首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 62 毫秒
1.
An olfactometer was used to determine the effect of pheromones released by females of the bollworms Heliothis armigera (Hübner) and H. zea (Boddie) on females of the same species. Four combinations of virgin and mated females were tested for repellency of one to the other. Evidence is presented that females of the two bollworms were repelled by females of the same species. In addition, extracts of virgin female abdomens of each species repelled virgin females of the other species.
Résumé L'examen en olfactomètre a porté sur les réactions face à d'autres femelles de la même espèce, de femelles vierges ou ayant copulé d'Heliothis armigera Hübner et H. zea Boddie. Le lot comprenait 8 femelles, vierges ou ayant copulé en présence d'une femelle vierge ou ayant copulé. Les 4 combinaisons possibles de femelles vierges et de femelles ayant copulé ont été examinées avec 12 répétitions pour chaque espèce. Un extrait de l'extrémité de l'abdomen de femelles vierges d'une espèce a été présenté aux femelles de l'autre espèce pour examiner les possibilités de réactions interspécifiques aux phéromones.Pour chaque espèce, les réactions interspécifiques de répulsion entre femelles ont été hautement significatives par rapport aux témoins, à l'exception toutefois des réactions de femelle ayant copulé face à des femelles ayant elles aussi copulé. Les répulsions moyennes chez H. armigera et H. zea pour les 8 femelles de chaque expérience ont été: a) vierges en présence d'une vierge: 7,33 et 7,66; b) vierges en présence d'une femelles ayant copulé: 5,76 et 5,58; c) femelles ayant copulé en présence d'une vierge: 4,67 et 4,83. Les différences sont hautement significatives entre chaque paire de moyennes et entre chaque paire et le lot témoin; 3,17; 3,17; 3,42; 4,00 pour H. armigera; 3,17; 3,50; 2,83 et 3,75 pour H. zea.Les femelles vierges des deux espèces, H. armigera et H. zea ont présenté une réaction de répulsion en présence d'un extrait de l'abdomen de l'autre espèce; les répulsions moyennes étant respectivement 5,53 et 5,33 contre 3,83 et 3,58 pour le lot trémoin.On peut en conclure que ces répulsions doivent entraîner une tendance à la répartition uniforme.
  相似文献   

2.
Larval developmental time and adult fecundity of the flour beetles Tribolium confusum and T. castaneum were measured on twelve different diets: top patent fluor; top patent flour enriched with riboflavin, thiamine and niacin, singly or in combinations; top patent flour mixed with bran, germ or both; and whole wheat flour.Larval mortality did not exceed 5% on any of the diets. Larvae of both species developed slightly faster and laid significantly more eggs in flour enriched with the three vitamins than in unenriched patent flour. The improvement was due to the addition of riboflavin. The addition of thiamine or niacin or both did not accelerate development or increase fecundity. It was concluded that top patent flour contains enough thiamine and niacin but not enough riboflavin for proper growth and development of flour beetles.Whole wheat flour was the best diet for T. castaneum, and the flour-germ-bran mixture for T. confusum. Larvae of T. confusum developed as rapidly in the mixture, as in whole wheat flour, but the adults laid significantly more eggs. T. castaneum was equally fecund on these diets, but developed faster in the coarser whole wheat flour. In both species, especially T. castaneum, dietary components had a greater effect on fecundity than on rate of larval development.
Résumé Le taux de développement larvaire et la fécondité des sujets adultes du Tribolium brun de la farine, Tribolium confusum Jacquelin duVal, et du Tribolium rouge de la farine, Tribolium castaneum Herbst, ont été examinés en rapport avec 12 formules alimentaires différentes: fleur de farine; fleur de farine enrichie de riboflavine, de thiamine et de niacine, seules ou combinées; fleur de farine mélangée de son, de germe de blé ou de ces deux éléments à la fois; enfin, farine de blé entier.Dans chacun de ces régimes, la mortalité larvaire n'a jamais été supérieure à 5%. Les larves de ces deux espèces se sont developpées légèrement plus vite et ont pondu beaucoup plus d'oeufs avec le régime de fleur de farine enrichie de trois vitamines qu'avec le régime de fleur de farine non enrichie. Ces améliorations du développement sont dûes à la riboflavine, car l'addition de thiamine ou de niacine, seules ou associées, n'a ni accéléré le développement ni augmenté la fécondité. On en a conclu que la fleur de farine contenait assez de thiamine et de niacine, mais qu'il y avait une insuffisance en riboflavine pour assurer le développement et la croissance des Tribolium spp.La farine de blé entier a été la plus efficace pour les T. castaneum, et le mélange de farine, de germe et de son a eu les mêmes effets sur les T. confusum. Les larves des T. confusum se sont développées au même rythme dans ce mélange que dans la farine de blé entier, toutefois les sujets adultes ont pondu une quantité d'oeufs beaucoup plus grande dans ce même mélange. Les T. castaneum étaient également féconds dans ce mélange, mais se sont développés plus rapidement dans la farine plus grossière de blé entier.Pour les deux espèces, mais spécialement pour les T. castaneum, les composants du régime ont eu un plus grand effet sur la fécondité que sur le développement larvaire.


