首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 15 毫秒
1.
Résumé Chez Diadromus pulchellus WSM et D. collaris Gr., Hyménoptères Ichneumonidés parasitoïdes spécialistes des nymphes d'A. assectella lépidoptère inféodé aux Allium, des EAG sont enregistrés en réponse à l'odeur du poireau sain ou attaqué par les larves du phytophage, odeurs actives par ailleurs sur leur comportement locomoteur (cinèses). Le thiosulfinate de dipropyle (Ti-P2) très spécifique et abondant dans les Allium, et instable, est le mieux perçu par les deux parasitoïdes mais n'a aucun effet locomoteur chez D. pulchellus contrairement aux disulfures et thiosulfonates, plus stables et moins spécifiques. Les propriétés de l'acétate d'éthyle, actif sur l'antenne des deux parasitoïdes, et sur la locomotion de D. pulchellus expliqueraient en partie les activités biologiques du poireau attaqué sur ces parasitoïdes. Des EAG sont aussi obtenus chez les deux espèces avec l'odeur du chou et de composés soufrés plus ou moins spécifiques des Crucifères. Le thiocyanate de méthyle (TCN-M), le plus actif sur l'antenne et seul efficace sur le comportement locomoteur (de D. pulchellus), expliquerait en partie l'installation reconnue de D. collaris sur Plutella maculipennis spécialiste des Crucifères et rend celle de D. pulchelles vraisemblable.L'odeur des larves de dernier stade d'A. assectella est seule efficace sur l'antenne et la locomotion des femelles de D. pulchellus. Les mâles de ce dernier réagissent (EAG, locomotion) à des odeurs de cocons de l'hôte et particulièrement à ceux occupés par une femelle de leur espèce.  相似文献   

2.
Female blowflies (Phormia regina Meigen) which had been fed either sucrose (S flies) or sucrose and yeast (SY flies) were tested for their response to novel odours in an actograph. All responded with an increase in activity. S flies were consistently more responsive than SY flies both in their increase in activity and in the number of different odours to which they responded significantly. S flies found food rapidly over a short distance when they were made active either by a stimulating odour or by mechanical agitation. Olfaction, rather than vision, was demonstrated to be the sense mediating the increase in activity.
Résumé Des effluves de banane, pomme, foie de buf et levure ont été testées en actographe contenant 20 femelles de Phormia regina de 2 à 9 jours. Ces mouches avaient été nourries antérieurement, soit sur sucrose seul à 0,1M (mouches S), soit sur sucrose (0,1M) et 10% de levure (mouches SY). L'activité des mouches croît quand les odeurs sont introduites, mais il en est de même quand le courant d'air pur est changé.L'augmentation de l'activité provoquée par la banane, la pomme, et la levure est significativement supérieure pour les mouches S, à celle provoquée par le changement du courant d'air (Fig. 1). Chez les mouches SY l'augmentation significative est observée avec la banane et la levure (Fig. 2). Les mouches S sont plus actives et répondent mieux que les mouches SY: Une goutte de levure dans un récipient avec des mouches S de 6 jours stimule leur activité et la goutte est trouvée rapidement (16 sec.). Des gouttes d'eau ou de sucrose ne stimulent pas l'activité, et les mouches mettent beaucoup plus long-temps pour les trouver (> 100 sec.). En secouant les récipients pour rendre les mouches actives on obtient une découverte des gouttes d'eau ou de sucrose aussi rapide que la découverte des gouttes de levures par les mouches non perturbées. Des mouches antennotectomisées, non perturbées, mettent 252 sec. pour trouver une goutte de levure, mais des mouches antennotectomisées et agitées artificiellement trouvent les gouttes presqu'aussi rapidement que les mouches normales non perturbées (Fig. 3).
  相似文献   

