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1.
Résumé Au cours d'une expérimentation réalisée en serre à Rennes, en 1983, on a éprouvé l'efficacité contre les pucerons de la laitueAulacorthum solani (Kaltenbach) etMacrosiphum euphorbiae (Thomas) d'une biopréparation d'Entomophthorale constituée de mycélium d'une souche deErynia neoaphidis Remaudière & Hennebert. L'étude de l'implantation de cette souche a été entreprise grace à une technique de caractérisation enzymatique. Les populations de pucerons implantées expérimentalement en début d'essai sont faiblement attaquées par des mycoses (5 % de mortalité). La caractérisation enzymatique des souches d'Entomophthorales isolées de pucerons trouvés morts au cours de l'expérimentation montre que la souche deE. neoaphidis introduite s'est implantée dans les populations aphidiennes, mais qu'elle est par la suite remplacée par un inoculum autochtone de la même espèce. On observe également le développement dès le début de l'expérimentation d'un inoculum deC. obscurus qui ne correspond pas à la souche introduite 2 ans auparavant lors d'une précédente expérimentation.   相似文献   

2.
B. Le Rû  Y. Iziquel 《BioControl》1990,35(2):173-183
Résumé Cet article présente les résultats obtenus en 1987 sur des points non encore abordés précédemment dans le cadre de l'étude des circonstances épidémiologiques favorisant le déroulement de l'Entomophthorose àNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, pathogène de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Hom.: Pseudococcidae). Il montre notamment que l'évolution de la maladie, très rapide, correspond à la succession de 2 phases: une première phase, d'implantation, fortement liée à la taille et à la structure des colonies et une deuxième phase (épizootique au sens strict) indépendante de leur taille et de leur structure. Son évolution appara?t plus liée à la régularité des pluies qu'à la quantité d'eau. Les conditions sont très favorables quand l'humidité relative est supérieure à 90% pendant au moins 5 heures par jour de fa?on régulière. Le r?le important joué par la durée d'humectation du feuillage est montré ici pour la première fois. La densité des conidies du pathogène dans l'air est proportionnelle aux taux de mycose observés dans les populations deP. manihoti.   相似文献   

3.
Résumé L'étude des variations d'abondance et des factuers de régulation de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero 5 ans après l'introduction du parasito?de néotropicalEpidinocarsis lopezi (de Santis) révèle la constance des pullulations du ravageur depuis 9 ans. Les pics de pullulations s'observent surtout en début de saison des pluies. Aucune corrélation n'a pu être établie entre les paramètres caractérisant les pluies et les variations du nombre de cochenilles. Nos observations confirment que l'entomophthoraleNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller est le principal facteur de régulation de la cochenille au Congo. L'impact des prédateurs de la cochenille ne semble pas s'être modifié depuis 1979: la coccinelleExochomus flaviventris Mader reste le prédateur le plus actif. L'acclimatation du parasito?deE. lopezi s'est traduite par une augmentation du taux de parasitisme par un facteur 2 à 3. Elle n'a cependant pas permis de modifier l'allure et l'ampleur des pullulations de la cochenille. Enfin, la co?ncidence entre les brutales augmentations du nombre de cochenilles et de profondes modifications de la physiologie du manioc laisse à penser que cette dernière joue un r?le important.   相似文献   

4.
Résumé Le parasitePauesia cedrobii Stary et Leclant, spécifique du puceron du CèdreCedrobium laportei Remaudière, a été récolté dans le Moyen-Atlas, (Maroc) puis introduit dans un peuplement de cèdre (Cedrus atlantica Manetti) du sud-est de la France au printemps 1981. La méthode utilisée a consisté en une introduction directe des parasites, préalablement isolés sur le lieu de récolte (momies) puis mis à éclore en chambre climatisée de fa?on à éliminer les hyperparasites. Après accouplement, 225 adultes ont été introduits dans des manchons installés sur des rameaux abritant des colonies deC. laportei. L'évolution des populations de l'h?te et du parasite a été suivie au niveau des points de lacher d'une part, et dans la parcelle d'autre part. L'installation définitive du parasite dans la parcelle s'est produite, 1 an après le lacher, grace à un automne et à un hiver particulièrement doux, qui ont favorisé la multiplication de l'h?te. Le parasite est définitivement implanté: il est encore présent 4 années après le lacher. Entre temps, il a été étendu à d'autres forêts de cèdre du sud-est de la France. Huit espèces d'hyperparasites autochtones se sont portés surP. cedrobii, mais ceci ne remet pas en cause la réussite de l'introduction de l'aphidiide. Avec la collaboration technique deE. Robert, A. Chalon, J. Chizky.  相似文献   

