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1.
When eggs of wheat bulb fly were added to young winter wheat plants in pots and kept at 5°, 8°, 10°, 12°, 15° and 20°, only 14%–44% of the eggs added produced larvae that succeeded in invading plants, but when newly hatched larvae were added directly 54%–92% were successful. At temperatures from 5° to 25°, the number of days required for larvae to complete their development in well-grown plants ranged from 11–14 days at 25° to 55–80 days at 5°. This corresponds to an accumulated temperature of approximately 286 day degrees C above the developmental threshold of 0.5°.The daily rate of development of larvae was marginally most rapid between 12° and 18°. When larvae were feeding in small, poorly growing plants, development was delayed and more shoots were needed before pupation than for healthy plants.The pupal stage which develops in the field from the end of April to June needs approximately 400 and 420 day degrees for completion in males and females (threshold 5°). Total day degrees required for the hatching of the egg to adult are about 700 (males) and 720 (females).Records of maximum and minimum temperatures from a meteorological screen 1 m above the ground can be used to calculate the number of day degrees accumulated from 1 May to 12 June, from which the dates of peak emergence of wheat bulb fly can be predicted. If 350 day degrees or more accumulate during this period, the peak emergence occurs near 20 June and with 200 or fewer day degrees it occurs near 11 July.The amount of damage to wheat by wheat bulb fly larvae in 1953, 1954, 1965 and 1966 depended largely on the number of eggs laid, the date of sowing, and also on the rate at which temperature accumulated in the autumn and winter; in all years, late sown crops would have had little opportunity to grow beyond the susceptible stage by the time they were attacked.
Résumé Quand des jeunes plants de blé d'hiver en pots sont contaminés avec des oeufs de Delia coarctata et maintenus à des températures respectives de 5°, 8°, 10°, 12°, 15° et 20° C, seulement 14% à 44% de ces oeufs donnent des larves qui parviennent á attaquer les plants, alors que si on utilise directement des larves nouveau-nées on obtient 54 à 92% d'attaques réussies. Aux températures de 5° à 25° le temps nécessaire aux larves pour achever leur développement dans les plants bien développés avant de gagner le sol pour la pupaison, est de 11 à 14 jours à 25° contre 55 à 80 jours à 5°.Une courbe de la vitesse de développement établie à partir de la durée du stade larvaire de l'éclosion à la pupaison aux differentes températures montre que le développement est le plus rapide entre 12° et 18° et que le zéro de développement est aux alentours de 0,5°. Le nombre de degrésjours accumulés par la larve de l'éclosion à la pupaison est d'environ 286. Quand les larves se nourrissent aux dépens de plants petits à croissance faible, leur développement est retardé et exige plus de temps et plus de plantes avant la pupaison que lorsqu'elles se nourrissent sur des plants vigoureux.Le stade pupal qui intervient dans la nature de fin avril à juin, nécessite approximativement 400 à 420 degrés-jours pour le développement du mâle et de la femelle au-dessus d'une supposée température de base de 5°. Le nombre total de degrés-jours de l'oeuf à l'adulte est respectivement de 686 et 706 pour le mâle et la femelle.Les enregistrements des températures maxima et minima dans un abri météorologique à 1 m audessus du sol peuvent être utilisés pour établir le nombre de degrés-jours accumulés du 1 er'mai au 12 juin; à partir de ces données les pics d'émergence de D. coarctata peuvent être prédits. Si 350 degrésjours ou plus sont accumulés durant cette période, le pic d'émergence apparaît vers le 20 juin, mais si 200 degres-jours au moins sont notés le pic sera proche du 11 juillet.L'importance des dégâts occasionnés au bleî d'hiver en Angleterre par les larves de D. coarctata en 1953, 1954, 1965 et 1966 dépend largement du nombre d'oeufs pondus, de la date du semis et de la température accumulée en automne et en hiver; au cours de chacune de ces années les cultures à semis tardif auraient eu peu de possibilité de dépasser le stade sensible avant le moment où elles ont été attaquées.
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2.
Larvae of the bean weevil C. maculatus feeding in a single bean apparently respond to vibrations from each other's chewing: one larva feeds normally, the other is inhibited. If the burrows of the larvae intersect, the inhibited larva dies. If the dominant larva pupates or dies without the burrows intersecting, the inhibited larvae then feeds and matures if enough food remains. Since females add second eggs to the largest beans after most beans carry a single egg, competition is most common in the largest available beans, precisely where inhibited larvae can benefit from avoiding a contest.
