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1.
Resumé Les auteurs ont réussi à isoler du sol roumain deux souches deMicrosporon cookeiAjello 1959, dont l'une a été trouvée dans une forêt de sapins près d'une station alpine et l'autre dans un jardin public de Bucarest. Les inoculations expérimentales n'ont pas réussi. Les propriétés immuno-biologiques des 2 couches se sont montrées semblables à celles de tous les dermatophytes communs. Plus précisément, la valeur thérapeutique et diagnostique de la trichophytine préparée à partir de leurs cultures n'a été guère inférieure à celle de la trichophytine standard.
Summary The authors were able to isolate from Rumanian soils two strains ofMicrosporon cookei, viz. one from a fir forest in the mountains and the other from a public garden in Bucharest. The cultures of these isolates yielded a trichophytin, the antigenic properties of which were those of the standard trichophytin, proved by cutaneous reactions and therapeutical value.
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2.
Résumé Les auteurs ont étudié comparativement des souches de Brettanomyces isolées de vins de diverses origines et dans diverses circonstances. En plus des tests habituels de classification, portant surtout sur les caractères morphologiques et sur la fermentation et l'assimilation des différents sucres, il a été procédé notamment aux mesures des intensités respiratoire et fermentatives, à l'établissement des bilans analytiques des produits secondaires formés, à l'étude des besoins en facteurs de croissance.Ces Brettanomyces provenant de vins appartiennent à deux espèces nouvelles, différentes des espèces isolées de la bière. Les auteurs proposent de les nommer Brettanomyces vini et Brettanomyces schanderlii.  相似文献   

3.
The size of cottonwood (Populus deltoides L. Bartr.) leaf discs used in insect feeding preference trials with the chrysomelid beetle, Plagiodera versicoloraLaich., was shown to affect behavior, and the outcome of the feeding trial. It is suggested that disc size has an effect because it alters the ratio of chemical signals from the cut leaf edge to those of the intact leaf center. The implications of this finding to the design of bioassays; to previously noted differences in feeding behavior for insects on discs versus leaves; and to the study of feeding preference and induction of plant defense are discussed.
Résumé Plagiodera versicolora Laich (Coléo., Chrysomelidae) a préféré significativement consommer les grandes rondelles (diamètre 17 mm) de Populus deltoides préalablement exposées à l'ozone ambiant, aux témoins exposés à de l'air filtré sur charbon de bois. Cependant, quand le diamètre a été réduit à 10 mm, les insectes n'ont plus préféré les feuilles soumises à l'ozone. Les préférences alimentaires de cet insecte consommant le centre des feuilles ont probablement changé parceque les signaux chimiques de la coupure ont surpassé ou masqué ceux des petits disques. Ainsi, le rapport périmètre sur surface du disque est un critère important de la procédure expérimentale. L'influence de la taille du disque dépend vraisemblablement du fait que l'insecte consomme le centre ou la pourtour de la feuille, de la taille de l'insecte et du type d'expérience. Nous en avons déduit que l'effet de la taille du disque est fréquent particulièrement chez les insectes consommant le centre des feuilles.Les modificatons du choix des insectes lorsque les plantes avaient été présentées sous forme de rondelles au lieu de feuilles ou plantes entières, peuvent être expliqués aussi par le changement des signaux provoqué par le découpage des rondelles, plutôt que par l'induction de modifications chimiques dues à la cueillette, comme cela a été précédemment indiqué par différents auteurs. Par ailleurs, dans les conditions naturelles, des changements dans les signaux chimiques des feuilles dus à une consommation antérieure par des insectes, peuvent être aussi importants dans le comportement alimentaire des insectes que n'importe quel changement chimique induit dans les feuilles par les dégâts.
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4.
The effects of some chemical substances on feeding response were studied in the larvae of Pieris brassicae L. Some synergistic effects between feeding stimulants were found. The larvae appeared to be highly sensitive to deterrents. In the medial sensillum styloconicum of the maxillae a chemoreceptor is present which is stimulated by a wide range of specific feeding inhibitors among which many belong to the alkaloids. Some physiological properties of the deterrent sensitive receptor are given and its significance in food selection behaviour is discussed.
Résumé Les effets de quelques substances chimiques sur la prise de nourriture ont été étudiés chez la chenille de Pieris brassicae. Des effets synergiques se manifestent entre certains acides aminés ou certaines vitamines et le saccharose, lorsque ces produits sont à des concentrations appropriées. Par ailleurs les chenilles se montrent très sensibles à la présence de substances inhibant la prise de nourriture. Un neurone chimiorécepteur appartenant au sensillum styloconicum médian des maxilles se révèle sensible à une grande variété de ces substances inhibitrices, dont la plupart appartiennent aux alcaloides stéroides. Ce récepteur est sensible aux composés voisins de l'ecdysone présents dans certaines plantes, et son rôle physiologique est discuté, en rapport avec le comportement alimentaire et le choix de la nourriture.
