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1.
Hylobius abietis migrates by flight to new breeding habitats early in summer. Flight speed and height, wind speeds during flight, and flight direction in relation to wind were studied in the field. Flight duration estimates were obtained from flight mill experiments. Using these data dispersal distances of the females in a population were calculated. According to this tentative estimate a majority of the weevils migrated more than 10 km, and some as far as 80 km, during the entire flight period.
Aire de dispersion de Hylobius abietis (Coleoptera — Curculionidae)
Résumé Hylobius abietis émigre par vol vers de nouveaux habitats tôt en été. La vitesse et la hauteur de vol, la vitesse du vent pendant le vol, et l'orientation du vol en fonction du vent ont été étudiées dans la nature. Après l'envol de nombreux adultes s'élèvent au-dessus des arbres et volent orientés dans le sens du vent, ce qui est certainement une adaptation aux dispersions à distance par le vent. La vitesse de vol est de 1,9 m/s par rapport à celle de l'air. Les captures avec des pièges à succion ont fourni des indications sur la vitesse du vent pendant le vol; en combinant ces données avec les mesures de la vitesse du vol elle-même, une estimation de la fréquence relative des vitesses de disperison a été obtenue.L'estimation de la durée du vol a été obtenue en laboratoire par des expériences avec un moulin de vol. A partir de ces données les distances de dispersion des femelles dans une population ont été calculées. Selon ces essais d'estimation, la majorité des insectes émigrent à plus de 10 kilomètres et certains vont jusqu'à 80 kilomètres pendant l'ensemble de la période de vol.
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2.
The responses of gravid female cabbage root flies, Delia radicum (L.), to brassica odour and allylisothiocyanate (ANCS) presented in either a discrete plume or uniformly dispersed in air passing through a wind tunnel were investigated. Relatively fast, straight flights occurred in diffuse odour conditions, while in discrete plumes flights were slower with more frequent changes of direction.Flies maintained a constant ground speed and track angle over the straight legs of their flight tracks in two different wind speeds by changing air speed and course. As flies approached an odour source in a discrete plume ground speed was progressively decreased and frequency of turning increased but track angles remained constant. This was achieved by reducing air speed and course angle.Flies released at increasing distances from an odour source moved upwind towards it in a series of short flights, the number relating to distance.The results are discussed in the light of current theories of anemotactic odour source locations and a sequence of orientated behaviour for host plant finding is proposed.
Les réactions olfactives de Delia radicum à l'allylisothiocyanate volatil émis par les plantes-hôtes
Résumé L'étude a porté sur les réactions de femelles fécondées de Delia radicum L. à l'odour de chou et à l'allylisothiocyanate (ANCS) offerts, soit sous forme d'un fin panache, soit uniformément répartis dans l'air traversant un tunnel à vent.Avec une odeur diffuse les vols étaient relativement rapides et rectilignes, tandis qu'avec un fin panache les vols étaient plus lents avec des changements de direction plus fréquents.En présence de deux vitesses du courant d'air les mouches ont maintenu leur vitesse au sol et leur angle de vol par rapport à la direction du déplacement constants en modifiant leur vitesse de vol et leur direction.Quand les mouches approchaient de la source odorante dans un fin panache, la vitesse au sol diminuait progressivement et la fréquence des virages augmentait, les angles de vol restant constant. Ceci était obtenu en réduisant de la vitesse de l'air et l'angle du déplacement.Les mouches paraissent utiliser une anémotaxie optomotrice et mécanique pendant la localisation de l'hôte. Les résultats sont discutés à la lumière des théories classiques sur la localisation anémotactique des sources odorantes.
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3.
The possible usefulness of sex pheromones for controlling Adoxophyes orana (F. v. R.) has been tested in field experiments.The mating frequency of the female moths and the period of flight activity in the night have been determined. Light trap catches and random samples showed that 50–60% of the female moths mated once only and 22–37% mated twice. The percentage of virgin female moths was 4–8. These percentages were fairly constant throughout the whole summer flight period, except during the first days. Old female moths were especially attracted to the light trap. A. orana is a typical night flier with its maximum activity around midnight, as shown by light and sex traps. The length of the flight period depends on the length of the dark period.Some comparative catching experiments with sex traps were carried out. More males were caught in traps which contained two instead of one virgin female, or which contained more female equivalents. More than two virgin females per trap did not increase the catches. Mating caused considerable decrease in female attractiveness which recovered partly after a period of oviposition.Minimum night temperatures below 12° C lowered the flight activity and also the sex trap catches. The wind is a determining factor for the upwind orientation of the male moths to the attractive females. The ratio of moths caught flying upwind: flying downwind was 80 : 20 at wind velocities below 7m/sec; at wind velocities above 7m/sec this ratio altered to 60 : 40. More overshootings and downwind casts took place. During a preliminary release experiment all male moths were recaptured in the section of the area upwind from the release centre.
