首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 156 毫秒
1.
The mechanisms adopted to ensure mating success, fertility and fecundity of E. insulana (reared in the laboratory on an artificial diet) were studied. Male moths mate only once a night but mate several times (mean 4.2) during their life span. Females will mate up to 3 times per night and an average of 2.6 times over their life span. One spermatophore can nevertheless be sufficient for a female to lay fertile eggs throughout her life with no reduction in potential fecundity.A female moth is ready to mate by the second night after emergence. The preoviposition period is greatly prolonged in unmated females. Thus if mating is delayed up to about the 9th night, eggs are saved to be laid, after mating, as fertile eggs. If mating is delayed to a greater extent, thus occurring after egg laying has already begun, the potential reduction in reproduction is not very great, because of the low daily (and total) egg-laying rate before mating and the increased longevity of unmated females.It appears reasonable to expect egg production to be substantially reduced only when a marked reduction in the effective proportion of adult males in a population is achieved.
Résumé Cette étude porte sur les mécanismes qui assurent le succès des accouplements, la fertilité et la fécondité d'E. insulana, élevé sur aliment artificiel en laboratoire.Les papillons mâles s'accouplent plusieurs fois (en moyenne 4, 2) au cours de leur vie mais seulement une fois par nuit et 2,6 fois en moyenne au cours de leur vie. Un seul spermatophore peut néanmoins être suffisant pour permettre à une femelle de pondre des oeufs fertiles tout au long de sa vie, sans réduction de sa fécondité potentielle.Un papillon femelle est apte à s'accoupler dès la 2ème nuit après l'émergence. La période de préoviposition est très prolongée chez les femelles non accouplés. Ainsi, si l'accouplement est retardé jusque vers la 9ème nuit, les oeufs sont conservés et peuvent être pondus après accouplement en demeurant fertiles. Si l'accouplement est retardé plus longtemps, après que la ponte ait déjà commencé, la réduction potentielle de la reproduction n'est pas très grande, en raison du faible taux de ponte journalier avant l'accouplement et de la longévité accrue des femelles vierges.Il semble que l'on quisse s'attendre à une réduction substantielle de la ponte seulement quand intervient une nette diminution du nombre des mâles présents dans la population
  相似文献   

2.
Mating ability, sexual aggressiveness and competitiveness of irradiated males subjected to 12-krad dose in air as compared to untreated males of Glossina palpalis palpalis (Rob.-Desr.) were evaluated in relation to the time required for initiation and completion of copulation with the transfer of viable and motile sperm into the female spermathecae. Males of G. p. palpalis can inseminate up to eight females. The minimum age for successful insemination is 4-days-old while the minimum copulatory time for optimal insemination is 40 min. However, sterile males require at least a day longer to mature (day 4 instead of day 3) and remained in copula for longer period but they become aspermic at the same rate as fertile males. There was significant reduction (P<0.05) in female fecundity during a mixed mating test involving a ratio of one sterile to one fertile male. Therefore 12-krad-treated males could satisfy the mating requirements of female G. p. palpalis.
Résumé L'aptitude à l'accouplement, l'agressivité sexuelle et le succès dans la compétition ont été comparés chez des mâles soumis à 12 krad dans l'air et des mâles témoins. Ces paramètres ont été évalués en fonction du temps nécessaire pour provoquer l'accouplement et l'accomplir avec le transfert de spermatozoïdes viables et mobiles dans la spermathèque de la femelle. Un mâle de G. p. palpalis peut inséminer jusqu'à 8 femelles. L'âge minimum pour obtenir une insémination réussie est 4 jours, tandis que le temps de copulation minimal pour une insémination optimale est 40 mn. Cependant les mâles stériles demandent au moins 1 jour supplémentaire pour atteindre leur maturité (4ème jour au lieu du 3ème); ils restent accouplés pendant plus longtemps, mais deviennent aspermiques au même taux que les mâles fertiles. Il y a eu une réduction significative de la fécondité des femelles (P>0.05) après accouplements mixtes impliquant autant de mâles stériles que de mâles fertiles. Ainsi des mâles traités avec 12 krad pourraient satisfaire les exigences sexuelles de femelles de G. p. palpalis.
  相似文献   

