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1.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

2.
Résumé L'Hyménoptère parasito?deEpidinocarsis lopezi (De Santis) a été introduit d'Amérique du Sud au Congo pour le contr?le des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Dans les conditions du laboratoire, les principaux paramètres du développement ont été étudiés: le temps de développement entre la ponte de l'œuf et l'émergence de l'adulte est en moyenne de 15,6 jours; le taux sexuel est de 56% de femelles en maintien de souche, variable selon le stade des h?tes présentés; la longévité des ♀♀ est de 42,26 jours; la fécondité moyenne pour des ♀♀ nourries de miel s'établit autour de 207,6 œufs sur une période de 40 jours (5,2 œufs par jour en moyenne), elle est inférieure en absence d'alimentation (141 œufs au total et 3,8 par jour); le stade h?te choisi pour la ponte est essentiellement la larve L3 (à un moindre degré les jeunes ♀♀ sans ovisac); le superparasitisme peut atteindre 64% en situation de raréfaction de l'h?te, mais il n'est que de 5,7% en présence de fortes proportions de L3. Après des lachers expérimentaux, l'auxiliaire s'est acclimaté dans les champs expérimentaux et a colonisé les champs voisins. Ses taux de parasitisme achevé ont atteint un maximum de 15,4% des stades préférentiels (22% pour le parasitisme en cours) avant le pic de gradation de la cochenille. Ces données présententE. lopezi comme un parasito?de ayant de bonnes qualités intrinsèques mais qui, à l'heure actuelle, ne parvient pas à réguler les populations de la cochenille dans la zone où il a été laché.   相似文献   

3.
A partir de dissections systématiques de femelles capturées sur le terrain, une étude des caractéristiques de la reproduction de Machaeridia bilineata Stål a été réalisée dans les savanes de Lamto (Côte d'Ivoire), complétée par quelques données en provenance de Ouango-Fitini. Cet acridien univoltin, une des espèces dominantes de Lamto, passe la saison sèche au stade d'imago immature. Le dépôt du vitellus commence dans les ovocytes vers la mi-février, soit près de 2 mois après les mues. Au cours de sa vie, une femelle ne pond en moyenne qu'une fois et demi à deux fois, mais avec un taux de réussite de 95%. Chaque femelle produit alors de 15 à 20 ?ufs. Une des caractéristiques de cette espèce est la rétention des ovocytes dans les calices avant la ponte. A Ouango-Fitini, les phénomènes sont décalés de 5 à 6 semaines par rapport à Lamto. Il n'y a pas de lien entre le début de la maturation sexuelle et le passage des feux. Pour la période d'étude, il existe une relation avec l'arrivée des premières pluies, mais les limites de ce synchronisme restent à préciser.  相似文献   

4.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

5.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

6.
Résumé L'endoparasito?deMicrocharops anticarsiae (Hym.: Ichneumonidae), est un des agents naturels de régulation d'Anticarsia gemmatalis (Lep.: Noctuidae). La préférence pour un stade de l'h?te, les effets sur la sex ratio et la réponse fonctionnelle ont été étudiés expérimentalement chezM. anticarsiae pour six densités différentes de l'h?te. Dans des expériences de choix impliquant 2 stades de développement consécutifs ou dans les cas où étaient offerts en même temps les quatre premiers stades larvaires, les femelles du parasito?de n'ont présenté aucune préférence pour un stade donné. Ces résultats montrent que les femelles deM. anticarsiae acceptent tout h?te disponible indépendamment de son stade. La sex ratio présente des différences significatives entre les quatre stades de l'h?te (G3df=18.21, p<.001). La sex ratio du parasito?de est plus favorable aux femelles chez les larves se développant dans le 4e stade de l'h?te. Une réponse fonctionnelle de type II a été observée chez les parasito?des femelles en réponse à des densités variables de l'h?te. Ces informations fondamentales concernant les effets de la sex ratio ont montré quel est le stade de l'h?te qui doit être parasité pour obtenir la sex ratio la plus favorable aux femelles, tandis que la réponse fonctionnelle a fourni le taux moyen (38.0±7.5) de parasitisme par femelle. Ces informations sont importantes pour la production en masse deM. anticarsiae pour le programme de lutte biologique.   相似文献   

