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1.
A. Mirimanoff 《Protoplasma》1953,42(2):250-260
Résumé Le présent travail expose quelles sont les réactions de la cellule végétale lorsque cette dernière est soumise à l'association d'un toxique et d'un « mouillant » (Netzmittel).Les variables sont: la nature de la cellule végétale, celle du toxique et celle du mouillant.Alors que les mouillants cationiques, eux-mêmes toxiques, exercent une simple action additive, les mouillants anioniques révèlent dans de nombreux cas une synergie de toxicité. Celle-ci se manifeste surtout avec les champignons et les bactéries Gram+, les végétaux supérieurs se montrant indifférents. Cette synergie varie également avec la structure moléculaire du mouillant.Les mouillants non ioniques peuvent au contraire exercer une action antagoniste, c'est-à-dire diminuer la toxicité.Ce dernier phénomène se produit dans certains cas à la suite d'une réaction chimique entre le mouillant et le toxique; la nature de la cellule est alors indifférente. Dans d'autres cas, il y a absence de réaction chimique et le phénomène ne se produit qu'avec certains types de cellules (champignons surtout).La nature chimique du toxique joue, dans la synergie, un rôle moins important que dans l'antagonisme.Des hypothèses sont formulées pour tenter d'élucider le mécanisme des cas de synergie et d'antagonisme.  相似文献   

2.
Conclusions De tous les éléments du milieu que nous avons étudiés, ce sont la stabilité et le niveau du terrain, par rapport aux marées, qui ont le plus d'importance pour la végétation de la barrière de coquillages. La stabilité du sous-sol dicte la présence ou l'absence de végétation, tandis que la répartition des zones de végétation est déterminée par le niveau du terrain, lequel est soumis à l'action des eaux de la mer. C'est le niveau du terrain qui détermine la salinité du sol et la mesure du succès avec lequel les sauvageons s'enracinent aux bas niveaux.  相似文献   

3.
A determined division wall positioning in each plant cell with respect to the last formed division wall leads to autoreproductive configurations which can simulate plant-like meristems as such with 2/5 phyllotactic patterns. L-map systems are used to generate the corresponding topological wall nets. But in these patterns cells are not six-sided as mostly found in layers. It is shown that wall staggering cannot be a determinate device of the cell itself, nor a randomized dissociation of the cross walls, but results from a physical control with interaction between adjacent cells. It is independent of the cellular program responsible for the appearance of patterns like 2/5 phyllotaxis which is of a pentameric nature.
Résumé Dans les assises cellulaires des végétaux, les cellules ont en moyenne six côtés et à chaque noeud convergent trois parois. Les figures en croix sont rares. Les parois de division de deux cellules voisines ont des points d'ancrage qui s'évitent en formant un décrochement. Le court segment de paroi ainsi introduit compte comme paroi cellulaire quand on détermine la distribution du nombre de côté ou de voisins des cellules.Les map-systems à récriture parallèle permettent de générer des réseaux 2D correspondant aux parois cellulaires. La supposition d'un ancrage déterminé des parois de division avec une position fixe par rapport à la plus jeune des parois d'une cellule permet de simuler l'émergence et l'arrangement spatio-temporel des protubérances foliaires dans une phylllotaxie 2/5. Partant axiomatiquement d'une différenciation de 5 côtés des cellules, la construction se réalise au cours du développement par des cellules à 5, 4 et 3 côtés. Il s'en suit que la majorité des noeuds du réseau pariétal sont des convergences de degré 4.Pour dissocier les croix en deux convergences de trois parois, diverses stratégies sont essayées. Ni un décalage systématique dans une direction donnée, ni un sens aléatoire des décalages ne conduisent aux distributions du degré polygonal des cellules autour de six. Un système à interactions cellulaires est capable de déterminer le site et le sens des dislocations de façon à tendre, topologiquement, vers un pavage d'hexagones. Biologiquement cela signifierait que l'organisation du tissu, bâti dans le cas de la phylloyaxie 2/5 sur une structure pentamérique, est indépendante d'un contrôle physique assurant le pavage par des cellules hexagonales.Il est suggéré, en partant d'épidermes d'apex végétaux réels, et en supprimant les décalages entre ancrages de parois de division voisines, de rechercher le système de développement simple capable de générer l'image de l'organisation tissulaire sous-jacente à une morphologie complexe.
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4.
Résumé Les réponses E.A.G. d'Acrolepiopsis assectella Zell., Lépidoptère Hyponomeutoïdea spécialiste des Allium, montrent une sensibilité à l'odeur de la plante-hôte larvaire A. porrum saine ou attaquée, et à ses composés volatils soufrés spécifiques, toutes odeurs actives dans l'attraction des deux sexes en olfactomètre. Le Ti-P2, le plus abondant et le plus spécifique du végétal est toujours le plus efficace. Ceci confirme le rôle prépondérant des substances allélochimiques soufrées dans la recherche de la plante-hôte. Une réactivité antennaire plus ou moins importante est également enregistrée avec l'odeur de certaines plantes non-hôtes (chou et tomate). L'antenne du lépidoptère est également très sensible à certains produits volatils du complexe odorant vert des végétaux qui sont identifiés dans l'odeur du poireau, le cis-hexen-3-ol-1 le plus actif est aussi le seul à être attractif. Le rôle biologique exact des composés verts et l'interférence de l'odeur complète de la plantehôte avec celle de plantes non-hôtes, telle que la tomate, efficace sur l'antenne et sur le comportement sont discutés.  相似文献   