Résumé Lors de la compétition, les larves réagissent l'une par rapport à l'autre, même lorsque leurs galeries sont séparées. L'une est inhibée, tandis que l'autre se comporte comme si elle était seule. Le signal provoquant ces réactions, qui peut traverser du papier métallique, est dû vraisemblablement aux vibrations de mastication des larves; ces dernières perçoivent ces signaux tout au long de leur vie active. La larve la plus âgée ne l'emporte pas obligatoirement, ce qui signifie que le signal indique plus que l'âge.Les conditions expérimentales peuvent inverser les réponses des unes et des autres, bien que la larve la plus âgée puisse souvent mourir de ces conditions anormales de compétition. L'avantage potentiel associé à l'inhibition du futur perdant est mis en évidence en collant ensemble des graines. Quand la larve dominante se nymphose, la larve inhibée recommence à s'alimenter et achève son développement. En ayant eu son alimentation interrompue et en restant dans une galerie superficielle, la larve inhibée évite les affrontements et peut se développer lorsque la larve dominante meurt ou se nymphose, puisque la galerie de la larve inhibée n'avait pas été sectionnée.La stratégie de ponte réduit la fréquence de la compétition en uniformisant la distribution des oeufs; elle augmente les chances de survie des larves vaincues avec l'addition des oeufs sur les graines les plus grosses quand les disponibilités sont limitées. L'étude de l'évolution de ces adaptations a été possible puisque, comme on le sait, C. maculatus est génétiquement polymorphe pour les caractères déterminant le comportement de ponte des femelles et la compétition larvaire.
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3.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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4.
Field experiments investigated the resistance of some carrot cultivars to Psila rosae. In addition, headspace vapour and steam distillate from the roots of resistant and susceptible varieties were compared by gas-liquid chromatography. The field data confirmed that resistance may operate by decreasing the numbers of eggs laid indicating a nonpreference by the female Psila. Root resistance to the larva was also confirmed but the mechanism was unclear. A new finding was that root resistance is independent of the effect of egg laying, some cultivars evincing one or the other effect and some such as Regulus Imperial displaying both. It was clear that root resistance to the larva is the crucial prerequisite in breeding resistant varieties.One consistent difference was detected by the chemical comparisons: intact roots of resistant varieties released substantially less volatiles. Specifically, Regulus released almost five times less of the volatiles already shown to positively influence host-finding behaviour by the larva.
Résumé La résistance à P. rosae de quelques cultivars de carotte a été étudiée en plein champ. Parallèlement, les substances volatiles diffusées et celles extraites par la vapeur des racines de variétés résistantes et sensibles, ont été comparées en chromatographie gaz-liquide (GLC). Les résultats en champ ont confirmé que la résistance peut être due à une diminution du nombre d'oeufs pondus, révélant une absence d'attractivité pour les femelles de P. rosae. La résistance des racines aux larves a été aussi confirmée, mais les raisons n'en étaient pas claires. Un aspect nouveau est que la résistance des racines est indépendante de l'effet de la ponte, quelques cultivars présentant l'un ou l'autreeffet et certains, comme Regulus Imperial, manifestant les deux. Il est net que la résistance racinaire aux larves est la condition essentielle pour la sélection de variétés résistantes. Une différence importante a été mise en évidence par les comparaisons chimiques: les racines intactes de variétés résistantes libèrent nettement moins de substances volatiles. Précisément, Regulus a libéré 5 fois moins de substances volatiles déjà connues comme influençant positivement le comportement de découverte de l'hôte par la larve.
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5.
A fly parasite,Lixophaga diatraeae (Townshend), of the sugarcane borer,Diatraea saccharalis (F.), is currently being produced at our laboratory to determine if it can be released periodically in sugarcane fields and control sugarcane borers. This parasite is reared on sugarcane borers in the laboratory. Frequently more than one parasite develops on a single host insect and host insects vary in size.When several parasites entered the same host some did not develop because of competition between them. This problem was more acute in young host sugarcane borers than in older sugarcane borers. The early 5th stage sugarcane borer larva was the most suitable stage for parasite development.
