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1.
Capture efficiency, handling time and functonal response to prey density were studied in larvae ofSyrphus ribesii (L.) andS. corrollae (Fabr.) eatingMyzus persicae Sulz. at 20°C, 16 hrs light. First instar larvae ofS. ribesii had distinctly higher capture efficiency than 1st instar larvae ofS. corollae, both versus 1st instar and adult aphids. Second and 3rd instar larvae of both species seemed to prefer adult rather than 1st instar aphids, but no distinct difference in capture efficiency between the species was found. On comparable stages,S. ribesii always had shorter handling time thanS. corollae and it appeared in both species to be correlated with size of prey and predator. Handling time was thus shortest when 3rd instar larvae consumed 1st instar aphids. During one hour, 3rd instar larvae ofS. ribesii consumed aphids in quantities almost linearly dependent on aphid density (5, 10, 20 and 40 adult aphids/100 cm2), although the response also could roughly be described byHolling's “basic functional response curve”. On the contrary, 3rd instar larvae ofS. corollae soon reached a maximum consumption during one hour, being almost constant (5–7 aphids) at prey densities ≥10 aphids/100 cm2.
Résumé L'efficacité prédatrice (proportion de toutes les rencontres entre larves de syrphes et pucerons se terminant par la capture et la succion de pucerons), la durée d'activité et la relation entre l'absorption de nourriture et la densité des proies (5, 10, 20 et 40Myzus persicae Sulz. aptères au 5e stade larvaire/100 cm2) ont été étudiées chez des larves deSyrphus ribesii (L.) etS. corollae (Fabr.) à 20°C et 16 h de photopériode. Les L1 deS. ribesii présentent une efficacité prédatrice des pucerons des premier et dernier stades nettement plus élevée que les L1 deS. corollae (S. ribesii: 71 et 38%;S. corollae: 42 et 0%). Chez les larves des 2e et 3e stades, on n'a observé aucune différence d'efficacité prédatrice entre les 2 espèces, mais une préférence pour les pucerons adultes. La durée d'activité deS. ribesii est dans tous les cas plus courte que celle deS. corollae pour un même stade de larves et de pucerons. Une corrélation positive semble exister entre la taille des proies et celle des prédateurs. La durée d'activité est la plus courte pour des prédateurs en L3 s'alimentant de pucerons au premier stade (1,3 mn chezS. ribesii et 2,3 mn chezS. corollae). L'absorption de nourriture enregistrée en une heure chezS. ribesii varie presque linéairement avec la densité des pucerons; elle correspond d'autre part assez bien à la formule deHolling. L'absorption de nourriture parS. corollae atteint un maximum de 7 pucerons à l'heure et demeure pratiquement constante à partir d'une densité≥10 pucerons/100 cm2.


The author wishes to thank techn. ass.Bodil Horgen for assistance during the experiments  相似文献   

2.
U. Yinon 《BioControl》1969,14(3):321-328
The most common parasite ofC. bipustulatus larvae and pupae in Israel isH. flaminius [Hym., Encyrtidae]. A theory of the survival of hyperparasites through a mechanism which prevents overlapping of appearance was presented. The parasites, predators and pathogens which were found as well as those reviewed in the literature explain the low value ofC. bipustulatus in biological control of scale-insects in groves.
Résumé Le parasite le plus commun des larves et des nymphes deC. bipustulatus en Israel estHomalotylus flaminius (Encyrtidae). Il a été montré expérimentalement que deux autres espèces,Achrysopophagus aegyptiacus etPachyneuron siculum, sont des hyperparasites des larves deH. flaminius. Il est présenté une théorie de la survie des hyperparasites à l'aide d'un mécanisme qui empêche les chevauchements d'apparition. Les autres hyménoptères parasites nouveaux, les fourmis les fourmilions et les champignons pathogènes ont une importance secondaire dans la réduction des populations deC. bipustulatus. Les parasites, prédateurs et pathogènes que nous avons trouvés aussi bien que ceux mentionnés dans la littérature expliquent la faible valeur deC. bipustulatus pour la lutte biologique contre les cochenilles en vergers.


