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1.
Effects of 67 herbicides — several of which were mixtures — and plant growth regulators on adult females of the rove beetle,Aleochara bilineata, were investigated in the laboratory. The pesticides were tested in concentrations equivalent to the highest recommended dosages for practical use. Mortality, egg production and hatch of the eggs were measured. Most herbicides had no serious effect on any of the parameters recorded. Among the urea herbicides, however, several showed adverse effects on egg production and/or hatch of the eggs laid. The strongest effect was exerted by methabenzthiazuron that impeded hatch of the eggs completely. Bromoxynil, pyridate and haloxyfod reduced survival, egg production and/or egg hatch to some degree, while carbaryl, which is also used as a plant growth regulator, killed all the beetles immediately. The usefulness of dose-response-studies and the importance of measuring sublethal effects are stressed, and the choice of herbicides showing no toxic effects is recommended.
Résumé Des expériences ont été faites au laboratoire pour tester les effets de 67 herbicides — dont plusieurs étaient des mélanges — et régulateurs de croissance des plantes sur les femelles adultes d'Aleochara bilineata. Les pesticides ont été testés à des concentrations équivalant aux dosages les plus élevés recommandés pour l'usage agricole. La mortalité, la production et l'éclosion des oeufs ont été mesurés. La plupart des herbicides n'ont pas d'effet important sur aucun des paramètres retenus. Parmi les herbicides à base d'urée cependant, plusieurs montrent des effets négatifs sur la production d'oeufs et/ou l'éclosion des oeufs. L'effet le plus fort a été provoqué par le métabenzthiazuron qui empêchait complètement l'éclosion des oeufs. Le bromoxynil, le pyridate et l'haloxyfop réduisaient la survie, la production d'œufs et/ou, jusqu'à un certain point, l'éclosion des œufs. Le carbaryl par contre, qui est aussi employé comme régulateur de croissance des plantes, tuait immédiatement tous les staphylins. L'utilité des études dose-réponse et l'importance de mesurer les effets sublétaux sont soulignés; le choix des herbicides ne montrant pas d'effet toxiques est recommandé.
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2.
Afin de connaître la faune des cicadiaires dans le vignoble tunisien, plusieurs collectes ont été réalisées. Ces prélèvements de 1109 spécimens, effectuées aussi bien sur la vigne que sur les adventices, au cours de l’année 2001, ont concerné plusieurs parcelles, dans les principales régions viticoles du pays : Rafraf, Baddar, Mraissa, Belli, Gobba et Bousalem. Trente espèces d’Hemiptera: Cicadomorpha et Fulgoromorpha, ont été collectées dont les espèces vectrices de phytoplasme et les espèces aux dégâts directs sur la vigne. 82,50% des espèces de cicadelles rencontrées en Tunisie sont signalées comme vecteurs de virus ou de phytoplasmes causant des maladies graves ou comme ravageurs directs des cultures. Les 17,49% restant ne jouent pas de rôle important sur les cultures.  相似文献   

3.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

4.
H. Thill 《BioControl》1964,9(3):247-251
Résumé Les pruniers présentent des conditions spécialement favorables à l'étude des possibilités de la lutte intégrée, un seul traitement post floral avec des insecticides — sans addition de fongicides — étant nécessaire pour lutter contre les ennemis typiques des arbres à noyaux. L'observation de la biocoenose duran't des périodes plus longues fait para?tre des différences prononcées après l'application des produits chimiques usuels et de celle du Dipterex qui est moins dangereux pour la plupart des espèces d'acariens prédateurs et considéré de ce fait comme utilisable dans la lutte intégrée. Contre les insectes typiques pour les arbres à noyaux, la combinaison Parathion-Métasystémox s'est avérée être la plus efficace parmi les produits chimiques usuels; il en est de même pour le Dipterex. Les différences entre les deux produits précités se manifestent chez les araignées rouges; les produits usuels, après avoir exercé une action assez persistante, permettent vers la fin de l'été une ponte massive d'œufs d'hiver, ce qui entra?ne la menace d'une pullulation permanente pour les arbres. Tout en assurant la destruction des générations printanières de l'araignée rouge, le Dipterex épargne les acariens prédateurs qui, de leur c?té, amènent une diminution des pontes d'œufs d'hiver de cet ennemi. Son application répétée annuellement peut constituer une lutte efficace et être suivie de la disparition graduelle de l'araignée rouge.   相似文献   