Résumé Quand des larves deDiatraea saccharalis (Borer de la canne à sucre) sont parasitées par la TachinaireLixophaga diatraeae, la mortalité s'accroît avec l'augmentation du nombre de parasites hébergés par les larves-hôtes et cela, du début du 1er stade jusqu'au 4ème stade larvaire; cependant la mortalité est plus faible chez les larves les plus âgées au moment de l'attaque du parasite. La durée du développement larvaire des asticots de la Tachinaire est plus courte chez les larves hôtes les plus âgées et diminue également en fonction du nombre de parasites par hôte; toutefois la durée du développement nymphal n'est pas affectée par le superparasitisme. Par contre le poids des pupes du parasite décroît avec la densité du parasitisme.La taille des Tachinaires n'influence pas le choix des partenaires lors de l'accouplement, mais le nombre d'ufs pondus s'accroît avec le poids des femelles. Le superparasitisme n'affecte pas la longévité du diptère parasite, mais les femelles vivent plus longtemps que les mâles, qu'elles soient issues d'un hôte faiblement ou fortement parasité.Les asticots deLixophaga muent deux fois à l'intérieur de l'hôte; elles émergent au cours du 3ème stade larvaire pour la pupaison. Une compétition se manifeste entre les asticots, le taux de survie dépendant du nombre de parasites par larve-hôte, de la localisation des asticots sur le tronc trachéen longitudinal de l'hôte, et de la promiscuité entre ces larves endoparasites.
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6.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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7.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

8.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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9.
Résumé 58 échantillons de sol sont collectés dans des parcelles cultivées en blé du Centre et de l'Ouest de la France. Ces sols sont répartis en pots, infestés ou non par une souche agressive ou hypoagressive deGaeumannomyces graminis var.tritici et cultivés en blé pendant 3 mois. Les plantes sont alors arrachées pour appréciation du niveau de maladie et mesure du volume de racines développées dans chaque sol. L'analyse en composantes principales réalisée sur ces variables biologiques et les caractéristiques physicochimiques des sols montre que le niveau de la maladie observé est corrélée négativement avec le niveau potassique et la teneur en sable, corrélé positivement avec la teneur en limon. Dans certains sols il a pu être constaté un développement plus important du système racinaire à la suite de l'infestation par l'un ou l'autre des champignons et l'analyse révèle que ce phénomène est en étroite relation avec la teneur en manganèse échangeable.  相似文献   

10.
Fifth-stadium nymphs of the potato leafhopper, Empoasca fabae (Harris), were offered several concentrations of a number of carbohydrates contained in an agar-based medium. Imbibition (gustatory) response was based on how rapidly the nymphs became red from the rhodamine B dye incorporated into the media. Survival was expressed as the cumulative hours that nymphs remained alive on the sugar-containing media.Sucrose elicited a phagostimulatory response over the range of 0.0075 to 0.4 M. Glucose was phagostimulatory at 0.12 M, and lactose at 0.2 M. Concentrations of fructose, trehalose and raffinose equal to or greater than 0.4 M were phago-inhibitory while sucrose was inhibitory at 1 M.Raffinose, trehalose, maltose, sucrose, glucose, fructose and galactose all enhanced leafhopper survival, whereas lactose, rhamnose, and xylose were deleterious at concentrations of 0.12 M or greater. Four basic types of survival response are described.
Résumé Diverses concentrations de plusieurs hydrates de carbone contenus dans un substrat alimentaire à 2% d'agar, tamponné avec O, IM d'histidine (pH 6.1) ont été offertes à des larves au 5ème stade d'Empoasca fabae. La rapidité de la réaction d'absorption (gustative) est mesurée d'après la vitesse avec laquelle les larves sont colorées en rouge par la rhodamine B à 0,005% incorporée dans l'aliment. La survie est exprimée par le nombre d'heures pendant lequel les larves restent vivantes sur le substrat alimentaire contenant le sucre.Entre 0,0075 et 0,4 M, le sucrose provoque une phagostimulation; le glucose est phagostimulant à 0,12 M, et le lactose à 0,2 M. Les concentrations de fructose, de tréhalose, et de raffinose, égales ou supérieures à 0,4 M, sont phagoinhibitrices, tandis que le sucrose est inhibiteur à 1M.Le raffinose, le tréhalose, le maltose, le sucrose, le glucose, le fructose et le galactose prolongent tous la survie, tandis que le lactose, le rhamnose et le xylose sont nuisibles à partir de 0,12 M.Quatre types fondamentaux de survie ont été observés.Type I: La survie augmente rapidement avec la concentration en sucre, atteignant un maximum ou devenant proche du maximum à 0,03 M et restant élevée aux concentrations supérieures jusqu'à 0,2 M. Le glucose, le fructose, le sucrose et le maltose provoquent une réponse de ce type.Type II: La survie augmente rapidement jusqu'à 0,03 M, et diminue ensuite rapidement. Les réponses au tréhalose et au raffinose sont de ce type.Type III: La survie augmente graduellement et reste élevée aux hautes concentrations. Le galactose produit une réponse de ce type.Type IV: La survie est inférieure ou égale à celle du témoin avec agar à toutes les concentrations examinées. Le rhamnose, le xylose et le lactose produisent ce type de réponse.
