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1.
Larvae of the bean weevil C. maculatus feeding in a single bean apparently respond to vibrations from each other's chewing: one larva feeds normally, the other is inhibited. If the burrows of the larvae intersect, the inhibited larva dies. If the dominant larva pupates or dies without the burrows intersecting, the inhibited larvae then feeds and matures if enough food remains. Since females add second eggs to the largest beans after most beans carry a single egg, competition is most common in the largest available beans, precisely where inhibited larvae can benefit from avoiding a contest.
Résumé Lors de la compétition, les larves réagissent l'une par rapport à l'autre, même lorsque leurs galeries sont séparées. L'une est inhibée, tandis que l'autre se comporte comme si elle était seule. Le signal provoquant ces réactions, qui peut traverser du papier métallique, est dû vraisemblablement aux vibrations de mastication des larves; ces dernières perçoivent ces signaux tout au long de leur vie active. La larve la plus âgée ne l'emporte pas obligatoirement, ce qui signifie que le signal indique plus que l'âge.Les conditions expérimentales peuvent inverser les réponses des unes et des autres, bien que la larve la plus âgée puisse souvent mourir de ces conditions anormales de compétition. L'avantage potentiel associé à l'inhibition du futur perdant est mis en évidence en collant ensemble des graines. Quand la larve dominante se nymphose, la larve inhibée recommence à s'alimenter et achève son développement. En ayant eu son alimentation interrompue et en restant dans une galerie superficielle, la larve inhibée évite les affrontements et peut se développer lorsque la larve dominante meurt ou se nymphose, puisque la galerie de la larve inhibée n'avait pas été sectionnée.La stratégie de ponte réduit la fréquence de la compétition en uniformisant la distribution des oeufs; elle augmente les chances de survie des larves vaincues avec l'addition des oeufs sur les graines les plus grosses quand les disponibilités sont limitées. L'étude de l'évolution de ces adaptations a été possible puisque, comme on le sait, C. maculatus est génétiquement polymorphe pour les caractères déterminant le comportement de ponte des femelles et la compétition larvaire.
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2.
Oviposition by a parasitoid wasp in an already parasitized host (= superparasitism) may result in larval competition and the loss of offspring. Consequently, in solitary species, the decision to superparasitize should be based on the probability of offspring survival. Females of Aphidius ervi Haliday and A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), two parasitoids of the pea aphid, discriminated between conspecific-and heterospecific-parasitized hosts. Both species showed partial preference for aphids previously attacked by A. smithi, a result predicted from the fact that A. ervi is superior to A. smithi in larval competition under most conditions. Females of A. smithi selectively attacked conspecific-parasitized pea aphids when given a choice between these and self-parasitized hosts. Results indicated that females of both species responded to an external pheromone-like marker to discriminate between selfconspecific-and heterospecific-parasitized aphids. In addition, A. smithi may use internal cues to recognize, and avoid oviposition in, aphids previously parasitized by A. ervi.
Résumé L'oviposition par une guêpe parasite dans un hôte qui a déjà été parasité (= superparasitisme) pourrait conduire à une compétition entre larves et à une perte de progéniture. Par conséquent, dans les espèces solitaires, la décision de superparasiter devrait être basée sur la probabilité de survie de la progéniture. Les femelles de Aphidius ervi Haliday et de A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), deux parasites du puceron du pois, ont discriminé entre les hôtes parasités par des individus de la même espèce et ceux parasités par des individus d'une espèce différente. Les deux espèces de parasite ont montré une préférence partielle pour les pucerons préalablement parasités par A. smithi, résultat qui était prévisible du fait que, dans la majorité des cas, A. ervi est supérieur à A. smithi dans la compétition entre larves. Les femelles de A. smithi ont sélectivement attaqué les pucerons parasités par un individu de la même espèce lorsqu'il leur était donné de choisir parmi ceux-ci et ceux parasités par les même individu. Les résultats indiquaient que les femelles des deux espèces répondaient à une sorte de phéromone externe pour distinguer les pucerons parasités par le même individu de ceux parasités par un individu de la même espèce et ceux parasités d'une autre espèce. En plus, A. smithi pourrait utiliser des signaux internes pour reconnaître et éviter l'oviposition dans les pucerons préalablement parasités par A. ervi.
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3.
