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1.
Résumé Sept souches deConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller ont pu être classées en 2 groupes en fonction de leur pathogénicité vis-à-vis du puceron du pois. Les conidies primaires des souches agressives germent en pourcentage plus élevé que les conidies des souches non agressives (incapables d'infecter des pucerons). Elles ont aussi une meilleure propension à émettre des tubes germinatifs plut?t que des conidies secondaires.
Summary Seven strains ofConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller were classified into 2 groups depending on their pathogenicity against the pea aphid. Variations in germination patterns on the aphid cuticle were related to differences in pathogenicity of the strains. Primary conidia of the virulent strains germinated in higher concentration than the avirulent ones; furthermore, the former have a greater tendandy to produce germ tubes than secondary conidia.
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2.
B. Papierok  N. Wilding 《BioControl》1981,26(3):241-249
Résumé Au sein de l'espèceConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller, les souches différant par leur comportement en culturein vitro présentent également des différences dans leur comportementin vivo. Les souches qui poussent rapidement, plissent le milieu et forment facilement des azygospores (type A) sont moins virulentes à l'égard deAcyrthosiphon pisum Harris et deSitobion avenae F. que les souches de type B, qui poussent plus lentement, plissent peu le milieu et ne produisent pas de spores de résistance. La durée d'incubation de la maladie chez les 2 espèces de pucerons est plus longue chez les individus infectés par une souche de type B que chez ceux infectés par une souche de type A. La formation d'azygospores à l'intérieur des pucerons morts de mycose placés à 2°C sur de la cellulose mouillée n'est observée que dans le cas des souches de type A. En dernier lieu le nombre de conidies émis par un cadavre lors de la sporulation est en moyenne plus élevé dans le cas des souches de type B que dans celui des souches de type A. Les 2 types de souches doivent être regardés comme des races biologiques au sein de l'espèceC. obscurus.
Summary The 2 types of strain ofConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller which can be separated by differences in their growthin vitro, differed also in characteristics of their developmentin vivo. Strains which,in vitro, grow rapidly, fold the surface of agar media and readily produce azygospores (strains of type A), were less infective forAcyrthosiphon pisum Harris andSitobion avenae F. than strains of type B which grow more slowly, hardly fold the surface of agar media and fail to produce resting spores. However, the incubation period of the disease in both these aphid species was longer for type B than type A strains. Azygospores formed in aphids infected experimentally with type A strains but not in those infected with type B strains when the cadavers were placed on moist cellulose at 2°C. The mean number of conidia produced from aphids infected with strains of both types varied greatly but strains of type B produced more conidia per aphid than those of type A. The 2 types of strain should be considered as biological races within the speciesC. obscurus.


Avec la collaboration technique de MesdamesM. Arnault etS. K. Best.  相似文献   

3.
Previous research concerning theEntomophthorales has demonstrated their capabilities as biological control agents. To use them widely and at industrial levels, studies to demonstrate their innocuity in animals must be made. The present study concerns the intraperitoneal and subcutaneous inoculation of 274 animals (mice and guinea pigs) withErynia neoaphidis Remaudière & Hennebert andConidiobolus major (Thaxter) Remaudière & Keller, fungi pathogenic for the spittlebug [Aeneolamia postica (Walk) andProsapia simulans (Walk)] in Mexico. The alterations found were macroscopic tissue lesions consisting of nodules, abscesses and adhesions in the liver, spleen, kidneys and intraperitoneal cavity. No fungi could be recovered from organs at any time and only lysed filaments surrounded by polymorphonuclear cells could be seen at day 8 post-inoculation. The histopathological findings showed no important pathological alterations. These results suggest the innocuity ofErynia neoaphidis Remaudière & Hennebert andConidiobolus mamor (Thaxter) Remaudière & Keller in mice and guinea pigs.
Résumé L'utilisation des Entomophthorales dans la lutte biologique contre les insectes n'est possible qu'après avoir vérifié leur innocuité vis-à-vis des vertébrés. Dans ce but, des injections sous-cutanées et intrapéritonéales ont été réalisées chez 274 animaux (cobayes et souris) à l'aide de mycélium et spores deErynia neoaphidis etConidiobolus major pathogènes de la “mosca pinta”. Les seules lésions tissulaires observées sont des nodules, des abcès et des adhérences au niveau de la rate, du foie, des reins et du péritoine. Les champignons n'ont jamais pu être réisolés à partir des divers organes. Les observations histopathologiques ne montrent aucune altération pathologique importante; seuls des filaments lysés entourés de polymorphonucléaires ont pu être retrouvés. Ces résultats indiquent l'innocuité deE. neoaphidis etC. major vis-à-vis des souris et des cobayes.