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11.
A series of experiments were undertaken to determine the factors responsible for the maximum number of hosts attacked by the parasitoid Venturia canescens (Gravenhorst) (Hymenoptera:Ichneumonidae) in the course of functional response experiments. Egg limitation is not a constraint on the maximum number of parasitoid progeny produced per day. Rather, the constraints arise from the requirement that eggs must be moved from the ovarioles to the oviducts and the rate at which this occurs, together with the existence of a positive relationship between the rate of parasitoid searching behaviour and the number of eggs in the oviducts.
Résumé Le parasitoïde V. canescens produit 251±45 descendants au cours de sa vie. Les adultes ont à l'émergence 23,7±1,1 oeufs dans leurs oviductes ou descendant des ovarioles vers les oviductes à la vitesse de 1,78±0,06 oeuf/heure. II y avait une corrélation linéaire positive entre le temps dépensé par l'ichneumonide à sonder le substrat pour découvrir la larve d'un hôte et le nombre d'oeufs présents dans les oviductes. L'effectif d'oeufs pondus était proportionnel au temps passé à sonder. Le temps nécessaire à la maturation des oeufs et la relation entre le comportement de prospection et le nombre d'oeufs disponibles contribuent à limiter la vitesse de production de descendants au cours des expériences de réactions fonctionnelles. Ces facteurs ne limitent vraisemblablement pas le succès de la reproduction dans les conditions naturelles, à moins que le taux de rencontre des hôtes ne dépasse la vitesse de maturation des oeufs.
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12.
If larvae start to feed on dry or germinating wheat, they take as much food, and a similar proportion of embryo and endosperm, at each feeding. However, they feed twice as frequently on germinating wheat than on dry wheat, and therefore consume twice as much of the former than of the latter. It is suggested that an olfactory attractant may diffuse out from germinating wheat. The larvae gained as much weight on embryo or endosperm as on whole kernels of germinating wheat. The gain in weight on each of these foods was significantly greater than on hard seeds. Forty-four percent of those provided with whole dry seeds, 22 percent with whole germinating seeds, 26 percent with endosperm and 18 percent with embryo of germinating wheat moulted during the 28-day period. No diapause occurred in larvae fed only on endosperm of germinating wheat for 80 days.
Sommaire Les larves du taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), furent élevées individuellement pendant 28 jours dans des éprouvettes pourvues de ouate humide, d'une graine sèche de blé, ou d'un embryon, d'une graine entière de blé germé, et bouchées d'un tampon d'ouate non-absorbante. Les larves mangèrent pendant deux fois plus de jours les graines germées que les graines sèches. Cependant, la consommation journalière et le rapport d'embryon à l'endosperme furent semblables avec les deux graines. Les larves entrèrent presque toujours dans les graines par l'embryon, probablement à cause d'un péricarpe plus mince dans cette région.Le comportement général des larves suggère qu'un facteur olfactif attrayant soit diffusé pendant la germination et que ce facteur soit du premier rang comme déterminant d'attaque par le taupin. Ni la teneur en eau de la graine, ni la dureté de l'épisperme parut être important à cet égard.Le poids des larves augmenta également avec l'embryon, l'endosperme, et la graine entière de blé germé et significativement plus qu'avec la graine entière de blé sec. Aucune evidence d'une diapause ne fut observée quand les larves ne mangèrent que de l'endosperme du blé germé pendant 80 jours.


Contribution No. 18, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Sask.  相似文献   

13.
Changes in the respiratory rates of standard, overcrowded, and starved fourth-instar Aedes aegypti are compared. The respiratory effects of varying larval densities during and prior to measurement are investigated. In addition, the results of exposure of standard and over-crowded larvae to growth-retarding factors (GRF) at various concentrations are also evaluated.
