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1.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

2.
Control of sex ratio by female spider mites   总被引:1,自引:0,他引:1  
Control of sex ratio in the progenies of mated female spider mites was investigated in two laboratory experiments. In Experiment I, a single strain of Tetranychus urticae Koch was reared in four different environments. In Experiment II, 4 different geographic strains of T. urticae were reared in a single environment.Results indicated that spider mite females were able to control the sex ratio of their progeny at two levels: an initial control of mean population ratio according to ovipositional environment. In addition, a secondary control resulted in an approximately uniform daily ratio. Although each parental female produced a varying number of eggs from day to day, a more or less constant fraction of those eggs were fertilized every day. It is concluded that both of these characteristics are probably important to the colonizing ability of the species.
Résumé L'étude de la régulation du sexe de la descendance de femelles inséminées d'acariens est basée sur deux expériences de laboratoire. Dans l'expérience I, une lignée de Tetranychus urticae a été élevée dans deux conditions différentes de qualité des feuilles pendant le développement des parents, d'une part, pendant leur ponte et le développement de la descendance d'autre part. Dans l'expérience II, quatre souches géographiques différentes de T. urticae ont été élevées dans les mêmes conditions.Il est apparu nettement que les femelles dans des conditions différentes ont donné des descendances avec des taux sexuels variant dans certaines limites. Ces différences étaient statistiquement significatives dans les duex lots de données expérimentales. Les taux sexuels des populations d'acariens variaient aussi avec les conditions écologiques. Dans les bonnes conditions, la proportion de femelles dans la descendance était la plus élevée. Les taux sexuels des populations variaient aussi entre les quatre souches géographiques.Les analyses ont aussi révélé que les femelles d'acariens sont capables de contrôler le taux sexuel à deux niveaux: une régulation initiale du taux de la population en fonction des conditions écologiques ou de la lignée géographique et un contrôle secondaire qui s'est traduit par un taux quotidien approximativement uniforme.En utilisant un argument mathématique simple incorporant la fécondité caractéristique des acariens, nous avons conclu que ces deux caractéristiques de la rulation sont probablement d'une importance capitale pour le pouvoir colonisateur de cette espèce.
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3.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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4.
Un olfactomètre a deux flux d'air parallèles comportant un fil en Y est décrit et utilisé pour édudier l'attraction des larves néonates et de 5ème stade de la teigne du poireau par la plante-hôte, les composés volatils soufrés qu'elle émet et quelques odeurs originaires d'autres végétaux. Le poreau, les disulfures, les thiosulfinates et les thiosulfonates sont attractifs. L'action des composés soufrés dépend de la concentration utilisée et du stade larvaire. Les résultats sont comparés à ceux obtenus antérieurement sur la phagostimulation larvaire et sur l'attraction des adultes.  相似文献   

5.
Many larvae from wild-caught female Glossina palpalis palpalis R.-D. treated topically with dieldrin or sumicidin or sumithrin or permethrin failed to pupariate and many larvae from mothers treated with sumicidin or sumithrin or neopynamin formed small or malformed puparia which failed to eclode. Puparia produced soon after maternal handling often did not emerge and many produced by flies starved more than 3 days also did not emerge. Very many puparia from dieldrin-treated mothers failed to emerge and non-emergence was common for puparia from flies treated with endosulfan or sumithrin or deltamethrin. Non-emerging puparia were produced soon after pyrethroid-treatment, probably due to effects on larval integumentand muscles, but were produced later after organochlorine-treatment, due to ingestion of insecticide by larvae while in utero.
