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1.
The sex ratio of the progeny of single females parasitizing large hosts favoured the females (sex ratio=0.26); but on small hosts favoured the males (0.73). No differences in mortality of the sexes were detected. The sex ratio was independent of female age when large hosts were used. The percentage of males observed in the progeny of the first day of female oviposition was significantly greater than the mean, irrespective of the age at which female oviposition began. When females were exposed to small hosts, a greater percentage of females was observed in the progeny from the last days of oviposition.
Résumé L'influence de la taille de l'hôteret de l'âge de la femelle sur le taux sexuel de la descendance a été étudiée sur le parasitoïde Opius concolor Szépl.Le taux sexuel de la descendance des femelles isolées est favorable aux femelles (t.s.=0,26) quand elles ont à leur disposition des hôtes de grande taille, tandis qu'avec des hôtes petits le taux sexuel est favorable aux mâles (t.s.=0.73). On n'a pas détecté de mortalité différentielle des sexes.Les pourcentage de mâles obtenu le premier jour de ponte des femelles sur les hôtes de grande taille est significativement différent de la moyenne, indépendamment de l'âge de la femelle à ce moment. Cependant, sur des hôtes petits, bien que restant favorable aux mâles dans l'ensemble, une plus grande proportion de femelles à partir des premiers jours de ponte a pu être observée.
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2.
The fecundity, reproductive rates, and adult survival of Aphidius sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae) parasitizing second and third instar nymphs of the sowthistle aphid, Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae) were measured at six different host densities under constant laboratory conditions. At host densities of less than 50 aphids per flowering shoot per female per day, oviposition constraints resulting from the lack of hosts reduced the number of eggs laid, enhanced the extent of superparasitization and, as a result, effectively lowered the fecundity and reproductive rates of the parasites. Above this host density the parasites laid on average 220–230 eggs, but the effective fecundity and reproductive rates continued to increase with the host density. By contrast, the survivorship of the parasites seemed unaffected by host density, with an average adult life span of 4–5 days at all densities. Analysis of the data showed that the intrinsic rate of increase (rm) of the parasite varied with the host density and could reach values higher than that of the host under identical conditions. The response of rm to changes in host density and parasite sex ratio is illustrated.Overall, A. sonchi showed a typical convex functional response, to host density. However, the response showed obvious changes through the parasite's adult life and, furthermore, the rates of changes were not consistent at all host densities. The frequency distributions of parasite eggs were generally indistinguishable from random, and the number of hosts parasitized were predicted satisfactorily by the random oviposition equation.
Résumé L'étude a porté sure l'influence de 6 densités différentes d'Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), en conditions constantes de laboratoire, sur la fécondité, le taux de reproduction et la survie des adultes d'Aphidius sonchi Marshall (Hym. Aphidiidae, parasite des larves de 2e et 3e stades. A des densités inférieures à 50 pucerons par tige fleurie de Sonchus oleraceus L, par femelle et par jour, la limitation de la ponte due à l'absence d'hôtes a réduit le nombre d'oeufs émis, élevé le taux de superparasitisme et, en conséquence, diminué la fécondité et le taux de reproduction des parasites. Aux densités d'hôtes supérieures, les parasites ont pondu, en moyenne, 220 à 230 oeufs, mais la fécondité réelle et les taux de reproduction ont continué à augmenter avec la densité des pucerons. Par contre, la longévité des parasites n'a pas été affectée par la densité des hôtes, avec une durée moyenne de vie de 4 à 6 jours. L'analyse des données a montré que le taux d'accroissement intrinsèque (rm) du parasite a changé avec la densité des hôtes, et pourrait atteindre des valeurs supérieures à celles de l'ôte sous des conditions identiques. Les réponses de rm aux changements de densité des hôtes et au taux sexuel du parasite sont expliquées.Globalement, A. sonchi a présenté une réponse fonctionnelle convexe typique à la densité des hôtes. Cependant, cette réponse a changé au cours de la vie des images et, de plus, les taux de changement ne sont pas logiques à toutes les densités d'hôtes La fréquence de distribution des oeufs n'est généralement pas séparable d'une distribution au hasard, et le nombre d'hôtes parasites peut être prédit d'une façon satisfaisante en utilisant une équation de ponte au hasard.
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3.
Egg production in mated and virgin females of the cotton stainer, Dysdercus fasciatus Signoret, was studied in the laboratory. No significant differences were found in adult longevity, pre-oviposition period, inter-oviposition period, the total number of eggs oviposited during the whole reproductive period, and the mean number of mature eggs retained in the ovaries at each oviposition. Thus, mating has no influence on egg production or oviposition in this insect.
Résumé L'influence de la copulation sur la fécondité de la Punaise rouge du Coton, Dysdercus fasciatus fut étudiée au laboratoire à la température de 28±1° et à l'humidité relative de 55–65%. Six facteurs furent spécialement étudiés: la longévité des adultes, la durée de la période précédant la ponte, la durée moyenne des périodes comprises entre les pontes, le nombre de pontes déposées par chaque femelle durant sa phase reproductrice, le nombre moyen d'oeufs par ponte et le nombre moyen d'oeufs mûrs retenus dans les ovaires à chaque ponte.L'accouplement n'avait pas d'effet sur ces différents facteurs, excepté les quatrième et cinquième facteurs. Les femelles vierges déposaient davantage de pontes que les femelles ayant copulé, mais ces pontes avaient une plus petite quantité d'oeufs que les autres. Il en résultait que le nombre total des oeufs émis par les deux catégories de femelles durant leur vie était à peu près identique. Ainsi, dans cette espèce, l'accouplement n'avait pas d'influence apparente sur la fécondité relative et globale.