Résumé Le but de cette étude est d'étudier les modifications de l'activité respiratoire chez des larves du 4ème stade mises respectivement en condition d'élevage standard, en condition de surpeuplement, et en condition de restriction alimentaire.Les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire entrainent un abaissement significatif du niveau du métabolisme respiratoire. L'activité respiratoire des larves élevées en condition standard, prend des valeurs plus élevées quand la mesure est faite sur un plus grand nombre de larves rassemblées dans le tube-test; par contre les conditions de mesure (15, 25 ou 35 larves dans le tube-test) ne modifient pas la valeur de l'activité respiratoire des larves élevées en condition de surpeuplement. Quand des larves élevées en milieu surpeuplé et en milieu standard sont soumises à de fortes concentrations des facteurs retardant la croissance (Growth-retardant factors; GRF de Moore & Fisher 1969) l'activité respiratoire est stimulée. Dans les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire, deux types facteurs pourraient agir sur le métabolisme respiratoire, des facteurs chimiques et des facteurs mécaniques tels que l'agitation des individus dans un espace étroit (par exemple le tube-test).
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14.
Competition between the solitary endoparasitoids Trieces tricarinatus (Gravenhorst) and Triclistus yponomeutae Aeschlimann (Hymenoptera: Ichneumonidae) results in the survival of one or the other of them. Once the host, Yponomeuta vigintipunctatus (Retzius) (Lepidoptera: Yponomeutidae) has pupated and both parasitoids have completed their development to first instar larvae, one of the parasitoid larvae kills the other.Which of the parasitoids survives depends on the number of days between parasitization and pupation. As a result of their type of development, this period determines the extent of development of the parasitoids at the moment of actual competition. Apparently, T. tricarinatus survives only if pupation of the host occurs before egg hatching of T. yponomeutae.
Résumé La compétition entre les deux ichneumonides endoparasitoïdes solitaires Trieces tricarinatus Grav. et Triclistus yponomeutae Aeschl. a été examinée en élevant et disséquant des Yponomeuta vigintipunctatus Retz. attaqués le même jour par les deux parasitoïdes. Les résultats des dissections des hôtes multiattaqués ont été comparés à ceux des hôtes attaqués par un seul parasite, pour séparer la mortalité ou l'absence de parasitoïde provoquées par la compétition à celles dues à d'autres facteurs.On a constaté qu'un seul parasite était capable d'achever son développement. Dès que l'hôte était nymphosé et que les deux parasitoïdes étaient au premier stade larvaire, une des larves tuait sa compétitrice. Pour une fraction importante des larves éliminées, il a été possible de montrer qu'elles avaient été tuées par une aggression physique, pour les autres ce mode d'élimination était vraisemblable.L'espèce de parasitoïde qui survit dépend du nombre de jours entre la ponte des ichneumonides et la nymphose de l'hôte. Ce délai détermine le degré de développment des parasitoïdes et le moment réel de la compétition. Probablement, T. tricarinatus est le seul à survivre lorsque la nymphose de l'hôte a lieu avant l'éclosion des oeufs de T. yponomeutae.
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15.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

16.
Summary With two combs and one or a small number of workers it was found that the comb itself without brood was less attractive than a comb with cocoon caps or larvae, but single workers were equally attracted to combs with a large or small number of larvae, or queen or non-queen larvae. A worker walked at random when off a comb and tended, when on a comb, to stay with the first group of larvae that it found.Observations in the field showed that adults formed a group at night at the bottom of the nest.Records from six observation nests of whole or almost whole colonies have been collected over a period of three years. In all cases a dominant comb, which carried a larger percentage of the workers than any other comb and usually the queen if present, was soon established. The dominant comb always contained brood, was nearest or one of the combs nearest the entrance, received most foragers, and workers grouped on it more frequently than other combs.The grouping behaviour of workers on a comb can be related to background temperature and caused comb temperature to increase to 29° C–32.5° C.The worker attention a larva received increased as the number of workers on its comb increased.Reasons for and the consequences of grouping behaviour, the appearance of a dominant comb and the position of the latter in the nest, are discussed.
