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1.
Résumé Chez Diadromus pulchellus WSM et D. collaris Gr., Hyménoptères Ichneumonidés parasitoïdes spécialistes des nymphes d'A. assectella lépidoptère inféodé aux Allium, des EAG sont enregistrés en réponse à l'odeur du poireau sain ou attaqué par les larves du phytophage, odeurs actives par ailleurs sur leur comportement locomoteur (cinèses). Le thiosulfinate de dipropyle (Ti-P2) très spécifique et abondant dans les Allium, et instable, est le mieux perçu par les deux parasitoïdes mais n'a aucun effet locomoteur chez D. pulchellus contrairement aux disulfures et thiosulfonates, plus stables et moins spécifiques. Les propriétés de l'acétate d'éthyle, actif sur l'antenne des deux parasitoïdes, et sur la locomotion de D. pulchellus expliqueraient en partie les activités biologiques du poireau attaqué sur ces parasitoïdes. Des EAG sont aussi obtenus chez les deux espèces avec l'odeur du chou et de composés soufrés plus ou moins spécifiques des Crucifères. Le thiocyanate de méthyle (TCN-M), le plus actif sur l'antenne et seul efficace sur le comportement locomoteur (de D. pulchellus), expliquerait en partie l'installation reconnue de D. collaris sur Plutella maculipennis spécialiste des Crucifères et rend celle de D. pulchelles vraisemblable.L'odeur des larves de dernier stade d'A. assectella est seule efficace sur l'antenne et la locomotion des femelles de D. pulchellus. Les mâles de ce dernier réagissent (EAG, locomotion) à des odeurs de cocons de l'hôte et particulièrement à ceux occupés par une femelle de leur espèce.  相似文献   

2.
The mechanisms adopted to ensure mating success, fertility and fecundity of E. insulana (reared in the laboratory on an artificial diet) were studied. Male moths mate only once a night but mate several times (mean 4.2) during their life span. Females will mate up to 3 times per night and an average of 2.6 times over their life span. One spermatophore can nevertheless be sufficient for a female to lay fertile eggs throughout her life with no reduction in potential fecundity.A female moth is ready to mate by the second night after emergence. The preoviposition period is greatly prolonged in unmated females. Thus if mating is delayed up to about the 9th night, eggs are saved to be laid, after mating, as fertile eggs. If mating is delayed to a greater extent, thus occurring after egg laying has already begun, the potential reduction in reproduction is not very great, because of the low daily (and total) egg-laying rate before mating and the increased longevity of unmated females.It appears reasonable to expect egg production to be substantially reduced only when a marked reduction in the effective proportion of adult males in a population is achieved.
Résumé Cette étude porte sur les mécanismes qui assurent le succès des accouplements, la fertilité et la fécondité d'E. insulana, élevé sur aliment artificiel en laboratoire.Les papillons mâles s'accouplent plusieurs fois (en moyenne 4, 2) au cours de leur vie mais seulement une fois par nuit et 2,6 fois en moyenne au cours de leur vie. Un seul spermatophore peut néanmoins être suffisant pour permettre à une femelle de pondre des oeufs fertiles tout au long de sa vie, sans réduction de sa fécondité potentielle.Un papillon femelle est apte à s'accoupler dès la 2ème nuit après l'émergence. La période de préoviposition est très prolongée chez les femelles non accouplés. Ainsi, si l'accouplement est retardé jusque vers la 9ème nuit, les oeufs sont conservés et peuvent être pondus après accouplement en demeurant fertiles. Si l'accouplement est retardé plus longtemps, après que la ponte ait déjà commencé, la réduction potentielle de la reproduction n'est pas très grande, en raison du faible taux de ponte journalier avant l'accouplement et de la longévité accrue des femelles vierges.Il semble que l'on quisse s'attendre à une réduction substantielle de la ponte seulement quand intervient une nette diminution du nombre des mâles présents dans la population
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3.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
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4.