3.
Aphids (Brevicoryne brassicae (L.) and Myzus persicae (Sulzer)) were marked with 14C by feeding them on host plants (rape, Brassica napus L. var. oleifera and kale, Brassica oleracea L. var. acephala (D.C.) Alef.) which had been exposed to 14CO2. With concentrations of radioactivity in the leaves of 20–50 Ci per g wet weight, the adult aphids contained 5–10nCi of 14C after 2 days' feeding. The concentration of activity in the leaves decreased with a halflife of 6–12 days depending on the age of the leaves. The aphids lost much of their activity after removal to an unlabelled plant, retaining 20% of the initial activity after 8 days. The first progeny born had an activity of 3% of the initial activity of the parents, and those born after 8 days, 0.08%. The progeny retained 70% of this activity as adults.Parasites (Diaeretiella rapae (M'Intosh)) contained 2–4 nCi after developing from egg to adult in aphids labelled with 4–30nCi. Adult parasites contained 0.3nCi after feeding on labelled honey dew.In a field trial, marked aphids and parasites were identified amongst insects caught at 0.6 m and 6 m from a labelled plant. Also marked were the hyperparasites Alloxysta brassicae (Ashmead) and Pachyneuron aphidis (Bouché).
Résumé On a marqué avec du 14C les pucerons Brevicoryne brassicae (L.) et Myzus persicae (Sulzer) en les nourrissant sur des plantes hôtes Brassica napus L. var. oleifera et Brassica oleracea L. var. acephala (D.C.) Alef. exposées au 14CO2.La concentration de radioactivité dans les feuilles diminuait à la longue, la demi-vie biologique de l'isotope étant de 6 jours dans les feuilles jeunes et de 12 jours dans les feuilles mûres. Il n'y avait pas beaucoup de perte de 14C dans la plante entière pendant 2 mois, ce qui était indiqué par l'activité des pucerons qui se nourrissaient sur la plante à la fin de ce temps.Pour une concentration de radioactivité de 20–50 Ci g-1 dans les feuilles, l'activité des pucerons adultes était de 5–10 n Ci après 2 jours de nourrissement. Les pucerons perdaient beaucoup de leur activité après avoir été transportés sur une plante non-marquée, retenant 20% de la valeur initiale après 8 jours. Beaucoup d'activité perdue fut retrouvée dans des descendants marqués; ceux qui naquirent les premiers ayant une activité égale à 3% de l'activité initiale des parents; ceux qui naquirent 8 jours plus tard, de 0.08%. Les descendants retenaient 70% de cette activité comme adultes. La reproduction ne fut pas affectée si les parents contenaient 5 n Ci.Des parasites (Diaeretiella rapae (M'Intosh)) furent marqués de 2–4 n Ci après développement d'uf jusqu'à adulte dans des pucerons marqués de 4–30 n Ci. Des parasites adultes furent marqués de 0.3 n Ci en les nourissant du miellat excrété par ces pucerons.Dans un essai sur le terrain, une plante marquée dans le champ fut attaquée par des pucerons des deux espèces. Les insectes furent attrapés dans des pièges à succion placés à des distances de 0.6 m et 6 m de la plante marquée. Des insectes marqués, identifiés par leurs images sur un radiofilm, comprenaient des pucerons et des parasites. Des hyperparasites, Alloxysta brassicae (Ashmead) et Pachyneuron aphidis (Bouché) furent également marqués.

  相似文献   

4.
Changes in free phenylalanine and tyrosine content and metabolism in the ears of susceptible Bezostaya 1 and relatively resistant Atlas 66 winter wheat varieties after natural infestation by the grain aphid (Sitobion avenae) (F.) were investigated. After infestation the content of phenylalanine and tyrosine in the variety Atlas 66 was higher than in the susceptible cultivar Bezostaya 1. Attack by aphids also brought changes in the metabolism of phenylalanine and tyrosine in the tissues. A higher phenylalanine ammonia-lyase (PAL) and tyrosine ammonia-lyase (TAL) activity was observed in ear tissues of the more resistant variety Atlas 66. The changes in the activity of those lyases in Atlas 66 were strictly correlated with the increase of phenylalanine and tyrosine content after infestation.
Résumé L'étude a porté sur l'analyse des teneurs en phénylalanine et tyrosine libres et sur le métabolisme des épis de blés d'hiver, — sensible Bezostaya 1 et relativement résistant Atlas 66 —, après une attaque naturelle du puceron des grains, S. avenae F. Les teneurs en phénylalanine et en tyrosine d'Atlas 66 sont alors supérieures à celles de Bezostaya 1. Les attaques de pucerons provoquent des changements dans le métabolisme de la phénylalanine et de la tyrosine des tissus. Des activités phénylalanine ammonialyase (PAL) et tyrosine ammonialyase (TAL) ont été observées dans les tissus des épis de la variété la plus résistante, Atlas 66. Les modifications de l'activité de ces lyases dans les pieds du cultivar résistant Atlas 66 présentent une relation étroite avec l'accroissement des teneurs en phénylalanine et en tyrosine après la contamination.
  相似文献   