Résumé L'utilisation possible des phéromones sexuelles pour la lutte contre Adoxophyes orana a été testée dans une série d'expérimentations dans la nature.La fréquence des accouplements et la période d'activité de vol des papillons femelles ont été précisées. Les récoltes aux pièges lumineux et les échantillonages faits au hasard ont montré que 50 à 60% des femelles ne s'accouplaient qu'une fois, et 22 à 37% deux fois. Le pourcentage des femelles vierges était de 4 à 8%. Ces pourcentages furent à peu pr`es constants pendant toute la période de vol au cours de l'été, sauf durant le début de saison. Les femelles âgées étaient spécialement attirées par les pièges lumineux. A. orana est un insecte typiquement nocturne, dont l'activité de vol est maximum vers minuit, comme le révèlent les captures avec les pièges lumineux ou les attractifs sexuels. La durée de la période de vol dépend de la longueur de la nuit.Quelques expériences comparatives de capture avec des pièges à base d'attractifs sexuels ont été réalisées. Les mâles sont capturés en plus grand nombre dans les pièges contenant 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, ou qui contenaient davantage d'attractif sexuel. Le nombre de mâles capturé ne s'accroît pas plus si le piège renferme plus de 2 femelles vierges. L'attraction des femelles diminue considérablement après leur accouplement, mais se manifeste à nouveau partiellement après une période de ponte.Une température nocturne inférieure à 12° diminue l'activité de vol et le rendement des pièges sexuels. Le vent est un facteur déterminant, car les mâles s'orientent face au vent pour repérer et rejoindre les femelles attractives. La proportion des papillons capturées volant vent debout ou vent arrière est de 80 : 20 quand la vitesse du vent est inférieure ou égale à 7 m/sec. ; pour les vitesses du vent supérieures à 7 m/sec. cette proportion est modifiée et passe à 60 : 40. Plus la vitesse du vent s'accroît et dépasse cette valeur, plus on capture d'insectes emportés par le vent. Au cours d'expériences préliminaires de lâchers de papillons mâles, tous ceux-ci ont été recapturés dans la zone balayée par le vent à partir du point de lâcher.
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4.
The effects of diet during the fifth stadium on performance of adult N. viridula were determined through comparing growth, fecundity, and duration of tethered flight of insects reared on four axenic diets: fresh green bean, raw-shelled peanut, a combination of the two and soaked soybean seed. Females reared on the combination diet were heavier than those reared on green beans and oviposited more than those reared on peanuts. Three-day-old adult females reared on peanuts flew longer than those reared on green beans. More females reared on diets containing mature seed showed a capacity for extended flight and had larger fat bodies at 34-days postemergence. Thus, inadequate diet during the fifth stadium irreversibly affected growth, development, reproduction and flight capacity.
Résumé Les effets du régime alimentaire pendant le 5ème stade sur les performances imaginales de N. viridula ont été déterminés en comparant la croissance, la fécondité, la durée du vol captif, et l'accumulation de corps gras chez des insectes élevés sur 4 régimes stérilisés. A partir de la formation des larves de 5ème stade, elles ont été alimentées sur haricots verts et arachides, ou transférées sur un régime formé exclusivement d'arachides, ou de haricots verts, ou de graines de soja trempées, cependant la durée du 5ème stade. Les insectes ont été transférés sur un régime de haricots verts et arachides à leur émergence.Les femelles élevées continuellement de haricots verts et arachides étaient plus lourdes (P<0,01) à l'émergence (161,6 mg) que celles élevées sur haricots verts (146,3 mg) pendant le 5ème stade, et pondent plus d'oeufs (P<0,08) pendant une durée de 34 jours (100,9 oeufs) que celles élevées sur arachides (54,7 oeufs). Plus de femelles élevées sur haricots verts et arachides (76,2%) pondent que celles élevées sur arachides (61,1%), soja trempé (62,5%), ou haricots verts (60,9%).Les femelles élevées sur arachides volaient plus longtemps (P < 0,01) (42,9 mn) que celles élevées sur haricots verts (19,8 mn) pendant des vols captifs le 3ème jour après l'émergence. 78% de toutes les femelles élevées sur arachides volaient >-30 mn, contre 50% pour celles élevées sur haricots verts et arachides, ou soja trempé, et 35% pour celles élevées sur haricots verts. Seulement 7% des femelles élevées sur haricots verts volaient à la 60ème minute à la fin du test, contre 25% pour les femelles soja trempé, 33% pour les femelles haricots verts et arachides, et 47% pour celles élevées sur arachides. Les femelles ont été disséquées 34 jours après l'émergence pour déterminer l'importance du corps gras. Les indices de corps gras (Kiritani, 1963) montraient que les femelles élevées sur arachides (1,8) et graines de soja (1,7) ont apparemment un corps gras plus développé que celles élevées sur haricots verts et arachides (1,5), our haricots verts (1,2), pendant le 5ème stade.Ces résultats montrent que l'alimentation pendant le dernier stade larvaire de N. viridula affecte irréversiblement la croissance, la fécondité et l'aptitude au vol des femelles. En estimant que des résultats semblables auraient été obtenus avec des insectes élevés sur ces 4 aliments depuis l'éclosion, haricots verts et arachides constituent le meilleur aliment pour l'élevage de N. viridula. Ce régime fournit une graine mûre, vraisemblablement nécessaire pour l'accumulation d'un corps gras suffisant et une aptitude au vol migratoire, et une plante verte qui fournit les aliments apparement essentiels à l'ovogenèse.
