首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 15 毫秒
1.
Résumé Le parasitePauesia cedrobii Stary et Leclant, spécifique du puceron du CèdreCedrobium laportei Remaudière, a été récolté dans le Moyen-Atlas, (Maroc) puis introduit dans un peuplement de cèdre (Cedrus atlantica Manetti) du sud-est de la France au printemps 1981. La méthode utilisée a consisté en une introduction directe des parasites, préalablement isolés sur le lieu de récolte (momies) puis mis à éclore en chambre climatisée de fa?on à éliminer les hyperparasites. Après accouplement, 225 adultes ont été introduits dans des manchons installés sur des rameaux abritant des colonies deC. laportei. L'évolution des populations de l'h?te et du parasite a été suivie au niveau des points de lacher d'une part, et dans la parcelle d'autre part. L'installation définitive du parasite dans la parcelle s'est produite, 1 an après le lacher, grace à un automne et à un hiver particulièrement doux, qui ont favorisé la multiplication de l'h?te. Le parasite est définitivement implanté: il est encore présent 4 années après le lacher. Entre temps, il a été étendu à d'autres forêts de cèdre du sud-est de la France. Huit espèces d'hyperparasites autochtones se sont portés surP. cedrobii, mais ceci ne remet pas en cause la réussite de l'introduction de l'aphidiide. Avec la collaboration technique deE. Robert, A. Chalon, J. Chizky.  相似文献   

2.
En utilisant des marqueurs allozymiques, nous avons étudié la structuration génétique de populations du puceron du pois prélevées en sympatrie, au printemps, lors de différentes années sur sept espèces de Fabaceae cultivées pérennes ou annuelles et sur une espèce pérenne spontanée (Vicia cracca). Par espèce végétale, nous avons trouvé une faible diversification génétique temporelle (caractérisée par l’indice de fixation) tant à l’échelle d’une saison qu’entre années, sauf dans le cas de la féverole où les génotypes mis en évidence diffèrent entre années. Des différences génétiques importantes se manifestent entre les populations d’aphides provenant de la luzerne par rapport à celles des autres Fabacées annuelles comme le pois. La constitution génétique des populations issues du pois et de V cracca présente de fortes analogies, ce qui fait de cette espèce vivace un hôte alternatif potentiel des pucerons vivant sur le pois.  相似文献   

3.
4.
5.
P. Silvie 《BioControl》1991,36(3):431-441
Résumé Le parasitisme naturel deS. derogata et deC. flava, 2 Lépidoptères phyllophages du cotonnier a été étudié pour la première fois au Tchad en 1986 et 1987. Le pourcentage de parasitisme des larves deS. derogata récoltées dans les champs avoisinait en moyenne 18,5% en 1986, année avec une faible infestation de larves et 14,1% en 1987, année avec une forte infestation. En 1986,Meteoridea testacea (Braconidae) était le parasito?de le plus commun tandis qu'en 1987, quand plus de larves h?tes étaient disponibles,Apanteles syleptae (Braconidae) était l'espèce la plus commune. En 1987, des parasito?des secondaires sortaient de beaucoup de cocons de braconides apportés du champ au laboratoire, pour une étude ultérieure. En 1987, 15,7% des larves deC. flava récoltées dans les champs furent parasitées. Les parasito?des primaires qui sortaient de ces larves étaient tous spécifiques des espèces. Le parasito?de primaire le plus commun étaitAleiodes aligharensis (Braconidae). Par opposition, les parasites secondaires n'étaient pas spécifiques, mais c'étaient les mêmes espèces qui infestaient les cocons des parasito?des deS. derogata.   相似文献   