3.
Observations of adult Agromyza frontella (Rondani) (Diptera: Agromyzidae) in alfalfa, Medicago sativa L. (cv. Saranac), fields in two regions of Quebec, Canada, demonstrated that males were most abundant on alfalfa plants early in the morning and in the late afternoon/early evening, which coincided with the occurrence of bimodal mating activity. Male abundance and incidence of mating were usually negatively correlated with air temperature, solar insolation and wind speed and positively correlated with relative humidity. The daily pattern of female abundance on alfalfa varied less than that of males. Females fed and oviposited throughout the day, and the frequency of these activities were usually positively correlated with air temperature and solar insolation and negatively correlated with relative humidity. Possible reasons for the sexual dimorphism in the daily activity patterns of this leaf miner, and their significance for individual fitness, are discussed.
Résumé L'observation visuelle des adultes de la mineuse virgule de la luzerne, A. frontella, dans des champs de luzerne de deux regions differentes du Québec, ont démontré que les mâles étaient plus nombreux sur les plantes tôt le matin, vers la find de l'après — midi et tôt en soirée, ce qui a coincidé avec l'occurence bimodale de l'accouplement. L'abondance diurne des femelles variait moins que celle des mâles et les femelles se nourrissaient activement pendant toute la journée. La fréquence de l'alimentation et de la ponte chez les femelles (les mâles n'étant observé que très rarement en train de se nourrir) étaient corrélées positivement à la température ambiante de l'air de méme qu'à l'insolation mais étaient négativement corrélées à l'humidité relative. Contrairement aux femelles, l'abondance des mâles et l'incidence de l'accouplement étaient habituellement corrélées négativement à la température ambiante de l'air, à l'insolation et à la vitesse du vent alors qu'elles étaient positivement corrélées à l'humidité relative. Plusieurs hypothèses pouvant expliquer le dimorphisme sexuelle des activitées diurnes de cette mineuse ainsi que leurs implications quant à la fitness, des individus, sont discutés.
  相似文献   

4.
Under midsummer photoperiod regimens (16: 8 LL: DD with 1,5 hr simulated crepuscular periods), the Balloki, Pakistan strain of Culex tritaeniorhynchus Giles mated synchronously during the simulated dusk and to a lesser extent dawn periods. Swarming and pairing commenced on the second night of life and was stimulated by the gradual transition in illumination from light to dark; abrupt changes such as the turning-off of either fluorescent or incandescent lights in an environmental chamber inhibited mating. Males swarmed readily at illuminations less than 250 lux, but female participation was apparently inhibited until the illumination dropped to between 20 and 8 lux.Males mated with an average of 5.2 sexually mature females during their lifetime. Most mating activity occurred before the males were 4 days old, but mating continued throughout the lifetime with periods of mating activity followed by rest periods and subsequent renewed mating activity.
Résumé Au Pakistan, l'essaimage et (ou) l'accouplement de Cx. tritaeniorhynchus dans les champs reste mystérieux. Aussi, une série d'expériences de laboratoire a été réalisée pour étudier le comportement sexuel des mâles de Cx. tritaeniorhynchus. Les accouplements, mesurés par le nombre de femelles inséminées quand elles cohabitent avec les mâles pendant des périodes déterminées, se produisaient synchroniquement au moment de la simulation de l'aube et du crépuscule. Il n'y en avait pas pendant la scotophase et la photophase.L'essaimage et l'appariement ont été observés avec des lanternes rouges pour des adultes d'âges différents sous le régime d'éclairement de l'insectarium (16/8 LL/DD avec 1.50 h d'aube et de crépuscule). Les essaims se formaient avec le début du crépuscule et cessaient au début de la photophase. La lumière rouge était perçue par les adultes et interferait avec le rythme et le comportement sexuel normaux entrainant les mâles à essaimer et à s'apparier au cours de la scotophase. Les couples ont toujours été formés au cours du vol en relation avec l'accroissement de l'activité de vol du mâle. Une modification graduelle de l'illumination est nécessaire pour induire l'accouplement: des changements abruptes réduisent significativement l'activité copulatrice.Quand des mâles fraichement éclos cohabitent avec des groupes de femelles vierges, sexuellement mûres, leur activité copulatrice maximale avait lieu avant 4 jours. Le nombre de femelles inséminées par mâle et le nombre de mâles copulant par jour diminuent avec l'âge des mâles, bien que les accouplements s'observent pendant toute la vie des mâles. D'une façon surprenante, des périodes d'accouplement sont suivies par des périodes de repos, suivies à nouveau par de nouvelles périodes d'activité sexuelle, ce qui laisse penser que des mâles sexuellement épuisés sont capables de renouveler suffisamment le stock de spermatozoïdes et (ou) les substances mâles annexes nécessaires à un accouplement ultérieur.
  相似文献   

5.
Egg production in mated and virgin females of the cotton stainer, Dysdercus fasciatus Signoret, was studied in the laboratory. No significant differences were found in adult longevity, pre-oviposition period, inter-oviposition period, the total number of eggs oviposited during the whole reproductive period, and the mean number of mature eggs retained in the ovaries at each oviposition. Thus, mating has no influence on egg production or oviposition in this insect.
Résumé L'influence de la copulation sur la fécondité de la Punaise rouge du Coton, Dysdercus fasciatus fut étudiée au laboratoire à la température de 28±1° et à l'humidité relative de 55–65%. Six facteurs furent spécialement étudiés: la longévité des adultes, la durée de la période précédant la ponte, la durée moyenne des périodes comprises entre les pontes, le nombre de pontes déposées par chaque femelle durant sa phase reproductrice, le nombre moyen d'oeufs par ponte et le nombre moyen d'oeufs mûrs retenus dans les ovaires à chaque ponte.L'accouplement n'avait pas d'effet sur ces différents facteurs, excepté les quatrième et cinquième facteurs. Les femelles vierges déposaient davantage de pontes que les femelles ayant copulé, mais ces pontes avaient une plus petite quantité d'oeufs que les autres. Il en résultait que le nombre total des oeufs émis par les deux catégories de femelles durant leur vie était à peu près identique. Ainsi, dans cette espèce, l'accouplement n'avait pas d'influence apparente sur la fécondité relative et globale.
  相似文献   