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4.
Résumé La persistance des conidiospores deNomuraea rileyi (F.) Samson à la surface du couvert végétal a été étudiéein situ en culture de féverole (?Féverole 1 et 2?) et de chou. L'effet du rayonnement solaire sur la survie du germe a été analysé, d'une part, dans des microparcelles recouvertes d'écrans sélectifs arrêtant les radiations de longueurs d'onde inférieures à 320 nm (UV A+) ou à 400 nm (UV) ou par un écran total vis-à-vis du rayonnement direct (RYT) et, d'autre part, dans une microparcelle découverte (RYT+). Les conditions microclimatiques ont été suivies pendant toute la durée des expérimentations et le contr?le de l'activité résiduelle du champignon a porté essentiellement sur le dénombrement des spores viables sur milieu nutritif après mise en suspension d'un broyat des échantillons de feuilles prélevés sur le terrain. Dans le cas des variantes expérimentales (RYT+) et (RYT) le potentiel infectieux a été éprouvé sur des larves deSpodoptera littoralis Boisd. (Lépidoptère Noctuidae) alimentées pendant 24 h avec des rondelles de feuilles recueillies dans le couvert. La durée de demi-vie de l'inoculum sporal est étroitement liée à l'ensoleillement; par temps clair elle peut atteindre un minimum de 3,6 h (?Féverole 1?), alors que dans les microparcelles totalement protégées du rayonnement direct, elle est supérieure à 40 h. Les données d'activité pathogène confirment l'inactivation de l'inoculum soumis au rayonnement solaire. Parallèlement, le recours aux écrans transparents (UV A+) ou opaques (UV) au proche ultra-violet (320–400 nm) a permis de démontrer clairement l'effet léthal de l'UV A naturel sur les conidiospores deN. rileyi, dont les demi-vies peuvent être réduites jusqu'à 4 fois (?Féverole 1?: XUV A +=11,6 h au lieu de XUV−=48,2 h). A partir de ces résultats, on estime que par temps ensoleillé en été, le potentiel d'inoculum deN. rileyi exposé au rayonnement solaire direct peut chuter de 104 fois en une semaine, alors que par temps couvert cette réduction n'aurait été que de 100 fois. Avec la collaboration technique deH. Vermeil de Conchard.  相似文献   

5.
Recent progress in plant transformation for insect resistance has increased the interest in the potential toxicity of proteins towards insect pests. While studies have been targeted to a large array of insect species, phloem-feeding Homoptera have not been investigated yet. The paper describes a routine test for screening toxicity and growth inhibition of purified proteins in artificial diets onAcyrthosiphon pisum (Harris). Twenty-five commercially available proteins of different classes were tested and compared to some non-protein chemicals (an insecticide, an antibiotic …).A. pisum proved to be very sensitive to all proteases tested and to some venoms with general cytolytic properties. A plant lectin, concanavalin A, displayed significant toxicity and growth inhibition, while various proteins such as a soybean proteinase inhibitor, a chitinase, and bovine serum albumin showed measurable impairments of growth only at higher dose (≥250 μg.ml−1). Some proteins were without short-term effect onA. pisum physiology. The influence of these results on aphid-plant interactions are discussed.
Résumé L'effet de protéines alimentaires sur les insectes phloémophages, dont les pucerons, n'a jamais été étudié. Nous proposons ici un test biologique standardisé sur milieu artificiel permettant d'analyser les effets de différentes classes de protéines sur la physiologie d'A. pisum. La validité de ce test est éprouvée (protocole, reproductibilité) et les différentes données récoltées (mortalité et inhibition de croissance) permettent de définir des paramètres toxicologiques tels que concentration létale 50 ou concentration inhibitrice 50. Cette caractérisation toxicologique a été réalisée sur 25 protéines appartenant à des classes différentes, ainsi que plusieurs substances non protéiques utilisées comme témoin de toxicité (insecticide, antibiotique, inhibiteur de synthèse protéique et glucoside phénolique). Les regroupements de protéines par proximités de profils toxicologiques ont été corrélés aux activités biochimiques des différentes protéines. Les implications de ces résultats sur les interactions plante-puceron sont discutées, ainsi que le potentiel d'une stratégie de création de variétés transgéniques résistantes aux pucerons.
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6.