6.
Cette publication présente les résultats d’une étude de 6.263 spécimens de Xylocopinae récoltés en France métropolitaine (France continentale et Corse) et en Belgique et qui proviennent de récoltes personnelles et de 63 institutions et collections privées. Les Xylocopinae de France sont représentées par 11 espèces du genre Ceratina et 4 espèces du genre Xylocopa. Seules deux de ces espèces sont présentes en Belgique : Xylocopa violacea (L.) et Ceratina cyanea (Kirby). Un nouveau sous-genre pour le genre Ceratina est décrit : Dalyatina n. subg. Il comporte l’espèce méditerranéenne Ceratina parvula Smith présente en France, ainsi que six autres espèces d’Afrique subsaharienne. Pour chaque genre, sous-genre et espèce, les auteurs fournissent une diagnose, une diagnose différentielle, la liste des fleurs visitées, la liste des sites de nidification, la carte de distribution en France métropolitaine, un diagramme phénologique et une clé d’identifi cation des genres, sous-genres et espèces. La systématique, la biogéographie, l’écologie et le sexe ratio des espèces sont présentés et discutés. Les Xylocopinae apparaissent comme très largement polylectiques mais montrent une très nette affinité envers les Lamiaceae, les Asteraceae Cardueae et, pour le genre Xylocopa, envers les Fabaceae. Toutes les espèces présentent une phénologie estivale qui s’étend d’avril à septembre. Le sexe-ratio de la plupart des espèces est biaisé vers les femelles. Aucun mâle de C. parvula, pour 120 femelles, n’a été observé ce qui suggère que, en France du moins, l’espèce pourrait se reproduire par parthénogenèse thélytoque comme c’est le cas de C. dallatorreana Friese. La publication comprend 62 dessins au trait, 18 photos au microscope électronique à balayage, 17 cartes, 14 graphiques de phénologie, une liste de 232 espèces de fleurs visitées par les Xylocopinae, dont 176 observations originales, et 171 références.  相似文献   

7.
Afin de connaître la faune des cicadiaires dans le vignoble tunisien, plusieurs collectes ont été réalisées. Ces prélèvements de 1109 spécimens, effectuées aussi bien sur la vigne que sur les adventices, au cours de l’année 2001, ont concerné plusieurs parcelles, dans les principales régions viticoles du pays : Rafraf, Baddar, Mraissa, Belli, Gobba et Bousalem. Trente espèces d’Hemiptera: Cicadomorpha et Fulgoromorpha, ont été collectées dont les espèces vectrices de phytoplasme et les espèces aux dégâts directs sur la vigne. 82,50% des espèces de cicadelles rencontrées en Tunisie sont signalées comme vecteurs de virus ou de phytoplasmes causant des maladies graves ou comme ravageurs directs des cultures. Les 17,49% restant ne jouent pas de rôle important sur les cultures.  相似文献   

8.
La perte de la biodiversité est plus accentuée dans les écosystèmes aquatiques continentaux que dans les autres types d‘écosystèmes. L’élaboration d’une stratégie de conservation adéquate de la biodiversité aquatique s’avère donc cruciale. Elle doit cependant être basée sur l’identification des espèces et des habitats nécessitant un plus grand effort de conservation. Dans ce travail, les espèces les plus menacées des coléoptères aquatiques du Rif (Nord du Maroc) sont identifiées en utilisant un système de catégorisation pour classer les espèces selon leur priorité de conservation ou leur degré de vulnérabilité. Haliplus andalusicus, Metaporus meridionalis, Hydrochus obtusicollis, Hydrochus tariqi, Limnebius mesatlanticus, Ochthebius atriceps, Ochthebius extraneus et Ochthebius lanarotis présentent une haute vulnérabilité à une échelle régionale et méritent d’être inscrites sur la future liste rouge des espèces menacées du Rif. Parmi ces espèces Hydrochus obtusicollis et Ochthebius lanarotis sont proposées pour qu’elles soient inscrites, sur la liste rouge IUCN dans la catégorie “Endangered”. Il s’agit de deux espèces endémiques du Maroc, de distribution très restreinte, la première exclusive du Rif, et leurs habitats souffrent de plusieurs impacts. L’état de conservation de ces espèces nécessite que des mesures urgentes soient prises, pour la protection de leurs habitats. Les actions de préservation doivent inclure les habitats aquatiques du Rif comme les sources, les cours supérieurs et moyens des oueds, les cours d’eau salés, les marais et les tourbières.  相似文献   

9.
H. Thill 《BioControl》1964,9(3):239-242
Résumé Les acariens prédateurs vivant sur pruniers, font partie de 8 espèces de la famille desPhytoseiidae, dont 1, espèce appartient au genrePhytoseiius et 7 au genreTyphlodromus. Seules trois de ces espèces sont assez nombreuses pour avoir de l'importance comme ennemis des araignées rouges. Leur présence au cours des années 1956 à 1962 a été soumise à des changements qui sont dus en première ligne à la lutte phytosanitaire, vis-à-vis de laquelle les espèces des acariens prédateurs sont d'une sensibilité différente. Les conditions climatiques se sont avérées être d'une influence analogue.   相似文献   