Research financed in part by grant No. FG.-Is-227, U.S.D.A.  相似文献   

3.
R. Cherry  R. V. Dowell 《BioControl》1979,24(4):385-391
A 2-year survey of known whitefly predators was conducted from winter 1976 to winter 1978 in Broward County, Florida. Also, the impact of predators on citrus blackfly populations was measured under field conditions using lifetable data and predator exclusion data. In addition, feeding experiments were conducted to determine specific predators on different citrus blackfly stages. In the survey, the total number of predators caught in 1977 was significantly greater than 1978 and reasons for this difference are discussed. Spiders and the coccinellid,Delphastes pusillus Lec. were the most abundant predators being ca. 90% of all predators caught. Results from the lifetable and predator exclusion technique were similar showing that predators caused a 52 to 66% reduction in citrus blackfly populations. Feeding tests showed that predator responses to feeding on citrus blackfly were variable depending on species of predator, stage of predator, and stage of citrus blackfly.
Résumé Une étude pendant 2 ans des prédateurs de l'aleurode des citrus a été réalisée de l'hiver 1976 à l'hiver 1978 dans le Comté de Broward en Floride. L'influence des prédateurs sur les populations d'aleurodes a été mesurée dans les conditions naturelles par l'élaboration d'une table de vie et par des essais d'exclusion des prédateurs. En outre des expériences ont été effectuées afin de déterminer les prédateurs spécifiques pour chacun des stades de l'aleurode. Le nombre total de prédateurs capturés en 1977 fut significativement plus élevé qu'en 1978; les causes de cette différence sont discutées. Des araignées et la coccinelleDelphastes pusillus Lec. ont été les plus abondants, représentant et iron 90% du total. Les résultats de la table de vie et de l'exclusion des prédateurs ont été analogues et montrent que ceux-ci provoquent une réduction de 52 à 66% des populations d'aleurodes. Les essais sur l'alimentation indiquent que les réponses ont été variables selon l'espèce de prédateur, le stade du prédateur et de l'aleurode.


Florida Agricultural Experiment Station Journal Series No. 1791. Partly supported by funds from Cooperative Agreement # 12-14-7001-1148 between U.S.D.A., and University of Florida.  相似文献   

4.
We present the results of a survey for natural enemies of eggs of the gypsy moth,Lymantria dispar (L.)(Lep.: Lymantriidae), in central Pennsylvania, along with a review of the world literature on the natural enemies of gypsy moth eggs. In Pennsylvania, the parasites wereOoencyrtus kuvanae (Howard)(Hym.: Encyrtidae) (by far the most abundant),Dibrachys cavus (Walker)(Hym.: Pteromalidae), andPediobius sp.(Hym.: Eulophidae). The predators were primarily ants(Hym.: Formicidae), but other predators included beetle larvae(Col.: Cantharidae, Dermestidae, Trogositidae), lacewing larvae(Neur.: Chrysopidae), bugs(Hem.: Pentatomidae), and mites(Acari). The parasiteO. kuvanae was in turn preyed upon by spiders(Araneida) and aPhymata sp.(Hem.: Phymatidae). Total predation of gypsy moth eggs averaged 11%, occurring at a constant rate of ca 0.6% per week throughout the summer and autumn. The greatest predation occurred nearer the ground with no differences among either aspect on the tree or tree species on which the egg mass was located. A negative association was discovered betweenO. kuvanae andD. cavus, but not betweenO. kuvanae andPediobius sp. Throughout the world, gypsy moth egg parasites and hyperparasites have been recorded from 6 different hymenopterous families; egg predators have been found in 13 families representing 5 orders of arthropods. Vertebrate predators of gypsy moth eggs are in 6 families of birds and 3 families of mammals.
Résumé Nous présentons ici les résultats d'une enquête sur les ennemis naturels des œufs deLymantria dispar (L.)(Lep. Lymantriidae) dans la Pennsylvanie centrale, ainsi qu'une revue de la littérature sur les ennemis naturels des œufs deL. dispar. L'ennemi naturel le plus abondant estOoencyrtus kuvanae (Howard)(Hym. Encyrtidae); parmi les autres parasites en Pennsylvanie, on compteDibrachys cavus (Walker)(Hym. Pteromalidae) et une espèce dePediobius (Hym. Eulophidae). Les prédateurs des œufs sont principalement des fourmis(Hym. Formicidae), des larves de coléoptères(Col.: Cantharidae, Dermestidae, Trogositidae), des larves d'hémérobe(Neu. Chrysopidae), des punaises(Hem. Pentatomidae) et des acariens(Acari). Des araignées(Araneida) et une espèce dePhymata (Hem. Phymatidae) sont également prédateurs deO. kuwanae. La perte totale des œufs du disparate est en moyenne de 11%, selon un taux constant d'environ 0,6% par semaine pendant l'été et l'automne, la prédation la plus importante a lieu près du sol, sans qu'il y ait de relation avec l'orientation des œufs sur l'arbre, ou l'espèce d'arbre sur lequel se trouvent les œufs. Une association négative a été découverte entreO. kuwanae etD. cavus, mais pas entreo. kuwanae etPediobius. Dans le monde les parasites d'œufs deL. dispar et les hyperparasites ont été signalés de 6 familles d'hyménoptères, les prédateurs d'œufs ont été trouvés dans 13 familles de 5 ordres d'arthropodes. Les vertébrés prédateurs des œufs appartiennent à 6 familles d'oiseaux et 3 familles de mammifères.