Resumé A partir de la souche deR. meliloti Ve 26 mobile et chimiotactique, un mutant non mobile (mob) et un mutant hyper-mobile (mob+) ont été isolés. L'importance du r?le de la mobilité dans les phénomènes d'infection et de nodulation lors d'inoculations mixtes réalisées en miniserre expérimentale, est montrée: le mutant Ve 26 mob+ forme 86% et 48% de nodules respectivement quand il est inoculé en mélange avec le mutant Ve 26 mob ou avec la souche 2011 (non mobile par rapport au mutant Ve 26 mob+). L'inoculation mixte avec le mutant Ve 26 mob et la souche 2011 deR. meliloti, en utilisant différents rapports de concentrations, a permis de montrer qu'il existe entre ces souches un effet antagoniste pour l'infection.   相似文献   

7.
Biochemical profiles on API Rapid CH* strips and protein profiles on polyacrylamide gels in the presence of sodium dodecyl sulfate were used to distinguish two strains of the entomopathogenic fungusBeauveria bassiana (Balsamo) Vuillemin, ARSEF 2991 and ATCC 44860. Next, the toxicity of these two strains was determined at concentrations of 102, 104, 106 and 108 blastospores/ml on larvae of the Colorado potato beetleLeptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera: Chrysomelidae) and of its predator, the spotted ladybird beetle,Coleomegilla maculata lengi Timberlake (Coleoptera: Coccinellidae). Both strains were highly toxic toL. decemlineata larvae. However, the two strains exhibited different levels of toxicity forC. maculata larvae: ARSEF 2991 was toxic, whereas ATCC 44860 caused little coccinellid larval mortality.
Résumé Les profils biochimiques sur galeries API Rapid CH* et les profils protéiques sur gels de polyacrylamide ont été utilisés pour distinguer deux souches du champignon entomopathogèneBeauveria bassiana (Balsamo) Vuillemin. La toxicité de ces deux souches a été déterminée à des concentrations de 102, 104, 106 et 108 blastospores/ml sur des larves du doryphore,Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera: Chrysomelidae) et de la coccinelle maculéeColeomegilla maculata lengi Timberlake (Coleoptera: Coccinellidae). Les deux souches deB. bassiana se sont avérées actives à l'égard des larves deL. decemlineata. Toutefois la souche ARSEF 2991 s'est avérée pathogène pour les larves deC. maculata, alors que la souche ATCC 44860 a provoqué une faible mortalité des larves.
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8.
Résumé Vingt souches deFrankia, isolées à partir de 7 espèces différentes de plantes actinorhiziennes ont été cultivées sur des milieux maintenus à des pH constants de 5; 4,8; 4,6 et 4,2. Chaque souche a été cultivée 2 à 3 fois consécutives à un même pH. Quatorze souches ne montrent aucune croissance à pH 5. Seules 3 souches résistent à un séjour de plusieurs semaines à pH 4,6. Aucune souche ne demeure viable après un séjour dans un milieu à pH 4,2. Les 3 souches acido-résistantes supportent également la présence d'Al+++ libre dans le milieu de culture. Une forte concentration d'H+ dans le milieu stimule beaucoup la sporogénèse. Inoculée dans un sol acide une souche acido-résistante conserve une chance de survie nettement supérieure à celle d'une souche neutrophile maintenue dans les mêmes conditions.   相似文献   

9.
Summary Antisera were prepared against threeRhizobium spp, (Cicer arietinum L.) strains H45, R18 and 46b4. Results obtained by the ELISA technique complement those obtained by immunofluorescence and revealed a broad serological diversity in the chickpea Rhizobium strains used. This serological diversity allowed us to use the immunofluorescence technique for competitiveness studies between an inoculated strain (H45) and native strains. Strain H45 formed all the nodules on plants cultivated on an acidic soil, 48 per cent of Montpellier soil and 11 per cent on Montelimar soil. The inoculum concentration was 5.2 107 bacteria per seed. On the Montpellier soil, the ratio of nodules formed by H45 increased with the inoculum concentration. The competitiveness of strain H45 against native strains of Montpellier soil is highly influenced by the host plant genotype. In each case, no cross reaction were observed between native strains of the soils studied and the antisera prepared against H45.