5.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

6.
Guinea  Emilio 《Plant Ecology》1954,5(1):147-156
Résumé Cette étude vise à faire remarquer la signification, les limites et les caractéristiques du sous-secteur Cantabrique du secteur Ibéro-Atlantique lequel a été proposé pour la première fois dans mon récent travail Geografía Botanica de Santander, Santander, p. 101 (1953).Ce sous-secteur comprend la bande étroite des bords du Nord de la Péninsule Ibérique, limité par la mer Cantabrique et comprenant les provinces de Guipuzcoa, Vizcaya, Santander et la partie Est de la province des Asturies, plus une bande de transition qui, tout le long du versant sud de la Cordillera Cantábrica, suit les limites septentrionales des provinces de Navarre, Alava, Burgos, Palencia, et le coin Nord-Est de Leon.A l'Est, ses limites disparaissent graduellement dans le secteur Pyrénéen, à l'Ouest, il atteint la zone siliceuse des Asturies. Il représente la limite sud de la Province Atlantique.Le climat est humide et tempéré, les hivers sont doux et les étés pluvieux, excepté aux hautes altitudes (au-dessus des 1.000 m). Le relief est très accidenté et montagneux, mais les pics ne dépassent pas les 2.700 m, avec des ruisseaux torrentiels qui rendent possible des innondations comme celles qui ont pris places en automne de 1953. La structure géologique comprend surtout du calcaire du Cretacé avec en plus des grandes masses de dolomites et du calcaire Carbonifère du massif de Picos de Europa. Dans la zone centrale de la Cordillera Cantábrica surgissent quelques rochers du Triassique et d'autres du Jurassique en de petites surfaces. Les terres argileuses et calcaires, très lavées par une pluie intense sont moins répandues (plus nombreuses que les terres siliceuses), avec un pH presque neutre, mais avec des variantes un peu prononcées vers l'acidité (quelques exceptions). Il y a un climax prédominant de forêts du (Quercetum roboris, Fagetum sylvaticae) strictement liées aux pentes des montagnes Cantabres et de Quercetum pyrenaici sur les pentes du sud.Les activités anthropogéniques ont causé la déforestation de la plus grande partie du territoire et ont fait place a un grand développement des landes de l'Uleto-ericetum (Atlantic).Il y a une représentation intéressante du Quercetum ilicis ericetosum sur les bandes de calcaire au-dessous de 800 m. Il est très rare sur les sols siliceux. Les communautés de prairie qui représentent un plagioclimax maintenu par l'homme, éliminent une grande partie de l'Uleto-ericetum que nous avons déjà cité.Il y a des grands champs de maïs et de betteraves à sucre et une extension moindre de céréales et de jardins potagers, et il en resulte une pauvre végétation ségétale et des bords des chemins. Les communautés végétales des plages, falaises, et bords de la mer, celles des mares et des ruisseaux sont très peu développées.On cultive avec intensité le Pinus radiata et l'Eucalyptus globulus. Il reste à exploiter en grand, l'agriculture, les pâturages, et la sylviculture.

