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1.
L'évolution dans le temps du polymorphisme de 5 locus enzymatiques a été suivie pour 12 populations naturelles françaises de Drosophila melanogaster. La structure génétique de ces populations ne varie pas, ou peu, d'un automne à l'autre. La bonne résistance au froid des imagos et le fait que la période hivernale suive celle de l'explosion démographique de l'espèce en France, indiquent que les populations analysées ne doivent pas subir d'importantes réductions de leurs effectifs durant l'hiver, susceptibles d'entraîner une forte dérive génétique. Dans ces conditions, le maintien de la même structure d'une année à l'autre peut s'expliquer par le fait que les populations sont panmictiques.  相似文献   

2.
Résumé 58 échantillons de sol sont collectés dans des parcelles cultivées en blé du Centre et de l'Ouest de la France. Ces sols sont répartis en pots, infestés ou non par une souche agressive ou hypoagressive deGaeumannomyces graminis var.tritici et cultivés en blé pendant 3 mois. Les plantes sont alors arrachées pour appréciation du niveau de maladie et mesure du volume de racines développées dans chaque sol. L'analyse en composantes principales réalisée sur ces variables biologiques et les caractéristiques physicochimiques des sols montre que le niveau de la maladie observé est corrélée négativement avec le niveau potassique et la teneur en sable, corrélé positivement avec la teneur en limon. Dans certains sols il a pu être constaté un développement plus important du système racinaire à la suite de l'infestation par l'un ou l'autre des champignons et l'analyse révèle que ce phénomène est en étroite relation avec la teneur en manganèse échangeable.  相似文献   

3.
Intra- and interspecific pheromone responses by virgin females of three species of Dacinae were examined using a laboratory bioassay. Females of Dacus opiliae Drew & Hardy responded to the pheromone from males of the sibling species, D. dorsalis Hendel, as intensely as to their own but did not respond to the secretion from males of other less closely related species. D. aquilonis (May) and D. jarvisi (Tryon), however, displayed no specificity of pheromone response in the same bioassay situation. Interspecific responses were neither an artefact of laboratory-cultured females not were they restricted only to the pheromone secretion from laboratory-reared males. It is concluded that laboratory bioassays of pheromone responses are not reliable indicators of generic relationships among dacine species. Short range interspecific responses may reflect only the operation of a sex recognition or excitation component of the pheromone; species specificity may depend on components which operate over longer distances.
Résumé Les réponses inter- et intraspécifiques aux phéromones ont été étudiées au laboratoire chez des femelles vierges de trois espèces de Dacinae. Les femelles de Dacus opiliae répondent aussi bien à la phéromone de leurs propres males qu'à celle émise par des mâles de l'espèce jumelle D. dorsalis Hendel, mais ne répondent pas aux émissions des mâles d'autres espèces moins proches. On ne trouve pas de spécificité aux résponses de D. aquilonis May et D. jarvisi Tryon testées dans les mêmes conditions. Ces réponses interspécifiques ne sont pas une anomalie de femelles élevées au laboratoire et ne se limitent pas aux phéromones émises par des mâles obtenus au laboratoire.On en conclut que les essais en laboratoire ne fournissent pas d'indications suffisantes sur les relations génériques des espèces de Dacinae. Des réponses interspécifique à courte distance pourraient en effet n'être que le résultat d'une opération de mise en alerte de l'autre sexe ou le produit d'une composante excitante de la phéromone, la spécificité dépendant de fractions opérant à plus longue distance.
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4.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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5.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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6.