Interspecific pheromone responses indicate that the sex pheromones of eight species of the genus Yponomeuta Latreille are species specific. Female calling activity reaches a peak in the dark period, but at times varying from 1 to 10 days for different species. The response of the males to some chemicals corresponds with electrophysiological reaction patterns found by Van der Pers & Den Otter (1978).
Résumé Le comportement de pariade a été observé au laboratoire chez huit espèces du genre Yponomeuta avec des photopériodes 16/8 (L/O).Pendant l'appel sexuel, caractérisé par l'abaissement en avant de l'abdomen, provoquant l'extrusion de ses derniers segments et l'exposition des glandes à phéromones, il y a libération de la phéromone femelle.Toutes les espèces d'Yponomeuta ont le même comportement d'appel, mais le moment de la scotophase où il est maximum et l'âge auquel il débute, diffèrent suivant les espèces.La réponse des mâles aux phéromones sexuelles a été déterminée par un test biologique simple. Chaque espèce d'Yponomeuta présente un âge caractéristique de réponse optimale des mâles. L'étude du comportement des mâles en présence d'extraits d'abdomen femelles montre que chaque espèce possède une phéromone spécifique.Le comportement des mâles en présence de certaines substances chimiques est moins net qu'avec les phéromones femelles, bien qu'en accord avec les observations électrophysiologiques d'autres auteurs.
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4.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

5.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

6.
Ovariole number in univoltine populations of the grasshoppers Melanoplus femurrubrum (De Geer) and M. scudderi scudderi (Uhler) (Orthoptera: Acrididae) from Virginia was studied. Ovariole number in M. femurrubrum was found to vary among three geographic populations, and between years. Ovariole number did not vary between years in one population of M. s. scudderi. Ovariole number in M. femurrubrum was positively correlated with the mean length of the growing season at each site and precipitation during August-September of the previous year (adult season of the maternal generation). In the laboratory, nymphal rearing temperatures did not affect ovariole number in M. femurrubrum, but it was found to be weakly correlated with egg size.
Résumé Le nombre d'ovarioles des criquets détermine le nombre maximum d'oeufs par ponte. Si la variabilité du nombre d'ovarioles des criquets a souvent été signalée, l'origine de ces variations n'a été examinée que pour quelques espèces migratrices, et cela, au laboratoire.Le nombre d'ovarioles des populations monovoltines de M. femurrubrum a changé suivant les populations et suivant les années. Une étude par régressions multiples a montré que le nombre d'ovarioles est lié à des caractéristiques écologiques de la génération maternelle: durée de la saison de développement, indiquée par la somme des températures au-dessus de 10°C, et précipitations en août et septembre. La durée de la saison de développement détermine le temps disponible pour la reproduction: les populations, aux saisons de développement les plus longues, ont plus de temps pour former une oothèque, et ainsi disposent des moyens métaboliques pour avoir plus d'ovarioles. Août-septembre est l'époque où les criquets deviennent adultes, commencent à s'alimenter avant la ponte, et pondent la majorité de leurs oothèques. On estime que l'effet des précipitations est indirect, par son action sur la quantité et la qualité des plantes-hôtes disponibles. Le nombre d'ovarioles n'est pas lié à la taille de M. femurrubrum ou de M. scudderi scudderi.Les effectifs de M. s. scudderi étaient insuffisants pour permettre de telles analyses; cependant, nous n'avons observé dans une station aucune modification du nombre d'ovarioles au cours des années.
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7.
The intensity-response curve to light in a vertical plane (where gravity was a conflicting stimulus to light) and a horizontal plane (where gravity was not a conflicting stimulus) suggests that the climbing behaviour of the first instar Ectropis excursaria (Guénée) is consistent with a summation of response to gravity and a response to light. Response to gravity was affected by the curvature of the crawling surface and the level of food deprivation of the caterpillars. On a 2 cm diameter crawling surface orientation to gravity occurred at an inclination between 20° and 30° from the horizontal. In a centrifugal field, a behaviour analogous to negative geotaxis occurred at accelerations of 3.5 ms–2. Analysis of the geotactic turning tendencies of the caterpillar on flat inclined planes suggests that they exhibit meta-geotactic behaviour from inclinations of 40 to 90°. Negative geotaxis was exhibited by the caterpillars of later stadia although a response to gravity was lacking in the prepupal wandering caterpillars. The pre-pupal stage was also characterized by a reversal of the response to light.
