse fecundity to zero following a single meal. Such levels in a single blood meal were also sufficient to shorten the life expectancy of teneral male flies. The half-life of ivermectin in the horse was approximately 5–6 days with a maximum of 2.4% of ingested material entering the peripheral circulation. A cow treated with injectable ivermectin (0.2 mg kg–1) produced maximum blood levels of about 0.005 g ml–1 after one week; this was only 0.17% of the administered dose and sufficient to reduce fecundity in female flies to 50% of normal following a single blood meal. Such levels in a single blood meal had no effect on the longevity of flies. However, at least half the maximum activity was present in the circulation between 3 and 14 days following injection. Repeated feeding on the blood of a treated animal reduced considerably the dose of ivermectin required to produce a given effect. The fecundity of female flies was reduced to zero by repeated feeding on blood taken from the horse 8 days after treatment, and even after 15 days the blood of the horse contained sufficient drug to reduce fly fecundity to 50% of normal. Thus where domestic animals constitute major hosts of tsetse, treatment with ivermectin can be expected to achieve some measure of fly population reduction.
L'invermectine comme moyen de lutte utilisable contre la mouche tsé-tsé,Glossina morsitans
Résumé Après un repas unique de sang de porc défibrillé contenant 0,1; 1,6 ou plus de 1,6 g ml–1 d'ivermectine, tous les mâles jeunes non encore alimentes, tous les mâles adultes et toutes les femelles fécondes deGlossina morsitans morsitans sont tués. Les concentrations léthales ont été réduites à moins de 0,04 g ml–1 pour les jeunes mâles quand on les a alimentés régulièrement sur du sang traité. Quand des femelles en gestation ont été alimentées, le jour après leur première parturition, avec un seul repas de sang contenant 0,08 g ml–1 d'ivermectine, et ensuite avec des repas de sang normal, il n'y a pas eu production de descendants pendant le cycle suivant, bien qu'une restauration totale ait eu lieu par la suite. Une diminution de la fécondité en relation avec la dose a été enregistrée, et les données soumisses à un test Probit. Ainsi des estimations de la concentration en ivermectine du sang périphérique des animaux traités ont été obtenues en mesurant la réduction de la fécondité induite chez les mouches ayant consommé ce sang. Ceci montre qu'une dose absorbée de 4 mg kg–1, ou une injection souscutanée de 16 mg kg–1, seraient nécessaires pour obtenir le seuil létal chez des mouches alimentées après un repas de sang unique, c'est-à-dire 20 fois la dose absorbée et 80 fois la dose subcutanée nécessaires contre les nématodes gastrointestinaux. Le traitement par voie buccale d'un cheval avec 2 fois la dose vermifuge d'ivermectine (0,4 mg kg–1) provoque dans les 24 heures des taux sanguins suffisants pour réduire la fécondité jusqu'à zéro après un seul repas de sang. La demi-vie dans le cheval a été approximativement de 5 à 6 jours avec une pénétration dans la circulation périphérique d'une quantité maximale de 2,4% de l'ivermectine absorbée. Une vache traitée avec de l'ivermectine injectable (0,2 mg kg–1) atteint la teneur sanguine maximale au bout d'une semain; celle-ci, correspondant seulement à 0,17% de la quantité administrée, était suffisante pour réduire de 50% la fécondité des mouches après un repas unique de sang. Cependant, entre les 3ème et 14ème jours suivant l'injection, la circulation sanguine présente au moins la moitié de l'activité maximale. Des repas répétés sur le sang des animaux traités réduisent considérablement la dose d'ivermectine nécessaire pour produire un effet donné. La fécondité des mouches devient nulle après des repas répétés sur le sang d'un cheval 8 jours après le traitement; et même après 15 jours, le sang de ce cheval contient suffisamment de produits pour abaisser la fécondité des mouches de 50%. Ainsi, à où les animaux domestiques constituent les principaux hôtes de la mouche tsé-tsé, avec le traitement à l'ivermectine, on peut espérer réduire d'une façon efficace la population de mouches.
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14.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

15.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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16.