5.
A few populations of the pest of stored cereals, Sitophilus oryzae L., have evolved the ability to survive on toxic legumes. The mechanism of detoxification is shown to be very non-specific. Glutathione-S-transferases and monooxygenases play roles in the detoxification process. The techniques employed in the present study were unable to definitely implicate esterases.
Résumé S. oryzae est un ennemi bein connu des stocks de grains de céráles. L'aptitude de certaines souches géographiques de S. oryzae à survivre sur des graines toxiques de légumineuses a été examinée. Les mécanismes de détoxication, développés chez les insectes élevés sur Pisum sativum, sont très généraux et leur permettent de survivre sur une série de légumineuses. Les insectes élevés sur Triticum vulgare survivent très peu sur toutes les graines de légumineuses examineées et, sur ces aliments, les inhibiteurs de détoxication augmentent fortement la mortalité. Trois systèmes enzymatiques de détoxication ont éteéxamineés: les estérases, les glutathion-S-transférases et les monooxygénases. Les méthodes utilisées n'ont révélé aucune diffence dans les activités enzymatiques entre les insectes élevés sur blé (T. vulgare) et sur pois (P. sativum). Cependant, quand les insectes élevés sur blé sont forcés à consommer du pois, l'activité estérase augmente tandis que les activités transférase et monooxygénase sont réduites. La discussion porte sur les conséquences, en particulier évolutives, de la consommation de graines de légumineuses par S. oryzae.
  相似文献   

6.
Quantitative enzyme-linked immunosorbent assay (ELSIA) was used to detect antigens of the aphid Sitobion averae (F.) in the guts of Linyphiidae, Carabidae and Staphylinidae. The effects of temperature, both constant and variable, and size of meal on the detection period and antigen decay rate were studied in the laboratory. Predators fed freshly-killed aphids were subsequently kept at one of several temperature regimes for a period from 0 to 13 days before being assayed for aphid remains. The proportion of prey remaining at intervals after feeding was measured. Curves were fitted to transformed data and the detection period estimated. The rate of decline in detectable remains was temperature-related, with the rate increasing as temperature increased. Prey remains in Staphylinidae declined much faster than in either Carabidae or Linyphiidae. In all but one case the decline was exponential with time. Variable temperature regimes produced results very similar to those obtained under conditions of constant temperature. Meal size produced a considerable difference in the amount of aphid remains detectable but little difference in the rate of decline or the estimated detection period. Data of the above types are a prerequisite for postmortem quantification of predator meals.
Influence de certains facteurs sur la détection par ELISA de vestiges de pucerons à l'intérieur des prédateurs
Résumé La recherche d'antigènes du puceron Sitobion avenae F. a été effectuée dans les tractus digestifs de Linyphiidae, Carabidae et Staphylinidae par ELISA (adsorption des antigènes sur l'anticorps fixé et dosage par l'anticorps enzymatiquement marqué). Les influences de la température, —soit constante, soit périodique —, de l'importance du repas, du moment de la détection et de la vitesse de disparition des antigènes ont été examinées au laboratoire. Des prédateurs alimentés en pucerons tués depuis peu ont été conservés de un à 13 jours à defférents régimes de températures avant la recherche de vestiges de pucerons. Une courbe d'atalonnage a été établie pour permettre la conversion de la valeur de la densité optique observée en mg de vestiges de pucerons en fonction du temps écoulé depuis le repas. Les données ont été soumises à une transformation angulaire et les courbes ajustées pour estimer la période de détection.La vitesse de disparition de vestiges détectables a augmenté avec la température. Les vestiges ont disparu beaucoup plus vite dans les Staphylinidae que dans les Carabidae ou les Linyphiidae. A l'exception d'un cas, la disparition était une expontentielle du temps. Les thermopériodes ont produit les mêmes effets que les températures constantes. La taille du repas a provoqué des différences considérables sur la quantité de pucerons décelable, mais peu sur la vitesse de la disparition ou la durée de la période où la détection est possible. L'obtention d'informations de ce type est une condition préalable à toute quantification post-mortem des repas de prédateurs.
  相似文献   