7.
J. Claret 《BioControl》1973,18(4):409-418
Résumé La diapause dePimpla instigator F. (Ichneumonide) s'installe au dernier stade larvaire, en réponse aux courtes photopériodes inférieures à 12 heures. Les photopériodes plus grandes entra?nent un développement continu. La période de sensibilité à l'induction photopériodique est située entre le 6e et le 14e jour avec un maximum entre le 8e et le 11e jour de la vie larvaire (à la température de 20°C). Toutefois aucune photopériode ne permet d'obtenir 100% de diapause. La diapause peut cesser sans qu'apparement aucun facteur externe soit nécesaire comme stimulus. Cette reprise spontanée du développement est étalée dans le temps suivant les individus (entre 3 et 7 mois). La diapause dePimpla instigator, F. a deux caractéristiques particulières: le pourcentage de males en diapause est toujours supérieur de 20 à 40% à celui des femelles, la levée de la diapause par les grandes photopériodes est très rapide. 12 jours en 16 heures suffisent à déclencher la métamorphose.
Summary The diapause ofPimpla instigator occurs in the last larval stage in reponse to the short day photoperiods less than 12 hours. With longer photoperiods, no diapause occurs. The sensitivity period at photoperiodic induction extends between the 6 th and 14 th day, with the maximum between the 8 th and 11 th of larval life (at a temperature of 20°C). However the incidence of diapause never reaches 100%. Diapause may be interrupted without any apparent external stimulus. Such a spontaneous termination of the diapause may occur between 3 or 7 months, depending on the individual. The diapause ofP. instigator shows two characteristics: the percentage diapause is always from 30 to 40% lower in males than in females; termination of the diapause by long-day photoperiods is very rapid: 12 days of 16 hours light are sufficient to induce metamorphosis.
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8.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

9.
J. Kugler  Z. Wollberg 《BioControl》1967,12(4):363-379
Résumé Les auteurs décrivent le cycle évolutif et le comportement de ponte de l'Agrothereutes tunetanus Haber. (Ichneumonidae, Cryptinae) dans les conditions de laboratoire (25°C et 50–60% H.R.). Le développement des œufs des larves et des nymphes, le comportement des stades larvaires, les habitudes alimentaires, l'accouplement et le comportement pendant l'oviposition sont décrits. A. tunetanus est un parasite de l'Orgyia dubia Tausch., attaquant le dernier stade larvaire de la femelle après que celle-ci ait tissé son cocon, mais avant la nymphose. Le même degré d'activité de ponte du parasite est provoqué par le dernier stade larvaire et la nymphe des femelles h?tes. Une moindre activité est suscitée par les femelles m?res dans les cocons et le dernier stade larvaire male, tandis que l'activité de ponte provoquée par les nymphes males est presque nulle. Le nombre moyen d'œufs pondus par une femelle durant une seule attaque (entre 3 et 4) ne dépend pas (de manière significative) du nombre de cocons présents. Le nombre d'attaques effectuées parA. tunetanus en 24 heures dépend de la quantité de cocons disponibles, les facteurs limitants sont le nombre d'œufs m?rs dans de la femelle gravide et la quantité d'œfus pondus pendant chaque attaque. Avec 6 cocons en 24 heures, une femelle, au maximum de sa fécondité, arive à une moyenne de 3,27 attaques. La fécondité d'une femelle est en moyenne de 308 œufs.

Part of the M. Sc. thesis done under the supervision of the first author and submitted to the Department of Zoology of the Tel-Aviv University.  相似文献   