Résumé Quand on croise la femelle parthénogénétique de Luffia ferchaultella avec le mâle de L. lapidella, la femelle pond des ufs qui sont pour la plupart inséminés. Le nombre des spermatozoïdes pénétrant dans l'uf est variable, parfois très élevé. L'uf effectue les divisions de maturation de l'espèce parthénogénétique et le rétablissement précoce du nombre diploïde de chromosomes qui lui est propre. La maturation se termine par la formation de deux noyaux diploïdes, un pronucleus et un polocyte. Le spermatozoïde se transforme en pronucleus comme il l'aurait fait dans l'uf normal de lapidella. La fusion du pronucleus diploïde femelle et du pronucleus haploïde mâle a été observée fréquemment. Le noyau triploïde qui en résulte se divise normalement.Les spermatozoïdes surnuméraires survivent pendant les premières divisions de segmentation sous forme de fuseaux métaphasiques. Ils peuvent fusionner entre eux. Le polocyte peut dégénérer de diverses façons ou effectuer une division au moins. Le problème de la participation éventuelle des noyaux mâles et du polocyte à la formation de l'embryon est discuté.Ces observations cytologiques sont comparées aux résultats génétiques de ce croisement. Les ufs non inséminés évoluent en femelles parthénogénétiques et les ufs triploïdes en individus intersexués.
After mating of the parthenogenetic female of Luffia ferchaultella with the male of Luffia lapidella, the female lays its eggs, which are mostly inseminated. The number of sperms which enter the egg may vary, it is sometimes very high. The egg makes two meiotic divisions, the first one being restitutive as usual in L. ferchaultella and restoring the diploid chromosomal number. The meiosis ends with the formation of two diploid nuclei, the pronucleus and the polar body. The sperm turns quite normally into a male pronucleus. The fusion of the diploid female pronucleus and the haploid male pronucleus has been frequently observed. The resulting triploid nucleus divides normally. The supernumerary male nuclei are to be seen as metaphasic spindles during the first cleavage divisions. They happen to fuse two by two. The polar body usually degenerates. It may divide at least once normally. The question of the survival of male nuclei and polar body and their possible participation in the formation of the embryo is being discussed. The cytological data are compared with the genetical results of the crossing. The parthenogenetic females result from the non-fertilized eggs and the intersex individuals from the fertilized triploid eggs.


Travail subventionné par le Fonds national suisse de la Recherche scientifique.

Au Professeur Seiler, qui a inspiré et suivi ce travail, en témoignage de reconnaissance et d'affection à l'occasion de son quatre-vingtième anniversaire.  相似文献   

5.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

6.
New strains of O. fasciatus, reared at 30°C either on seeds of sunflower (strain S) or mixed sunflower and cashew nuts (strain CS), were used. Females of wild (+) or mutant (wb) genotype were mated in various sequences with + males (some of them chemosterilized or castrated) or wb males. Eggs of each clutch laid were counted and characterized as: infertile, or non-viable (apparently fertile but unable to hatch), or hatching into + or wb nymphs. Mating with a second male (except a castrate) causes partial or complete replacement of the spermathecal store of spermatozoa provided by the first male. A model of the replacement mechanism is proposed, which suggests that a volume of semen five times greater than the capacity of the spermatheca must be transferred by the male to cause the complete disappearance of the previous store of sperm.In the absence of males, or in the presence of castrate males, fertile eggs may be laid for at least 5 weeks but in most cases the store of sperm becomes exhausted sooner. The minimum store of sperm (estimated from the total count of viable eggs) is highly variable (40–400, mean 180). The percent of viable eggs in successive egg-clusters declines proportionately as the sperm store is reduced from 60 to 0.
