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1.
Diapause termination under natural and simulated overwintering conditions, the effect of subzero temperature on postdiapause development and the relationship between postdiapause development rate and constant and fluctuating temperatures was studied in a Dutch population ofAphelinus mali Hald. (Hymenoptera: Aphelinidae).The rate of diapause termination was similar in larvae overwintering under natural and simulated conditions. Most larvae had terminated diapause by the last week of February. Some female larvae may have remained in diapause until the end of March. The exposure of postdiapause larvae to –10°C for two weeks did not affect their survival or postdiapause development rate.PostdiapauseA. mali larvae could complete development and the adults emerge from their mummified aphid hosts at constant temperatures from 12 to 24°C. Although some larvae completed postdiapause development at 10°C, few emerged. The theoretical threshold temperature (to) for postdiapause development was 9.4°C and the thermal constant (K) 136.4 degree-days. K was 121.4 and 134.8 for first and 50% emergence, respectively.The number of heat units accumulating above 9.4°C to 1st and 50% emergence was similar under constant and fluctuating temperatures.
Fin de la diapause et exigences thermiques pour le développement après la diapause d'Aphelinus mali soumis à des températures constantes ou à des thermopériodes
Résumé L'achèvement de la diapause en conditions naturelles ou simulant l'hiver, les effets des températures inférieures à zéro sur le développement après la diapause et les relations entre la vitesse de développement après la diapause et les températures constantes ou en thermopériodes ont été examinés sur des populations néerlandaises d'A. mali (Hymenop.; Aphélinidae).Les taux d'achèvement de la diapause de larves hivernantes étaient semblables en conditions naturelles ou simulées. La plupart des larves ont terminé leur diapause la dernière semaine de février. Quelques larves femelles sont restées en diapause jusqu'à fin mars. L'exposition pendant 2 semaines des larves sorties de diapause à –10 °C ne compromet pas leur survie ou leur taux de développement après la diapause.Les larves ayant diapause peuvent terminer leur développement et les adultes émerger des pucerons momifiés aux températures constantes comprises entre 12 et 24 °C. Bien que quelques larves achèvent leur développement à 10 °C, peu émergent. La température seuil théorique de développement après la diapause (to) a été de 9,4 °C et la constante thermique (K), 136,5 degrés-jours. Pour la première émergence et pour 50% d'émergences, les valeurs de K étaient respectivement: 121,4 et 134,8.Le nombre d'unités thermiques pour la première émergence et pour 50% d'émergences était le même à température constante ou avec une thermopériode.
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2.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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3.
Diapause requirements of eggs of Zeiraphera canadensis Mutuura and Freeman (Lepidoptera: Tortricidae) are satisfied by 15 weeks of storage at 0.5°C. Temperatures above 30°C are lethal for this life stage. Temperature-dependent development of larvae fed on white spruce, Picea glauca (Moench) Voss, and of pupae was observed under laboratory conditions. The shortest development times were observed at 28°C. Larvae are tolerant to heat, and developed at 32°C, a lethal temperature for pupae. There was little variation of development rates in all stages of the life cycle, explaining the high degree of phenological synchrony reported in populations of this species. A phenological model was developed and calibrated to simulate the relative abundance of the various immature stages under field conditions. The calibration process suggested that temperature in the microhabitat of eggs may be very close to air temperature, but that temperatures under bud caps where larvae are feeding may rise several degrees above air temperature. For the purposes of planning the timing of survey and control practices, degree-day requirements for 10% egg hatch and 75% adult emergence were estimated based on a 4.4°C threshold temperature.
Résumé La diapause des oeufs de Zeiraphera canadensis Mutuura et Freeman (Lepidoptera: Tortricidae) a été complétée après 15 semaines d'élevage à 0,5°C. A ce stade de leur développement, une température supérieure à 30°C leur est létale. Les relations entre la température et le développement des larves sur l'épinette blanche, Picea glauca (Moench) Voss, et des pupes ont été observées au laboratoire. Les temps de développement les plus courts ont été observés à 28°C. Les larves sont tolérantes à la chaleur et se développent à 32 C, une température qui est létale aux pupes. II y a peu de variabilité des taux de développement de tous les stades immatures. Ceci explique le haut degré de synchronie observé au sein de populations de cet insecte. Un modèle simulant la phénologie a été mis au point et calibré pour prédire la fréquence des divers stades du cycle vital sous des conditions de terrain. La processus de calibration a révélé que la température dans le microhabitat des oeufs est très semblable à celle de l'air, mais que les larves, retrouvées sous l'enveloppe des bourgeons, sont exposées à des températures pouvant excéder celle-ci de plusieurs degrés. Pour des fins de planification du synchronisme entre le développement de l'insecte et des programmes de suivi et de lutte, le nombre de degré-jours nécessaires pour atteindre 10% d'éclosion des oeufs ou 75% d'émergence des adultes ont été estimés à partir d'une température seuil de 4,4°C.
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4.