6.
Emergence of adults of Edovum puttleri Grissell (Hymenoptera: Eulophidae) has a diel periodicity: most emergence occurred within 2 h of lights on (16L:8D, 24±1°C). Males emerged 2.0±3.0 h prior to females, and soon thereafter mated with emerging females. Courtship behavior did not differ between the Colombian and Mexican biotypes and was similar to that of members of the eulophid subfamily Tetrastichinae. The preoviposition period and oviposition period did not differ between biotypes. Males and females of both biotypes were long-lived, with the longevity of females of the Mexican biotype being significantly longer than that of Colombian females. males of both biotypes lived equally long. Mexican females produced more offspring than Colombian females, although this difference was not significant. After approximately 3 weeks, production of female offspring declined in both biotypes. A single mating was sufficient for females to produce a full complement of female offspring. Head capsule width of females correlated positively with fecundity.
Résumé L'émergence des adultes de E. puttleri Grissell (Hymen.: Eulophidae) présente une périodicité quotidienne, la plupart de émergences ayant lieu dans les deux premières heures de la photophase (16L/8D, 24°±1°C). Les mâles apparaissent 2±3 h avant les femelles, et s'accouplant immédiatement avec les femelles émergentes. Les biotypes mexicains et columbiens ont le même comportement de cour, qui correspond à celui décrit pour les Tetrastichini et pour les Entedontinae. Il en est de même pour la durée, d'une part des périodes précédent la ponte (3,7 ±2,8 j), et d'autre part de la ponte elle-même (25,1 ±4,5 j). Les adults des deux biotypes vivent longtemps, mais les femelles mexicaines vivent plus longtemps (57,4±18 j) que les colombiennes (46,2±14,8 j); les longévités des mâles sont identiques (45,7 ±18 j). Les femelles mexicaines produisent apparemment plus d'oeufs (221,2±29,5) que les colombiennes (166,6±58,1), mais ces différences ne sont pas significatives. Après trois semaines environ la production de descendants régresse chez les deux types. Un seul accouplement suffit à produire le contingent total de filles. La largeur de la capsule céphalique des femelles est liée positivement à leur fécondité.
  相似文献   

7.
The sex ratio of the progeny of single females parasitizing large hosts favoured the females (sex ratio=0.26); but on small hosts favoured the males (0.73). No differences in mortality of the sexes were detected. The sex ratio was independent of female age when large hosts were used. The percentage of males observed in the progeny of the first day of female oviposition was significantly greater than the mean, irrespective of the age at which female oviposition began. When females were exposed to small hosts, a greater percentage of females was observed in the progeny from the last days of oviposition.
Résumé L'influence de la taille de l'hôteret de l'âge de la femelle sur le taux sexuel de la descendance a été étudiée sur le parasitoïde Opius concolor Szépl.Le taux sexuel de la descendance des femelles isolées est favorable aux femelles (t.s.=0,26) quand elles ont à leur disposition des hôtes de grande taille, tandis qu'avec des hôtes petits le taux sexuel est favorable aux mâles (t.s.=0.73). On n'a pas détecté de mortalité différentielle des sexes.Les pourcentage de mâles obtenu le premier jour de ponte des femelles sur les hôtes de grande taille est significativement différent de la moyenne, indépendamment de l'âge de la femelle à ce moment. Cependant, sur des hôtes petits, bien que restant favorable aux mâles dans l'ensemble, une plus grande proportion de femelles à partir des premiers jours de ponte a pu être observée.
  相似文献   

