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1.
Résumé Les auteurs définissent plusieurs formes de matières organiques et procèdent à leur inventaire dans des sols bruns et des chernozems. Ils effectuent un premier fractionnement par tamisage destiné à quantifier la matière végétale figurée et à séparer les complexes organo-minéraux. Ils procèdent ensuite sur ces derniers, à des extractions chimiques en vue de déterminer les complexes organométalliques et les complexes organo-argilliques. Les résultats démontrent que les sols bruns étudiés sont formés d'agrégats de consistance très lâche, caractérisés par un fort taux de complexes organométalliques à base d'acides fulviques à turn-over très rapide. Ces propriétés contrastent beaucoup avec celles des chernozems qui sont constitués d'agrégats très compacts renfermant un fort taux d'acides humiques très polycondensés, liés à un taux élevé de complexes organo-argilliques, ces deux types de produits apparaissant très résistants aux dégradations microbiennes.  相似文献   

2.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

3.
Résumé Les auteurs ont étudié comparativement des souches de Brettanomyces isolées de vins de diverses origines et dans diverses circonstances. En plus des tests habituels de classification, portant surtout sur les caractères morphologiques et sur la fermentation et l'assimilation des différents sucres, il a été procédé notamment aux mesures des intensités respiratoire et fermentatives, à l'établissement des bilans analytiques des produits secondaires formés, à l'étude des besoins en facteurs de croissance.Ces Brettanomyces provenant de vins appartiennent à deux espèces nouvelles, différentes des espèces isolées de la bière. Les auteurs proposent de les nommer Brettanomyces vini et Brettanomyces schanderlii.  相似文献   

4.
Résumé Certains stades juvéniles de charançons des céréales du genreSitophilus ont été soumis à un séjour prolongé dans des compositions gazeuses modifiées par le dioxyde de carbone (CO2).Les auteurs se sont placés dans des conditions de teneur en CO2 constante (50%), associée à des teneurs en oxygène comprises entre 4 et 20%, pour étudier les conditions d'une synergie entre l'effet spécifique du CO2 et la présence d'une forte teneur résiduelle en oxygène. Les effets ont été observés sur les stades juvéniles les plus évolués (larves et nymphes) des espècesS. oryzae (L.) etS. granarius (L.), (Coleoptera: Curculionidae).L'accroissement de la vitesse de mortalité chezS. oryzae est significative avec l'augmentation de la pression partielle d'oxygène. Cet effet de synergie provoqué par l'oxygène n'est pas significatif avecS. granarius, bien qu'il existe aussi avec cette espèce une tendance à l'amélioration de l'efficacité insecticide à court terme avec les mélanges à forte teneur résiduelle en oxygène.Il en est déduit des hypothèses sur les effets des mélanges gazeux à composition modifiée par le CO2 au niveau de la physiologie générale de ces insectes, qui est très difficile à appréhender directement à cause du mode de développement des stades juvéniles des charançons (formes cachées dans le grain).  相似文献   

5.
Conclusions Il n'est pas impossible, en toute première approximation, d'assimiler une société d'insectes à un système multistable (Ashby) et les individus qui la composent à un ensemble d'organes de base (von Neuman).Ce sont là, en effet, deux façons de raisonner qui permettent de retrouver par la théorie de nombreauses formes de comportement observées dans la nature et, surtout, d'aborder de manières complémentaires l'important problème des interactions sociales et de la transmission de l'information entre insectes sociaux.Il est clair, à la lumière des travaux d'Ashby, qu'un certain bruit de fond est nécessaire à l'intérieur d'une société d'insectes, afin de réaliser l'indépendance relative des différents sous-systèmes, dont l'ensemble est susceptible de s'adapter, dans des délais convenables, à toute modification d'environnement. Quant aux théories devon Neuman, elles permettent de comprendre comment l'existence de ce bruit de fond, si elle est cause du caractère aléatoire et plus ou moins incorrect de la transmission de l'information, n'entrave pas pour autant le fonctionnement correct et fidèle de l'ensemble de la société.Il est, par ailleurs, curieux de constater que l'étude des systèmes cybernétiques auxquels nous nous sommes constamment référé ici,visait à l'origine la mise en évidence des analogies qu'ils présentent avec le cerveau. Or, si l'on veut bien admettre le bien-fondé des considérations développées dans cet article, il existe des rapports relativement étroits entre ces systèmes et ceux que constituent les insectes sociaux. Il semble, dès lors, que l'application de la cybernétique à l'étude des sociétés d'insectes constitue une méthode d'investigation qui devrait se révéler fructueuse et conduire, en particulier, à un renouveau de la théorie du superorganisme.  相似文献   