7.
Many larvae from wild-caught female Glossina palpalis palpalis R.-D. treated topically with dieldrin or sumicidin or sumithrin or permethrin failed to pupariate and many larvae from mothers treated with sumicidin or sumithrin or neopynamin formed small or malformed puparia which failed to eclode. Puparia produced soon after maternal handling often did not emerge and many produced by flies starved more than 3 days also did not emerge. Very many puparia from dieldrin-treated mothers failed to emerge and non-emergence was common for puparia from flies treated with endosulfan or sumithrin or deltamethrin. Non-emerging puparia were produced soon after pyrethroid-treatment, probably due to effects on larval integumentand muscles, but were produced later after organochlorine-treatment, due to ingestion of insecticide by larvae while in utero.
Résumé Les expériences ont porté sur des femelles sauvages de Glossina palpalis palpalis R.D. capturées dans la nature. Les comparaisons ont porté sur l'état et les performances de lots de pupes provenant de mouches non-traitées et de larves mûres traitées localement avec de l'acétone (témoin) ou avec 14 insecticides différents.Toutes les larves témoin se sont nymphosées, mais le taux d'échec augmentait avec la diéldrine, la sumicidine, la sumithrine et la permethrine. Les pupes anormales (petites ou déformées) étaient plus nombreuses dans le lot témoin que dans le lot non-traité, et les fréquences étaient plus élevées que chez le témoin avec la sumidicine, la sumithrine et la néopynamine.Seulement 3 mouches sont issues de 107 pupes anormales; il n'y a eu aucune éclosion pour 28% des pupes du lot témoin contre 15% pour le lot non-traité. Pour le témoin le taux d'émergence était faible dans les pupes formées le premier jour (jour du traitement), par suite de la manipulation maternelle; il n'a pas augmenté jours 2 et 3, mais a diminué par la suite à cause du jeûne in utero. Les doses élevées de tous les insecticides réduisent plus les émergences que les doses faibles. Les organophosphates et le propoxur ne limitent pas les émergences, mais elles sont réduites par l'endosulfane, la sumithrine et la deltaméthrine, et très fortement par la diéldrine. Les pupes stériles ont été surtout formées dès le traitement aux pyréthroïdes (jour 1); et surtout plus tard (jours 2 et 3) lors des traitements aux organochlorés. L'ingestion par la larve in utero de grandes quantités d'insecticides pendant les 3 jours précédant la parturition était la principale cause de mortalité, et aussi de la forte tolérance aux organochlorés des femelles prégnantes. Les effets de pyréthroïdes sur l'activité musculaire réduisent aussi les émergences.Aucune mouche ne s'est alimentée après les traitements.
  相似文献   

8.
Glossina morsitans morsitans Westw. surviving 48 hr after topical doses of dieldrin, endosulfan or permethrin which killed 15% or 30% during this period in an initial bioassay, were investigated for subsequent effects of the insecticides. Males surviving 48 hr after exposure to dieldrin and endosulfan were subject to further mortality which reached 70%–80% by day 15. Permethrin had some influence on longevity but only later than day 30 after treatment. Females were less susceptible than males to these effects. Treated flies mated readily but early separation occurred more frequently in pairs including dieldrin or endosulfan-dosed males. This premature separation may impede insemination and ovulation. Mortality associated with mating in flies exposed to dieldrin and endosulfan in these experiments is attributed mainly to enforced activity following matual disturbance under the experimental conditions. Reproductive performance in treated females surviving mating was largely unaffected, except for a small reduction in the number of pupae produced by permethrin-treated females and some indication of reduced survival of pupae from females exposed to dieldrin. Minor effects of the solvent (butanone) and the insecticides on activity and on feeding were also demonstrated. These results show that permethrin has relatively little effect on flies surviving at 48 hr after exposure to a low dose, compared with dieldrin or endosulfan. It is suggested that the intrinsic toxicity of insecticides measured by conventional laboratory bioassay (based on mortality at 48 hr after dosing) may prove misleading if effects of low doses similar to those described here, make a significant contribution to the impact of insecticides on tsetse populations in the field.
Résumé Les effets latents de trois insecticides: dieldrine, endosulfan et perméthrine sont étudiés sur Glossina morsitans morsitans en utilisant les survivants après un délai de 48 h., à la suite d'applications topiques de doses qui tuent 15% à 30% des insectes pendant ce même laps de temps. Les mâles survivant 48h après l'application de dieldrine et d'endosulfan, montrent une mortalité ultérieure qui atteint 70%–80% au 15ème jour. La perméthrine a également une certaine influence sur la longévité, mais seulement au-delà du 30° jour suivant le traitement. Les femelles sont moins sensibles à ces effets que les mâles. Les mouches traitées s'accouplaient facilement mais la séparation survenait plus fréquemment pour les couples dont les mâles avaient été traités avec la dieldrine et l'endosulfan. Cette séparation prématurée peut empêcher l'insémination et l'ovulation. La mortalité associée à l'accouplement chez les mouches exposées à la dieldrine et à l'endosulfan dans ces expériences est principalement attribuée à l'activité accrue liée au dérangement mutuel dans les conditions expérimentales. Les performances de la reproduction chez les femelles traitées, survivantes après l'accouplement sont en grande partie inchangées, excepté en ce qui concerne une petite réduction du nombre de pupes produites par les femelles traitées à la perméthrine et quelque indication d'une survie réduite des pupes provenant de femelles traitées à la dieldrine. Des effets mineurs du solvant (butanone) et des insecticides sur l'activité et l'alimentation des mouches ont aussi été observés. Ces résultats montrent que la perméthrine a relativement peu d'effet par comparaison avec la dieldrine et l'endosulfan sur les mouches ayant survécu 48h après une application d'une faible dose. Il est suggéré que la toxicité intrinsèque des insecticides, mesurée par les méthodes conventionnelles de laboratoire (basées sur la mortalité 48h après l'application) peut se révéler erronée si des effects de doses faibles, semblables à ceux décrits ci-dessus, contribuent de façon significative à l'impact des insecticides sur les populations de Tsé-Tsé dans la nature.


