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1.
P. Silvie 《BioControl》1991,36(3):431-441
Résumé Le parasitisme naturel deS. derogata et deC. flava, 2 Lépidoptères phyllophages du cotonnier a été étudié pour la première fois au Tchad en 1986 et 1987. Le pourcentage de parasitisme des larves deS. derogata récoltées dans les champs avoisinait en moyenne 18,5% en 1986, année avec une faible infestation de larves et 14,1% en 1987, année avec une forte infestation. En 1986,Meteoridea testacea (Braconidae) était le parasito?de le plus commun tandis qu'en 1987, quand plus de larves h?tes étaient disponibles,Apanteles syleptae (Braconidae) était l'espèce la plus commune. En 1987, des parasito?des secondaires sortaient de beaucoup de cocons de braconides apportés du champ au laboratoire, pour une étude ultérieure. En 1987, 15,7% des larves deC. flava récoltées dans les champs furent parasitées. Les parasito?des primaires qui sortaient de ces larves étaient tous spécifiques des espèces. Le parasito?de primaire le plus commun étaitAleiodes aligharensis (Braconidae). Par opposition, les parasites secondaires n'étaient pas spécifiques, mais c'étaient les mêmes espèces qui infestaient les cocons des parasito?des deS. derogata.   相似文献   

2.
Résumé Le parasitePauesia cedrobii Stary et Leclant, spécifique du puceron du CèdreCedrobium laportei Remaudière, a été récolté dans le Moyen-Atlas, (Maroc) puis introduit dans un peuplement de cèdre (Cedrus atlantica Manetti) du sud-est de la France au printemps 1981. La méthode utilisée a consisté en une introduction directe des parasites, préalablement isolés sur le lieu de récolte (momies) puis mis à éclore en chambre climatisée de fa?on à éliminer les hyperparasites. Après accouplement, 225 adultes ont été introduits dans des manchons installés sur des rameaux abritant des colonies deC. laportei. L'évolution des populations de l'h?te et du parasite a été suivie au niveau des points de lacher d'une part, et dans la parcelle d'autre part. L'installation définitive du parasite dans la parcelle s'est produite, 1 an après le lacher, grace à un automne et à un hiver particulièrement doux, qui ont favorisé la multiplication de l'h?te. Le parasite est définitivement implanté: il est encore présent 4 années après le lacher. Entre temps, il a été étendu à d'autres forêts de cèdre du sud-est de la France. Huit espèces d'hyperparasites autochtones se sont portés surP. cedrobii, mais ceci ne remet pas en cause la réussite de l'introduction de l'aphidiide. Avec la collaboration technique deE. Robert, A. Chalon, J. Chizky.  相似文献   

3.
E. Thibout 《BioControl》1988,33(4):439-452
Résumé La spécificité deDiadromus pulchellus vis-à-vis de son h?te habituel,Acrolepiopsis assectella, est testée à l'aide de 3 autres espèces de Lépidoptère,Plutella xylostella, Ephestia kuehniella etPlodia interpunctella. D. pulchellus parasite spontanémentA. assectella etP. xylostella, que les chrysalides soient nues ou avec leur cocon et que les larves soient élevées ou non sur leur plante h?te. Les 2 autres espèces ne sont parasitées que si elles sont introduites dans un cocon d'A. assectella ou deP. xylostella. Le cocon est donc un des éléments de la spécialisation deD. pulchellus. Il pourrait s'agir de facteurs physiques liés à la structure du cocon, mais également de composés chimiques insolubles présents dans la soie et les glandes labiales mais absents des glandes mandibulaires. La spécificité deD. pulchellus, essentiellement éthologique, semble renforcée par des facteurs physiologiques nutritionnels, la mortalité deD. pulchellus étant plus élevée dansP. unterpunctella que dans les autres espèces h?tes, en particulierA. assectella etE. kuehniella. La base trophique des larves est donc plus large que la base de ponte des femelles. Les parasito?des entièrement élevés surE. kuehniella ouP. interpunctella étant incapables de pondre spontanément dans les chrysalides des espèces dont ils sont issus, l'hypothèse d'Hopkins est ici infirmée.   相似文献   