Résumé En vue d'analyser les conséquences d'accouplements successifs chez Oncopeltus fasciatus, on a utilisé des femelles de deux souches: l'une de type sauvage (+), l'autre correspondant à un mutant à corps blanc (wb, mutant autosomique récessif). Ces femelles subissent des croisements alternés avec les mâles de l'une ou l'autre souche; en outre, certains mâles utilisés étaient soit castrés chirurgicalement (effet de l'accouplement sans transfert de sperme), d'autres avaient subi une application topique d'un chimiostérilisant (tetramine) pouvant donner des ufs fécondés, mais non viables.L'accouplement avec un second mâle (sauf un castré) provoque le remplacement partiel complet dans la spermathèque du stock de spermatozoïdes issu d'un premier mâle. Un modèle du mécanisme de remplacement est proposé selon lequel un volume de sperme 5 fois plus grand que la capacité de la spermathèque devrait être introduit par le second mâle pour assurer la disparition complète du dépôt précédent.En l'absence d'accouplement renouvelés, ou en présence de mâles castrés la ponte d'ufs fécondés peut durer au moins 5 semaines, mais dans la plupart des cas le dépôt de spermatozoïdes s'épuise plus tôt. Le stock minimum de spermatozoïdes, estimé d'après le nombre total d'ufs viables, est très variable (40–400, moyenne 180). Le pourcentage d'ufs viables dans les pontes successives diminue proportionnellement à la réduction de ce stock au-dessous d'un minimum de 60.
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7.
Résumé La sexualisation de la gonade chezViviparus viviparus se manifeste d'abord au niveau morphologique: tandis que l'ovaire s'organise en un tubule très peu ramifié, à large lumière, le testicule compact bourgeonne de nombreuses excroissances. Dans l'ovaire les cellules non germinales, futures cellules folliculeuses, se mettent en place autour des cellules germinales et les processus de la préméiose débutent précocement. Au contraire plusieurs étapes se succèdent au cours de la morphogenèse de la gonade mâle: après une phase d'intense multiplication cellulaire, accompagnée de la ramification du testicule, la lumière se creuse par dégénérescence des cellules centrales. Contre la lame basale, les cellules non germinales évoluent en cellules nourricières tandis que se différencient les spermatogonies primaires. La différenciation des premiers gamètes mâles est tardive.  相似文献   

8.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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9.
Résumé Des cellules germinales primordiales de Dindon, transférées par injection intravasculaire à des embryons de Poulet préalablement stérilisés, peuvent subir une maturation complète dans les gonades de l'hôte et fournir des gamètes plus ou moins aptes à la fécondation.Les spermatozoïdes résultants ont fécondé des oeufs de poule avec une fréquence plus grande que les spermatozoïdes normaux de Dindon, mais sans permettre un développement embryonnaire plus important ou plus normal. Cependant, on n'est pas parvenu à leur faire féconder des oeufs de dinde.Les ufs résultants ont montré parfois un vitellus anormal et n'ont été pondus que durant 7 mois. Mis en présence de spermatozoïdes de coq, ils ont été quelquefois fécondés (ou peutêtre simplement activés), mais ils n'ont jamais fourni d'embryons. Fécondés par des spermatozoïdes de Dindon, ils ont fourni des embryons, parfois anormaux, qui ont atteint dans le meilleur cas le 15è jour d'incubation (stade 38 HH). Certainespraepennae de l'embryon qui a atteint ce stade montraient une pigmentation rouge brun qui ne peut pas être déterminée par le génotype du zygote (celui d'un Dindon de race blanche) et qui rappelle le phénotype de la mère nourricière (une poule rouge brun).A la suite de transferts intraspécifiques de cellules germinales primordiales, on a pu obtenir la maturation d'ovocytes de Rhode Island Red à l'intérieur d'un ovaire de Wyandotte Blanche (chez deux poules) et vice versa (chez une poule). La ponte a également été possible, mais à une fréquence souvent inférieure à la normale.Lorsqu'une poule Wyandotte Blanche, portant des ovocytes de Rhode Island Red a été accouplée à un coq Rhode Island Red normal, le duvet de leurs descendants s'est montré plus clair que celui des poussins Rhode Island Red dans un cas, mais il a été remplacé ensuite par un plumage rouge brun conforme au génotype.Lorsqu'une poule Rhode Island Red, portant des ovocytes de Wyandotte Blanche a été accouplée à un coq Wyandotte Blanche normal, le duvet de leurs descendants n'a jamais été conforme au génotype. Il présentait toujours du pigment noir plus ou moins étendu et, dans un cas, du pigment rouge brun, qui sont tous deux présents chez la mère nourricière. On ne connaît ni l'origine ni le mécanisme d'un tel transfert de pigments, qui ne représente peut-être qu'un effet transitoire affectant le duvet de la première génération. La crête, quant à elle, s'est toujours montrée conforme au génotype d'origine.