Résumé Un comportement d'escalade du premier stade d'E. excursaria correspondant à l'addition des réponses à la gravité et à la lumière, est suggéré par la courbe d'intensité de la réponse à la lumière, dans un plan vertical (où la gravité constitue un stimulus en opposition avec la lumière) et un plan horizontal (où la gravité n'est pas en opposition). La réponse à la gravité a été modifiée par la courbure de la surface à escalader et du degré de privation d'aliment des chenilles. Sur une surface d'escalade de 2 cm de diamètre, l'orientation par rapport à la gravité se produit entre 20 et 30° par rapport à l'horizontale. Das run champ de centrifugation, un comportement analogue à une géotaxis négative se produit pour une accélération de 3,5 m s–2. L'analyse des tendances géotactiques des chenilles à tourner sur des plans inclinés suggère qu'elles présentent un comportement métagéotactique pour les inclinaisons de 40 à 90°. Des expériences d'immobilisation laissent penser que les antennes jouent un rôle dans la perception de la gravité. Les chenilles de stades ultérieurs ont présenté une géotaxie négative bien que la réponse à la gravité disparaisse chez les chenilles vagabondes en prénymphe. La prénymphose est aussi caractérisée par une inversion des réponses à la lumière.
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8.
Résumé Une lame hétérogène deZ plus élevé que celui de l'eau, provoque dans un faisceau d'électrons de haute énergie une modification de la distribution de la dose en profondeur.La dose est augmentée au contact et au voisinage immédiat de la lame hétérogène, tandis qu'elle est diminuée à plus grande distance.Dans le cas habituel de la radiothérapie, où la lame hétérogène est constituée par une épaisseur limitée d'os, et de l'expérimentation radiobiologique, où l'hétérogénéité est constituée par les parois de verre, le surdosage reste inférieur à 5% pour les électrons d'énergie comprise entre 10 et 20 MeV.La distribution de la dose en profondeur est approximativement représentée par la courbe standard, si les profondeurs sont exprimées en masse surfacique (g/cm2).On peut donc admettre une épaisseur d'absorption équivalente (A E T) égale à l'épaisseur réelle multipliée par la densité de la lame hétérogène.Cependant dans les expérimentations rigoureuses qui exigent une précision élevée, le calcul de la dose en profondeur par l'A E T, peut ne pas être satisfaisante, et la mesure directe est indispensable.  相似文献   

9.
Visual sensitivity and foraging in social wasps   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary While there is a distinction between that intensity of illumination which permits social wasps to forage, and that to which a sessile worker can respond, nevertheless illumination is the most critical of the environmental factors which control the activity of wasps. Low temperatures, high winds, and heavy rain all reduce activity but unless exceptionally severe do not wholly stop it. At dawn, when the critical level of illumination is attained, workers leave the nest, but at dusk they will not leave should the same critical level be due in the course of the foraging flight, after which they could not return.The three species of wasp,Vespula vulgaris, V. rufa, andV. germanica have a common threshold of illumination, although the hornet,Vespa crabro can forage in moonlight at an altogether lower illumination. Honey-bees normally need a still higher illumination than do wasps.In all these species, the thresholds of illumination are related to the length of the compound eyes, so that species with large eyes need less light by which to forage. Moreover, there is a slight difference between the threshold at dawn when workers leave the nest, and that at dusk, when they must needs have sufficient light by which to return. This difference is almost constant for each species, when, as is customary, one measures it on a logarithmic scale.Lastly, the estimates, which these experiments provide, of the threshold illuminations depend stochastically on the number of workers foraging. A correction for this bias is given.