5.
C. A. Dedryver 《BioControl》1981,26(4):381-393
Résumé L'étude comparée de l'action limitative de 3 espèces d'Entomophthoraceae sur les pucerons des céréales a été effectuée dans l'Ouest de la France (Bassin de Rennes essentiellement) de 1975 à 1978. La quasi-totalité des cas de mycose sont dus àErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Keller etEntomophthora planchoniana Cornu. L'analyse de la répartition des différentesEntomophthoraceae au cours de l'année montre queE. neoaphidis est l'espèce qui a la plus grande période d'activité (elle se manifeste pendant pratiquement toute l'année sur les populations anholocycliques) et qui infecte, à un moment donné, le plus de pucerons.C. obscurus dispara?t en général en hiver après la formation abondante de spores durables et ne réappara?t qu'au cours du printemps. D'une année sur l'autre, à un instant donné,C. obscurus est rarement déterminé sur plus de 25% du total des pucerons mycosés récoltés. Enfin,E. planchoniana a une période d'activité essentiellement estivale qui peut se prolonger en automne sur les pucerons pullulant sur ma?s. C'est sur ces derniers qu'elle semble la plus efficace. Sur blé d'hiver, l'action apparente deE. neoaphidis et deC. obscurus n'est pas la même selon l'espèce de pucerons et la position de ceux-ci sur la plante:E. neoaphidis est encore plus pathogène pourM. dirhodum que pourS. avenae etC. obscurus semble davantage parasiter les pucerons situés sur le feuillage que ceux situés sur les épis. Enfin, l'étude de l'action deE. neoaphidis, C. obscurus etE. planchoniana en fonction de la taille de la colonie (ou du ?groupe? de pucerons) montre que l'action deE. neoaphidis semble indépendante de la densité de pucerons alors que le développement deC. obscurus dans les colonies est moins rapide que l'augmentation de taille de celles-ci. D'une manière générale, l'action deE. planchoniana est moins bien connue du fait du manque de matériel. La prédominance deE. neoaphidis s'explique par l'excellente adaptation de cette espèce à l'anholocyclie des pucerons, par sa faible spécificité à l'intérieur du groupe des aphides et par le nombre important de conidies qu'elle projette en atmosphère saturante. Cette espèce semble avoir les meilleures potentialités entomopathogènes en tant qu'agent de lutte biologique en cultures céréalières, mais son emploi futur sera subordonné à sa production de masse sous forme stable et pathogène.
Summary The role of 3 species ofEntomophthoraceae on cereal aphids in the West of France from 1975 to 1978 was compared. Almost all the infected aphids were killed byErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn), Remaud. & Keller andEntomophthora planchoniana Cornu. A study of the distribution of the different species ofEntomophthoraceae during the year shows thatE. neoaphidis has the longest period of activity and infects most aphids. C. obscurus generally disappears in winter after an abundant formation of resting spores and reappears during the spring. On each sampling date,C. obscurus infects generally no more than 25% of the diseased aphids.E planchoniana occurs essentially during the summer and autumn on aphids living on ma?ze on which it seems to spread efficiently. On winter wheat the action ofE. neoaphidis andC. obscurus is different, depending on the species of aphid and on the position occupied by the aphids on the plant:E. neoaphidis is more pathogenic forM. dirhodum than forS. avenae andC. obscurus seems more pathogenic for the aphids (whatever the species) on leaves than for the aphids on ears. Finally the efficiency ofE. neoaphidis, C. obscurus andE. planchoniana relative to the size of the populations of the different samples was studied: the pathogenicity ofE. neoaphidis seems to be density independant, whereas the development ofC. obscurus in the colonies is slower than the rate at which they increase in size. Little is known about the pathogenicity ofE. planchoniana because of the lack of material. The prevalence ofE. neoaphidis is explained by its adaptation to the anholocycly of the aphids, by the broad spectrum of species it infects and by the numerous conidia it produces in a moist atmosphere. This species seems to have the best potential as an agent of biological control in cereal but currently its mass production poses problems.