Reproductive capacity and offspring of chickens submitted to a transfer of primordial germ cells during embryonic life
Summary Turkey primordial germ cells transfered by intravascular injection to previously sterilized chick embryos can undergo complete maturation inside the host's gonads and can give rise to gametes which are more or less suitable for fertilization.The resulting spermatozoa fertilized hen eggs at a higher frequency than normal turkey spermatozoa, but without allowing a longer or a more normal development. However, it was impossible to fertilize turkey eggs with them.The resulting eggs sometimes had an abnormal-looking yolk and were laid during the first 7 months only. Brought in contact with chicken spermatozoa, they were fertilized (or perhaps merely activated), but they never gave rise to embryos. Fertilized by turkey spermatozoa, they developed into embryos, sometimes abnormal, which in the best case reached the 15th day of incubation (stage 38 HH). Somepraepennae of the latter embryo showed a red-brown pigment which cannot be determined by the genotype of the zygote (a white turkey's) and which resembled the phenotype of the foster mother (a red-brown hen).After intraspecific transfer of primordial germ cells, maturation of Rhode Island Red oöcytes inside a Wyandotte White ovary (in two hens) and vice versa (in one hen) was achieved. Laying was also possible but often at a lower frequency than normal.When a Wyandotte White hen bearing Rhode Island Red oöcytes was mated with a normal Rhode Island cock, the down of their offspring looked brighter than Rhode Island Red chicken's in one case, but it was subsequently replaced by red-brown feathers according to the genotype.When a Rhode Island Red hen bearing Wyandotte White oöcytes was mated with a normal Wyandotte White cock, the down of their offspring was never in agreement with the genotype. It always showed a black pigment over more or less large areas and, in one case, a red-brown pigment, both of which were present in the foster mother. The origin and the mechanism of such a transfer of pigments are not understood. It might represent merely a temporary effect acting upon the down of the first generation. As far as the comb is concerned, it was always in agreement with the original genotype.
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10.
Le composant principal de la sécrétion phéromonale produite parla femelle vierge de Acrolepiopsis (Acrolepia) assectella Zell. a été identifié par chromatographie en phase gazeuse, spectrométrie de masse, tests électrophysiologiques et olfactométrie comme étant l'hexadécène-11Z al (Z11HDal). Ce composé est le plus actif en électrophysiologie parmi tous les autres acétates, alcools, aldéhydes et formiates, de C12 à C18, éprouvés sur l'antenne du mâle et il est capable de produire chez ce dernier une séquence comportementale sexuelle complète en olfactomètre à tube. Dans la nature, des capsules en caoutchouc chargées à 1 mg de Z11HDal (plus 10% d'antioxydant) attirent sélectivement les mâles et sont compétitives avec des femelles vierges. L'isomère E (E 11HDal) est environ 104 fois moins actif tandis que l'acétoxy-1 hexadécène-11Z (Z11HDA) et l'hexadécène-11Z ol-1 (Z11HDol) inhibent le pouvoir attractif du Z11HDal.
Summary The main component of the sex pheromone secretion produced by virgin females of A. assectella has been identified as Z-11 hexadecenal (Z11HDal) by GC analysis and mass spectrometry, EAG tests, and behavioural assays. Z11HDal elicited the highest EAG response of all C12 to C18 acetates, aldehydes, formates and alcohols tested, and induced a typical sequence of male sexual behavioural responses in olfactometer tests. In the field, traps baited with 1 mg Z11HDal on rubber septa (with 10% antioxidant) attracted male moths selectively and were competitive with virgin females. The E isomer (E 11HDal) was 104 times less attractive, whereas Z11-hexadecenyl acetate and Z11-hexadecen-1-ol, in admixture with Z11HDal strongly inhibited male responses.
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11.
The oviposition preference of the European Corn Borer Ostrinia nubilalis Hbn. Lepidoptera pyralidae was studied in relation to phenological stages of different plant species (Zea mays L., Helianthus annuus L., Phaseolus vulgaris L.). The experiments were done in greenhouses in binary choices. The results show that the plant phenological stages were more important than the plant species in the insect oviposition preference. When the choice was given between two plant species throughout their growth, the preference varied in relation to the development of each species. The relative differences in fructose amounts found on the leaf surfaces (phylloplane) were highly correlated with the insect oviposition preference. Amounts of proline, glucose and sucrose may accentuate this previous effect.