Contribution No. 708 of the Canada Agriculture Research Station, Winnipeg.  相似文献   

3.
In Drosophila triauraria Bock & Wheeler (Diptera: Drosophilidae) of which females were known to enter reproductive diapause at short daylengths, males also showed reduced mating activity at short daylengths, i.e., males as well as females entered reproductive diapause. The critical daylength for diapause induction did not differ between females and males. Both male and female diapause ended even under short daylengths, but the male diapause was somewhat weaker than the female diapause.The critical daylength and the diapause rate varied geographically in this species. In the cross between diapausing and non-diapausing strains, the critical daylength and the diapause duration inherited in a quantitative manner. On the basis of the present and previous crossing experiments, some models are proposed on the mechanism of diapause induction of this species.
Résumé Les femelles de D. triauraria Bock & Wheeler (Dipt. Drosophilidae) sont connues pour présenter une diapause reproductrice aux photophases courtes. Les mâles eux aussi ont révélé une activité sexuelle réduite aux photophases courtes, c'est-à-dire qu'ils sont entrés comme les femelles en diapause reproductive. Les photophases critiques pour l'induction de la diapause des mâles et des femelles n'ont pas présenté de différences. Les diapause des mâles et des femelles s'achèvent même sous courtes photophases, mais la diapause mâle était quelque peu plus faible que la diapause femelle.La photophase critique et le taux de diapause ont varié en fonction de l'origine géographique dans l'espèce actuelle. Lors de croisements entre lignées diapausantes et non-diapausantes, la photophase critique et la durée de la diapause ont été héritées quantitativement. A partir de ces expériences et d'expériences précédentes de croisements (Kimura, 1983), quelques modèles de méchnisme d'induction de la diapause de cette espèce sont proposés.
  相似文献   

4.
Ootheca production is here investigated in three species of field-dwelling cockroaches under both field and controlled conditions. Mating is shown to have a significant effect on the length of the pre-oviposition and inter-oviposition periods, fecundity, female longevity and the formation of the ootheca. The occurrence of facultative parthenogenesis is confirmed in Ectobius lapponicus and E. pallidus.
Résumé Les effets de l'accouplement sur certains aspects de la biologie de la reproduction ont été étudiés, pour trois espèces de blattes champêtres du genre Ectobius, à la fois en conditions expérimentales et en conditions naturelles. E. lapponicus et E. pallidus se révèlent être des parthénogénétiques facultatives, bien que ce mode de reproduction entraîne une réduction de la fertilité de ces espèces. Cette parthénogenèse est thélytoque. Quelques ufs non fécondés de E. panzeri se développent partiellement, mais n'éclosent pas. Des différences dans certains aspects de l'oviposition apparaissent chez les 3 espèces entre les femelles vierges et les femelles accouplées. Les périodes de pré-oviposition et d'inter-oviposition sont allongées chez les femelles vierges. La forme des oothèques varie, celles déposées par les femelles accouplées sont plus courtes et plus larges. Des différences spécifiques sont manifestes dans le mode de dépôt et dans le sens de rotation de l'oothèque, ce dernier caractère étant aussi affecté de quelque façon par la copulation. La longévité des femelles vierges est plus grande que celles des femelles accouplées, bien qu'un moindre nombre d'oothèques soit déposé. En général les femelles des trois espèces se comportent de façon semblable dans les conditions expérimentales et en milieu naturel.
  相似文献   

5.
Intra- and interspecific pheromone responses by virgin females of three species of Dacinae were examined using a laboratory bioassay. Females of Dacus opiliae Drew & Hardy responded to the pheromone from males of the sibling species, D. dorsalis Hendel, as intensely as to their own but did not respond to the secretion from males of other less closely related species. D. aquilonis (May) and D. jarvisi (Tryon), however, displayed no specificity of pheromone response in the same bioassay situation. Interspecific responses were neither an artefact of laboratory-cultured females not were they restricted only to the pheromone secretion from laboratory-reared males. It is concluded that laboratory bioassays of pheromone responses are not reliable indicators of generic relationships among dacine species. Short range interspecific responses may reflect only the operation of a sex recognition or excitation component of the pheromone; species specificity may depend on components which operate over longer distances.
Résumé Les réponses inter- et intraspécifiques aux phéromones ont été étudiées au laboratoire chez des femelles vierges de trois espèces de Dacinae. Les femelles de Dacus opiliae répondent aussi bien à la phéromone de leurs propres males qu'à celle émise par des mâles de l'espèce jumelle D. dorsalis Hendel, mais ne répondent pas aux émissions des mâles d'autres espèces moins proches. On ne trouve pas de spécificité aux résponses de D. aquilonis May et D. jarvisi Tryon testées dans les mêmes conditions. Ces réponses interspécifiques ne sont pas une anomalie de femelles élevées au laboratoire et ne se limitent pas aux phéromones émises par des mâles obtenus au laboratoire.On en conclut que les essais en laboratoire ne fournissent pas d'indications suffisantes sur les relations génériques des espèces de Dacinae. Des réponses interspécifique à courte distance pourraient en effet n'être que le résultat d'une opération de mise en alerte de l'autre sexe ou le produit d'une composante excitante de la phéromone, la spécificité dépendant de fractions opérant à plus longue distance.
  相似文献   