The work was financed by the Ministry of Overseas Development.  相似文献   

9.
The settling behaviour of Aphis craccivora Koch, the vector of cowpea aphid-borne mosaic virus (CAMV) in cowpea, Vigna unguiculata (L.) Walp., on aphid-resistant, aphid-tolerant and aphid-susceptible cowpea lines was investigated. It was found that although apterae counts on the aphid-susceptible and aphid-tolerant lines were higher than on the aphid-resistant ones, apterae were more widely dispersed among the latter. Whereas there was a positive significant correlation between alatae numbers and incidence of CAMV in the aphid-susceptible and aphid-tolerant lines, this correlation was negative in the aphid-resistant ones. However, the incidence of CAMV was not significantly different from each other in all the lines. This indicated that aphid activity (e.g. wide dispersal) was more important in the spread of CAMV than the absolute number of viruliferous alatae, an effect which was manifested on the aphid-resistant lines.Aphids acquire CAMV more readily from aphid-susceptible and aphid-tolerant source plants than from aphid-resistant ones. The significance of this in relation to secondary spread of CAMV and the effect of noncolonising aphids are discussed.
Le comportement d'atterissage d'Aphis craccivora et l'acquisition du virus de la mosaïque transmis par puceron chez les variétés de niébe résistantes au puceron
Résumé Le comportement d'atterissage d'Aphis craccivora, vecteur du virus de la mosaique transmis par puceron (CAMV) sur Vigna unguiculata, a été examiné sur des variétés résistantes, sensibles ou tolérantes aux pucerons. On a observé que bien que les dénombrements d'aptères sur variétés sensibles ou tolérantes aient été plus élevés que sur variétés résistantes, les aptères étaient plus largement dispersés sur ces dernières. Tandis qu'il y avait une corrélation positive significative entre les nombres d'ailés et la présence de CAMV sur les variétés sensibles et tolérantes aux pucerons, cette corrélation était négative sur les variétés résistantes. Cependant, la fréquence de CAMV n'était pas significativement différente parmi toutes ces variétés. Ceci a montré l'activité des pucerons (c'est à dire leur dispersion) étail plus importante dans la diffusion du CAMV que le nombre absolu d'ailés virosés, effet qui était manifeste sur les variétés résistantes aux pucerons.Les pucerons contaminés au CAMV le sont plus par des plantes sensibles ou tolérantes aux pucerons que par des plantes résistantes. La discussion porte sur la signification de ceci en relation avec la diffusion secondaire de CAMV, et de l'effet des pucerons non colonisateurs.
  相似文献   

10.
Field and laboratory observations of the relationships between the performance of Elatobium abietinum (Walker), Homoptera, Aphididae, and various species of spruce were undertaken from January 1980 to April 1981. The study included sampling for aphids in established field plots of spruce during May and June respectively before and after the migration period in spring. The aphid's performance (weight and mean relative growth rate) at different seasons on pot grown plants of selected spruce species was monitored, covering, in all, 20 species of spruce.Aphid performance was greatest on the North American spruces, especially Picea sitchensis (Bong) Carr and P. mexicana Martinez; the Asian spruces were the least favoured, especially P. glehnii (Schmidt) Mast. Between these two geographical groups the Eurasian spruce species (sensu Wright, 1955) demonstrated an intermediate aphid performance.
Résumé Les observations dans la nature et au laboratoire sur les performances d'E. abietinum Walker et différentes espèces d'épicéas ont été effectuées de janvier 1980 à avril 1981. Les observations dans la nature comprenaient des prélèvements de pousses d'épicéa pour dénombrer les pucerons avant (mai) et après (juin) la période de migration du printemps. Les performances des pucerons (poids et taux moyen de croissance relative) ont été examinées à différentes saisons sur des plantes en pot sur un total de 20 espèches sélectionnées d'épicéas.Les performances du puceron ont été supérieures sur les espèces d'épicéa de l'Amérique du nord Picea sitchensis et P. mexicana; les espèces asiatiques étaient les moins favorables, particulièrement P. glehnii. Entre ces deux groups géographiques, les espèces eurasiennes (sensu Wright, 1955) ont permis des performances intermédiares chez les pucerons.
  相似文献   