8.
In a study of male alary dimorphism, clones of pea aphid, Acyrthosiphon pisum (Harris), were collected five times over two seasons in one location and once each from three other latitudes in the Great Plains region of North America. All clones produced some males when subjected to a short photoperiod (L14: D10 or L13: D11) at 20 °C. The presence of three distinct classes of clones based on the morph of males they produced (apterous only; alate only; apterous and alate in equal proportions) provides evidence for a genetic basis for the dimorphism. The relative frequencies of clones producing only apterous males varied geographically, providing some evidence to support the hypothesis that populations are not panmictic over the Great Plains region.
Résumé Le dimorphisme alaire mâle, — ou présence de mâle ailé et aptère —, s'observe à l'intérieur et en fonction des clones de A. pisum Harris. Notre objectif est de décrire la distribution et la fréquence de ces deux morphes. 143 clones de pucerons du pois ont été récoltés sur Medicago sativa dans quatre stations de la Grande Plaine d'Amérique du Nord, entre 44° 45 et 53° 12 N: à cinq reprises pendant deux saisons dans une station, et une fois dans chacune des 3 autres stations. Tous les clones, soumis à une photopériode courte: L14: D10 ou L13: D11 à 20 °C, ont produit quelques mâles. Les 8 échantillons ont donné à la fois des mâles aptères et ailés, et les observations dans les clones confortent les expériences.Trois classes de clones ont été formées à partir des morphes produits: mâles aptères seuls, mâles ailés seuls, ou quantités égales de chaque morphe. La fréquence par rapport à la distribution binomiale a été utilisée pour montrer que pour presque tous les clones produisant les deux morphes, les proportions étaient 1:1. Ces observations prouvent que la présence ou l'absence d'ailes est déterminée génétiquement, probablement par un gène diallélique lié au sexe. La fréquence des clones produisant uniquement des mâles aptères varie en fonction des populations examinées, ce qui laisse supposer une perte de panmixie à travers la Grande Plaine, quant au morphe des mâles.
  相似文献   

9.
The active or dispersing morph of Callosobruchus maculatus, a pest of stored cowpeas, is presumed to infest cowpea plants in the field prior to harvest. In oviposition choice tests, both normal and active females preferred pods that were full-size but still green over younger, smaller pods or older, mature pods. Exposed seeds were usually preferred over intact pods of all stages, although females laid more eggs on green pods than on the rough-coated seeds of one cowpea variety. Egg-to-adult survivorship was highest for eggs laid directly on seeds. On both green and mature pods high mortality occurred because newly hatched larvae failed to penetrate a seed after they drilled through the pod wall. However, since 20–50% of eggs laid on green pods do develop into adults, cowpea plants are susceptible to C. maculatus well before pods dehisce to expose the seeds. The oviposition preferences of C. maculatus may be strongly influenced by the surface texture of potential oviposition sites.
Résumé La forme active de Callosobruchus maculatus, ennemi de Vigna unguiculata stocké, est suspectée d'infester les gousses dans les champs avant la récolte. Lors d'essais sur le choix du lieu de ponte, toutes les femelles, normales et actives, ont préféré les gousses encore vertes mais ayant atteint leur taille définitive aux gousses plus jeunes ou aux gousses plus âgées (jaunes) ou mûres. Les graines étaient presque toujours préférées aux gousses à tous les stades, mais quand les graines étaient rugueuses, elles pondaient de préférence sur les gousses vertes.Le pourcentage le plus élevé d'adultes a été obtenu à partir des oeufs pondus sur les graines. Avec les pontes sur gousses vertes ou mûres, la mortalité élevée se produisait lors de la pénétration dans la gousse. Néanmoins, comme 20 à 50% des oeufs pondus sur des gousses vertes donnent des adultes, V. unguiculata est susceptible d'être attaqué par C. maculatus bien avant la déhiscence des gousses et l'exposition des graines. L'évolution temporelle des propriétés physiques des gousses paraît à l'origine de la relation complexe entre l'âge et l'attractivité des gousses.
  相似文献   