4.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

5.
Résumé L'étude de la dynamique des populations de la cochenille farineuse des arbres fruitiersRastrococcus invadens Williams [Hom.: Pseudococcidae], avant et après l'introduction accidentelle du parasito?de primaire indo-pakistanaisGyranuso?dea tebygi Noyes [Hym.: Encyrtidae], a été entreprise au Congo, sur 2 de ses plantes h?tes, le manguier (Mangifera indica L.,Anacardiaceae) et le frangipanier (Plumeria alba L.,Apocynaceae). Avant l'introduction du parasito?de exotique, le complexe entomophage local s'est révélé peu abondant et diversifié. Le profil de gradation des populations du ravageur, très différent sur les 2 plantes h?tes, semble davantage lié aux caractéristiques physiologiques et phénologiques du végétal qu'aux facteurs climatiques. La cochenille est capable de développer 5 générations de 70–80 jours par an sur les 2 plantes h?tes. Trois à quatre mois après son introduction, les 50 à 90% de parasitisme développés parG. tebygi ont affecté significativement la dynamique des populations de la cochenille. Huit à neuf mois plus tard, son maintien sur de faibles effectifs du ravageur confirme son acclimatation. Les 50 à 60% de mortalité provoqués par les 8 espèces du complexe hyperparasitaire ne paraissent pas limiter son efficacité. Le complexe parasitaire deR. invadens est comparé à celui de la cochenille du manioc.   相似文献   

6.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

7.
The feeding behaviour of cassava mealybug (Phenacoccus manihoti) was analysed by the electrical penetration graph technique (EPG, DC-system) and by light microscopy. This study confirmed a typical phloem-feeding behaviour with an aphid-like predominance of extracellular pathways of stylets. Similarities of EPGs from mealybugs with those of aphids and whiteflies allowed adoption of standard pattern labelling. The main differences with aphid EPGs consisted of fewer but longer intracellular punctures (pd duration of 20 svs 5–7 s for aphids), longer times to the first phloem-ingestion period and a lower motility of stylets within the phloem searching process. Comparison of the feeding behaviour on 6 plant types, including two occasional hosts (Talinum and poinsettia), one cassava hybrid and three common cassava cultivars (Manihot esculenta), allowed differentiation of penetration profiles. Intracellular punctures were shorter on occasional hosts, on which phloem finding and subsequent ingestion were markedly delayed although a great variability within plants persisted. Chemical analysis of some secondary plant substances revealed that none of the plants tested contained detectable amounts of alkaloids, and that cyanides were restricted to true hosts (cassavas andManihot hybrid). Levels of total flavonoids did not differ between hosts and non-hosts, in contrast to those of phenolic acids. Preliminary correlations with EPG paterns are discussed.
Résumé Le comportement alimentaire de la cochenille du manioc (Phenacoccus manihoti) a été étudié par électrographie de pénétration (EPG, analyse en courant continu) et par microscopie optique. Cette étude a permis de confirmer le caractère typiquement phloémophage de l'alimentation de cet Homoptère, présentant une large prédominance du trajet extracellulaire des stylets, comme cela est également observé chez les pucerons. Les similitudes des tracés EPG effectués sur cochenille et sur pucerons ou aleurodes ont permis d'adopter la même typologie du signal. Les principales différences avec les pucerons concernent le nombre moins important et la durée plus longue des ponctions intracellulaires (20 s en moyenne contre 5 à 7 s chez les pucerons), l'allongement du temps d'accès au phloème et une moins grande mobilité des stylets lors de la phase de recherche du phloème. La comparaison du comportement alimentaire sur 6 plantes, parmi lesquelles deux h?tes occasionnels (Talinum et poinsettia), un hybride et trois variétés courantes de manioc (Manihot esculenta), a permis de différencier plusieurs profils de pénétration. Les ponctions intracellulaires se sont révélées plus courtes sur h?tes occasionnels, qui induisent également, malgré la variabilité observée, un allongement net de la période de localisation du phloème et donc un retard à l'ingestion. Aucune des plantes testées ne contient d'alcalo?des, et les composés cyanés se restreignent au genreManihot, h?te naturel de la cochenille. Les flavono?des totaux ne permettent pas de distinguer plantes h?tes et non-h?tes, à la différence des acides phénoliques.
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8.
A. Kiyindou 《BioControl》1989,34(3):409-415
Résumé Le seuil thermique de développement de 3 prédateurs de la famille desCoccinellidae (un exotique et deux locaux) a été étudié. L'équation de la constante thermique a été utilisée pour le calcul du seuil thermique. Les données obtenues ont été comparées entre elles. L'espèce exotiqueHyperaspis raynevali a un seuil thermique de développement plus bas que celui des 2 espèces locales (Hyperaspis senegalensis hottentotta etExochomus flaviventris). Le seuil thermique suivant a été obtenu pour chaque espèce, à savoir: 11,81°C pourH. raynevali; 13,78°C pourH. s. hottentotta; 13,63°C pourE. flaviventris. Des différences de seuil thermique de développement et de mortalité ont été enregistrées entre le prédateur exotique et les espèces indigènes. Des hypothèses explicatives sont évoquées dans la discussion.   相似文献   