Resume Des antiserums ont été préparés contre trois souches deRhizobium sp. du Pois chiche (Cicer arietinum L.):H45, R18 et 46b4. Les résultats obtenus en tests ELISA concordent avec ceux obtenus en immunofluorescence et révèlent une grande diversité sérologique des souches étudiées. Cette diversité sérologique a été mise à profit pour l'étude de la compétition pour la formation des nodosités entre une souche apportée au semis (H45) et les souches indigènes du sol. La souche H45 a formé la totalité des nodosités sur les plantes de pois chiche cultivées sur un sol à pH acide et respectivement 48% (sol Montpellier) et 11% (sol Montélimar) pour une concentration d'inoculum de 5, 2×107 bactéries par graine. Avec le sol de Montpellier, la proportion de nodosités formées par H45 augmente avec la concentration de l'inoculum. Le pouvoir de compétition de la souche H45 vis-à-vis des souches naturelles du sol de Montpellier est fortement influencé par le génotype de la plante. Dans tous les cas, aucune réaction croisée n'est observée entre les souches indigènes des sols étudiés et l'antisérum préparé contre H45.
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10.
Résumé Quelle que soit l'origine de la souche (sol, arthropodes, lésions humaines), les conidies de l'EntomophthoraleConidiobolus coronatus sont capables d'infecter le puceronAcyrthosiphon pisum (Hémiptères, Aphididae) et les chenilles deGalleria mellonella (Lépidoptères, Pyralidae). De plus, les filtrats, de culture en milieu liquide agité des huit souches éprouvées sont toxiques par inoculation à l'égard de ces derniers insectes; cette toxicité se traduit d'abord par une hémorragie au trou de pip?re, qui peut durer plusiers heures, puis par un noircissement du corps de l'insecte et enfin par la mort de celui-ci. L'effet anticoagulant de substances produites par une Entomophthorale est ici signalé pour la première fois. Les deux souches les plus virulentes à l'égard deAcyrthosiphon pisum, parmi lesquelles se trouve celle isolée de lésions humaines, sont également les plus toxinogènes. L'étude de la vitesse de croissancein vitro du champignon à des températures comprises entre 4 et 37°C révèle une adaptation des souches aux conditions thermiques en relation avec la région d'origine de l'isolat. Notamment, les souches d'origine tropicale se développent plus, rapidement à 26–29°C que les souches originaires de France. La vitesse maximale de croissance est constatée à 29°C pour les différentes souches, sauf pour celle isolée de lésions humaines qui se développe le plus rapidement à 37°C. Cette température est létale pour les autres souches sauf pour une souche isolée d'un myriapode de l'?le de la Réunion. C'est la première fois que l'aptitude à cro?tre à cette température est reconnue chez un isolat deConidiobolus coronatus provenant d'un arthropode.
Summary Whatever the substrate of origin of the strain (soil, arthropods, human phycomycosis), conidia ofConidiobolus coronatus (Zygomycotina, Entomophthorales) are able to infect the pea aphid,Acyrthosiphon pisum (Hemiptera, Aphididae) and the greater wax moth,Galleria mellonella (Lepidoptera, Pyralidae). Moreover, intrahemocoelic injections of filtrates from shake cultures of all the 8 strains tested proved to be toxic for the later insect; the symptoms are successively haemorrhage, which could last for a few hours, blackening of the blood and at last death. This is the first mention of an anti-coagulant effect of metabolic products from any Entomophthorale. The strain isolated from an human phycomycosis is both the most virulent against the pea aphid and the most effective with regard to toxicity. Comparison of fungal growthin vitro at different temperatures, ranging from 4 to 37°C, revealed a certain relation between the temperature for the optimal growth and the locality of origin of a strain. In particular, strains from tropical areas were growing at 26–29°C faster than those from temperate regions. The higher growth rate was noticed at 29°C for all the 8 tested strains, except for the strain from human phycomycosis, for which the optimum temperature was 37°C. This temperature was lethal for the other strains, but for a strain isolated from a myriapod from the Reunion Island. It is the first time that the ability of a strain ofC. coronatus isolated from an arthropod to growth at 37°C is ascertained.
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11.
B. Le Rü 《BioControl》1986,31(1):79-89
Résumé L'action régulatrice d'un champignon du groupe des Entomophthorales,Neozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, est mise en évidence pour la lère fois dans une population de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Homoptères: Pseudococcidae) en République Populaire du Congo en 1982. Le pathogène est de loin l'ennemi naturel qui intervient le plus significativement dans la régulation des effectifs. L'extension de la maladie dans la population h?te appara?t conditionnée par l'apparition simultanée d'une humidité relative supérieure ou égale à 90% et d'une température journalière minimale supérieure à 20°C. Elle semble également liée à la densité du ravageur. On notera enfin que les formes adultes sont systématiquement plus infectées que les formes larvaires.