10.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
  相似文献   

11.
The relative importance of three factors-mating, nutrition, and crowding-in regulating the reproductive biology of Dysdercus fasciatus Signoret, D. nigrofasciatus Stål and D. cardinalis Gerst. was studied under standard laboratory conditions. Observations on mated and virgin females of these three species of Dysdercus showed that there were no significant differences in pre-oviposition period and inter-oviposition period. In D. fasciatus and D. nigrofasciatus there was, further, no significant difference in the rate of oocyte development; but D. cardinalis differed from these two species in that mating had a profound effect on the rate of oocyte development and consequently on the first oviposition. However, in all three species of Dysdercus mating had a significant effect on the number of eggs produced in each batch, the egg batches of mated females being significantly larger than those produced by virgin females. Further, in both D. fasciatus and D. nigrofasciatus virgin females lived longer than mated females but in D. nigrofasciatus mating had no significant effect on adult longevity. Mating activity was drastically reduced in starved adult bugs. But where it occurred under these conditions, mating did not have any effect on the development of the oocytes, even in D. cardinalis. Under starvation conditions, growth proceeded up to the stage where yolk deposition would normally occur, then stopped; the oocytes showed no signs of degeneration or oosorption. Crowding of female adults led to the acceleration of oocyte development and the onset of oviposition in all three species. These findings are discussed in relation to the known field biology of the three Dysdercus species.
Résumé La biologie de la reproduction de 3 espèces de Dysdercus du Kenya a été étudiée au laboratoire. Des 3 espèces, D. fasciatus Signoret présente les périodes les plus courtes de pré-copulation et de pré-oviposition. Puisque cette espèce est inféodée à un relativement petit nombre de plantes-hôtes, qui ont une courte saison de fructification procurant alors une ample source de nourriture, elle tire un avantage maximum de la brièveté de cette période favorable, grâce à la réduction des phases de pré-copulation et de pré-oviposition.Par contre D. nigrofasciatus Stål est adaptée à un très grand nombre de plantes hôtes et pour elle il n'est pas indispensable d'avoir une très grande capacité de reproduction. Cela s'applique encore mieux à D. cardinalis Gerst. qui a une plus longue période de pré-copulation et de pré-oviposition. Cette espèce préfère les plantes qui sont dispersées sur une grande superficie et cela exige une longue période de vol exploratoire avant de s'alimenter et de se reproduire.Chacune de ces 3 espèces s'accouple de façon presque continue, mais les observations faites au laboratoire montrent que l'accouplement n'a aucun effet notable sur la longévité des adultes, sur la durée des phases de pré-oviposition ou d'inter-oviposition et sur le nombre total d'ufs pondus chez D. fasciatus et D. nigrofasciatus. Chez D. cardinalis, au contraire, l'accouplement a un effet important sur la vitesse de croissance des ovocytes, mais non sur les autres aspects de la reproduction évoqués ci-dessus.Le rassemblement en masse des femelles adultes accélère le développement des ovocytes et déclenche la ponte dans chacune des 3 espèces de Dysdercus.L'alimentation a un effet sur le développement des ovocytes. De jeunes femelles adultes doivent être alimentées pendant au moins 3–4 jours avant de déposer leur première ponte. Après chaque ponte une alimentation plus abondante est encore nécessaire pour assurer le maintien de la production d'ufs. Les femelles de chacune des 3 espèces peuvent survivre avec de l'eau pure mais leurs ovocytes arrêtent leur développement au stade où normalement se dépose le vitellus, mais ils ne sont pas résorbés.
  相似文献   

12.
A simple artificial diet consisting of minced tea leaves and brewer's yeast was found to be suitable for mass-rearing the Tea Tortrix, Homona coffearia, in the laboratory. Growth and development on this diet approximated that observed in the field. At 24° and 75% R.H., the average larval periods were 22.4 days for males and 26.7 days for females while average pupal duration was 6 days for both. The average pupal weights were 35.7 mg for males and 72.2 mg for females. The survival of inoculated 1st-instar larvae to adults was 78% and oviposition rates were superior to those observed in the field. Additional dietary ingredients did not result in any further improvement, on the contrary, an excess supply of enzymatic hydrolysate of casein suppressed development.
Résumé Un aliment artificiel simple, formé d'un mélange de feuilles de thé hachées et de levure de brasserie s'est révélé convenable pour l'élevage de masse en laboratoire de la Tordeuse du thé Homona coffearia. La croissance et le développement sur ce milieu est très comparable à ceux observés dans la nature. A 24° et pour une humidité relative de 75%, la durée du développement larvaire est en moyenne de 22.4 jours pour les mâles et 26.7 jours pour les femelles, cependant que la durée du développement nymphal est en moyenne de 6 jours pour les deux sexes. Le poids moyen de pupes obtenues est de 35.7 mg pour les mâles et 72.2 pour les femelles.La survie moyenne du premier stade larvaire au stade adulte est de 78% et la ponte des femelles issues des élevages est supérieure à celle de femelles provenant de chrysalides récoltées dans la nature.L'addition de sucrose, d'acide linoléique, de chlorure de choline, d'acide ascorbique et de vitamines du groupe B n'apporte aucune amélioration, au contraire, un apport en excès d'hydrolysat enzymatique de caséine empêche le développement.
  相似文献   

