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1.
La durée de conservation dans deux types de sol: une tourbe de pH=3,5 et une terre argilo-sableuse de pH=6,6, de trois agents pathogènes pour les larves du Hanneton commun,Melolontha melolontha L.:Bacillus popilliae var.melolontha, Rickettsiella melolonthae, Entomopoxvirus melolonthae a été étudiée en contaminant par le broyat de larves atteintes de chacune des maladies 4 litres de ces deux substrats qui ont été répartis en boîtes de polystyrène et en pots à fleurs placés soit dans un sol engazonné à l'extérieur, soit en laboratoire à 5°, 13° et 20°C. A intervalles réguliers des larves jeunes ont été mises en élevage à 20°C dans ces substrats contaminés. Après 4 ans le virus détermine sensiblement la même mortalité quelles que soient les modalités de conservation du sol. Mais l'altération du pouvoir pathogène en fonction du temps se traduit par une augmentation très signifcative des délais de manifestation de la maladie. Par contre la bactérie et la rickettsie perdent beaucoup de leur activité au bout de deux ans. La persistance d'un pouvoir pathogène des rickettsies introduites dans le sol est facilitée lorsqu'il s'agit de terre plutôt que de tourbe et si celle-ci est maintenue à basse température. Les conséquences épizootiologiques de ces résultats sont décrites en fonction du cycle évolutif du Hanneton commun: un délai de survie du germe de deux ans est nécessaire pour le maintien d'une maladie des vers blancs dans un site donné compte tenu de la période, de cette aurée, pendant laquelle l'activité larvaire est nulle ou insuffisante pour assurer la contamination des insectes, lorsque celle-ci s'effectue par voie orale.  相似文献   

2.
Résumé Une rickettsie entomopathogène:Rickettsiella grylli proche des chlamydies par son cycle de multiplication est introduite chez la souris par voie nasale et par voie buccale. La rickettsiose expérimentale produite est étudiée sous les aspects clinique, anatomopathologique, sérologique et histologique. Les rickettsies sont recherchées dans les tissus par immunofluorescence et microscopie électronique. Chez les souris infestées par voie nasale, les rickettsies restent localisées dans les poumons. Lors des contaminations fortes, ces derniers subissent une hépatisation et une bronchopneumopathie se développe; cette pneumopathie se maintient pendant eviron 2 mois puis évolue, dans de nombreux cas en une bronchopneumopathie chronique durant plus d'un an. Les souris élaborent des anticorps agglutinants spécifiques dont le taux est proportionnel à l'atteinte pulmonaire. L'infestation par voie buccale ne détermine aucun effect pathologique à court ou long terme.
Summary Rickettsiella grylli Vago & Martoja is a rickettsial entomopathogen close to the chlamydia by its multiplication cycle. This organism has been inoculated in mice by intranasal and oral routes. The experimental rickettsiosis has been studied by the clinical syndromes, anatomopathology, serology, histology, immunofluorescence and electronic microscopy. By inhalationR. grylli is localized in lung tissues. In heavy contaminations the lungs present hepatisation and a bronchopneumopathy that last 2 months and evolves to a chronic bronchopneumopathy in 50 % of the tested mice. Agglutinin type antibodies are produced and their concentration are proportional to the severity of the lung infection. No short term or long term pathological effects are detected by oral administration.
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3.
Populations of the June beetle,Amphimallon solstitialis (Coleoptera: Scarabaeidae), were sampled from grasslands near Darmstadt, Germany, and found to be infected by a number of diseases and parasitic nematodes. Several milky diseased larvac were found, andBacillus popilliae type A 1 isolated as the causative agent. The bacterium readily infected healthy larvae ofA. solstitialis when administeredper os in the laboratory, but was not infective to larvae ofMelolontha hippocastani by this route. A large mermithid nematode was found parasitising 10% of theA. solstitialis larvae at one site andHeterorhabditis bacteriophora was found infecting larvae at the other.