The larvae of Alsophila pometaria (Harr.), feeding on the young foliage of oak, has a higher relative growth rate (RGR) and relative nitrogen accumulation rate (RNAR) than the larvae of Anisota senatoria (J. E. Smith), feeding on the mature foliage of oak. Although the young oak foliage is more efficiently digested by A. pometaria (higher AD's), it is not more efficiently assimilated and used for growth (no difference in ECI's). Thus, the higher growth rate of A. pometaria is due entirely to a higher consumption rate (RCR and RNCR). Young foliage is significantly higher in nitrogen and water than mature foliage, but phenol and tannin levels are comparable in young and old foliage. A. pometaria consumes the foliage of different oak species at the same rate, independent of nitrogen content, while A. senatoria increases its consumption rate in response to decreased nitrogen levels. As a result, the growth rate of A. pometaria is directly related to leaf nitrogen content, while the growth rate of A. senatoria is independent of leaf nitrogen. The two species of insects have digestive systems that are very similar biochemically, and that are well-designed for effective protein digestion. Tannins and phenols do not influence the nutrional indices of either species. We suggest that the major benefit of spring feeding is the availability of succulent, high-nitrogen foliage, and not the avoidance of high-tannin foliage. The spring feeder appears to have a feeding strategy that favors rapid growth at the expense of efficiency, while the late summer feeder has a strategy that favors efficiency over rate.
Résumé Alimentées sur feuillage jeune de chêne, les chenilles d'Alsophila pometaria avaient un taux relatif de croissance (RGR) et un taux relatif d'accumulation d'azote (RNAR) plus élevés que les chenilles d'Anisota senatoria alimentées sur feuillage mûr de chêne. Bien que le jeune feuillage soit plus efficacement digéré par A. pometaria (AD plus élevé), il n'est pas assimilé et utilisé pour la croissance avec de meilleurs rendements (les ECI ne sont pas différents). Ainsi le taux de croissance plus élevé d'A. pometaria est dû entièrement à un taux de consommation plus important (RCR et RNCR). Le feuillage jeune est significativement plus riche en azote et en eau que le feuillage mûr, mais les niveaux de phénol et de tanins sont les mêmes. A pometaria consomme les feuilles de différentes espèces de chênes au même taux, indépendamment de la teneur en azote, tandis que A. senatoria accroît sa consommation en réponse à une diminution de la teneur en azote. Il en résulte que le taux de croissance d'A. pometaria dépend directement de la teneur en azote des feuilles, tandis que celui d'A. senatoria en est indépendant. Les systèmes digestifs des deux insectes sont biochimiquement semblables et sont efficaces pour la digestion des protéines. Les tanins et les phénols n'influent pas sur les indices nutritionnels de ces deux espèces. Nous estimons que le principal intérêt de l'alimentation printanière est la disponibilité en feuillage succulent, riche en azote, et non l'absence de feuilles à haute teneur en tanin. L'alimentation printanière semble correspondre à une strategie alimentaire qui favorise la croissance aux dépens de l'efficacité tandis que l'alimentation en fin d'été est une stratégie qui favorise l'efficacité sur la rapidité.
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7.
Bruchidius atrolineatus (Pic) présente en zone sahélienne une diapause reproductrice durant la saison sèche et une partie de la saison des pluies. Les femelles diapausantes ne produisent pas de vitellogénine et le germarium des ovarioles est seul développé. Chez les mâles la spermatogenèse est très ralentie et les glandes annexes sont inactives. Lorsque les insectes diapausants sont placés en présence d'inflorescences de Vigna unguiculata Walp, leurs organes reproducteurs deviennent fonctionnels après un temps de latence de 15 à 20 jours. Il n'y a par contre aucune levée de la diapause chez des bruches placées en présence de gousses sèches de V. unguiculata dans une atmosphère saturée. Des informations sensorielles issues des pièces florales ou (et) des facteurs nutritionnels sans doute liés a la consommation de nectar semblent être à l'origine de cette levée de la diapause. Le pollen fort peu consommé n'a par contre aucun rôle. Cette régulation du cycle reproducteur de B. atrolineatus par les inflorescences de V. unguiculata permet l'émission des oeufs dès que les gousses commencent à se former à la fin de la saison des pluies.