11.
Six strains of yeasts were isolated from P. semipunctata larval gut in order to determine their role in insects nutrition. P. semipunctata larvae possess a rich glycosidasic equipment acting on oligosaccharides, heterosides and polysaccharides which is particularly characterized by an activity on hemicellulose. The yeast strains hydrolyze oligosaccharides, heterosides and some polysaccharides, such as starch and pectin, but no activity was detected on cellulose. -Glucosidase was secreted in the medium by all strains except one. B group vitamins were also secreted by the yeasts.
Résumé Six souches de levures ont été isolées du tube digestif de larves de P. semipunctata afin de déterminer leur rôle dans la nutrition de l'insecte. Les larves de P. semipunctata possèdent un riche équipment enzymatique agissant sur les oligosaccharides, les hétérosides et les polysaccharides (en particulier sur les hémicelluloses). Les souches de levures hydrolysent les oligosaccharides, les hétérosides et quelques polysaccharides, tels que l'amidon et la pectine, mais on n'a détecté aucune activité sur la cellulose. Toutes les souches, sauf une, excrètent dans le milieu de la -glucosidase. Enfin, ces levures excrètent également des vitamines du groupe B.
  相似文献   

12.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
  相似文献   

13.
Malathion resistance in the German cockroach has been examined with respect to its inheritance pattern and linkage relationship. A resistant strain was crossed reciprocally with an unmarked and two marked susceptible strains. The progeny from F1, F2 and backcrosses were tested for resistance to malathion by exposure to toxicant-impregnated filter paper, and were classified according to marker traits where appropriate. Malathion resistance (R-Mal) is inherited as a simple autosomal dominant trait. Linkage studies showed R-Mal to be independent of or in group IV, pld in group VI, and T(9, 10) Pw marking both groups III and VIII. A possible malathion-resistance mechanism for this insect is discussed.
Résumé La résistance de la Blatte germanique au malathion est réputée se manifester à la fois dans les conditions naturelles et dans les lignées élevées en laboratoire. Dans le présent travail cette résistance est étudiée en vue de déterminer le mécanisme de sa transmission héréditaire et de commencer à établir la carte chromosomique de ce caractère. Une lignée présentant un haut niveau de résistance au malathion est croisée avec une lignée sensible non marquée et avec deux autres lignées sensibles possédant un gêne marqueur. Les descendants de F1, de F2 et des croisements de retour sont testés pour leur résístance au malathion en soumettant les larves à un contact avec du papier filtre imprégné de malathion; ils sont classés en se rapportant aux caractères marqueurs. Les gênes marqueurs utilisés sont or sur le groupe IV, pld sur le groupe VI, et T(9, 10) Pw, marquant à la fois les groupes III et VIII. Les résultats montrent que les descendants F1 provenant de croisements réciproques sont identiques et ressemblent au parent résistant. Cette donnée ajoutée aux résultats concernant F2 et les croisements de retour avec les parents R et S, indique que la résistance au malathion est transmise comme un caractère dominant, monofactoriel et porté sur un autosome, caractère désigné R-Mal. Les études relatives au linkage du caractère R-Mal aves les gênes marqueurs, ont montré l'indépendance de R-Mal. II est suggéré que le mécanisme le plus probable de la résistance au malathion résulte d'une activité accrue de la carboxyesterase.
  相似文献   

14.
Phenyl and thienyl substituted phosphinates and phosphonates, analogues of dichlorvos, trichlorfon and naled, were examined for their in vitro anticholinesterase activities to heads of the Mediterranean fruit fly, and for toxicities to mice. The data obtained are evaluated in comparison with toxicity results by topical application to adult flies.
Résumé Les auteurs ont étudié la corrélation entre la toxicité de quelques nouveaux composés organo-phosphoriques envers les adultes de la mouche des fruits (Ceratitis capitata) d'une part, et leur pouvoir inhibiteur (in vitro) sur la cholinestérase de la tête et leur toxicité envers les souris d'autre part.Les composés étudiés sont les analogues phényl- et thiénylphosphoniques et-phosphiniques de dichlorvos (DDVP), trichlorfon (Dipterex) et naled (Dibrom).Tandis que les insecticides les plus puissants — dichlorvos, O-méthyl O-(2,2-dichlorovinyl) phénylphosphonate et naled — furent aussi les inhibiteurs les plus efficaces de la cholinestérase, les auteurs n'ont pas trouvé une pareille corrélation pour les autres composés. Ainsi, certains étaient assez bons comme insecticides par application topicale mais possédaient seulement un faible effect sur la cholinestérase. Contrairement, certains anti-cholinestératiques assez puissants ne montraient qu'un faible pouvoir insecticide envers les mouches adultes. Les nouveaux composés étaient cependant généralement plus actifs dans les essais in vivo que dans ceux in vitro.Une augmentation du poids moléculaire dans une série entraine aussi une perte d'activité. L'analogue thiényl-phosphonique du dichlorvos offre une exception intéressante.Les auteurs n'ont pas trouvé une corrélation entre le pouvoir anticholinestératique de ces composés et leur toxicité envers les souris.
  相似文献   