Sommaire Parmi les facteurs du milieu qui contrôlent l'activité des guêpes, celui de l'intensité de lumière est le plus important; toutefois on note une différence entre l'intensité de lumière qui permet aux guêpes sociales de fourrager, et celle qui produit une réponse des ouvrières sessiles.En général, les basses températures, les vents forts, et les grandes pluies réduisent leur activité, mais ces facteurs ne l'arrêtent pas complètement, à moins qu'ils ne soient très marqués.A l'aube, quand le niveau critique de lumière est atteint, les ouvrières quittent le guêpier, mais, le soir, si elles s'attendent à ce que la lumière vienne à s'abaisser au cours de leur sortie au-dessous du niveau critique, elles ne sortent pas.Les trois espèces de guêpe,Vespula vulgaris, V. rufa, etV. germanica, réagissent au même seuil de lumière, mais le frelon,Vespa crabro, est capable de fourrager au clair de lune par une lumière moins intense. Normalement, les abeilles exigent une lumière plus intense que les guêpes.Dans toutes ces espèces, le seuil de lumière se rapporte à la hauteur des yeux composés, par conséquent les espèces pourvues de grands yeux sont à même de fourrager par une lumière moins intense. De plus, il y a une légère différence entre le seuil de lumière à l'aube, quand les ouvrières quittent le guêpier, et celui du soir lorsqu'elles ont besoin d'une lumière suffisante pour rentrer. Cette différence, quand elle est mesurée à l'échelle logarithmique, comme il est d'usage, est presque constante pour chaque espèce.Enfin, les évaluations du seuil de lumière dans ces expériences dépendent stochastiquement du nombre d'ouvrières en train de fourrager. On a tenu compte de ce fait.
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10.
Résumé Le service de Parasitologie de l'Université de NANTES s'est intéressé aux problèmes de Mycologie hospitalière, d'épidémiologie des mycoses ainsi que d'expérimentation sur les affinités fongiques, à l'échelon régional, et de 1963 à 1973.La contribution clinique a porté essentiellement sur les levuroses étudiées soit au niveau des cavités buccales irradiées, soit chez les malades des services de Réanimation où l'interprétation du rôle pathogène de Candida parapsilosis nécessite des épreuves immunologiques.Nous avons décrit une forme de Blastomycose chéloïdienne à Aureobasidium pullulans.Nos études morphologiques ont surtout porté sur l'observation au microscope électronique à balayage des ultrasculptures présentées par les champignons kératinophiles, ce qui nous a permis de distinguer les différentes espèces du complexe Microsporum gypseum. Il ne semble pourtant pas que cette technique d'observation permette de résoudre tous les problèmes. La conservation des Dermatophytes en eaudistillée par la méthode de Castellani s'est révélée particulièrement remarquable: une souche de M. gypseum a été récupérée après 6 ans de conservation par ce procédé.Notons, en matière d'épidémiologie la prédominance de Trichophyton rubrum sur T. mentagrophytes, survenue récemment: la recrudescence passagère d'Epidermophyton floccosum; la présence d'Arthroderma simii sur une plage. Une étude des champignons kératinophiles telluriques du massif armoricain a porté sur près de 3000 échantillons de terre, ce qui a permis de retrouver, assez rarement d'ailleurs, Arthroderma benhamiae.Nos expérimentations ont porté sur les réponses sérologiques et histologiques de lapins à une imprégnation aspergillaire par instillation intra-trachéale: les résultats obtenus ont été comparés aux examens sérologiques obtenus chez l'homme atteint d'aspergillose. Enfin, nous avons remarqué que le contact levures-cellules sarcomateuses opéré in vitro permet aux levures d'acquérir un pouvoir immunisant antitumoral par emprunt antigénique. La création d'un service de Parasitologie, Mycologie et Immunologie Parasitaire à l'Unité d'Enseignement et de Recherche des Techniques Médicales de NANTES nous a permis non seulement d'aborder les problèmes du diagnostic biologique des mycoses humaines, mais aussi d'entreprendre des enquêtes épidémiologiques dans la région nantaise ainsi que des expériences sur les affinités fongiques.
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11.
Competitive interaction between two introduced parasitoids of Heliothis armigera (Hb.) i.e. the braconid Cotesia kazak Telenga and the ichneumonid Hyposoter didymator (Thunb.) was studied in the laboratory. C. kazak and H. didymator individually parasitized about 55% H. armigera larvae, the combination of the two parasitoids gave more than 75% parasitism. C. kazak was found to be more effective, when the host was exposed to both parasitoids at the same time, reduced H. didymator population by 69% to 24 h. It is, therefore, better to release these two parasitoids individually in different locations to avoid any possible competitive interaction between the two. No difference in developmental time was observed irrespective of parasitoid sequence.