Avec la collaboration technique d'Augustine Gellé etSylvie Tanguy  相似文献   

6.
B. Le Rü 《BioControl》1986,31(1):79-89
Résumé L'action régulatrice d'un champignon du groupe des Entomophthorales,Neozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, est mise en évidence pour la lère fois dans une population de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Homoptères: Pseudococcidae) en République Populaire du Congo en 1982. Le pathogène est de loin l'ennemi naturel qui intervient le plus significativement dans la régulation des effectifs. L'extension de la maladie dans la population h?te appara?t conditionnée par l'apparition simultanée d'une humidité relative supérieure ou égale à 90% et d'une température journalière minimale supérieure à 20°C. Elle semble également liée à la densité du ravageur. On notera enfin que les formes adultes sont systématiquement plus infectées que les formes larvaires.
Summary The regulatory action of the entomophthoraceous fungusNeozygites fumosa (Speare) Remaudière & Keller (Zygomycetes) is shown for the ist time in a population of the Cassava mealybug,Phenacoccus manihoti (Hom.: Pseudococcidae), in the People's Republic of the Congo in 1982. This pathogen is by far the natural enemy which intervenes the most significantly in the regulation of this insect. The development of the epizootic appears to be influenced by a relative humidity of at least 90% along with a minimal daily temperature greater than 20°C. The spread of the disease also seems to be affected by the host density. Throughout the entire duration of this study, the adult forms were more infected than the larval forms.
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7.
Résumé Sept souches deConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller ont pu être classées en 2 groupes en fonction de leur pathogénicité vis-à-vis du puceron du pois. Les conidies primaires des souches agressives germent en pourcentage plus élevé que les conidies des souches non agressives (incapables d'infecter des pucerons). Elles ont aussi une meilleure propension à émettre des tubes germinatifs plut?t que des conidies secondaires.
Summary Seven strains ofConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller were classified into 2 groups depending on their pathogenicity against the pea aphid. Variations in germination patterns on the aphid cuticle were related to differences in pathogenicity of the strains. Primary conidia of the virulent strains germinated in higher concentration than the avirulent ones; furthermore, the former have a greater tendandy to produce germ tubes than secondary conidia.
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8.
The species spectrum of entomophthoralean fungi parasiting aphids was investigated in Slovakia. The surveys focused on aphid fauna occupying both agricultural crops and vegetation at non-crop sites. During the surveys, 15 different entomophthoralean species were identified from 66 aphid species. Of these 15 fungal species, eight had not previously been recorded in Slovakia and one species, Erynia erinacea (Ben-Ze’ev et Kenneth) Remaudière et Hennebert, had not been recorded previously in Central Europe. New hosts for some parasitic fungi were also recorded. The occurrence of fungal infection and the fungal species spectrum varied with sampling period and sampling area. In general, the fungi were observed parasiting aphid populations from April until November. Pandora neoaphidis (Remaudière et Hennebert) Humber was the predominant fungal pathogen and could effectively reduce aphid populations. Entomophthora planchoniana Cornu and Conidiobolus obscurus (Hall et Dunn) Remaudière et Keller were also common pathogens of aphids, but without an epizootic potential. On the other hand, Neozygites fresenii (Nowakowski) Remaudière et Keller had a strong tendency to establish epizootics in dense aphid colonies, especially in those of the black bean aphid. Other entomophthoralean species observed in the country were considered to be minor aphid pathogens on account of their low occurrence, lower specificity to aphids, or high specificity to a single aphid species. This is the first detailed report to date on the occurrence of Entomophthorales in Slovakia.  相似文献   