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4.
Previous foraging studies of individual Rhagoletis flies predict a positive relationship between the density of host fruits and probability of fruit infestation. This study examines how fruit density and other traits influence the distribution of Rhagoletis indifferens Curran larvae in an abandoned orchard. In 1986, when the level of fruit infestation was high, both the number of larvae/fruit and the percentage of fruits attacked were independent of fruit density at all spatial scales examined (among trees, within trees, or among fruit clusters). In 1987, when the level of fruit infestation was low and fruits were sampled throughout the season, the number of larvae/fruit was either independent of fruit density or, contrary to prediction, was inversely dependent on fruit density and tree size. In fruit-parasitic insects, as in many parasitoids, population-level responses to spatial variation in host density may be difficult to predict from analyses of individual behavior.
Résumé Des études précédentes sur Rhagoletis avaient suggéré que différentes caractéristiques de la plant-hôte,-densité des fruits, taille de la plante, présence de phéromones de marquage, etc.-, influençaient la prospection par les femelles gravides. Ce travail examine si ces caractéristiques sont utilisables pour prévoir la distribution des larves de R. indifferens dans un verger abandonné; par exemple, si une prospection concentrée dans les zones de forte densité de fruits entraîne une relation positive entre densité des hôtes et intensité des contaminations.En 1986, le niveau d'attaque était élevé: 89% des fruits examinés contenaient au moins une larve. Tant le nombre de larves par fruit que le pourcentage des fruits attaqués étaient indépendants de la densité des fruits et de l'échelle spatiale utilisée: entre les arbres, dans l'arbre, parmi le paquet de fruits. L'abondance de larves n'était pas plus liée à la taille de l'arbre, qu'à son aspect ou à sa position dans le verger. En 1987, quand l'attaque a été faible (<60% des fruits attaqués), l'échantillonnage des fruits pendant toute la saison a donné un nombre de larves par fruit, soit indépendant de la densité de fruits, soit, à l'opposé de nos prévisions, inversement dépendant de la taille de l'arbre et de sa densité en fruits. Bien que des infections multiples de fruits aient été fréquentes (17% des fruits contenaient de une à cinq larves), les larves étaient clairement distribuées uniformément parmi les fruits de l'arbre, probablement par suite de la présence de phéromones de marquage déposées après la ponte. Les mouches peuvent déceler lors de leur ponte la présence de larves d'autres espèces dans le fruit; la distribution des asticots est en relation négative avec celles des chenilles qui entrent plus tôt dans les fruits.Chez les insectes des fruits, comme chez de nombreux parasitoïdes, les réponses des populations aux variations spatiales de la densité de l'hôte peuvent difficilement être déduites de l'analyse du comportement individuel.
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5.
Female medflies were subjected to four different patterns of host deprivation at each of three levels for a 24-day period. Treatments ranged from host absence 8 days post-eclosion to host absence 2 out of 3 days. Survival was recorded daily and egg production was recorded on the days in which hosts were present.The direct effect of host deprivation is to deny females the opportunity to oviposit. This disrupts their reproductive cycle and reduces their overall reproductive effort. Reduced reproductive effort at young ages increases survival (up to 2-fold) and daily reproduction (up to 8-fold) at older ages. Therefore, the long term effect of host deprivation is to postpone senescence.The implications of these findings regarding medfly sensescence are discussed in relation to: (i) reduction in population extinction rates during periods of host scarcity and (ii) egging strategies in medfly mass-rearing.
Résumé Les femelles de C. capitata ont été privées d'hôtes suivant 4 modalités pendant 3 durées (33, 50 et 67% de leur vie) par période de 24 heures. Les modalités se répartissaient de la privation pendant 8 jours après l'éclosion jusqu'à 1 jour sur 3. La survie a été notée chaque jour et la ponte pour tous les jours où il y avait des hôtes.L'effect direct de l'absence d'hôte est d'empêcher la femelle de pondre. Ceci interrompt leur cycle de ponte et réduit leur activité reproductrice totale. Un effort reproductif réduit des femelles jeunes augmente la survie (jusqu'à 2 fois) et la ponte quotidienne (jusqu'à 8 fois) chez les femelles plus âgées. Ainsi, l'effet à long terme de la privation d'hôtes est d'ajourner la sénescence.Les implications de ces observations sur la sénescence de C. capitata sont discutées quant à: (1) la réduction des taux d'extinction des populations pendant les périodes de rareté d'hôtes; et: (2) les stratégies d'obtention de pontes dan les élevages de masse de C. capitata.
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6.