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5.
Rearing larvae of Ips calligraphus (Germar) (Coleoptera: Scolytidae) in bolts of typical slash pine, Pinus elliottii Engelm. var. elliottii, with thin (TN; 0.5–1.5 mm) phloem (inner bark) relative to adult beetle body width significantly reduced body weight and lipid content of emerging adults compared with thick (TK; 2.5–3.5 mm) phloem-reared adults. Unmated (pre-nuptial) TK beetles averaged 2-fold longer daily and life-time flight duration than TN beetles. Daily flights were highly variable, averaging <20 min (longest daily flight=173 min). TK and TN beetles initiated flight, and the greatest number flew, on the first or second day after emergence form their rearing bolt; % of beetles flying and survival gradually declined to zero by day 9. Males (both TK and TN) averaged 2.5 days of flight, ca. 1 day longer than females. Fliers lived ca. 2-fold longer than non-fliers. Among TK and TN fliers, significant but weak positive correlations occurred between body weight and lifetime flight duration. Poor correlation between lifetime flight duration and longevity suggests little physiological cost to flight, but effects on fecundity were not assessed. Flight by mated, egg-laying (post-nuptial) beetles was substantially delayed (peaking on day 6), suggesting degeneration and subsequent regeneration of flight muscles.
Résumé Le comportement de vol d'Ips calligraphus GERMAR (Scolytidae) a été examiné au laboratoire par une technique de vol captif. La génération parentale avait été artificiellement introduite, suivant la taille des adultes (1,6 à 2,1 mm) dans des morceaux de Pinus elliottii Engelm. variété elliottii au phloeme épais (TK=2,5 à 3,5 mm) ou fin (TN=0,5 à 1,5 mm) les larves se sont développées dans ces morceaux de pin. Le poids et la teneur en lipide des adultes obtenus à partir de TN étaient significativement inférieure à ceux de TK. Le poids des mâles les plus gros a été plus réduit que celui des femelles; les mâles les plus petits semblaient être moins efficaces dans l'initiation des attaques sur les arbres, et les femelles les plus petites ont eu une fécondité réduite.Les durées de vol quotidiennes pendant la vie des mâles TK vierges étaient en moyenne deux fois plus longues que celles des mâles TN. Les durées de vol quotidiennes étaient très variables: en moyenne moins de 20 minutes, mais la plus longue a été de 173 mn. En moyennes les adultes TN et TK ont commencé à voler, et volaient en plus grand nombre, le premier et le second jour après l'émergence. Ensuite la fréquence d'adultes volants et le pourcentage de surviveants, ont graduellement diminué jusqu'à tomber à zéro le neuvième jour. Les mâles TN et TK avaient des vols quotidiens plus longs et volaient environ 1 jour de plus que les femelles. L'activité de vol accrue des mâles reflète leur besoin de trouver dans la nature des arbres convenables; les vols des femelles peuvent généralement être plus brefs, étant plus directement orientés comme une réponse aux phéromones mâles.Les voiliers ont vécu environ 2 fois plus longtemps que les non-voiliers. Parmi les voiliers TK et TN il y avait une corrélation positive étroite entre le poids du corps et la durée totale des vols. Il n'y en a qu'une faible corrélation entre cette durée totale des vols et la longévité, suggérant un faible coût physiologique du vol. L'influence de cette durée des vols et du prélèvement consécutif de lipides sur la fécondité n'a pas été examinée. L'initiation au vol chez les individus fécondés a été sérieusement retardée (maximum le sixième jour) par rapport aux vierges, ce qui suggère un dégénérescence des muscles du vol associée à la reproduction, suivie d'une régénération importante, comme cela a été signalé chez d'autres Scolytes.Ces résultats contribuent à notre compréhension des facteurs conditionnant le comportement de vol et d'autres aspects fondamentaux de la biologie des insectes des pins. Une telle connaissance est nécessaire au développement d'une politique efficace de protection.
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6.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
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7.