9.
Summary The chitinase, protease and lipase activities of aggressive (Ag+) and non-aggressive (Ag) strains ofConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & keller have been studied in agar and agitated liquid cultures. The strains produced different quantities of proteases, but no relationship could be established between protease activity and pathogenicity. In contrast, the lipase-esterase activity of Ag strains observed in liquid media is greater than that of Ag+ strains. All Ag+ strains produced a chitinase and are capable of metabolising the N-acetyl glucosamine (NAG) liberated. In contrast, of the Ag strains, some do not possess chitinase activity while others secrete this enzyme but cannot metabolize the NAG liberated.
Résumé Les activités chitinasique, protéasique et lipasique de souches deConidio bolus obecurus (Hall& Dunn) Remaudière & Keller ont été étudiées en milieu gélosé et en culture liquide agitée. Les souches sécrètent des protéases à des taux diffℰrents mais aucune relation n'a pu être établie entre l'intensité des protéases étudiées et l'agressivité des souches. Par contre, l'activité lipasique-estérasique des souches non agressives (Ag) observée en milieu liquide est plus importante que celle des souches agressives (Ag+). Toutes les souches Ag+ produisent une chitinase et sont capables de métaboliser la N-acétylglucosamine (NAG) libérée. Au contraire, les souches Ag n'ont pas d'activité chitinasique ou celles qui excrètent cette enzyme ne peuvent métaboliser la NAG libérée.
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10.
Résumé Le r?le des Entomophthorales dans la dynamique des populations de pucerons infestant la végétation spontanée est comparé d'une part en zone littorale (Basse-Normandie) et d'autre part en zone continentale (Vosges). En Basse-Normandie, le comportement anholocyclique de nombreuses espèces de pucerons contribue à la permanence des populations aphidiennes et, en conséquence, à la persistance de la mycose. Dans les Vosges, en raison des dures conditions hivernales, les pucerons ont un développement holocyclique et leurs colonies se développent pendant 6 ou 7 mois seulement; en 1974, la mycose appara?t au moment du maximum de la population aphidienne et une situation épizootique détermine le rapide déclin des populations. Dans les 2 régions,Erynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Entomophthora planchoniana Cornu,Neozygites fresenii (Nowak.) Remaud. & Kell. etConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Kell sont les pathogènes les plus communs. La fréquence deZoophthora phalloides Batko sur le littoral normand contraste avec sa rareté dans les Vosges.Conidiobolus osmodes Drechsler, occasionnellement observé en Normandie, n'a jamais été rencontré dans les Vosges.E. neoaphidis etE. planchoniana sont présents toute l'année. La première espèce est plus abondante au printemps, la seconde en automne.C. obscurus etZ. phalloides semblent mieux adaptés aux conditions fra?ches du printemps et de l'automne et sont très rarement rencontrés pendant la période chaude de l'été. En revanche,N. fresenii est trouvé surtout en été etC. osmodes presque exclusivement en hiver.Z. phalloides montre une préférence marquée pour des h?tes tels queMyzus ascalonicus Donc. etTubaphis ranunculina Wlk.;E. planchoniana attaque préférentiellement les espèces du genreCavariella. Les profils dynamiques des différents pathogènes des pucerons les plus communs sont donnés et les particularités écologiques de chaque pathogène sont précisées; les situation épizootiques se manifestent exclusivement en présence de populations aphidiennes de haut niveau. Toutes les espèces agissent comme de bons facteurs de régulation et, saufN. fresenii, sont capables de se maintenir aux dépens de populations aphidiennes très basses et clairsemées.
Summary The role of entomophthorosis in the dynamics of aphid populations infesting natural vegetation in northern littoral France (Basse-Normandie) and in northeastern continental France (Vosges) is compared. In Basse-Normandie, anholocyclic behavior of numerous aphid species contributes to the permanent presence of aphid populations and consequently, the persistence of mycosis. In the Vosges, severe winter, conditions result in holocyclic development whereby aphid colonies are present for only 6 to 7 months; during 1974 diseased specimens appeared when aphid populations were maximum, subsequent epizootic development caused a rapid decline of populations. In the 2 regions,Erynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Entomophthora planchoniana Cornu,Neozygites fresenii (Nowak). Remaud. & Kell. andConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Kell. are most common. The frequent occurrence ofZoophthora phalloides Batko in littoral Normandy contrasts with an apparent rarity in the Vosges.Conidiobolus osmodes Drechsler is occasionally encountered in Normandy, but is not found in the Vosges.E. neoaphidis andE. planchoniana are present throughout the year. The former is most abundant in the spring, the latter in the autumn.C. obscurus andZ. phalloides seem better adapted to cooler spring and fall conditions as their occurrence is exceedingly rare during the host summer period. In contrast,N. fresenii is found in the summer whileC. osmodes almost always occurs in the winter.Z. phalloides appears to prefer such asMyzus ascalonicus Donc. andTubaphis ranunculina Wlk.;E. planchoniana prefersCavariella spp. Dynamic profiles of the various pathogens of the most common aphids at different times of the year are given; ecological features of each pathogen are described; epizootics only occur in high aphid populations. All species act as good regulating factor and, with the exception ofN. fresenii, persist in very low aphid populations.
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11.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