Résumé Cette étude porte sur l'évaluation de l'importance de la phénologie des plantes dans le choix interspécifique de la pyrale du maïs (Ostrinia nubilalis Hbn.) pour pondre. Les expériences ont été poursuivies en serre en choix binaires sur plantes entières. Le choix entre le maïs et le haricot a été donné à l'insecte en différentes combinaisons de stades phénologiques. Les résultats montrent que c'est la phénologie qui gouverne la préférence plus que l'espèce végétale. Au cours de la croissance simultanée du maïs et du haricot d'une part, du maïs et du tournesol d'autre part, l'espèce préférée par la pyrale change. A certaines associations de stades phénologiques il n'y a pas de préférence entre les deux espèces, qui reçoivent alors autant de pontes l'une que l'autre.Des substances biochimiques hydrosolubles telles que les glucides et acides aminés libres présentes en surface des feuilles (phylloplan) ont été étudiées en corrélation avec le comportement de choix de site de ponte de la pyrale. Les différences relatives des quantités de fructose entre les deux espèces composantes du choix sont hautement corrélées avec la préférence de l'insecte. L'effet de cette substance est accentué par les différences relatives des quantités de proline, glucose et saccharose.
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12.
The minimum number of sperm stored in the spermatheca of many individual females of Oncopeltus fasciatus (maintained at 20°–22° C on milkweed seed), estimated from the total count of fertile eggs laid after mating and isolation, is variable (100–1000, mean 400). This variability may result from very slow sperm transfer and the highly variable duration of copulation. Spermatozoa can survive at least 5 months, but the reserve is often completely depleted by egg fertilization. There is no correlation between the number of sperm stored and the egg production rate. The percentage of fertile eggs remains high (95%) while the number of stored sperm is above 100, but then falls linearly; this suggests that fertilization may be monospermic.
Résumé Le nombre d'ufs fertiles et infertiles déposés par des femelles d'Oncopeltus fasciatus, isolées après accouplement, a été compté chaque semaine, en vue d'évaluer la quantité et la longévité des spermatozoïdes stockés dans leur spermathèque. Quand une femelle cesse de pondre des ufs fertiles, un nouveau mâle est introduit afin de vérifier si, après un second accouplement cette femelle peut utiliser un nouvel apport de spermatozoïdes. Les estimations obtenues correspondent à un minimum car il est supposé qu'un seul spermatozoïde est utilisé pour la fécondation de chaque uf.Le nombre moyen de spermotozoïdes stockés a été de 370 pour un lot de 26 femelles, après un seul accouplement, mais on observe cependant une très grande variabilité (100–1000). Cette variabilité peut résulter de la lenteur du transfert des spermatozoïdes au cours de l'accouplement et dépendre ainsi de la durée de l'accouplement. Les spermatozoïdes peuvent survivre au moins 5 mois mais la réserve est souvent complètement utilisée pour la fertilisation des ufs. Il n'y a pas de corrélation entre le nombre de spermatozoïdes stockés et la fécondité. Le pourcentage d'ufs fertiles reste élevé (95%) tant que le nombre de spermatozoïdes en réserve est au-dessus de 100, mais régresse ensuite de façon linéaire audessous de ce nombre. Cela suggère que la fertilisation peut bien être monospermique.
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13.