This work was supported under Regional Project NE-84 (revised), “Behavior and Interrelationships of the Gypsy Moth, its Natural'Enemies and Insecticides”, and conducted under Experiment Station Project No. 2044. Authorized for publication as paper no. 6306 in the Journal Series of the Pennsylvania Agricultural Experiment Station.  相似文献   

5.
P. Silvie 《BioControl》1991,36(3):431-441
Résumé Le parasitisme naturel deS. derogata et deC. flava, 2 Lépidoptères phyllophages du cotonnier a été étudié pour la première fois au Tchad en 1986 et 1987. Le pourcentage de parasitisme des larves deS. derogata récoltées dans les champs avoisinait en moyenne 18,5% en 1986, année avec une faible infestation de larves et 14,1% en 1987, année avec une forte infestation. En 1986,Meteoridea testacea (Braconidae) était le parasito?de le plus commun tandis qu'en 1987, quand plus de larves h?tes étaient disponibles,Apanteles syleptae (Braconidae) était l'espèce la plus commune. En 1987, des parasito?des secondaires sortaient de beaucoup de cocons de braconides apportés du champ au laboratoire, pour une étude ultérieure. En 1987, 15,7% des larves deC. flava récoltées dans les champs furent parasitées. Les parasito?des primaires qui sortaient de ces larves étaient tous spécifiques des espèces. Le parasito?de primaire le plus commun étaitAleiodes aligharensis (Braconidae). Par opposition, les parasites secondaires n'étaient pas spécifiques, mais c'étaient les mêmes espèces qui infestaient les cocons des parasito?des deS. derogata.   相似文献   

6.
F. Riviere  R. Thirel 《BioControl》1981,26(4):427-439
Résumé Le Crustacé CopépodeMesocyclops leuckarti pilosa,Kieffer 1930, commun à Tahiti dans les nappes d'eau douce en association avec les larves deCulex quinquefasciatus Say, 1823 etCx. annulirostris,Skuse, 1829 a été reconnu par les auteurs comme un prédateur efficace des larves nouvelles nées desAedes du sous-genreStegomyia de Polynésie (Ae. aegypti L. etAe. polynesiensis,Marks, 1951) lorsqu'il est introduit dans les g?tes larvaires de ces moustiques. Afin d'évaluer les possibilités de son utilisation comme agent de lutte biologique, les auteurs ont étudié le cycle biologique et le régime alimentaire de ce Cycclopidé et ont mené une série d'expériences sur sa prédation dans les conditions de laboratoire et du milieu naturel. En introduisant chaque semaine durant 14 mois des œufs d'Ae. aegypti et d'Ae. polynesiensis en nombre connu dans des pondoirs pièges de type O.M.S. au laboratoire, les auteurs ont montré queM. l. pilosa dévore en moyenne 91,6% des larves nouvelles nées des 2 espèces deStegomyia, durant toute la période d'observation. Les mortalités ou réductions obtenues ont été corrigées en fonction des résultats des pondoirs témoins d'où les Cyclopidés étaient absents. Dans des pondoirs placés dans des conditions naturelles, l'introduction de 5 femelles deM. l. pilosa dans chaque pondoir piège colonisé par desAedes (Stegomyia) provoque une réduction de 85% des formes préimaginales de ces moustiques. Ce taux de réduction se maintient durant toute la période d'observation de 14 mois.M. l. pilosa exerce une prédation beaucoup plus faible sur les autres espèces de Culicidés fréquentant les pondoirs exposés au milieu naturel, 9,7% pourCulex quinquefasciatus et 1,9% pourToxorhynchites amboinensis,Doleschall, 1857. Les auteurs décrivent la cha?ne alimentaire de l'écosystème existant dans les pondoirs ensemencés avecM. l. pilosa. Le copépode se nourrit essentiellement d'infusoires et n'est qu'un prédateur occasionnel de larves de moustiques. De ce fait, il ne s'établit pas d'équilibre proie-prédateur entre le copépode et les larves de moustiques. La dynamique des populations des copépodes est donc indépendante de celle des larves de moustiques. Ces résultats expérimentaux nous incitent à rechercher les conditions d'utilisation deM. l. pilosa comme agent de lutte biologique contre les larves desAedes du sous genreStegomyia, en particulier dans les terriers de crabe et les grands réservoirs d'eau domestiques.
Summary The cyclopoid copepodMesocyclops leuckarti pilosa Kieffer, 1930,(Crustacea) common in Tahiti in fresh water ground pools in association withCulex quinquefasciatus Say, 1823 andCx. annulirostris Skuse, larvae, has been recognized as an efficient predator of the 1st stage larvae of the polynesianAedes of the subgenusStegomyia (Ae. aegypti andAe. polynesiensis Marks, 1951), when introduced in their breeding sites. In order to assess its potential as a biological control agent, the authors studied the life cycle and the feeding habits of thatCyclopidae. They carried out experiments on its predatory habits in the laboratory and in the natural conditions. In the laboratory during 14 months, eggs ofAe. aegypti andAe. polynesiensis, have been introduced in known numbers in back ovitraps containing females ofM. leuckarti pilosa. As compared with the copepods free control, 91,6% of theAedes larvae are eaten up byM. l. pilosa. In natural conditions, the introduction of 5 females ofM. l. pilosa in each ovitrap colonized by theStegomyia induced a reduction of 85% of the immature forms of these mosquitoes, as compared with the control. This reduction rate has been kept up during the whole 14 months of the observation period. The reduction of the immature stages ofCx. quinquefasciatus is only 9,7% and that ofToxorhynchites amboinensis 1,9%. The authors describe the food chain in the ovitraps ecosystem whenM. l. pilosa is present. The copepod feeds mainly on Infusoria and is only an occasional predator of mosquito larvae. Therefore, there is no predatory-prey equilibrium between the copepod and the mosquito larvae. The copepod population dynamic is independant of that of the mosquito larvae. These experimental results incitate us to search for practical application ofM. l. pilosa as an biological agent againstAedes (Stegomyia) larvae, in particular in the large artifical water containers and in the crab holes.