6.
RésuméMorphologie des myosynapses d'Insectes Les terminaisons nerveuses motrices des muscles squelettiques (à l'exclusion des muscles fondamentaux du vol) de la Mouche domestique et de quelques autres Diptères, ainsi que de l'Abeille et du Bourdon, se présentent le plus souvent comme de simples bifurcations des fibres nerveuses, mais il arrive qu'elles comportent un plus grand nombre de rameaux. Chez les Orthoptéroïdes, on observe des terminaisons de types différents, la structure pouvant être, comme chez la Blatte, comparable à celle des Diptères, mais plus complexe chez le Criquet où la ramure terminale est irrégulière et abondamment divisée. Les terminaisons motrices des Orthoptéroïdes sont très fréquemment composées, c'est-à-dire constituées par la superposition de plusieurs ramures terminales.La structure fine de ces myosynapses semble identique à celle des myosynapses de guêpe, décrites d'après des micrographies électroniques.Des noyaux siègent parfois au niveau des myosynapses, mais de façon inconstante. Ce sont essentiellement des noyaux du névrilemme.Les terminaisons motrices des muscles des larves de Diptères semblent morphologiquement plus simples que celles des imagos, mais leur structure reste encore mal connue.Les myosynapses des Insectes se distinguent de celles des Vertébrés par l'absence d'appareil sous-neural et de cholinestérases décelables histochimiquement à son niveau, alors que ces enzymes peuvent être aisément mis en évidence dans les nerfs et le système nerveux central.Différents modes d'innervation motrice de la fibre musculaire des Insectes Chez tous les insectes examinés ici, chaque fibre musculaire reçoit plusieurs terminaisons motrices réalisant une innervation dite multiterminale. Toutes les terminaisons motrices d'une seule fibre musculaire sont parfois issues des divisions d'un même axone: il s'agit alors d'une innervation multiterminale mononeuronale. Dans d'autres cas, tout un muscle est innervé par plusieurs axones jumelés qui se bifurquent simultanément et, le plus souvent, cheminent parallèlement jusqu'à la fibre musculaire, chaque rameau du nerf formant généralement une terminaison motrice composée: une seule fibre musculaire est alors innervée à la fois par plusieurs axones, son innervation est multiterminale polyneuronale. Plusieurs physiologistes ont pu démontrer sur certains insectes que ces axones jumelés ne déterminaient pas les mêmes effets moteurs, mais ces résultats ne sauraient être généralisés à l'ensemble des cas d'innervation polyneuronale, sans recherches physiologiques plus complètes. Ce mode d'innervation polyneuronale n'a pas un caractère général chez les Insectes.  相似文献   