9.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

10.
Résumé Cette étude avait pour objectif la mise au point d'un élevage du parasitePauesia cedrobii Stary & Leclant sur son h?te spécifiqueCedrobium laportei Remaudière, ce dernier étant multiplié sur des jeunes plants de cèdreCedrus atlantica Manetti. Dans des chambres climatisées à température et humidité relative constantes, on a placé des enceintes d'élevage assurant respectivement 8 et 16 heures d'éclairement. Pendant la phase d'éclairement, et malgré 2 ventilateurs chargés d'assurer l'extraction de l'air, la température des enceintes a augmenté d'environ 3°C. Au total, 9 conditions climatiques ont été testées, chacune pendant un an et demi. A 4°C, le parasite ne s'est pas multiplié. A 8°C, il s'est maintenu pendant une année environ, mais cette température s'est montrée encore trop proche de son seuil inférieur de développement et de celui de son h?te. A 12°C, on a observé un bon équilibre entre le parasite, qui s'est développé normalement, et son h?te, qui n'a jamais disparu. A 20°C, les élevages ont eu un bon rendement pendant 6 mois, mais il n'a pas été possible de les maintenir pendant plus longtemps. A cette température, et plus encore à 25°C, les plants de cèdre ont présenté des sympt?mes de dépérissement. A 25°C, les résultats mettent en évidence une action défavorable de la température sur tous les niveaux trophiques. En règle générale, les jours longs ont été un peu plus favorables aux élevages.   相似文献   

11.
Résumé L'étude de la sensibilité deRhodnius prolixus St?l aux hyphomycètes a été conduite avec 5 isolats deBeauveria bassiana (Bals.) Vuill., un isolat deBeauveria brongniartii (Sacc.) Petch., 3 isolats deMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor., 4 isolats deNomuraea rileyi (Farlow) Samson et un isolat dePaecilomyces fumosoroseus (Wize) Brown et Smith. Les larves du 1er stade ont été traitées par pulvérisation avec des suspensions titrées de conidiospores. A la dose de 3.105 conidiospores/cm2, l'activité pathogène des germes varie suivant l'isolat considéré: 6 souches causent une mortalité supérieure à 50% et seulement 3 d'entre elles,B. bassiana no 297,B. bassiana no 326 etP. fumosoroseus no 56 provoquent 100% de mortalité. Les doses léthales 50% des isolates les plus agressifs sont respectivement de 2,57.104; 2,89.104 et 1,31.105 spores/cm2 (mortalité cumulée 10 j après le traitement dans les 2 premiers cas et 15 j après dans le 3e cas); leurs temps léthaux 50% atteignent 5,51; 5,24 et 13,34 j (à la dose de 3.105 spores/cm2). Le comportement infectieux de ces germes diffère puisque, quelle que soit la dose appliquée, la mortalité due à l'isolatB. bassiana no 297 est très élevée après 15 j, alors que la mortalité causée par les 2 autres souches reste dépendante de la dose audelà de 3 semaines. Par ailleurs, on constate que les 3 souches retenues ont été isolées à partir de cadavres d'espèces-h?tes appartenant à l'ordre des Hétéroptères, comme l'espècecible. En conclusion, ces essais de laboratoire permettent de sélectionner l'isolatB. bassiana no 297 comme candidat potentiel pour la lutte biologique contre le vecteur de la maladie de Chagas,R. prolixus.   相似文献   