Travail réalisé à l'Institut de recherches médicales ?Louis Malardé? (I.R.M.L.M., B.P. 30 — Papeete — Tahiti). Directeur: Dr J. Laigret. Depuis le dép?t du manuscrit une révision du genreMesocyclops a montré que l'espèce impliquée devait être rapportée àMesocyclops aspericornis,Daday, 1906.  相似文献   

7.
The accumulated data indicate that mesostomid flatworms are efficient predators of mosquito larvae. This paper presents the 1st published records for 3Mesostoma Ehrenberg, including 2 predators of mosquitoes.Mesostoma californicum Hyman,Mesostoma vernale Hyman, andMesostoma sp. cf.lingua Abildgaard were discovered in a temporary pool in Massachusetts.M. californicum andM. sp. cf.lingua were found to be efficient predators on mosquitoe larvae.
Résumé Les observations accumulées indiquent que les larves des Plathelminthes mesostomides sont des prédateurs efficaces des larves de moustiques. Cette note présente les premières mentions de 3Mesostoma Ehrenberg incluant 2 prédateurs de moustiques.Mesostoma californicum Hyman,Mesostoma vernale Hyman, etMesostoma sp. cf.lingua Abildgaard furent découverts dans une mare temporaire du Massachusetts.M. californicum etM. sp. cf.lingua ont été reconnus comme des prédateurs efficaces des larves de moustiques.
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8.
M. Kehat 《BioControl》1967,12(2):119-125
Résumé Pendant la période de 1961–1965 une étude a été faite sur les entomophages de la cochenille du palmier-dattier,Parlatoria blanchardi Targ., en Isra?l. Parmi les ennemis naturels les plus efficaces, il faut citer les Coccinellides, les Hyménoptères parasites et les Coléoptères du genreCybocephalus. Seulement 7 espèces de Coccinellides parmi les 25 trouvées sur les palmiers sont des prédateurs directs deParlatoria. Leur répartition varie dans les différentes régions du pays. Quatre espèces dePharoscymnus ont une importance primordiale et sont largement distribuées. L'espèce la plus fréquente et la plus répandue estPh. numidicus Pic.

Contribution from The National and University Institute of Agriculture, Rehovot, Israel. 1966 Series No. 1073-E.  相似文献   