Résumé Des populations deAmphimallon solstitialis (Col.: Scarabaeidae) ont été échantillonnées dans deux prairies distinctes près de Darmstadt (Allemagne) et se sont révélées infestées par des maladies et des nématodes parasites. Plusieurs larves dans chaque site étaient infectées par la maladie laiteuse etBacillus popillae, type A1 a été isolé comme étant l'agent responsable. La bactérie infeste facilement des larves saines deA. solstitialis quand elle est administrée par voie orale au laboratoire mais n'a pas d'effet infectieux pour les larves deMelolontha hippocastani par cette même voie. Un grand nématode mermithide a été trouvé parasite de 10% des larves deA. solstitialis sur un seul site, mais comme seuls les jeunes ont été trouvés, la détermination à l'espèce n'a pu être faite.Heterorhabditis bacteriophora était responsable de l'infection de 1,5% des larves sur seulement un site. Plusieurs larves deA. solstitialis présentaient une couleur ambrée, identique à celle trouvée sur le scarabéeCostelytra zealandica infecté parSerratia spp., et ne se nourrissaient pas de carotte au laboratoire. Les bactéries isolées à partir de ces larves ne provoquent aucun effet visible quand elles sont données en nourriture à des larves saines.
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4.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

5.
Résumé Des larves de Cétoines non encore déterminées se sont révélées atteintes d'une rickettsiose dans une localité du nord-est de Madagascar. L'agent pathogène, de 730 mμ×240 mμ, se développe dans le cytoplasme du tissu adipeux, de l;hypoderme et des œnocytes et est accompagné par les cristaux déjà observés dans la plupart des rickettsioses d'insectes.Rickettsiellen cetonidarum est proposé comme dénomination.
Summary Larvae ofCetonidae not yet determined were found affected with a rickettsial disease in a biotop in the North East of Madagascar. The pathogenic agent measuring 730 mμ×240 mμ develops in the cytoplasm of the fat body, the hypoderm and the oenocysts; it involves formation of accompanying crystals previously observed in most of the insect rickettsioses. Rickettsiella cetonidarum is suggested as a denomination of the pathogenic agent.
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6.
Résumé La variabilité de la sensibilité des larves de la noctuelle égyptienne du coton,Spodoptera littoralis Boisduval à l'hyphomycète entomopathogèneNomuraea rileyi (Farlow) Samson a été abordée en étudiant la variabilité interclonale du champignon et la variabilité de l'insecte-h?te à travers des populations d'origines géographiques différentes. En raison de la polyphagie de l'espèce-cible, l'influence de la plante-h?te sur la sensibilité des larves phytophages a aussi été prise en compte. Les traitements ont consisté à exposer les larves à un inoculum sporal déposé par pulvérisation sur des rondelles de feuille calibrées pendant 24 h. L'activité pathogène, à l'égard des larves du 1er stade, des 12 clones monosporaux de la soucheN. rileyi 5 varie significativement (TL50 compris entre 4,7 et 6,2 j à la dose de 3.104 spores/cm2). Cette variabilité intraspécifique observée à un moment donné est néanmoins du même ordre que la variabilité de l'activité de la souche-mère polyclonale, relevée sur une période de 4 ans (TL50 compris entre 4,5 et 6,6 j). Les 3 populations originaires d'Isra?l, d'Egypte et du Maroc ont présenté une sensibilité comparable àN. rileyi 5 après contamination des larves nouveau-nées avec des doses croissantes d'inoculum (DL50 comprises entre 0,7.104 et 1,1.104 spores/cm2 et TL50 compris entre 5,1 et 5,5 j à la dose de 3.104 spores/cm2). L'alimentation des larves, depuis l'éclosion, sur 4 espèces végétales: chou, coton, féverole ou aubergine, n'a pas modifié significativement la sensibilité des larves du 3e stade (DL50 comprises entre 0,3.103 et 0,7.103 spores/cm2 et TL50 compris entre 4,0 et 4,3 j à la dose de 3.104 spores/cm2). La souche polyclonaleN. rileyi 5 para?t bien adaptée à la noctuelle égyptienne du coton en raison de sa stabilité, de son agressivité à l'égard des populations d'origines géographiques différentes et de l'absence d'effet de l'alimentation des larves sur l'infection.   相似文献   

7.