The freeflight behavior of Carpophilus hemipterus (L.) (Coleoptera: Nitidulidae) was investigated in a vertical flight chamber to measure takeoff propensity relative to beetle age and to determine the effect of food odors on phototactic orientation. A high-pressure sodium lamp presented from above induced a phototactic flight response, especially in beetles 3–7 days old. The majority of phototactic flights lasted less than 15 min for both males (73%) and females (85%), but ranged up to 100 min. A bimodal periodicity in flight propensity was recorded during the photophase with a small peak in activity occurring 14–10 h prior to scotophase and a large 4 h peak occurring from 3 h prior to scotophase to 1 h after when the onset of scotophase would normally have occurred. Beetles maintained with water as adults usually displayed higher levels of flight activity than did beetles maintained with artificial diet.After a period of vertical flight, photokinetic and phototactic response declined, and flight instability increased, as indicated by an overall decrease in the mean rate of climb, accompanied by an increase in the variability of this measure and an increase in horizontal displacement.When food odor (apple cider vinegar) was introduced the rate of climb dropped rapidly and beetles usually landed regardless of how long they had been in flight. When the food odor was removed, takeoff occurred and the beetle returned to its previous rate of climb. When food odor was repeatedly introduced during the same flight, there was no apparent cumulative effect, and each time it was removed, the beetle re-initiated phototactic flight. Unlike true migratory flight in which response to vegetative cues is temporarily inhibited until the insect has engaged in a period of phototactic flight, C. hemipterus flight could be better characterized as extended foraging in which phototactic flight is readily interrupted by encounters with food odor.
Résumé Le comportement de vol libre de C. hemipterus L. a été examiné dans une chambre à vent verticale pour déterminer la tendance au vol après l'émergence et observer l'influence de l'odeur d'aliments sur le vol phototactique. Une lampe à haute pression de sodium induit une réponse de col phototactique, qui débute le 3e jour et reste puissante jusqu'au 8e jour. La majorité des vols phototactiques duraient moins de 15 pour les mâles (73%) et les femelles (85%), mais pouvait se prolonger jusqu'à 100. Les femelles nourries sur régime artificiel présentaient la plus forte proportion de vol dépassant 35. Cependant, les adultes maintenus exclusivement en présence d'eau ont présenté un niveau d'activité de vol encore supérieur. Une tendance au vol à périodicité quotidienne bimodale a été notée avec un petit pic d'activité à 14–10 heures avant la scotophase et un grand pic durant 4 heures, de 3 heures avant la scotophase à une heure après le début de la scotophase.Après une période de vols verticaux, les réactions photocinétiques et phototactiques ont diminué, et l'instabilité des vols augmenté comme en a témoigné la diminution du taux total d'ascensions et l'accroissement de la variabilité de ce paramètre et des déplacements horizontaux. L'introduction d'odeurs d'aliments pendant le vol phototactique provoque une diminution immédiate du taux d'ascension et conduit généralement à un atterrissage indépendamment du temps antérieur de vol. Quand l'odeur était supprimée le décollage avait lieu et l'insecte retrouvait sont taux antérieur d'ascension. Quand la même odeur d'aliment a été réintroduite à répétition pendant le même vol, il n'y a pas eu d'effets cumulatifs apparents. Par opposition avec d'autres insectes présentant un véritable comportement migrateur pour lesquels la désinhibition des réactions végétatives ne se produit qu'après une longue période de locomotion continue, le vol de C. hemipterus est mieux caractérisé comme un comportement de prospection pour lequel les aliments inhibent immédiatement la dispersion.
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8.
We tested the hypothesis that Rhagoletis pomonella females exhibit a greater propensity for engaging in long distance (i.e.1000 m) flight following encounters with egg-infested oviposition-deterring-pheromone (ODP) marked host fruit than similar females that encounter uninfested, clean (i.e. no ODP) fruit. Female flies which were first tethered to flight mills were presented with and permitted to explore (a) ODP-marked or (b) clean fruit and then stimulated to fly. Results showed that females that had encountered a high rate of infested, ODP-marked fruit displayed long distance flight more frequently and flew greater average distances than females that had searched uninfested fruit. We discuss there results in light of contemporary foraging theory.
Résumé La réponse d'insectes à leurs phéromones de dissuasion (ODP) est examinée généralement à un seul niveau de prospection, c'est-à-dire celui de la ressource individuelle elle-même. Ces marqueurs chimiques peuvent, cependant, fournir aussi des informations au prospecteur sur la disponibilité en ressources, tant au niveau de l'inflorescence qu'au niveau de l'habitat. Une telle information influence vraisemblablement le comportement de prospection à différents niveaux.Dans cette note, nous vérifions l'hypothèse que la rencontre avec des hôtes marqués par ODP influence la tendance de Rhagoletis pomonella (Dipt: Tephrit) à entreprendre des vols importants (c'est-à-dire interhabitats). Nous avons montré dans des expériences de laboratoire que les femelles lors de trois rencontres consécutives avec des fruits marqués par ODP: 1) entreprenaient plus fréquemment (19 cas sur 81 contre 6 sur 81) un vol à longue distance (c'est-à-dire 1000 m) et 2) parcourient des distances moyennes supérieures à celles couvertes par des femelles ayant eu la possibilité de prospecter successivement trois fruits propres (sans ODP).Nous engageons le lecteur à examiner nos résultats d'un point de vue qualitatif. Nous ne pouvons nous attendre à ce qu'un vol à longue distance se produise aussi facilement dans la nature qu'au laboratoire, étant donné le plus grand nombre de variables (par exemple, la taille de l'arbre) qui peuvent y modifier le vol réel.Pour terminer, nous discutons les coûts et bénéfices potentiels qui peuvent résulter de ce comportement.
