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1.
Larvae from two populations of Euphydryas chalcedona Doubleday & Hewitson (Nymphalidae) were reared on their own hostplant and that of the other population, in both pre-diapause and post-diapause instars. One population, Chico, uses Penstemon breviflorus Lindl. (Scrophulariaceae), and the other, Echo Lake, uses P. newberryi Gray. Growth rate and survival were determined for pre-diapause and post-diapause larvae from both populations on both plant species; and digestive efficiencies were calculated during the prediapause instars. The results showed that larvae from the two populations differed in their responses to the two plant species. Pre-diapause larvae from Chico performed equally well on both plant species—survival and digestive indices were not significantly different for two Penstemon species. In contrast, pre-diapause larvae from Echo Lake performed significantly worse on the non-hostplant—growth and survival were significantly lower on the non-host, P. breviflorus. In addition, comparison of digestive efficiencies for the two plants showed that larvae from Echo Lake digested P. breviflorus better than P. newberryi, but were significantly less able to convert P. breviflorus to body mass. In the post-diapause instars, larvae from Chico grew faster on the host than on the non-host. Larvae from Echo Lake grew quite slowly on both plant species and significantly more of the Echo Lake larvae returned to diapause instead of completing development.
Résumé Des chenilles de deux populations d'E. chalcedona ont été élevées sur leur propre plante-hôte et sur celle de l'autre population, aux stades avant et après diapause. Les deux populations s'alimentent sur différentes espèces de Penstemon (Scrophulariaceae), et une population—Echo Lake—est monophage sur P. newberry, tandis que l'autre—Chico—utilise d'abord P. breviflorus, mais les chenilles après diapause sont trouvées sur au moins deux autres espèces de plantes. Les taux de croissance et de survie ont été déterminés pour des chenilles avant et après diapause pour les deux populations sur les deux plantes; les efficacités digestives ont été calculées sur les chenilles avant diapause.Les résultats ont montré que les chenilles des deux populations différaient par leur degré de spécialisation digestive sur leur plante hôte normale: les chenilles de Chico ont utilisé aussi bien les deux plantes, tandis que celles d'Echo Lake le faisaient significativement moins bien sur la plante non-hôte, par suite de l'inaptitude à la digérer. Ainsi la population oligophage est alimentairement moins spécialisée et plus capable de se débrouiller avec une plante non-hôte. Après diapause, les chenilles de Chico s'alimentaient significativement mieux sur plante hôte que non-hôte, ce qui était le cas aussi pour la population monophage. Dans l'ensemble, les chenilles de la population monophage semblaient moins capables de se débrouiller dans des conditions défavorables ou moins avantageuses.
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2.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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3.
The physiological relationships between Ostrinia nubilalis Hübner and its tachinid parasitoid Pseudoperichaeta nigrolineata Walker are described under abiotic conditions which induce development of the host without diapause. The parasitoid lowers the larval growth of the host: the maximal weight attained by the parasitized larvae represented only 78% of that of healthy ones. The duration of the last larval host instar increased to 10.4 days in parasitized O. nubilalis compared to 8.0 days in unparasitized ones. The influence of the host on the parasitoid development was studied experimentally after parasitization of O. nubilalis larvae of instars 2 to 5. When the second larval instar of the host is parasitized, the overall duration of parasitoid larval development lasts twice as long as when the fifth instar is parasitized. The best yield of parasitoid pupariae (50%) is obtained when parasitization occurs in instar 3. We show that good synchronisation exists between the larval development of the host and its parasitoid. There are four phases of parasitoid development which would appear to require a signal from the host: the start of the growth of newly hatched parasitoid larvae and the 3rd to 4th instar ecdysis of the host; the first moulting of the parasitoid and the 4th to 5th instar ecdysis of the host; the growth resumption of the parasitoid instar II (weight about 1 mg) and the small rise of the ecdysteroid level in the middle of host instar 5; and in all probability, the second parasitoid moulting and the larval-pupal apolysis of the host.