Summary Bruchidius atrolineatus (Pic) is a widely distributed bruchid in the Sahelian zone which shows a reproductive diapause during the dry season and part of the rainy season. Diapausing females do not produce vitellogenin and their ovaries are reduced to the germarium. Spermatogenesis is very much reduced and male accessory glands are inactive. When these insects were placed in the presence of inflorescences of Vigna unguiculata which were renewed daily, the reproductive diapause of both males and females was interrupted after 15–20 days. Vitellogenesis occurred in the females and spermatogenesis increased in the males whilst their accessory glands became functional. When diapausing bruchids, found in stores of on V. unguiculata seeds during the dry season, were placed near the host plant's inflorescences, diapause was also terminated. In all cases, diapause was not interrupted when the insects were offered dry pods of V. unguiculata in a water-saturated atmosphere. The pollen, which is hardly eaten by this bruchid, did not seem to stimulate termination of diapause. Sensory stimulations derived from the flowers or/and nutritional factors may be the cause of the development of the reproductive organs. After termination of the diapause the males showed normal sexual activity whereas female fecundity was rather low, at least in our experimental conditions. This type of reproductive regulation allows this sahelian bruchid to resume its sexual activity when the host plant's flowers appear in the field at the end of the rainy season. Then the beetles lay their eggs on the pods as soon as the pods are developed.
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8.
Fleas (Ctenocephalides felis Bouché) that survived an LC 75 treatment with D-limonene had reduced fecundity. When put on hosts after exposure to D-limonene, they had higher mortality rates than control fleas and did not lay any eggs. D-limonene treated fleas also produced less feces and probably fed less while on their hosts.
Effet sublétal du D-limonène surCtenocephalides felis
Résumé Les puces,C. felis Boucheé, qui ont survécu à 75% de la dose létale de D-limonène, ont présenté une fécondité reduite, lorsqu'elles ont été placées sur des chats. Le résultat a été observé en plaçant les puces traitées et les témoins dans des cages fixées par des angles sur les chats. Chaque 24 heures, le nombre d'oeufs, la quantité d'excréments, et le nombre de puces mortes ont été notés. Les puces traitées au D-limonène avaient une mortalité plus élevée que les témoins: au bout de 72 h, 98.3% des puces traitées étaient mortes contre 28.3% pour les témoins. Les puces traitées ont produit moins d'excréments et ont probablement consommé moins sur leurs hôtes; elles n'ont pas pondu. Ces données suggèrent que même si toutes les puces ne sont pas tuées par le traitement, avec le D-limonène, d'un chat contaminé, les survivantes ne peuvent pas se reproduire et ne doivent pas provoquer autant d'irritation, puisque leur alimentation est réduite.
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9.
Conclusions Cultivé sur un milieu synthétique vitaminé, Phycomyces n'absorbe pas, dans les limites de concentration de nos expériences, une quantité appréciable de vitamine B 1. Le test animal ne permet pas de mettre en évidence une synthèse de la vitamine B 1 par le champignon.La quantité maximum de vitamine B 1 qui, théoriquement pourrait être présente dans le mycélium du champignon, en admettant le cas le plus favorable, est trop faible pour pouvoir agir sur le champignon et activer un milieu synthétique.Il est très probable que l'on doive faire appel au second facteur de croissance de Mucorinées (facteur M). Aux dépens où à la faveur de la présence de la vitamine B 1, Phycomyces fabrique donc, à part le facteur agissant sur la levure (effet bios), une autre substance auxogène activant le développement d'une nouvelle culture du champignon.Si la substance en question, contenue dans l'extrait de Phycomyces, agit sur le développement d'une nouvelle culture, il faut naturellement admettre que dans le premier mycélium, ayant servi à préparer l'extrait, un rôle doit lui être dévolu également.L'action de la vitamine B 1 ne nous semblerait donc pas directe; la présence de cette dernière est indispensable pour permettre au champignon d'effectuer la synthèse des facteurs qui lui sont propres.  相似文献   

10.