10.
Résumé

Au cours des dernières décennies, les essais de régénération du chêne-liège en forêt de la Mamora se sont heurtés à des attaques massives de vers blancs sur les racines des jeunes plants, avec un taux de réussite des plantations ne dépassant guère 12% dans la majorité des parcelles de régénération. La biologie de Sphodroxia maroccana Ley (Coleoptera : Melolonthidae), le ravageur principal, a été en partie élucidée, avec encore des lacunes concernant la période exacte ?émergence des mâles par rapport aux femelles, la longévité des imagos et la sex-ratio. La sècheresse esti vale est parmi les autres causes de dépérissement des jeunes plants. Lors de la première année suivant la plantation dans des parcelles expérimentales, la mortalité cumulée due aux attaques larvaires et à la sècheresse a varié entre 41% et 68% selon les blocs considérés dans les parcelles. La mortalité liée aux attaques des larves de S. maroccana était comprise entre 24 et 43%, avec une distribution en taches des dégâts, plus ou moins importantes selon la densité initiale des plants. L’isolement par micro-extraction en phase solide des effluves femelles de S. maroccana a permis ?identifier le résorcinol (1,3-benzènediol) comme composé phéromonal présumé. La fonction de cette molécule comme phéromone reste toutefois à démontrer.  相似文献   

11.
Résumé L'étude des variations d'abondance et des factuers de régulation de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero 5 ans après l'introduction du parasito?de néotropicalEpidinocarsis lopezi (de Santis) révèle la constance des pullulations du ravageur depuis 9 ans. Les pics de pullulations s'observent surtout en début de saison des pluies. Aucune corrélation n'a pu être établie entre les paramètres caractérisant les pluies et les variations du nombre de cochenilles. Nos observations confirment que l'entomophthoraleNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller est le principal facteur de régulation de la cochenille au Congo. L'impact des prédateurs de la cochenille ne semble pas s'être modifié depuis 1979: la coccinelleExochomus flaviventris Mader reste le prédateur le plus actif. L'acclimatation du parasito?deE. lopezi s'est traduite par une augmentation du taux de parasitisme par un facteur 2 à 3. Elle n'a cependant pas permis de modifier l'allure et l'ampleur des pullulations de la cochenille. Enfin, la co?ncidence entre les brutales augmentations du nombre de cochenilles et de profondes modifications de la physiologie du manioc laisse à penser que cette dernière joue un r?le important.   相似文献   

12.
Pendant sa diapause reproductrice, la teigne du poireau ne présente pas d'activité sexuelle. La reprise de cette activité, après l'hiver, est essentielle au maintient de la population. Chez les insectes qui ont subi la diapause (D), la durée de copulation est plus courte, et la période précédant la copulation est plus longue que chez les insectes matures (M). Deux caractères intéressants sont observés chez les insectes D après la levée de leur diapause: l'apparition d'un pourcentage de doubles copulations et d'insectes qui copulent après la fin de la scotophase, ce, les ♀♀ matures possèdent des ovocytes en rétention dans les oviductes. Le nombre augmente jusqu'à l'âge de 3 jours environ. Par contre, les ♀♀ en diapause n'ont aucun ovocyte à l'émergence. Sous conditions levant la diapause, ces ♀♀ atteignent leur production ovarienne maximum après une douzaine de jours. L'évolution du nombre des ovocytes dépend de la copulation et de la présence de la plante-hôte. Celle-ci est essentielle pour la ponte et intervient sur la production ovarienne, aussi bien chez les ♀♀ D que chez les ♀♀ M.  相似文献   