15.
Techniques for 32P labelling of larvae and adults of the screw-worm fly, Chrysomya bezziana, are described. Egg masses of labelled flies were readily identified. At the doses used for field releases, oviposition activity, fecundity, fertility and longevity of female flies were not adversely affected. Radioactive egg masses were recovered from sentinel animals following field release of labelled flies.
Résumé Cet article décrit les techniques utilisées pour marquer avec le 32p les larves et adultes de Chrysomya bezziana. Les pontes des mouches marquées ont été aisément identifiées. Aux doses utilisées pour le relâchement des insectes dans la nature, ni l'activité de ponte, ni la fécondité, fertilité et longévité des femelles n'ont été défavorablement modifiées. Les pontes radioactives ont été recueillies sur des animaux-pièges mis en place après le lâcher des mouches marquées.
  相似文献   

16.
Limonin and ten structurally modified limonins were evaluated as antifeedants against 4th instar larvae of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, in no-choice leaf dics assays. The epoxide and furan groups were shown to be essential structural requirements for high antifeedant activity.
Résumé Le pouvoir phagodissuasif de la limonine et de 10 limonines dont la structure avait été modifiée a été évalué sur des disques de feuilles de Solanum tuberosum offerts à des larves du 4ème stade de L. decemlineata. Aucune activité dissuasive n'ayant été observée avec le tétrahydrolimonine ou le déoxylimonine, l'anneau furane et le groupe époxy sont donc nécessaires pour obtenir cette activité. Ni la réduction de la fonction 7-kéto, ni la rupture de l'anneau A de la limonine n'ont eu d'effêt sur cette activité. La réduction des fonctions 16-carbonyl et 7-kéto de la limonine ont diminué l'activité, mettant en évidence une action possible de l'anneau D-lactone dans l'activité phagodissuasive. Tandis que la déépoxydation de la limonine entraîne une perte d'activité totale, une restauration partielle de cette activité a pu être obtenu par une réduction ultérieure de la fonction 7-kéto.
  相似文献   

17.
In continuation of previous work on Eugaster guyoni (Nielsen 1971) stridulation and locomotor activity has been investigated under various conditions of temperature and illumination.The theory of continuously increasing sensitization was further corroborated, and it is attempted to determine the relative thresholds of release and cessation of stridulation.The subspecies E.g. fernandezi from the Sahara is in its daily stridulation activity adapted to a higher temperature than E.g. berlandi from the Sous valley; however, at the same temperature the number of chirps per minute is the same in the two subspecies.
Résumé Les deux sous-espèces d'Eugaster guyoni, fernandezi du Sahara et berlandi d'Agadir, diffèrent par leur activité stridulatoire. La sous-espèce du désert semble être adaptée à une température plus élevée de 5° que celle d'Agadir (E. berlandi).Les très jeunes adultes ont une très grande activité locomotrice pendant que la stridulation se développe graduellement pendant une période d'une semaine. Il semble y avoir un certain degré d'inhibition réciproque entre les deux activités locomotrice ou stridulatoire.Dans des conditions semi-naturelles l'activité du matin et du soir dépend de la température maximum atteinte durant la période de repos vers la fin de matinée.En condition d'éclairage permanent, les périodes de stridulation alternent irrégulièrement avec celles de repos. La quantité d'activité dépend de la température.Avec une alternance de 12 heures de lumiére et 12 heures d'obscurité l'activité stridulatoire dépend de la température comme en codition d'éclairage permanent. Cependant cette activité se répartit de façon caractéristique en deux périodes précédant et suivant le changement d'éclairement.Avec 12 heures de pleine lumière et 12 heures de lumière atténuée il n'y a normalement qu'une seule période de stridulation qui se manifeste surtout pendant la phase de lumière atténuée. Pour une température donnée l'activité est plus grande en lumière faible qu'en pleine lumière ou en obscurité.Une tentative est faite, dans la discussion, pour établir les valeurs relatives de la sensibilisation aux différents seuils de déclenchement et d'arrêt de la stridulation.
  相似文献   