Résumé Au cas où il y a deux rayons et soit un seul, soit un petit nombre d'ouvrières, on constate que le rayon sans couvain attire moins les ouvrières que celui operculé (cocons ou larves). Pour ce qui est d'un petit nombre ou d'un grand nombre de larves, ou encore des larves de reines ou de non-reines, l'attraction est égale pour chaque ouvrière. L'ouvrière ne se trouvant pas sur le rayon se déplace au hasard. De plus, quand elle est sur un rayon elle a tendance à rester avec le premier groupe de larves qu'elle trouve.L'examen des observations effectuées sur le terrain montre que les adultes se groupent la nuit, au fond du nid.Six nids, contenant des colonies entières ou presque entières, ont fait l'objet de plusieurs observations pendant une période de trois ans. Durant la même période, les résultats ont été enregistrés. Dans tous les cas, un rayon dominant s'est établi dans un bref délai. Ce rayon avait un plus grand pourcentage d'ouvrières que tout autre, et comportait généralement la reine. Le rayon dominant contenait toujours du couvain; il se trouvait le plus près de l'entrée du nid (ou bien était parmi les plus près); il recevait le plus grand nombre de butineuses, et des ouvrières s'y groupaient plus fréquemment que sur d'autres rayons.Il est possible d'établir un rapport entre le comportement des ouvrières lorsqu'elles se groupent sur un rayon, et la température ambiante. En effet, ce comportement a entrainé une hausse allant jusqu'à 29° C–32,5° C sur le rayon.L'attention que prêtait une ouvrière à la larve augmentait à mesure que le nombre d'ouvrières sur son rayon augmentait.On traite dans cet article du comportement observé lors d'un groupement, les raisons et les conséquences; ainsi que de l'apparition d'un, rayon dominant et de la position de celui-ci dans le nid.
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17.
The deposition of eggs by this strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) departs from randomness in three ways; eggs are uniformly dispersed, oviposition rates drop when beans begin to carry 2 or more eggs, and there are sharp host preferences. Using random egg placement for the unspecialized condition, these traits are evaluated for their effect on a female's contributions of offspring to the next generation (R0, the net reproductive rate). The major increases in R0 result from females dispersing eggs so uniformly that larval competition is either reduced or eliminated. Females reduce their oviposition rate when the larva from an egg added to a bean is almost certain to die in competitive encounters. Host preferences and larval survival in a host are positively associated with the abundance of the host in South India. The three oviposition traits act together to give and R0 that is 25–50% than that of eggs placed at random. These traits are known to be variable and heritable, hence, the conditions necessary for natural selection are statisfied.
Résumé Le taux partiel de reproduction nette (R inf0 sup* ) dépend de l'espèce de la plante sur laquelle les ufs sont pondus et du nombre de larves entrant dans la graine. La survie larvaire est réduite par 1/(le nombre de larves par graine) parce qu'une seule larve se développe dans une graine. La fécondité n'est pas modifiée par la compétition subie par les larves, la mortalité larvaire a l'effet le plus important sur R inf0 sup* . Les femelles éliminent ou réduisent la compétition larvaire en dispersant leurs ufs uniformément et font si peu d'erreurs avec une hyperdispersion que l'évolution d'un comportement plus précis n'accroîtrait R inf0 sup* que de 4% au maximum. Des femelles retournant à une distribution des ufs au hasard provoqueraient une réduction de R inf0 sup* de 25% au moins.Les légumineuses généralement cultivées dans l'Inde du Sud sont des hôtes acceptables quand elles sont présentées seules. Le choix des femelles entre 2 hôtes élève R inf0 sup* de 30% ou plus par rapport à une distribution au hasard. Les préférences les plus nettes concernent des combinaisons présentant la plus grande différence de R inf0 sup* . Les femelles qui hyperdispersent leurs ufs, choisissent leurs hôtes et évitent les pertes par compétition en empêchant que les ufs ne donnent plus de descendants que ne le ferait une ponte au hasard.Les particularités de la ponte sont variables et héritables. Les lignées se sélectionnent bien, en fonction de la dispersion de leurs ufs sur les graines, de la discrimination des plantes hôtes, et de la modulation de leur taux de ponte. La sélection naturelle maintient ces particularités du comportement d'une façon sédentaire.
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18.