12.
Root flies,Delia radicum (L.) andD. floralis (Fallén) (Diptera: Anthomyiidae), trapped in swede crops in the south of Scotland, were infected withStrongwellsea castrans Batko and Weiser (Zygomycetes: Entomophthorales). The pathogen was associated mainly with females of the 1st and 2nd generations ofD. radicum and of the single generation ofD. floralis. Disease incidence showed time-lagged density dependence. Greatest sustained infection levels were recorded in the coolest wettest season. Higher proportions ofD. radicum were infected in the headland than in the crop. Unbaited yellow water traps caught greater proportions of infected flies than traps baited with mustard oil (allyl isothiocyanate). The reasons for high levels of infection in Scotland are discussed.
Résumé Les mouches des racines,Delia radicum (L.) etD. floralis (Fallén) [Diptera: Anthomyiidae] attrapées dans la culture du rutabaga dans le sud de l'écosse, étaient contaminées parStrongwellsea castrans Batko & Weiser [Zygomycetes: entomophthorales]. Le pathogène était surtout associé aux fe nelles de la lère et de la 2ème générations deD. radicum et de la seule génération deD. floralis. Les cas de maladie montraient avec retard leur dépendance avec la densité des mouches. Les niveaux d'infection les plus grands étaient enregistrés pendant la saison la plus froide et la plus humide. Les bordures en friche des parcelles hébergeaient de plus grandes proportions deD. radicum infectés que les cultures. Des pièges jaunes sans appat ont attrapé de plus grandes proportions de mouches que lorsqu'ils étaient appatés avec de l'huile de moutarde (allyl-isothiocyanate). Les raisons qui expliquent pourquoi les niveaux d'infection en écosse sont plus élevés qu'ailleurs sont discutées.
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13.
Effects of 67 herbicides — several of which were mixtures — and plant growth regulators on adult females of the rove beetle,Aleochara bilineata, were investigated in the laboratory. The pesticides were tested in concentrations equivalent to the highest recommended dosages for practical use. Mortality, egg production and hatch of the eggs were measured. Most herbicides had no serious effect on any of the parameters recorded. Among the urea herbicides, however, several showed adverse effects on egg production and/or hatch of the eggs laid. The strongest effect was exerted by methabenzthiazuron that impeded hatch of the eggs completely. Bromoxynil, pyridate and haloxyfod reduced survival, egg production and/or egg hatch to some degree, while carbaryl, which is also used as a plant growth regulator, killed all the beetles immediately. The usefulness of dose-response-studies and the importance of measuring sublethal effects are stressed, and the choice of herbicides showing no toxic effects is recommended.
Résumé Des expériences ont été faites au laboratoire pour tester les effets de 67 herbicides — dont plusieurs étaient des mélanges — et régulateurs de croissance des plantes sur les femelles adultes d'Aleochara bilineata. Les pesticides ont été testés à des concentrations équivalant aux dosages les plus élevés recommandés pour l'usage agricole. La mortalité, la production et l'éclosion des oeufs ont été mesurés. La plupart des herbicides n'ont pas d'effet important sur aucun des paramètres retenus. Parmi les herbicides à base d'urée cependant, plusieurs montrent des effets négatifs sur la production d'oeufs et/ou l'éclosion des oeufs. L'effet le plus fort a été provoqué par le métabenzthiazuron qui empêchait complètement l'éclosion des oeufs. Le bromoxynil, le pyridate et l'haloxyfop réduisaient la survie, la production d'œufs et/ou, jusqu'à un certain point, l'éclosion des œufs. Le carbaryl par contre, qui est aussi employé comme régulateur de croissance des plantes, tuait immédiatement tous les staphylins. L'utilité des études dose-réponse et l'importance de mesurer les effets sublétaux sont soulignés; le choix des herbicides ne montrant pas d'effet toxiques est recommandé.
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14.
Refined petroleum products have been used since last century for the control of phytophagous arthropod pests. The response ofHelicoverpa spp. and its natural enemies to petroleum oil sprays on cotton was investigated under laboratory choice/no-choice and small plot field conditions at the Australian Cotton Research Institute at Narrabri in New South Wales. In oviposition choice and no-choice tests, petroleum oil sprays suppressed oviposition inHelicoverpa punctigera (Wallengren) but notH. armigera (Hubner) (Lepidoptera: Noctuidae).H. punctigera females laid about seven times as many eggs on the control (water sprayed) cotton plants as on either petroleum oil spray alone or oil mixed with Kelgum. HoweverH. armigera females laid the same