Temperature has no significant effect in inducing diapause in B. fusca larvae. Lower temperature than the optimum, however, delayed larval growth but induced no diapause.Diapause in B. fusca was induced largely by the state of maturity and composition of food taken by the larvae. The incidence of diapausing larvae increased with the maturity of the food plants in which larvae were feeding. The carbohydrate, protein and water content of the type of food plants were probably the critical elements associated with the induction of diapause.
Résumé Deux facteurs, la température et la nourriture, ont été étudiés expérimentalement en laboratoire, quant à leur rôle dans le déclenchement de la diapause larvaire de B. fusca.Les résultats montrent, bien que la température de 23°C n'induit pas la diapause, que le développement est cependant retardé. A 28° et 30° la croissance est plus rapide et les larves se nymphosent après 5 à 6 mues.La diapause est largement induite par l'état de maturité et la composition de la nourriture prise par les larves. Le plus faible pourcentage de diapause (24%) s'observe chez des larves nourries avec du maïs âgé de 6 à 9 semaines, tandis que ce pourcentage atteint 76%, 88% et 91% chez des larves nourries respectivement avec des plants de maïs âgés de 8–11, 10–13 et 12–15 semaines.On a aussi établi que les teneurs en hydrates de carbon, en protéïne et en eau, du type de plantes utilisées, étaient probablement les facteurs critiques intervenant dans le délenchement de la diapause.
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5.
Functions describing instantaneous development rates in constant and natural temperature regimes were obtained for pupae of the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina (Wiedemann). These were derived using a technique that directly calculates rate functions from development-time observations made under any temperature regime. The functions indicated similar instantaneous development rates for constant and natural temperatures up to 30°C. At 30° the constant-temperature function reached a plateau which was maintained to the constant-temperature thermal limit. The natural-temperature function, however, continued its ascending phase to 34°, and then fell sharply to zero at 42°.The median survival temperatures of pupae for single 7-h exposures, daily 7-h exposures, and continuous exposures to high temperatures were 44.7, 39.2, and 34.4°, respectively. Development was completed at constant 15° but not at 10°. Median survival times at constant 10, 5, 0 and-5° were 4.3, 4.2, 2.5 and 1.5 days. Mortality was slight for single or daily 7-h exposures to-5°, but was complete for all except brief single exposures to-10°.
Influence des températures constantes et de la thermopériode sur le taux de développement et la survie des pupes de Lucilia cuprina
Résumé Des fonctions associant les taux de développement aux températures en conditions constantes et en thermopériodes naturelles ont été établies pour les pupes de L. cuprina. La fonction pour les conditions naturelles décrit les taux de développement immédiat-c'est-à-dire les taux de développement existant en réponse à la température pour chaque laps de temps (en réalité, pour un court intervalle), plutôt que le taux moyen pour une gamme de températures. La fonction pour les températures constantes décrit à la fois les taux de développement instantané et moyen (ceux-ci étant équivalents, en ne supposant pas de réponses spécifiques suivant l'âge en conditions constantes). Les fonctions ont été dérivées en utilisant une technique qui calcule directement les fonctions des taux à partir des observations sur les durées de développement faites dans chaque condition de température.Les fonctions ont révélé des taux de développement instantanés semblables pour les températures jusqu'à 30°C. A 30°C la fonction pour la température constante a atteint un plateau qui s'est maintenu jusqu'à la limite thermique. La fonction pour les thermopériodes naturelles a continué de s'élever jusqu'a 34°C, et alors a chuté brutalement jusqu'à zéro à 42°C. Dans la région d'où les lots de pupes ont été obtenus les températures subies par les pupes dans les zones non ombragées dépassent fréquemment 50°C pendant l'été. Les taux de développement des pupes aux températures au dessus de 30°C, où les fonctions avec températures constantes et thermopériodes deviennent différentes, sont cependant cohérent avec les expériences dans la nature avec L. cuprina. Les températures médianes de survie des pupes pour une exposition unique de 7 h, pour des expositions quotidiennes de 7 h et pour une exposition constante à haute température étaient respectivement de 44,7; 39, 2 et 34,4°C. Par comparaison avec des températures estivales du sol de 50°C et plus, il semble vraisemblable que la mortalité nymphale est un facteur important de déclin des populations de L. cuprina au milieu de l'été.
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6.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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7.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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8.
The developmental threshold and heat-unit requirements for larval eclosion of the winter moth, Operophtera brumata (L.) [Lepidoptera: Geometridae], were determined from experiments involving eggs exposed to various chilling and warming treatments. The developmental threshold was determined to be 4 °C. Eggs which were chilled below the developmental threshold required fewer heat-units for larval eclosion than did eggs not given a chill treatment. Eggs cultured at 14 °C required 470 (±47) degree-days for 50% larval eclosion. However, eggs chilled for 2 weeks at 1 °C and subsequently placed at 14 °C required 382 (±33) degree-days while eggs chilled for 12 weeks at 1 °C and subsequently placed at 14 °C required 156 (±12) degree-days. The results are discussed in relation to chilling intensity, diapause, and physiological-time models.