Resume Le travail décrit dans cet article s'appuie sur la théorie du contrôle du métabolisme et a pour but la mesure des coefficients de contrôle des différentes étapes sur le flux de production de thréonine. Le coefficient de contrôle d'une étape sur un flux mesure quantitativement la réponse du flux aux variations de l'étape. Cette notion est donc particulièrement importante aussi bien dans les situations pathologiques (diminution de l'activité d'une étape) qu'en biotechnologies où au contraire les étapes sont amplifiées.La mesure des coefficients de contrôle des étapes d'une chaîne métabolique permet donc de connaître celle(s) dont l'amplification doit entraîner une augmentation concomitante du flux.Nous avons appliqué ces concepts à l'étude de la voie de biosynthèse de la thréonine à partir de l'aspartate.La voie de la biosynthèse de la thréonine à partir de l'aspartate est constituée de cinq étapes catalysées par cinq activités enzymatiques: l'aspartokinase (AK), l'aspartate semi-aldéhyde déshydrogénase (ASA-DH), l'homosérine déshydrogénase (HDH), l'homosérine kinase (HK) et la thréonine synthase (TS).La mesure du coefficient de contrôle de la première étape (AK, insensible à la rétro-inhibition par la thréonine dans la souche étudiée) a montré qu'elle était faiblement contrôlante. L'étude a révélé la présence d'une inhibition jusqu'alors inconnue de l'homosérine kinase par la lysine.Un début de modélisation de cette chaîne de biosynthèse permet d'expliquer les résultats expérimentaux.
This paper deals with the application of the metabolic control theory, especially the measurement of control coefficients, to the threonine pathway inE. coli. The control coefficient of a step on a metabolic flux quantitatively assesses the flux response to the step variations. This concept is particularly relevant both in pathological situations (decrease in the activity of an enzymatic step in the metabolism) and in biotechnologies, where, on the contrary steps are amplified.Measurement of the control coefficients of the steps of a metabolic network makes it possible to know those whose amplification should lead to a simultaneous increase in the fluxes.We have applied these concepts to threonine biosynthesis from aspartate inE. coli. The threonine pathway starting from aspartate involves five steps catalyzed by five enzyme activities: aspartokinase (AK), aspartate-semialdehyde-dehydrogenase (ASA-DH), homoserine dehydrogenase (HDH), homoserine kinase (HK) and hreonine synthetase activity (TS).Measurement of the control coefficient of the first step (AK, insensitive to threonine inhibition in the studied strain) has shown that it controls threonine production weakly. Our study has revealed a hitherto unknown inhibition of homoserine kinase activity by lysine.Mathematical modeling of this metabolic pathway has been undertaken to better understand our experimental results.
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17.
Sommaire Chez la femelle de cobaye gravide, une injection intracardiaque de 200 mg/kg d'alloxane provoque en 6–8 hs, une pycnose généralisée des cellules B des îlots endocriniens du pancréas; 18–20 hs après l'injection, les acini exocrines en bordure des îlots devenus nécrotiques se différencient et prolifèrent des cordons de cellules endocriniennes. Cette régénération intense et rapide est pratiquement achevée 42 hs après l'injection.L'effet, sur le pancréas foetal, de l'alloxane injectée à la femelle gravide, varie suivant le stade de développement atteint par le tissu endocrine au moment de l'injection. Pendant la phase de différenciation, aux dépens de l'épithélium des canaux, des premières cellules A (emb. de 13 mm, 25e jour) et B (emb. de 27 mm, 34e jour), puis de prolifération de cordons aboutissant à la formation des îlots primitifs dits îlots à manteau (foetus de 58 mm, 43e jour), les cellules B sont totalement réfractaires à l'action de l'alloxane. Chez les foetus ayant atteint 75 mm (50–51e jour), les premiers îlots à architecture définitive ont fait leur apparition par remaniement secondaire des îlots à manteau, processus qui continuera jusqu'à la naissance. Dès que ce stade est atteint, l'alloxane injectée à la mère provoque la pycnose généralisée des cellules B dans les îlots définitifs alors que les îlots à manteau voisins restent intacts. Il semble donc que les cellules B doivent atteindre un certain degré de maturité pour être sensibles à l'alloxane.  相似文献   

18.