18.
In two trials using diary heifers, in the south of England, ear-tags, containing flucythrinate, completely controlled Haematobia irritans (L). Musca autumnalis De Geer on the face were reduced by 41% using one tag and by 76% using two tags per heifer. A single ear-tag reduced numbers of Hydrotaea irritans (Fallén) on the body by 90% and on the teats by more than 55%. Other minor pestering flies were similarly controlled. Control was sustained over the entire 14 weeks duration of the trials which effectively encompassed the fly season of the three main pests.Ear-flicks by the heifers were related to dislodging M. autumnalis from the face, and tail flicks to dislodging Hy. irritans from the belly. These are the two commonest species of nuisance flies and are known to carry pathogenic bacteria.A management plan intended to maximise effective use of insecticidal ear-tags while minimising risks of insecticide resistance is described.
Résumé Des boucles, contenant du flucythrinate, ont protégé totalement des génisses pour la production de lait contre Haematobia irritans L. lors de deux traitements expérimentaux dans le sud de l'Angleterre.Les effectifs de Musca autumnalis De Geer sur la face des génisses ont été réduits de 41% en utilisant un boucles et de 76% en utilisant deux. Un seul boucles réduit les effectifs d'Hydrotaea irritans Fallén de 90% sur le corps et de plus de 55% sur les pis. Les effectifs d'autres mouches nuisibles de moindre intérêt ont été réduits eux aussi. L'efficacité a été maintenue pendant les 14 semaines du traitement ce qui déborde efficacement le période de vol des 3 principales espèces de mouches nuisibles. Les battements d'oreille des génisses sont destinés à chasser M. autumnalis du visage, et les coups de queue à chasser H. irritans du ventre.Ce sont les deux principales espèces de mouches nuisibles connues comme vecteurs de bactéries pathogènes.Un programme est proposé pour optimaliser l'efficacité des boucles, tout en limitant les risques de résistance aux insecticides.
  相似文献   

19.
Host plant alteration of detoxication activity in Papilio glaucus glaucus   总被引:3,自引:0,他引:3  
Host plant alteration of activity of midgut detoxication enzymes was measured in larvae of the eastern tiger swallowtail, Papilio glaucus glaucus L. (Lepidoptera: Papilionidae). Larvae were reared from hatching to the fifth stadium on leaves of black cherry (Prunus serotina Ehrh.), tulip tree (Liriodendron tulipifera L.), paper birch (Betula papyrifera Marsh.), white ash (Fraxinus americana L.), or basswood (Tilia americana L.). O-Demethylase activity varied up to 16-fold, microsomal esterase activity varied up to 6-fold, and microsomal glutathione transferase varied up to almost 5-fold among larvae fed the various host plants. In contrast, cytochrome c reductase, soluble esterase, and soluble glutathione transferase activities varied only 1.8-, 2.1-, and 2.2-fold, respectively. Overall detoxication enzyme activity was highest in larvae fed tulip tree and lowest in larvae fed basswood. Induction varied qualitatively and quantitatively among the enzyme systems assayed. Some patterns of induction were related to allelochemical profiles of the plants and nutritional status of the larvae.
Résumé La modification des principaux systèmes de détoxification de l'intestin moyen par la plante consommée a été évaluée chez les chenilles de P. glaucus glaucus. Les chenilles ont été élevées dès l'éclosion sur feuilles de Prunus serotina Ehrh., Liriodendron tulipifera L., Betula papyrifera Marsh., Fraxinus americana L. et Tilia americana L. Les chenilles du cinquième stade (de 3 à 6 jours) ont été pesées, dessécheées et leur intestin moyen extrait pour préparation enzymatique. L'activité polysubstrate monooxygénase (PSMO) a été déterminée par des dosages à la cytochrome c réductase et à la O-déméthylase, l'activité estérase a été mesurée par dosage au 1-naphthyl acétate et la glutathion transférase a été mesurée par des dosages au 1-chloro-2,4-dinitrobenzène (CDNB) et au 2,4-dichloro-1-nitrobenzène (DCNB).L'ordre de performance de développement des chenilles a été P. serotina > L. tulipifera > B. papyrifera > F. americana > T. americana. Les activités PSMO les plus fortes ont été observées chez les chenilles élevées sur L. tulipifera, et les plus faibles sur celles qui ont consommé T. americana. L'activité des estérases solubles a été la plus élevée chez les chenilles ayant consommé L. tulipifera, et la plus faible chez les chenilles nourries de T. americana. L'activité glutathion transférase soluble a été la plus forte chez les chenilles élevées sur B. papyrifera, et la plus faible sur les chenilles élevées sur P. serotina, tandis que l'activité glutathion transférase microsomale a été la plus forte chez les chenilles élevées sur D. tulipifera, et la plus faible chez les chenilles èlevées sur T. americana (dosage au CDBN). L'activité totale de détoxification enzymatique élevée des chenilles nourries de L. tulipifera provenait probablement de l'abondance de différentes substances allélochimiques chez cette espèce; la faible activité totale chez les larves nourries de T. americana a pu provenir de leur basse valeur alimentaire.
  相似文献   

20.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号