7.
L. Lison 《Protoplasma》1929,7(1):489-504
Conclusions Envisageant le comportement général des amibocytes des Invertébrés au point de vue de son expression physique et mécanique, nous en arrivons à la conclusion qu'aucun des phénomènes spécifiques qu'ils présentent ne peut Être rapporté à une simple application de pures lois physico-chimiques. Dans la physiologie des pseudopodes lamellaires des amibocytes, on avait voulu faire intervenir pour une large part les phénomènes de tension superficielle. Nous avons montré que le rôle de ces derniers est en réalité absolument secondaire et ne peut Être pris en considération. La genèse des ptéropodes avec leur forme typique ne peut Être assurée qu'avec le concours de forces étrangères, difficiles à déterminer d'ailleurs. Bien plus, le maintien des ptéropodes ne peut Être assuré qu'en dépit mÊme des forces de tension superficielle; ces dernières tendent à faire rétracter le pseudopode; et si celui-ci jouit d'une stabilité considérable, celle-ci est due précisément à des forces antagonistes des forces de tension superficielle et qui disparaissent à la mort de la cellule.La rétraction physiologique des ptéropodes est d'une complexité telle qu'on ne peut raisonnablement la regarder comme résultant du libre jeu des lois physiques connues.MÊme des manifestations assez comparables, morphologiquement tout au moins, à des phénomènes physiques simples, tels que l'étalement des lames hyaloplasmiques ou leurs propriétés d'adhésivité aux corps solides révèlent des propriétés qui ne peuvent Être rapportées à des lois physiques connues.Bref, le comportement général de la lamelle hyaloplasmique de l'amibocyte ne peut Être situé dans le domaine physique dont certains auteurs avaient voulu le faire dépendre. Son étude relève du domaine biologique.  相似文献   

8.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

9.
Sommaire Chez la femelle de cobaye gravide, une injection intracardiaque de 200 mg/kg d'alloxane provoque en 6–8 hs, une pycnose généralisée des cellules B des îlots endocriniens du pancréas; 18–20 hs après l'injection, les acini exocrines en bordure des îlots devenus nécrotiques se différencient et prolifèrent des cordons de cellules endocriniennes. Cette régénération intense et rapide est pratiquement achevée 42 hs après l'injection.L'effet, sur le pancréas foetal, de l'alloxane injectée à la femelle gravide, varie suivant le stade de développement atteint par le tissu endocrine au moment de l'injection. Pendant la phase de différenciation, aux dépens de l'épithélium des canaux, des premières cellules A (emb. de 13 mm, 25e jour) et B (emb. de 27 mm, 34e jour), puis de prolifération de cordons aboutissant à la formation des îlots primitifs dits îlots à manteau (foetus de 58 mm, 43e jour), les cellules B sont totalement réfractaires à l'action de l'alloxane. Chez les foetus ayant atteint 75 mm (50–51e jour), les premiers îlots à architecture définitive ont fait leur apparition par remaniement secondaire des îlots à manteau, processus qui continuera jusqu'à la naissance. Dès que ce stade est atteint, l'alloxane injectée à la mère provoque la pycnose généralisée des cellules B dans les îlots définitifs alors que les îlots à manteau voisins restent intacts. Il semble donc que les cellules B doivent atteindre un certain degré de maturité pour être sensibles à l'alloxane.  相似文献   

10.
Résumé La greffe de pancréas foetal chez le rat alloxanisé (une injection d'alloxane de 100–250 mg/kg) corrige immédiatement et définitivement le diabète. La sécrétion d'insuline est, au début, assurée par le greffon puisque dans les îlots du pancréas de l'hôte l'alloxane a provoqué la destruction totale des cellules B. Durant les deux premières semaines qui suivent la bréphoblastie, les îlots sont le lieu d'une prolifération massive de cellules A; les premières cellules B néoformées apparaissent vers le 15e jour mais la proportion normale des cellules AB n'est rétablie que 1 1/2 à 2 mois après l'implantation de la greffe. Au fur et à mesure de la régénération des cellules B, la fonction insulinique des îlots du pancréas de l'hôte se substitue à celle du greffon qui dégénère progressivement.Chez les rats pancréatectomisés et greffés, la sécrétion d'insuline est également assurée par le greffon pendant le 1er mois environ. La régénération du pancréas à partir de reliquats pancréatiques laissés dans la région de la confluence des canaux de Wirsung et biliaire, aboutit, à 3 1/2 mois, à une polynésie d'îlots, souvent volumineux et irréguliers, formés presqu'exclusivement de cellules B. La glycémie restant constamment normale, la sécrétion d'insuline est ici encore dans une première phase, assumée par le greffon qui dégénère, par la suite, au fur et à mesure que les îlots du régénérat sont capables de secréter de l'insuline en quantité suffisante pour assurer l'équilibre glycémique.La prolifération et la néogenèse des cellules A, comme celles des cellules B, se font essentiellement aux dépens des cellules des acini exocrines qui perdent leurs caractères de cellules exocrines (disparition des granulations de zymogène et de la réserve de RNA) et prolifèrent en gros bourgeons plasmodiaux A ou B. La différenciation de cellules endocrines se fait également, mais plus rarement, à partir de l'épithélium des petits canalicules secrétoires sous acineux.Bréphoplastie = greffe d'organe foetal; terme créé par R. M. May.  相似文献   