13.
Résumé Le male d’Eudémis,Lobesia botrana Den & Schiff (Lep. Tortricidae) possède un potentiel élevé de reproduction au cours de sa vie bien que soit observée une variabilité importante dans le nombre des accouplements (moyenne: 9.03±3.84 extrêmes: 0–17). Un nombre plus élevé de spermatophores mal formés est observé lors des accouplements tardifs par rapport aux accouplements précoces. Plusieurs accouplements n’étaient pas suivis de la formation de spermatophores, mais malgré cela, quelquefois les femelles étaient fertilisées et une descendance était produite. Le nombre maximum d’accouplements (>90%) appara?t entre le 3ème et le 6ème jour, bien que 70% des males copulent moins de 24 h après l’émergence. Les males vierges ne vivent significativement pas plus longtemps que ceux qui ont pu copulerad libitum (14,05±2,68 jours contre 12,57±3,31 jours), quoique le potentiel des performances sexuelles des premiers soit meilleurs. Lorsqu’ils sont maintenus en atmosphère de phéromone sexuelle synthétique, la longévité des males vierges est significativement réduite (11,45±2,61 jours) par rapport aux témoins (14,05±2,68 jours). Le nombre total d’accouplements est corrélé avec la longévité du male (r=0,72) et pareillement, la fertilité cumulée des femelles accouplées avec le même male est corrélée avec le nombre d’accouplements réussi par celui-ci (r=0,81). Quelques males vierges de plus de 6 jours étaient capables de copuler deux fois en moins de 24 heures. Le volume du premier spermatophore cro?t avec le temps écoulé entre l’émergence et l’accouplement jusqu’à doubler après 16 jours environ. Chez les males copulants, le volume du spermatophore décro?t avec sa fréquence de production et cro?t proportionnellement avec le temps écoulé après la dernière copulation. La plus importante diminution de volume du spermatophore entre deux accouplements successifs (>50%) apprara?t entre le premier et le second lorsqu’ils ont lieu au cours de deux jours consécutifs, mais elle peut atteindre 95% avec le 15ème. La production d’oeufs et la longévité des femelles accouplées, suivant une telle variation de la taille des spermatophores, n’est pas modifiée. Enfin, le poids du male est seulement corrélé avec la taille du premier spermatophore formé et ne l’est pas avec le nombre d’accouplements au cours de sa vie. Ces résultats sont discutés dans le cadre des différentes méthodes de lutte contre l’insecte.   相似文献   