Received for publication 15.I.1954.  相似文献   

7.
An apparatus was built to investigate the behavior of Aedes taeniorhynchus larvae and pupae under uniform illumination in a temperature gradient. Larvae were reared at 30.0° C and tested with and without access to food prior to and during the periods of observation. Preferred ranges for starved larvae were greater and spread over slightly lower temperatures than those selected by fed individuals. Fed larvae in all instars preferred the same approximate range, from 30° to 38°, but calculated average preferred temperatures disclosed a progressive increase with age, from 31.8° in the first instar to 34.6° in the early fourth instar. Late fourthinstar larvae (approaching pupation) chose slightly cooler temperatures (average of 33.0°). Animals from a laboratory colony cultured for several years at 27.0° gave, in the early fourth instar, a response almost identical to that shown by progeny of wild-caught females. When temperature for early fourth-instar larvae was slightly lower (33.5° compared with 34.6°). Observations by means of flash photography showed that the range of temperature selected by fed early fourth-instar larvae in total darkness was the same as under uniform illumination.
Résumé Un appareil a été construit en vue d'étudier le comportement des larves et nymphes d'Aedes taeniorhynchus soumises à un gradient de température, sous des conditions d'éctairement uniforme. Les larves étaient élevées à une température de 30° et soumises au test avec ou sans possibilité de se nourrir avant ou pendant les périodes d'observation. Les larves nonalimentées manifestaient un preferendum pour des limites de température plus larges et légèrement plus basses que celles observées avec des larves nourries. Ces dernières, à tous les stades larvaires, montrent un preferendum de 30° à 38°, mais le calcul de la température moyenne préférée révèle un accroissement progressif avec l'âge, passant de 31°8 au 1er stade larvaire à 34°6 au début du 4ème stade larvaire. Les larves du 4ème stade, peu avant la nymphose, préfèrent une température légèrement plus basse (moyenne de 33°). Dans un élevage, maintenu pendant plusieurs années au laboratoire à une température de 27°, les larves du début du 4ème stade montrent une réponse presque identique à celles provenant de femelles capturées dans la nature.Quand les larves sont élevées pendant une génération à 24° en lieu de 30° la moyenne du preferendum thermique pour les jeunes larves du 4ème stade est légèrement plus faible (33°5 au lieu de 34°6).Des observations au moyen de photographies par flash électronique montrent que le preferendum thermique est le même à la lumière ou à l'obsurité.
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8.
Gehu  Jean-Marie 《Plant Ecology》1977,34(2):117-125
Résumé Le concept de sigmassociation (sensu Tüxen 1973–1976) est discuté dans une première partie. Il dérive de la notion des complexes de groupements, progressivement développée par Braun-Blanquet dans les éditions successives de sa Pflanzensoziologie (1928, 1951, 1964). Le Tableau 1 résume les différences essentielles entre sigmassociation et complexe de groupements.Dans la deuxième partie de l'exposé, des examples de sigmassociations sont étudiés sur les côtes atlantiques françaises: ceux, notamment, des falaises cristallines armoricaines et des falaises crétaciques normandes. Le tableau 2 explicite bien les variations dans la combinaison des groupements pour chaque cas. A une combinaison différente des groupements constitutifs des sigmassociations correspond une physionomic totalement autre du paysage. Quelques problèmes concernant les sigmasystèmes sont présentés en conclusion.Parce que le concept de sigmassociation paraît spécialement fructueux pour le développement d'une science chère et tout particulièrement utile dans l'approche scientifique des problèmes de l'environnement végétal, j'ose dédier, très amicalement et à l'occasion de son 60ème anniversaire, cette modeste note, au Professeur V. Westhoff, éminent spécialiste de la végétation néerlandaise et inlassable protecteur de la Nature.
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9.
Henri Saëz 《Mycopathologia》1965,27(3-4):321-338
Résumé Au cours de l'autopsie de 58 jeunes mammifères sauvages, morts en captivité au Parc zoologique de Paris, nous avons effectué des prélèvements à différents niveaux du tube digestif: pharynx, estomac, intestin grêle, gros intestin et rectum. Chez ces animaux, mort-nés ou âgés de quelques heures à six jours, nous avonsrecherché, dans le matériel prélevé, les levures et lesGeotrichum. Les résultats sont analysés en fonction de deux question: 1-Flore fongique et Microorganismes en transit, II Vitesse de diffusion et d'implantation des champignons dans le tube digestif.Nous pensons qu'il existe une flore permanente et une flore saisonnière, auxquelles se superpose une flore étagée: flore du pharynx, flore de l'estomac, etc. .... La flore n'est pas constamment présente chez tous les animaux jeunes ou adultes. Nous passons en revue quelques facteurs qui peuvent agir sur elle. Nous mettons l'accent sur la température interne de l'hôte. A ce dernier facteur, s'oppose, au laboratoire, l'étude du comportement des souches isolées vis à vis de la température.Jusqu'à présent nous n'avons pas encore observé une véritable flore fongique constituée in utero. Parmi les 58 animaux examinés, l'implantation la plus manifeste a été vérifiée chez un Hippopotame âgé de deux jours. Cette colonisation est précédée de quelques vingt-quatre heures de la diffusion proprement dite, qui, elle, est très rapide. Cette progression des champignons à travers le tube digestif est parfois en avance sur celle du premier bol alimentaire.  相似文献   