The diapause biology of the European corn borer (ECB), Ostrinia nubilalis (Hübn.), is described based on natural and controlled environment studies of feral and lab-reared ECB's in North Carolina (NC). The diapause response is described as a function of photophase (h of light/day) as well as a function of larval age (instar) at onset of diapause-inducing conditions. A critical photophase of 14.4 h and a critical mean larval instar of 3.3 is found in the lab studies and supported by three years of insectary studies. Seven years of black light trapping of ECB moths in Goldsboro, NC, revealed the likelihood of up to four moth flights/year.Information about the diapause biology of this insect is used to explain both the number of flights and the relative magnitude of the final moth flights. On average, the majority of ECB lineages pass through three generations/year with early maturing ECB's producing a significant and predictable fourth generation. The timing and magnitude of the fourth flight can be partly explained on the basis of the critical photophase and the timing and age structure of previous ECB generations. In most years, the fourth flight is smaller than the third due to the majority of the fourth generation's predisposition towards diapause. However, in at least one case (1977), the fourth flight was unusually large and could be predicted by slight temporal shifts in the previous three flights resulting in the majority of the fourth generation larvae averting diapause. The value of the ECB-diapause interaction as a model system for the explanation and prediction of dynamic phenological events is discussed.
Résumé La diapause d'O. nubilalis Hubn. est décrite d'après des études en conditions naturelles et programmées de souches sauvages ou élevées au laboratoire en Caroline du Nord. La diapause est décrite comme une fonction de la photophase (heures de jour/24 heures) et du stade larvaire au début des conditions inductrices de la diapause. Une photophase critique de 14,4 h et un stade critique larvaire de 3,3 ont été établis au laboratoire après 3 ans d'études en insectarium. 7 ans de piégeage à la lumière noire à Goldsboro, ont montré la vraisemblance de l'existence de 4 vols par an. Les données sur la diapause de cet insecte sont utilisées pour expliquer tant le nombre de vols que l'importance relative des derniers vols. En moyenne, la majorité des lignées ont 3 générations par an, O. nubilalis précoces produisant une quatrième génération conséquente et prédictible. La data et l'importance du 4ème vol peuvent être partiellement expliquées d'après la photophase critique, et la data et la structure en âge des générations précédentes. La plupart des années, le 4ème vol est moins important que le 3ème par suite de la prédisposition à la diapause de la majorité de la 4ème génération. Cependant, dans un cas au moins, en 1977, le 4ème était anormalement important et pouvait être prédit par de faibles changements temporels dans les 3 précédents vols, détournant de la diapause la majorité des chenilles de 4ème génération. La discussion porte sur la valeur du modèle fourni par la diapause de O. nubilalis pour expliquer et prédire la dynamique des évéments phénologiques.
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14.
Résumé Le spermatozoïde de Lithobius forficatus L. a été étudié grâce aux microscopes électroniques, classique et à balayage. Le spermatozoïde a une longueur d'environ 2 mm et comprend deux parties: la tête, avec l'acrosome et le noyau, et la queue, divisée en zone de liaison, pièce intermédiaire et pièce terminale.L'acrosome, entouré par du matériel fibrillaire exogène, a environ 4 de long sur 0,2–0,3 de large. Le noyau spiralé (300 à 400 de long) est constitué d'un axe fibrillaire et d'une spire granulaire dans la région postérieure. La zone de liaison est composée de la partie basale différenciée du noyau et des parties antérieures du complexe flagellaire et de la pièce intermédiaire. La pièce intermédiaire, particulièrement longue (1,5 mm environ) est formée par le flagelle entouré de ses gaines et du manchon mitochondrial. La pièce terminale est un court prolongement flagellaire (6 à 7 ). Les spermatozoïdes matures (prélevés dans les vésicules séminales) ont une structure mitochondriale légèrement différente de celle des spermatozoïdes prélevés dans le testicule.
Ultrastructural study of the spermatozoa of Lithobius forficatus L. (myriapoda chilopoda)
Summary The spermatozoon of Lithobius forficatus was investigated by transmission and scanning electron microscopy. The spermatozoon has a length of about 2 mm long, it is subdivided into a head with acrosome and nucleus, and a tail with a connecting piece, a middle piece and an end piece.The acrosome, surrounded by exogenous fibrillar material is about 4 long and 0.2–0.3 wide. The spiral nucleus (300–400 in length) consists of a fibrillar axis and of a whorl of granular material in the posterior part. The connecting piece is composed of the basal differentiated part of the nucleus and the anterior parts of the flagellar complex and middle piece. The latter is particularly long (about 1.5 mm) and consists of the flagellar complex and the mitochondrial sheath.The flagellar end piece is short (6–7 ). Mature spermatozoa (seminal vesicles) have a mitochondrial structure slightly different from those within the testis.