Résumé Les expériences ont porté sur des femelles sauvages de Glossina palpalis palpalis R.D. capturées dans la nature. Les comparaisons ont porté sur l'état et les performances de lots de pupes provenant de mouches non-traitées et de larves mûres traitées localement avec de l'acétone (témoin) ou avec 14 insecticides différents.Toutes les larves témoin se sont nymphosées, mais le taux d'échec augmentait avec la diéldrine, la sumicidine, la sumithrine et la permethrine. Les pupes anormales (petites ou déformées) étaient plus nombreuses dans le lot témoin que dans le lot non-traité, et les fréquences étaient plus élevées que chez le témoin avec la sumidicine, la sumithrine et la néopynamine.Seulement 3 mouches sont issues de 107 pupes anormales; il n'y a eu aucune éclosion pour 28% des pupes du lot témoin contre 15% pour le lot non-traité. Pour le témoin le taux d'émergence était faible dans les pupes formées le premier jour (jour du traitement), par suite de la manipulation maternelle; il n'a pas augmenté jours 2 et 3, mais a diminué par la suite à cause du jeûne in utero. Les doses élevées de tous les insecticides réduisent plus les émergences que les doses faibles. Les organophosphates et le propoxur ne limitent pas les émergences, mais elles sont réduites par l'endosulfane, la sumithrine et la deltaméthrine, et très fortement par la diéldrine. Les pupes stériles ont été surtout formées dès le traitement aux pyréthroïdes (jour 1); et surtout plus tard (jours 2 et 3) lors des traitements aux organochlorés. L'ingestion par la larve in utero de grandes quantités d'insecticides pendant les 3 jours précédant la parturition était la principale cause de mortalité, et aussi de la forte tolérance aux organochlorés des femelles prégnantes. Les effets de pyréthroïdes sur l'activité musculaire réduisent aussi les émergences.Aucune mouche ne s'est alimentée après les traitements.
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6.
The hypothesis that arbivorous insects are protein limited was tested by feeding larvae of Datana ministra mature leaves of Tilia americana that were coated with a mixture of protein. Larvae fed the protein supplement had a lower ingestion rate and net growth efficienty but higher apparent digestion efficiency and apparent assimilation rate than control larvae. Protein supplement had no effect on the rate of growth of 5th instar larvae although larvae fed added protein pupated at a lower weight than control larvae. The added protein placed a metabolic load on the larvae, perhaps by excessive nitrogen excretion demands and osmotic imbalance. The results do not support the hypothesis that arbivorous insects are protein limited.
Résumé L'hypothèse suivant laquelle la croissance des larves d'insectes est limitée par l'insuffisance des protéines disponibles dans les feuilles d'arbres a été examinée par l'alimentation des chenilles de Datana ministra Drury sur feuilles développées de Tilia americana L. enduites d'une mixture de protéines d'oeuf et de lait. Des chenilles de second stade, prélevées dans des colonies naturelles, ont été séparées en un lot témoin élevé en masse sur feuilles coupées et un lot expérimental élevé sur feuiles coupées mais enduites de protéines. Le bilan en matière sèche, le taux de croissance, la relation entre ce taux de croissance et la quantité de matière ingérée, le poids des prénymphes ont été déterminés sur 10 chenilles de dernier stade dans chaque lot. Les chenilles ayant consommé un supplément de protéine ont présenté un plus faible taux d'ingestion et un plus faible rendement de croissance, mais une meilleure efficacité apparente d'ingestion et un meilleur taux apparent d'assimilation que les témoins.Le complément protéique n'a pas eu d'effet sur le taux de croissance des chenilles de 5ème stade bien que l'alimentation avec addition de protéines ait provoqué la nymphose à un poids larvaire plus faible. L'addition de protéines avait provoqué une chargé métabolique pour les chenilles, peut-être en provoquant une demande d'excrétion d'azote excessive ou en créant un déséquilibre osmotique, ce qui aurait provoqué une réduction du taux de croissance et du poids des chenilles malgré un taux d'assimilation supérieur. Ces résultats ne confirment pas l'hypothèse que les insectes des arbres sont carencés en protéines.
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7.
A. Mirimanoff 《Protoplasma》1953,42(2):250-260
Résumé Le présent travail expose quelles sont les réactions de la cellule végétale lorsque cette dernière est soumise à l'association d'un toxique et d'un « mouillant » (Netzmittel).Les variables sont: la nature de la cellule végétale, celle du toxique et celle du mouillant.Alors que les mouillants cationiques, eux-mêmes toxiques, exercent une simple action additive, les mouillants anioniques révèlent dans de nombreux cas une synergie de toxicité. Celle-ci se manifeste surtout avec les champignons et les bactéries Gram+, les végétaux supérieurs se montrant indifférents. Cette synergie varie également avec la structure moléculaire du mouillant.Les mouillants non ioniques peuvent au contraire exercer une action antagoniste, c'est-à-dire diminuer la toxicité.Ce dernier phénomène se produit dans certains cas à la suite d'une réaction chimique entre le mouillant et le toxique; la nature de la cellule est alors indifférente. Dans d'autres cas, il y a absence de réaction chimique et le phénomène ne se produit qu'avec certains types de cellules (champignons surtout).La nature chimique du toxique joue, dans la synergie, un rôle moins important que dans l'antagonisme.Des hypothèses sont formulées pour tenter d'élucider le mécanisme des cas de synergie et d'antagonisme.  相似文献   

8.