number of eggs on both treated and control plants. In field trials, the number of eggs per metre per sample date found on the plots treated with petroleum oil spray was 3.83 compared with 6.29 and 7.82 eggs respectively on plots treated with conventional insecticide sprays and the unsprayed plots. The number of larvae found on plots treated with petroleum oil sprays was 2.9 times higher than the conventional insecticide sprayed plot, however, this was 1.6 times fewer than the unsprayed plot. The cotton yields from plots treated with petroleum oil sprays was 3.70 bales/ha compared with 7.32 and 2.69 bales respectively from the conventional insecticide treated and the unsprayed plots. Petroleum oil sprays had little or no effect on predatory beetles, bugs, lacewings and spiders.
Résumé Des produits de pétrole raffiné ont été utilisés depuis le siècle dernier pour lutter contre les arthropodes ravageurs phytophages. La réponse deHelicoverpa spp. et des ses ennemis naturels à des pulvérisations d'huile de pétrole sur cotonnier a été étudiée en laboratoire dans des expériences de choix et d'absence de choix ainsi que dans de petites parcelles en plein champ à l'Institut de Recherche australien sur le coton (Narrabri, Nouvelles Galles du Sud). Dans des expériences de choix/non choix concernant l'oviposition, les pulvérisations d'huile de pétrole empêchaient la ponte d'Helicoverpa punctigera (Wallengren) mais pas deH. armigera (Hubner) (Lep.: Noctuidae). Les femelles deH. punctigera pondent environ 7 fois plus d'oeufs sur les plants de coton témoins (pulvérisés avec de l'eau) que sur les plants traités à l'huile de pétrole seule ou en mélange avec du Kelgum. Par contre,H. armigera pond le même nombre d'oeufs sur les plants traités ou témoins. Dans les essais en plein champ, les parcelles pulvérisées avec de l'huile de pétrole comportent significativement moins deHelicoverpa et présentent une récolte plus importante que celles non traitées; cependant le nombre de chenilles est plus élevé et la récolte moindre que dans les parcelles traitées avec des insecticides. Les pulvérisations d'huile de pétrole ont un effet faible ou nul sur la faune auxiliaire.
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15.
Prevalence of entomopathogenic fungi was studied in overwintering ground beetles (Col.: Carabidae) and rove beetles (Col.: Staphylinidae) collected from fields of lucerne, white cabbage and white cabbage undersown with white clover. In general infection levels in adult ground beetles and rove beetles were low (Carabidae: max. 7.6%,Staphylinidae: max. 7.0%). In comparison, prevalence of entomopathogenic fungi in carabid larvae was high (19–50%). At one study site an epizootic ofBeauveria bassiana was observed, infecting 67% of the staphylinidAnotylus rugosus and 37% of the staphylinidGyrohypnus angustatus. Beauveria bassiana was the predominant fungus isolated from ground beetles and rove beetles from all studied sites. Other fungal species included the hyphomycetesMetarhizium anisopliae, Paecilomyces farinosus andVerticillium lecanii as well asZoophthora radicans andZoophthora philonthi (Zygomycetes: Entomophthorales). Two individuals ofAnotylus rugosus were found to have a dual infection ofZoophthora philonthi andBeauveria bassiana.
Résumé La présence de champignons entomopathogènes a été recherchée chez des carabes (Col.: Carabidae) et des staphylins (Col.: Staphylinidae) récoltés dans des champs de luzerne, de chou et d'une culture mélangée chou-trèfle blanc. Chez les adultes, le taux d'infection dans les deux groupes d'insectes est en général très faible (Carabidae: max. 7,6%, Staphylinidae: max. 7%). Chez les larves de carabes par contre, le taux d'infection par les champignons est élevé (19–50%). Sur l'un des sites de l'étude, une épizootie àBeauveria bassiana a été observée, l'infection portant sur 67% des individus récoltés appartenant à l'espèceAnotylus rugosus et 37% desGyrohypnus angustatus. B. bassiana est le champignon prédominant isolé à partir des coléoptères de tous les sites étudiés. D'autres espèces fongiques ont été relevées: ce sont les hyphomycètesMetarhizium anisopliae, Paecilomyces farinosus etVerticillium lecanii ainsi queZoophthora radicans etZoophthora philonthi. Deux individus d'A. rugosus ont été retrouvés infectés à la fois parErynia etB. bassiana.
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16.
Notre étude menée durant les années 2008, 2009, 2011, 2012 et 2013 sur le genre Andrena (Hymenoptera : Apoidea, Andrenidae) dans la région saharienne de l’Algérie orientale, a permis de dégager une liste d’espèces. La localité d’El Oued est prospectée pour la première fois et 383 spécimens ont été collectés (82 mâles, 301 femelles). On dénombre 30 espèces. La phénologie et les choix floraux sont aussi étudiés.  相似文献   