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15.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

16.
Des relations sont recherchées entre les caractéristiques des grains de 58 variétés de riz paddy et leur sensibilité aux quatre principaux ravageurs primaires des stocks: Sitophilus oryzae, Sitophilus zeamais, Rhyzoperta dominica et Sitotroga cerealella. L'étude confirme la prépondérance de l'herméticité des glumelles comme facteur de résistance, et établit que les cassures mécaniques des enveloppes sont des voies de pénétration plus régulières que le défaut de coaptation entre lemma et palea. L'égrenage se révèle être un facteur de sensibilité à S. cerealella aussi déterminant que le défaut de fermeture des glumelles, car lié d'une part à la dureté du pédoncule par lequel les larves de cet insecte peuvent pénétrer, d'autre part au taux de casse des enveloppes provoqué par le battage plus ou moins intense qu'il nécéssite. S'agissant de riz non décortiqué, les caractéristiques des enveloppes expliquent pour une très large part la variabilité de la résistance aux insectes étudiés, dont le développement n'est que faiblement influencé par les caractéristiques propres du grain, tels le format ou la teneur en eau.  相似文献   

17.
Résumé Les réponses E.A.G. d'Acrolepiopsis assectella Zell., Lépidoptère Hyponomeutoïdea spécialiste des Allium, montrent une sensibilité à l'odeur de la plante-hôte larvaire A. porrum saine ou attaquée, et à ses composés volatils soufrés spécifiques, toutes odeurs actives dans l'attraction des deux sexes en olfactomètre. Le Ti-P2, le plus abondant et le plus spécifique du végétal est toujours le plus efficace. Ceci confirme le rôle prépondérant des substances allélochimiques soufrées dans la recherche de la plante-hôte. Une réactivité antennaire plus ou moins importante est également enregistrée avec l'odeur de certaines plantes non-hôtes (chou et tomate). L'antenne du lépidoptère est également très sensible à certains produits volatils du complexe odorant vert des végétaux qui sont identifiés dans l'odeur du poireau, le cis-hexen-3-ol-1 le plus actif est aussi le seul à être attractif. Le rôle biologique exact des composés verts et l'interférence de l'odeur complète de la plantehôte avec celle de plantes non-hôtes, telle que la tomate, efficace sur l'antenne et sur le comportement sont discutés.  相似文献   

18.
The relative importance of three factors-mating, nutrition, and crowding-in regulating the reproductive biology of Dysdercus fasciatus Signoret, D. nigrofasciatus Stål and D. cardinalis Gerst. was studied under standard laboratory conditions. Observations on mated and virgin females of these three species of Dysdercus showed that there were no significant differences in pre-oviposition period and inter-oviposition period. In D. fasciatus and D. nigrofasciatus there was, further, no significant difference in the rate of oocyte development; but D. cardinalis differed from these two species in that mating had a profound effect on the rate of oocyte development and consequently on the first oviposition. However, in all three species of Dysdercus mating had a significant effect on the number of eggs produced in each batch, the egg batches of mated females being significantly larger than those produced by virgin females. Further, in both D. fasciatus and D. nigrofasciatus virgin females lived longer than mated females but in D. nigrofasciatus mating had no significant effect on adult longevity. Mating activity was drastically reduced in starved adult bugs. But where it occurred under these conditions, mating did not have any effect on the development of the oocytes, even in D. cardinalis. Under starvation conditions, growth proceeded up to the stage where yolk deposition would normally occur, then stopped; the oocytes showed no signs of degeneration or oosorption. Crowding of female adults led to the acceleration of oocyte development and the onset of oviposition in all three species. These findings are discussed in relation to the known field biology of the three Dysdercus species.