Résumé Le seuil de développement et la quantité de chaleur nécessaires pour l'éclosion larvaire chez Operophtera brumata (L.) (Lepidoptera: Geometridae) ont été déterminés en exposant les oeufs à différents régimes de refroidissement suivis de périodes de réchauffement. Le seuil de développement déterminé est de 4 °C. Les oeufs placés d'abord à des températures inférieures à celle du seuil de développement demandent moins de quantité de chaleur pour l'éclosion larvaire, que les oeufs qui n'ont pas été exposés à de basses températures. Les oeufs maintenus à 14 °C demandent 470 (±47) degrés-jours pour permettre 50% d'éclosion. Cependant, des oeufs maintenus pendant 2 semaines à 1 °C, puis à 14 °C, exigent 382 (±33) degrés-jours; ceux placés pendant 12 semaines à 1 °C, puis à 14 °C, en exigent 156 (±12). Les résultats sont discutés en relation avec l'intensité du refroidissement, la diapause et les modèles physiologico-temporels.
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9.
The development time, survivorship and age-specific fecundity of apterous and alate virginoparae of the sowthistle aphid, Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), reared on Sonchus oleraceus L., were measured under various temperature and light regimes. Within the temperature range of daily means of 12.5–24°C, speed of development and reproductive rate increased, while life span and total fecundity decreased, with an increase in temperature. The relationship between temperature and rate of development was nearly linear, with a notional development threshold estimated at about 2°C. The intrinsic rate of increase (rm) was positively correlated with temperature when calculated on a daily basis, but was inversely related to temperature when measured on a physiological time scale. Alatae generally had a longer development time, and achieved a lower reproductive rate and life-time fecundity, than apterae reared under identical conditions.Comparison of aphid performance under constant and alternating temperature regimes, and between successive generations under the same regime, showed that (1) the conditions experienced by the aphid as an embryo within its mother are important in determining survival and development and (2) tolerable temperature limits vary with the pattern and amplitude of the fluctuations of temperature.At 22°C, changes of photoperiod within the range of 12D:12L to 8D:16L had little effect on aphid performance.
Résumé La durée du développement, le taux de survie et la fécondité en fonction de l'âge ont été suivis chez les virginipares aptères et ailés du puceron: Hyperomyzus lactucae L., élevé sur Sonchus oleraceus L., et soumis à différentes conditions de température et de lumière. A l'intérieur de la gamme de températures moyennes de 12,5 à 24°C, la vitesse de développement et le rythme de reproduction augmentent, tandis que la longévité et la fécondité totale diminuent. La relation entre la température et la durée du développement est presque linéaire, avec un seuil théorique de développement évalué à environ 2°C. Le taux intrinsèque d'accroissement est lié positivement à la température calculée sur une base quotidienne, mais la relation est inversée quand la température est mesurée sur une échelle physiologique. Pour des conditions d'élevage identiques, les ailés ont eu, dans l'ensemble, une durée de développement plus longue, un taux de reproduction et une fécondité totale plus faibles que les aptères.La comparaison des performances des pucerons sous thermopériodes ou températures constantes, ou entre les générations en conditions identiques, a montré (1) que les conditions subies par l'embryon dans la mère conditionnent la survie et le développement; (2) que les limites des températures tolérables changent en fonction du type et de l'amplitude des fluctuations de température.A 22°C, des modifications de la photopériode, dans la gamme; 12D:12L à 8D:16L, ont eu peu d'effet sur les performances des pucerons.
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10.
An apparatus was built to investigate the behavior of Aedes taeniorhynchus larvae and pupae under uniform illumination in a temperature gradient. Larvae were reared at 30.0° C and tested with and without access to food prior to and during the periods of observation. Preferred ranges for starved larvae were greater and spread over slightly lower temperatures than those selected by fed individuals. Fed larvae in all instars preferred the same approximate range, from 30° to 38°, but calculated average preferred temperatures disclosed a progressive increase with age, from 31.8° in the first instar to 34.6° in the early fourth instar. Late fourthinstar larvae (approaching pupation) chose slightly cooler temperatures (average of 33.0°). Animals from a laboratory colony cultured for several years at 27.0° gave, in the early fourth instar, a response almost identical to that shown by progeny of wild-caught females. When temperature for early fourth-instar larvae was slightly lower (33.5° compared with 34.6°). Observations by means of flash photography showed that the range of temperature selected by fed early fourth-instar larvae in total darkness was the same as under uniform illumination.