9.
F. Hérard 《BioControl》1979,24(2):163-175
Résumé L'effet des ennemis naturels oophages deLymantria dispar (L.) est étudié dans une parcelle de la forêt de chêne-liège de Mamora, à partir d'échantillons de pontes prélevées au cours de l'été et de l'automne 1975. Les prédateurs sont les larves des coléoptèresTrogoderma versicolor (Creutzer),Anthrenus verbasci (L.) etTenebroides maroccanus Reitter; le parasite est l'hyménoptèreOoencyrtus kuvanae (Howard). Leur impact s'est accru au cours de l'été avant d'atteindre une valeur d'équilibre en automne. Au début de l'hiver, ils avaient détruits 76% des œufs déposés entre 0 et 2,5 m au-dessus du sol: les prédateurs ont dévoré la moitié de ces œufs et le parasite a tué 59% des œufs restant. Au-dessus de 2,5 m, tous les œufs sont morts: 76% par déficience physiologique et 24% tués par les prédateurs et parasites. La taille des pontes n'a pas d'influence sur les ennemis oophages. Le parasitisme est en corrélation avec le prédatisme lorsque celui-ci est compris entre 22% et 49% (en septembere et octobre): les pontes les moins démantelées par les prédateurs sont les plus parasitées. Le prédatisme et le parasitisme sont très variables d'un arbre à l'autre. La répartition hétérogène du parasitisme est liée aux conditions microclimatiques.
Summary The natural enemies attacking the eggs ofLymantria dispar (L.) in Morocco are larvae of the predaceous ColeopteraTrogoderma versicolor (Creutzer),Anthrenus verbasci (L.) andTenebroides maroccanus Reitter and the HymenopteraOoencyrtus kuvanae (Howard) and possiblyTelenomus spp. andGryon sp. The impact ofO. kuvanae increases during the summer but levels off during the autumn. By the beginning of winter these natural enemies had destroyed 76% of the eggs deposited on the trees from ground level to 2.5 m — the predators having consumed about 50% of the eggs and the parasite having killed about 26%. Above 2.5 m all the eggs were dead: 76% due to unknown natural causes and 24% killed by the predators and parasite. The size of the egg mass had no influence on the impact of the oophagous insects. There was a relation between parasitism and predation since predation removes between 22% to 49% of the eggs (in September and October); the masses that were the least disturbed were the most heavily parasitized. Predation and parasitism varied greatly from tree to tree. The heterogeneous distribution of the parasite is related to microclimatic conditions.


Cette étude a été réalisée au laboratoire de Zoologie de l'Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II à Rabat (Maroc), grace à l'appui de l'U.S.D.A., S.E.A. (PL 480. grant FG-Mo-102; project no F12-ENT-1).  相似文献   