Résumé L'activité maximale de ponte des femelles vierges de Diadromus pulchellus Wsm., pourvues en hôtes 24 h après leur émergence, est atteinte au 9ème jour. Comme les femelles inséminées, les femelles vierges ont tendance à concentrer les pontes sur un même hôte car dans nos conditions expérimentales, un tiers des hôtes parasités ont été superparasités. Ce superparasitisme entraîne une perte de 31,1% des ufs émis. Les maximum d'hôtes parasités et superparasités sont atteints au moment de la plus forte activité de ponte.L'équivalence des effectifs des descendances théoriques (calculées à partir du nombre d'ufs sains émis) et des descendances réelles de femelles vierges, signifie d'une part, que, comme chez tous les hyménoptères à parthénogénèse arrhénotoque, les larves mâles issues d'ufs infertilisés sont hautement viables et d'autre part, que la larve victorieuse du combat larvaire atteint dans la majorité des cas le stade adulte libre.
Summary This study of the egg-laying behaviour of virgin females of D. pulchellus shows the relations between fecundity, superparasitism and the number of progeny.The highest egg-laying activity of the D. pulchellus virgin females, allowed access to their hosts (Acrolepiopsis assectella) 24 hr after emergence, was observed on the 9th day. In our experimental conditions, where each female was allowed access to five hosts, renewed daily, for 25 days, three quarters of the hosts available were actually parasitised. As with the fertilized females, the virgins tend to concentrate their eggs on the same host, so that a third of the parasitised hosts were superparasitised, causing a loss of 31,1% of the eggs laid.The greatest numbers of parasitised and superparasitised hosts were reached during the period of maximum oviposition.The equivalence of the theoretical number of progeny (based on the number of healthy eggs laid) and the actual progeny, shows that the survivors of larvae, competing in the same host, generally reach the free imaginal state.
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7.
Using artificial patches of Ephestia kuehniella (Lepidoptera: Pyralidae) eggs, we compared two strains of Trichogramma cacoeciae Marchal and three strains of T. brassicae Bezdenko (Hymenoptera: Trichogrammatidae) for their strategies in colonizing hosts. The method by which females distribute their eggs among hosts was assessed either in terms of the average distance between parasitized hosts within a given patch, or of the average distance of attacks in discontinuous patches arranged in a circle.Within each strain, the traits increased as females aged; they vary among strains, their range of variations within T. cacoeciae falling within that of T. brassicae. Variations of both traits are correlated and strains can be easily classified according to their overall tendency to concentrate their attacks.The adaptive importance of the foraging behaviour of parasitoid insects suggests that differences reported here could reveal adaptive behavioural differentiations of natural populations in response to local variations in selective constraints, mainly those emanating from host diversity, abundance and distribution.
Résumé Le mode de répartition des attaques parmi les hôtes est estimé par la distance moyenne entre les hôtes parasités dans une grande ooplaque homogène (500 hôtes) ou dans un système discontinu formé de six ooplaques de taille plus réduite (50 hôtes), régulièrement réparties sur un cercle.Pour chaque souche les deux caractères augmentent avec l'âge des femelles. Ils varient entre les souches, l'amplitude des variations au sein de l'espèce brassicae englobant celles observées chez cacoeciae.Les variations des deux caractères sont corrélées et les souches peuvent être classées suivant leur tendance plus ou moins marquée à concentrer leurs attaques.L'importance adaptative du comportement de colonisation des hôtes chez les insectes parasitoïdes laisse supposer que les différences constatées ici traduisent des différenciations locales des populations naturelles en réponse aux variations des contraintes sélectives, plus particulièrement celles qui sont liées à la diversité des hôtes, à leur abondance et à leur répartition.
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8.
Diglyphus begini (Ashmead) (Hymenoptera: Eulophidae) is a larval ectoparasitoid of the leafminer, Liriomyza trifolii (Burgess) (Diptera: Agromyzidae). Female wasps oviposit on larvae which are significantly larger than larvae utilized for host feeding or hosts rejected for oviposition or feeding. Host size is evaluated on a relative rather than absolute basis. Individual female reproductive success increases with host size because of accompanying increases in offspring survivorship and adult body size. The number and duration of parasitoid stings is significantly greater when host feeding compared to oviposition and host rejection due to extensive probing of the internal viscera of larvae with the female ovipositor when host feeding. Upon host paralysis, 47.5% of parasitoid eggs become displaced from their host. However, eggs experimentally placed a mean distance of 0.8 mm away from a host do not result in a reduction in offspring survivorship compared to eggs attached to a host.
Résumé La mineuse L. trifolii Burgess attaque de nombreuses cultures à travers le monde. L'eulophide, D. begini Ashmead, est un parasitoïde fréquent du diptère. L'objectif de nombreux praticiens de la lutte biologique est de pouvoir prédire le résultat de lâchers d'ennemis naturels. Cette étude a été entreprise en estimant que la connaissance du comportement de prospection aide á comprendre la dynamique des interactions des populations hôtes et parasites. Une attaque de D. begini se concrétisant par une ponte, est généralement caractérisée par deux piqûres de durée limitée avec émission de l'uf normalement au cours de la seconde piqûre.L'alimentation aux dépens de l'hôte est caractérisée par des piqûres prolongées et répétées. Les hôtes refusés pour la ponte ou l'alimentation sont piqués une fois ou deux, les deux piqûres étant très brèves.L'aptitude de D. begini à percevoir les différences de tailles des larves de L. trifolii augmente la valeur adaptative individuelle des parasites. Les femelles ne pondent que dans les hôtes les plus grands, ce qui augmente le taux de survie des descendants et la taille des adultes. Puisque la taille des hôtes est évaluée sur une base relative, la valeur adaptative du parasite est indépendante des changements de distribution des tailles des hôtes rencontrés. Les larves de L. trifolii utilisées comme hôtes ne deviennent pas immédiatement immobiles après avoir été attaquées. Ceci fait que de nombreux ufs peuvent être délogés de leur hôte. Nous avons été incapables de déceler quelque effet nocif de ces mouvements de l'hôte après la ponte sur la survie des ufs de D. begini.