Résumé Les interactions liées à la compétition entre deux parasitoïdes introduits d'H. armigera, le braconide C. kazak et l'ichneumonide H. didymator ont été examinées au laboratoire pour évaluer leur efficacité dans la nature. Séparément, C. kazak et H. didymator ont parasité respectivement 55% et 58% des chenilles d'H. armigera, et en combinaison, par multiparasitisme, 75%. Dans toutes les combinaisons de superparasitisme, après 24 h d'exposition, C. kazak a réduit de plus de 69% l'action de H. didymator. En plus de la mortalité des hôtes liées au succès du parasitisme, une mortalité larvaire élevée (23%) a été observée dans les cas de multiparasitisme, contre 10% avec parasitisme par une espèce. Cependant, quelle que soit la combinaison, la durée de développement de chacune des espèces n'a pas été modifiée. Puisque H. didymator s'est révélé intrinsèquement inférieur, il est suggéré de la lâcher le premier. C. kazak est un parasitoïde valable pour des libérations, là où déplacement compétitif de l'autre parasite n'est pas réalisé ou délibérément nécessaire.
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12.
Newly hatched wheat bulb fly larvae were added to 32 wheat seedlings with one shoot and three to four leaves, in large pots in an outdoor insectary so that the numbers of available shoots per larva were 32, 16, 8, 2, 1 and 1/2. Competition for shoots between larvae, measured by the number of shoots attacked and the emergence of flies, occurred only when there was 1 or 1/2 shoot/larva. Fewer flies also emerged from shoots when the number available was one or less than one shoot/larva. In the field, egg numbers in autumn equal to or less than 5×106/ha (2×106/acre), suggest fewer than the expected carrying capacity of winter wheat growing at the usual plant population except in spots where the density is greater than average because of aggregation.Résumé Les larves de Delia coarctata attaquent les pousses du blé d'hiver en janvier et février. Une larve se nourrit sur une pousse et peut se déplacer sur une autre pour achever son alimentation avant pupaison. Le dispositif expérimental comporte 32 jeunes plants de blé d'hiver, comportant chacun une pousse et 3 à 4 feuilles, dans des pots installés dans un insectarium en plein air; des larves venant d'éclore sont réparties en nombre tel que la compétition varie en parallèle avec le nombre de pousses disponibles par larve: 32, 16, 8, 2, 1 ou 1/2 pousse par larve. La compétition mesurée d'après le nombre de pousses attaquées ne se manifeste que s'il y a seulement 1 ou 1/2 pousse par larve. Peu de mouches éclosent quand le nombre de pousses dont dispose chaque larve est égal ou inférieur à `.Dans les champs, le nombre d'oeufs à l'automne est égal ou inférieur à 5×106/ha, ce qui est en dessous de la capacité d'accueil du blé d'hiver à l'hiver à l'égard de la population de ce parasite, excepté en certains points où le nombre d'oeufs et donc le nombre de larves est plus élevé qu'en moyenne, par suite de cette aggrégation.  相似文献   

13.
Oviposition behavior and larval mortality of the pea weevil, Bruchus pisorum L. on Lathyrus tingitanus L. and Lathyrus sativus L. were studied to determine the mechanisms by which these plant species resist pea weevil attack. Female weevils caged on pods of these species oviposited at a reduced rate compared to those caged on pods of pea, Pisum sativum L. Females kept in vials in the laboratory and given a choice between L. sativus pods and pea pods oviposited at a higher rate on pea and the glass vial than on L. sativus. Two to three days following oviposition, L. tingitanus pods developed callus tissue growth beneath the eggs. These growths later covered much of the pod. L. sativus pods exhibited a similar response to hatching larvae. Pea weevil larvae attempting to penetrate pods of both species died. Larvae placed inside L. sativus pods established in seeds and had no greater mortality after 72 h than those placed inside pea pods. Identified defenses in lathyrus against pea weevil attack consist of antibiosis as well as antixenosis. These resistance mechanisms are located in the pod.