10.
In a village of Southern Italy the secret world of women's emotions is fundamentally expressed through the body. The female body is open to events of the world and absorbs and feels their effect and defines a new identity, a minimal one. This gives rise to a symbolic anatomy, pathology, and physiology that serve to distinguish male and female worlds and to bridge inner and outer experience. These traces of external and extraordinary events, which in the past and in daily life have cut the secret and emotional world of women, are inscribed on the body. This body becomes a phenomenological memoir that opens a new way of interpreting distress and suffering and illness. This article represents a bridge from the interpretation of suffering and illness in Southern Italy via Gramsci and De Martino to a metacultural process of creating a polysemic and multilevel sense of self.
Résumé Dans un village du Sud de l'Italie le monde secret des émotions des femmes s'exprime souvent à travers une histoire inscrite dans le corps. Le corps féminin est en effet ouvert aux événements du monde et en reçoit les effecs. Ceci nous donne une anatomie, une pathologie, et une physiologie symbolique, qui souligne la différence entre le monde de la femme et le monde des hommes et qui crée un pont entre l'expérience du dehors et l'expérience du dedans. Ces traces des événements extérieurs et extraordinaires, qui dans le passé ont marqué le monde secret des émotions féminines, sont inscrites dans le corps en tant que mémorial corporel qui ouvre la voie à une autre forme d'interprétation de la détresse, de la souffrance, et de la maladie. En effet, les idées exposées dans cet article représentent un pont entre une interprétation de la maladie et de la souffrance en Italie du Sud via Gramsci et De Martino et un processus metaculturel qui montre les niveaux différentes du sens et de l'identité.
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11.
L'examen de l'holotype et du paratype du trématode digénien Transversohelmins borneoensis Fischthal & Kuntz, 1973 révèle un appareil copulateur du modèle èlasmocotyle, caractéristique de la famille des Microphallidae, tribu des Basantisiini. Le genre est redéfini et figuré il ne s'identifie à aucun des genres les plus apparentés du taxon (Microphalloides et Queenslandisia). Microphalloides ovariolobatus Ke, 1978 est proposé comme synonyme de l'espèce T. borneoensis.Examination of the holotype and sole paratype of the digenean Transversohelmins borneoensis Fischthal & Kuntz, 1973 revealed a copulatory apparatus of the elasmocotyle type that is characteristic of the family Microphallidae and tribe Basantisiini. The genus is described and figured as far as the specimens allow; it does not match any of the other genera of the tribe (Microphalloides and Queenslandisia). Microphalloides ovariolobatus Ke, 1978 is considered to be a synonym of the species T. borneoensis.  相似文献   