Summary The regulatory action of the entomophthoraceous fungusNeozygites fumosa (Speare) Remaudière & Keller (Zygomycetes) is shown for the ist time in a population of the Cassava mealybug,Phenacoccus manihoti (Hom.: Pseudococcidae), in the People's Republic of the Congo in 1982. This pathogen is by far the natural enemy which intervenes the most significantly in the regulation of this insect. The development of the epizootic appears to be influenced by a relative humidity of at least 90% along with a minimal daily temperature greater than 20°C. The spread of the disease also seems to be affected by the host density. Throughout the entire duration of this study, the adult forms were more infected than the larval forms.
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12.
Résumé L'étude du fonctionnement du cycle de l'azote dans les milieux dunaires des c?tes méditerranéennes fran?aises a conduit à analyser le comportement de l'oyat,Ammophila arenaria, au cours de son développement en réponse aux variations de l'humidité et de la teneur en nitrate du sol. Les mesures d'activité nitrate réductase et de la teneur en nitrate dans les feuilles ont été effectuées simultanément avec les mesures des teneurs en eau et en nitrate du sol. Cette plante a des activités nitrate réductase ne dépassant pas 0,27 μmoles h−1 g−1 matière fra?che, qui n'ont pu être mesuréesin vivo qu'en présence de nitrate exogène dans le milieu d'incubation. Il appara?t que la plante réduit ou accumule préférentiellement le nitrate selon que l'on se situe en période humide ou sèche. Pour des valeurs voisines ou inférieures à 2% d'humidité dans les vingt premiers centimètres de sol, l'activité nitrate réductase décro?t et des quantités importantes de nitrate s'accumulent (169 μg N.NO3.g−1 matière sèche). Dans ces conditions, le nitrate dans la solution du sol peut atteindre une concentration élevée (6 meq.l−1). Inversement, au-delà de 2% d'humidité le nitrate endogène s'épuise et l'activité nitrate réductase augmente. La régulation de l'assimilation et de l'accumulation du nitrate par l'oyat dépend de son alimentation hydrique et done des quantités de nitrate absorbées à partir de la solution du sol et véhiculées dans la sève brute.
In situ study of the influence of dune soil humidity and nitrate contents on the nitrate accumulation and reduction in marram (Ammophila arenaria L.)
Summary The search for a better understanding of the nitrogen cycle in the sand dunes of french mediterranean beaches have driven us to study the habits ofAmmophila arenaria. In this way, we have followed its responses to different soil water potentials and nitrate contents of the soil during its development. Nitrate reductase activities and nitrate contents of leaves have been measured simultaneously with water and nitrate contents of soil. This plant has a slight nitrate reduction activity, not more than 0,27 μmoles h−1 g−1 fresh matter, which could be measuredin vivo only by the addition of nitrate to the incubation media. It seems that the plant reduces or else it stores, in a preferential way the nitrate whether it is in a humid or dry period. If humidity values are near or below 2%, the marram diminishes its assimilation activity and stores important amounts of nitrate (169 μg N−NO3 .g−1 dry matter). In these conditions the nitrate can be highly concentrated in the soil solutions (6 meq.l−1). Opposite, above 2% of humidity, the nitrate reductase activity decreases and the endogenous nitrate is consumed. The regulation of the assimilation and storage of nitrate by the marram is mainly a function of the soil humidity and so, of the amount of nitrate taken from the soil solution and carried into the xylem.
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13.
Summary Strains of Staphylococci originally resistant to chloramphenicol, tetracycline and erythromycin, or made resistantin vitro to tyrothricin and streptomycin, were transformed into the “L” form and subcultured in this phase for more than twenty passages. The “L” colonies of the entire series could be reversed to bacterial forms. From all theisolated staphylococci strains the phage pattern was found to be maintained; slight changes in the number of active phages and the degree of activity are deemed to be insignificant. New types were never found. The strains made resistant to tyrothricin and streptomycin remained insensitive, those, however, that were originally resistant to chloramphenicol, tetracycline and erythromycin, became sensitive after a number of passages in the “L” phase. This loss of resistance—the only significant change from the original strains—is thought not to be due to mutation.