Crowding larvae of Spodoptera littoralis (Boisd.) [= Prodenia litura F.] shortened the larval period but lengthened the pupal period. Crowding also reduced the pupal weight and the length of the body of the resultant adult, and produced darker coloured larvae. The type of food also affected the time taken to develop. When larvae are reared in isolation they are pale in colour, very inactive and hardly react to other larvae that touch them. Crowded larvae may be pale or darker in colour and show a number of reactions to one another on contact. They are more active than isolated larvae, and darker ones are more active than pale ones.
Résumé Des chenilles de Spodoptera littora is élevées isolément et nourries de feuilles de Patience (Rumex patiencia), ont un développement larvaire plus long que celles élevées sur d'autres plantes à des températures analogues. Le groupement de 20 chenilles, dans une cage de 500 ml, diminue la durée de leur vie larvaire (22,3 jours en moyenne, contre 25,3 jours pour les chenilles témoins élevées isolément), mais accroît la durée de la nymphose (14,7 jours en moyenne, contre 9,7 jours pour les témoins). Toutefois la durée totale du développement larvaire et nymphal demeure semblable: en moyenne 35,0 et 35,6 jours respectivement.Les chrysalides obtenues à partir de chenilles isolées sont plus lourdes et les adultes qui en proviennent ont le corps et les ailes plus longs, par rapport aux chrysalides et adultes des élevages groupés. La mortalité est plus élevée dans les élevages en groupes, surtout pendant les derniers stades, larvaires. A l'éclosion les parties dorsales du corps sont de couleur vert jaune, mais en vieillisant les chenilles prennent dorsalement une coloration jaune — rouge foncé. Les chenilles isolées sont de coloration pâle, celles groupées sont pâles ou sombres; les premières sont les moins actives, les secondes les plus actives.Les chenilles elevées groupées se déplacent beaucoup plus que celles élevées isolement, L'activité varie d'ailleurs avec l'âge, elle est plus grande pour des chenilles âgées de 10 jours que pour celles âgées de 15 jours.II y a quelques similitudes entre le comportement des chenilles groupées de Spodoptera et celui des larves de Criquet, en particulier dans les mouvements de masse et l'aggrégation des chenilles de Spodoptera.


This is a part of post-doctorate research carried out at the Anti-Locust Research Centre, London.  相似文献   

9.
Conclusion Les teignes figurent parmi les affections les plus fréquentes et les plus répandues dans le monde. Les progrès des moyens de communication, l'augmentation des mouvements de population favorisent leur extension. Grâce aux progrès thérapeutiques apportés par la Griséofulvine on peut envisager leur éradication. Avec les moyens dont nous disposons actuellement la thérapeutique prend le pas sur la prophylaxie. Et des mesures comme l'éviction scolaire sont inapplicables dans les pays en voie de développement où près de la moitié des enfants sont teigneux.Le seul obstacle dans ces pays est purement d'ordre budgétaire. La Griséofulvine est un remède trop coûteux pour des Etats qui ont d'autres soucis de Santé Publique. Si l'on obtenait de bons résultats avec l'administration d'une dose unique on pourrait réexaminer favorablement ce problème.Lu dans la séance du ler Congrès International de Dermatologie Tropicale, Napoli, 8–13 Juin, 1964.  相似文献   

10.
The fecundity and reproduction rate of caged Myzus persicae on leaves of potato plants growing on nutrient solutions with different anion and cation ratios were measured. The levels of total and soluble N in the leaves and the reproduction rate were found to be positively correlated with the amounts of N in the nutrient solutions. Longevity and reproduction rate were considerably less on 4-week-old plants than on 8-week-old plants; this difference is not correlated with the total N or soluble N-content of the leaves. When comparing aphid development on plants, daily variations in the amounts of N compounds in the leaves could provoke an erroneous basis for assessing the physiological condition of the host plant.