5.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

6.
Résumé La toxicité du méthidathion a été mesurée sur 7 souches dePhytoseiulus persimilis provenant de collections de laboratoire, d'unités de production ou du terrain. Les résultats obtenus se sont avérés être très variables: la CL50 de la souche la plus résistante est 100 fois plus élevée que celle de la souche la plus sensible. Chaque souche a ensuite été sélectionnée pour la résistance à cet insecticide; toutes les souches ont répondu à la sélection et ont atteint des niveaux de résistance similaires. Elles ont ensuite été mélangées, à nouveau sélectionnées pour la résistance au méthidathion et à d'autres insecticides et utilisées dans les programmes de lutte intégrée. La résistance a pu ainsi être légèrement augmentée et la souche obtenue, bien qu'encore affectée par le méthidathion sur le terrain, n'est plus complètement éliminée par les traitements et est moins sensible aux résidus présents sur les feuilles.   相似文献   

7.
Résumé Au cours de six essais le comportement des deux espèces d'acariens phytophages,Panonychus ulmi Koch etTetranychus viennensis Zacher, soumises à l'effet de divers fertilisants, insecticides et fongicides, a été étudié. Les investigations devaient permettre de suivre les conséquences chimico-physiologiques exercées sur la plante-h?te par les différents traitements, d'une part, et les répercussions entra?nées par celles-ci sur les acariens, d'autre part. L'action directe des produits appliqués sur les populations d'acariens a également fait l'objet d'études. Il n'a pas été possible d'établir une relation entre la teneur des feuilles de la plante-h?te en N, P, K, Ca, Mg et la densité et le comportement des populations d'acariens. Les expériences réalisées en vergers ont cependant révélé qu'une déficience en K est apparemment responsable d'un bas niveau des populations deP. ulmi. En cages recouvertes de mousseline, les arbres placés à l'abri des prédateurs et traités à l'azinphos méthyle ont présenté des populations deP. ulmi moins importantes que les arbres traités au DDT et au parathion, mais il n'a pas été possible d'enregistrer dans les feuilles des différences de teneur par rapport aux éléments susmentionnés. Les expériences réalisées à l'aide de mancozèbe ont révélé un effet répulsif ou léthal surP. ulmi. Il n'a cependant pas été possible de démontrer une action stimulatrice exercée par le captane, soufre mouillable, zinèbe, phaltane, TMTD et zirame. Un test en laboratoire a conduit à une population plus élevée pour les séries traitées à l'eau distillée et au soufre mouillable que pour les séries traitées au captane. Une teneur élevée des feuilles en zinc semble entra?ner un développement important des populations deT. viennensis.   相似文献   

8.
B. Pintureau 《BioControl》1993,38(3):411-431
The genusTrichogramma includes numerous species which parasitize primarily the eggs of Lepidoptera worldwide. Thirteen European species were characterized biochemically to improve the systematic basis of this genus. Three enzyme systems, studied by electrophoresis, provided characters which discriminate among species. Nei distances were calculated to estimate the relationships among these species. Esterase bands proved to be a very reliable technique for discriminating among closely related species when morphological characters are not evident. The within and between population variability of isozyme patterns was greater than previously assumed forTrichogramma. The results allowed the affinity of some species to be reexamined.
Résumé Le genreTrichogramma comprend de nombreuses espèces qui parasitent les œufs d'insectes, surtout de Lépidoptères, dans le Monde entier. Treize espèces européennes ont été caractérisées biochimiquement pour améliorer les connaissances en systématique chez ce genre. Trois systèmes enzymatiques, étudiés par électrophorèse, ont fourni des caractères qui discriminent les espèces. Afin d'apprécier les relations existant entre ces espèces, des distances de Nei ont été calculées. Les estérases se sont révélées être de bon caractères pour identifier les espèces morphologiquement très proches. La variabilité à l'intérieur des populations est plus importante que ce qui était jusque-là admis. Les résultats ont conduit à réexaminer le contenu de certains groupes d'espèces.
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9.
Seulement 21 espèces d’Apoidea sont répertoriées de Nouvelle-Calédonie. La pauvreté de cette faune est paradoxale si on la compare à la richesse et l’endémicité de la flore de l’île, mais s’expliquerait par le fait qu’elle a été isolée avant ou peu après l’apparition des Apoidea vers – 130 millions d’années. Les auteurs comparent aussi les données de plusieurs îles des océans Pacifique et Indien. Deux nouvelles espèces de Halictidae sont décrites: Homalictus cocos et Lasioglossum (Chilalictus) delobeli. Une nouvelle synonymie est établie: Homalictus risbeci (Cockerell, 1929) = Homalictus crotalariae (Cockerell, 1929). Deux taxons, Chalicodoma umbripenne et Megachile laticeps, sont signalés pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. Les relations entre les Apoidea et les 22 espèces végétales, sur lesquelles ces insectes ont été capturés, sont présentées et commentées.  相似文献   