6.
Comparison of the two species of bromeliad-inhabiting Wyeomyia mosquitoes occurring in Florida, USA, showed in the laboratory that Wyeomyia vanduzeei Dyar & Knab has a significantly stronger preference for oviposition in Tillandsia utriculata L. bromeliads over Catopsis berteroniana (Schult.) Mez, bromeliads of equal size (P<0.01). Comparison of colonization of these bromeliads by mosquitoes in the field showed a greater proportion of W. vanduzeei larvae and pupae in T. utriculata (P0.001). This is a microhabitat association. On the other hand, the comparison of colonization showed a greater proportion of Wyeomyia mitchellii (Theobald) larvae and pupae in bromeliads in shaded habitats (P0.001), a macrohabitat association.
Résumé On compare le comportement et la distribution des deux espèces de culicides Wyeomyia dont les stades jeunes se developpent dans l'eau retenue par les axilles de broméliacées en sud-Floride, E.-U. Parmi ces espèces au laboratoire, les femelles de W. vanduzeei préférent plus fortement d'une manière significative (P<0.01) de poser des oeufs dans les axilles de la broméliacée Tillandsia utriculata auprès de la broméliacée Catopsis berteroniana de taille égale. Comparaison de la colonisation de ces broméliacées par culicides dans la nature a demontré proportionellement plus des larves et nymphes de W. vanduzeei dans les axilles de T. utriculata (P0.001). Ceci démontre une préférence interspécifique et différentielle du microhabitat. De l'autre côté, les stades jeunes de W. mitchellii se trouvent en comparaison interspécifique plus fréquemment d'une manière significative (P0.001) dans broméliacées à l'ombre. Ceci démontre une restriction interspécifique et différentielle du macrohabitat probablement de la part des femelles en posant des oeufs.
  相似文献   

7.
Oviposition behavior and larval mortality of the pea weevil, Bruchus pisorum L. on Lathyrus tingitanus L. and Lathyrus sativus L. were studied to determine the mechanisms by which these plant species resist pea weevil attack. Female weevils caged on pods of these species oviposited at a reduced rate compared to those caged on pods of pea, Pisum sativum L. Females kept in vials in the laboratory and given a choice between L. sativus pods and pea pods oviposited at a higher rate on pea and the glass vial than on L. sativus. Two to three days following oviposition, L. tingitanus pods developed callus tissue growth beneath the eggs. These growths later covered much of the pod. L. sativus pods exhibited a similar response to hatching larvae. Pea weevil larvae attempting to penetrate pods of both species died. Larvae placed inside L. sativus pods established in seeds and had no greater mortality after 72 h than those placed inside pea pods. Identified defenses in lathyrus against pea weevil attack consist of antibiosis as well as antixenosis. These resistance mechanisms are located in the pod.
Résumé Les espèces de Lathyrus sont indemnés d'attaques de la bruche du pois, Bruchus pisorum, bien que le pollen de deux membres de ce genre ait induit, après ingestion, l'ovogenèse des femelles. La ponte et la mortalité larvaire de B. pisorum sur L. tingitanus et L. sativus (Leguminosae) ont été examinées pour déterminer les mécanismes permetant à ces espèces de résister à l'attaque de cette bruche. Des femelles aux ovaires développés ont été mises en cage en serre, avec des gousses de chacune des deux espèces de Lathyrus et de Pisum sativum; les femelles ont pondu beaucoup moins sur Lathyrus que sur Pisum. Au laboratoire, des femelles aptes à pondre, placées dans des bocaux avec des gousses de même taille de L. sativus et P. sativus, ont pondu sur le pois et le bocal que sur L. sativus.Deux à 3 jours après contamination par les oeufs de bruche, les gousses de L. tingitanus forment des cals sous les oeufs. Ces excroissances s'étendent de telle sorte que la majorité de la gousse en est recouverte quelques jours plus tard; les gousses de L. sativus présentent une réponse semblable mais plus localisée. La croissance du cal se produit en réponse à l'éclosion plutôt qu'à la ponte, car aucune n'a été observée sous les oeufs qui n'ont pas éclos, et aucune s'étend au-delà des zones immédiatement sous les oeufs éclos. Les larves de B. pisorum tentant de pénétrer dans les gousses des 2 espèces meurent, tandis que des larves placées à l'intérieur des gouses de L. sativus n'ont pas présenté une mortalité supérieure dans les graines au bout de 72 h à celle des larves placées à l'intérieur des gousses de pois. On peut envisager que la reconnaissance de stimuli dissuasifs par les femelles de bruches ait pu évoluer en réponse à la présence de mécanismes de défense de la gousse.
  相似文献   