Résumé Des pucerons Myzus persicae sont élevés individuellement dans des cages sur des feuilles de pommes de terre. Chaque expérience comporte deux groupes de plantes les unes âgées d'un mois, les autres de deux mois. Les plantes sont alimentées avec des solutions nutritives dans lesquelles le rapport d'anions ou cations est différent, mais qui demeurent ioniquement équilibrées.La reproduction de Myzus persicae, sur les plantes du même âge, montre une corrélation avec la quantité de N dans la solution nutritive et avec la teneur des feuilles en N total ou en N soluble.Le taux reproduction sur des plantes âgées de deux mois est en moyenne plus élevé que sur les plantes âgées d'un mois. Cette différence n'est pas en corrélation avec la teneur des feuilles en N total ou N soluble.Sur des plantes âgées de deux mois le nombre de jours productifs par femelle est plus élevé que sur des plantes âgées d'un mois.La teneur des feuilles en composés azotés peut montrer des fluctuations quotidiennes importantes; pendant la durée de l'expérience un échantillonnage fréquent est indispensable à l'obtention de données reproductibles.Le rapport de K/Mg dans les solutions nutritives n'a pas une influence significative sur la fécondité des pucerons.La teneur en eau des feuilles n'est pas influencée par les différentes solutions nutritives ni par l'âge de la plante.Si on permet aux pucerons de se développer librement sur les plantes, on constate que la densité de population est la même sur les différentes solutions nutritives. La nutrition minérale n'influence pas de façon significative les pourcentages de production d'insectes ailés.
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11.
The coefficient of dispersion, an index of the relative proportion of the population at high and low densities, was calculated for a number of outbreak area populations of the red locust. The comparison of these indices showed that the proportion of the population at high densities was greatest near the middle of the adult locust's life. The data suggested that the proportion of locusts at high densities was greater with higher mean locust densities and after the formation of swarms. On the other hand this value was probably lower in a habitat made up of patches of tall and short grass or of burnt-off ground and unburnt stands, than in uniform grassland, and was probably also lower after insecticide attack than before.
Résumé Les populations adultes du criquet nomade dans certains foyers d'origine ont été estimées pendant un certain nombre d'années. La technique employée consiste à conduire un véhicule suivant un tracé préétabli de façon à couvrir systématiquement la superficie et de compter le nombre de sauterelles chassées d'une bande de la largeur d'un Land Rover; les nombres sont notés tous les 160 mètres.Le coëfficient de dispersion (la variance divisée par la moyenne) a été calculé par le comptage des criquets s'envolant dans les sections de 160 m. Celui-ci est un index de la proportion relative de criquets à des densités hautes et basses. Il est indépendant de la grandeur totale de la population de sorte qu'il est possible de faire des comparaisons tant entre les distributions de la population dans des régions différentes et les distributions existant à des périodes différentes dans la même région.La comparaison de ces indices démontra qu'en général le coëfficient de dispersion était le plus élevé vers le milieu du stade adulte (juin, juillet, aôut) c.à.d. qu'à ce moment la plus grande proportion de la population était concentrée sur la plus petite surface.A cause du nombre d'exemples relativement petit il est difficile de déterminer l'effet indépendant d'autres facteurs sur le coëfficient de dispersion. Il est cependant probable qu'à une densité moyenne de criquets plus élevée la proportion de criquets était plus grande à des densités élevées.En outre la densité des criquets formant des essaims est en effet très élevée; la formation d'essaims tendait à accroître le coëfficient de dispersion.Un traitement insecticide paraissait réduire le coëfficient de dispersion. Ceci n'est pas surprenant puisque seuls les essaims en repos on été attaqués.Enfin il est possible que la proportion de criquets à des densités élevées était plus grande dans un habitat relativement uniforme que dans un habitat consistant en des morceaux de terre avec des herbes longues et courtes ou en des terres incinérées et des plages non incinérées.
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12.