Résumé Les relations physiologiques entre O. nubilalis et le tachinidae P. nigrolineata ont été étudiées dans des conditions abiotiques telles que l'hôte présente un développement sans diapause. Le parasitoïde ralentit la prise de poids de l'hôte: le poids maximal des chenilles parasitées ne représente que 78% de celui des chenilles saines. Seule la durée du 5ème stade est significativement plus longue chez les chenilles parasitées que chez les saines (10,4 contre 8,0 jours). L'influence de l'hôte sur le développement du parasitoïde à été expérimentée en parasitant des stades 2 à 5 d'O. nubilalis. Lorsque l'infestation a lieu au stade 2, le développement larvaire complet du parasitoî de dure deux fois plus longtemps que lorsque l'infestation a lieu au stade 5. Le meilleur rendement en pupes (50%) est obtenu lorsque l'infestation a lieu au stade 3. Il a été montré qu'il existe une bonne synchronisation entre le développement de l'hôte et de son parasitoî de. Il y a 4 phases physiologiques du développement larvaire de P. nigrolineata qui semblent nécessiter un signal provenant de l'hôte pour être dépassées. Ainsi peuvent être mis en relation: — le début de la croissance de la larve néonate du parasitoî de et l'ecdysis 3/4 de l'hôte; — la première mue du parasitoïde et l'ecdysis 4/5 de l'hôte; — la reprise de la croissance du stade II du parasitoïde, vers un poids de 1 mg et la remontée des taux d'ecdystéroïdes au milieu du stade 5 de l'hôte. et probablement, — la seconde mue du parasitoïde et l'apolyse nymphale de l'hôte. Les expérimentations vont se poursuivre pour déterminer les facteurs en cause. Ces phénomènes de synchronisation seront aussi étudiés dans le cas de la diapause de l'hôte.
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4.
Aphid size, although generally a good indicator of fecundity is not a good indicator of aphid performance over a wide range of conditions. In general, the greater the mean relative growth rate (MRGR) of apterous morphs of Rhopalosiphum padi (L.), the greater their fecundity. Intrinsic rate of increase (rm) is even more closely correlated with mean relative growth rate than fecundity.Once these criteria are quantified for a morph of a particular species of aphid over a range of conditions the morphs intrinsic rate of increase on a particular host can be estimated by a quick measure of its mean relative growth rate.
Résumé La taille des pucerons, bien que considérée généralement comme un bon indice de la fécondité, n'est pas un bon indice pour leurs performances dans une grande gamme de conditions. En général, plus le taux moyen de croissance relative est élevé chez les types aptères de Rhopalosiphum padi, plus leur fécondité est importante. Le taux intrinsèque de croissance (rm) est encore plus étroitement lié au taux moyen de croissance relative que la fécondité.Une fois que ces critères ont été quantifiés pour un type d'une espèce donnée de puceron dans une gamme de conditions, les taux intrinsèques de croissance des différents types sur un hôte particulier peuvent être estimés par une mesure rapide de leur taux moyen de croissance relative.
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5.
The larvae of Alsophila pometaria (Harr.), feeding on the young foliage of oak, has a higher relative growth rate (RGR) and relative nitrogen accumulation rate (RNAR) than the larvae of Anisota senatoria (J. E. Smith), feeding on the mature foliage of oak. Although the young oak foliage is more efficiently digested by A. pometaria (higher AD's), it is not more efficiently assimilated and used for growth (no difference in ECI's). Thus, the higher growth rate of A. pometaria is due entirely to a higher consumption rate (RCR and RNCR). Young foliage is significantly higher in nitrogen and water than mature foliage, but phenol and tannin levels are comparable in young and old foliage. A. pometaria consumes the foliage of different oak species at the same rate, independent of nitrogen content, while A. senatoria increases its consumption rate in response to decreased nitrogen levels. As a result, the growth rate of A. pometaria is directly related to leaf nitrogen content, while the growth rate of A. senatoria is independent of leaf nitrogen. The two species of insects have digestive systems that are very similar biochemically, and that are well-designed for effective protein digestion. Tannins and phenols do not influence the nutrional indices of either species. We suggest that the major benefit of spring feeding is the availability of succulent, high-nitrogen foliage, and not the avoidance of high-tannin foliage. The spring feeder appears to have a feeding strategy that favors rapid growth at the expense of efficiency, while the late summer feeder has a strategy that favors efficiency over rate.
Résumé Alimentées sur feuillage jeune de chêne, les chenilles d'Alsophila pometaria avaient un taux relatif de croissance (RGR) et un taux relatif d'accumulation d'azote (RNAR) plus élevés que les chenilles d'Anisota senatoria alimentées sur feuillage mûr de chêne. Bien que le jeune feuillage soit plus efficacement digéré par A. pometaria (AD plus élevé), il n'est pas assimilé et utilisé pour la croissance avec de meilleurs rendements (les ECI ne sont pas différents). Ainsi le taux de croissance plus élevé d'A. pometaria est dû entièrement à un taux de consommation plus important (RCR et RNCR). Le feuillage jeune est significativement plus riche en azote et en eau que le feuillage mûr, mais les niveaux de phénol et de tanins sont les mêmes. A pometaria consomme les feuilles de différentes espèces de chênes au même taux, indépendamment de la teneur en azote, tandis que A. senatoria accroît sa consommation en réponse à une diminution de la teneur en azote. Il en résulte que le taux de croissance d'A. pometaria dépend directement de la teneur en azote des feuilles, tandis que celui d'A. senatoria en est indépendant. Les systèmes digestifs des deux insectes sont biochimiquement semblables et sont efficaces pour la digestion des protéines. Les tanins et les phénols n'influent pas sur les indices nutritionnels de ces deux espèces. Nous estimons que le principal intérêt de l'alimentation printanière est la disponibilité en feuillage succulent, riche en azote, et non l'absence de feuilles à haute teneur en tanin. L'alimentation printanière semble correspondre à une strategie alimentaire qui favorise la croissance aux dépens de l'efficacité tandis que l'alimentation en fin d'été est une stratégie qui favorise l'efficacité sur la rapidité.