A red fluorescent protein is present in the digestive juice of silkworm larvae when they are raised on fresh mulberry leaves. It is an antiviral substance and is absent from insects reared on artificial diet. The biosynthesis of this red fluorescent protein has been investigatedin vitro, and shown to require chlorophyll-a and chlorophyllase for its formation. The resulting chlorophyllide-a then reacts with an insect protein to give the final product.
La Protéine Fluorescente Rouge dans le Suc Digestif des Larves de Ver à Soie Alimentées Avec des Feuilles de M?rier
Résumé Les larves de ver à soie élevées artificiellement étaient plus sensibles à l'attaque de virus par voie orale que les larves élevées sur le m?rier. La raison était apparemment l'absence d'une substance anti-virale (la protéine fluorescente rouge) dans le suc digestif. La protéine fluorescente rouge (RFP) a été produite en ajoutant l'homogénat de chloroplastes de feuilles vertes à la ration préparée. On a étudiéin vitro la biosynthèse de la RFP. Elle pouvait être synthétisée en éprouvette. Il faut noter que l'addition de la fraction soluble dans l'acétone ou de la fraction insoluble dans l'acétone des chloroplastes à l'homogénat de mésentéron des larves ne produisàit pas de RFP, tandis que l'addition de ces deux fractions produisait de la RFP. De la fraction soluble dans l'acétone, on a isolé de la chlorophylle-a à l'état pur qui est l'un des principes actifs dans le système biosynthétique de la RFP, et, de la fraction insoluble, de la chlorophyllase, autre principe actif. Un autre principe actif isolé du mésentéron larvaire s'est avéré être une protéine. Le mécanisme de la biosynthèse est en deux étapes: d'abord une réaction enzymatique entre la chlorophylle-a et la chlorophyllase à pH 10,4 puis une réaction de la chlorophyllide-a, produite pendant la première étape, et de la protéine du mésentéron larvaire environ à pH 7. Comme on le sait, la chlorophylle elle-même est photolabile, et la chlorophyllase thermolabile. Des feuilles vertes et fra?ches sont donc nécessaires à la production de la substance anti-virale RFP dans le suc digestif des larves de ver à soie.
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8.
Les criquets représentent un taxon central dans les chaînes alimentaires et sont de bons indicateurs à la fois des caractéristiques des milieux et des perturbations de leurs habitats. Associés exclusivement aux habitats herbacés pérennes, ils sont menacés dans les zones d’agriculture intensive. Du fait de leur importance dans les réseaux trophiques, notamment comme ressources alimentaires pour un grand nombre d’espèces aviaires, ils font l’objet d’une attention croissante des écologistes et des gestionnaires des milieux dans le cadre d’études de conservation pour évaluer quantitativement leurs populations. L’objectif de cette étude est de décrire une technique d’échantillonnage et un plan d’échantillonnage destinés à estimer la densité de criquets dans les milieux prairiaux. Cette étude se base sur 7 années d’observations de terrain, menées sur un vaste site d’étude en plaine agricole intensive. Nous montrons que le biocénomètre d’1 m2 de base est une technique robuste vis-à-vis des conditions de température durant l’échantillonnage. L’étude établit pour l’ensemble des espèces et pour deux espèces particulières, Pezotettix giornae et Calliptamus italicus, la relation qui lie la variance et la moyenne des effectifs par m2. C’est grâce à cette relation qu’on peut établir les tailles d’échantillons qui permettent d’atteindre des objectifs de précision choisis pour les estimateurs de la densité. Nous montrons que la réalisation de 15 lancers aléatoirement par parcelle permet d’obtenir des estimations de la densité de criquets/m2 dont la précision, définie par l’intervalle de confiance, varie selon la densité de 50% pour les densités inférieures à 1/m2 à 30% pour les densités de 2 à 7/m2 et à 20% pour les densités supérieures à 7/m2.  相似文献   

9.
Les larves de Macrothemis pumila Karsch, 1889 et de Brechmorhoga praedatrix Calvert, 1909 sont décrites et illustrées pour la première fois. La larve de M. pumila est très différente des autres larves connues du genre et nombre de ses caractères échappent à la diagnose générique telle qu’énoncée par Ramirez & Novelo-Gutiérrez (1999). Son statut au sein du genre est discuté. La larve de B. praedatrix se distingue des autres larves connues du genre, entre autres par des épines dorsales très prononcées et aiguës sur les segments abdominaux 2 à 9. Elle semble inféodée à une plante des sauts, Mourera fluviatil is Aublet, 1775.  相似文献   

10.