10.
A partir de dissections systématiques de femelles capturées sur le terrain, une étude des caractéristiques de la reproduction de Machaeridia bilineata Stål a été réalisée dans les savanes de Lamto (Côte d'Ivoire), complétée par quelques données en provenance de Ouango-Fitini. Cet acridien univoltin, une des espèces dominantes de Lamto, passe la saison sèche au stade d'imago immature. Le dépôt du vitellus commence dans les ovocytes vers la mi-février, soit près de 2 mois après les mues. Au cours de sa vie, une femelle ne pond en moyenne qu'une fois et demi à deux fois, mais avec un taux de réussite de 95%. Chaque femelle produit alors de 15 à 20 ?ufs. Une des caractéristiques de cette espèce est la rétention des ovocytes dans les calices avant la ponte. A Ouango-Fitini, les phénomènes sont décalés de 5 à 6 semaines par rapport à Lamto. Il n'y a pas de lien entre le début de la maturation sexuelle et le passage des feux. Pour la période d'étude, il existe une relation avec l'arrivée des premières pluies, mais les limites de ce synchronisme restent à préciser.  相似文献   

11.
Le percher est un comportement répandu chez les espèces d’un assemblage de Scarabaeinae d’une forêt non perturbée de Guyane française. Quarante-trois espèces de percheurs ont été répertoriées sur 7 ans d’échantillonnage. Les fouisseurs diurnes de petite taille (moyenne 7,0 mm) dominaient sur les feuilles isolées et autour des défécations de Singes hurleurs ou des fèces humaines, avec une hauteur moyenne de percher de 62,8 cm. Les hauteurs étaient positivement corrélées aux tailles des insectes excepté pour cinq grandes espèces dont trois possédaient une défense chimique contre les prédateurs. Deux complexes mimétiques ont été identifiés. L’agrégation en dehors de la présence de ressource a été montrée. Les défécations de singes provoquaient une concentration d’insectes dont des Canthon (Glaphyrocanthon) arboricoles qui formaient leurs pilules sur les feuilles. D’autres espèces perchaient en attente de rencontrer au sol un partenaire ou de se livrer au kleptoparasitisme. Les signaux olfactifs pourraient jouer un rôle dans diverses modalités du percher. Compétition et prédation semblent être les principales contraintes auxquelles le percher répond.  相似文献   

12.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

13.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

14.
Résumé L'AcridienGesonula punctifrons St?l attaque la Jacinthe d'eau (Eichhornia crassipes) dans plusieurs parties de l'Inde et est adapté à un habitat aquatique ou semi-aquatique. Les œufs, pondus dans les pétioles des feuilles, éclosent en 3 à 4 semaines. Les larves se développent en 4 à 5 semaines et demi, avec 5 mues. Les adultes vivent au maximum 4 à 5 mois en s'alimentant seulement de Jacinthe d'eau. En essais de laboratoire cet Acridien se nourrit activement deCanna orientalis dont les tiges sont percées de trous pour la ponte par les femelles, mais aucun œuf n'est déposé. Quarante trois autres plantes d'intérêt économique ont été expérimentées: plusieurs d'entre elles ont été l'objet d'attaques légères à modérées. L'analyse de la littérature concernant les plantes-h?tes du genreGesonula et la distribution deG. punctifrons montrent que cette espèce s'est adaptée secondairement àE. crassipes. Bien que cet Acridien s'observe en grand nombre dans quelques régions, l'ensemble de ses dégats à la mauvaise herbe n'est pas suffisant pour assurer le contr?le de celle-ci.