10.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

11.
Résumé Un lacher du braconideOpius concolor Szepl. a été effectué au printemps au cours de la première génération de multiplication de la mouche de l'oliveDacus oleae Gmel. dans l'oliveraie de Delphes. Il permet de constater que: le parasite s'installe normalement aux dépens des larves réceptives (troisième stade), il est apte à parasiter les larves deD. oleae présentes en haut et en bas de l'arbre, les pontes des femelles s'étalent sur deux semaines, le parasite est susceptible d'être hébergé par les pupes qui s'enfouissent dans le sol. La mortalité larvaire naturelle due à des causes non parasitaires est importante, notamment dans les olives tombées au sol et dans celles de la partie basse et ombragée de l'arbre.
Summary A release of the braconid parasitoidO. concolor Szepl. was made during spring (May) against the larval population of the olive fruit flyD. oleae Gmel. in a grove containing some trees which had heavily infested olive fruits which had overwintered. The parasitoid developed normally in the 3rd instar larvae of this population. Although it was present throughout the tree, during the 1st days it was more active in the upper part where 51% of receptive larvae were parasitized than in the lower where 18% were parasitized. After one week, these figures were 20% and 44% respectively. They have been calculated from counts ofDacus larvae containing either eggs or larvae.O. concolor had almost completely disappeared from the tree 2 weeks after the release because of fruit fall following high winds, although it was still possible to find both eggs and larvae in the appropriate host stages on the soil. The emergingO. concolor population was dominated by male adults, making up 74% of the numbers. The natural mortality ofD. oleae larvae not induced by the parasite factor was important in the area, especially in the fruits fallen onto the soil in which 28% of young larvae and 14% of 3rd instar larvae died. Higher mortality occurred from these factors in the upper crown than in the lower: 16% of young larvae and 7% of 3rd instar larvae died in the former situation but 7% and 2% respectively in the latter. Almost no parasitism from indigenous parasites was recorded.
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12.
S. Grenier 《BioControl》1977,22(2):223-236
Résumé La nipagine M (ou parahydroxybenzoate de méthyle) est incorporée aux milieux synthétiques pour l'élevage des larves, ou à la nourriture et à la boisson des imagos de la tachinairePhryxe caudata Rond. La toxicité a été étudiée en calculant le temps au terme duquel 50% de la population a succombé (TL 50); ce TL 50 correspond aussi à la durée de vie ou de survie moyenne. Les larves du premier stade ont une survie moyenne supérieure à 50 jours dans certains milieux exempts de nipagine. En présence de 0,01 ou 0,04% de nipagine le TL 50 tombe respectivement à 41 heures ou 1 heure et demie. En l'absence de nipagine, les imagos ont une durée de vie moyenne variant de 11,1 à 20,5 jours selon le sexe et les conditions dans lesquelles ils séjournent (densité, présence d'h?tes à parasiter et virginité). Les femelles vivent en général légèrement plus longtemps que les males. En présence de nipagine la durée de vie des mouches est raccourcie dans tous les cas. Avec 0,1% de nipagine le TL 50 varie de 6,5 à 13,6 jours. La nipagine M, en raison de sa toxicité à des doses qui ne permettent pas de contr?ler efficacement les proliférations de champignons, est donc à prohiber dans les milieux artificiels pour larves et à éviter dans l'alimentation des adultes deP. caudata et sans doute d'autres parasites.
Summary The methyl-p-hydroxybenzoate is incorporated to the synthetic media for rearing larvae, or to the food and drink for adults of the tachinid flyPhryxe caudata Rond. The toxicity was estimated by calculating the time giving a 50% mortality in the population (Lethal Time: LT 50). This LT 50 is equivalent to the mean duration of life or survival. The new-hatched larvae have a survival mean time greater than 50 days in some nipagin free media. With 0,01 or 0,04% of nipagin, the LT 50 falls respectively to 41 hours or one hour and a half. Without nipagin, the average life time for the imagines varies from 11,1 to 20,5 days according to the sex and the rearing conditions (density, existence of hosts and virginity). The females generally live slightly longer than the males. With nipagin the duration of life of the flies is shortened in all cases. With 0,1% of methyl-p-hydroxybenzoate the LT 50 varies from 6,5 to 13,6 days. The nipagin M, in consideration of its toxicity at doses which do not permit to control effectually the proliferations of moulds, must be prohibited in artificial media forP. caudata larvae and avoided in the diets forP. caudata adults. This is probably true with others parasites.
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13.
Résumé Les variations d'abondance des 2 cochenillesPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero etFerrisia virgata Cockerell et des 2 prédateurs CoccinellidaeHyperaspis senegalensis hottentotta Mulsant etExochomus flaviventris Mader sont étudiées dans une parcelle de manioc. La colonisation de cette dernière parE. flaviventris est précoce, en présence de faibles niveaux numériques des 2 proies, mais avec une dominance deF. virgata; celle d'H. s. hottentotta intervient un mois plus tard en relation semble-t-il avec la présence d'une population deP. manihoti abondante et jeune. Nos observations font ressortir une dynamique des populations propre à chaque espèce de coccinelle, conditionnée par l'abondance de l'une ou l'autre des proies, la structure des colonies de chaque cochenille et les conditions climatiques (température) qui interviennent en synergie. Ainsi, la réponse numérique deH. s. hottentotta, plus forte que celle d'E. flaviventris, semble en relation plus étroite avecP. manihoti. PourE. flaviventris il appara?t difficile de séparer ce qui revient à chaque espèce de cochenille:F. virgata joue sans doute un r?le important pour son implantation dans les champs, puis sa raréfaction, mais c'est probablementP. manihoti qui permet l'augmentation de ses effectifs.   相似文献   