8.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
  相似文献   

9.
The vast majority of wild-type females of Lucilia cuprina are anautogenous. The survival of wild-type anautogenous females following emergence was compared with that of females from laboratory-selected autogenous strains, when deprived of sucrose and given ad lib access to water, deprived of water and given ad lib access to sucrose, or deprived of both water and sucrose.Anautogenous females survived substantially longer than autogenous females when only sucrose was supplied, but the opposite applied when the flies were supplied with water only. Anautogenous females survived somewhat longer than autogenous females in the absence of both sucrose and water. Thus, autogenous females might be at a disadvantage in the dry conditions which often prevail in areas occupied by the species.
Résumé La grande majorité des femelles de L. cuprina est anautogène. Cependant, l'observation de femelles autogènes dans la nature, et la sélection au laboratoire d'une lignée autogène à partir d'une souche anautogène indique que cette espèce est susceptible de devenir autogène.Le stade de développement ovarien des femelles capturées dans la nature montre que l'habitat est généralement carencé en aliments riches en protéines susceptibles de permettre le développement ovarien de L. cuprina. Dans de telles conditions, les femelles autogènes devraient être avantagées; leur très grande rareté indique que certains désavantages doivent être associés au génotype autogène. On a constaté que les femelles autogénes qui viennent d'émerger ont une teneur en eau plus faible que les anautogènes; ceci suggère que l'un des coûts possibles de l'autogénie pourraît être une aptitude réduite à supporter les périodes de privation d'eau suivant l'émergence. Pour cette raison, la survie de femelles sauvages anautogènes a été comparée à celles de lignées autogènes sélectionnées au laboratoire, en absence de sucrose, en présence ad lib. de sucrose, ou sans eau ni sucre.Pouvues uniquement de sucrose, les femelles anautogènes survivent 12 heures de plus que les autogènes, tandis qu'en présence exclusive d'eau les femelles autogènes survivent 19 heures de plus. En absence de sucrose et d'eau les femelles anautogènes survivent environ 5 heures de plus. Il semble que la mortalité des femelles autogènes privées totalement d'aliments est due principalement à un stress hydrique, tandis que le sucrose et le stress hydrique ensemble paraissent jouer un rôle dans la mort des femelles anautogènes. Ces résultats montrent que l'autogénie des femelles peut être un désavantage lors des conditions sèches fréquentes dans l'aire de cette espèce.
  相似文献   

10.
Isofemale lines of D. simulans were examined to determine the age of sexual maturity of males with conspecific females, and for the frequency of hybridization with D. melanogaster females. Males started to mature sexually on the first day after eclosion but their ability to mate slowly increased during the following day. The estimates of both the age sexual maturation started and the switch from immature to mature males were strongly dependent on the female genotypes used in the tests. No clear differences in speed of maturation were apparent between male lines. In contrast, differences in frequency of hybridization with D. melanogaster females did occur. From the above results it is concluded that the differential hybridization success of male D. simulans lines is not related to the speed at which males mature sexually.
Résumé Des lignées isofemelles de D. simulans ont été examinées pour déterminer l'âge de la maturité sexuelle des mâles avec des femelles conspécifiques et pour établir la fréquence de l'hybridation avec des femelles de D. melanogaster. Les mâles ont commencé à être sexuellement mûrs le premier jour après l'émergence, mais leur aptitude à la copulation a augmenté lentement pendant le jour suivant. Les estimations, tant de l'âge du début de la maturation sexuelle que de l'âge du passage de mâle immature à mâle sexuellement mûr dépendaient étroitement des génotypes des femelles utilisées dans les expériences. Il n'y avait pas de différences nettes entre les lignées de mâles. Par contre, des différences dans les fréquences d'hybridation avec les femelles de D. melanogaster ont été observées. De ces résultats, on peut conclure que les différences dans la réussite des hybridations des lignées de mâles de D. simulans n'étaient pas dues à la vitesse de maturation sexuelle des mâles.
  相似文献   