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9.
The egg laying pattern of the spotted stalk borer on sorghum and maize, Chilo partellus (Swinhoe) (Lepidoptera: Pyralidae) was studied during the first three nights of oviposition under laboratory conditions. More than 50% of both eggs and egg batches are laid during the first night of oviposition. Batch size decreases with time, whereas mean egg weight remains constant.Larger females lay both larger eggs and egg batches than smaller ones. They are also more fecund but it is only the second night of oviposition that contributes significantly to this difference.The reproductive effort decreases much with time. Allocation of reproductive reserves to early eggs seems more important than having eggs evenly distributed over time. Larger females use proportionally more resources to the production of late eggs. Large eggs are likely to contain more yolk which could be of importance for the ballooning behaviour of newly hatched larvae.
Résumé La ponte de C. partellus Swinhoe a été étudiée au laboratoire pendant les trois premières nuits de la ponte. Plus de 50% des ooplaques et des oefs ont été pondus pendant la première nuit. La taille des ooplaques diminue avec le temps, tandis que le poids moyen des oeufs reste constant.Les grosses femelles pondent des ooplaques et des oeufs plus grands que les petites. Elles sont aussi plus fécondes, mais c'est seulement à la seconde nuit de ponte qu'est due cette différence.Le reproduction diminue beaucoup avec le temps. L'affectation aux premiers oeufs des réserves utilizées pour la reprodution semble plus importante que l'émission d'oeufs régulièrement répartis dans le temps. Les grosses femelles utilisent proportionnellement plus de ressources à la production d'oeufstardifs. Les gros oeufs contiennent vraisemblablement plus de vitellus que pourrait être nécessaire pour le comportement aérostatique des chenilles néonates.
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10.
    
The spatial and temporal distribution of eggs by Callosobruchus chinensis L. indicates under-dispersion. This holds true for either individual females or populations, and after antennectomy as well. An experimental design for assaying ovipositional preference of many seed species together is advanced, in which equal surface areas of the different seeds are available for oviposition.
Résumé La distribution des oeufs dans l'espace et dans le temps chez Callosobruchus chinensis L. est determinée quantitativement. Une distribution plus uniforme que celle qu'on pouvait attendre d'une distribution au hasard apparaît pendant la ponte normale. L'inhibition de la ponte pendant quelques jours entraine, dans la distribution des oeufs, des groupements, qui s'éliminent par la suite. L'antennectomie n'influence pas cette distribution uniforme. Les femelles ne distinguent pas leurs propres oeufs de ceux pondus par d'autres femelles. Si l'on ajoute des graines additionelles dans un récipient dans lequel la ponte s'est faite pendant un certain temps, les femelles concentrent alors leur ponte sur les nouvelles graines, jusqu'à ce que la densité soit égale dans l'espace. Un système expérimental est proposé pour évaluer la ponte préférentielle lorsque beaucoup de différentes sortes de graines sont mélangées ensemble et que chaque sorte est représentée par une aire égale. Lorsque sept sortes de graines ont été évaluées de cette manière, on a trouvé qu'on pouvait distinguer trois groupes de préférence, le groupe primaire comprenant quatre sortes de forme et de taille semblables.


I—General considerations of developmental compatibility. J. Ins. Physiol. 10: 783–788.
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11.
Developmental history and behavior of Eretmocerus mundus Mercet, a parasitoid of Bemisia tabaci was studied at 25°C. The eggs may be laid under all four nymphal instars but not under the pupa. Yet the second and third instars are preferred. The egg hatches only under the fourth instar or the pupa. Developmental medians at 25°C are: Instar I-2.5, II-4, II-4, prepupa-2 and pupa 8 days. When ovipositing, the female stands at an angle of 90° to the host, with wings raised and inserts the ovipositor under the whitefly nymph. The egg is laid close to the insertion point of the whitefly's proboscis into the leaf. After oviposition, the female apparently marks the host while drumming on it with her hind legs. She distinguishes already parasitized hosts from unparasitized ones and refrains from laying under the former. Discrimination is accomplished after antennal drumming only.
Les parasitoïdes de Bemisia tabaci (aleyrodidae) en Israel: développement, ponte et sélection des hôtes ches Eretmocerus mundus (aphelinidae)
Résumé Le développment et le comportement de E. mundus, parasitoïde de B. tabaci, ont été étudiés à 25°C. Les oeufs sont pondus sous les quatre stades larvaires (les deuxième et troizième sont préférés) mais pas sous les nymphes. Les oeufs n'éclosent que sous les larves du quatrième stade ou les nymphes. Les temps de développement médiaux sont à 25°, les suivants: stade I: 2,5j; stade II: 4j; stade III: 4j et nymphe 8j. Pendant la ponte, la femelle est à 90° sur son hôte, les ailes dressées, et insère sa tarière sous la larve d'aleurode. L'oeuf est déposé près du point d'insertion de la trompe dans la feuille. Après l'émission, la femelle marque apparemment son hôte pendant qu'elle tambourine avec ses pattes postérieures. Elle distingue les hôtes parasités ou non, et limite sa ponte dans les premiers. La sélection est effectuée seulement après tambourinage antennaire.