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6.
Résumé Le rubidium et le césium introduits à l'état de chlorure dans le milieu de culture ont à faible dose un effet stimulant sur la croissance de Chara fragilis et de Chara vulgaris. La résistance de ces végétaux à l'action toxique des deux ions est accrue par l'addition de potassium au milieu.Les analyses chimiques confirment que le rubidium et le césium sont antagonistes vis-à-vis du potassium et du sodium alors qu'ils ne modifient pas de manière significative le taux de calcium.
Chara fragilis and Chara vulgaris were cultivated in a natural medium containing rubidium and caesium as chloride.The growth of Characeae was increased after culture in the solutions containing Rb and Cs in small amount. The resistance to the toxic effects of these two ions is enhanced if potassium chloride is added to the medium.Quantitative analyses indicate that Rb and Cs decrease the rate of Na and K but have no significative influence on the rate of Ca.
Université de Dijon, Laboratoire de Nutrition minérale des Végétaux  相似文献   

7.
Callosobruchus maculatus (F.) is a tropical insect (Coleoptera: Bruchidae) that develops in Vigna unguiculata (Walp) seeds. In this beetle, there are two distinct adult forms that differ in their morphology, physiology and behaviour, the flight form and the flightless form. The development of C. maculatus is analyzed in a traditional store in Niger. During the dry season, 6 to 7 generations of the flightless form develop in the store. When the atmospheric water content increases during the rainy season, adults of the flight form appear and escape from the store. Experimental studies have shown that the adult polymorphism is induced during post-embryonic development and depends on prevailing abiotic factors during this period. The proportion of flight from adults is high when larvae develop in moist seeds (14–15% of water content). Under dry conditions (6–7% of water content) only flightless adult forms emerge from the seeds. Temperatures during development also influence adult polymorphism. In thermoperiodic conditions with 12–13% seed water content, the proportion of flight from adults increases with increasing duration of the thermophase. However, at low temperatures, a high proportion of flightless adult forms emerge, regardless of seed water content. The adaptive importance of these two abiotic factors on polymorphism induction is examined in this study.
Résumé Callosobruchus maculatus (F.) est un Coléoptère Bruchidae tropical qui se développe aux dépens des graines de Vigna unguiculata. Les adultes présentent un polymorphisme; il y a en effet deux formes, la forme voilière et la forme non voilière, distinctes par des critères morphologiques, physiologiques et comportementaux. L'évolution des populations de C. maculatus a été suivie pendant toute la saison sèche et le début de la saison des pluies dans la région de Niamey au Niger (13° LN) à l'intérieur d'un grenier traditionnel. Pendant toute la saison sèche, 6 à 7 générations de C. maculatus de la forme non voilière se succèdent à l'intérieur du grenier. Les adultes de la forme voilière, très actifs, apparaissent surtout au cours de la saison des pluies lorsque la teneur en eau de l'atmosphère et la teneur en eau des graines augmentent. Les études expérimentales réalisées au laboratoire montrent que le polymorphisme imaginal est induit au cours du développement post-embryonnaire et dépend des conditions climatiques dans lesquelles celui-ci a lieu. Le taux d'adultes de la forme voilière est élevé lorsque les larves se développent dans des graines à forte teneur en eau (14 ou 15%). Lorsque la teneur en eau des graines est faible (6 à 7%), il n'y a émergence que d'adultes de la forme non voilière. Lorsque la teneur en eau des graines est comprise entre 12 et 13%, le taux d'adultes de la forme voilière s'accroit et varie avec la durée de la thermophase. A basse température il y a toujours émergence d'adultes de la forme non voilière, quelle que soit la teneur en eau des graines. L'influence de ces deux facteurs abiotiques sur l'induction du polymorphisme imaginal joue probablement un rôle important dans les mécanismes adaptatifs permettant le maintien de cette espèce en zone tropicale.
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8.