Résumé Les espèces de Lathyrus sont indemnés d'attaques de la bruche du pois, Bruchus pisorum, bien que le pollen de deux membres de ce genre ait induit, après ingestion, l'ovogenèse des femelles. La ponte et la mortalité larvaire de B. pisorum sur L. tingitanus et L. sativus (Leguminosae) ont été examinées pour déterminer les mécanismes permetant à ces espèces de résister à l'attaque de cette bruche. Des femelles aux ovaires développés ont été mises en cage en serre, avec des gousses de chacune des deux espèces de Lathyrus et de Pisum sativum; les femelles ont pondu beaucoup moins sur Lathyrus que sur Pisum. Au laboratoire, des femelles aptes à pondre, placées dans des bocaux avec des gousses de même taille de L. sativus et P. sativus, ont pondu sur le pois et le bocal que sur L. sativus.Deux à 3 jours après contamination par les oeufs de bruche, les gousses de L. tingitanus forment des cals sous les oeufs. Ces excroissances s'étendent de telle sorte que la majorité de la gousse en est recouverte quelques jours plus tard; les gousses de L. sativus présentent une réponse semblable mais plus localisée. La croissance du cal se produit en réponse à l'éclosion plutôt qu'à la ponte, car aucune n'a été observée sous les oeufs qui n'ont pas éclos, et aucune s'étend au-delà des zones immédiatement sous les oeufs éclos. Les larves de B. pisorum tentant de pénétrer dans les gousses des 2 espèces meurent, tandis que des larves placées à l'intérieur des gouses de L. sativus n'ont pas présenté une mortalité supérieure dans les graines au bout de 72 h à celle des larves placées à l'intérieur des gousses de pois. On peut envisager que la reconnaissance de stimuli dissuasifs par les femelles de bruches ait pu évoluer en réponse à la présence de mécanismes de défense de la gousse.
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14.
Moore  Lucy B. 《Plant Ecology》1954,5(1):268-278
Résumé Rumex acetosella est une plante naturalisée très répandue en Nouvelle Zélande, tant en terre arable que dans la végétation indigène modifiée. Dans des vallées en cuvettes de l'Ile Sud, ayant une précipitation annuelle de 300 à 700 mm, des milliers d'hectares qui n'ont jamais été labourés portent à présent R. acetosella (2n=42) comme espèce la plus importante, accompagnée de mauvaises herbes naturalisées et indigènes. Ce sont des régions où les prairies naturelles à touffes de Festuca novaezelandiae ont été ravagées au cours d'un siècle par des incendies successives et par la paissance de moutons et de lapins, animaux introduits par l'homme. Le groupement végétal à Rumex — produit d'origine exotique (exotic-induced) — tel qu'il se trouve dans la partie nord de l'Ile Sud, est étudié et quelques relevés en sont presentés. Une comparaison est dressée entre cette région et d'autres en Nouvelle Zélande, ainsi qu'avec les îles Tristan da Cunha dans l'Atlantique du sud et Masafuera dans le Pacifique du sud. Le Rumecetum, qui s'est propagé là où se trouvent en assez grand nombre ces animaux introduits, pourrait bien continuer à exister indéfiniment, à moins que ceux-ci ne disparaissent.

Received for publication 15.X.1953.  相似文献   

15.
Résumé Les expériences que nous avons réalisées nous ont permis d'étudier le rôle de l'absence du gaz carbonique dans l'atmosphère où se trouve l'Insecte. L'une des deux femelles deBombus est introduite dans une cellule microcalorimétrique en atmosphère normale, l'autre femelle dans une cellule dont l'atmosphère est dépourvue de gaz carbonique.Dans l'expression des résultats, je considère d'abord les indications fournies par la forme des enregistrements. Afin d'apporter une plus grande précision dans l'interprétation des enregistrements, j'ai effectué une étude quantitative de la thermogenèse.Les résultats concernant l'influence de la température sur la thermogenèse des reines de Bourdons sont généralement conformes à ce que nous connaissons de la stimulation du métabolisme thermique par une élévation de la température chez la plupart des Poïkilothermes.On peut noter, qu'à température égale, les reines deBombus terrestris ont une thermogenèse relative supérieure à celle des reines deBombus lapidarius. D'autre part, pour chacune des espèces considérées, les valeurs thermogéniques des reines deBombus sont plus élevées — à une exception près — lorsque celles-ci sont placées en atmosphère dépourvue de gaz carbonique.En conclusion, l'absence de gaz carbonique dans l'atmosphère de la cellule microcalorimétrique ne modifie pas profondément le niveau des échanges respiratoires des reines deBombus, dans les limites de mes expériences.