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12.
Oviposition by Lucilia cuprina Wiedemann (Diptera, Calliphoridae) was examined in relation to period of oviposition site-deprivation and egg-load. Effects of oviposition site-deprivation were examined by comparing oviposition performance of individual females that had matured their batch of oocytes within the previous 24 h with that of females which had reached ovarian maturity 8 days previously. Egg-load was manipulated by causing females of this anautogenous species to consume different amounts of protein-rich material. In no-choice experiments, individual females of the different categories were given access for 4 h to oviposition substrate, soaked with (i) liver exudate, (ii) the exudate diluted 16-fold or (iii) the undilated exudate containing the oviposition deterrent sodium chloride at a concentration of 2 M. These solutions elicited oviposition from different proportions of females, but neither these proportions, nor the interval between introduction of the oviposition site and the initiation of oviposition, was significantly affected by the period of oviposition site-deprivation or the number of eggs matured by the females.
Résumé L'effet de la privation de lieu de ponte a été étudié en comparant les pontes de femelles isolées ayant formé leurs ufs mûrs dans les 24 heures précédentes, à celles de femelles ayant atteint leur maturité sexuelle 8 jours avant. La rétention ovocytaire est provoquée en faisant consommer aux femelles de cette espèce anautogène différentes quantités d'aliments riches en protéines. La ponte de femelles dont le contingent total de leurs ovocytes s'est développé, — c'est-à-dire 260 —, après consommation ad libitum de foie de mouton pendant 48 heures, a été comparée à celle de femelles ayant formé 190 ovocytes mûrs après ingestion d'une quantité limitée de jus de foie.Dans des expériences sans choix, les femelles isolées de différences catégories ont eu accès pendant 4 heures au substrat de ponte trempé: 1) dans du jus de foie, 2) dans du jus dilué 16 fois, 3) dans du jus de foie non dilué mais contenant NaCl (inhibiteur de la ponte) à la concentration de 2 M. Le jus non dilué a provoqué une forte stimulation, induisant la ponte de 80% des femelles. Le jus dilué et celui contenant NaCl n'ont induit la ponte que de 40% des femelles avec des niveaux de stimulation bien plus faibles. La date d'introduction du lieu de ponte et le taux de rétention des ovocytes mûrs n'ont eu auçun effet sur la proportion de femelles réagissant à ces 3 types de stimulation.
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13.
The effects of larval crowding on development, survival and size of the African buffalo fly, Haematobia thirouxi potans (Bezzi), were examined in small (10 or 20 g) and 1 000 g masses of cattle dung in the laboratory at 25°C. Dung was infested with fly eggs at densities which ranged from 0.05 to 32.0 eggs per g dung; in most cases 90–100% of eggs hatched. The duration of larval developmentin 10 g dung masses was extended by larval crowding at densities above 0.8 eggs per g dung and the development period with 32 eggs per g dung (11 days) was double that observed in uncrowded dung masses. Both size and survival decreased with increasing larval density, but stunting was observed at lower densities than those which reduced survival and so size was the more sensitive index of the adequacy of the larval environment. The effects of larval crowding became evident at lower larval densities in the 1 000 g dung masses than in the 10 g dung masses. There was a minimum size below which third instar larvae failed to pupariate. The probability of survival was related to pupal size and a high proportion of the smaller individuals failed to eclose.
Effets de la competition intraspécifique sur le développement des larves, la taille des pupes et la survie d'Haematobia thirouxi potans
Résumé Les effets du surpeuplement larvaire sur le développement, la survie et la taille d'Haematobia thirouxi potans, ont été examinés sur de petites quantités de bouse (10 et 20 g) et de plus importantes (1 000 g), au laboratoire à 25°C. Les bouses étaient contaminées avec des oeufs de la mouche à des densités de 0,05 à 32 oeufs par gramme de bouse. Dans la plupart des cas le taux d'éclosion était de 90–100%. La durée du dévelopement larvaire dans 10 g de bouse a été prolongée pour les densités supérieures à 0,8 oeuf per g, et la durée développement pour 32 oeufs per g (11 jours) était le double de celle obtenue grand il n'y avait pas surpeuplement. La taille et la survie diminuent toutes les deux avec la densité larvaire, mais la miniaturisation était observée à des densités où la survie n'était pas modifiée; ainsi la taille est un indice plus sensible de l'adéquation de l'habitat larvaire. Les effets du surpeuplement larvaires deviennent clairs à des densités plus faibles avec 1 000 g de la bouse qu'avec 10 g. Il y a eu une taille minimale endessous de laquelle les larves étaient incapables de former une pupe. La probabilité d'éclosion était liée à la taille de la pupe, et une plus forte proportion de petits individus ne sont pas parvenu à éclore.
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14.