The feeding behaviour of Nilaparavata lugens was monitored on three rice varieties showing different levels of resistance in the Philippines, using a video-assisted observation method. N. lugens made more frequent, shorter probes on the moderately resistant IR46 and resistant IR62 rice varieties than on the susceptible IR22. Honeydew production was significantly lower on the resistant varieties though insect weight gains in 24 h were similar on IR46 and IR22, both being significantly greater than on the highly resistant variety.Population development, growth index and damage ratings were low on IR62 indicating antibiosis and/or non preference. When IR46 plants were infested as seedlings population increase, growth index and damage ratings were similar to those on the susceptible IR22. When infested at a later stage of plant growth the damage rating showed a moderate level of resistance though some population development was maintained, indicating antibiosis and tolerance. N. lugens started probing less frequently after surface exploration on both resistant varieties than on IR22 suggesting the presence of a resistance factor associated with the surface waxes of these varieties.
Résumé Le comportement alimentaire de Nilaparvata lugens sur variétés de riz, sensible (IR22), partiellement résistante (IR46) et fortement résistante (IR62), a été contrôlé avec une méthode associant la vidéo à l'observation. N. lugens faisait des piqûres plus fréquentes et plus brèves sur IR46 et IR62, que sur la variété sensible. La production de miellat était significativement plus faible sur les variétés résistantes, bien que les gains de poids des insectes aient été les mêmes en 24 h sur IR46 et IR22, les deux étant significativement supérieurs à celui sur IR62.La croissance de la population, l'indice de croissance et le taux de dégâts étaient tous plus faibles sur IR62, ce qui révèle une antibiose et/ou une absence de préférence. Quand la contamination des IR46 a au lieu au stade semis, la croissance de population, l'indice de croissance et le taux de dégâts étaient semblables à ceux de la variété sensible IR22. Quand la contamination avait lieu à un stade ultérieur, le laux de dégâts révélait un niveau modéré de résistance bien qu'une certaine croissance de population se soit maintenue, ce qui révèle antibiose et tolérance.Après exploration de la surface des feuilles des deux variétés résistantes, N. lugens sondait moins fréquemment que sur IR22, ce qui laisse présumer un facteur de résistance associé aux cires superficielles de ces variétés.
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9.
Summary Alates ofTrinervitermes appear in the mounds two or three weeks before their first flights. Those ofT. carbonarius fly first towards the end of May, the other four species in mid-June. Development of alates inT. ebenerianus was accelerated by moisture. The mean sex ratio of all five species in 3664 per cent, males to females, comparable to the percentages of soldiers and workers in young colonies. Flights of alates are late nocturnal, most often at low air temperatures with high relative humidities. «Tandem behaviour» follows wing shedding and precedes «digging-in». A relatively strong stimulus is needed to initiate flight. Thimogtaxis is important in nest site selection. Development of young colonies was followed in glass plate observation nests. The timetable of main events is given for all five species; oviposition and hatching rates and lengthsof instars are tabulated comparatively. The rates of development of young colonies are discussed in relation to their possible adaptive significance.
Résumé On trouve les ailés deTrinervitermes dans leurs termitières de deux à trois semaines avant les premiers vols. ChezT. carbonarius, les vols commencent vers la fin de mai, et chez les autres espèces à la mi-juin. On accélérait la croissance des nymphes deT. ebenerianus en humidifiant les termitières. Le rapport moyen des sexes est 36,64 pour cent, mâles à femelles, et c'est en proportion comparable au rapport entre les soldats et les ouvriers dans les colonies jeunes. Les vols des ailés ont lieu à une heure avancée de la nuit, et ils se présentent le plus souvent en conditions de températures peu élevées, et d'humidités relatives élevées. Le «comportement en tandem» suit l'amputation des ailes et précède le creusement d'une chambre nuptiale. La thygmotaxie est importante en ce qui concerne le choix d'un emplacement pour cette chambre. On a observé le développment des colonies nouvelles dans des nids sous verre. La table chronologique des événements d'importance est donnée pour les cinq espees. On a disposé en tables les données relatives à l'oviposition et à l'éclosion pour effectuer des comparaisons entre les cinq espèces. On examine les vitesses de croissance des jeunes colonies en fonction de leurs significations adaptives.
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10.
Résumé Les éléments morphologiques apportés par la microscopie électronique montrent que le muscle du bulbe buccal de Ferrissia wautieri diffère du muscle strié squelettique par plusieurs caractères mais présente avec celui-ci des analogies structurales qui peuvent conduire à considérer le type de fibre musculaire étudié comme une structure intermédiaire entre la musculature lisse et la musculature striée.La répartition des deux types de filaments en faisceaux étroits plus ou moins anastomosés et la discontinuité des stries Z constituées de l'alignement des corps denses, rappellent les muscles cardiaques embryonnaires de certains Vertébrés. Le système T est réduit à l'ensemble des courtes invaginations du sarcolemme au niveau de chaque strie Z; tandis que le système L, très développé, semble établir des contacts étroits avec le milieu extra-cellulaire par l'intermédiaire de vésicules sous-sarcolemmales (diades).