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9.
The cocoa-capsid Distantiella theobroma flies from its canopy substrate spontaneously but when disturbed first falls 1.2 to 1.9 m before flying. Adults are capable of flight 18 to 20 hr after the final moult. Flight is directly sunwards when the sun is low, but when it is high the bugs fly upwards in spirals and zigzags. Flight is terminated by the sight of vertical objects. Mean flight speed is 3.1±0.5 m/sec at 23°. Potential range is at least 1.1 km in females, 2.3 km in males. The other cocoa-capsid, Sahlbergella singularis, differs in being markedly nocturnal in its dispersal flights. Males fly far more often than females.Other factors affecting flight are discussed and the implications of the flight potential for control methods are mentioned. No part of Ghana's cocoa is out of range of colonisation by either species.
Résumé Le Capside du Cacao Distantiella theobroma s'envole spontanément et directement de son support, mais quand l'insecte est dérangé, il se laisse d'abord tomber et ne prend son vol qu'après une chute de 1,2 à 1,9 m. Les adultes sont capables de voler dans un délai de 18 à 20 h. après la dernière mue. Leur vol est orienté en direction du soleil quand celui-ci est bas sur l'horizon, mais s'il est haut l'insecte s'élève vers le ciel en effectuant des spirales et zig-zags. La vue de tout objet vertical provoque l'arrêt du vol et la pose sur ce support. La vitesse moyenne du vol est de 3,1±0,5 m/sec. à une température de 23°. Le rayon de vol est au moins de 1,1 km pour les femelles et de 2,3 km pour les mâles. L'autre punaise du cacao Sahlbergella singularis diffère de la précédente, ses vols de dispersion étant nettement nocturnes. Les mâles volent beaucoup plus souvent que les femelles.D'autres facteurs affectant le vol sont également discutés ainsi que les conséquences des potentialités de vol pour la mise au point de méthode de lutte. Toutes les zones du Ghana où se trouvent des plantations de cacao sont dans le périmètre de dispersion de chacune des deux espèces.
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10.
Comparisons were made of the preferences shown by non-protein-fed females, protein-fed gravid females, and non-protein-fed males of the house fly, given choices between sucrose solution and either l-leucine or sodium phosphate buffer.In choice tests where non-protein-fed females showed little preference, protein-fed females and males both showed a strong preference for the sucrose solution. The findings suggest that l-leucine and sodium phosphate buffer are recognised by non-protein-fed females as indicators of nutrients for ovarian development.
Résumé Les choix alimentaires de 3 catégories de M. domestica: femelles n'ayant pas consommé de protéines, femelles à ovaires développés alimentées sur protéines, mâles n'ayant pas consommé de protéines, ont été examinés par leur absorption de solutions dans une paire de potomètres.Elles avaient le choix entre, d'une part une solution de sucrose et, d'autre part une solution de L. leucine ou d'un tampon de phosphate de soude.Pour les expériences où les femelles non préalablement alimentées sur protéines ne présentent aucune préférence, les femelles alimentées sur protéines et les mâles préfèrent nettement la solution de sucrose.Les résultats montrent que les femelles non alimentées sur protéines répondent plus que les femelles mûres et les mâles à la fois à la solution de L. leucine et au tampon de phosphate qu'au sucrose. Ceci suggère que l'impulsion sensorielle provoquée par ces deux breuvages est perçue par les femelles n'ayant pas consommé de protéines comme un indicateur d'aliments indispensables au développement ovarien.
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11.
Dispersal of adult Viburnum whitefly,Aleurotrachelus jelinekii (Frauenf.) was assessed over a period of 6 years, both in the field and in the laboratory. Flight activity did not appear to be strongly affected by normal variation in either temperature or windspeed. The aerial density of flying adults decreased rapidly with distance from the host plant. Movement up to 5 m from the host plant was found to be density dependent, although there is no suggestion that longer flights become more frequent at higher population densities. More males were caught at the beginning of the season and the number of males flying increased as the population density rose. Insects were flight mature after about 3 h, but flew readily only after 2 days. Longer flights were observed from younger females at a time when they would move from old to young leaves. Landing site preference was not recorded, which contrasts with the behaviour of the cabbage whitefly. Flight in the Viburnum whitefly appears to redistribute the population within the immediate habitat, but migration did not appear to be a significant demographic factor in the isolated populations studied.