13.
The leaf age preferences for oviposition by three species of whitefly (Dialeurodes citri [Ashmead],Aleurothrixus floccosus [Maskell], andParabemisia myricae [Kuwana]) were tested on lemon,Citrus limon (L.). Four categories of leaf age were tested (I: incompletely expanded, growing leaves; II: young leaves that are completely expanded but not yet dark green; III: completely mature leaves [dark green]; IV: completely mature leaves judged to be older than III as determined by the age of the twigs to which they were attached). Paired choice experiments were conducted in the laboratory using excised leaves and in the field using intact leaves. In both laboratory and field tests,P. myricae preferred I over all other leaf ages. It rarely oviposited on II and never oviposited on III or IV, even when they were the only two choices. The order of preference forD. citri in laboratory and field tests was II>I>III>IV. In laboratory tests,A. floccosus exhibited the same order of preferences asD. citri, but in the field, II was preferred over all others, III was slightly preferred over IV, and I varied greatly among replicates in comparisons against III or IV. In related experiments, the choice between I & III byA. floccosus andD. citri was not affected by confining the whiteflies to either I or III for three days prior to testing.
Sélection pour la ponte des feuilles deCitrus limon en fonction de l'âge par trois espèces d'aleurodes
Résumé Des feuilles de 4 tranches d'âges appartenant àCitrus limon L.: 1) en cours de croissance et incomplètement développées; 2) développées mais pas encore vert sombre; 3) complètement développées (vert sombre) 4) plus âgées que le lot 3 d'après l'âge du rameau, ont été proposées pour pondre à 3 espèces d'aleurodes (Dialeurodes citri Ashmead,Aleurothrixus floccosus Maskell,Parabemisia myricae Kuwana). Les femelles étaient isolées dans des cages dont les ouvertures sur deux côtés opposés étaient obstruées par la face inférieure de feuilles de citronniers d'âges différents. Les feuilles utilisées au laboratoire étaient coupées, les expériences dans la nature étaient faites avec des feuilles intactes. Récoltées au bout de 2 jours, leurs ufs étaient dénombrés.Dans les 2 cas,P. myricae a préféré significativement le lot 1, les pontes sur lot 2 étaient rares, et nulles sur les lots 3 et 4 même en l'absence de choix. Les préférences significativement différentes deD. citri au laboratoire et dans la nature étaient les suivantes: 2>1>3>4.A. floccosus a présenté au laboratoire les mêmes préférences queD. citri (P0,0004), mais certains résultats étaient contradictoires. Au laboratoire et dans la nature, le lot 2 était préféré; de même le lot 3 était préféré au lot 4. Cependant de nombreuses expériences de choix dans la nature entre les lots 1 et 3 et 1 et 4 ont montré la même tendance qu'au laboratoire, mais pour d'autres, les résultats étaient inversés. Après regroupement des résultats dans la nature, le lot 3 a été préféré au lot 1 (résultats à la limite du seuil de validité); aucune différence significative n'est apparue entre les lots 1 et 4. Les choix deA. floccocus etD. citri entre les lots 1 et 3 n'ont pas été modifiés par la présence de l'un des lots pendant les 3 jours précédant l'expérience.
  相似文献   

14.
A direct causal relationship was demonstrated between soil temperature and insect ovipositional propensity. When ovipositional substrates (soils) at 5, 15, 22, 30, 35, and 40°C were presented in multiple treatment (choice) tests with air temperature at 15 or 22°C, onion flies, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae), laid the most eggs in the 22°C substrate. Only 50 eggs were laid when air temperature was increased to 30°C, as compared to 454 and 1128 eggs at 22 and 15°C, respectively. Thus, an air temperature of 30°C appears to be near the upper limit of onion fly ovipositional activity. The numbers of flies observed (counts taken every 15 min) on substrates ranging from 15 to 40°C were not significantly different. Reduced alightment/arrestment does not explain reduced oviposition on the warmer substrates; however, it may partly explain reduced oviposition on 5°C substrates. The range of substrate temperatures facilitating substantial oviposition was narrower than that eliciting alightment/arrestment on the substrate. The ca. 20°C ovipositional optimum corresponds well with temperatures favoring egg survival and development.
Résumé La température du sol est réglée, dans les pondoirs de D. antiqua, par un thermoblock, tandis que toutes les autres variables, associées au succédané d'oignon servant de stimulus de ponte, sont maintenues constantes. Une relation causale entre température du sol et activité de ponte est mise en évidence. Quand il y a choix entre des substrats de ponte à 5, 15, 22, 30 et 40°C, avec une température de l'air de 22°C, les mouches pondent surtout dans le substrat à 22°C. L'optimum thermique est de 20°C quand la température de l'air est abaissée à 15°C. La ponte n'est que de 50 ufs quand la température de l'air est portée à 30°C, contre respectivement 454 et 1128 ufs à 22 et 15°C. Ainsi, une température de l'air de 30°C paraît proche de la limite supérieure de l'activité de ponte de D. antiqua. Le nombre de mouches observées sur le substrat (toutes les 15 min.) ne varie pas significativement quand la température du substrat est entre 15 et 40°C. La gamme de températures provoquant la fixation sur le substrat est plus large que celle des températures provoquant une ponte importante. L'optimum de 20°C correspond bien aux températures favorables à la survie et à la croissance de D. antiqua.Ce travail montre l'effet important de facteurs abiotiques sur l'acceptation de la plante-hôte.
  相似文献   

15.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

16.
Sexual morph production in Hyperomyzus lactucae (L.) is under photoperiodic control. In southern England oviparae are not produced in night lengths of less than 10 h 40 min at 15 ° C but males are produced in all night lengths between 8 and 14 h with a peak between 10 and 12 h. Old clones produce sexual morphs after fewer generations and via a limited sequence of morphs compared to young clones, but the restraining mechanism in young clones is very variable in the extent of its operation.
Résumé La production des sexués chez Hyperomyzus lactucae est sous un déterminisme photopériodique, mais les mécanismes qui provoquent la production des ovipares et des mâles sont indépendants et contrôlés par des stimulus photopériodiques différents. La durée de la scotophase pour la production des ovipares est déterminante et d'environ 10 h 40 pour les clones étudiés. Il n'y a pas de production d'ovipares à 15° C en scotophase plus courte. Par contre, des mâles sont produits à toutes les scotophases étudiées entre 8 et 14 h, atteignant un pic entre 10 h 20 et 12 h, mais avec diminution de leur apparition encore plus nette quand les nuits se prolongent.La diversité des conditions tendant à produire des sexués chez les jeunes clones fait contraste avec le nombre limité de possibilités chez les clones plus âgés et prouve qu'un mécanisme réduit dans certains cas la sensibilité à la scotophase tôt dans l'année. Mais, même dans un seul clone, la variation causée par un tel mécanisme est considérable.Il semble que la longueur de la scotophase critique chez cet insecte suffise seule à empêcher la production de sexués au printemps dans le sud de l'Angleterre. Ceci peut donc expliquer les variations du mécanisme restrictif qui, vraisemblablement, ne doit pas être important pour la survie des clones de cette région.
  相似文献   