Reproductive data were collected on individually-held adult oriental fruit flies, Dacus dorsalis, melon flies, Dacus cucurbitae, and Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata including age-by-parity relations, birth interval, frequency distribution of individual egg production levels and the concentration of reproduction among females in a cohort. Specific findings include: i) delay in reproductive peaks in a cohort after eclosion is due almost entirely to the variance in attainment of reproductive maturity among individuals; ii) low reproductive output of reproductively mature melon flies is due mostly to long birth intervals; iii) high egg production in both the medfly and the oriental fruit fly is due to their consistency of egg laying levels and frequency (short birth intervals). Discussion stresses the importance of viewing reproduction, not as a singular and discrete life history trait, but as consisting of subcomponents of daily parity, cumulative parity and birth interval.
Résumé Les informations sur la reproduction ont été obtenues à partir d'adultes de Dacus dorsalis, D. cucurbitae, C. capitata, élevés individuellement. Elles portent sur les paramètres suivants: distribution par âge en fonction de la fécondité, échelonnement des pontes, distribution des niveaux quotidiens de ponte, fréquence des pondeuses par cohorte.Différents caractères spécifiques ont été mis en évidence: 1) La variabilité de la date d'apparition de la maturité reproductive est pour l'essentiel responsable du retard dans les dates de reproduction maximale; 2) De 30 à 50% des femelles de D. dorsalis âgées de 10 jours pondent plus de 50 oeufs/jour pendant les deux semaines qui suivent, tandis que seulement 10 à 20% des femelles des deux autres espèces parviennent à pondre cette quantité d'oeufs à n'importe quel âge; 3) D. cucurbitae ayant atteint sa maturité pond environ pendant 40% des jours (c.à.d. chaque 2,5 j), tandis que les deux autres espèces pondent au moins quelques oeufs pendant 80% des jours (c.à.d. chaque 1,25 j); 4) La production élevée d'oeufs de C. capitata et de D. dorsalis est due à la régularité de leur niveau de ponte et à la fréquence (faible espacement); 5) Les fractions des effectifs qui ont pondu au moins 600 oeufs en 30 jours étaient approximativement de 0,8, 0,7, et 0,4 pour D. dorsalis, C. capitata, D. cucurbitae; 6) 50% des femelles de chacune des trois espèces contribuent en gros pour 65% à la ponte.
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15.
When gravid onion fly females, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae) were presented in laboratory choice test with 6-week-old plants of a susceptible cultivar and of onion breeding lines selected for resistance, mean numbers of eggs laid ranged from 34.8 to 1.6 eggs per plant. Differences in ovipositional responses were mirrored by differences in plant size. Analysis of covariance revealed no significant differences in ovipositional responses to breeding lines when differences in size were taken into account. Foliar surrogates were developed so that single size parameters could be varied while holding all other plant stimuli constant. Tests using these surrogates revealed that among plants with basal diameters of 1 to 4 mm and heights of 100 to 350 mm, diameter alone significantly influenced responses of ovipositing females. Ovipositional responses to plants beyond this size range could not be explained strictly by diameter differences. These results underscore the necessity of considering plant size as well as plant chemistry and texture in efforts to evalute and design resistant cultivars.
Résumé A la lumière d'opinions récentes concernant la découverte des plantes-hôtes par D. antiqua, nous avons examiné les conditions de la résistance chez plusieurs lignées de A. cepa les moins attaquées lors d'essais en plein champ aux Pays-Bas, et dont on considérait que la résistance était due à une antixénose.Des femelles gravides en présence, au laboratoire, d'un choix de plants de 6 semaines, pondent en moyenne 1,6 à 34,8 oeufs par plant. Les différences entre les pontes correspondent aux tailles des plants. Si l'on tient compte de ces dernières, l'analyse de covariance ne montre pas de différence significative entre les pontes sur les différentes lignées. Des substituts de feuilles ont été créés de façon à faire varier les paramètres de taille tout en maintenant constants les autres stimuli de la plante: pour des plantes, dont le diamètre à la base variait de 1 à 4 mm et la hauteur de 100 à 350 mm, seul le diamètre a significativement influé sur la ponte. Les pontes sur les plantes hors de ces dimensions n'ont pu être expliquées par les seules différences de diamètre.Comme les paysans des principales régions productrices d'oignons d'Europe et des U.S.A. font des bénéfices importants avec la culture d'oignons précoces, ces lignées, sélectionnées par mégarde pour leur développement lent, ne sont probablement pas une bonne source de résistance à la mouche de l'oignon. Cependant, ces résultats soulignent la nécessité de tenir autant compte de la taille de la plante que de son chimisme ou de sa texture lors de l'évaluation et de la création de cultivars résistants.
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16.
Oviposition behavior and larval mortality of the pea weevil, Bruchus pisorum L. on Lathyrus tingitanus L. and Lathyrus sativus L. were studied to determine the mechanisms by which these plant species resist pea weevil attack. Female weevils caged on pods of these species oviposited at a reduced rate compared to those caged on pods of pea, Pisum sativum L. Females kept in vials in the laboratory and given a choice between L. sativus pods and pea pods oviposited at a higher rate on pea and the glass vial than on L. sativus. Two to three days following oviposition, L. tingitanus pods developed callus tissue growth beneath the eggs. These growths later covered much of the pod. L. sativus pods exhibited a similar response to hatching larvae. Pea weevil larvae attempting to penetrate pods of both species died. Larvae placed inside L. sativus pods established in seeds and had no greater mortality after 72 h than those placed inside pea pods. Identified defenses in lathyrus against pea weevil attack consist of antibiosis as well as antixenosis. These resistance mechanisms are located in the pod.