Etude de l'activité de vold d'Aleurotrachelus jelinekii peu enclin au vol
Résumé La dispersion des adultes d'Aleurotrachelus jelinekii Frauenf, tant dans la nature qu'au laboratoire, a été estimée sur une période de 6 ans. L'activité de vol n'a pas paru être fortement modifiée par les variations de la température et de la vitesse du vent. Le nombre d'adultes en vol a diminué rapidement jusqu'à 5 m de la plante hôte, et il était density-dependent, bien que rien ne prouve que les vols les plus longs deviennent plus fréquents à des densités de population plus élevées. Plus de mâles ont été capturés au début de la saison et le nombre de mâles en vol s'est accru avec la densité de la population. Les insectes étaient aptes au vol 3 heures après la mue imaginale, mais ne volaient normalement que 2 jours après. Les vols les plus longs ont été observés chez les plus jeunes femelles au moment où elles devaient migrer de feuilles âgées à des feuilles jeunes. Les lieux d'atterrissage préférés n'ont pas été décelés. Le vol chezA. jelinekii semble redistribuer la population dans l'habitat immédiat et la migration n'apparaît pas être un paramètre démographique significantif dans les populations isolées étudiées.
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12.
Résumé Des femelles grégaires de Schistocerca gregaria sont injectées avec des concentrations de réserpine de 10 ou 300 g/g de poids frais aux jours 1 ou 8 après la mue imaginale. Au cours du premier cycle ovarien, la réserpine (300 g/g) ralentit significativement la croissance prévitellogénique de l'ovocyte ainsi que le dépôt du vitellus dans l'ovocyte terminal. L'augmentation habituelle de la protéinémie de l'hémolymphe, suite à la mue adulte, est retardée chez les femelles traitées au jour 1. Cependant, lorsque le traitement a lieu au jour 8, la concentration protéique antérieurement atteinte est conservée et demeure équivalente à celle des femelles témoins. Le volume d'hémolymphe ne semble pas modifié par l'administration du neuroleptique. Chez les femelles isolées au jour 1 ou 8, la vitesse de dépôt du vitellus dans les ovocytes terminaux diminue; la croissance prévitellogénique et la protéinémie ne sont pas affectées.La consommation de nourriture, mesurée par la production fécale, demeure généralement moindre chez les insectes réserpinés. Les résultats sont discutés en considérant le rôle des différentes parties du système neuro-endocrinien sur l'ovogénèse.
Summary Reserpine at two concentrations (10 and 300 g/g) was injected into the body cavity of crowded Schistocerca gregaria females 1 or 8 days after the adult molt. During the first ovarian cycle, both previtellogenic oöcyte growth and vitellogenesis were significantly reduced by the 300 g/g treatment. In females treated on day 1, haemolymph protein concentration increased more slowly than in controls, whereas treatment on day 8 did not affect the protein level. Blood volume did not differ in treated and control insects. In females isolated on day 1 or 8, yolk deposition in terminal oöcytes was reduced, whereas previtellogenic oöcyte growth and haemolymph protein concentration were not affected.Food intake as measured by faeces production was generally lower in treated locusts in comparison with the controls. Results are discussed with regard to the rôle of the neuroendocrine system in controlling oögenesis.
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13.
Walking speeds of female Trichogramma exiguum Pinto & Platner were fastest on maize and soybean (12 cm/min), intermediate on tomato (8 cm/min), and slowest on woolly mullein, Verbascum thapsus (3 cm/min). Similarly, rates of turning along the paths of walking T. exiguum were smallest on maize (median angle=0°±15°), intermediate on soybean and tomato, and greatest on V. thapsus (median angle=30°±15°). Leaf trichome density and morphology influenced walking behavior. Walking was slowed and flight initiation delayed for T. exiguum walking on Amaranthus hybridus leaves compared to either maize or filter paper. When inundative releases are conducted, the effects of plant surfaces on searching rates and arrestment should be considered in determining release rates of Trichogramma spp.
Résumé La vitesse de marche a été déterminée en lâchant des individus sur chaque substrat végétal et en traçant leur parcours sur une plaque de verre placée à 9 mm au dessus du sujet. Les déviations angulaires de portions successives des tracés, longues de 1 mm, ont été utilisées pour mesurer les taux de changement de direction. Dans une deuxième expérience, des individus ont été lâchés au milieu d'une cercle de 40 mm de diamètre sur chaque substrat et les temps écoulés avant l'envol ou pour atteindre le bord du cercle à la marche ont servi à évaluer respectivement la propension au vol et la vitesse de déambulation.Les vitesses de marche ont été plus rapides sur maïs et soja (12 cm/min), moyennes sur tomate (8 cm/min) et les plus lentes sur Verbascum thapsus (Scrophulariaceae) (3 cm/min). De le même façon, les angles de changement de direction au cours des marches effectuées par T. exiguum ont été plus petits sur maïs, moyens sur soja et tomate, et plus grands sur V. thapsus. Chez T. exiguum marchant sur des feuilles d'Amaranthus hybridus L. (Amaranthaceae), la marche a été plus lente et l'envol plus tardif que sur maîs ou papier filtre.Lors de lâchers inondatifs, les effets des surfaces végétales sur les vitesses d'exploration et d'arrêt devraient être pris en compte pour déterminer les vitesses de lâcher des Trichogramma spp.