B. Hurpin 《BioControl》1971,16(3):297-341
Le rôle des principaux facteurs susceptibles de déclencher ou de favoriser la rickettsiose chez les larves du Hanneton commun a été étudié en essais de laboratoire, par élevage individuel de lots de 20 ou 25 vers blancs contaminés soit par injection intrac?lomique, soit par injection intra?sophagienne, soit par ingestion libre. Les trois stades larvaires présentent une sensibilité analogue à l’infection, bien que les larves du premier stade soient davantage sujettes à une mortalité autre que celle causée directement par la prolifération des rickettsies. La mue des insectes atteints est retardée mais leur métamorphose n’est pas inhibée en cas d’infection en fin de vie larvaire. Les tissus de l’adulte permettent la multiplication du micro-organisme, ce qui entraîne la mort des insectes parfaits. Aussi les chances de transmission à la descendance sont faibles. Par injection un seul élément est capable de provoquer la maladie et il en suffit d’un nombre relativement restreint à la suite d’une ingestion forcée dans l’intestin antérieur. Par contamination du substrat, il n’y a pas de relation directe entre la dose de germes et les cas de maladies, ceux-ci sont les plus nombreux pour une dose moyenne, de l’ordre de 1 L3 malade par litre de substrat. Un inoculum trop important provoque une mortalité de type bactérien, à la suite de processus d’enchaînement de maladies, liées vraisemblablement à l’action de toxines. Ces phénomènes sont d’autant plus fréquents que les larves sont plus jeunes, donc plus fragiles, ou que les conditions sont moins favorables: température trop élevée par exemple. La température et la nature du sol, dans les limites supportables par les larves du Hanneton, n’ont pas d’influence marquée. L’importance de l’état physiologique de l’hôte et des possibilités de conservation des rickettsies dans le sol est discutée.  相似文献   

11.
Résumé L'infection par deux protozoairesAdelina melolonthae Tuzet-Vago etNosema melolonthae Krieg a été réalisée chez des larves deMelolontha melolontha L. au 3e age. Les deux parasites se développent dans le tissue adipeux, mais dans des zones différentes. Dans la partie la plus extérieure seulA. melolonthae envahit le tissue adipeux qui prend l'aspect de feuillets ou de cordons. On trouve aussi différents stades de développement de ce parasite dans les cellules hypodermiques et les cellules péricardiales. Autour de l'intestin,N. melolonthae forme avec les lobes qu'il parasite des masses volumineuses. A. melolontha etN. melolonthae ne coexistent jamais dans un même lobe.
Summary Larvae ofMelolontha melolontha L. at the 3rd stage were infected with two protozoansAdelina melolonthae Tuzet-Vago andNosema melolonthae Krieg. The two parasites developed in different areas of the fat body. The fat body of the outer part was invaded byA. melolonthae alone, taking the aspect of thin sheets or cords. Various stages in the development of the parasite were shown in hypodermic and pericardiale cells.N. melolonthae formed a heavy mass round the gut with the parasitized lobes. A. melolonthae never coexisted withN. melolonthae in the same lobe.
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12.
On a étudié la distribution dans les tissu du LépidoptèreArchip cerasivoranus Fitch d'une polyédrose nucléaire et de deux espèces de protozoaires. Les noyaux du tissu adipeux et de l'hypoderme des larves contiennent les polyèdres tandis que les cristalloïdes caractérisant la virose et les spores deNosema et dePlistophora sont observés dans le cytoplasme. Les muscles, les glandes sercigènes, les tubes da Malphighi et les gonades sont infectés seulement par les microsporidies. Chez des chrysalides, les disques imaginaux des ailes, des pattes et des antennes renferment des polyèdres et quelques cristalloïdes alors que les deux sont rares dans le tissu adipeux. Les spores des microsporidies se trouvent en grand nombre dans les muscles, les glandes sericigènes et les tubes de Malphighi tandis que les cellules hypodermiques montrent à la fois des polyèdres, des cristalloïdes et des spores. Dans les autres tissus des larves et des chrysalides les polyèdres, les crista loïdes et les spores des microsporidies se rencontrent ensemble en proportions variables.  相似文献   

13.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

14.