11.
In northeastern North Carolina, outbreaks ofTetranychus urticae Koch on commercial corn and peanut plantings were observed to coincide with flowering and fruiting of the crop host. In greenhouse studies, when equal mite numbers were started on plants in either vegetative or reproductive growth stages, populations increased significantly more after 3–4 weeks on reproductive plants of both corn and peanut. This direct response of mite populations to differences in plant phenology appears to be an important component in the population dynamics ofT. urticae. The importance of this effect in understanding mite outbreaks on corn and peanut is discussed, especially in reference to the corn-peanut agroecosystem in North Carolina.
Réponse de populations deTetranychus urticae Koch., aux phénologies du maïs et de l'arachide
Résumé Les populations de tétraniques sont souvent associées à la floraison et à la fructification des plantes attaquées. Dans les agrosystèmes maïsarachide du N.E. de la Caroline du Nord, l'augmentation rapide de populations deT. urticae a été observée lors de la maturation des épis mâles du maïs et du maximum de floraison de l'arachide. Bien que ces observations suggèrent une relation causale avec la phénologie des plantes hôtes, il est difficile de déterminer dans les conditions de la nature si l'augmentation des populations d'acariens sur les stades reproducteurs des plantes est due à une réponse à la phénologie des cultures ou à une autre cause, comme le passé de la population ou une immigration. Des expériences ont été réalisées dans une serre pour mettre en évidence l'action de la phénologie du maïs et de l'arachide sur les populations d'acariens en maîtrisant ces autres hypothétiques facteurs. Des effectifs identiques d'acariens femelles ont été libérés sur des plantes à des stades tant végétatifs que reproductifs, et ensuite laissés sans interventions pendant plusieurs semaines, au bout desquelles les effectifs sur chaque plante ont été dénombrés. Sur les deux hôtes, les populations sur plante à un stade reproducteur avaient augmenté significativement plus que sur les plantes de même espèce à un stade végétatif. Ces résultats montrent queT. urticae répond directement à des différences entre plantes à un stade végétatif et à un stade reproductif. Cette réponse semble jouer un rôle important dans la dynamique des populations deT. urticae.
  相似文献   

12.
Adult female red pine cone beetles (Conophthorus resinosae Hopkins) (Coleoptera:Scolytidae) left cones of white pine (Pinus strobus L.) more readily than cones of red pine (Pinus resinosa Ait.) in the first 3 min after being placed on cones. Slices of white pine cones, however, did not elicit different beetle behavior than slices of red pine cones. Beetles bored into white pine as readily as into red pine. We conclude that beetles initially reject white pine due to structural traits, but eventually accept it during prolonged exposure and may utilize white pine in nature.
Résumé C. resinosae Hopkins (Coleoptera, Scolytidae) s'alimente et pond sur les cônes de Pinus resinosa Ait.; il détruit souvent plus de la moitié des graines du pin dans la région des grands lacs aux USA. Cette espèce et les autres Conophthorus sont considérés comme des spécialistes très spécifiques. Nous avons voulu vérifier que les femelles de C. resinosae acceptent plus facilement comme hôtes les cônes de P. resinosae que ceux de P. strobus L. Au laboratoire, les scolytes ont abandonné les cônes de P. strobus plus rapidement que ceux de P. resinosae, au cours des 3 minutes qui ont suivi leur dépôt sur les cônes. Cependant des rondelles de P. resinosae n'ont pas été plus stimulantes que celles de P. strobus; les scolytes n'ont pas foré plus rapidement, ni n'ont plus séjourné sur P. resinosae que sur P. strobus au cours de 1, 2 ou 24 heures de l'expérience. Nous en concluons que les scolytes rejettent de prime abord P. strobus pour ses caractères structuraux, mais qu'ils l'acceptent éventuellement pendant expositions prolongées et peuvent le consommer dans la nature.
  相似文献   

13.
Oviposition by a parasitoid wasp in an already parasitized host (= superparasitism) may result in larval competition and the loss of offspring. Consequently, in solitary species, the decision to superparasitize should be based on the probability of offspring survival. Females of Aphidius ervi Haliday and A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), two parasitoids of the pea aphid, discriminated between conspecific-and heterospecific-parasitized hosts. Both species showed partial preference for aphids previously attacked by A. smithi, a result predicted from the fact that A. ervi is superior to A. smithi in larval competition under most conditions. Females of A. smithi selectively attacked conspecific-parasitized pea aphids when given a choice between these and self-parasitized hosts. Results indicated that females of both species responded to an external pheromone-like marker to discriminate between selfconspecific-and heterospecific-parasitized aphids. In addition, A. smithi may use internal cues to recognize, and avoid oviposition in, aphids previously parasitized by A. ervi.
Résumé L'oviposition par une guêpe parasite dans un hôte qui a déjà été parasité (= superparasitisme) pourrait conduire à une compétition entre larves et à une perte de progéniture. Par conséquent, dans les espèces solitaires, la décision de superparasiter devrait être basée sur la probabilité de survie de la progéniture. Les femelles de Aphidius ervi Haliday et de A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), deux parasites du puceron du pois, ont discriminé entre les hôtes parasités par des individus de la même espèce et ceux parasités par des individus d'une espèce différente. Les deux espèces de parasite ont montré une préférence partielle pour les pucerons préalablement parasités par A. smithi, résultat qui était prévisible du fait que, dans la majorité des cas, A. ervi est supérieur à A. smithi dans la compétition entre larves. Les femelles de A. smithi ont sélectivement attaqué les pucerons parasités par un individu de la même espèce lorsqu'il leur était donné de choisir parmi ceux-ci et ceux parasités par les même individu. Les résultats indiquaient que les femelles des deux espèces répondaient à une sorte de phéromone externe pour distinguer les pucerons parasités par le même individu de ceux parasités par un individu de la même espèce et ceux parasités d'une autre espèce. En plus, A. smithi pourrait utiliser des signaux internes pour reconnaître et éviter l'oviposition dans les pucerons préalablement parasités par A. ervi.
  相似文献   