12.
Summary The cytological modifications of the epidermal cells secreting sternal and pleural cuticle of adultTenebrio are studied, specially during the formation and evolution of the outer and inner epicuticle.Both layers are secreted by condensation of diffuse material just above the epidermal microvilli. There is no peculiar phase without microvilli when inner epicuticle is formed.During the secretion of pre-ecdysial cuticle, the epidermal cell is characterized by an heterolytic process which is demonstrated by peroxidase injection into the ecdysial space: horseradish peroxidase is absorbed by large pinocytic coated vesicles which discharge their content into multivesicular bodies, after the loss of their coat. The intensity of pinocytosis is studied by vesicles counts at different stages of the pupal life. These counts show a pinocytic peak when the inner epicuticle is formed.When the epicuticular barrier is completely secreted, exogenous peroxidase is no more absorbed, but morphological study and counts show that pinocytosis still occurs.This demonstrates that epidermis cannot absorb macromolecules arising from the digested old cuticle since digestion occurs after the completion of adult epicuticle. Locke's hypothesis about the control of the extracellular subcuticular environment by pinocytosis is confirmed.The Golgi complexes are involved in lytic process with their small coated vesicles and in secretion of cuticular material with their large dense secretory vesicles, but according to vesicle counts, the secretory vesicles are not concerned in epicuticle formation since their apparition is posterior to the deposition of the inner epicuticle.Résumé Les modifications cytologiques des cellules épidermiques sécrétant la cuticule sternale et pleurale de l'adulte deT. molitor sont étudiées pendant la formation et l'évolution de l'épicuticule externe et interne.L'épicuticule externe et interne sont sécrétées de la même façon par condensation de matériel diffus au-dessus de l'apex des microvillosités.Un cycle hétérolytique est mis en évidence par l'emploi de peroxydase injectée dans l'espace exuvial: la peroxydase est captée par de grosses vésicules revêtues et incorporée dans des corps multivésiculaires apicaux. Par comptage des différentes populations de vésicules, des variations nettes dans l'intensité de la pinocytose sont mises en évidence. Ces variations semblent en rapport non pas avec la digestion de l'ancienne cuticule mais avec les différences de nature et de structure des composants cuticulaires. L'hypothèse du contrôle de la sécrétion épidermique par les phénomènes de pinocytose énoncée par Locke (1969) est confirmée.Des vésicules d'origine golgiennes sont secrétées surtout après la formation de l'épicuticule et ne sont donc pas à l'origine du matériel épicuticulaire, mais il est possible qu'elles jouent un rôle dans l'évolution ultérieure des structures épicuticulaires.
Nous tenons à remercier notre directeur de recherche, le Professeur Noirot pour ses encouragements et ses conseils et Madame Curie pour son aide technique efficace.  相似文献   