Résumé La biologie de la reproduction de 3 espèces de Dysdercus du Kenya a été étudiée au laboratoire. Des 3 espèces, D. fasciatus Signoret présente les périodes les plus courtes de pré-copulation et de pré-oviposition. Puisque cette espèce est inféodée à un relativement petit nombre de plantes-hôtes, qui ont une courte saison de fructification procurant alors une ample source de nourriture, elle tire un avantage maximum de la brièveté de cette période favorable, grâce à la réduction des phases de pré-copulation et de pré-oviposition.Par contre D. nigrofasciatus Stål est adaptée à un très grand nombre de plantes hôtes et pour elle il n'est pas indispensable d'avoir une très grande capacité de reproduction. Cela s'applique encore mieux à D. cardinalis Gerst. qui a une plus longue période de pré-copulation et de pré-oviposition. Cette espèce préfère les plantes qui sont dispersées sur une grande superficie et cela exige une longue période de vol exploratoire avant de s'alimenter et de se reproduire.Chacune de ces 3 espèces s'accouple de façon presque continue, mais les observations faites au laboratoire montrent que l'accouplement n'a aucun effet notable sur la longévité des adultes, sur la durée des phases de pré-oviposition ou d'inter-oviposition et sur le nombre total d'ufs pondus chez D. fasciatus et D. nigrofasciatus. Chez D. cardinalis, au contraire, l'accouplement a un effet important sur la vitesse de croissance des ovocytes, mais non sur les autres aspects de la reproduction évoqués ci-dessus.Le rassemblement en masse des femelles adultes accélère le développement des ovocytes et déclenche la ponte dans chacune des 3 espèces de Dysdercus.L'alimentation a un effet sur le développement des ovocytes. De jeunes femelles adultes doivent être alimentées pendant au moins 3–4 jours avant de déposer leur première ponte. Après chaque ponte une alimentation plus abondante est encore nécessaire pour assurer le maintien de la production d'ufs. Les femelles de chacune des 3 espèces peuvent survivre avec de l'eau pure mais leurs ovocytes arrêtent leur développement au stade où normalement se dépose le vitellus, mais ils ne sont pas résorbés.
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19.
This paper determines reproductive limits and variation in performance of male twospotted spider mites Tetranychus urticae Koch when virgin females are provided ad libitum over the first eight days of adult life. Theree phases of male reproduction were studied: copulations, insemination and reproduction. An average one day old male copulated 15 times, inseminated 15 females, and contributed to 336 daughters. All parameters declined with age. The average male inseminated 70 females and contributed to 1145 daughters in the first days. Variability between males was small for all parameters considered. These data suggest that the number of sperm transferred at each insemination, rather than the number of inseminations, is the limiting step to higher male reproductive output.
Résumé La reproduction est un processus qui nécessite généralement un mâle et une femelle. Cependant la biologie des populations ne s'est traditionnellement intéressée qu'à la contribution des femelles dans ce processus. Un effet de cet accent sur les femelles est que l'activité reproductrice des mâles a été très ignorée. Cet article examine, dans un contexte démographique, l'activité reproductrice des mâles de T. urticae, acarien arrhénotoque et phytophage. Trois séquences de l'activité reproductrice des mâles ont été examinées: 1) la copulation, 2) l'insémination, 3) la reproduction.En moyenne un mâle de 1 jour a copulé 15 fois, inséminé 15 femelles et a eu 336 filles. Pendant les 8 premiers jours, le mâle moyen a inséminé 70 femelles et a eu 1145 filles. Ces résultats suggèrent que le nombre de spermatozoïdes transférés à chaque insémination, plus que le nombre d'inséminations, est le facteur limitant d'une forte contribution du mâle à la reproduction.
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20.
L'influence de la photopériode sur le développement de la chrysope Tjederina gracilis (Schneider) a été étudiée an laboratoire. Les photopériodes constantes ne provoquent jamais d'arrêt du développement jusqu'au stade imaginal. Par contre ces photopériodes constantes ainsi que la combinaison jours longs suivis de jours courts, entraînent toujours une inhibition de l'oviposition consécutive à une diapause reproductrice. La reprise de la ponte peut toutefois survenir spontanénent.Le transfert des insectes au cours de leur développement, ou pendant la vie imaginale, de jours courts ou moyens vers des jours longs, permet d'éviter ou de rompre la diapause. Les valeurs minimales agissant sont de 16 h de lumière pour les jours longs et de 2 h pour la discrimination.Les exigences photopériodiques sont comparées avec celles d'autres espèces à diapause imaginale (Chrysoperla).  相似文献   

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