Résumé Un appareil a été construit en vue d'étudier le comportement des larves et nymphes d'Aedes taeniorhynchus soumises à un gradient de température, sous des conditions d'éctairement uniforme. Les larves étaient élevées à une température de 30° et soumises au test avec ou sans possibilité de se nourrir avant ou pendant les périodes d'observation. Les larves nonalimentées manifestaient un preferendum pour des limites de température plus larges et légèrement plus basses que celles observées avec des larves nourries. Ces dernières, à tous les stades larvaires, montrent un preferendum de 30° à 38°, mais le calcul de la température moyenne préférée révèle un accroissement progressif avec l'âge, passant de 31°8 au 1er stade larvaire à 34°6 au début du 4ème stade larvaire. Les larves du 4ème stade, peu avant la nymphose, préfèrent une température légèrement plus basse (moyenne de 33°). Dans un élevage, maintenu pendant plusieurs années au laboratoire à une température de 27°, les larves du début du 4ème stade montrent une réponse presque identique à celles provenant de femelles capturées dans la nature.Quand les larves sont élevées pendant une génération à 24° en lieu de 30° la moyenne du preferendum thermique pour les jeunes larves du 4ème stade est légèrement plus faible (33°5 au lieu de 34°6).Des observations au moyen de photographies par flash électronique montrent que le preferendum thermique est le même à la lumière ou à l'obsurité.
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11.
Control of leafrollers using Insect Growth Regulators with juvenile-hormone acitivity (IGR) is a major issue in research on Integrated Pest Management in apple orchards. The IGR is applied at the time of emergence of the last-larval instar of leafrollers, thus causing a disturbance of metamorphosis.Simulation models on the development of Pandemis heparana (Denn. et Schiff.) and Adoxophyes orana (F.v.R.) were developed, partly on the basis of experiments, partly on data from literature, to predict the time of emergence of the various stages, particularly of the last-larval instar and the pupa. The models use the state-variable approach, and include only temperature as a driving variable.Simulated curves of emergence of last-instar larvae, pupae and moths corresponded well with observations on field-collected larvae, reared to adult stage in an outdoor insectary. The curves of pheromone trap catches showed a delay relative to the calculated and observed curves for the eclosion of pupae.To investigate whether the time of IGR application could be related to a temperature sum, the relation between emergence curves of last-instar larvae and temperature sums was studied for several years. For this purpose simulated curves were used, because observations on emergence of last-instar covered only a few years.
Résumé Le contrôle des Tordeuses par les régulateurs de croissance d'Insectes (IGR), à activité d'hormone juvénile, est un progrès majeur dans la recherche pour la lutte intégrée contre les ennemis des vergers de pommiers.L'IGR appliqué lors de l'apparition du dernier stade larvaire des Tordeuses, perturbe ainsi la métamorphose ultérieure. Afin de prévoir le moment d'apparition des différents stades, et plus particulièrement du dernier stade larvaire, des modèles de simulation du développement de Pandemis heparana (Denn. et Schiff.) et Adoxophyes orana (F.v.R.) ont été élaborés à partir d'expériences et en se basant sur des résultats de la littérature.Le modèle est basé sur l'examen de la variable d'état, la température étant la variable discriminante suivie.Les courbes simulées d'apparition des larves de dernier stade, des nymphes et des papillons correspondent aux observations faites sur les larves récoltées dans la nature et élevées jusqu'au stade adulte dans un insectarium en plein air.Le taux de capture dans les pièges à phéromone présente un retard par rapport aux courbes calculées et observées pour l'éclosion des nymphes. Différentes causes peuvent être attribuées à cette différence, mais l'influence d'aucune d'elles n'a été étudiée.Afin de déterminer si le moment de l'application d'IGR peut être lié à une somme de températures, les courbes d'apparition des larves de dernier stade ont été étudiées en relation avec les sommes de températures portant sur plusieurs années. Les observations concernant l'apparition des larves de dernier stade ne couvrant que 2 années, des courbes simulées ont été utilisées à cet effet. L'emploid de la relation liant le moment de l'apparition à la somme des températures permet de n'avoir à calculer que les sommes de températures pour déterminer le moment opportun de l'application des IGR.
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12.
Pathogenicity of nuclear polyhedrosis virus (NPV) to western spruce budworm larvae, Choristoneura occidentalis Freeman, increased as temperature increased. In constrast, at temperature extremes, mortality increased for a specified dose of malathion or diflubenzuron, while at the optimal temperatures (20–25°C), mortality decreased. Malathion was the fastest acting insecticide, followed by diflubenzuron and then NPV.Simulation results considered temperature dependent developmental rates of the larvae, energy consumption, time to achieve total mortality, and mortality at specified doses of insecticides. Low temperatures provided the greatest reduction in the amount of energy consumed by spruce budworm relative to the energy consumed when no treatment was applied. This was due to both the percent mortality and because total mortality was realized in the larval stage while at the higher temperatures, mortality was not fully realized until the pupal stage.