13.
Telenomus remus is an egg parasite of the noctuid Spodoptera littoralis. In the laboratory it is not able to find its hosts by smell, as tested in a Y-shaped olfactometer. The parasite female makes smearing movements with her ovipositor on the host, after having laid an egg, but she is unable to avoid superparasitism by external and internal examination of the host within the first hour after oviposition. Host eggs that are parasitized when they are 43 hr old or more are doomed, since they do not yield either parasites or host larvae. The parasite female is unable to discriminate between young and suitable hosts, and old unsuitable ones. This last characteristic is considered wasteful in time and progeny.
Résumé Telenomus remus est un parasite des oeufs de la Noctuelle Spodoptera littoralis. Au laboratoire il n'est pas capable de trouver son hôte par l'odeur, comme le révèle les tests dans un olfactomètre en Y. La femelle de Telenomus marque l'oeuf-hôte avec son ovipositeur après avoir pondu, mais elle est incapable dans l'heure qui suit la ponte, d'éviter le super-parasitisme par examen externe ou interne de l'oeuf hôte. Les oeufs parasités agés de 43 heures ou plus sont tués, car ils ne donnent ni parasites ni chenilles de l'hôte. La femelle de Telenomus est incapable de distinguer entre des oeufs jeunes et des oeufs âgés, les premiers seuls étant favorables à l'évolution du parasite. Cela entraîne pour le parasite une perte de temps et une réduction de sa progéniture.
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14.
Un olfactomètre a deux flux d'air parallèles comportant un fil en Y est décrit et utilisé pour édudier l'attraction des larves néonates et de 5ème stade de la teigne du poireau par la plante-hôte, les composés volatils soufrés qu'elle émet et quelques odeurs originaires d'autres végétaux. Le poreau, les disulfures, les thiosulfinates et les thiosulfonates sont attractifs. L'action des composés soufrés dépend de la concentration utilisée et du stade larvaire. Les résultats sont comparés à ceux obtenus antérieurement sur la phagostimulation larvaire et sur l'attraction des adultes.  相似文献   