M. Ravallec  G. Riba  A. Vey 《BioControl》1989,34(2):209-217
Résumé Le comportement pathogène de l'hyphomycèteMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sorokin a été évalué surAedes (Stegomya) albopictus Skuse. Le mode d'action de la souche testée se manifeste de 2 fa?ons, soit par une colonisation de l'hémocoele, soit par une toxémie si la dose de l'inoculum est suffisamment élevée. L'intervention d'un processus toxémique a été confirmée par la mise en évidence du pouvoir pathogène des spores irradiées aux ultra-violets. Ces toxines seraient libérées dans le mésentéron des larves pendant la protéolyse alcaline des spores ingérées, dont le nombre a pu être estimé. Le seuil d'activité toxémique étant évalué à 3.105 spores pour une larve du stade 4. L'analyse du contenu de tubes digestifs étalés sur milieu nutritif et l'examen de coupes semi-fines ont montré que les larves soumises à de fortes doses du germe perdent rapidement leur capacité digestive. Enfin, le r?le de la destruxine E dans ces infections est discuté.   相似文献   

15.
Résumé

Le suivi du cycle biologique du Gelechiidae Oecocecis guyonella (Guenée, 1870) durant l’année 2018, sur le terrain et en laboratoire, a montré une bonne synchronisation entre le développement de cet insecte cécidogène et la phénologie de sa plante hôte, Limoniastrum guyonianum Boiss. En effet, dès l’entrée de cette Plumbaginaceae en période de croissance végétative, vers fin-janvier début-février suite aux premières poussées de sève causées par l’augmentation des températures, les larves de cet insecte commencent à éclore à partir des ?ufs pondus par les femelles à l’intérieur des tissus des jeunes tiges de la plante. L’alimentation des larves induit la formation des galles. Le développement larvaire se déroule entièrement à l’intérieur de ces galles, qui servent d’abri et de source alimentaire, sur une période de huit mois jusqu’à l’émergence des adultes à l’extérieur des galles, qui se produit de début octobre jusqu’à fin novembre.  相似文献   

16.
M. Bouletreau 《BioControl》1972,17(3):265-273
Résumé Les larves dePteromalus puparum ont été élevées en conditions semi-artificielles sur la partie antérieure des chrysalides dePieris et en conditions artificielles sur l’hémolymphe de l’h?te. Les deux méthodes permettent d’obtenir le développement complet des parasites avec un succès voisin de 40 % dans le premier cas et de 70 % dans le deuxième. Dans les deux cas, la croissance larvaire est comparable à la croissance des larves élevées normalement et conduit à des adultes de taille normale. A un moment donné de leur développement, toutes les larves quittent leur norrriture. Ce comportement, non décelable à l’intérieur de l’h?te normal, est particuliérement net dans les élevages sur demi-chrysalides. Ces deux techniques d’élevage rendent possible l’observation directe des larves au cours de leur croissance et constituent done une méthode intéressante pour l’étude des problémes nutritionnels chez les parasites.
Summary Larvae ofPteromalus puparum were reared semi-artificially on the anterior part ofPieris pupae, and artificially on host haemolymph. In both cases, full development was obtained from eggs to imagines. The final success rate reached 40 per cent with the first method, and 70 per cent with the second. The mortality seems to be due mainly to imperect physical conditions. Larval growth did not depart significantly from the normal, but at an early stage of their development, all larvae leave their host. This migratory behaviour is particularly evident in semi-artificial conditions and is difficult to explain. These two techniques, allowing the direct observation of larvae during their growth, are useful for studying nutritional problems in parasitis larvae.
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17.