A type of musculature intermediary between smooth and striated muscular tissueThe muscle fibre of the buccal bulb in Ferrissia wautieri (Moll. Basomm. Ancylidae)
Summary Electron microscopical investigations show that the muscle of the buccal bulb of Ferrissia wautieri differs from the skeletal striated muscle in several of its characteristics, but exhibits structural analogies with the latter which can lead one to consider the type of muscle fibre studied as an intermediary structure between smooth and striated muscular tissue.The distribution of the two types of filaments in thin bundles, more or less anastomosed, and the discontinuity of the Z bands, which are made up from the alignment of dense bodies, are similar as in embryonic cardiac muscles of certain Vertebrates. The T system is reduced completely to short sarcolemmal invaginations at the level of each Z band, whilst the well-developped L system seems to make close contact with the extra-cellular region through cisternae beneath the sarcolemma (dyads).
Ce travail s'inscrit dans le cadre d'une étude plus générale portant sur le cycle biologique et l'écologie de Ferrissia wautieri. Il nous est agréable de remercier notre collègue Pavans de Ceccatty qui nous a guidés et aidés dans sa réalisation et a accepté de relire et de corriger le manuscrit.  相似文献   

11.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

12.
This study reports the first demonstration within a single insect genus (Tribolium) of both the acute, or lethal-midlethal, dose-independent pattern of mortality, and the hyperacute, dose-dependent pattern, after appropriate doses of ionizing radiation. This demonstration provides resolution of apparently contradictory reports of insect responses in terms of doses required to cause lethality and those based on survival time as a function of dose. A dose-dependent mortality pattern was elicited in adult Tribolium receiving high doses, viz., 300 Gy or greater; its time-course was complete in 10 days, before the dose-independent mortality began. Visual observations of heavily-irradiated Tribolium suggested neural and/or neuromuscular damage, as had been previously proposed by others for lethally-irradiated wasps, flies, and mosquitoes. Results of experiments using fractionated high doses supported the suggestion that the hyperacute or high-dose mode of death is the result of damage to nonproliferative tissues. Relative resistance of a strain to the hyperacute or high-dose mode of death is not necessarily correlated with resistance to the midlethal mode, which is believed to be the result of damage to the proliferative cells of the midgut.
Résumé Les résultats de nombreuses études des réactions des insectes adultes de différents groupes à l'irradiation s'opposent quant à l'importance de la dose provoquant la létalité et quant aux modalités de la mort. Les diptères et les guèpes impliquent des doses très élevées,-des centaines de Gy-, ne présentent aucune période caractérisant la mort par irradiation, et décèdent de plus en plus tôt avec l'augmentation des doses. Beaucoup d'autres insectes succombent à des doses (milétalelétale) beaucoup plus faibles,-de quelques Gy à des dizaines-, et quelle que soit la dose meurent au bout d'un temps voisin.Au cours de cette étude, nous avons pu observer que ces deux types de mortalité peuvent être provoqués chez le même genre d'insecte (Tribolium), avec des doses convenables d'irradiation . Un syndrôme caractéristique a été provoqué avec des doses très élevées, de 300 Gy ou plus,-à ces doses la mort est obtenue en 10 jours après l'irradiation. L'absence de syndrôme caractéristique se produit avec des doses inférieures ou égales à 80 Gy; la mort a lieu alors entre 10 et 16 jours en fonction de la dose.Les différences entre les deux types de décès indiquent deux processus de mort par irradiation. La manifestation d'une désorientation et d'une perte de coordination motrice chez les Tribolium fortement irradiés suggère des altérations neurales et/ou neuromusculaires comme cause/s de ce type de mort provoquée par des doses élevées. L'implication de tissus sans prolifération a été confortée par les résultats d'expériences utilisant de hautes doses fractionnées. Le type de mort milétal est considéré après de nombreuses observations indépendantes, comme le résultat d'atteintes à la prolifération des cellules de l'intestin moyen.Les données contradictoires sur les réactions des insectes aux irradiations proviennent d'abord de l'absence de connaissances sur le lieu des dégâts. Les diptères sont connus maintenant, après différentes études, comme perdant complètement l'aptitude au renouvellement cellulaire, et présentent ainsi un type de mort avec dose élevée. Beaucoup d'autres insectes adultes ont un renouvellement cellulaire de l'intestin moyen limité, et ainsi présentent le type de mort milétal. Le type de mort, dit haute dose, peut être induit dans cette dernière catégorie d'insectes par une irradiation suffisamment forte, et, dans le cas du Tribolium le déroulement de la mort se produit alors de deux façons bien distinctes.