Résumé Certains stades juvéniles de charançons des céréales du genreSitophilus ont été soumis à un séjour prolongé dans des compositions gazeuses modifiées par le dioxyde de carbone (CO2).Les auteurs se sont placés dans des conditions de teneur en CO2 constante (50%), associée à des teneurs en oxygène comprises entre 4 et 20%, pour étudier les conditions d'une synergie entre l'effet spécifique du CO2 et la présence d'une forte teneur résiduelle en oxygène. Les effets ont été observés sur les stades juvéniles les plus évolués (larves et nymphes) des espècesS. oryzae (L.) etS. granarius (L.), (Coleoptera: Curculionidae).L'accroissement de la vitesse de mortalité chezS. oryzae est significative avec l'augmentation de la pression partielle d'oxygène. Cet effet de synergie provoqué par l'oxygène n'est pas significatif avecS. granarius, bien qu'il existe aussi avec cette espèce une tendance à l'amélioration de l'efficacité insecticide à court terme avec les mélanges à forte teneur résiduelle en oxygène.Il en est déduit des hypothèses sur les effets des mélanges gazeux à composition modifiée par le CO2 au niveau de la physiologie générale de ces insectes, qui est très difficile à appréhender directement à cause du mode de développement des stades juvéniles des charançons (formes cachées dans le grain).  相似文献   

11.
Résumé Dans le cadre d'une étude sur la radurisation des céréales par irradiation gamma, des recherches sont entreprises sur la radiosensibilité des conidies des principales espèces fongiques céréalières appartenant aux genresVerticillium, Cephalosporium, Cladosporium, Aspergillus etPenicillium, ceci afin de guider les essais technologiques ou d'expliquer certains phénomènes observés au cours des travaux sur grains.Les courbes de survie des conidies des différentes espèces sont établies en fonction des doses d'irradiation utilisables pour assainir les grains sans diminuer leur qualité, de 20 à 300 Krad.Les variations de la radiosensibilité des conidies sont étudiées en fonction de divers facteurs susceptibles d'intervenir lors du traitement des grains: teneur en eau des conidies et des grains, âge des conidies, refroidissement, chauffage, nature du substrat, addition de fongicide. C'est ainsi que l'augmentation de la teneur en eau des conidies accroît leur radiosensibilité; un chauffage modéré avant irradiation ou un traitement antifongique agissent dans le même sens. Un chauffage plus prolongé ou à température plus élevée, ainsi que la congélation, éliminent d'abord les conidies les plus radiosensibles. Les très jeunes conidies, ainsi que les vieilles conidies, sont plus sensibles que celles qui ont de 1 à 3 mois. La radiosensibilité des conidies varie avec la nature du substrat en présence duquel elles sont irradiées, elle est plus élevée avec un support inerte que sur grain; elle est minimale quand les conidies ne sont pas séparées du milieu ou elles se sont formées. Enfin, toutes conditions étant égales, la radiosensibilité varie avec l'espèce fongique considérée.
On the gamma ray sensitivity of the main corn moulds conidies. Incidence on the radurisation of corn
Summary In a study on the radurisation of cereals with gamma rays, the conidial radiosensitivity of the main corn moulds:verticillium, Cephalosporium, Cladosporium, Aspergillus etPenicillium, has been investigated in order to improve technological trials or to explain some phenomena observed during experimentation on corn.The survival curves of the conidies belonging to different species are established in relation to radiation doses of 20 to 300 Krad. These doses disinfect the corn without reducing their quality.Variations in the radiosensitivity of conidies are studied in relation to different parameters which are likely to interfere during the treatment of corn: Humidity rate of conidies of corn, age of conidies, refrigeration, heating, nature of substrate, addition of fungicides. For example, a higher humidity rate of the conidies increases their radiosensitivity; a moderate heating before irradiation or a fungicide treatment have the same effect. A prolonged heating, higher temperatures or freezing first eliminate the most radiosensitive conidies. Very young and old conidies are more radiosensitive than conidies 1 to 3 months old. The radiosensitivity of conidies varies with the nature of the substrate used during the radiation treatment. Radiosensitivity is higher on inert medium than on corn. It is minimal when conidies are not separated from the substrate on which they have developed. At last, radiosensitivity varies with the fungi species considered.


Travail effectué avec l'aide financière du C.E.A. et la collaboration du service de Radioagronomie (Département de Biologie).  相似文献   

12.