14.
Prior theoretical studies have analyzed host-associated factors restricting gene flow between phytophagous insect species, and simulated evolutionary changes in components of fitness contributing to the adaptation of species to distinct host plants. However, there is relatively little empirical information on these topics. In this paper we report data on two host-associated sibling species of tephritid fruit flies, Rhagoletis mendax (Curran) and R. pomonella (Walsh) which infest ericaceous and rosaceous host plants, respectively. To test the hypothesis that these species have evolved viability differences on alternate hosts which can contribute to the restriction of gene flow between them, we measured the larval-to-adult viability of R. mendax, R. pomonella and F1 interspecific hybrid progeny reared on naturally-growing, highbush blueberry (Vaccinium corymbosum L.) and apple (Malus pumila Miller = Pyrus malus L.) plants in the field. Our results indicate that genetic changes associated with the adaptation of these species to distinct host plants could also cause reduced fitness of interspecific hybrids, and thereby restrict interspecific gene flow. Fewer interspecific hybrids survived to adulthood than either R. pomonella progeny reared in apples or R. mendax progeny reared in blueberries. These differences in the viability of progeny from hybrid versus conspecific crosses can substantially restrict gene flow between R. mendax and R. pomonella flies, and may be an important factor influencing their reproductive isolation. Genetic differences among hybrid and conspecific crosses were also detected for the lengths, widths and weights and weights of pupae reared from blueberries and apples. In a second experiment, the ovipositional preferences of R. mendax and R. pomonella flies were recorded on host plants inside a field cage. R. mendax flies had a strong ovipositional preference for blueberries over apples, whereas R. pomonella flies readily oviposited in both host fruits. Other studies have determined that R. pomonella flies also oviposit in the fruits of several other plants which are not hosts under field conditions; this behavior can promote host shifts to new plants by flies with suitable plant-finding and viability traits. Our results support the theoretical assumption that divergence in host-acceptance behaviors and viabilities on host plants are key aspects of evolutionary differentiation among closely-related taxa of phytophagous parasitic insects. We discuss our results in the context of other traits that can restrict gene flow between R. mendax and R. pomonella, and in relation to the findings of other studies on the evolution of host plant use.
Résumé Bien que des études théoriques aient analysé tant l'influence des éléments de l'adaptabilité sur l'évolution de l'utilisation d'une plante par un insecte phytophage que les caractéristiques de l'hôte limitant le flux génique entre espèces voisines, peu de données concrètes concernent ces aspects.Nos résultats portent sur deux espèces jumelles de téphritides, R. mendax Curran et R. pomonella Walsh qui vivent respectivement sur éricacées et rosacées. Pour vérifier si des différences dans le comportement d'acceptation des hôtes et dans leur survie sur des hôtes alternatifs sont apparues chez ces espèces jumelles, nous avons observé dans la nature le comportement de ponte et la survie des 2 espèces et des F1 hybrides interspécifiques sur Vaccinium corymbosum L. et Malus pumila Miller = Pyrus mali L. Le pourcentage de pondeuses, le nombre d'ufs pondus par femelle et la survie des larves ont été plus élevés pour R. mendax que pour R. pomonella sur V. corymbosum, tandis que le contraire était observé sur M. pumila. Des différences génétiques ont été observées pour la mortalité avant la nymphose et avant la mue imaginale lors des croisements hybrides et interspécifiques. Les descendants mâles et femelles de R. mendax ont mieux survécu sur V. corymbosum, tandis que la survie de la descendance des croisements entre R. pomonella était la même sur les deux plantes. Un peu plus d'hybrides ont atteint le stade adulte sur pomme que de descendants de croisements intraspécifiques, et la mortalité des descendants de femelles de R. pomonella sur V. corymbosum était plus élevée que celle des femelles de R. mendax. Les différences de survie et de comportement de ponte de R. mendax et de R. pomonella peuvent limiter le flux génique entre les 2 espèces. Des différences génétiques peuvent être observées quant à la taille et au poids des pupes de R. mendax et R. pomonella. Ces résultats confortent l'hypothèse que des divergences évolutives du comportement d'acceptation de l'hôte et de mortalité sur hôtes respectifs sont des facteurs clés séparant des taxa très voisins d'insectes parasites phytophages. La discussion intègre les autres aspects pouvant limiter le flux génique entre R. mendax et R. pomonella et les autres hypothèses sur l'évolution de l'exploitation des plantes hôtes.
  相似文献   