14.
Laboratory and field studies were conducted to study the suitability and efficacy ofBrinckochrysa scelestes Banks as a predator onMyzus persicae Sulzer in tobacco fields. Laboratory bred 2nd instar larvae ofB. scelestes at 6 per tobacco plant reduced the aphid population to the extent of 78% in 2 weeks. The movement of the predatory larvae on the tobacco plant and leaf was not at all hampered by the glandular trichomes and their secretions. The larvae moved freely and fed well and their pupae were recovered from all over the plant.
Résumé On étudie en laboratoire et en champ de tabac la valeur et l'efficacité deBrinckchrysa scelestes Banks comme agent de lutte biologique contreMyzus persicae Sulzer. Les larves du 2ème stade élevées en laboratoire de ce chrysope à raison de 6 par plante sont les plus actives et réduisent la population de pucerons de 78% en 2 semaines. Les sécrétions des trichomes des feuilles de tabac n'ont pas d'effet sur les larves ni sur leurs mouvements. Les larves se déplacent librement et se nourissent bien; des nymphes ont été trouvées sur tous les plants, ce qui indique que le prédateur est valable contreM. persicae et bien adapté à la culture de tabac.
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15.
A. Roques 《BioControl》1976,21(3):289-295
Résumé Des observations ont été effectuées sur la morphologie des stades préimaginaux et le cycle de développement d'Eurytoma waachtli Mayr., qui se développe en ectoparasite sur les larves de 4e stade du curculionidePissodes validirostris Gyll. dans les c?nes de pin sylvestre. On a constaté que le chalcidien n'attaque les larves dePissodes que si celles-ci sont préalablement parasitées et paralysées par des ichneumonides du genreScambus. E. waachtli détruit d'abord la larve deScambus puis se développe sur la larve du Coléoptère. Un tel comportement peut être qualifié de cleptoparasite. Le développement d'E.waachtli, en général monovoltin, est étroitement lié à la fois à celui dePissodes et à celui deScambus sp. En limitant le nombre de parasites primaires,E. waachtli joue un r?le favorable à l'accroissement des populations dePissodes validirostris.
Summary Observations have been carried out on the morphology of the pre-imaginal stages and the life cycle ofEurytoma waachtli Mayr., which occurs as ectoparasite on 4th instar larvae of the weevilPissodes validirostris Gyll. in cones of Scotch pines. It has been established that the attack by this chalcidid ofPissodes larvae occurs only when they have been previously parasitized and paralysed by ichneumonids of the genusScambus. First,E. waachtli kills the larva ofScambus, then feeds on the weevil larva. Such a behaviour may be called “cleptoparasitism”. The development ofE. waachtli generally monovoltine, is strongly related both to the development ofPissodes and ofScambus sp. By limiting the number of primary parasites,E. waachtli is playing a part in the increase ofP. validirostris population levels.


Avec la collaboration technique deJ.-P. Raimbault.  相似文献   

16.
A survey forHypera postica (Gyllenhal) and their larval parasites,Bathyplectes curculionis (Thomson) andB. anurus (Thomson) was conducted from 1973 through 1975 in Egypt, Iraq, and Iran. The search was concentrated in Iraq and Iran in areas having cultivated species ofMedicago, and in Egypt onTrifolium alexandrinum L. Hypera were most abundant where mean daily temperatures were below 25°C or above 15°C.B. curculionis were widely distributed throughout all 3 countries, but were most abundant in the regions having hot, dry summers, with moderately cold winters.B. anurus were less abundant and less widely distributed geographically thanB. curculionis. B. anurus were prevalent in regions having moderately warm summers and cold, to very cold, winters. In localities containing both parasites,B. anurus reached peak levels about 2–4 weeks beforeB. curculionis. Mesochorus spp. were the predominant hyperparasites obtained fromBathyplectes spp. They were widely distributed in Egypt, Iraq, and Iran.
Résumé La répartition géographique desHypera spp. (Col.: Curculionidae) et de ses parasites larvaires,Bathyplectes curculionis (Thomson) etB. anurus (Thomson) (Hym.: Ichneumonidae) a été étudiée de 1973 à 1975 en Irak et en Iran, dans les régions où sont cultivées les espèces deMedicago, et en égypte surTrifolium alexandrinum L. LesHypera spp. ont été trouvés en plus grand nombre là où la moyenne quotidienne des températures était inférieure à 25°C ou supérieure à 15°C.B. curculionis était largement répartie dans l’ensemble des 3 pays, mais plus abondante dans les régions à étés chauds et secs et à hivers modérément froids. B. anurus était moins abondante et moins largement répartie géographiquement queB. curculionis. B. anurus était dominante dans les régions à étés modérément chauds et à hivers froids ou très froids. Là où les 2 espèces étaient présentes,B. anurus était abondante 2 à 4 semaines avantB. curculionis. Les hyperparasitesMesochorus spp. ont été abondants surBathyplectes spp., leur répartition couvrant largement l’égypte, l’Irak et l’Iran.
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17.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