Résumé Des souches de Staphylocoques sensibles à la pénicilline, mais naturellement résistantes au chloramphénicol, à la tétracycline et à l'érythromycine, aussi bien que des souches rendues insensibles à la tyrothricine ou à la streptomycine, étaient transformées en phase “L”. Dans cette phase plus de vingt subcultures étaient faites; les colonies “L” de chaque passage pouvaient être reversées en phase bacillaire. Toutes les souches récupérées avaient conservé le type bactériophagique des souches d'origine; l'augmentation du nombre des phages actifs et le changement du degré de leur activité ne peuvent être considérés signifiants. Nous n'avons jamais trouvé de nouveaux types. Les souches résistantes à la streptomycine et à la tyrothricine restaient insensibles; celles au contraire, qui étaient naturellement résistantes a la tétracycline, à l'érythromycine ou au chloramphénicol devenaient sensibles après peu de subcultures en phase “L”. Cette perte de résistance est considérée être d'origine non-mutationelle. L'existence d'un cycle “L” des Staphylocoques s'est averée ainsi.


Working with grants of the foundation “De Drie Lichten” and the “Stichting ter Bevordering van Medisch-Wetenschappelijk Onderzoek”.  相似文献   

14.
Résumé Uniquement connue du sud des Etats-Unis d'Amérique, l'EntomophthoraleNeozygites fumosa (Speare) Remaudière & Keller a été retrouvée en République populaire du Congo, où elle attaque la Cochenille du manioc,Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero [Hom.: Coccoidea Pseudococcidae]. De légères variations d'ordre biométrique sont mises en évidence au sein de l'espèce fongique. A ce jour, parmi les Entomophthorales mentionnées dans la littérature comme pathogènes de Cochenilles, seules deux espèces peuvent être retenues avec certitude:Neozygites fumosa etConidiobolus pseudococci Speare (Tyrrell & MacLeod), toutes deux pathogènes dePseudococcidae.
Summary The entomophthoraceous fungus,Neozygites fumosa (Speare) Remaudière and Keller, which was only known from the south of the U.S.A., was found in the People's Republic of the Congo, on the Cassava mealybug,Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero [Homoptera: Coccoidea, Pseudococcidae]. Slight biometrical variations appear within the fungal species. At the present time, among the Entomophthorales cited in the literature as parasitizing Coccoidea, two species only can be retained with certainty:Neozygites fumosa andConidiobolus pseudococci Speare (Tyrrell and MacLeod), both attackingPseudococcidae.
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15.
Five strains of the entomopathogenic fungusMetarhizium anisopliae (Metschnikoff) Sorokin were bioassayed against the coffee berry borerHypothenemus hampei (Ferrari) (Coleoptera: Scolytidae) under laboratory conditions (T=27±2°C; R.H.=90±5% and 12∶12 L∶D light cycle). The LC50 values for the three most virulent strains, Ma4, Ma5 and Ma3, were 4.2, 5.9 and 6.7×106 conidia/ml of suspension respectively and median lethal times (LT50) observed were between 9.7 and 13.8 days. The maximum percentage sporulation was obtained with strains Ma3 and Ma4 both with 90% sporulation and Ma10 with 60.7%. These results suggest that the fungusM. anisopliae could be incorporated into an integrated control programme for the biological control ofH. hampei.
Résumé Cinq souches du champignon entomopathogèneMetarhizium anisopliae (Metschnikoff) Sorokin, ont été évaluées dans les conditions du laboratoire, pour mesurer leur activité vis-à-vis du scolyte des fruits du caféierHypothenemus hampei (Ferrari) (Coleoptera: Scolytidae). Les résultats montrent que les souches Ma4, Ma5 et Ma3 sont les plus virulentes contreH. hampei, avec des valeurs de concentration létale moyenne (CL50, valeurs minimales et maximales, ± limite de confiance à 95%) de 0,0226 (0,0195–0,00260), 0,0328 (0,0267–0,0390) et 0,0354 (0,0297–0,0417) équivalentes à 4,2, 5,9 et 6,7×106 conidies/ml de suspension et un temps létal moyen (TL50) entre 9,7 et 13,8 jours. Les pourcentages maximaux de sporulation ont été obtenus avec les souches Ma3 et Ma4 avec 90%, la souche Ma10 présentant le pourcentage le plus bas de sporulation (67%). Ces résultats démontrent queM. anisopliae peut être introduit dans un programme de lutte intégrée contreH. hampei.
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16.
Résumé Le pouvoir pathogène de 8 souches deMetarrhizium anisopliae isolées de 7 Searabeides et du Doryphore a été comparé à l’égard de 9 espèces de ColéoptèresScarabaeidae: 5Dynastidae, 3Cetoniidae et 1Melolonthidae, par incorporation de différentes doses de conidiospores au milieu d’élevage des larves. Il a été ainsi montré que la plupart des Insectes étudiés sont sensibles seulement à la souche de Champignon isolée de la même espèce. Par contre lesOryctes sont sensibles à tous lesMetarrhizium provenant d’espèces appartenant au genreOrycles.