Résumé Chez le cobaye, une injection intracardiaque d'alloxane de 200 à 400 mg/kg provoque des altérations hépatiques bien caractérisées:4–12 heures après l'injection, les lésions sont déjà étendues: stase sanguine avec dilatation considérable des veines périlobulaires et des capillaires, immigration massive, par voie sanguine, de granulocytes neutrophiles, rupture des capillaires des zones périportales par destruction pycnotique des cellules endothéliales. Les cellules hépatiques de la zone périlobulaire dégénèrent par vacuolisation aqueuse aboutissant à la lyse cellulaire.24 heures après l'injection, les altérations hépatiques ont atteint leur degré maximum, de vastes lacunes, résultant de la lyse cellulaire et remplies de sang extravasé, encerclent des espaces de Kiernan plus ou moins détruits; en bordure de ces lacunes, les endothéliums manquent sur une certaine distance et, dans cette zone, les cellules hépatiques sont moins vacuolisées qu'au stade précédent. Les premiers bourgeons de régénération apparaissent aux depens des régions les moins altérées des espaces de Kiernan.48 heures après l'injection, les lésions sont en grande partie réparées; la fréquence des mitoses dans les cellules hépatiques saines, en bordure lésions assure la régénération de ces éléments; tandis que des bourgeons de régénération périportaux sont responsables de la reconstruction de nouveaux espaces de Kiernan et probablement de la néoformation des endothéliums des capillaires.L'étendue des lésions dépend de la quantité d'alloxane injectée et de la voie d'injection; à dose égale, les lésions; provoquée par injection intrapéritonéale sont beaucoup moins accusées que par voie intracardiaque.Il existe une relation étroite entre la quantité de glycogène contenue dans les lobules hépatiques et l'étendue des zones nécrotiques; à dose égale d'alloxane, les altérations sont nettement moins accusées dans les foies riches en glycogène que dans ceux qui en sont dépourvus.L'intoxication alloxanique ne provoque pas chez le cobaye de dégénérescence graisseuse hépatique dans les 48 heures qui suivent l'injection.Ge travail est dédié au professeur Eugène Bujard, directeur de l'Institut d'Histologie de l'Ecole de Médecine de Genève, en l'honneur de ses 70 ans, en hommage de profonde estime et de très grande reconnaissance.  相似文献   

13.
Mayaudon  Jacques  Simonart  Paul 《Plant and Soil》1958,9(4):367-375
Conclusions Par l'emploi de substrats radioactifs, il a été possible de montrer que le glucose, le ray-grass tel quel, la fraction soluble, les hemicelluloses et la fraction cellulosique du ray-grass ne sont pas, dans les conditions expérimentales appliquées, entièrement transformés en CO2 dans le sol après une période de deux mois.La décomposition du glucose est plus rapide que celle des hemicelluloses et celle-ci est plus rapide que celle de la fraction cellulosique. Pour le glucose et pour la fraction cellulosique, 11% et 15% respectivement ne se retrouvent pas sous forme de C14O2 tandis que pour la fraction soluble, pour les hemicelluloses et pour le ray-grass tel quel, c'est près de 20% qui ne sont pas oxydés en CO2.La décomposition de chacun de ces substrats radioactifs donne encore lieu à la production de produits organiques radioactifs que l'on trouve dans la fraction des substances solubles, dans la fraction groupant l'- et le -humus et dans l'humine. La radioactivité de cette dernière fraction est du même ordre de grandeur que la somme des deux autres fractions.Travail effectué sous les auspices de l'Institut pour l'Encouragement de la Recherche Scientifique dans l'Industrie et l'Agriculture (I.R.S.I.A.).  相似文献   

14.
Insecticide-resistant Colorado potato beetles (CPB), Leptinotarsa decemlineata, from Long Island, New York and susceptible beetles from North Carolina were tested for response to 2-tridecanone and foliage of the CPB resistant wild tomato, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull, PI 134417. Populations did not differ in their response to 2-tridecanone or PI 134417 foliage. Exposure of beetles to sublethal doses of 2-tridecanone did not increase tolerance of either population to subsequent exposures to 2-tridecanone. It was also found that the New York beetles suffered higher mortality than North Carolina beetles on CPB susceptible L. esculentum foliage and PI 134417 foliage from which the glandular trichomes, which contain 2-tridecanone, were removed. Survival of North Carolina beetles was lower on PI 134417 foliage without trichomes than on L. esculentum foliage.