Responses of female Cotesia rubecula (Marshall) (Hymenoptera: Braconidae) to larval Pieris rapae (L.) (Lepidoptera: Pieridae) feeding on cabbage leaves were investigated in a flight tunnel. Latency of flight was shorter and the proportion of female wasps flying to leaves was greater when cabbage was infested with hosts. This indicated that wasps detected hosts prior to taking flight and were attracted to them. Wind speed was varied (18, 54, 100 cm/s) to examine its effect on the response of wasps to hosts. Flight was inhibited by increasing wind speed and was accompanied by less frequent but longer bouts of pointing (antennae raised and spread, facing into the wind). The accuracy of landing but not the duration of flight to the plant was affected by increasing wind speed. The results indicated that increasing wind speed will reduce the rate of parasitoid oviposition.
Résumé Cette étude concerne les réactions des femelles de C. rubecula Marshall (Hyméno., Braconidae) aux chenilles de P. rapae (Lépido, Pieridae) alimentées sur feuilles de choux. Le tunnel fournit un flux laminaire et l'air est recyclé avec désodorisation par circulation sur un filtre de charbon de bois. La période de latence avant l'envol est plus brève et la proportion de femelles volant vers les feuilles plus élevée quand les choux sont contaminés par les chenilles. Ceci montre que les femelles détectent les hôtes avant l'envol et qu'ils les attirent. Le vent peut influer sur la libération de kairomones, sur les caractéristiques du panache d'odeurs et sur l'énergétique du vol; en conséquence, différentes vitesses de vent (18, 54, 100 cm/S) ont été utilisées pour examiner leurs effets sur la réaction des braconides. Le vol a été inhibé par une augmentation de la vitesse du vent et était accompagné par de plus longues, mais moins fréquentes poussées de pointage (antennes dressées et étendues, face au vent). La précision de l'atterrissage a été affectée par l'augmentation de la vitesse du vent, mais non la durée du vol vers la plante. Ces résultats ont montré que l'augmentation de la vitesse du vent peut réduire le taux de ponte du parasitoïde en inhibant le vol. La signification de ces résultats est discutée en relation avec la situation dans la nature.
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19.
Field tests on attraction of Caribbean fruit flies to 15×20 cm colored sticky traps releaved a clear preference for orange, followed by yellow and yellow-green. Lower capture rates were obtained for dark green, blue, red, black, and white. Reflectance spectra of painted surfaces were determined and it was noted that fly capture rates were directly related to the proportion of light reflected in the 580–590 nm region. Attraction appeared to depend primarily upon the hue rather than the intensity of emission. Responses to orange were considered to indicate fruit-seeking rather than foliage-seeking behavior because a disproportionate number of females was captured (3:1 : ratio), because foliage normally reflects maximally in the yellow-green rather than the orange region, and because a variety of host fruit reflects strongly in the orange region of the spectrum.
Résumé Des tests sur le terrain concernant l'attraction de la Mouche des fruits des Caraïbes à l'égard de pièges adhésifs colorés mettent en évidence une nette préférence de l'insecte pour la couleur orange, suivie de près par le jaune et le jaune-vert. Les taux de capture les plus faibles ont été obtenus par des pièges de couleur vert-foncé, bleue, rouge, noire et blanche. Le spectre de la lumière réfléchie par les surfaces peintes a été précisé et il a été remarqué que les taux de capture des mouches étaient en rapport direct avec la quantité de lumière réfléchie dans la gamme de 580–590 nm, mais l'attraction semblait dépendre en premier lieu de la couleur plutôt que de l'intensité de l'émission. Les réponses à la couleur orange semblent indiquer un comportement de recherche du fruit plutôt que recherche du feuillage, ceci en rapport avec la capture d'un plus grand nombre de femelles (30/10), et parce que le feuillage réfléchit normalement au maximum dans le jaune vert plutôt que dans l'orange, alors qu'une variété de fruit-hôte de cet insecte réfléchit fortement dans la zone du spectre correspondant à l'orange.
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20.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

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