18.
Résumé Le nouveau sérotype H14 individualisé dans le groupe desBacillus thuringiensis Berliner, sous le nom de variétéisraelensis est un pathogène puissant et essentiel des larves de moustiques. Son pouvoir larvicide n'a aucun équivalent chez les autres sérotypes connus deB. thuringiensis et appara?t très compétitif avec celui deB. sphaericus. A dose forte,B. thuringiensis var.israelensis tue les larves d'Aedes aegypti L. en 20 à 30 mn et celles d'Anopheles stephensi (Liston), en 100 à 110 mn, les DL 50 en 24 h étant de l'ordre de 2,4.104 spores/ml pourAedes et de 9,8.104 spores/ml pourAnopheles. La toxicité deB. thuringiensis var.israelensis pour les larves de moustiques est liée à une endotoxine protéique présente dans les cristaux, de nature et de mode d'action comparables à ceux des endotoxines des autres souches deB. thuringiensis pathogènes pour les lépidoptères. L'étude histopathologique surAedes aegypti montre que l'effet primaire correspond à une désintégration de l'épithélium intestinal par gonflement, distorsion puis éclatement des cellules. L'absence d'action deB. thuringiensis var.israelensis sur les lépidoptères étudiés:Anagasta kuehniella, Z.,Plutella maculipennis Curtis etProdenia litura F., ainsi que son innocuité ?per os? pour les mammifères tendent à prouver une certaine spécificité pour les diptères. Toutes ces qualités, jointes à la parfaite connaissance du groupethuringiensis découlant de sa longue utilisation en forêts et en cultures, devraient faire de la variétéisraelensis un candidat préférentiel pour la lutte biologique contre les moustiques.
Summary The new serotype 14 which has been discovered in theBacillus thuringiensis Berliner group and named varietyisraelensis is a major pathogen for mosquito larvae. Its larvicidal power has been found without any equivalence in comparison with the other knownB. thuringiensis serotypes, and very competitive with the larvicidal activity ofBacillus sphaericus. At high doses,B. thuringiensis var.israelensis kills theAedes aegypti L. larvae in 20 to 30 mn, and theAnopheles stephensi (Liston) larvae in 100 to 110 mn. The DL50 in 24 h are about 2,4.104 spores/ml forA. aegypti and 9,8.104 spores/ml forA. stephensi. The toxicity ofB. thuringiensis var.israelensis for mosquito larvae is linked with a proteic endotoxin in its crystals, the nature and mode of action of which look like these ones of the otherB. thuringiensis strains, pathogens for lepidoptera larvae. The histopathological study onA. aegypti has shown that the primary action consists in the loss of integrity of the gut epithelium, as a result of the swelling, distortion and finally bursting of the cells. The lack of activity ofB. thuringiensis var.israelensis on the tested Lepidoptera:Anagasta kuehniella Z.,Plutella maculipennis Curtis andProdenia litura F. and its innocuity “per os” for mammals lead to suggest some specificity for Diptera. All these qualities, which are enhanced by the detailed knowledge ofB. thuringiensis group coming from its long practical use on large scale in forests and cultures, ought to put theisraelensis variety as a preferential candidate for the biological control of mosquitoes.
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19.
Oatman  E. R.  Gilstrap  F. E.  Voth  V. 《BioControl》1976,21(3):269-273
The effect of different release rates of a predaceous mite,Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, on the twospotted spider mite,Tetranychus urticae Koch, on strawberry was investigated in southern California in 1970–71. The spider mite population reached a peak of 206.3 active stages/leaflet in the low-rate (5/plant) release plot on May 4 and 169.1/leaflet in the high-rate (10/plant) release plot on May 18, compared to a peak of 433.4/leaflet in the control (no release) plot on May 11. The mean numbers of spider mites in the low-, and high-rate release plots were significantly different from the control from April 6 through June 15, but were never significantly different from each other. The predator population reached a peak of 13.1 and 23.8 active stages/leaflet in the low-, and high-rate release plots, respectively, on May 25 which was 3 weeks and 1 week after the spider mite population reached its peak in these plots. The seasonal mean numbers of spider mite active stages in the low-, and high-rate release plots were significantly different (P=0.05) from the control, but were not significantly different from each other. There were no significant differences in fruit yield (g/plant) or fruit size between the low-, and high-rate release and control plots.
Résumé Des lachers de l'acarien prédateurPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot ont été réalisés en 1970–71 dans deux fraiseraies de la Californie du Sud infestées parTetranychus urticae Koch. La densité des populations larvaires deT. urticae a atteint le 4 mai un maximum de 206,3 par foliole là où le lacher avait été de 5 par plante (parcelle 1) et de 169,1 pour 10 prédateurs par plant (parcelle 2) le 11 mai, alors que le témoin en contenait 433,4 par foliole. La densité des populations larvaires deT. urticae était comparable dans les parcelles 1 et 2 entre le 6 avril et le 15 juin, mais divergeait sensiblement de celle du témoin. Les populations de larves du prédateur ont atteint un maximum de 13,1 et 23,8 par foliole dans les parcelles 1 et 2 les 13 et 25 mai, respectivement, soit 3 semaines et 1 semaine après que celles deT. urticae aient atteint leur maximum. Pour la saison, la densité moyenne des populations larvaires deT. urticae enregistrée dans les parcelles 1 et 2 différaient considérablement de celle du témoin (P=0.05), mais la différence entre les terrains 1 et 2 n'était pas significative. Il n'y a pas eu de différences importantes entre la récolte de fraises (g/plante) ou la dimension des fruits récoltés dans les parcelles 1 et 2 et le témoin.
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20.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

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