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Conclusions Les auteurs relatent la découverte à Astrida de deux cas de rhinosporidiose nasale chez des anatidés très répandus en Afrique centrale: l'oie d' Egypte et le petit canard siffleur africain.Les lésions observées consistent en polypes des fosses nasales. Histologiquement ces polypes correspondent à des granulomes et leur structure est dans les grandes lignes identique à celle qu'on observe dans les lésions de rhinosporidiose nasale chez l'homme.Le parasite observé dans les lésions est morphologiquement identique àRhinosporidium seeberi, l'agent causal de la rhinosporidose chez l'homme.Les auteurs envisagent les conséquences de cette découverte au point de vue de l'épidémiologie de la rhinosporidiose humaine.  相似文献   

14.
Résumé Le canal salivaire contient dans sa paroi deux types de nerfs, moteurs et sécréteurs. Le diamètre des fibres nerveuses est en moyenne plus faible dans les nerfs moteurs, où il diminue encore en direction des glandes, tandis qu'au contraire celui des fibres sécrétrices augmente, accentuant ainsi les différences morphologiques entre les deux ners. Ces différences de calibre entre les fibres sont en rapport avec le nombre plus ou moins élevé des neurites qu'elles comportent, et dont les mésaxones ont des formes variées. Les caractères cytologiques des cellules satellites et des axones des deux types de nerfs sont comparables. Les axones contiennent des vésicules de types morphologiques très divers dont la signification est discutée.
Ultrastructural study of the innervation of the posterior salivary glands in Octopus vulgaris I. The nervous trunks of the salivary duct
Summary Two types of nerves, motor and secretory, are found in the wall of the salivary duct. The average diameter of the motor fibers is smaller and decreases still more towards the glands, while on the contrary it increases for the secretory fibers. The disparity of diameter between the two types of fibers is due to the different number of neurites they contain, embedded in satellite cells with mesaxons of various forms. Axons and satellite cells have similar cytological features in the two types of nerves. Vesicles of several morphological types occur in the axons; their significance is discussed.
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Feeding responses of the oligophagous tobacco hornworm to allelochemicals prevalent in their host plants were determined in food choice-tests using filter paper discs laced with a test solution or water (control). Six solanaceous alkaloids, tomatine, tomatidine, solanine, solanocapsine, atropine and nicotine, were tested and only tomatine and solanocapsine were found to influence preference behavior. Solanocapsine (5 mM) deters feeding whereas tomatine (1 mM) stimulates feeding slightly. No synergistic effect of either tomatine or tomatidine with sucrose was found.The responses to tomatine are affected by previous feeding experience. Tomatine slightly stimulates feeding in larvae reared on tomato (Lycopersicon esculentum), but slightly deters feeding in larvae reared on Jerusalem cherry (Solanum pseudocapsicum). Such induced preference is absent for the other alkaloids tested, which indicates that these alkaloids do not by themselves induce preferences for the plants containing them.The non-alkaloid allelochemicals, chlorogenic acid, rutin, and 2-tridecanone also influenced food choice behavior. Chlorogenic acid is slightly stimulatory at its natural concentration (1mM), but strongly deterrent at higher concentrations. Rutin stimulates feeding in a concentration-dependent manner. Its activity must be due to the glycosylated structure, because both the aglycone (quercetin) and the sugar moiety (rutinose) are neutral. Removal of the glucose part of rutin, as in quercitrin, results in feeding deterrent activity. 2-Tridecanone is neutral at its concentration in cultivated tomato (1 mM), but strongly deterrent and toxic at higher concentrations. Preference behavior is not affected by solanesol, GABA, and a mixture of host plant compounds stimulatory for anothe solanaceous-specific feeder, the Colorado potato beetle (Leptinotarsa decemlineata).We conclude that the prevalent solanaceous alkaloids and other allelochemicals tested do not play important roles in food selection of the tobacco hornworm, although some may make small contributions.