Green olives of two different varieties were picked on various dates in August and September from a grove in N. Greece. After a cold storage, they were dipped into, 0, 0.1, 1, and 5% solutions of streptomycin sulphate in tap water plus a spreader-wetter. Oviposition by females of Dacus oleae (Gmelin) preceded or followed the treatment. The percentage of fruit in which larvae could not reach full size within 2 weeks at 25°C was used as a measure of the inhibition of development.Inhibition of larval growth occurred at the 1 and 5% concentrations, and varied with the time between treatment and oviposition. It was low 2 days before oviposition, increased to c. 50% a day or a few hours before, reached a maximum of c. 80% a few hours or a day after, returned to c. 50% 2 days after, and dropped to practically zero 3, 4 and 6 days after oviposition.The results of artificial transfer of eggs and larvae from treated to untreated fruit and vice versa, indicate that streptomycin did not exert its inhibitory effect via the fruit juice ingested by the larva. One possibility would be by contact with the egg and perhaps also the neonate larva at hatching.
Résumé Des olives vertes, de deux variétés différentes, ont été ramassées en août et septembre 1971 dans une olivette de la Grèce du Nord, puis mises au frigidaire jusqu'au jour de chaque expérience.Le traitement consistait en une immersion instantanée des fruits dans des solutions aqueuses de sulfate de streptomycine auxquelles était ajoutée une substance mouillante-dispersante.L'oviposition a eu lieu soit le même jour, soit quelques jours avant ou après le traitement à la streptomycine. L'influence du traitement sur le développement larvaire est exprimé par le pourcentage des olives dans lesquelles les larves n'ont pas pu achever leur développement larvaire dans un délai de deux semaines à environ 25°.Les concentrations à 1 et 5% se sont révélées inhibitrices du développement larvaire, et le degré d'inhibition varie selon le temps écoulé entre le traitement et l'oviposition. L'inhibition est faible lorsque le traitement est appliqué 2 jours avant l'oviposition; elle augmente ensuite pour atteindre environ 50% quand il intervient un jour ou quelques heures avant la ponte. L'inhibition maximum, environ 80%, se produit quand le traitement se place quelques heures ou un jour après la ponte; elle s'abaisse pour devenir presque nulle quand il est retardé 3, 4, et 6 jours après l'oviposition.Des ufs et des larves ont été extraits des olives non traitées et introduits artificiellement dans des olives traitées et vice versa. Le pourcentage des individus qui ont achevé leur développement larvaire indique que la streptomycine n'exerce pas son effet inhibiteur par l'intermédiaire du jus d'olive ingéré par la larve. Une possibilité serait qu'elle agisse par contact avec l'uf et peut-être aussi avec la larve nouveau-née au moment de son éclosion.
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19.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

20.
Résumé Les larves de la mouche du céleri peuvent quitter leur galerie d'origine et en creuser une nouvelle dans le parenchyme d'une autre foliole. Ces changements se produisent lorsque la quantité de nourriture est insuffisante pour assurer le développement complet ou lorsque l'état physiologique de la feuille est mauvais.Des changements peuvent être induits expérimentalement en transférant les larves d'une foliole sur une autre, ou en augmentant la pression de la compétition intraspécifique; dans ce dernier cas le comportement d'alimentation peut être changé, les larves pouvant se nourrir aux dépens des pétioles.Les changements de galerie sont plus nombreux et la mortalité larvaire plus faible lorsque le déficit de saturation en eau du milieu ambiant est faible. Lorsque l'humidité relative est basse (HR=50–60%) la mortalíté larvaire est importante à l'intérieur des galeries d'origine et le nombre de changements est par conséquent limité.
Summary The mining larvae of the celery fly, Philophylla heraclei, normally achieve their full development in a single mine inside a celery leaflet. If the amount of food is not sufficient, or in the case of a bad physiological condition of the leaflet (desiccation, celery leafspot, etc...), the larvae can leave their original mine and move to another leaflet to bore another mine.Such migrations can be induced experimentally by removing the larvae from their mine and placing them on another leaflet or leafstalk. They can also be induced by creating acute competition for food on celery plants offering a limited number of small leaves. In this case, larvae are frequently observed feeding on the tissues of the petiole of leaflets or the leafstalk, which behaviour is not observed in nature.There are few cases of migrations and larval mortality inside the leaf tissue is high (85%) when the humidity of the chamber is far removed from saturation (RH=50–60%). When humidity is near saturation (RH=95%), there are many cases of larval migration; about 50% of the larvae then reach the pupal stage, most of the larval mortality being due to the lack of utilisable vegetable tissue.In nature, this possibility of migration in a humid atmosphere enables the larvae of P. heraclei to resist competition and to escape leaf-spot which causes a rapid decrease in the amount of healthy utilisable tissue.
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