11.
Résumé Une méthode d'extraction physico-chimique des lipides a été appliquée à des blastospores entières de C. albicans, préalablement à leur étude en microscopie électronique à transmission. Les résultats permettent de supposer une localisation très superficielle des lipides liés à d'autres composants, en particulier peptidopolysaccharidiques, ce qui est en accord avec les données de la littérature. La méthode à également permis l'observation de structures microfibrillaires pariétales. Il s'agit surtout, d'une part, de fibrilles d'environ 50 Å de diamètre, situées dans les couches moyennes, également observables, après mise en oeuvre d'une technique d'extraction de polysaccharides sur cellules entières, et qui ont été assimilées à des fibrilles de ß 1–3 glucanes; d'autre part de fibrilles de 120 À de diamètre, situées au centre du septum de la cicatrice de bourgeonnement et qui ont été assimilées à des fibrilles de chitine.
A chemical method for lipid extraction has been applied to Candida albicans blastospores previously to their examination by transmission electron microscopy. The results led to the concept of a superficial location of lipids bounded to the peptidopolysaccharidic matrix of the cell wall. This lipid extraction also allowed us to describe cell wall microfibrillar structures. Two types of microfibrills have been particularly identified: (1) microfibrils of approximately 50 Å in diameter, involved in a network of the cell wall intermediate layers and supposed to correspond to ß 1–3 glucans; (2) fibrillar structures of 120 Å in diameter, similar to chitin microfibrils, observed in the bud scar septum.
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12.
Résumé On peut rendre horizontaux les rayons d'une ruche et verticaux ceux d'un nid de guêpes sans perturbations visibles pour l'élevage ou le comportement des ouvrières.Les abeilles réparent très facilement et immédiatement les trous creusés dans les cellules d'ouvrières ou de reines, elles posent sans difficulté un fond aux cellules d'ouvrières si on l'a enlevé. Elles tordent une lame de cire perpendiculaire aux rayons pour la mettre en position parallèle.Les abeilles peuvent déposer leur miel dans les trous d'une plaque de bois, dans des rayons de métal ou de plastique; elles peuvent élever leur couvain dans des rayons de plastique et leurs reines dans des cellules de verre ou de plastique. Les guêpes peuvent operculer avec du carton les rayons des abeilles. Les guêpes souterraines dont on vient de déterrer le nid le couvrent de terre et l'enterrent en creusant au-dessous. Si une plaque de métal glissée au-dessous s'y oppose, elles le reconstruisent peu à peu de manière à l'amener sur le bord de la plaque et à l'enterrer à nouveau.  相似文献   

13.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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14.
Résumé L'ultrastructure des plaquettes a été étudiée à l'aide de différentes techniques de fixation, d'inclusion et de coloration.L'association de la fixation au permanganate de potassium, à l'inclusion à l' Araldite et à la coloration à l'acétate d'uranyl s'est montrée très utile pour l'étude de ces éléments du sang.Avec cette méthode nous avons mis en évidence le glycogène des plaquettes. Cette substance se présente sous l'aspect de grains de 180 à 200 Å, très denses, très abondants, dispersés ou formant des agrégats de plusieurs centaines de grains dans la substance fondamentale.Selon les observations réalisées, la membrane des plaquettes est identique aux membranes cellulaires. Nous n'avons reconnu á l'aide des différentes techniques employées, aucune couche que l'on puisse identifier á l'atmosphère plasmatique périplaquettaire de Roskam. Nous avons admis que certains phénomènes dont l'explication reposait sur l'existence de cette atmosphére peuvent être expliqués par la capacité phagocytaire des plaquettes.Dans le granulomére des plaquettes de sang humain normal nous avons observé des granules en baguette de tambour que nous admettons pouvoir être des constituants normaux des plaquettes.Boursier du Centre d'Études d'Histologie et Embryologie Celestino da Costa de l'Institut de Haute Culture.  相似文献   