Résumé La température modifie la toxicité ou la pathogénie du virus de la polyhédrose nucléaire (NPV), du diflubenzuron, et du malathion consommés par Choristoneura occidentalis Freeman. La pathogénie du NPV augmente avec la température, si bien qu'il y a une relation linéaire entre mortalité et température. Pour le diflubenzuron et le malathion, la température est liée à la mortalité d'une façon gradiatique. Aux températures extrêmes, la mortalité augmente pour une dose donnée de malathion ou de diflubenzuron, tandis qu'aux températures optimales (20 à 25°C), la mortalité diminue. Des modèles multiples ont été utilisés pour évaluer les effets ci-dessus.Le moment de la mortalité finale observée et la mortalité cumulative ont été modifiés par la température, mais non par la dose d'insecticide. L'effet le plus rapide est obtenu avec le malathion, suivi par le diflubenzuron et enfin le NPV.Selon les résultats de simulation,—tenant compte des taux de développement larvaires à différentes températures, de la consommation d'énergie, du temps nécessaire pour obtenir la mortalité totale calculée et de la mortalité calculée, pour une dose donnée d'insecticide à une température particulière —, ce sont les basses températures qui réduisent le plus l'énergie consommée par la population par comparaison avec l'énergie consommée en l'absence de traitement. Ceci est dû au pourcentage de mortalité calculée et au fait que la mortalité est toujours obtenue au stade larvaire, tandis qu'aux températures plus élevées, la mortalité se poursuit jusqu'au stade nymphal.
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13.
The effects of constant temperature (23 °C), food quality (B, natural diet i.e. powdered oak bark; B+C, natural diet enriched with powdered sweet crackers) and season on larval development of the cerambycid Morimus funereus L. were studied. The temperature of 23 °C exerted an unfavourable effect on larvae collected from oak stumps in September and bred on B; i.e. the larvae died within 30 days. When the larvae consumed B+C the unfavourable effect of temperature was abolished and the larvae increased their weight by 543%, 897% and 1179% in 1, 2 and 3 months, respectively. Newly hatched summerand winter-larvae developed successfully on B+C, while all the winter-larvae died within 40 days on B. Larvae of an identical parentage hatched in different phases of the annual cycle and showed seasonal differences in the rate of development and survival when reared on B+C at 23 °C. The fastest development and the highest survival rate were observed in larvae which emerged in early- and midsummer, whereas the slowest development and the lowest survival rate were in those hatched in late summer. The synchronized seasonal changes of adults and their offspring, as expressed at different levels of biological organization, suggest the existence of an endogenous annual rhythm which is dependent upon the expression of different genes in the course of the annual cycle.
Résumé L'étude a porté sur les effets d'une température constante (23 °C), de la qualité de l'aliment,-B = aliment naturel, c'est-à-dire de l'écorce de chêne pulvérisée; B+C = aliment naturel enrichi avec de la poudre de biscuits sucrés-, et de la saison sur le développement larvaire de M. funereus L. La température de 23 °C a été défavorable aux larves récoltées en septembre dans des souches de chênes et élevées sur aliment B: les larves étaient mortes en 30 jours. Avec aliment B+C, l'effet défavorable a été neutralisé et le poids des larves augmenté de 543%, 897% et 1179% en 1, 2 et 3 mois. Des larves néonates d'été ou d'hiver se sont bien développées sur B+C, mais toutes les larves d'hiver étaient mortes sur B en 40 j. Des larves de mêmes parents, écloses à différentes époques de l'année, ont présenté des différences saisonnières du taux de survie et de la vitesse de développement lors de leur élevage à 23 °C sur B+C. Le développement le plus rapide et la meilleure survie ont été obtenus avec des larves écloses au début ou au milieu de l'été; tandis que le développement le plus lent et la plus mauvaise survie ont été obtenus avec les larves écloses à la fin de l'été. Les changements saisonniers synchrones des adultes et de leurs descendants, exprimés à différents niveaux d'organisation biologique, suggèrent l'existence d'un rythme annuel endogène qui dépend de l'expression de différents gènes au cours du cycle annuel.
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14.
Immature Chrysopa sp. and Nabis capsiformis required 335 and 325 d°, respectively, for development from egg to adult, while larvae of Micromus tasmaniae were able to complete development at 5°. Mean adult female longevity and oviposition rate at 23° were 52 d (max. 83 d) and 18.1 eggs/d, and 30 d (max. 43 d) and 10.4 eggs/d for C. sp. and N. capsiformis respectively, and oviposition rate of M. tasmaniae averaged 19.1 eggs/d during 5 weeks. Reduced longevity and increased oviposition rate at higher temperatures were accounted for by basing adult biology on physiological time above the immature developmental thresholds. Intrinsic rates of increase were thus calculated as 9.820, 6.868, and 8.366 eggs/103 d° above thresholds of 10.5°, -2.9°, and 11.3° for C. sp., M. tasmaniae, and N. capsiformis, respectively.