The effect of 18 sequential applications of malathion-bait spray (over a seven month period) on the spatial structure of the parasite guild associated with the gall midge Rhopalomyia californica Felt was assessed. Analysis of >140 galls collected from both the spray zone (Woodside) and an adjacent untreated area (Jasper Ridge) on Mar. 30, 1982 revealed that total percent parasitization was lower in the treated area. Subsequent analysis of guild structure was carried out using the midge gall as the spatial scale of interest. Galls are multichambered and can contain 50 or more host larvae per gall; galls containing parasitized hosts can contain more than one species of parasite. However, bait sprays had no effect on the number of parasite species per gall — i.e., the frequencies of galls containing zero, one, two, and three species were virtually identical. In both areas, total percent parasitization was highest in galls exploited by three parasite species, intermediate in galls exploited by two species, and lowest in single-species galls; however, in each case, parasitization was highest in the unsprayed area. Finally, total percent parasitization in relation to gall size (larvae per gall) was directly density dependent in the control area, but density independent in the spray zone. The differences in spatial structure detected in the parasite guild were attributed to the effect of malathion on individuals, rather than species. It is suggested that analysis of the spatial structure of a parasite guild may be of some value in applied biological control.
Résumé L'étude a porté sur l'effet de 18 pulvérisations de malathion, pendant une période de 7 mois, sur la structure spatiale du cortège d'entomophages associés à Rhopalomyia californica Felt. L'analyse de plus de 140 galles récoltées le 30 mars 1982, tant dans la zone traitée (Woodside), que dans une zone contiguë non traitée (Jasper Ridge), a montré que le taux de parasitisme est plus faible dans la zone traitée. L'analyse ultérieure s'est focalisée sur la galle comme unité spatiale. Une galle contient de nombreuses loges et jusqu'à 50 larves de R. californica; celles renfermant des hôtes parasités peuvent contenir plusieurs espèces d'entomophage. Les pulvérisations d'insecticides ne modifient pas le nombre d'espèces d'entomophages par galle: les fréquences des galles contenant 0, 1, 2, 3 espèses d'entomophages sont à peur près identiques. Dans les deux zones, la fréquence totale de parasitisme est plus élevée dans les galles explotées par 3 espéces d'entomophages, intermédiaire s'il y a 2 espèces, et plus faible par une espèce; cependant, dans tous les cas les fréquences sont plus élevées dans la zone pulvérisation. Finalement, la fréquence totale de parasitisme en fonction de la taille des galles (larves par galle) étaient dépendait directement de la densité dans la zone témoin, et était indépendante de la densité dans la zone traitée. Les différences de structures spatiales des cortèges d'entomophages ont été attribués à l'effet du malathion sur les individus, plutôt que sur les espèces. Il en est déduit que l'analyse de la structure spatiale d'un cortège parasitaire peut avoir de l'intèrêt en entomologie appliquée.
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13.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

14.
Resume et conclusions La région de Beni-Ounif, Figuig et Ben Zireg, cadre de cette étude, est située sur la bordure méridionale de l'Atlas saharien et supporte un climat de caractère désertique par la faiblesse et l'irrégularité des précipitations. A la suite de périodes relativement pluvieuses, l'apparition de nombreuses thérophytes, l'acheb des indigènes, permet de faire l'étude des groupements végétaux dans leur développement optimum. Trois types de stations se montrent particulièrement riches en ces espèces: les stations cultivées et rudérales, les dépressions sablo-limoneuses du reg et des plateux rocheux, les pentes rocailleuses des montagnes et des collines. Seuls les deux dernières stations ont fait de notre part l'objet d'une étude phytosociologique approfondie.o| li]I.