12.
B. Papierok  N. Wilding 《BioControl》1981,26(3):241-249
Résumé Au sein de l'espèceConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller, les souches différant par leur comportement en culturein vitro présentent également des différences dans leur comportementin vivo. Les souches qui poussent rapidement, plissent le milieu et forment facilement des azygospores (type A) sont moins virulentes à l'égard deAcyrthosiphon pisum Harris et deSitobion avenae F. que les souches de type B, qui poussent plus lentement, plissent peu le milieu et ne produisent pas de spores de résistance. La durée d'incubation de la maladie chez les 2 espèces de pucerons est plus longue chez les individus infectés par une souche de type B que chez ceux infectés par une souche de type A. La formation d'azygospores à l'intérieur des pucerons morts de mycose placés à 2°C sur de la cellulose mouillée n'est observée que dans le cas des souches de type A. En dernier lieu le nombre de conidies émis par un cadavre lors de la sporulation est en moyenne plus élevé dans le cas des souches de type B que dans celui des souches de type A. Les 2 types de souches doivent être regardés comme des races biologiques au sein de l'espèceC. obscurus.
Summary The 2 types of strain ofConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller which can be separated by differences in their growthin vitro, differed also in characteristics of their developmentin vivo. Strains which,in vitro, grow rapidly, fold the surface of agar media and readily produce azygospores (strains of type A), were less infective forAcyrthosiphon pisum Harris andSitobion avenae F. than strains of type B which grow more slowly, hardly fold the surface of agar media and fail to produce resting spores. However, the incubation period of the disease in both these aphid species was longer for type B than type A strains. Azygospores formed in aphids infected experimentally with type A strains but not in those infected with type B strains when the cadavers were placed on moist cellulose at 2°C. The mean number of conidia produced from aphids infected with strains of both types varied greatly but strains of type B produced more conidia per aphid than those of type A. The 2 types of strain should be considered as biological races within the speciesC. obscurus.


Avec la collaboration technique de MesdamesM. Arnault etS. K. Best.  相似文献   

13.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

14.
Résumé Cette étude avait pour objectif la mise au point d'un élevage du parasitePauesia cedrobii Stary & Leclant sur son h?te spécifiqueCedrobium laportei Remaudière, ce dernier étant multiplié sur des jeunes plants de cèdreCedrus atlantica Manetti. Dans des chambres climatisées à température et humidité relative constantes, on a placé des enceintes d'élevage assurant respectivement 8 et 16 heures d'éclairement. Pendant la phase d'éclairement, et malgré 2 ventilateurs chargés d'assurer l'extraction de l'air, la température des enceintes a augmenté d'environ 3°C. Au total, 9 conditions climatiques ont été testées, chacune pendant un an et demi. A 4°C, le parasite ne s'est pas multiplié. A 8°C, il s'est maintenu pendant une année environ, mais cette température s'est montrée encore trop proche de son seuil inférieur de développement et de celui de son h?te. A 12°C, on a observé un bon équilibre entre le parasite, qui s'est développé normalement, et son h?te, qui n'a jamais disparu. A 20°C, les élevages ont eu un bon rendement pendant 6 mois, mais il n'a pas été possible de les maintenir pendant plus longtemps. A cette température, et plus encore à 25°C, les plants de cèdre ont présenté des sympt?mes de dépérissement. A 25°C, les résultats mettent en évidence une action défavorable de la température sur tous les niveaux trophiques. En règle générale, les jours longs ont été un peu plus favorables aux élevages.   相似文献   

15.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

16.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

17.
Résumé Uniquement connue du sud des Etats-Unis d'Amérique, l'EntomophthoraleNeozygites fumosa (Speare) Remaudière & Keller a été retrouvée en République populaire du Congo, où elle attaque la Cochenille du manioc,Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero [Hom.: Coccoidea Pseudococcidae]. De légères variations d'ordre biométrique sont mises en évidence au sein de l'espèce fongique. A ce jour, parmi les Entomophthorales mentionnées dans la littérature comme pathogènes de Cochenilles, seules deux espèces peuvent être retenues avec certitude:Neozygites fumosa etConidiobolus pseudococci Speare (Tyrrell & MacLeod), toutes deux pathogènes dePseudococcidae.
Summary The entomophthoraceous fungus,Neozygites fumosa (Speare) Remaudière and Keller, which was only known from the south of the U.S.A., was found in the People's Republic of the Congo, on the Cassava mealybug,Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero [Homoptera: Coccoidea, Pseudococcidae]. Slight biometrical variations appear within the fungal species. At the present time, among the Entomophthorales cited in the literature as parasitizing Coccoidea, two species only can be retained with certainty:Neozygites fumosa andConidiobolus pseudococci Speare (Tyrrell and MacLeod), both attackingPseudococcidae.
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18.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