17.
P. Grison 《BioControl》1962,7(3):269-270
Résumé L'utilisation des germes pathogènes est une solution du problème de la sélectivité. Des solutions concurrentes existent avec certains pesticides chimiques. L'utilisation des germes pathogènes est donc envisagée d'une manière pragmatique en négligeant les problèmes de recherches fondamentales. Pour cette raison les mycoses et les protozoonoses ne sont pas retenues. Les viroses offrent un exemple de la plus grande spécificité d'action. L'application des virus d'insectes a été surtout développée en sylviculture. Une grande difficulté est la multiplication des virus sur organismes vivants. Les bactérioses peuvent être seules retenues pour l'agriculture et l'arboriculture intensives: elles ont un spectre d'action assez étendu mais suffisamment sélectif; les bactéries qui nous intérresent peuvent être multipliées industriellement. Le statut deBacillus thuringiensis Berliner et les propriétés des préparations commerciales ont fait l'objet de développements récents. Dans une revue critique des applications de ces préparations en arboriculture fruitière, on considère d'abord le cas des Mineuses et des Tordeuses. Presque toutes ces chenilles sont susceptibles àB. thuringiensis. Mais la difficulté d'utilisation des préparations est de nature éthologique. De bons résultats sont obtenus au Canada contreArgyrotaenia et en U.R.S.S. contreHyponomcuta. En U.R.S.S. on utilise des produits mixtes à concentration réduite (0,5%) de préparation bactérienne et à concentration extrêmement faible (0,002%) de D.D.T. Les résultats contre le Carpocapse sont négatifs. Les résultats contre les chenilles défoliatrices sont très satisfaisants: en Hollande et au Canada contreMalacosoma; au Canada contre les Géométrides,Operophtera etAlsophila espèces très susceptibles àB. thuringiensis, à la dose de 1 à 2 pounds de préparation (titrant 30×109 spores viables par gramme) pour 100 gallons, soit environ, 1,5%; en France, ces résultats sont confirmés. En conclusion, l'utilisation en verger des prépararations commerciales deBacillus thuringiensis doit être ?intégrée? dans un programme général de protection comprenant à la fois les traitements chimiques et les méthodes culturales. De tels programmes sont actuellement expérimentés dans certains vergers de Pommiers par l'I.P.O. et le T.N.O. en Hollande.  相似文献   