|Les d\'epressions non sal\'ees portent trois associations: association \`a Althaea Ludwigii et Trigonella anguina des cuvettes limoneuses, association \`a Lotononis dichotoma des ravinelles, association \`a Asphodelus pendulinus des talus sableux. La composition floristique et le sol de la premi\`ere sont nettement diff\'erents des deux autres, qui sont au contraire tr\`es voisines. Ce sont les diff\'erences dans la teneur en limon et argile qui sont d\'eterminantes dans la localisation respective des trois groupements: 28% en moyenne d'\'el\'ements fins (limon + argile) dans l'Althaeetum, 8,5% dans le Lotononidetum, 5% dans l'Asphodeletum; c'est pour une teneur de l'ordre de 12% d'\'el\'ements fins que s'\'etablit le passage entre l'Althaeetum et le Lotononidetum. La teneur plus \'elev\'ee en argile du sol du premier groupement lui conf\`ere une plus grande hygroscopicit\'e; mais tr\`es rapidement, apr\`es les pluies, la teneur en eau du sol des trois groupements dans les 10 cm sup\'erieurs se r\'eduit \`a l'eau d'hygroscopicit\'e. Les autres caract\`eres d'habitat sont semblables.Aux abords des habitations, l'enrichissement en matières organiques provoque le remplacement de ces associations par un groupement nitrophile, l'association à Peganum Harmala et Bassia muricata.L'élément floral saharo-sindien est nettement prédominant dans tous ces groupements, avec une représentation de 2,5 à 5 fois plus grande que celle de l'élément méditerranéen. li]II.|Les associations des pentes rocailleuses, contrairement aux pr\'ec\'edentes, sont peu sensibles \`a la nature physico-chimique du substratum, mais sont \'etroitement li\'ees aux conditions climatiques locales, elles-m\^emes sous la d\'ependance de l'exposition, de l'altitude et de la situation g\'eographique de la cha\^ine. Ce caract\`ere est particuli\`erement apparent dans le territoire que nous avons \'etudi\'e, par sa situation \`a la limite commune de deux groupes d'associations de rocailles, l'un saliarien que nous appelons l'Atractyletalia babelii, l'autre m\'editerran\'een, le Sedetalia altissimae.Au premier appartient l'association à Morettia canescens et Fagonia longispina qui colonise les rocailles des chaînons les plus méridionaux de l'Atlas saharien occidental jusqu'à une altitude de 1100 m eviron, à l'exception des fortes pentes d'exposition Nord où se localise une association à Senecio flavus et Centaurea incana var. Saharae, groupement moins héliophile, plus riche en formes méditerranéennes et faisant transition avec le Sedetalia.Le groupe du Sedetalia est représenté au Dj. Antar de Ben Zireg par l'association à Ferula Cossoniana et Leucanthemum paludosum var. gaetulum, avec une sous-association à Aristida Adscensionis aux expositions Sud à Est et Ouest depuis 1100 m jusqu'à plus de 1600 m, et une sous-association à Rosmarinus officinalis aux expositions Nord au dessus de 1500 m. Ces deux groupements ont le même aspect de steppe montagnarde d'halfa, mais les formes sahariennes sont encore dans la proportion de 4/5 des espèces méditerranéennes dans le premier, alors qu'elles n'y sont plus que dans la proportion de 1/2 dans le second. La présence du Juniperus phoenicea dans la sous-association rosmarinetosum, son absence totale de la sous-association aristidetosum donnent une indication précieuse pour des essais éventuels de reboisement. On trouvera dans Vegetationsbilder, 6 (4), T. 19, une photographie d'un de ces groupements de rocailles, le Morettieto-Fagonietum anabasidetosum, au pied d'une pente occupée par le M.-F. artemisietosum. Au fond, la face Sud de l'Antar, couverte dans sa plus grande partie par le Feruleto-Leucanthemetum.Les caractères physico-chimiques du substratum ont peu d'influence sur la composition des groupements; seuls les grès tendres, dont les éboulis se colmatent de sable, ont permis dans le Morettieto-Fagonietum l'établissement de psammophytes qui différencient une sous-association à Aristida floccosa.Ainsi, alors que les groupements sahariens des surfaces planes ou de faible relief sont des indicateurs très sensibles des conditions édaphiques, ceux des montagnes se montrent le plus influencés par les facteurs climatiques locaux. Une étude des associations de rocailles étendue à l'ensemble de l'Atlas saharien occidental permettrait sans doute d'établir avec une grande précision les moindres variations du climat dans cette région et apporterait une documentation précieuse pour une mise en valeur de ces territoires déshérités.Reçue par la rédaction le 14.XII.1951.  相似文献   

15.
The searching mechanisms of Syrphus ribesii (L.) larvae were examined in relation to degree of starvation. Satiated larvae remained close to aphids when not feeding probably due to reduced speeds of locomotion and thigmokinesis. The locomotory mechanisms used by 24-h starved larvae resulted in a concentrated searching pattern whereas those of 48-h starved larvae produced a higher level of dispersion. The role of these differences in the searching process of this predator is discussed.