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14.
Deux types de diffuseurs en caoutchouc (Michelin) et en plastique polystratifié (Hercon®) sont testés en laboratoire pour étudier quelques aspects des phénomènes de diffusion. Trois composantes phéromonales, le Z9-12: Ac, le 12: Ac et le Z9-14: Ac imprégnées dans ces différents supports servent à détermineer le rôle joué par la longueur de la chaîne de la molécule et la présence de doubles liaisons sur la vitesse de diffusion. L'influence de la température, de la vitesse du vent et de l'humidité est déterminée en cellules climatisées.Parmi les facteurs relatifs à la structure chimique, l'influence de la longueur de la chaîne est prédominante par rapport à la présence d'une double liaison. Parmi les facteurs climatiques, le vent agit plus que la température sur la diffusion, alors que l'humidité paraît secondaire.  相似文献   

15.
Flight behavior of parasitoids Microsplitis croceipes Cresson (Braconidae) and Campoletis sonorensis (Cameron) (Ichneumonidae) was examined in a wind tunnel. Both species exhibited odor directed, oriented flights to cotton, although flight frequency was related to variation in wind velocity or differential cotton volatile emission with changes in wind velocity, or both. Flight frequency at constant wind velocity was affected by illumination. Microplitis croceipes was attracted to the wind borne odor of Heliothis virescens (F.) frass and larvae, whereas C. sonorensis was not. Possible interaction of the wind borne odors from the habitat and host is suggested for parasitoids.
Résumé Le comportement de vol de M. croceipes Cres. (Hym. Braconidae) et de C. sonorensis Cam. (Hym. Icheumonidae) a été étudié en olfactométrie dans un tunnel à vent. Les femelles des deux espèces, et non les mâles, ont un vol orienté par l'odeur des feuilles fraîches de coton (Gossypium hirsutum L.). La fréquence d'envol est liée aux changements de vitesse du vent, aux variations d'émissions, par le cotonnier, des substances volatiles, en fonction de la vitesse du vent, ou aux deux. La fréquence d'envol à vitesse de vent constante dépend de l'éclairage. La fréquence d'envol de C. sonorensis augmente avec des intensités lumineuses relativement fortes et diminue avec des intensités relativement faibles. L'inverse est observé avec M. croceipes. Le vent chargé d'odeurs de larves ou d'extréments d'Heliothis virescens F., attire M. croceipes et non C. sonorensis. Nous suggérons une éventuelle interaction des odeurs portées par le vent et provenant de l'habitat et de l'hôte.
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16.
Five populations of Tetranychus neocaledonicus, collected in various biotopes from different plants, were studied in order to become informed about variation in this species. It appeared that all strains differed with respect to longevity and fecundity. Crossings resulted in incompatibility, hybrid inviability, hybrid sterility and hybrid breakdown. It is suggested that the great interpopulational variation as found in T. neocaledonicus is a consequence of the haplo-diploid system.An important difference in longevity and fecundity between mated and unmated females has been stated for all strains. Outcrosses with males from another species indicated that it is not the fertilization, but the insemination only which induces the enhanced fecundity in T. neocaledonicus. Irradiated males appeared to be able to inseminate females effectively, resulting in the prevention of viable diploid offspring.
Résumé A la suite d'une étude morphologique concluant à l'homogénéité d'un grand nombre de prélèvements de Tetranychus neocaledonicus, dans plusieurs régions de la zone intertropicale, les auteurs proposent 3 séries d'expériences portant sur la physiologie et la compatibilité de quelques souches de ce taxon.La première série d'essais, porte sur la comparaison de la longévité et de la fécondité de femelles fécondées ou non, appartenant à 4 souches prélevées à Madagascar et à une souche originaire de Louisiane (U.S.A.). Pour ces souches élevées dans des conditions identiques, les femelles fécondées pondent davantage et vivent moins longtemps que les femelles vierges. Les graphiques fournis et les tests statistiques employés, montrent que suivant leur appartenance à l'une des 5 souches, les femelles étudiées ont une longévité propre et présentent du point de vue de la reproduction, des différences très nettes.La seconde série d'expériences a pour but de vérifier la compatibilité entre les différentes souches malgaches précédentes, aussi bien entre elles qu'avec la souche Louisiane white eye, marquée génétiquement et dérivant de la souche Louisiane précédente. Un croisement a été également tenté entre une souche de T. neocaledonicus et une souche de T. urticae. Huit croisements ont été ainsi réalisés avec chaque fois le croisement réciproque. La composition des F1, F2 et F3 est analysée. Une très forte agressivité des mâles à l'égard des jeunes femelles est chaque fois constatée. Le croisement de T. neocaledonicus avec T. urticae n'entraîne aucune hybridation. Entre les souches de T. neocaledonicus il y a formation de femelles, dans l'un des 2 sens au moins mais les femelles produites en F1 se révèlent stériles dans 5 cas sur 12 et peu de souches semblent vraiment compatibles au-delà de la F3. Finalement, les différences entre les souches du point de vue physiologique et les incompatibilités génétiques, amènent les auteurs à considérer qu'il y a, en fait, plusieurs espèces d T. neocaledonicus devant être groupées en un complexe. Ces croisements permettent aussi de remarquer, que l'abaissement de la longévité des femelles fécondées, dépend étroitement du taux de fécondation des ufs.La troisième série d'expériences tente d'expliquer l'augmentation de la production d'ufs chez les femelles fécondées. Les pontes des 14 premiers jours de vie, de femelles de la souche Lousiane fécondées ou non, sont comparées à celles de femelles fécondées, par des mâles de la même souche, irradiés aux rayons X ou par des mâles de T. urticae. La technique d'élevage employée ici permet l'intervention de plusieurs mâles. L'analyse de la F1 et la quantité d'ufs produits à la suite du croisement avec les mâles de T. urticae, prouvent que l'augmentation de la ponte est dûe à un phénomène indépendant du taux de fécondation des ufs.Les auteurs signalent, en conclusion, que les incompatibilités entre les différentes souches de T. neocaledonicus pourraient être utilisées en lutte biologique par voie génétique, mais que la stérilisation des mâles aux rayons X, obtenue au cours de la dernière série d'expériences, aboutit aux mêmes résultats et paraît plus sûre.