Summary The pathogenicity of 8 strains ofMetarrhizium anisopliae has been investigated on 9 species of ColeopteraScarabaeidae (5Dynastidae, 3Cetoniidae and 1Melolonthidae), by incorporating different doses of conidiospores in the larval rearing medium. In this way, it has been shown that most of the insects studied However, species ofOryctes are susceptible to allMetarrhizium strains derived fromOryctes species. are susceptible only to the fungus strains isolated from insects of the same species.


Nous remercions vivement MmeA. Deotte pour sa participation à ces essais et notamment la préparation des souches deMetarrhizium.  相似文献   

17.
A comparative account is given of the rate of infestation of seedlings of Triplochiton scleroxylon Schum. by Diclidophlebia sp. under three regimes of ‘shade’. Population increase in relation to leaf production under the different regimes, and insect activity in ‘Deep shade’ is also discussed. Shade decreased the rate of infestation of the host plant and the build-up of populations of the insect. Under ‘Deep shade’ practically no infestation occurred, probably because the adult insects were less active there. Shading is recommended as a method of silvicultural control of this pest in nursery and transplant beds.
Effet de l'ombre sur le taux d'infestation de Triplochiton scleroxylon par le psylle Diclidophlebia sp
Résumé On a étudié l'influence de l'ombre sur le taux d'infestation d'une plante (Triplochiton scleroxylon) par un Psylle, Diclidophlebia sp. en utilisant trois degrés différents d'éclairement, correspondant à ce qu'on a nommé ≪ombre foncée≫, ≪ombre claire≫, et ≪ombre nulle≫. L'éclairement et la température ont été mesurées et chacune des expériences a été répétée quatre fois. On a enregistré chaque semaine: (a) le nombre total de feuilles (b) le nombre de feuilles infestées et (c) le nombre de psylles adultes présents sur les jeunes plantes. Une rectification a été faite pour les feuilles endommagées par d'autres espèces d'insectes. On a donc calculé le pourcentage de feuilles infestées par des larves et le nombre des insectes adultes pour cent feuilles. On a trouvé une différence significative du taux d'infestation, entre les trois expériences correspondant à des éclairements variés. On a observé que l'ombre diminue l'intensité des attaques de Diclidophlebia sp. sur sa plante-h?te. Le taux d'infestation des feuilles et l'ensemble de la population d'insectes furent fort réduits chez les plantes soumises aux régimes d'éclairement ≪ombre foncée≫ et ≪ombre claire≫. Il n'y avait pratiquement pas d'infestation des plantes en ≪ombre foncée≫. La rareté des insectes dans ce cas fut considérée en rapport avec (1) le taux de protéines et/ou des hydrates de carbone dans les feuilles des jeunes plantes qui sont ombragées et (2) l'incidence d'un éclairement réduit du type ≪ombre foncée≫. On a conclu que l'élément le plus important est le niveau bas de l'éclairement d? à l'ombrage, qui réduit l'activité des insectes adultes. L'ombrage ayant peu d'influence sur la croissance des jeunes plantes de Triplochiton scleroxylon, on a recommandé ce moyen pour protéger semis et pépinières contre les attaques de Diclidophlebia.
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18.
Résumé En France, une quarantaine de souches de l'EntomophthoraleZoophthora radicans (Brefeld) Batko ont été isolées d'Homoptères, de Lépidoptères, de Diptères et d'Hyménoptères. Le champignon s'est révélé capable d'exercer une action épizootique à l'égard du LépidoptèreTortricidae: Tortrix viridana L., de l'HomoptèreJassidae: Opsius stactogalus Fieb. et de l'HomoptèrePsyllidae: Trioza urticae L. Le comportement pathogène de 8 de ces souches (1 provenant d'un Lépidoptère, 2 de Diptères, 2 d'Hyménotpères et 3 d'Homoptères, respectivement d'un Aphide, d'un Jasside, d'un Psyllide), a été étudié simultanément vis-à-vis du puceronAcyrthosiphon pisum Harris. Les 8 souches diffèrent entre elles par leur infectivité, leur aptitude à produire des conidies et à former des rhizo?des. Parmi les 4 souches isolées en même temps dans la même localité, c'est la souche issue de Jasside et à un degré moindre la souche provenant de Psyllide qui se développeraient le plus rapidement dans les populations de pucerons, car elles possèdent, comparativement aux 2 autres souches, isolées respectivement d'un Hyménoptère et d'un Diptère, une forte infectivité et la plus grande capacité de conidiogénèse. Ces faits établissent sur des bases quantitatives l'existence chezZ. radicans d'une adaptation des souches à un h?te d'une famille proche dans la classification de celle de l'h?te d'origine.