Résumé Des experiences de choix de chenilles oligophages de M. sexta ont été réalisees avec des disques de papier filtre imbiles d'eau ou de solutions des substances allélochimiques dominantes dans les plantes consommées. Sur les six alcaloïdes de solanées examinés: tomatine, tomatidine, solanine, solanocapsine, atropine et nicotine, seuls la tomatine et la solanocapsine ont influé sur le choix; la solanocapsine (5 mM) empêche la prise de nourriture, tandis que la tomatine (1 mM) la stimule légèrement. Aucun effet synergique de la tomatine ou de la tomatidine n'a été observé en présence de sucrose.La réponse à la tomatine est modifiée par la prise de nourriture antérieure. Elle stimule légèrement l'alimentation de chenilles élevées sur tomates (Lycopersicon esculentum), mais dissuade légèrement les chenilles élevées sur Solanum pseudocapsicum. II n'y a pas d'action induite semblable avec les autres alcalïdes examinés, ce qui indique que ces alcaloïdes ne peuvent pas induire par eux-mêmes de préférences pour les plantes qui les contiennent.Des substances allélochimiques non-alcaloïdes: acide chlorogénique, rutine, et 2-tridécanone, influent aussi sur le comportement de choix alimentaire. L'acide chlorogénique est légèrement stimulant à sa concentration naturelle (1 mM), mais fortement dissuasif aux concentrations supérieures. La rutine stimule la prise de nourriture en fonction de sa concentration. Son activité doit être due à sa structure glucosylate, puisqu'aussi bien l'aglycone (quercitine) que la moiteé sucrée (rutinose) sont neutres. La suppression de la partie glucose de la rutine, comme dans le cas de la quercitine, a un effet dissuasif. A sa concentration dans la tomate cultivée (1 mM), le 2-tridécanone est neutre, mais il est fortement dissuasif et toxique à des concentrations supérieures.Le comportement de choix n'est pas modifié par le solanésol, le GABA, et par un mélange de composés végétaux stimulant un consommateur spécifique de solanées, comme le doryphore (Leptinotarsa decemlineata).Nous pouvons conclure que les principaux alcaloïdes et autres substances allélochimiques des solanées que nous avons examinés n'interviennent pas d'une façon importante, mais peuvent avoir une influence secondaire, dans les choix alimentaires de Manduca sexta.
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The food selection behaviour of male fifth instar nymphs of Locusta migratoria was monitored on the host plant wheat and on the non-host plants Senecio vulgaris, S. jacobaea and Brassica oleracea. The non-hosts were rejected, but the mode of rejection altered with time in a way which suggested associative learning. This hypothesis was tested and the results discussed in relation to classical theories of learning.
La sélection des aliments chez les criquets: Le rôle de l'apprentissage dans le comportement de rejet
Résumé Des larves mâles de cinquième stade de Locusta migratoria ont été placées dans des cages avec des végétaux qui pouvaient être changées sans troubler les insectes. Le contact avec des pieds de blé entraînait généralement une palpation suivie de morsures et alors d'alimentation continue. Les plantes non-hôtes Senecio vulgaris, S. jacobaea et Brassica oleracea étaient rejetées, d'abord après morsures suivant la palpation, mais ultérieurement par palpation seule. Nous avons vérifié l'hypothèse que la sensation obtenue par palpation était initialement inadéquate pour provoquer le rejet, ce qui était assuré par les morsures ultérieures mais qu'avec l'expérience l'insecte apprenait à lier la sensation de palpation avec celle de morsures et progressivement rejetait après palpation seule. Ainsi les 8 premiers contacts avec des aliments désagréables ont été observés, soit quant S. vulgaris était présenté continuellement, soit quand S. vulgaris était remplacé par une autre plante désagréable après 4 contacts. Une analyse mathématique des résultats révèle une tendance au rejet par palpation seule à travers les contacts successifs, et que cette tendance est interrompue et se restaure quand l'espace végétal est changé. Ces résultats sond discutés dans le contexte des théories de l'apprentissage et on en a conclu que le phénomène observé est le résultat d'un apprentissage associatif.
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17.
A calculated correction factor due to food respiration is applied to the consumption term in energy budgets for invertebrates. The factor is expressed as a function of the growth rate of the invertebrates, the food respiration rate and the fraction of food remaining when changed. It is shown that applying this correction factor to several energy budgets balances them.
Résumé Il est bien connu que, dans les bilans énergétiques des invertébrés l'assimilation, calculée comme différence entre la consommation et la defécation, est supérieure à celle calculée comme addition de la production et de la respiration. Un terme de correction tenant compte de la respiration de la nourriture a été calculé pour être utilisé dans le calcul de la consommation. Il dépend de la vitesse de croissance des invertébrés, du taux de respiration de l'aliment et de la fraction qui en est consommée. Mais on constate que la vitesse de croissance des invertébrés n'influence que peu ce terme de correction, tandis que les deux autres facteurs, particulièrement la fraction de nourriture consommée, peuvent être très importants. La vitesse de croissance peut donc être considérée comme constante, ce qui permet un calcul exact du terme de correction. En l'appliquant à différents bilans énergétiques, les différences entre les deux estimations qui atteignaient 30% et 250%, se trouvent réduites à moins de 4%.