17.
Females of the sunflower moth, Homoeosoma electellum, laid a total of 242.3±27.4 (X±SE) eggs when provided oviposition sites of wax paper dusted with pollen from cultivated sunflowers. Fecundity was influenced by the age at which mating occurred but not by the duration of mating. Eggs were laid during both the light and dark portions of a 16L:8D photoperiodic cycle, with an evident peak occurring shortly after the onset of the scotophase.The fecundity of females provided oviposition sites with a 1 mg equivalent of an ethanolic pollen extract daily (124.2±22.8) did not differ significantly from that of females provided 1 mg of pollen (172.2±28.0). Furthermore, the females showed the same positive dose dependent oviposition response where sites contained different concentrations of either pollen or pollen extract. However, when different oviposition substrates were provided simultaneously, females preferred pollen > reconstituted pollen (extract + pollen residue following extraction) = pollen extract > pollen residue = wax paper control. These data confirm the presence of an oviposition stimulant for H. electellum in the sunflower pollen.Antennectomised females laid as many eggs on sites with pollen residue as on sites with pollen, indicating that the majority of sensillae for detecting the oviposition stimulant are located on the antennae.The importance of pollen load as an indicator of a suitable host plant, given that previous laid eggs do not inhibit subsequent oviposition, is discussed with respect to larval survival.
Résumé Les femelles de la pyrale du tournesol, Homoeosoma electellum ont pondu un total de 242.3±27.4 (X±SE) oeufs sur des sites de ponte faits de papier ciré et saupoudrés de pollen de tournesol cultivé. La fécondité a été significativement affectée par l'âge des individus au moment de l'accouplement, cependant la durée de l'accouplement n'a pas influencé la fécondité. Sous une cycle de 16L:8D, la ponte a eu lieu aussi bien en phase de lumière que de noirceur mais le pic de la ponte a eu lieu peu après le début de la scotophase.La fécondité des femelles à qui on a offert à chaque jour des sites de ponte traités avec un extrait de pollen à base d'éthanol à une concentration de 1 mg de pollen (124.2±22.8) n'a pas été significativement différente de celle obtenue sur des sites traités avec 1 mg de pollen (172.2±28.0). De plus, le nombre d'oeufs pondu a augmenté en fonction des différentes concentrations de pollen ou de l'extrait de pollen offertes simultanément. Cependant, lorsque différents sites de ponte ont été offerts simultanément, les femelles ont préféré le pollen > le pollen reconstitué (extrait + pollen résiduel après l'extraction) = extrait de pollen > pollen résiduel = papier ciré non traité (témoin). Ces données confirment que le pollen de tournesol contient des substances qui stimulent la ponte de H. electellum.Les femelles antennectomisées ont pondu autant d'oeufs sur des sites traités avec le pollen résiduel que sur ceux traités avec le pollen, ce qui indique que la plupart des sensilles impliquées dans la détection du stimulant de ponte se trouvent au niveau des antennes.Etant donné que la présence des oeufs déjà pondus n'inhibent pas les pontes subséquentes, l'importance de la charge de pollen, comme indice de la bonne qualité de la plante-hôte, est discutée en relation avec la survie des larves.
  相似文献   