15.
In June 1988, a 50-m-deep boring was made in the lacustrine infilling of the explosion crater of Ribains (Haute-Loire). On the basis of pollen analyses the following chronology is proposed for this sequence: 0–5.10 m, Holocene and Lateglacial (hiatus); 5.70–17.48 m, last pleniglacial; 17.48–27.70 m, early glacial; 27.70–31.55 m: last interglacial, referred to as the Ribains Interglacial; 31.55–53.50 m, penultimate glaciation. The zone between 32.0 and 22.5 m, corresponding to a thick diatomite layer, provided a detailed record of the last interglacial and the early glacial vegetation succession. This enabled precise correlations with the neighbouring site of Lac du Bouchet and other long European sequences, confirming the proposed chronology. In particular, the temperate phase correlated with the St-Germain I of Grande Pile is well characterized, as at Lac du Bouchet, by the presence of an abrupt cooling corresponding to the Montaigu Event. In contrast, the last pleniglacial deposits contain great amounts of reworked pollen from earlier temperate phases, this making a comparison with Lac du Bouchet impossible. The thick sequence representing the penultimate glaciation is also affected by sediment loss during coring. However, several cold episodes are recorded that are characterized either by a total absence of vegetation or by a treeless steppe vegetation or a Pinus woodland, like the successions observed in the last pleniglacial at Lac du Bouchet.
Résumé En juin 1988 un sondage de 50 m a été réalisé dans les dépôts lacustres qui comblent le cratère d'explosion de Ribains (Haute-Loire). Les analyses polliniques conduisent à proposer pour cette séquence la chronologie suivante: 0–5,10 m, Holocène et Tardiglaciaire (hiatus); 5,70–17,48 m, dernier Pleniglaciaire; 17,48–27,70 m, glaciaire précoce; 27,70–31,55 m, dernier Interglaciaire, nommé Interglaciaire de Ribains; 31,55–53,50 m, penultième glaciation. Entre 32,0 et 22,5 m, l'enregistrement des successions de végétation du dernier interglaciaire et du glaciaire précoce est excellent car cet intervalle correspond à un épais dépôt de diatomites. Ceci permet d'établir des corrélations précises avec le site voisin du Lac du Bouchet et avec d'autres longues séquences européennes, qui justifient la chronologie adoptée. En particulier, la phase tempérée corrélée avec St-Germain I de la Grande Pile est bien caractérisée, comme au Lac du Bouchet, par la présence d'un court refroidissement abrupt correspondant à l'événement de Montaigu. Au contraire, les dépôts du dernier pléniglaciaire contiennent des quantités importantes de pollen secondaire remanié à partir des phases tempérées antérieures, rendant impossible toute comparaison avec le Lac du Bouchet. De même la très épaisse séquence correspondant au pénultième glaciaire est perturbée par de nombreuses pertes au sondage. Cependant sont individualisés plusieurs épisodes froids sans végétation, à végétation steppique non arborée ou avec boisement en Pinus qui évoquent les successions observées dans le dernier pléniglaciaire au Lac du Bouchet.
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16.
Zusammenfassung Die ErdrackeUratelornis, einer der seltensten Vögel der Welt, bewohnt nur einen schmalen Streifen zwischen zwei Strömen von Südwest-Madagaskar, dem Mangoky und dem Fiherenana.In diesem Beitrag werden erstmals genaue Angaben über Lebensstätte, Lebensweise und Rufe gemacht. Auch werden zum ersten Mal genaue Beobachtungen über den Nestbau eines Vertreters der Familie Brachypteraciidae mitgeteilt.Die Brutröhre wird im Trockenwalde in sandigem, ganz leicht ansteigendem Boden gegraben, in Richtung des ansteigenden Terrains ganz leicht absteigend. und teilen sich in die Grabearbeit, die mit Schnabel und Füßen verrichtet wird. Maße einer fertigen Nestanlage: Röhre mit Mulde 120 cm lang, Durchmesser der Nestkammer 20 cm, Höhe 11 cm. Mulde leicht mit Nistmaterial (fertig?) ausgelegt. — Zerbrochene Eierschalen waren reinweiß, glänzend. Schon vor Legebeginn wurde das vom gefüttert.Uratelornis bewegt sich hauptsächlich auf dem Erdboden und fliegt wenig. Die Nahrung ist animalisch, besteht wohl vorwiegend aus Insekten und wird fast ausschließlich vom Boden aufgenommen. Diese Vogelart ist nicht nur am Tage, sondern auch in der Dämmerung und zumindest zeitweise in der Nacht aktiv.
Résumé Le rollier terrestre Uratelornis, un des oiseaux les plus rares du monde, n'habite qu'une mince bande de territoire située entre deux fleuves du sudouest de Madagascar, le Mangoky et le Fiherenana.Pour la première fois, des indications précises sur l'habitat, le mode de vie et les appels sont données dans cet exposé.La conduite servant à la couvaison est creusée en forêt sèche dans un sol sablonneux et en légère pente ascendante, en direction du terrain ascendant, cette conduite est légèrement inclinée vers le bas. et se partagent le travail de terrassement qui est entrepris avec le bec et les pattes.Mesures d'une telle construction servant de nid: conduite avec dépression: 120 cm de longueur diamètre de la chambre renfermant le nid: 20 cm 'hauteur de la chambre: 11 cmLa dépression est un peu matelassée avec du matériel végétal. Les coquilles d'oeufs brisées trouvées étaient brillantes et d'un blanc pur. La est nourrie par le déjà avant que la ponte ait commencée. Uratelornis se meut principalement sur le sol et vole peu. La nourriture, presque oxclusivement prise au sol, est d'origine animale et certainement composée pour l'essentiel par des insectes. Cette espèce avienne n'est pas seulement active durant le jour mais également au crépuscule et au moins partiellement durant la nuit.


Mit Unterstützung der Basler Stiftung für biologische Forschung.