This research has been financed in part by a grant made by the United States Department of Agriculture under P. L. 480.  相似文献   

15.
Résumé L'Hyménoptère parasito?deEpidinocarsis lopezi (De Santis) a été introduit d'Amérique du Sud au Congo pour le contr?le des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Dans les conditions du laboratoire, les principaux paramètres du développement ont été étudiés: le temps de développement entre la ponte de l'œuf et l'émergence de l'adulte est en moyenne de 15,6 jours; le taux sexuel est de 56% de femelles en maintien de souche, variable selon le stade des h?tes présentés; la longévité des ♀♀ est de 42,26 jours; la fécondité moyenne pour des ♀♀ nourries de miel s'établit autour de 207,6 œufs sur une période de 40 jours (5,2 œufs par jour en moyenne), elle est inférieure en absence d'alimentation (141 œufs au total et 3,8 par jour); le stade h?te choisi pour la ponte est essentiellement la larve L3 (à un moindre degré les jeunes ♀♀ sans ovisac); le superparasitisme peut atteindre 64% en situation de raréfaction de l'h?te, mais il n'est que de 5,7% en présence de fortes proportions de L3. Après des lachers expérimentaux, l'auxiliaire s'est acclimaté dans les champs expérimentaux et a colonisé les champs voisins. Ses taux de parasitisme achevé ont atteint un maximum de 15,4% des stades préférentiels (22% pour le parasitisme en cours) avant le pic de gradation de la cochenille. Ces données présententE. lopezi comme un parasito?de ayant de bonnes qualités intrinsèques mais qui, à l'heure actuelle, ne parvient pas à réguler les populations de la cochenille dans la zone où il a été laché.   相似文献   

16.
Résumé La variabilité de la sensibilité des larves de la noctuelle égyptienne du coton,Spodoptera littoralis Boisduval à l'hyphomycète entomopathogèneNomuraea rileyi (Farlow) Samson a été abordée en étudiant la variabilité interclonale du champignon et la variabilité de l'insecte-h?te à travers des populations d'origines géographiques différentes. En raison de la polyphagie de l'espèce-cible, l'influence de la plante-h?te sur la sensibilité des larves phytophages a aussi été prise en compte. Les traitements ont consisté à exposer les larves à un inoculum sporal déposé par pulvérisation sur des rondelles de feuille calibrées pendant 24 h. L'activité pathogène, à l'égard des larves du 1er stade, des 12 clones monosporaux de la soucheN. rileyi 5 varie significativement (TL50 compris entre 4,7 et 6,2 j à la dose de 3.104 spores/cm2). Cette variabilité intraspécifique observée à un moment donné est néanmoins du même ordre que la variabilité de l'activité de la souche-mère polyclonale, relevée sur une période de 4 ans (TL50 compris entre 4,5 et 6,6 j). Les 3 populations originaires d'Isra?l, d'Egypte et du Maroc ont présenté une sensibilité comparable àN. rileyi 5 après contamination des larves nouveau-nées avec des doses croissantes d'inoculum (DL50 comprises entre 0,7.104 et 1,1.104 spores/cm2 et TL50 compris entre 5,1 et 5,5 j à la dose de 3.104 spores/cm2). L'alimentation des larves, depuis l'éclosion, sur 4 espèces végétales: chou, coton, féverole ou aubergine, n'a pas modifié significativement la sensibilité des larves du 3e stade (DL50 comprises entre 0,3.103 et 0,7.103 spores/cm2 et TL50 compris entre 4,0 et 4,3 j à la dose de 3.104 spores/cm2). La souche polyclonaleN. rileyi 5 para?t bien adaptée à la noctuelle égyptienne du coton en raison de sa stabilité, de son agressivité à l'égard des populations d'origines géographiques différentes et de l'absence d'effet de l'alimentation des larves sur l'infection.   相似文献   