14.
Résumé Les besoins alimentaires de chaque stade de développement larvaire et des jeunes femelles d'E. flaviventris Mader ont été définis par rapport à deux cochenilles associées au manioc;:Planococcus citri Risso (proie locale) etPhenacoccus manihoti Mat.-Ferrero (proie exotique) dans les conditions de laboratoire (T=25°C±1°C; H.R.=80–90%; photopériode=L/D: 12/12). Ces deux proies constituent des ?nourritures essentielles? pourE. flaviventris qui les consomme en plus grande quantité par rapport aux autres coccinelles qui se nourrissent aux dépens, de la cochenille du manioc. Il faut en moyenne 71,8 mg de matière fra?che deP. manihoti (œufs+jeunes femelles) ou 86,9 mg deP. citri (œufs+jeunes femelles) àE. flaviventris pour atteindre le stade adulte. Dans chaque cas, les larves du prédateur de quatrième stade se montrent plus voraces avec plus de 70% de la consommation totale. Les jeunes, femelles consomment moins que les larves du dernier stade principalement quand il s'agit de la proie exotique. P. manihoti semble avoir été rapidement adoptée parE. flaviventris après son introduction accidentelle en Afrique. Sans être d'une valueur alimentaire exceptionnelle, elle est mieux exploitée que la cochenille indigène et procure un poids moyen de 10,9 mg aux adultes du prédateur à leur émergence.
Summary Food requirements of each larval stage and of young females ofExochomus flaviventris have been defined regarding the two coccids associated to cassava:Phenacoccus citri (indigenous prey) andPhenacoccus manihoti (exotic prey) under laboratory conditions (25±1°C, 80–90% RH and L/D: 12/12). These 2 preys constitute the main food forE. flaviventris as this ladybird feeds on it much more than all the other coccinellids preying also on the cassava mealybug.E. flaviventris needs an average of 71.8 mg of freshP. manihoti (eggs and young, females) or 86.9 mg ofP. citri (eggs and young voracious with 70% of the total consumption. Young females feed less than the last instar larvae, especially when the exotic prey is involved. P. manihoti seems to have been rapidly choosen byE. flaviventris after its accidental introduction into Africa. Even if it is not an excellent prey from the food angle, it is better exploited thant the indigenous mealybug and adults of an average weight of 10.9 mg are obtained after emergence.
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15.
In the spring of 1987 and 1988,65Zn labeled plum curculios,Conotrachelus nenuphar (Herbst) (Coleoptera: Curculionidae), were released within two field cages, each containing four dwarf apple trees. The cages were surveyed regularly between ‘pink’ and 22 d after ‘fruit set’ stages, and the location of labeled insects and substrates occupied were recorded. Labeled beetles first appeared in trees between ‘pink’ stage and beginning of bloom, and the number within trees gradually increased until ‘petal fall’ stage. Between ‘full bloom’ and 22 d after ‘fruit set’ stages, adults were found on the ground in 54% of the observations. At ‘petal fall’ stage, the main host structures occupied were spurs, twigs, and flowers or fruit. Height in the trees, rate of movement (cm/h), and occurrence on the ground, spurs, flowers or fruits, and leaves and new annual growth, were related to the product of air temperature and relative humidity. Most dispersal from tree to tree occurred between ‘full bloom’ and ‘fruit set’ stages. Highest occurrence in trees was observed between 1800 and 0000 h. In the daytime, labeled adults tended to leave host structures except spurs, which were used as resting sites, mostly by females. Females occurred significantly higher in the tree canopy than males, although egg-laying was most frequent at mid-level. During bloom, up to 30% of plum curculios were found to rest simultaneously at the base of tree trunks, prior to their gradual invasion of trees. This behavior should be taken into account in the development of an effective shelter trap for monitoring this insect, and in the design of integrated control strategies.
Résumé Au printemps de 1987 et 1988, des charan?ons de la pruneConotrachelus nenuphar (Herbst) (Coleoptera: Curculionidae) adultes et marqués au65Zn ont été relachés dans 2 cages extérieures contenant chacune 4 pommiers nains. L'intérieur des cages a été ratissé régulièrement entre le stade ‘bouton rose’ et 22 jours après le stade ‘nouaison’ afin de déterminer la position et les micro-habitats des insectes marqués. La première présence d'adultes dans les arbres fut notée entre le stade ‘bouton rose’ et le début de la floraison, augmentant graduellement par la suite jusqu'au stade ‘calice’. Entre le stade ‘pleine floraison’ et 22 jours après le stade ‘nouaison’, les adultes ont été retrouvés au sol dans 54% des observations. Au stade ‘calice’, les adultes ont été retrouvés principalement sur les lambourdes, les petites branches, les fleurs et les fruits. La hauteur des charan?ons dans les arbres, leur taux de déplacement (cm/h), et leur présence sur le sol, les lambourdes, les fleurs ou fruits, les feuilles et les pousses de l'année ont tous été reliés au produit de la température et de l'humidité relative de l'air. La majorité des déplacements d'un arbre à l'autre fut observée entre les stades ‘pleine floraison’ et ‘nouaison’. La hauteur maximale dans les arbres fut atteinte entre 1800 et 0000 h. Durant le jour, les charan?ons ont montré une tendance à quitter les arbres, sauf pour plusieurs femelles qui ont préférer se réfugier à la base des lambourdes. Les femelles ont également été retrouvées significativement plus haut que les males et ont montré une préférence pour la strate intermédiaire lors de la ponte. Durant la floraison, jusqu'à 30% des charan?ons furent retrouvés simultanément à la base du tronc des pommiers. Ce comportement pourrait être mis à profit pour développer un piège efficace pour le dépistage des adultes, et des stratégies de lutte plus écologiques.
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16.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

17.
Résumé Après l'invasion de la Nouvelle-Calédonie en 1985 parHeteropsylla cubana Crawford, psylle ravageur de la légumineuseLeucaena leucocephala (Lam.) de Wit, le coccinellide auxiliaireOlla v-nigrum Mulsant a été introduit depuis Tahiti, au début de 1987, et ses principaux paramètres biologiques ont été étudiés en conditions contr?lées. A 25,7°C (24,6/26,8) la valeur médiane de la durée du développement pré-imaginal est 16,5 jours, de la ponte de l'œuf à l'adulte. A 25,8°C (25/26,6), en adoptant le taux d'éclosion observé sur les pontes de femelles sauvages, la multiplication par génération R0=201,4, le taux intrinsèque d'accroissement rm=0,165, et la durée moyenne de génération T=32,2 j. En tenant compte de la baisse de fertilité observée en cours d'étude de la cohorte, ces valeurs deviennent: R0=153,9, rm=0,160, T=31,4 j. Comparées à celles mesurées pour d'autres proies, ces valeurs impliquent une bonne adaptation trophique àH. cubana, qui est toxique pour la plupart des prédateurs polyphages. En juillet 1989,O. v-nigrum était déjà établi sur la majeure partie de la Nouvelle-Calédonie.   相似文献   