Résumé L'examen a porté sur l'influence de différentes températures constantes sur le développement et la biologie imaginale de trois espèces prédatrices (Chrysopa sp., peut-être C. signata, Micromus tasmaniae et Nabis capsiformis) récoltées dans des champs de coton du sud-est du Queensland en Australie. C. sp. et N. capsiformis ont besoin respectivement de 335° au dessus d'un seuil de 10.5° et de 325° au dessus d'un seuil de 11.3°, pour se développer de l'oeuf à l'adulte. Les larves de M. tasmaniae pouvant effectuer la totalité de leur dévelopment a 5°.-A 23° les longévités des femelles adultes et les taux de ponte de C. sp. et N. capsiformis sout en moyenne de 52 j. (maximum 83) et 30 j. (maximum 43) d'une part et 18.1 et 10.4 ufs par jour d'autre part. Le taux de ponte de M. tasmaniae est de 19,1 ufs par jour pendant 5 semaines à 23°. La longévité réduite et le taux de ponte accru aux températures supérieures sont interprétés en basant la biologie imaginale sur le temps physiologique au dessus des seuils de développement.Les taux d'accroissement intrinsèque (rm) sont plus élevés aux températures élevées, principalement à la suite du taux de développement accru. M. tasmaniae possède le rm le plus élevé à toutes les températures par suite d'un développement rapide et de seuils thermiques bas, d'une brève période précédant la ponte et d'une date de ponte maximum précoce. Le rm de C. sp. est plus élevé que celui de N. capsiformis à la suite de son taux de ponte plus élevé.Les valeurs de rm fixées à partir du temps physiologique sont respectivement: 9,820, 6.868 et 8,366 ufs femelles/103 d° au dessus des seuils de 10,5°, -2,9° et 11,3° pour C. sp., M. tasmaniae et N. capsiformis.
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15.
Résumé Dans ce travail, il a été étudié (influence de la température sur la consommation d'oxygène de trois larves de Trichoptères: Polycentropus flavomaculatus Pict., Plectrocnemia conspersa (Curt.), et Limnophilus rhombicus (L.). Les animaux étaient accoutumés à la température 48 heures avant le début des expériences.La consommation d'oxygène de ces trois larves croît avec la température.Cet accroissement n'est pas régulier. Il est nul entre 4° et 10°C. Il est faible entre 10° et 20–22°C. Au delà de 22°C l'augmentation est au contraire brutale. Le métabolisme passe du simple au double. On peut en conclure que ces larves sont bien adaptées à des températures allant de 4° à 22°C les températures supérieures n'étant pas des températures de vie normale.On ne note pas de différence significative entre les courbes des formes d'eau courante ou lotiques (Polycentropus et Plectrocnemia) et celle de la forme d'eau stagnante ou forme lénitique (Limnophilus).A une même température, la consommation d'oxygène présente de grandes variations chez les Polycentropidae, animaux actifs et excitables. Ces variations sont faibles chez Limnophilus rhombicus, larve peu active et peu excitable.
Summary The influence of temperature on oxygen consumption has been studied for three Caddis-fly larvae: Polycentropus flavomaculatus Pict., Plectrocnemia conspersa (Curt.), Limnophilus rhombicus (L.). The animals were acclimated to each new temperature 48 hours before the beginning of the experiments.The higher the temperature, the more oxygen the three larvae consume, but the increase in oxygen consumption with temperature is not regular. Respiratory metabolism is constant between 4 and 10°C. It increases slightly within the 10 to 20°C-range. Above 22°C, the increase becomes quite sharp and often twofold.These larvae are well adapted to the 4–22°C temperature range, whereas higher temperature may be considered as abnormal for them.No significative difference was found between the metabolism-temperature-curves for running-water species (Polycentropus and Plectrocnemia) and for a stagnant-water species (Limnophilus).The oxygen consumption of Polycentropidae varies greatly within the same level of temperature. The animals are active and excitable. The oxygen consumption of Limnophilus varies much less, Limnophilus being less active and less excitable.
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16.
Maize plants were grown under four moisture regimes (wet to extreme deficit) and three constant temperatures (20°, 25° & 30°C) in a phytotron. Each plant was infested with one E-race European corn borer [Ostrinia nubilalis (Hubn.)] (ECB) egg mass at pollen shed. ECB development, location, and establishment were recorded over the course of 12 destructive sample dates (4/temperature). ECB developmental rates were not significantly affected by soil moisture treatments, but were significantly affected by temperature. In spite of successful establishment of four distinctly different soil moisture regimes, the maize stalk tissue water levels were not significantly different among soil water treatments. Instead, the maize plants exhibited accelerated leaf senescence in response to the water deficit conditions. Among the soil water treatments, differences were found in larval establishment, vertical distribution and dispersion, and feeding site selection; however, those effects were slight and could not explain the similarity in ECB developmental rates observed in these treatments.In maize, the larval environment within the stalk was effectively insulated from changes in the external environment by the plant's ability to maintain a relatively high and stable stalk tissue water content. Thus, large changes to the soil environment had essentially no effect on ECB development, though drastic consequences for the plant. This study indicates that ECB rates of development are relatively insensitive to changes in the soil water environment as well as the associated changes in the maize plant that accompany severe drought stress. The significance of these findings to insect modelling, crop physiology, and insect-crop interactions is discussed.