15.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

16.
Oviposition by Lucilia cuprina Wiedemann (Diptera, Calliphoridae) was examined in relation to period of oviposition site-deprivation and egg-load. Effects of oviposition site-deprivation were examined by comparing oviposition performance of individual females that had matured their batch of oocytes within the previous 24 h with that of females which had reached ovarian maturity 8 days previously. Egg-load was manipulated by causing females of this anautogenous species to consume different amounts of protein-rich material. In no-choice experiments, individual females of the different categories were given access for 4 h to oviposition substrate, soaked with (i) liver exudate, (ii) the exudate diluted 16-fold or (iii) the undilated exudate containing the oviposition deterrent sodium chloride at a concentration of 2 M. These solutions elicited oviposition from different proportions of females, but neither these proportions, nor the interval between introduction of the oviposition site and the initiation of oviposition, was significantly affected by the period of oviposition site-deprivation or the number of eggs matured by the females.
Résumé L'effet de la privation de lieu de ponte a été étudié en comparant les pontes de femelles isolées ayant formé leurs ufs mûrs dans les 24 heures précédentes, à celles de femelles ayant atteint leur maturité sexuelle 8 jours avant. La rétention ovocytaire est provoquée en faisant consommer aux femelles de cette espèce anautogène différentes quantités d'aliments riches en protéines. La ponte de femelles dont le contingent total de leurs ovocytes s'est développé, — c'est-à-dire 260 —, après consommation ad libitum de foie de mouton pendant 48 heures, a été comparée à celle de femelles ayant formé 190 ovocytes mûrs après ingestion d'une quantité limitée de jus de foie.Dans des expériences sans choix, les femelles isolées de différences catégories ont eu accès pendant 4 heures au substrat de ponte trempé: 1) dans du jus de foie, 2) dans du jus dilué 16 fois, 3) dans du jus de foie non dilué mais contenant NaCl (inhibiteur de la ponte) à la concentration de 2 M. Le jus non dilué a provoqué une forte stimulation, induisant la ponte de 80% des femelles. Le jus dilué et celui contenant NaCl n'ont induit la ponte que de 40% des femelles avec des niveaux de stimulation bien plus faibles. La date d'introduction du lieu de ponte et le taux de rétention des ovocytes mûrs n'ont eu auçun effet sur la proportion de femelles réagissant à ces 3 types de stimulation.
  相似文献   

17.
Cross-matings were conducted among eastern, western, and Egyptian alfalfa weevil strains. Fully viable progenies were produced in reciprocal crosses between eastern and Egyptian weevils. The cross between western males and females of eastern or Egyptian strains was incompatible, producing infertile eggs, while the reciprocal cross yielded viable progeny but with a distorted sex ratio, predominantly female. The cause of incompatibility is due to the presence in the western weevil of a rickettsia, which is transmitted through the female parent. Of eight weevil populations surveyed, only the western weevil and a weevil population from the Netherlands harbored the rickettsiae. We conclude that all alfalfa weevil populations in the United States belong to the same species, Hypera postica (Gyllenhal), and that they are potentially interbreeding populations.
Résumé Des croisements ont été effectués entre 3 lignées d'H. postica et H. brunneipennis. Des descendants totalement viables ont été obtenus par croisements réciproques entre H. postica de Beltsville et H. brunneipennis. Les croisements entre mâles de H. postica de Logan et femelles de H. postica de Beltsville ou de H. brunneipennis ont été incompatibles, produisant des oeufs stériles, tandis que les croisements réciproques donnaient une descendance viable, mais avec un taux sexuel modifié avec prédominance de femelles. La cause de l'incompatibilité est due à la présence d'une rickettsia dans les H. postica de Logan, transmise par la femelle. Des 8 populations examinées, seule celle de Logan et 1 des pays Bas hébergeaient des rickettsia. Nous en concluons que toutes les populations des USA appartiennent à H. postica Gyllenhal, et qu'elles sont toutes potentiellement interfécondes.
  相似文献   

18.
For rearing progenies of single females of Anopheles stephensi (Liston) (Diptera: Culicidae), a method is proposed using small trays with perforated side walls (called open trays) to allow for water replacement and purification using an aquatic plant Vallisneria spiralis. The performance of this method has been compared with that of rearing single progenies in trays without mesh side walls (closed trays). Effects of larval density and food quantity on rearing performance have been studied in both types of trays. In open trays the larvae developed about 2 days faster than in closed trays. Male larvae developed significantly faster (0.4 days) than females, but this difference was not significantly influenced by method of rearing or larval density. Adults from fast developing larvae were heavier than those emerging from slowly developing larvae from a single egg batch. Open trays gave higher larval survival than closed trays. A system has been developed to automatize larval feeding.
Elevage des larves issues de femelles isolées d' Anopheles stephensi Liston (Dipt.; Culicidae), avec utilisation d'un système automatique d'alimentation et de renouvellement de l'eau
Résumé Une technique, utilisant des récipients avec des parois latérales perforées (baptisés récipients ouverts) permettant le renouvellement de l'eau et sa purification par une plante aquatique (Vallisneria piralis), est préconisée pour élever la descendance de femelles isolées de A. stephensi. Les performances de cette technique ont été comparées à l'élevage dans des récipients sans parois perforées (récipients clos). L'influence de la densité et de la quantité d'aliments a été examinée dans les deux cas. Dans les récipients ouverts les larves se développent plus vite (deux jours de moins); les mâles se développent plus vite que les femelles, mais cette différence (0,4 j) n'est significiativement pas influencée par les techniques d'élevage ou la densité. Pour une même ponte les adultes provenant des larves se développant le plus vite sont plus gros que ceux qui sont issus des larves les plus lentes. Le récipient ouvert donne une meilleure survie. Un système a été mis au point pour automatiser l'alimentation.
  相似文献   