18.
P. Desroches 《BioControl》1972,17(4):365-373
Résumé Dès le début de la période nymphale les pupes du Trypetide,Philophylla heraclei L. présentent des différences de poids, de sorte qu'il est possible, d'après ce critère pondéral, de mettre en évidence un certain dimorphisme sexuel des pupes. De même, dès cette période, on peut distinguer par les différences de poids les pupes parasitécs par des Braconides des pupes femelles de l'h?te. Cependant toutes ces différences ne sont pas constantes au cours des variations de poids pendant l'évolution des pupes et disparaissent peu à peu avec le vieillissement de celles-ci.
Summary Early in the pupal period,Philophylla heraclei L. shows differences in weight, so that it is possible to discern a certain pupal sexual dimorphism related to weight. Likewise, early in this period, differences of weight make it possible to separate pupae parasitized by Braconids from female pupae of the host. However, these differences are not constant during the weight variations that occur, and disappear gradually with the aging of the pupae.
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19.
A. Delobel 《BioControl》1989,34(3):351-363
Résumé Le trichogrammeUscana caryedoni Viggiani se développe aux dépens des œufs deCaryedon congense Decelle et de ceux de la bruche de l'arachide,Caryedon serratus (Olivier), sur les fruits d'une légumineuse arbustive commune au Congo,Poliostigma thonningii (Schum.). Dans la région de la Bouenza, dans le sud du pays, les taux de parasitisme dus àU. caryedoni s'accroissent au cours de l'année, à mesure que m?rissent les gousses, pour atteindre en novembre près de 40% (taux cumulé). La biologie du parasito?de a été étudiée au laboratoire sur œufs deC. serratus. A 30°C, la femelle pond en moyenne 66 œufs et vit un peu plus de 5 jours. Le développement préimaginal s'effectue en 16 jours à 26° et 12 jours à 30°. L'effet de la densité de l'h?te sur divers paramètres biologiques du parasite a été étudié. Un essai réalisé dans les conditions du laboratoire a révélé chezU. caryedoni de très faibles potentialités comme agent de limitation des populations deC. serratus dans les stocks d'arachide.   相似文献   

20.
A. Bekkaoui  E. Thibout 《BioControl》1992,37(4):627-639
Résumé Le comportement des femelles de l'inchneumonideDiadromus pulchellus, parasito?de d'Acrolepiopsis assectella, a été étudié au contact des chrysalides-h?tes avec leur cocon ou nues, lavées ou non par des solvants. L'implication de kairomones cuticulaires hydrosolubles dans le processus de reconnaissance de l'h?te par ce parasito?de a été mise en évidence. Des chrysalides lavées voient en effet leur pouvoir stimulant fortement réduit, et les extraits aqueux ainsi obtenus ont une activité biologique importante sur les femelles du parasito?de. Ces kairomones cuticulaires semblent avoir un r?le complémentaire à celui de substances actives issues du cocon. L'élevage du parasito?de en laboratoire ne semble pas avoir significativement modifié son comportement par rapport à l'h?te. En effet, la comparasion en présence des extraits cuticulaires aqueux de l'h?te, du comportement de femelles élevées au laboratoire depuis 3 ou 36 générations ne montre pas de différences comportementales très significatives entre elles. Cependant, les plus faibles taux de parasitisme à partir de chrysalides provenant de teignes élevées depuis longtemps en présence de composés du poireau laissent envisager une possible modification du métabolisme larvaire du parasito?de, par suite d'une adaptation aux conditions d'élevage du phytophage-h?te sur milieu artificiel. Ainsi, le régime alimentaire de l'h?te n'est pas sans effet sur l'entomophage. Enfin, la comparaison deD. pulchellus et d'une espèce sympatrique,D. collaris, attaquant plut?t la teigne du chou,Plutella xylostella, montre une meilleure adaptation de la première espèce vis-à-vis de leur h?te communA. assectella.   相似文献   

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