Résumé Les espèces de Lathyrus sont indemnés d'attaques de la bruche du pois, Bruchus pisorum, bien que le pollen de deux membres de ce genre ait induit, après ingestion, l'ovogenèse des femelles. La ponte et la mortalité larvaire de B. pisorum sur L. tingitanus et L. sativus (Leguminosae) ont été examinées pour déterminer les mécanismes permetant à ces espèces de résister à l'attaque de cette bruche. Des femelles aux ovaires développés ont été mises en cage en serre, avec des gousses de chacune des deux espèces de Lathyrus et de Pisum sativum; les femelles ont pondu beaucoup moins sur Lathyrus que sur Pisum. Au laboratoire, des femelles aptes à pondre, placées dans des bocaux avec des gousses de même taille de L. sativus et P. sativus, ont pondu sur le pois et le bocal que sur L. sativus.Deux à 3 jours après contamination par les oeufs de bruche, les gousses de L. tingitanus forment des cals sous les oeufs. Ces excroissances s'étendent de telle sorte que la majorité de la gousse en est recouverte quelques jours plus tard; les gousses de L. sativus présentent une réponse semblable mais plus localisée. La croissance du cal se produit en réponse à l'éclosion plutôt qu'à la ponte, car aucune n'a été observée sous les oeufs qui n'ont pas éclos, et aucune s'étend au-delà des zones immédiatement sous les oeufs éclos. Les larves de B. pisorum tentant de pénétrer dans les gousses des 2 espèces meurent, tandis que des larves placées à l'intérieur des gouses de L. sativus n'ont pas présenté une mortalité supérieure dans les graines au bout de 72 h à celle des larves placées à l'intérieur des gousses de pois. On peut envisager que la reconnaissance de stimuli dissuasifs par les femelles de bruches ait pu évoluer en réponse à la présence de mécanismes de défense de la gousse.
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17.
The combined effects of host age and rearing temperature upon the encapsulation of eggs of Metaphycus swirskii Annecke & Mynhardt (Hymenoptera: Encyrtidae) by the hemispherical scale, Saissetia coffeae (Walker) (Homoptera: Coccidae), were determined. Encapsulation incidence at 16, 20, 24 and 28°C increased with the age of the host, being 5.5–19.6% in 3rd instar nymphs, 45.4–74.2% in young female scales and 88.8–100% in preovipositing female scales. Within each host physiological age range, encapsulation frequency was not materially influenced by most of the temperatures. At 32°C, regardless of host age, S. coffeae encapsulated 99.5 to 100% of parasitoid eggs. Complete immunity to successful parasitism by M. swirskii occurred at 20, 24, 28 and 32°C in preovipositing female scales and at 32°C in 3rd-instar nymphs and young female scales of S. coffeae.
Résumé Cette étude a déterminé les effets combinés de l'âge de l'hôte et de la température sur l'encapsulation des oeufs de M. swirskii Annecke & Mynhardt (Hym. Encyrtidae) par S. coffeae Walker (Homopt. Coccidae). La fréquence d'encapsulation à 16, 20, 24 et 28°C a augmenté avec l'âge de l'hôte, 5,5–19,6% dans les larves de 3ème stade, 45,4–74,2% chez les jeunes femelles et 88,8–100% chez les femelles avant la ponte. Dans chaque gamme d'âge physiologique de l'hôte, la fréquence d'encapsulation n'est pas influencée par la plupart des températures. A 32°C, quel que soit l'âge de l'hôte, S. coffeae a encapsulé 99,5–100% des oeufs du parasitoïde. Une immunité complète au parasitisme par M. swirskii a été obtenue à 20, 24, 28 et 32°C pour les femelles de cochenilles dans la période précédant la ponte, et à 32°C pour les larves de 3ème stade et les jeunes femelles de S. coffeae.
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18.
Oviposition responses to natural and artificial substrates were investigated. More eggs were deposited on plants that contain isothiocyanates (natural hosts). Depletion of isothiocyanate content by sulfur-deficient plant nutrition appears to reduce attractiveness of host plants as egg substrates. Eggs are laid preferentially in concavities of leaves or stems. Significantly more eggs are laid on dimpled than smooth polyvinyl plastic surfaces. On both types of plastic substrate more eggs are laid if allyl isothiocynate or mustard leaf juice is added. Mustard leaf juice contains allyl isothiocyanate but is more stimulating to oviposition indicating that other factors contribute to the total effect.Although the coumarin in Melilotus sp. tends to inhibit oviposition, Plutella may be induced to increase egg deposition on such plants by treating them with allyl isothiocyanate. Unknown inhibitory constituents in tomato leaves prevent egg laying even in the presence of allyl isothiocyanate. It was concluded that oviposition is regulated significantly by external stimuli and that inhibitory chemical influences as well as positive chemical stimuli and texture of the surface are all significant factors.