The form and variability of temperature-dependent development responses were measured for the braconid parasitoidMeteorus trachynotus (Vier.), developing inChoristoneura fumiferana (Clem.) andC. rosaceana (Harr.). It was found that parasitism reduces the duration and variability of postdiapause development inC. rosaceana larvae, and that the development of the parasitoid does not resume until its host emerges from diapause.M. trachynotus development and entry into diapause are controlled by the host. In large, nondiapausing hosts, the parasitoid can complete one generation in about 348 degree-days above 5.9°C. Male and female adults live an average of 22.0 and 23.8 days at 20°C, and the preoviposition period is 1.7 days. Total fecundity averages 194.2 eggs per female and is reduced considerably by low host density. Under our experimental conditions, femaleM. trachynotus lay a maximum of 14.3 eggs per day, with a maximum of 3.7 eggs per host, on average. Simulations based on degree-day accumulation in 13 locations in eastern Canada showed that the parasitoid was well synchronized with its two alternative hosts, thatM. trachynotus could complete three generations in most locations, and that voltinism was essentially determined by entry ofC. rosaceana larvae into diapause. Overlap between adult parasitoids and larvae of the spruce budworm is incomplete, and inadequate synchrony seems to be an important aspect of the ecological interactions between these two organisms.
Résumé Nous avons mesuré la forme et la variabilité des réactions de cause à effet entre la température et le développement de la braconideMeteorus trachynotus (Vier.) se développant à l'intérieur de larves deChoristoneura fumiferana (Clem.) et deC. rosaceana (Harr.). Le parasitisme réduit la durée et la variabilité de la postdiapause deC. rosaceana, et le développement du parasito?de ne reprend qu'une fois l'h?te émergé de diapause. Le développement et l'entrée en diapause deM. trachynotus sont sous le contr?le de l'h?te. Dans des larves-h?tes agées et non diapausantes, le parasito?de peut engendrer une génération en moins de 348 degrés-jours au-dessus de 5,9°C. Les adultes males et femelles vivent en moyenne 22,0 et 23,8 jours à 20°C, et la période de prèoviposition est de 1,7 jour. La fécondité totale est de 194,2 oeufs par femelle, et une faible densité d'h?tes la réduit considérablement. Dans nos conditions expérimentales, les femelles deM. trachynotus pondent au plus 14,3 oeufs par jour, la moyenne maximale étant de 3,7 oeufs par h?te. Des simulations basées sur l'accumulation de degrés-jours pour 13 endroits dans l'est du Canada ont indiqué que le parasito?de est bien synchronisé avec ses deux h?tes alternants, queM. trachynotus peut engendrer jusqu'à trois générations par année dans la plupart des endroits, et que son voltinisme est déterminé essentiellement par l'entrée en diapause des larves deC. rosaceana. Le chevauchement entre la période de vol des adultes du parasito?de et celle de la disponibilité des larves de la tordeuse des bourgeons de l'épinette est incomplet, et il semble que ce synchronisme inadéquat soit un aspect important dans les interactions écologiques entre ces deux organismes.
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18.
The virulence of the DAT F-001 isolate ofMetarhizium anisopliae forAdoryphorus couloni was tested by exposing final instar larvae (L3) to concentrations of 101 to 107 spores/g in a sand-peat mix for up to 112 days at 20°±2°C. All concentrations were pathogenic to L3 larvae and survival was dependent on concentration and correlated with exposure time. The time to kill 50% of the treated larvae (LT50) ranged from 18.9 days (107 spores/g) to 82.7 days (101 spores/g). The effect of DAT F-001 on feeding by L3 larvae was determined by comparing the production and weight of frass pellets/larva/day of untreated control larvae with larvae rolled in sporulating cultures ofM. anisopliae DAT F-001 and DAT F-054 (low virulence). Exposure to, and infection byM. anisopliae DAT F-001 had minimal impact on larval feeding. L3 larvae continued to feed at the same rate as both untreated and DAT F-054 treated larvae virtually until they died.
Résumé La virulence deM. anisopliae DAT F-001 pourA. couloni a été analysée en exposant des larves L3 à des concentrations de 101 à 107 spores/g dans un mélange de sable et de tourbe pendant un maximum de 112 jours à une température de 20°±2°C. Toutes les concentrations sont pathogènes pour les larves L3; la survie dépendait de la concentration et est en corrélation avec le temps d'exposition. Les LT50 sont compris entre 18,9 jours (107 spores/g) et 82,7 jours (101 spores/g). L'effet de DAT F-001 sur l'alimentation des larves L3 a été évalué en comparant la production et le poids des fèces/larve/jour des larves non-traitées avec des larves roulées dans des cultures sporulées deM. anisopliae DAT F-001 et DAT F-054 (faible virulence). L'exposition àM. anisopliae DAT F-001 suivie de l'infection a peu d'effet sur l'alimentation des larves. Les larves L3 continuent à s'alimenter au même rythme que les larves non-traitées de DAT F-054, quasiment jusqu'à leur mort.