19.
Control of sex ratio by female spider mites   总被引:1,自引:0,他引:1  
Control of sex ratio in the progenies of mated female spider mites was investigated in two laboratory experiments. In Experiment I, a single strain of Tetranychus urticae Koch was reared in four different environments. In Experiment II, 4 different geographic strains of T. urticae were reared in a single environment.Results indicated that spider mite females were able to control the sex ratio of their progeny at two levels: an initial control of mean population ratio according to ovipositional environment. In addition, a secondary control resulted in an approximately uniform daily ratio. Although each parental female produced a varying number of eggs from day to day, a more or less constant fraction of those eggs were fertilized every day. It is concluded that both of these characteristics are probably important to the colonizing ability of the species.
Résumé L'étude de la régulation du sexe de la descendance de femelles inséminées d'acariens est basée sur deux expériences de laboratoire. Dans l'expérience I, une lignée de Tetranychus urticae a été élevée dans deux conditions différentes de qualité des feuilles pendant le développement des parents, d'une part, pendant leur ponte et le développement de la descendance d'autre part. Dans l'expérience II, quatre souches géographiques différentes de T. urticae ont été élevées dans les mêmes conditions.Il est apparu nettement que les femelles dans des conditions différentes ont donné des descendances avec des taux sexuels variant dans certaines limites. Ces différences étaient statistiquement significatives dans les duex lots de données expérimentales. Les taux sexuels des populations d'acariens variaient aussi avec les conditions écologiques. Dans les bonnes conditions, la proportion de femelles dans la descendance était la plus élevée. Les taux sexuels des populations variaient aussi entre les quatre souches géographiques.Les analyses ont aussi révélé que les femelles d'acariens sont capables de contrôler le taux sexuel à deux niveaux: une régulation initiale du taux de la population en fonction des conditions écologiques ou de la lignée géographique et un contrôle secondaire qui s'est traduit par un taux quotidien approximativement uniforme.En utilisant un argument mathématique simple incorporant la fécondité caractéristique des acariens, nous avons conclu que ces deux caractéristiques de la rulation sont probablement d'une importance capitale pour le pouvoir colonisateur de cette espèce.
  相似文献   

20.
Females of the solitary aphid parasitoids Aphidius ervi Haliday and A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae) discriminated between unparasitized pea aphids and those parasitized by the other species. Oviposition restraint varied with the attack sequence and the length of the interval between successive attacks. The tendency to reject a previously parasitized host increased with interval length; A. smithi females rarely oviposited in aphids that had been parasitized 30 h earlier by A. ervi. Early first-instar larvae of A. ervi physically attacked and killed older A. smithi larvae, and older A. ervi larvae killed younger A. smithi, possibly by physiological suppression. Neither species appeared to have a competitive advantage when their eggs hatched at the same time. The evolution of heterospecific host discrimination in A. ervi and A. smithi is discussed. It is suggested that avoidance of multiparasitism is adaptive for both parasitoid species: for A. smithi because it is the inferior larval competitor, and for A. ervi because immatures develop more slowly in multiparasitized than in initially unparasitized hosts.
Compétition interspécifique et discrimination des hôtes chez deux parasitoïdes de pucerons: Aphidius ervi et A. smithi
Résumé Les femelles des parasitoïdes de pucerons: Aphidius ervi Haliday et A. smithi Sharma & Subba Rao (Hyméno. Aphidiidae) distinguent les pucerons du pois sains des parasités par d'autres espèces. La rétention de la ponte dépend de la séquence de l'attaque et du temps écoulé entre des attaques successives. La tendance au rejet d'un puceron précédemment parasité augmente avec l'importance du délai; A. smithi a rarement pondu dans des pucerons qui avaient été parasités 30 h avant par A. ervi. Les jeunes larves de premier stade de A. ervi ont attaqué physiquement et tué les larves plus âgées de A. smithi, et les larves plus âgées de A. ervi ont tué des larves plus jeunes de A. smithi par élimination physiologique. Aucune espèce ne semble avoir un avantage quand les oeufs ont éclos en même temps. L'évolution de la discrimination interspécifique de l'hôte chez A. ervi et A. smithi est discutée. On estime que la tendance à éviter le multiparasitisme est adaptative chez les 2 espèces: pour A. smithi parce qu'il est dominé dans la compétition larvaire et pour A. ervi parce que les larves se développent plus lentement dans un hôte multiparasité que dans un hôte initialement sain.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号