Comportement de prospection en fonction du jeûne chez Syrphus ribesii (L.) (Diptera, Syrphidae)
Résumé Le comportement de prospection en fonction de l'importance du jeûne a été examiné chez des larves de Syrphus ribesii L. Les larves rassasiées présentaient une faible vitesse de déplacements frontaux et étaient thigmocinétiques, si bien qu'elles restaient, en absence d'alimentation, près de la proie. Après 24 h de jeûne, elles présentaient un taux de projection (séquence précédant la capture de pucerons) et une vitesse plus élevés, et elles n'étaient plus thigmocinétiques. Les projections étaient distribuées au hasard au cours du chemin prospecté, et il y avait un taux de déviations élevé en présence d'obstacles, comme des hordes de femelles, au lieu de passer outre. Ces résponses produisaient un faible niveau de dispersion et une prospection de type concentré. Toutefois après 48 h de jeûne, les larves avaient le taux de projection et la vitesse les plus élevés. Leurs projections étaient groupées le long du chemin parcouru et le taux de déviation était bas. Le résultat en était un niveau élevé de dispersion.
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16.
Résumé Les nombreuses mesures effectuées pour évaluer le métabolisme de base chez l'homme ont montré qu'il existe une différence dans le métabolisme basal en relation avec le sexe. Le métabolisme de l'homme étant en moyenne supérieur de 6 à 7% au métabolisme de la femme.Ce caractère de sexualité ne peut pas se rattacher directement à une différence dans le comportement des glandes génitales ou des hormones de l'un et l'autre sexe et nous ne pouvous pas le considérer comme une espèce de caractère sexuel secondaire.Les recherches deRiddle et ses collaborateurs sur le métabolisme du Pigeon ont montré que, pour l'uf et l'embryon de cette espèce, le métabolisme du mâle est plus élevé que celui de la femelle.Divers autres travaux font ressortir la mÊme différence de métabolisme en faveur du mâle dans d'autres espèces; Rat, Batraciens etc.Ce caractère de sexualité, métabolisme plus élevé chez le mâle, est une conséquence de l'activité respiratoire plus forte dans les cellules de ce sexe. L'interprétation des expériences deRiddle sur les embryons nous permet de rattacher la plus grande activité respiratoire de ces cellules à leur pouvoir d'oxydation (rH intracellulaire) plus élevé.Les différences sexuelles dans le métabolisme nous apparaissent alors comme une manifestation de la 1e loi de sexualisation cytoplasmique et nous pouvons supposer que ces différences de métabolisme ont une aussi grande généralité que la loi dont elles sont une des conséquences.  相似文献   

17.
The male blowfly, Phormia regina Meigen shows preference among a variety of natural and artificial foods. In a laboratory study preference was observed among sweet and fermenting juices as well as between liver and fish. The preferences between fresh and fermenting juices were based not only on component sugars, but also on other components, namely, amino acids, alcohol salts and presumably other chemical compounds. The preference between decaying liver and fish was probably based partly on the composition and concentration of amino acids in these foods. A variety of amino acids were found in foods and some of these amino acids were shown to be excitatory, some inhibitory and others neutral. Salts were also observed to be present in the juices; and in a laboratory study NaCl at lower concentrations acted synergestically with 0.1 M sucrose and at higher concentrations repulsive. It is suggested that feeding preference is based on several chemicals which behave either in an excitatory, additive, neutral, inhibitory or synergistic manner. The ratio of excitants to inhibitants is important in deciding the direction of preference.
Résumé P. regina Meigen mâle préfere certains aliments naturels ou artificiels. Au laboratoire ses préférences parmi les jus sucrés sont les suivantes: orange > miel > pomme > sucrose 0.1 M; et parmi les aliments en décomposition: sucrose 0.1 M > foie > poisson. Les jus frais sont préférés aux jus fermentés. Les préférences ne dépendent pas seulement de la nature des sucres, mais aussi des acides aminés, de l'alcool, des sels et probablement d'autres substances chimiques. Le foie contient à la fois le plus grand nombre et la concentration la plus élevée en acides aminés, ce qui explique partiellement le goût pour le foie. Expérimentalement on peut classer les acides aminés en stimulants, inhibiteurs et neutres. Des sels ont été notés dans les jus, mais aucune analyse qualitative et quantitative n'en a été faite. Mélangé à du sucrose à 0.1 M, NaCl agit en synergie aux faibles concentrations, devient neutre à 0.175 M et à des concentrations supérieures le sucrose seul est préféré au mélange avec NaCl. Cependant, un mélange de NaCl à 0.25 M (bien qu'une telle concentration soit peu probable dans des jus végétaux) avec du sucrose à 0.1 M était préféré à l'eau. Il en est déduit que les préférences alimentaires. dans la nature sont orientées par plusieurs substances chimiques qui se comportent d'une façon stimulante, additive, neutre, inhibitrice ou synergique, et que les préférences alimentaires sont relatives. Le rapport de stimulants sur inhibiteurs est important dans la détermination du sens de la préférence.