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19.
Résumé Le marquage isotopique (HT18O) des larves agées de 3e et de 4e stades de la coccinelle aphidiphageS. 11notata Schneider permet d'estimer la consommation alimentaire totale de chacun de ces 2 stades. Par comparaison avec une méthode d'estimation de la consommation alimentaire basée sur la pesée des proies, le marquage isotopique donne des résultats excellents chez les larves de dernier stade et elle est sans doute utilisable pour des mesures comparatives chez les larves de 3e stade. Les avantages de cette méthode, dont le plus important est assurément son indépendance vis-à-vis de la nature de l'aliment ingéré par les larves, ses quelques inconvénients et également les différentes possibilités de son utilisation (alimentation artificielle, études sur la physiologie alimentaire, etc.) sont discutés. L'application de cette méthode à des larves L3 et L5 maintenues au laboratoire dans des conditions am biantes constantes, en présence de populations aphidiennes monospécifiques mais hétérogènes quant à leur stade de développement, nous a permis de vérifier à l'échelle individuelle que le gain de poids constitue effectivement un critère d'estimation de la consommation alimentaire totale correspondante. Dans ce cas également, les meilleurs résultats sont obtenus chez les larves du dernier stade.
Summary The isotopic labeling (HT18O) of aged larvae (3rd and 4th instars) of the aphidophagous ladybeetleS. iinotata allows the total food consumption of both stages to be estimated. From the comparison with a method of consumption estimation based on weighing the prey, the isotopic labeling gives good results in the 4th stage larvae and is und oubtedly useful for comparative determination in 3rd stage larvae. The advantages of the method which does not depend on the kind of food ingested, the few drawbacks and the different possibilities of its use (artificial food, physiological studies) are discussed. This method was applied to 3rd and 4th stages larvae growing in the laboratory (in constant ambiant conditions) and fed with aphids of one species in different stages of development. It allowed to test, in each individual, the validity of measuring the total food consumption through the gain of weight of the larvae. Again, in this case the best results were obtained in the 4th stage larvae.
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20.
Biochemical profiles on API Rapid CH* strips and protein profiles on polyacrylamide gels in the presence of sodium dodecyl sulfate were used to distinguish two strains of the entomopathogenic fungusBeauveria bassiana (Balsamo) Vuillemin, ARSEF 2991 and ATCC 44860. Next, the toxicity of these two strains was determined at concentrations of 102, 104, 106 and 108 blastospores/ml on larvae of the Colorado potato beetleLeptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera: Chrysomelidae) and of its predator, the spotted ladybird beetle,Coleomegilla maculata lengi Timberlake (Coleoptera: Coccinellidae). Both strains were highly toxic toL. decemlineata larvae. However, the two strains exhibited different levels of toxicity forC. maculata larvae: ARSEF 2991 was toxic, whereas ATCC 44860 caused little coccinellid larval mortality.
Résumé Les profils biochimiques sur galeries API Rapid CH* et les profils protéiques sur gels de polyacrylamide ont été utilisés pour distinguer deux souches du champignon entomopathogèneBeauveria bassiana (Balsamo) Vuillemin. La toxicité de ces deux souches a été déterminée à des concentrations de 102, 104, 106 et 108 blastospores/ml sur des larves du doryphore,Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera: Chrysomelidae) et de la coccinelle maculéeColeomegilla maculata lengi Timberlake (Coleoptera: Coccinellidae). Les deux souches deB. bassiana se sont avérées actives à l'égard des larves deL. decemlineata. Toutefois la souche ARSEF 2991 s'est avérée pathogène pour les larves deC. maculata, alors que la souche ATCC 44860 a provoqué une faible mortalité des larves.
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