17.
Résumé La hauteur préférentielle de ponte a été étudiée chez plusieurs espèces deSyrphidae aphidophages. A cet effet, le nombre d'œufs pondus sur des fèveroles en pot (Vicia faba L.), infestées parAphis fabae Scop. et fixées à hauteur de 180 cm, 120 cm et 30 cm a été enregistré. Des hauteurs préférentielles bien précises ont été trouvées pour les différentes espèces, variant de celle deSyrphus triangulifer (Zett.) qui pond 69% des œufs à 180 cm et seulement 5% à 30 cm, à celle deLeucozona lucorum (L.) qui ne pond que 8% à 180 cm, mais 78% à 30 cm.S. ribesii (L.) préfère initialement 180 cm mais le pourcentage de pontes à 30 cm augmente en fonction de l'age. En ce qui concerne les fèveroles en cage, la couleur de la couche inférieure modifie la hauteur préférentielle de ponte.S. balteatus (Deg.), par exemple, pond de préférence à 30 cm lorsque le fond de la cage est recouvert d'herbe ou de papier vert mais ne montre pas de préférence particulière lorsque le sol est tout simplement de la terre ou est recouvert de tissu brun, argenté ou jaune. Il est possible que la couleur verte serve de point de repère visuel à partir duquel la femelle estime la hauteur de ponte.   相似文献   

18.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

19.
F. Mansour  D. Rosen  A. Shulov 《BioControl》1980,25(3):237-248
The biology ofChiracanthium mildei L. Koch was studied under standardized laboratory conditions (24±1°C, 55–60% RH). Specimens were reared from eggs, with 1- to 6-day-oldSpodoptera larvae serving as prey throughout their life cycle. Biological studies included an investigation of the rate of development, life cycle, reproductive potential and behavior, as well as the influence of certain environmental factors on these parameters. Under standard laboratory conditions,C. mildei showed 87% survival from egg to functional fertility. Males required a mean of 182 (137–207) days after hatching to reach maturity, became adults following 7–8 molts, and lived for an average of 73 days as adults. Females required a mean of 231 (191–286) days after hatching to mature, reached adulthood after 9–10 molts, and lived for an average of 240 days as adults. Females were found to mate only once and to oviposit from 1 to 5 times (average 1.8), at 30-day intervals. They produced a mean of 35 eggs in the 1st hatch and 31 eggs in the 2nd.
Résumé La biologie de l'araignéeChiracanthium mildei L. Koch a été étudiée au laboratoire (24±1°C. 55–60% H.R.). Les élevages ont été conduits à partir des œufs, avec des larves deSpodoptera de 1 à 6 j fournies comme proies pendant toute la durée du cycle évolutif. Les études biologiques ont porté sur la vitesse de développement, le cycle évolutif, le potentiel et le comportement de reproduction, ainsi que sur l'influence de certains facteurs du milieu sur ces paramètres. Dans les conditions du laboratoire, le taux de survie deC. mildei fut de 87% de l'œuf à la maturité sexuelle. Chez les males la maturité est atteinte en moyenne 182 j (137–207) après l'éclosion de l'œuf. Ils deviennent adultes après 7 ou 8 mues et vivent en moyenne 73 j. Chez les femelles on compte une moyenne de 231 j (191–386) de l'éclosion de l'œuf à la maturité. Elles deviennent adultes après 9 ou 10 mues et vivent en moyenne 240 j. Les femelles s'accouplent 1 fois mais pondent 1 à 5 fois (moyenne 1,8) en 30 j. Leur fécondité moyenne est de 35 œufs lors de la 1re ponte et de 31 œufs pour la 2e.


Contribution from the Agricultural Research Organization, Bet Dagan, Israel. No. 203-E, 1979 series.  相似文献   

20.
A. Delobel 《BioControl》1989,34(3):351-363
Résumé Le trichogrammeUscana caryedoni Viggiani se développe aux dépens des œufs deCaryedon congense Decelle et de ceux de la bruche de l'arachide,Caryedon serratus (Olivier), sur les fruits d'une légumineuse arbustive commune au Congo,Poliostigma thonningii (Schum.). Dans la région de la Bouenza, dans le sud du pays, les taux de parasitisme dus àU. caryedoni s'accroissent au cours de l'année, à mesure que m?rissent les gousses, pour atteindre en novembre près de 40% (taux cumulé). La biologie du parasito?de a été étudiée au laboratoire sur œufs deC. serratus. A 30°C, la femelle pond en moyenne 66 œufs et vit un peu plus de 5 jours. Le développement préimaginal s'effectue en 16 jours à 26° et 12 jours à 30°. L'effet de la densité de l'h?te sur divers paramètres biologiques du parasite a été étudié. Un essai réalisé dans les conditions du laboratoire a révélé chezU. caryedoni de très faibles potentialités comme agent de limitation des populations deC. serratus dans les stocks d'arachide.   相似文献   

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