Mit 6 Aufnahmen des Verfassers  相似文献   

17.
Résumé Sphaerophrya canelli n. sp. est un Tentaculifère ectoparasite exclusivement fixé sur les Ciliés Euplotes eurystomus et patella; en culture il n'a parasité aucune autre espèce de Ciliés Hypotriches, Hétérotriches ou Gymnostomes cyrtophores. Il ne présente pas de stade pédonculé ni de kyste. Il est sphérique, de 10 à 25 µ de diamètre; il se place de préférence dans le péristome des Euplotes, où il se divise par bourgeonnement externe en donnant un embryon nageur dont la ciliature est composée de 5 à 6 rangées qui font le tour du bourgeon d'un pôle à l'autre sans se rejoindre. Sa présence sur l'Euplotes provoque de profondes lésions dont la plus grave est une dégénérescence du no yau de l'hôte, phénomène de pycnose déjà dècrit par Canella (1957). Une révision des genres ecto-et endoparasites, et des espèces du genre Sphaerophrya, permet de dire que Sphaerophrya canelli n`a pas été décrite avant Canella.Centre de Recherches Hydrobiologiques  相似文献   

18.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

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After a chill (5°) period of >16 weeks, the mean post-chill time to initial hatch of eggs of the western corn rootworm, diabrotica virgifera, was 19 days; peak hatch occurred a mean of 5 days after the initiation of hatch, and hatch lasted a mean of 5 weeks. The postchill time to initial hatch was influenced negatively by chill periods lasting up to ca. 3 weeks; however, chilling for >3 weeks and <60 weeks did not significantly affect the time to initial hatch. The duration of hatch was not significantly altered by chill periods up to 4 weeks, however, no longer had an effect. The viability of rootworm eggs was not influenced by chill periods up to 12 weeks, but, as chill periods were extended beyond 16 weeks, the eggs slowly begin to lose viability; over a period of about a year, the viability had been reduced by 80%.
Résumé Après avoir été exposés, avant expérimentation, à un séjour de 2 semaines à une température de 20°–22°, des ufs de Diabrotica virgifera sont soumis à des périodes de refroidissement à 5°, variant de 1 à 60 semaines. La viabilité des ufs est appréciée après retour à une température d'incubation de 20°–22°, en analysant les variations qui affectent le délai d'apparition des premières et des dernières éclosions ainsi que le maximum journalier d'éclosions.Aprés un séjour à 5° d'une durée égale ou supérieure à 16 semaines les ufs de Diabrotica virgifera commencent à éclore en moyenne le 19ème jour suivant la fin du traitement; le maximum des éclosions intervient le 23ème jour (5 jours en moyenne après les premières éclosions), et celles-ci se prolongent pendant 5 semaines.Des périodes de refroidissement inférieures à 3 semaines réduisent le délai d'apparition des premières éclosions, mais ce délai n'est plus modifié de façon significative pour des périodes comprises entre 4 et 60 semaines.La durée pendant laquelle se prolongent les éclosions n'est pas altérée de façon significative par des traitements à 5° inférieurs à 4 semaines, mais celle-ci est nettement réduite aprés des traitements de 8 à 12 semaines. Cependant au-delà de 16 semaines, le refroidissement n'a plus d'effet.La viabilité des ufs de Diabrotica virgifera n'est pas modifiée par des traitements à 5° d'une durée inférieure à 12 semaines, mais celle-ci est affectée au-delà de 16 semaines et décroît régulièrement; le taux d'éclosion est réduit de 80% après un séjour à 5° de près d'un an.
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20.
Resume L'étude des transformations du mercure dans l'eau et les sédiments d'une rivière est entreprise selon un mode d'approche qui semble pouvoir être généralisé pour de nombreux problème d'écologie chimique.Il consiste en l'utilisation de deux paramètres physicochimiques pour caractériser le milieu du point de vue chimique (l'utilisation de diagramme Eh–pH permettant de prévoir le comportement chimique d'un élément dans le milieu étudié) et du point de vue biologique (le Eh et le pH permettant de caractériser de façon biologiquement significative les conditions dans lesquelles sont testées les capacités de transformation des communautés bactériennes).Il est montré que le comportement du mercure, après son accumulátion sous forme peu soluble dans les sédiments, dépend d'une balance entre la formation microbiologique de méthylmercure, beaucoup plus toxique que le mercure minéral, et la minéralisation de ce méthylmercure par action microbiologique ou par un processus chimique en présence de sulfure.Stagiaire de recherche au Fonds National Belge de la Recherche Scientifique.  相似文献   

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