10.
W. Woods 《BioControl》1992,37(3):465-474
Parkinsonia aculeata L. (Leguminosae: Caesalpiniaceae), a weed in northern Australia, was the target of a biological control programme from 1983–1987. Sixty-five phytophagous insect species were collected fromP. aculeata growing in the Sonoran desert region of the southwestern United States and Mexico. Six orders (Coleoptera, Diptera, Hemiptera, Lepidoptera, Orthoptera and Thysanoptera) and 30 families were represented. Of the 12 species with potential as biological control agents, only one has passed specificity testing and has been released in Australia.
Résumé Parkinsonia aculeata L. (Leguminosae: Caesalpinioideae), mauvaise herbe du nord de l'Australie, fut l'objet d'un programme de lutte biologique entre 1983 et 1987. Soixante-cinq espèces d'insectes phytophages furent récoltés surP. aculeata dans la région du désert Sonoran, (sud-ouest des Etats-Unis) et au Mexique. Six ordres (Coleoptera, Diptera, Hemiptera, Lepidoptera, Orthoptera et Thysanoptera) et 30 familles furent représentés. Parmi les 12 espèces qui sont potentiellement des agents de lutte biologique, une seule est acceptable selon des tests de spécificité et a été libérée en Australie.
  相似文献   

11.
Nous rapportons les résultats sur la distinction entre deux espèces sympatriques du genre Phlebotomus, vecteurs de la leishmaniose viscérale à Leishmania infantum en Algérie. Dans les pays circum mediterranéen, Phlebotomus perniciosus Newstead 1911 a révélé l’existence de morphes atypiques qui sont à l’origine d’erreurs d’identification et par conséquent d’une confusion avec l’espèce voisine Phlebotomus longicuspis Nitzulescu 1930. Nous avons utilisé les critères morphologiques comme une première approche sur les variations morphologiques de ces espèces. L’identification repose, outre les caractères des appareils génitaux, sur le dénombrement des soies médianes des coxites qui permettent de déterminer l’existence de morphotypes particuliers de Phlebotomus perniciosus dans les localités prospectées.  相似文献   

12.
Dans le cadre de l’inventaire des Eumaeini de Guyane (Lycaenidae, Theclinae), trois nouvelles espèces sont décrites: Siderus nouraguensis n. sp., Nicolaea salki n. sp. et Ostrinotes silva n. sp. Elles appartiennent à des genres différents regroupés dans la section Tmolus de la tribu des Eumaeini. La première espèce provient de la Réserve Naturelle des Nouragues (ONF/CNRS). Elle a été capturée au sommet de l’inselberg dans un biotope très particulier (savane-roche) et pourrait être inféodée à cette végétation typique basse et xérophile poussant sur la roche. En plus d’être écologiquement inhabituelle, cette espèce est morphologiquement insolite puisque c’est la seule dans ce groupe dont les genitalia mâle possèdent des soies sur la partie dorsale du vinculum. Les deux autres espèces ont été capturées dans la forêt primaire de la montagne de Kaw mais également dans d’autres pays d’Amérique du Sud.  相似文献   

13.
Les affinités fauniques et la délimitation même du Turkestan en tant qu’entité biogéographique sont mal connues ou controversées. Elles sont discutées ici dans le cadre d’une révision systématique des espèces d’abeilles rubicoles du genre Ceratina. Onze espèces, dont une nouvelle: Ceratina (Euceratina) haladai n. sp., y sont répertoriées. Trois espèces sont redécrites et une clé d’identification est proposée. Toutes ces espèces sont soit présentes dans la région ouest-paléarctique, soit de proches parentes d’espèces méditerranéennes. Aucune espèce ne présente d’affinités notables avec les taxons orientaux ou est-paléarctiques. La carte de distribution de chaque espèce est établie et comparée à la distribution des biomes régionaux. Comme elles sont très largement polylectiques, les plantes butinées ne constituent probablement pas un facteur limitant de leur distribution. A l’inverse, leur nidification rubicole les cantonne à des biotopes riches en ronces (Rubus species) ou en autres plantes à tiges creuses ou médullaires (par ex. Verbascum species). Ceci explique leur implantation plutôt synanthrope en montagne et le long des fleuves.  相似文献   

14.
Les espèces du genre Sisyphus Latreille, 1807, présentant des touffes de soies sur les élytres sont étudiées. Sept nouvelles espèces appartenant à ce groupe sont décrites, illustrées et comparées aux espèces proches: deux espèces aux ailes normalement développées, S. manni n. sp. et S. perissinottoi n. sp., et cinq espèces brachyptères, S. jossoi n. sp., S. janssensi n. sp., S. bouyeri n. sp., S. felschei n. sp. et S. usambaricus n. sp. Une autre espèce appartenant au groupe étudié, S. alveatus Boucomont, 1935, se révèle également être brachyptère. Elles constituent les premiers exemples de brachyptérisme au sein de ce genre. Une clé d’identification des espèces à touffes de soies sur les élytres est donnée.  相似文献   

15.
16.
Randrianasolo, H. 2000. Écologie alimentaire des groupes plurispecifiques d'oiseaux de la foré pluviale du Parc National de Ranomafana, Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 315.