Résumé La lutte contre Leptinotarsa decemlineata, sur la tomate et des autres récoltes, compte ordinairement sur les insecticides. Cette confiance a causé plusieurs populations de cette espèce à développer une résistance aux insecticides. Accession PI 134417 de la tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull, est résistant à L. decemlineata, en grande partie à cause de la presence de 2-tridécanone dans les éxtremités des poils glandulaires du feuillage. Notre étude entreprendait à rechercher la possibilité d'une résistance croisée aux insecticides et au 2-tridécanone.Les coléoptères de Long Island, New York, ceux qui sont résistants aux insecticides et ceux susceptibles de North Carolina, éprouvaient pour une réponse au 2-tridécanone et au feuillage résistant.Les deux populations de coléoptères ne diffèrent pas dans sa réponse au 2-tridécanone ou au feuillage résistant. Nous ne trouvons pas d'évidence d'une résistance croisée.Aussi, nous trouvons que les coléoptères de New York ne survivaient pas aussi bien que ceux de North Carolina au feuillage résistant sans les éxtremités des poils glandulaires et au feuillage susceptible. La survivance était plus basse sur le feuillage résistant sans les éxtremités des poils glandulaires que le feuillage susceptible seulement avec les coléoptères de North Carolina.
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15.
Larvae of the lacewing Nineta pallida (Schneider), collected in the field during two seasons, from September to July, were reared in the laboratory under short- or long-day light conditions at 21°C. In autumn and winter, artificial short days delayed the first ecdysis. The influence on the duration of the first instar was maximal (3.4 times longer) when the short days began at hatching time, and later regularly diminished. In spring, the second and third instars showed a reversed response so that the long days now increased the duration of development, although development took no more than 1.4 time as long as in short days. A similar effect appeared in field-collected third instars on and after mid June, reaching its maximum (1.8 time until the cocoon spinning) in July. This sort of photoperiodic effect on the larval development is new to the seasonal adaptation of the life cycle in insects.
Résumé Des formes préimaginales (oeufs, puis larves) de N. pallida sont récoltées sur des conifères de montagne (Pyrénées), chaque mois depuis septembre jusqu'en juillet en deux saisons (1983/84 et 1985/86). Elles sont ensuite élevées au laboratoire à 21°C, soit en jours longs (JL=L16:D8), soit en jours courts (JC=L8:D16).Le développement embryonnaire est légèrement plus long s'il se fait en JC. Pour les larves de premier stade récoltées en automne et en hiver, les JC retardent considérablement la première mue et prolongent aussi le deuxième stade qui en provient. L'influence retardatrice est maximale (3,4 fois) lorsque les JC agissent dès l'éclosion. Elle diminue ensuite progressivement et devient insignificante pour les larves récoltées à artir de février.Au printemps, les larves récoltées au deuxième stade ainsi que les troisièmes stades qui en découlent présentent une réaction inverse: ce sont alors les JL qui augmentent la durée du dévelopement, toutefois, pas plus de 1,4 fois par rapport aux JC. Un effet de même ordre se manifeste sur les larves de troisième stade récoltées à partir de juin, atteignant son maximum (1,8 fois) dans le lot de larves de juillet, c'est-à-dire peu avant la fin de la croissance pondérale larvaire et le coconnage.Un tel retardement du développement larvaire hivernal, prolongé au printemps et au début de l'été par une inversion de la réponse à la photopériode, est nouveau comme élément d'adaptation saisonnière du cycle naturel chez les insectes.
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16.
Topical application of JHA to Spodoptera littoralis larvae extends the duration and increases the final weight of the last larval instar. No supernumary moults occur. Respiration decreases to very low levels and glycogen and lipid stores increase. Respiration remains lower in JHA-treated pharate pupae and more polyunsaturated C18 fatty acids accumulate than in normal pharate pupae. These physiological parameters are similar to those occurring during diapause but are not definitive. Diapause has not been reported in field populations of S. littoralis, nor it's artificial induction by photoperiodic manipulation.