Résumé Des plants de maïs se développent dans un phytotron dans 4 conditions d'humidité du sol (de la saturation à la dessication) et à 3 températures constantes (20°, 25° & 30°C). Chaque pied est contaminé au moment de l'émission du pollen, par une ooplaque d'O. nubilalis Hübn. (ECB) de race européenne E. L'installation, la colonisation et le développement des chenilles sont notés lors de 12 périodes de prélèvements destructifs (4 par température). La vitesse de développement d'O. nubilalis est affectée par la température, main non par l'humidité du sol. Les 4 niveaux d'humidité du sol n'ont aucun effet sur la teneur en eau des tiges de maïs. En fait, les feuilles de maïs présentent une senescence précoce lorsqu'il y a déficit en eau dans le sol. La teneur en eau du sol agit sur l'installation, sur la distribution verticale, la dispersion et le lieu d'alimentation des chenilles; mais ces effets sont légers et ne modifient pas la vitesse de développement.L'environnement larvaire dans la tige de maïs est efficacement isolé des variations externes par l'aptitude de la plante à maintenir la teneur en eau des tiges relativement élevée et stable. Ainsi, des changements importants au niveau du sol n'ont pratiquement pas d'effets sur le développement d'O. nubilalis, malgré les conséquences brutales pour la plante. Cette étude montre que la vitesse de développement d'O. nubilalis est relativement insensible aux modifications de la teneur en eau du sol ainsi qu'aux effets de ce stress de sécheresse sévère sur le pied de maïs. La discussion porte sur l'importance de ces résultats pour la modélisation de la dynamique de l'insecte, la physiologie de la culture et les interactions entre insecte et plante.
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17.
A fly parasite,Lixophaga diatraeae (Townshend), of the sugarcane borer,Diatraea saccharalis (F.), is currently being produced at our laboratory to determine if it can be released periodically in sugarcane fields and control sugarcane borers. This parasite is reared on sugarcane borers in the laboratory. Frequently more than one parasite develops on a single host insect and host insects vary in size.When several parasites entered the same host some did not develop because of competition between them. This problem was more acute in young host sugarcane borers than in older sugarcane borers. The early 5th stage sugarcane borer larva was the most suitable stage for parasite development.
Résumé Quand des larves deDiatraea saccharalis (Borer de la canne à sucre) sont parasitées par la TachinaireLixophaga diatraeae, la mortalité s'accroît avec l'augmentation du nombre de parasites hébergés par les larves-hôtes et cela, du début du 1er stade jusqu'au 4ème stade larvaire; cependant la mortalité est plus faible chez les larves les plus âgées au moment de l'attaque du parasite. La durée du développement larvaire des asticots de la Tachinaire est plus courte chez les larves hôtes les plus âgées et diminue également en fonction du nombre de parasites par hôte; toutefois la durée du développement nymphal n'est pas affectée par le superparasitisme. Par contre le poids des pupes du parasite décroît avec la densité du parasitisme.La taille des Tachinaires n'influence pas le choix des partenaires lors de l'accouplement, mais le nombre d'ufs pondus s'accroît avec le poids des femelles. Le superparasitisme n'affecte pas la longévité du diptère parasite, mais les femelles vivent plus longtemps que les mâles, qu'elles soient issues d'un hôte faiblement ou fortement parasité.Les asticots deLixophaga muent deux fois à l'intérieur de l'hôte; elles émergent au cours du 3ème stade larvaire pour la pupaison. Une compétition se manifeste entre les asticots, le taux de survie dépendant du nombre de parasites par larve-hôte, de la localisation des asticots sur le tronc trachéen longitudinal de l'hôte, et de la promiscuité entre ces larves endoparasites.
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18.
The developmental periods from egg to adult of two stocks of the aphid parasite, Aphidius sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae), were determined under various constant and alternating temperature regimes. The relationship between temperature and rate of development for each of the two stocks under constant conditions was described satisfactorily by the logistic curve. Based on the constant temperature curves, comparisons showed that temperature alternations did not accelerate or decelerate rate of development in either stock. Further analysis indicated that rates of development at extreme temperatures were well described by the logistic curve.The data and subsequent analyses showed that (1) because of the curvilinear form of the relationship, durations of development can differ considerably between constant and varying conditions if comparisons are made using daily mean temperatures; (2) as a result, the development threshold and thermal constant estimated by a hyperbolic transformation of data referred to daily mean temperatures will vary with the amplitude and pattern of fluctuations; and (3) temperature relationships derived from laboratory data can be used safely to predict the development of insects in the field.
Résumé La durée du développement de l'oeuf à l'adulte de deux lignées d'A. sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae) a été déterminée en températures constantes et avec des thermopériodes. La courbe logistique a décrit correctement la relation entre la température et la vitesse de développement pour chacune des deux lignées en conditions constantes. En se basant sur les courbes à température constante, les comparaisons ont montré que l'alternance thermique n'accélère, ni ne ralentit le développement des lignées. Une analyse complémentaire a montré que le développement aux températures extrêmes était correctement décrit par la courbe logistique. Les données et les analyses consécutives ont montré: (1) que par suite de l'aspect curviligne de la relation, les durées de développement en conditions constantes et thermopériodiques peuvent différer considérablement si les comparaisons portent sur les températures quotidiennes moyennes; (2) qu'en conséquence, le seuil de développement et la constante thermique estimés par une transformation hyperbolique des données concernant les températures quotidiennes moyennes varieront avec l'amplitude et le mode de fluctuation; et (3) que les relations thermiques obtenues à partir des données de laboratoire ne peuvent être utilisées en confiance pour prédire le développement des insectes dans la nature.