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17.
The patterns of flight activity of adult Distantiella theobroma were recorded in an actograph placed in the field. Flight activity of virgin females showed a non-linear increase with age, was highest around mid-day and related to sex attraction behaviour. Mated females and males both showed sharp peaks of activity in the late afternoons. Male flight was depressed by low light intensities and all activity declined with falling light intensity in the evenings and ceased entirely during the hours of darkness.
Résumé Un appareil a été conçu pour enregistrer l'activité de vol dans les conditions naturelles et a été utilisé pour étudier le comportement des mâles et des femelles de D. theobroma, aux diverses phases de leur vie imaginale.L'activité de vol de D. theobroma eest exclusivement diurne. Les femelles restent relativement inactives pendant les premiers trois jours de leur vie imaginale. Après le début de maturité et bien que non encore accouplées, on note un accroissement de leur activité qui est maximum vers le milieu du jour, mais s'atténue pendant la fin de l'après-midi, alors qu'elles manifestent un comportement d'appel et se révèlent attractives pour les mâles.Les femelles qui se sont accouplées montrent un début d'activité tôt le matin et qui s'accroît pour atteindre un pic bien marqué en fin de l'après-midi, pour décliner ensuite avec la baisse de l'intensité lumineuse. L'activité des mâles commence plus tard et atteint son maximum vers 16h30. Ceci coïncide avec le moment où le plus grand nombre de femelles manifestent un comportement d'appel. Le vol des mâles n'apparaît qu'au-dessus d'un certain seuil d'intensité lumineuse et est inhibé par la pluie.Le changement avec l'âge de l'activité des femelles vierges présente des modalités caractéristiques qui se révèlent concorder avec les variations du nombre de mâles attirés par les femelles vierges de différents âges.


This work was done as part of the programme of the International Capsid Research Team which was sponsored by the International Office of Cocoa and Chocolate.  相似文献   

18.
The behavioural responses of Delia brassicae to host plant odour were observed in a large wind tunnel (6×2.3×1.8 m). Only mated, gravid females showed oriented upwind responses to host plant odour; visual stimuli had no effect. There was a marked optimum in the odour concentration for upwind flight but higher concentration stimulated flight activity in both sexes. The response levels were higher and the degree of positive phototaxis lower in females released in the tunnel 1 hr before test, than in those tested without this preconditioning. The effects of handling on response level were complex; physical disturbance inhibited responses at intermediate intensities but increased it at high levels.
Résumé Les réactions comportementales de Delia brassicae à l'odeur de la plante-hôte ont été étudiées dans un grand tunnel parcouru par un courant d'air (6×2,3×1,8 m). Les femelles fécondées et gravides ont, seules présenté une réaction orientée contre le vent à l'odeur de la plante-hôte; les stimulations visuelles ont été sans effet. La concentration en odeur a présenté un optimum marqué pour le vol contre le vent, mais une concentration plus élevée a stimulé le vol des deux sexes. Les niveaux de réaction étaient plus élevés et le degré de phototaxie plus bas chez les femelles libérées dans le tunnel une heure avant les expériences, que chez celles étudiées sans ce préconditionnement. Les effets des manipulations sur le niveau de réaction étaient complexes; les perturbations physiques ont inhibé les réactions aux intensités intermédiaires mais les ont augmentées aux intensités élevées.Bien que le comportement des femelles aurait pu être envisagé comme étant sous l'influence de deux systèmes de motivation contrôlant la ponte et la fuite, une étroite liaison entre les deux a paru exister, une perturbation physique stimulant simultanément les comportements de fuite et de ponte.
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19.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

20.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
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