15.
Conclusion Les études biométrique et morphologique du couvain permettent de distinguer chezCoptotermes intermedius deux stades larvaires communs à la lignée des imagos et à celle des ouvriers. La lignée des soldats ne semble pas être différenciée dès le troisième stade.Ces résultats sont donc très différents de ceux qu'avait obtenusOshima avec l'espèceCoptotermes formosanus.  相似文献   

16.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

17.
Résumé Le service de Parasitologie de l'Université de NANTES s'est intéressé aux problèmes de Mycologie hospitalière, d'épidémiologie des mycoses ainsi que d'expérimentation sur les affinités fongiques, à l'échelon régional, et de 1963 à 1973.La contribution clinique a porté essentiellement sur les levuroses étudiées soit au niveau des cavités buccales irradiées, soit chez les malades des services de Réanimation où l'interprétation du rôle pathogène de Candida parapsilosis nécessite des épreuves immunologiques.Nous avons décrit une forme de Blastomycose chéloïdienne à Aureobasidium pullulans.Nos études morphologiques ont surtout porté sur l'observation au microscope électronique à balayage des ultrasculptures présentées par les champignons kératinophiles, ce qui nous a permis de distinguer les différentes espèces du complexe Microsporum gypseum. Il ne semble pourtant pas que cette technique d'observation permette de résoudre tous les problèmes. La conservation des Dermatophytes en eaudistillée par la méthode de Castellani s'est révélée particulièrement remarquable: une souche de M. gypseum a été récupérée après 6 ans de conservation par ce procédé.Notons, en matière d'épidémiologie la prédominance de Trichophyton rubrum sur T. mentagrophytes, survenue récemment: la recrudescence passagère d'Epidermophyton floccosum; la présence d'Arthroderma simii sur une plage. Une étude des champignons kératinophiles telluriques du massif armoricain a porté sur près de 3000 échantillons de terre, ce qui a permis de retrouver, assez rarement d'ailleurs, Arthroderma benhamiae.Nos expérimentations ont porté sur les réponses sérologiques et histologiques de lapins à une imprégnation aspergillaire par instillation intra-trachéale: les résultats obtenus ont été comparés aux examens sérologiques obtenus chez l'homme atteint d'aspergillose. Enfin, nous avons remarqué que le contact levures-cellules sarcomateuses opéré in vitro permet aux levures d'acquérir un pouvoir immunisant antitumoral par emprunt antigénique. La création d'un service de Parasitologie, Mycologie et Immunologie Parasitaire à l'Unité d'Enseignement et de Recherche des Techniques Médicales de NANTES nous a permis non seulement d'aborder les problèmes du diagnostic biologique des mycoses humaines, mais aussi d'entreprendre des enquêtes épidémiologiques dans la région nantaise ainsi que des expériences sur les affinités fongiques.
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18.
J. Dufrenoy 《Protoplasma》1930,11(1):303-311
Conclusions Les pédicelles des poils absorbants deDrosera, les nodosités radicales deMelampyre ou deMyrica, l'insertion des hampes florales de Phanérogames parasites, c'est-à-dire les organes qui servent plus spécialement à l'absorption, et qui sont la voie de transport de matières nutritives solubles, sont pauvres en bois: autour des vaisseaux ligneux, rares et peu différenciées, nous trouvons toujours, dans le tissu libérien, des cellules vivantes, allongées et disposées en files, contenant des vacuoles tanniques. Dans les pédicelles des poils deDrosera, nous savons depuisDarwin que le système vacuolaire se fragmente en une série de petites vacuoles filamenteuses lorsque les cellules sont le lieu de passage de matériaux nutritifs solubles (en particulier de protides).Des modifications identiques affectent le vacuome des cellules périvasculaires des nodosités radicales ou des hampes florales de Phanérogames parasites, et y font apparaître des formes filamenteuses de vacuoles analogues à celles qui caractérisent le «phénomène de l'agrégation». Ces vacuoles filamenteuses sont colorables vitalement par le rouge neutre. Elles sont mises en évidence, après fixation mitochondriale, sous forme de canalicules homologues des «canalicules de Holmgren» ou des «Canaux de Golgi».Ces vacuoles filamenteuses s'observent dans les territoires cytoplasmiques riches en mitochondries. Leur présence parait trahir la formation ou le passage de matériaux nutritifs solubles, et plus particulièrement, de protides solubles.  相似文献   