Résumé Le dernier stade des chenilles de Spodoptera littoralis, traitées avec JHA, est nettement prolongé par rapport aux témoins. Bien que le poids final des chenilles traitées soit plus élevé que celui des témoins, il n'y a pas de mue surnuméraire. Ces chenilles géantes s'alimentent rarement et leur respiration est sérieusement réduite. Les réserves de glycogène s'accumulent chez les chenilles traitées à la même date chronologique que chez les prénymphes non traitées. Bien que les prénymphes traitées à la JHA conservent leur profil biochimique juvénile — tout au moins dans la mesure où on considère la teneur en glycogène et en lipides totales — leur composition en acides gras saturés et non saturés diffère de celle normalement rencontrée à la fin du développement larvaire, et beaucoup plus d'acide oléique monosaturé s'accumule finalement chez les insectes traités par JHA. Ces résultats suggèrent que la JHA fournie peut avoir provoqué un état de développement de diapause naissante semblable par quelques traits fondamentaux à celle induite par la JH endogène chez les insectes enclins à la diapause. Il est cependant prématuré de définir cet état physiologique comme indiquant une vraie diapause chez Spodoptera littoralis.
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17.
Malathion resistance in the German cockroach has been examined with respect to its inheritance pattern and linkage relationship. A resistant strain was crossed reciprocally with an unmarked and two marked susceptible strains. The progeny from F1, F2 and backcrosses were tested for resistance to malathion by exposure to toxicant-impregnated filter paper, and were classified according to marker traits where appropriate. Malathion resistance (R-Mal) is inherited as a simple autosomal dominant trait. Linkage studies showed R-Mal to be independent of or in group IV, pld in group VI, and T(9, 10) Pw marking both groups III and VIII. A possible malathion-resistance mechanism for this insect is discussed.
Résumé La résistance de la Blatte germanique au malathion est réputée se manifester à la fois dans les conditions naturelles et dans les lignées élevées en laboratoire. Dans le présent travail cette résistance est étudiée en vue de déterminer le mécanisme de sa transmission héréditaire et de commencer à établir la carte chromosomique de ce caractère. Une lignée présentant un haut niveau de résistance au malathion est croisée avec une lignée sensible non marquée et avec deux autres lignées sensibles possédant un gêne marqueur. Les descendants de F1, de F2 et des croisements de retour sont testés pour leur résístance au malathion en soumettant les larves à un contact avec du papier filtre imprégné de malathion; ils sont classés en se rapportant aux caractères marqueurs. Les gênes marqueurs utilisés sont or sur le groupe IV, pld sur le groupe VI, et T(9, 10) Pw, marquant à la fois les groupes III et VIII. Les résultats montrent que les descendants F1 provenant de croisements réciproques sont identiques et ressemblent au parent résistant. Cette donnée ajoutée aux résultats concernant F2 et les croisements de retour avec les parents R et S, indique que la résistance au malathion est transmise comme un caractère dominant, monofactoriel et porté sur un autosome, caractère désigné R-Mal. Les études relatives au linkage du caractère R-Mal aves les gênes marqueurs, ont montré l'indépendance de R-Mal. II est suggéré que le mécanisme le plus probable de la résistance au malathion résulte d'une activité accrue de la carboxyesterase.
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18.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

19.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

20.
L. Joly 《Insectes Sociaux》1958,5(4):373-378
Conclusion on aurait pu s'attendre à ce que les adultoïdes (stades Vbis) se groupent sur la même droite que les stades V normaux et les adultes prématurés (V) sur celle des imagos (fig. 6). On voit qu'il n'en est rien et que cela tient à ce que la croissance des organes du vol à la fin du développement larvaire deLocusta migratoria n'est pas représentée par une droite d'allométrie unique, mais présente une discontinuité à chacune des dernières mues, de sorte que les adultoïdes ne sont pas des stades V géants mais un stade supplémentaire ajouté au développement normal, et les imagos prématurés ne sont pas des adultes nains mais des adultes privés d'une partie de leur évolution larvaire.  相似文献   

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