18.
Résumé L'étude en laboratoire de la biologie du développement deAmblyseius andersoni, Neoseiulus fallacis, Galendromus longipilus etTyphlodromus pyri a permis de calculer les seuils de développement et le taux intrinsèque d'accroissement naturel à 20°C lorsque ces espèces sont nourries avecTetranychus urticae. Le taux de fécondité spécifique à l'age des 4 espèces a été déterminé en utilisant comme proie soitT. urticae, soitPanonychus ulmi. PourA. andersoni et pourT. pyri, P. ulmi constitue une nourriture meilleure queT. urticae, contrairement àN. fallacis etG. longipilus, dont le taux d'accroissement est supérieur quand ils se nourrissent deT. urticae. PourG. longipilus, P. ulmi constitue même une nourriture nettement suboptimale. Pour les femelles de toutes les espèces on a pu mettre en évidence la faculté d'adapter le taux de fécondité et la durée d'oviposition au nombre des proies disponibles. En termes de fécondité, cela permet à ces espèces de réaliser presque tout leur potentiel, indépendamment de la ration quotidienne de nourriture.   相似文献   

19.
Résumé Vingt souches deFrankia, isolées à partir de 7 espèces différentes de plantes actinorhiziennes ont été cultivées sur des milieux maintenus à des pH constants de 5; 4,8; 4,6 et 4,2. Chaque souche a été cultivée 2 à 3 fois consécutives à un même pH. Quatorze souches ne montrent aucune croissance à pH 5. Seules 3 souches résistent à un séjour de plusieurs semaines à pH 4,6. Aucune souche ne demeure viable après un séjour dans un milieu à pH 4,2. Les 3 souches acido-résistantes supportent également la présence d'Al+++ libre dans le milieu de culture. Une forte concentration d'H+ dans le milieu stimule beaucoup la sporogénèse. Inoculée dans un sol acide une souche acido-résistante conserve une chance de survie nettement supérieure à celle d'une souche neutrophile maintenue dans les mêmes conditions.   相似文献   

20.
Populations of the June beetle,Amphimallon solstitialis (Coleoptera: Scarabaeidae), were sampled from grasslands near Darmstadt, Germany, and found to be infected by a number of diseases and parasitic nematodes. Several milky diseased larvac were found, andBacillus popilliae type A 1 isolated as the causative agent. The bacterium readily infected healthy larvae ofA. solstitialis when administeredper os in the laboratory, but was not infective to larvae ofMelolontha hippocastani by this route. A large mermithid nematode was found parasitising 10% of theA. solstitialis larvae at one site andHeterorhabditis bacteriophora was found infecting larvae at the other.
Résumé Des populations deAmphimallon solstitialis (Col.: Scarabaeidae) ont été échantillonnées dans deux prairies distinctes près de Darmstadt (Allemagne) et se sont révélées infestées par des maladies et des nématodes parasites. Plusieurs larves dans chaque site étaient infectées par la maladie laiteuse etBacillus popillae, type A1 a été isolé comme étant l'agent responsable. La bactérie infeste facilement des larves saines deA. solstitialis quand elle est administrée par voie orale au laboratoire mais n'a pas d'effet infectieux pour les larves deMelolontha hippocastani par cette même voie. Un grand nématode mermithide a été trouvé parasite de 10% des larves deA. solstitialis sur un seul site, mais comme seuls les jeunes ont été trouvés, la détermination à l'espèce n'a pu être faite.Heterorhabditis bacteriophora était responsable de l'infection de 1,5% des larves sur seulement un site. Plusieurs larves deA. solstitialis présentaient une couleur ambrée, identique à celle trouvée sur le scarabéeCostelytra zealandica infecté parSerratia spp., et ne se nourrissaient pas de carotte au laboratoire. Les bactéries isolées à partir de ces larves ne provoquent aucun effet visible quand elles sont données en nourriture à des larves saines.
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