Thermogenesis in Bumble-bees' queens
Summary Experiments have been performed on queens ofBombus terrestris L. andBombus lapidarius L., with a Calvet micro-calorimeter. Curves of thermogenesis (thermograms) are first examined; they vary according to individuals, species, temperature of the ambiance, and composition of the atmosphere.As a rule, at constant temperature, queens ofBombus terrestris produce more heat than these ofBombus lapidarius.Experiments performed in the presence of sodium hydroxide in order to absorb the carbon dioxide elaborated display less undulated thermograms, but individual differences are wide.The thermogenesis of insects placed in micro-calorimetric cells without carbon dioxide is a little higher than that of females in normal atmosphere, but variable results of thermogenic reactions are sometimes observed.
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16.
Tabanid flies display an exceptionally strong tendency to orientate to and congregate in enclosures which accumulate heat during daylight. In order to study this behaviour to the best advantage and perhaps also to exploit it toward practical control a helio-thermal trap was designed and tested. This trap converts solar radiation to heat and is so designed that tabanids collect in a killing bottle. A number of ecological, ethological and practical applications of the trap are discussed in the light of data obtained to date.
Résumé Plusieurs espèces de tabanides semblent être fortement attirées par une source de chaleur sensiblement plus élevée que celle de la temperature ambiante. Ces espèces se comportent ainsi surtout quand il fait très chaud alors qu'elles sont tout particulièrement actives. Nous avons profité de ce comportement pour construire un piège hélio-thermique ainsi appelé parce qu'il produit une chaleur tirée de l'énergie solaire.Les tabanides attirés par ce piège y pénètrent par la partie inférieure, et, apparemment attirés par phototaxis volent vers le sommet. Dans cet espace la temperature s'élève audessus de la limite tolérable et les tabanides sont abrutis par la chaleur. Alors ils tombent par un entonnoir dans un récipient contenant du cyanure. Les tabanides capturés sont exclusivement des femelles: fait de la plus haute importance dans l'emploi pratique de ce piège.Cependant ce piège a d'autres applications comme instrument de recherches entomologiques pour les taxonomistes, les oecologistes et les éthologues. Il est fort probable qu'un simple dispositif de moulinet actionné par le vent et créant un mouvement rotatoire augmenterait son attraction sur les tabanides et augmenterait sa valeur pratique aussi bien que sa valeur scientifique. Uu autre emploi important résulterait de son adaptation à l'étude des substances qui attirent ou repoussent ces insectes.
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17.
Résumé Sonderia labiata n. sp., se distingue de Pespèce voisine S. vorax Kahl par ses caractères écologiques de Cilié marin psammobie et facultativement sédentaire; par une asymétrie moins marquée que chez les autres espèces du genre; par la presence de corps de réserve polysaccharidiques de forme lamellaire.  相似文献   

18.
J. Daget 《Hydrobiologia》1961,18(1-2):95-108
Résumé L'existence d'une faune aquatique relicte a été reconnue en trois points différents du revers oriental du plateau de Bandiagara. Cette faune comprend dix espèces de Poissons et huit de Mollusques; les autres groupes zoologiques Wont pas été étudiés. Elle proviendrait du bassin de la Volta et serait isolée depuis le Quaternaire ancien, époque où la capture de la Volta Noire supérieure par la Volta moyenne aurait provoqué l'assèchement définitif de la dépression du Séno. Au cours des périodes sèches du Préouljien et du Préflandrien, cette faune se serait maintenue dans des conditions comparables à celles existant aujourd'hui dans l'Adrar mauritanien et le Tibesti. Au même titre que les faunes aquatiques de ces regions, celle du revers oriental du plateau de Bandiagara mériterait donc d'être considérée comme une faune désertique.  相似文献   

19.
Threshold dosage and type of dispersive response by aphids to the alarm pheromone, (E)--farnesene, were determined for fourteen species in the subfamilies Aphidinae and Chaitophorinae. Dosage required to disperse 50% of the most and least sensitive species was 0.02 ng and 100 ng, respectively. Some species dispersed at low dosages by walking and at high dosages by falling; others dispersed only by walking regardless of dosage. Sensitivity to alarm pheromone and type of dispersive response are interrelated with aggregation density and whether the aphid is myrmecophilous.