19.
The main characteristics of the imaginal and preimaginal development and the reproduction ofOrius laevigatus were studied at 15, 20, 25 and 30°C. Temperature greatly influences the developmental and reproductive biology of this species. The lowest developmental threshold is 10,6°C. Reproduction is greatly reduced at 15°C relative to the higher temperatures tested. O. laevigatus is well adapted to relatively high temperature conditions. The best development and reproduction rates are observed between 20 and 30°C with a theoretical optimum at 26°C.
Résumé Les principales caractéristiques du développement pré-imaginal et imaginal ainsi que la reproduction d'Orius laevigatus sont étudiées à des températures de 15, 20, 25 et 30°C. La température influence considérablement le développement embryonnaire et post-embryoannaire de cette espèce. Le zéro théorique de développement se situe à 10,5°C. Les capacités reproductrices sont fortement perturbées à des températures inférieures à 15°C. Les résultats montrent queO. laevigatus est une espèce adaptée à des conditions thermiques relativement élevées. C'est entre 20 et 30°C, avec un optimum de 26°C, que s'expriment le mieux les capacités de développement et de reproduction de ce prédateur.
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20.
N. P. Markwick 《BioControl》1986,31(3):225-236
Methods used for evaluating the effects of pesticides and selecting for pesticide resistance in phytoseiid mites are reviewed from recent literature. In particular slide dip, leaf dip, and leaf disc spray methods are compared. The selection of predatory mites (Typhlodromus pyri Scheuten andPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot) for resistance to 3 synthetic pyrethroids (SP-cypermethrin, deltamethrin, and fenvalerate) is described. Tolerance of field populations to all 3 SP was low inP. persimilis but moderate inT. pyri. Field samples of both mite species on leaf discs were sprayed and the survivors were reared in laboratory and/or glasshouse cultures. These cultures were sprayed with repeated doses of SP; initiallyT. pyri was selected with cypermethrin andP. persimilis with fenvalerate. The survival rate ofT. pyri increased at each selection. After 6 selections the survival rate of the laboratory culture was 10 times that of the original field samples. Tests indicated crossresistance inT. pyri to fenvalerate and deltamethrin. Selection with cypermethrin is continuing. In the first 12 months repeated selections ofP. persimilis with fenvalerate gave no significant change in survival rate.
Résumé Les méthodes utilisées pour évaluer les effets des pesticides et pour sélectionner la résistance à ces mêmes produits, des acariens phytoseiides sont analysées d'après la littérature récente. La sélection des acariens prédateurs (Typhlodromus pyri S{upcheuten} etPhytoseiulus persimilis A{upthias}-H{upenriot}) pour leur résistance aux 3 pyréthrinoides de synthèse (cyperméthrine, deltaméthrine et fenvalerate) est décrite. La tolérance des populations naturelles aux 3 pyréthrinoides de synthèse était basse pourP. persimilis, mais modérée pourT. pyri. Les échantillons des 2 espèces d'acariens prélevés à l'extérieur furent traitès sur des disques de feuilles et les survivants furent élevés au laboratoire et/ou dans des cultures en serre. Ces élevages furent traités avec des doses répétées d'un pyréthrinoide, cyperméthrine initialement pourT. pyri et fenvalerate pourP. persimilis. Le taux de survie deT. pyri augmentait à chaque sélection. Après 6 sélections, le taux de survie de l'élevage de laboratoire était 10 fois celui des échantillons d'origine. Les essais révélaient une résistance croisée deT. pyri à la fenvalerate et à la deltaméthrine. La sélection avec la cyperméthrine se poursuit. Au cours des 12 premiers mois, les sélections répétées deP. persimilis avec la fenvalerate ne donnait pas de changement significatif dans le taux de survie.
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