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18.
Résumé Trois annés d'éhantillonnage automnal de pyrale du ma?s dans différentes régions ma?sicoles de France ont permis de déterminer le taux de parasitisme par les Tachinidae. Ce taux varie de 1% à 51% selon les régions et les années. Les tachinaires sont préents dans toutes les zones étudiées.Lydella thompsoni Hert. est l'espèce la plus abondante et la plus répandue.Pseudoperichaeta nigrolineata Walk. se rencontre dans le Sud-Ouest. Les Tachinidae pourraient jouer un r?le important dans la régulation des populations de pyrale.   相似文献   

19.
In Drepanosiphum dixoni H. R. L. the heavier the adult the greater the fecundity. However, brachypterous alatae are more fecund than macropterous alatae in the first 10 days of adult life as well as in the first 10 days of reproductive life. There is no difference in the weight at birth between the offspring of brachypterous and macropterous alatae.
Résumé Les ailés brachyptères et les ailés macroptères de Drepanosiphum dixoni sont très semblables dans leurs structures. Les brachyptères sont dépourvus des muscles indirects du vol et leurs ailes, quoique de forme parfaite, sont plus courtes que celles des ailés macroptères.La fécondité est d'autant plus grande que l'insecte adulte est plus lourd. Cependant, les ailés brachyptères sont plus féconds que les ailés macroptères aussi bien pendant les 10 premiers jours de leur vie adulte (Fig. 1A) que pendant les 10 premiers jours de leur reproduction (Fig. 1B). La différence de fécondité est plus marquée quand on se réfère aux 10 premiers jours de la vie adulte, (comparer Fig. 1, A et B), car le délai entre la mue imaginale et le début de la reproduction est plus court chez les brachyptères (2, 4 jours) que chez les macroptères (3, 3 jours).On n'observe pas de différences dans le poids à la naissance de la descendance de chacune des 2 formes.Dans l'évolution de l'aptérisme chez les Aphides il est vraisemblable que l'avantage initial réside dans un accroissement de fécondité, comme chez D. dixoni. Un développement secondaire possible dans l'évolution du dimorphisme alaire chez les Aphides est celui observé chez A. fabae où les ailés produisent une plus petite descendance, la proportion de celle-ci qui naît dans les quelques premiers jours de la vie adulte étant plus élevée que chez les formes aptères.
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20.
Résumé Le canal salivaire contient dans sa paroi deux types de nerfs, moteurs et sécréteurs. Le diamètre des fibres nerveuses est en moyenne plus faible dans les nerfs moteurs, où il diminue encore en direction des glandes, tandis qu'au contraire celui des fibres sécrétrices augmente, accentuant ainsi les différences morphologiques entre les deux ners. Ces différences de calibre entre les fibres sont en rapport avec le nombre plus ou moins élevé des neurites qu'elles comportent, et dont les mésaxones ont des formes variées. Les caractères cytologiques des cellules satellites et des axones des deux types de nerfs sont comparables. Les axones contiennent des vésicules de types morphologiques très divers dont la signification est discutée.
Ultrastructural study of the innervation of the posterior salivary glands in Octopus vulgaris I. The nervous trunks of the salivary duct
Summary Two types of nerves, motor and secretory, are found in the wall of the salivary duct. The average diameter of the motor fibers is smaller and decreases still more towards the glands, while on the contrary it increases for the secretory fibers. The disparity of diameter between the two types of fibers is due to the different number of neurites they contain, embedded in satellite cells with mesaxons of various forms. Axons and satellite cells have similar cytological features in the two types of nerves. Vesicles of several morphological types occur in the axons; their significance is discussed.
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