Résumé Quatorze espèces d'Aphides appartenant aux sous-familles des Aphidinae et Chaitophorinae ont été testées pour leur réponse à la phéromone d'alarme EBF, sur la base de la dose limite efficace et du type de réponse par dispersion des individus. Les doses d'EBF nécessaires pour disperser 50% des individus chez l'espèce la plus sensible sont de 0,02 ng, contre 100 ng pour l'espèce la moins sensible. Certaines espèces se dispersaient en marchant pour de faibles doses et en se laissant tomber pour de fortes doses; d'autres se dispersaient seulement en marchant, quelle que soit la dose. La sensibilité et le mode de réponse à la phéromone sont en relation avec la densité des groupements et avec le fait que l'espèce est ou non myrmécophile.
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20.
The annual temperature regime of a small stream in New Zealand   总被引:2,自引:1,他引:1  
C. L. Hopkins 《Hydrobiologia》1971,37(3-4):397-408
Summary An electrically operated strip-chart recorder was installed in the Hinau Stream, a small hill stream in the North Island of New Zealand. With this instrument the temperatures of the stream, air, and a small spring were monitored for 2 years. Mercury-in-glass maximum/minimum thermometers were installed at two other points in the stream system, one 500 m below the site sampled by the recorder probes and the other in another stream which joined the first.The annual temperature in the stream at the site of the continuous recorder ranged from 6°C to 18.5°C. Annual range in the spring water was much less, 10–14°C. The greatest daily range in temperature in both air and water was found during summer and the smallest in winter. Data taken 500 m down stream of the continuously recorded site showed that summer maxima were 3–4° higher than in the upper reaches, though the minima were about the same at the two sites. During winter there was little difference between the two sites. Data from certain other waters with wider annual temperature ranges showed summer maxima to be higher than in the Hinau, but winter minima to be about the same.Maximum temperature in the Hutt River where it flowed through thickly forested country was much less than in the same river in cleared land down stream and also much less than in two other rivers in open country for which data exist.Comparison of quantitative samples of benthic invertebrates taken from different parts of the Hinau Stream showed that several species of Trichoptera were more abundant in the recorder-monitored headwater than elsewhere in the stream. This may have been partly due to the less extreme temperature conditions in the headwater.
Résumé Un enregistreur électrique sur bande de papier a été installé dans Hinau Stream, un petit ruisseau qui coule dans des collines dans l'Ile du Nord de la Nouvelle Zélande. Les températures du ruisseau, de l'air, et d'une petite source furent enregistrées par cet appareil pendant une période couvrant deux années. Des thermomèters maximum/minimum à mercure furent placés en deux autres points du système hydrologique du ruisseau, l'un à 500 m en aval du site où opérait la sonde de l'enregistreur et l'autre dans un autre ruisseau qui rejoignait le premier.La température annuelle dans le ruisseau à l'emplacement de l'enregistreur permanent variait entre 6°C et 18.5°C. Les variations annuelles de l'eau de la source étaient biens moindres, 10–14°C. La plus importante variation journalière de température de l'air et de l'eau se produisait pendant l'été et la plus faible pendant l'hiver. Des mesures faites 500 m en aval du site où l'enregistrement était permanent montrèrent que les maxima pendant l'été étaient de 3 à 4° plus grands que dans l'amont, bien que les minima soient approximativement les mêmes dans les deux sites. Pendant l'hiver il y avait peu de différence entre les deux sites. Des mesures faites dans certains autres cours d'eau avec des plages de variation de températures annuelles beaucoup plus larges montrèrent que leurs maxima de l'été étaient plus grands que dans l'Hinau mais que leurs minima pendant l'hiver étaient à peu près les mêmes. La température maximum dans la Hutt River quand elle coulait à travers une région couverte de forêts épaisses était bien moindre que lorsque cette même rivière passait dans une région déboisée en aval, et elle était aussi bien moindre que dans deux autres cours d'eau coulant en pays non boisé pour lesquels il existe des mesures.Des comparaisons entre des échantillons quantitatifs d'invertébrés benthiques pris dans différentes parties d'Hinau Stream montrèrent que plusieurs espèces de Trichoptera étaient plus abondantes dans le cours supérieur du ruisseau où se trouvait l'enregistreur qu'autre part dans le ruisseau. Ceci est peut-être dû à des conditions de températures moins extrêmes dans la partie supérieure du ruisseau.
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