Resume Nous avons étudié la ponte au point de vue des réponses de Plutella maculipennis aux surfaces naturelles et artificielles. La ponte s'est avérée plus forte sur les plantes qui contenaient des isothiocyanates (hôtes naturels). La baisse du contenu d'isothiocyanate dans une nourriture pauvre en souffre semble réduire l'attraction de la surface des hôtes à la ponte. L'insecte préfère pondre ses oeufs dans les concavités des feuilles ou des tiges. D'une manière significative, la ponte s'avère plus forte sur une surface rugueuse que sur des surfaces lisses de plastiques polyvinyls. La ponte est plus élevée sur la surface des deux espèces de plastiques si on ajoute du jus de feuilles de moutarde ou de l'allylisothiocyanate. L'allylisothiocyanate est un des constituants de jus de la feuille de moutarde, mais exerce une action moins prononcée sur la ponte que ce jus. Ceci indique que d'autres agents contribuent à l'effet total.Bienque la coumarine dans Melilotus (sp.) ait tendance à inhiber la ponte, on peut induire Plutella à augmenter la ponte sur de telles plantes en les traitant avec de l'allylisothiocyanate. Certains constituants inhibitifs inconnus qu'on trouve dans les feuilles de Lycopersicum empêchent la ponte même avec traitement d'allylisothiocyanate. La conclusion s'impose: la ponte est fortement influencée par des excitants externes et les inhibitions causées par des influences chimiques aussi bien que par des excitants chimiques favorables, de même que la texture de la surface en question. Ces choses sont tous des facteurs importants.


On visit from the University of Lucknow, India.  相似文献   

19.
Host-age selection by several Trichogramma spp. strains was examined in laboratory choice-tests, in order to use this as a criterion to select a candidate strain for inundative releases against lepidopterous pests of cabbage in the Netherlands. The behaviour of individual females toward combinations of host eggs of two different ages (zero vs 2 and 1 vs 3-day-old) of the host species Mamestra brassicae, Pieris brassicae and P. rapae was observed directly. Host age generally did not appear to affect contact or acceptance of eggs of either host species, except that oviposition was generally lower in the oldest M. brassicae eggs. The duration of the oviposition behaviour was sometimes influenced by host-age. All strains were able to discriminate between parasitized and unparasitized hosts by external or internal examation. The lack of variation among the strains suggests that the host-age selection pattern of a given host-Trichogramma combination is predominantly dependent on the host species. The results are discussed in relation to optimal foraging theory.
Résumé Afin de sélectionner une souche candidate de Trichogramma sp. pour des lâchés inondatifs contre les Lépidoptères, pestes du chou aux Pays-Bas, la sélection hôte-âge de plusieurs souches de Trichogramma spp., issues d'un éventail de 60 souches, a été examinée en laboratoire par des tests de choix. Le comportement de femelles individuelles, mises en présence de combinaisons d'oeufs-hôtes d'âges différents (zero ou 2 jours et 1 ou 3 jours) des espèces-hôtes Mamestra brassicae, Pieris brassicae et P. rapae, a été observé directement. En général, l'âge de l'hôte ne semble pas affecter le contact et l'acceptation des oeufs quelque soit l'espèce-hôte. La ponte diminue généralement dans les oeufs les plus âgés de M. brassicae, mais pas chez les autres espèces. La durée du comportement de ponte est parfois influencée par l'âge de l'hôte. Toutes les souches ont montré la capacité de discriminer entre les hôtes parasités et nonparasités, a l'examen externe ou interne et ceci, indépendamment de l'âge de l'hôte. Le manque de variation parmi les souces suggère que le mode de sélection hôte-âge est surtout caractéristique de l'espèce-hôte. Les resultats sont discutés en relation avec la théorie de fourrage optimal.
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20.
Phytoseius hawaiiensis (Acari: Phytoseiidae) had relatively long periods of preoviposition, oviposition and postoviposition (4.6, 46.9 and 52.0 days, respectively, at 24 °C), and a relatively low fecundity (31.4 eggs per female), compared to other phytoseiid species. The most favorable food tested was all stages of Oligonychus punicae (Hirst), but various other species of mite prey as well as pollen also promoted oviposition. Extreme variation was observed in hatching time of the eggs, from 10 min (rare) to over 4 days (common). Occasionally, females apparently retain their eggs until just before larvae hatch, as eggs containing developed larvae were observed inside some females. Results of experiments suggested that unsuitable substrate (e.g. for oviposition) is a factor which induces longer egg retention prior to oviposition.
Résumé Chez Phytoseius hawaiiensis, les durées des périodes précédant la ponte, correspondant à la ponte et succédant à la ponte, sont relativement longues; respectivement 4, 6; 31, 4 et 52 jours à 24 °C; dans ces conditions, la fécondité est relativement basse: 31, 4 oeufs par femelle. Oligonychus punicae (aux différents stades) a constitué le meilleur aliment essayé, mais diverses autres espèces d'acariens ainsi que le pollen induisent la ponte. La date d'éclosion des oeufs a présenté une très grande variabilité, de 10 min (rare) à plus de 4 jours (fréquent). Souvent, les femelles semblent retenir leurs oeufs jusqu'au moment précédant l'éclosion des larves, car des oeufs contenant des larves développées on été observés dans quelques femelles. Les résultats des expériences ont suggére qu'un substrat défavorable (pour la ponte) induit une plus longue rétention de la ponte.
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