18.
In the tsetse fly Glossina pallidipes Austen multiple mating of females and the inseminating capacity of males was investigated with the aim of economizing on the number of males in mass rearing. Forty five percent of mated but uninseminated females and 9% of inseminated females remated.Virgin males inseminated four times in succession and remained eager to copulate thereafter. Restoration of the inseminating ability took 2 h rest. Experienced and virgin males were equally successful at mating. Insemination occurred during the last 30 s of the copulation and one male inseminated nine females on the average. Females mated in a 1:1 or a 1:3 / ratio were equally productive. The females that were mated in a 1:3 ratio survived better.Series of three successive matings, alternated with periods of rest, showed that the males did not regain their original inseminating capacity. In the first series all three mates were inseminated, but in subsequent series only the first and the second. An efficacious reduction of the number of males to 20% of the number of females to be mated may be possible by using the males first in a 1:3 and subsequently in a 1:2 / ratio.
Résumé Afin d'économiser le nombre de mâles à maintenir dans des élevages de masse pour des études sur les méthodes de protection contre Glossina pallidipes, les accouplements multiples des mâles et des femelles ont été étudiés au laboratoire.7 à 9 jours après leur émergence, les femelles ont eu pour la première fois la possibilité de s'accoupler avec des mâles vierges ou non. La réceptivité lors des accouplements ultérieurs a été testée immédiatement après le premier accouplement. 45% des femelles non inséminées se réaccouplent. Parmi les femelles inséminées, seulement 9% copulent à nouveau dans les 6 h qui suivent le premier accouplement.Les mâles présentés à une succession de femelles restaient avides de copuler, mais la majorité était incapable de les inséminer après la 4ème copulation; la restauration du pouvoir fertilisant demandait une période de repos de 2 h.En laboratoire, les mâles vierges ou expérimentés ne présentaient aucun avantage sexuel les uns par rapport aux autres. Les femelles semblaient avoir été inséminées dans les 30 dernières secondes de la copulation.Aucune différence de productivité n'a été observée quand les accouplements ont eu lieu avec 1 mâle pour 1 ou 3 femelles.Des séries de 3 accouplements successifs, alternant avec des periodes de repos, ont montré que le pouvoir fertilisant ne retrouvait pas son niveau initial. Dans les premières séries, toutes les 3 femelles ont été inséminées, mais dans les séries ultérieures seulement la 1ère et la 2nde. En moyenne, un maximum de 9 femelles était inséminé, marqué par un remplissage de la spermathèque de plus de 50% ou une fécondité supérieure à 0,8. Une réduction efficace du nombre de mâles, au cinquième de celui des femelles à accoupler, est possible en utilisant d'abord 1 mâle pour 3 femelles et ensuite 1 mâle pour 2 femelles.
  相似文献   

19.
Comparisons were made of the preferences shown by non-protein-fed females, protein-fed gravid females, and non-protein-fed males of the house fly, given choices between sucrose solution and either l-leucine or sodium phosphate buffer.In choice tests where non-protein-fed females showed little preference, protein-fed females and males both showed a strong preference for the sucrose solution. The findings suggest that l-leucine and sodium phosphate buffer are recognised by non-protein-fed females as indicators of nutrients for ovarian development.
Résumé Les choix alimentaires de 3 catégories de M. domestica: femelles n'ayant pas consommé de protéines, femelles à ovaires développés alimentées sur protéines, mâles n'ayant pas consommé de protéines, ont été examinés par leur absorption de solutions dans une paire de potomètres.Elles avaient le choix entre, d'une part une solution de sucrose et, d'autre part une solution de L. leucine ou d'un tampon de phosphate de soude.Pour les expériences où les femelles non préalablement alimentées sur protéines ne présentent aucune préférence, les femelles alimentées sur protéines et les mâles préfèrent nettement la solution de sucrose.Les résultats montrent que les femelles non alimentées sur protéines répondent plus que les femelles mûres et les mâles à la fois à la solution de L. leucine et au tampon de phosphate qu'au sucrose. Ceci suggère que l'impulsion sensorielle provoquée par ces deux breuvages est perçue par les femelles n'ayant pas consommé de protéines comme un indicateur d'aliments indispensables au développement ovarien.
  相似文献   

20.
In Drosophila triauraria Bock & Wheeler (Diptera: Drosophilidae) of which females were known to enter reproductive diapause at short daylengths, males also showed reduced mating activity at short daylengths, i.e., males as well as females entered reproductive diapause. The critical daylength for diapause induction did not differ between females and males. Both male and female diapause ended even under short daylengths, but the male diapause was somewhat weaker than the female diapause.The critical daylength and the diapause rate varied geographically in this species. In the cross between diapausing and non-diapausing strains, the critical daylength and the diapause duration inherited in a quantitative manner. On the basis of the present and previous crossing experiments, some models are proposed on the mechanism of diapause induction of this species.
Résumé Les femelles de D. triauraria Bock & Wheeler (Dipt. Drosophilidae) sont connues pour présenter une diapause reproductrice aux photophases courtes. Les mâles eux aussi ont révélé une activité sexuelle réduite aux photophases courtes, c'est-à-dire qu'ils sont entrés comme les femelles en diapause reproductive. Les photophases critiques pour l'induction de la diapause des mâles et des femelles n'ont pas présenté de différences. Les diapause des mâles et des femelles s'achèvent même sous courtes photophases, mais la diapause mâle était quelque peu plus faible que la diapause femelle.La photophase critique et le taux de diapause ont varié en fonction de l'origine géographique dans l'espèce actuelle. Lors de croisements entre lignées diapausantes et non-diapausantes, la photophase critique et la durée de la diapause ont été héritées quantitativement. A partir de ces expériences et d'expériences précédentes de croisements (Kimura, 1983), quelques modèles de méchnisme d'induction de la diapause de cette espèce sont proposés.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号