Summary About 40 strains ofZoophthora radicans (Brefeld) Batko (Zygomycetes, Entomophthorales) were isolated in France from Homoptera, Lepidoptera, Diptera and Hymenoptera. Epizootics occurred in populations ofTortrix viridana L. (Lep.: Tortricidae), Opsius stactogalus Fieb. (Hom.: Jassidae) andTrioza urticae L. (Hom.: Psyllidae). The pathogenic behaviour of 8 of these strains (1 from Lepidoptera, 2 from Diptera, 2 from Hymenoptera and 3 from Homoptera: respectively from an aphid, a jassid and a psyllid) was studied simultaneously on the aphidAcyrthosiphon pisum Harris. The 8 strains differed from one another in infectivity and in their ability to produce conidia and to form rhizoids. Among 4 strains isolated at the same time in the same local area, that from the jassid and, to a lesser extent, that from the psyllid, were highly infective and produced more conidia per aphid than those from the Diptera and the Hymenoptera, suggesting that the former 2 would spread more effectively in aphid populations. These results establish quantitatively the existence inZ. radicans, of an adaptation of strains to an host taxonomically related to the host from which the strain was isolated.


avec la collaboration technique de Madame N. Delatre.  相似文献   

19.
M. Ravallec  G. Riba  A. Vey 《BioControl》1989,34(2):209-217
Résumé Le comportement pathogène de l'hyphomycèteMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sorokin a été évalué surAedes (Stegomya) albopictus Skuse. Le mode d'action de la souche testée se manifeste de 2 fa?ons, soit par une colonisation de l'hémocoele, soit par une toxémie si la dose de l'inoculum est suffisamment élevée. L'intervention d'un processus toxémique a été confirmée par la mise en évidence du pouvoir pathogène des spores irradiées aux ultra-violets. Ces toxines seraient libérées dans le mésentéron des larves pendant la protéolyse alcaline des spores ingérées, dont le nombre a pu être estimé. Le seuil d'activité toxémique étant évalué à 3.105 spores pour une larve du stade 4. L'analyse du contenu de tubes digestifs étalés sur milieu nutritif et l'examen de coupes semi-fines ont montré que les larves soumises à de fortes doses du germe perdent rapidement leur capacité digestive. Enfin, le r?le de la destruxine E dans ces infections est discuté.   相似文献   

20.
T. Torii 《BioControl》1971,16(2):193-207
The new method was developed with the objective to meet the universal demand for the prediction of the abundance of the rice stem-borer,Chilo suppressalis Walker, after 30 years’ pending state. The degrees of infestation were assessed by the sequential sampling test under the prevailing three categories, low, moderate and high in terms of percentage infested rice hills. The numerical table (Col. 1st in table I) available for this purpose in the case with the first generation of the borer has been constructed newly according to the formulae, P=1−e−m, and m=aμb, which were derived originally byKono & Sugino (1958) from the data concerning the second generation of the borer (Col. 2nd in table I). Through this table, the difference has been clarified between the case with these two generations, and the quantitative relation between P and μ has been generalized greatly. Thus, by connecting ecologically the rice plant damage caused by this rice stemborer with the population density of the borer, the way has been opened to forecast practically the abundance of the rice stem-borer at each generation.
Résumé Une méthode a été mise au point pour prédire le développement des infestations par le foreur,C. suppressalis et répondre ainsi à une question posée depuis 30 ans. Elle consiste en l’estimation de 3 degrés d’infestation: basse (<5 %) moyenne (10–20 %) et élevée (>40 %) selon le pourcentage de pieds attaqués, en procédant à des échantillonnages successifs, en vue de déterminer la nécessité ou non d’un traitement au point de vue économique. Une table numérique valable pour la première génération (1re colonne du tableau) a été établie d’après le pourcentage de pieds infestés, et d’après le nombre moyen, μ, de tiges attaquées par pied, en fonction de la relation P=1−e−m (avec m = a μb). Cette table a permis de mettre en évidence les différences entre la première et la deuxième génération (colonne 2 du tableau) et de généraliser la relation quantitative entre P et μ. Cette table est nécessaire pour définir la corrélation entre les dégats et les niveaux de population des foreurs du riz à chaque génération.


Presented at the symposium OILB on borers of graminaceous plants. Paris, 24th sept. 1970.  相似文献   

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