Le but de cette étude est d'identifier la niche écologique et les recouvrements éventuels des especès d'oiseaux qui rentrent dans la composition des groupes plurispècifiques qui frequentent la strate arbustive de la forêt pluviale du Parc National de Ranomafana, localisé à une altitude moyenne de 1 200 m dans le sud-est de Madagascar. Les espèces les plus communes qui rentrent dans la composition de ces groupes plurispècifiques sont le Bulbul de Madagascar Phyllastrephus madagascariensis, le Bulbul zosterops Phyllastrephus zostemps, I'Oxylabe à gorge blanche Oxyrabes madagascariensis. 1'Eroesse à queue étagee Hartertula flavoviridis, toutes principalement insectivores. L'écologie alimentaire de ces espéces n'a pas encore fait l'objet d'é'tudes detaillees. Cabondance relative des espéces rentrant dans la composition des groupes a été éstimée par la methode des transects par itineraire echantillon realises dans la forê La surface minimale nécessaire à chaque groupe a été éstimée en prenant en consideration le nombre d'individuel de chaque espèce dans chaque groupe. Pour chaque individu les paramétres suivants ont été relevis et comparees avec ceux collectts pour les autres individus, a savoir la hauteur de capture des proies, la nature du substrat utilisk dans le cadre de la capture, le diamttre et la position du substrat et le pourcentage d'ombrage. Un total de 411 observations vient etayer cette etude ecologique. Par ailleurs des mesures morphometretriques ont été réalisées sur différents individus des différentes espéces (bec, tarse, doigt, ongle, aile et queue). La niche Ccologique de chacune de ces esptces forestitres est definie et justifyée par l'analyse conjuguee de ces données écologiques et morphometriques.  相似文献   

17.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

18.
Un nouvel hybride de digitale est décrit, d'Anilion, dans la chaîne du Pilion (Pélion), dans le nord de la Grèce: le Digitalis × pelia. Les parents sont les D. graeca Ivanina et D. grandiflora Miller. C'est la première mention de cet hybride, encore qu'il ne semble pas rare dans les régions où les deux espèces parentes voisinent. On trouve dans la chaîne du Pilion au sens large une autre espèce de digitale: le D. lanata2); cette espèce ne peut entrer en ligne de compte comme parent de notre hybride. L'hybridation a probablement été déclanchée par des modifications de l'environnement.  相似文献   

19.
Résumé

Wasmannia auropunctata (Roger 1863) est une fourmi originaire d’Amérique du Sud. Elle a été introduite au Gabon vers 1920 par des agronomes qui l’ont utilisée comme agent de lutte biologique contre certains insectes parasites du cacaoyer. Aujourd’hui, cette fourmi se retrouve en zone forestière même hors des anciennes plantations de cacaoyers. Depuis 1984, sa présence a été signalée dans le parc national de la Lopé qui fait partie des réserves protégées du Gabon. Des études antérieures réalisées en Nouvelle-Calédonie ont montré que la présence de W. auropunctata a d’énormes conséquences sur la biodiversité car elle a fait disparaître l’ensemble des fourmis de cette région. Quel peut donc être l’impact de sa présence au Gabon dans la zone de la Lopé? Ces études préliminaires de l’impact de W. auropunctata sur la biodiversité de la Lopé ont consisté à évaluer la dispersion de cette espèce et la densité relative des autres espèces de fourmis en présence sur le site. Les résultats montrent que W. auropunctata se répartit selon un gradient décroissant du point d’introduction vers l’intérieur de la forêt jusqu’à une distance de 120 m. Il n’y a pas de W. auropunctata au-delà de cette distance. Du point d’introduction jusqu’à 80 m de distance, la densité relative des autres espèces de fourmis varie de 0 à 10 %. Lorsqu’il y a forte densité de W. auropunctata, les autres espèces de fourmis sont absentes.  相似文献   

20.
À la suite de captures de larves effectuées dans les Monts Bamboutos (Ouest du Cameroun) et de leurs mises en élevage, les auteurs décrivent le mâle, la nymphe et la larve d’Anopheles deemingi Service, 1970 dont seule une femelle était connue. Ils décrivent aussi la nymphe et la femelle d’une nouvelle espèce: Anopheles eouzani n. sp. qui a été capturée dans ces mêmes Monts Bamboutos mais à une altitude supérieure à 2 000 m.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号