19.
After a chill (5°) period of >16 weeks, the mean post-chill time to initial hatch of eggs of the western corn rootworm, diabrotica virgifera, was 19 days; peak hatch occurred a mean of 5 days after the initiation of hatch, and hatch lasted a mean of 5 weeks. The postchill time to initial hatch was influenced negatively by chill periods lasting up to ca. 3 weeks; however, chilling for >3 weeks and <60 weeks did not significantly affect the time to initial hatch. The duration of hatch was not significantly altered by chill periods up to 4 weeks, however, no longer had an effect. The viability of rootworm eggs was not influenced by chill periods up to 12 weeks, but, as chill periods were extended beyond 16 weeks, the eggs slowly begin to lose viability; over a period of about a year, the viability had been reduced by 80%.
Résumé Après avoir été exposés, avant expérimentation, à un séjour de 2 semaines à une température de 20°–22°, des ufs de Diabrotica virgifera sont soumis à des périodes de refroidissement à 5°, variant de 1 à 60 semaines. La viabilité des ufs est appréciée après retour à une température d'incubation de 20°–22°, en analysant les variations qui affectent le délai d'apparition des premières et des dernières éclosions ainsi que le maximum journalier d'éclosions.Aprés un séjour à 5° d'une durée égale ou supérieure à 16 semaines les ufs de Diabrotica virgifera commencent à éclore en moyenne le 19ème jour suivant la fin du traitement; le maximum des éclosions intervient le 23ème jour (5 jours en moyenne après les premières éclosions), et celles-ci se prolongent pendant 5 semaines.Des périodes de refroidissement inférieures à 3 semaines réduisent le délai d'apparition des premières éclosions, mais ce délai n'est plus modifié de façon significative pour des périodes comprises entre 4 et 60 semaines.La durée pendant laquelle se prolongent les éclosions n'est pas altérée de façon significative par des traitements à 5° inférieurs à 4 semaines, mais celle-ci est nettement réduite aprés des traitements de 8 à 12 semaines. Cependant au-delà de 16 semaines, le refroidissement n'a plus d'effet.La viabilité des ufs de Diabrotica virgifera n'est pas modifiée par des traitements à 5° d'une durée inférieure à 12 semaines, mais celle-ci est affectée au-delà de 16 semaines et décroît régulièrement; le taux d'éclosion est réduit de 80% après un séjour à 5° de près d'un an.
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20.
Conclusion Ce travail a pour but de montrer l'importance de l'action de l'aneurine comme facteur de croissance; les différentes hypothèses relatives à l'absorption et à l'utilisation de cette vitamine sont discutées. L'hypothèse d'une resynthèse de l'aneurine est admise; cependant en considérant critiquement la question, à l'aide des données fournies par tous les microorganismes étudiés, on constate qu'un certain nombre de faits sont encore à expliquer si l'on veut justifier cette hypothèse; dans certains cas, la possibilité d'une action séparée des deux constituants peut être envisagée.En accord avec l'intervention possible de l'aneurine comme catalyseur d'oxydo-réduction, le thiazol semble spécialement important.On est en droit de parler d'un métabolisme des facteurs de croissance.L'étude de la plante supérieure, qui synthétise elle-même son aneurine indispensable peut nous apporter des arguments importants sur le métabolisme et la biosynthèse de l'aneurine. Toutes ces considérations sont basées sur l'étude de l'aneurine seule; nous savons pourtant que dans beaucoup de cas, elle agit de concert avec d'autres facteurs de croissance.  相似文献   

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