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19.
Summary The factors influencing the size of hibernating larvae have been investigated. The large ones are formed early in summer, become quiescent at an important developmental stage known as brain position 0.5, and then pass through a period of slow growth characterised by high ratios of growth rate to development rate. They can be forced to metamorphose by vernal workers or temperatures as high as 25°C when they always yield workers. The medium larvae are formed after the large, and have reached the quiescent diapause stage (brain 0.5) before winter.The small larvae are formed last of all, and do not reach this stage before winter. They are plastic, and their development can be influenced experimentally by varying the worker type and the incubation temperature. Male larvae do not have a diapause.Vernalisation is an essential step in the queen formation process. The ability of large female larvae to sustain a high ratio of growth rate to development rate increases gradually from nil to full during winter. Males and the smallest female larvae are, on the other hand, unaffected. Vernalisation also develops the mechanism by which intercastes are avoided.
Résumé On a déterminé les facteurs qui influencent la taille des larves d'hiver. Les grosses larves qui apparaissent au début de l'été deviennent quiescentes à un stade ontogénétique important désigné par: ganglions cérébroïdes 0,5; puis elles passent par une période de lent accroissement que caractérise la haute raison de la vitesse de l'accroissement par rapport à celle du développement. La métamorphose peut être produite par l'action des ouvrières vernales ou par des températures assez hautes (25°C); de telles larves donnent surtout des ouvrières. Les larves de taille moyenne se produisent après les grosses larves, et elles atteignent le stade de la diapause (ganglion cérébroïde, 0,5) avant l'hiver. Les petites larves se forment les dernières et n'atteignent pas ce stade avant l'hiver. Elles sont plastiques et leur développement peut être modifié expérimentalement si l'on change le type d'ouvrières nourricières et la température d'élevage. Les larves mâles ne subissent pas de diapause.La vernalisation est un processus essentiel pour la production des femelles-(reines). La faculté des grosses larves femelles à soutenir une haute raison de la vitesse de l'accroissement par rapport à celle du développement augmente peu à peu, pendant l'hiver, de zéro jusqu'au maximum. D'autre part, les larves mâles et les plus petites larves femelles ne changent pas. La vernalisation développe aussi le processus par lequel sont évitées les intercastes.

Sumario Por examinación de los factores que influyen el tamaño de las larvas en invernación, se ha determinado que las mayores se forman en la primera parte del verano y quedan durmientes durante un importante estado del desarrollo conocido como (posición cerebral 0,5). Luego pasan por un perido de crecimiento lento caracterizado por alta proporciôn de crecimiento a la proporción de desarrollo.Puédese enforzar su metamorfosis, por medio de trabajadores vernales o temperatura hasta 25°C cuando rinden siempre trabajadores.La larva mediana fórmase después de la mayor y llega al estado durmiente del (diapause) cérebro 0,5 antes del invierno.La larva menor es última en formarse y no llega a este estado antes de comenzar el invierno. Debido a su plasticidad, se puede influir su desarrollo experimentando con la variación de los trabajadores y la temperatura de incubación. Larva del sexo masculino no pasa por este estado.Vernalización es un paso esencial en el proceso de formación de la reina. La abilidad de la larva hembra mayor de sostener un alto porcentaje de crecimiento hasta llegar al de desarrollo, se aumenta gradualmente de cero para completarse durante el invierno.Mientrastanto, los machos y la larva hembra menor quedan sin afectarse. Asimismo la vernalización asiste al desarrollo del mecanismo por el cual se evita fecundación cruzada.
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20.
Young onion flies were placed in cages at four temperatures, 15°, 18°, 21° and 24°. Every 2 days the development of the egg chambers in the ovarioles, mating, egg production and mortality were scored. Influence of the temperature on the speed of egg-chamber development was very distinct. There was a high positive correlation between the development of the first and the second egg chamber. At 24° a significant difference in speed of egg-chamber development was found at two low levels of light intensity.
Résumé L'influence de la température sur la maturation des follicules de la mouche de l'oignon, Hylemya antiqua Meigen, a été analysée.Des jeunes adultes ont été mis en 4 cages et soumis au régime des températures suivantes: 15°, 18°, 21° et 24°. La maturation des follicules de huit femelles a été vérifiée pour chaque température et après 2 jours, par examen des ovaires sur le vivant. L'activité d'accouplement a été également contrôlée, ainsi que la ponte et la mortalité.L'effet de la température sur la vitesse dé développement des follicules est très net. À 15° le premier follicule n'a pas encore atteint la maturité après 26 jours. Par contre aux températures plus élevées la maturation se déroule plus vite. Le développement du deuxième follicule est en corrélation positive avec celui du premier (r=0.866).À 24°, deux niveaux relativement bas de l'intensité de la lumière causent des différences dans la vitesse de développement des premiers follicules.
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