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18.
Résumé Les expériences que nous avons réalisées nous ont permis d'étudier le rôle de l'absence du gaz carbonique dans l'atmosphère où se trouve l'Insecte. L'une des deux femelles deBombus est introduite dans une cellule microcalorimétrique en atmosphère normale, l'autre femelle dans une cellule dont l'atmosphère est dépourvue de gaz carbonique.Dans l'expression des résultats, je considère d'abord les indications fournies par la forme des enregistrements. Afin d'apporter une plus grande précision dans l'interprétation des enregistrements, j'ai effectué une étude quantitative de la thermogenèse.Les résultats concernant l'influence de la température sur la thermogenèse des reines de Bourdons sont généralement conformes à ce que nous connaissons de la stimulation du métabolisme thermique par une élévation de la température chez la plupart des Poïkilothermes.On peut noter, qu'à température égale, les reines deBombus terrestris ont une thermogenèse relative supérieure à celle des reines deBombus lapidarius. D'autre part, pour chacune des espèces considérées, les valeurs thermogéniques des reines deBombus sont plus élevées — à une exception près — lorsque celles-ci sont placées en atmosphère dépourvue de gaz carbonique.En conclusion, l'absence de gaz carbonique dans l'atmosphère de la cellule microcalorimétrique ne modifie pas profondément le niveau des échanges respiratoires des reines deBombus, dans les limites de mes expériences.
Thermogenesis in Bumble-bees' queens
Summary Experiments have been performed on queens ofBombus terrestris L. andBombus lapidarius L., with a Calvet micro-calorimeter. Curves of thermogenesis (thermograms) are first examined; they vary according to individuals, species, temperature of the ambiance, and composition of the atmosphere.As a rule, at constant temperature, queens ofBombus terrestris produce more heat than these ofBombus lapidarius.Experiments performed in the presence of sodium hydroxide in order to absorb the carbon dioxide elaborated display less undulated thermograms, but individual differences are wide.The thermogenesis of insects placed in micro-calorimetric cells without carbon dioxide is a little higher than that of females in normal atmosphere, but variable results of thermogenic reactions are sometimes observed.
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19.
Summary The nodulation and growth of faba bean plants (Vicia faba cultivar Giza 2) at 2 months' age were studied in pot trials using an alluvial clay soil (pH 7.9). Chlorides, carbonates and sulphates of Na+, K+, Ca2+, and Mg2+ were added at 20 mEq/100 g soil and the tolerance ofRhizobium leguminosarum (biovar.viceae, Strain F-15) grown on pure culture medium, salinized with the same salts, was then tested. Salts were generally inhibitory towards plant and bacterium. Number and characteristics of plant root-nodules, dry weight of plants (shoots and roots), N content in plants and the bacterial colony count decreased. Chlorides were the most inhibitory in soil and carbonates the most in culture medium, whilst sulphates were the least inhibitory in either case. Na+ gave maximum inhibition, whereas Mg2+ was the least detrimental. Formation of effective nodules on roots of the plants grown in the salinized soil was very poor, butR. leguminosarum showed possible tolerance when grown on salinized culture medium.
Influence de la forme ionique des sels minéraux sur la croissance de la fève faba et de Rhizobium leguminosarum
Résumé La nodulation et la croissance des plants de fève faba (Vicia faba cultivar Giza 2) agés de 2 mois ont été étudiés dans des essais en pots en utilisant un sol argileux alluvial (pH 7.9). On a ajouté les chlorures, carbonates et sulfates de Na+, K+ et Mg2+ à la dose de 20 mEq par 100 g de sol. On a testé ensuite la tolérance deRhizobium leguminosarum (biovar.viceae, souche F-15), cultivé en milieu de culture pure, salinée avec les mêmes sels. Les sels sont d'une manière générale inhibiteurs vis à vis de la plante et de la bactérie. Le nombre et les caractéristiques des nodules radiculaires de la plante, le poids sec des plantes (pousses aériennes et racines), le contenu azoté dans les plantes et le nombre de colonies bactériennes décroissent. Les chlorures sont le plus inhibiteurs dans le sol et les carbonates le sont dans le milieu de culture tandis que les sulfates sont le moins inhibiteurs dans les deux cas. Na+ est le plus inhibiteur, tandis que Mg2+ est le moins nocif. La formation de nodules effectifs sur les racines de plants cultivés dans le sol saliné est très pauvre, maisR. leguminosarum démontre une tolérance possible lorsqu'il est précultivé dans un milieu de culture saliné.
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20.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

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