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5.
The feeding behaviour of Nilaparvata lugens (Stal.) was electronically monitored on three rice varieties showing different levels of resistance in the Philippines, over an 8 h period, using a DC amplifier and a video-assisted observation method to simultaneously record honeydew production.Six electrical penetration graph (EPG) patterns are described by their frequency and amplitude characteristics. Patterns 4 and 5 were associated with the production of two different types of honeydew; basic honeydew containing amino acids was produced during Pattern 4 and acidic honeydew with no amino acids was produced during Pattern 5. These patterns are thought to indicate phloem and xylem ingestion by N. lugens respectively.Insects produced shorter periods of Pattern 4 on moderately resistant IR46 and resistant IR62 rice varieties than on susceptible IR22, although the time taken to produce the first period of Pattern 4 from the start of EPG recording did not differ between varieties. This suggests that N. lugens has the ability to initiate phloem ingestion on all three varieties, but that resistance mechanisms in IR46 and IR62 prevent sustained phloem ingestion, at least within the first 8 h of contact.
Résumé Le comportement alimentaire de N. lugens Stahl a été enregistré életroniquement pendant 8 heures aux Philippines sur 3 variétés de riz présentant différents degrés de résistance, en utilisant un amplificateur DC associé à un système vidéo pour enregistrer simultanément la production de miellat.Six types d'enregistrements de pénétration (EPG) sont décrits avec leurs caractéristiques de fréquence et d'amplitude. Les types 4 et 5 sont associés à la production de 2 types différents de miellat; le miellat de base contenant des acides aminés est produit pendant le type 4, et le miellat acide sans acides aminés est produit pendant le type 5. On considére que ces types indiquent respectivement l'ingestion de phloème et xylème par N. lugens.Les périodes de type 4 ont été plus courtes sur les variétés modérément résistante IR46 et résistante IR62 que sur la variété sensible IR22, bien que le temps passé à produire la première période de type 4 depuis le début des enregistrements des EPG ne diffère pas suivant les variétés. Ceci laisse penser que N. lugens a la possibilité de commencer la consommation de phloème sur les trois variétés, mais que les mécanismes de résistance chez IR46 et IR62 empêchent une ingestion soutenue de phloème, au moins pendant les 8 premières heures de contact.
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6.
Fragments of the Orgueil meteorite were macerated in mineral acids (HNO3-HF-HNO3) to dissolve the mineral matrix and separate the acid-resistant organic residues; a routine procedure in the extraction of pollen and spores from terrestrial sediments. Numerous spherical hollow objects were found, optically resembling the brown amorphous residual organic matrix of the meteorite. Their morphology, size-distribution, and chemical composition, revealed by electron microprobe with reference to carbon and phosphorus, are described, and evaluated in connection with criteria of biogenicity. The intrinsic criteria are satisfactorily met, but the extrinsic requirement of a sedimentary environment is not met. A review of the literature concerning the meteoritic environment suggests an explanation of these spheres based on the environment of their formation. It is proposed that they are organic coatings on olivine microchondrules, magnetite and glass globules, the mineral component of which has been dissolved by the acid maceration. They could have initially resulted from the polymerization of dispersed small organic molecules condensing on the surface of the microchrondrules. The latter were injected from a volcanic nuée ardente into the dispersed cold primordial cosmic dust of hydrated silicates and organic molecules, around the meteorite parent-body. This presumably occurred before the cosmic dust accreted as the carbonaceous chondritic outer layer of the parent-body. Upsurging reducing hot gases from the nuée ardente would polymerize part of the dispersed organic matter as the insoluble brown amorphous matrix, possibly the sticking agent when the cosmic dust accreted. The spiraled form of several of the organic structures described here are suggestive of atmospheric heat microturbulences. Organic membranes and comet-form tails of spherical coatings suggest polymerization in the wake of injected microchondrules. These diverse organic structures would result in our view from the abiogenic thermal organization of organic matter in an extraterrestrial gas-solid system.
Résumé Plusieurs fragments de la météorite d'Orgueil ont été macérés dans des acides minéraux (HNO3, HF, HNO3), afin de dissoudre la fraction minérale et isoler la fraction résiduelle résistant aux acides. C'est là un procédé utilisé couramment en palynologie pour extraire les grains de pollen et les spores des sédiments terrestres.De nombreux objets microscopiques, sphériques et creux, ont été mis en évidence. Ils sont optiquement similaires au résidu organique brun, amorphe, dans lequel ils sont enrobés. Leur morphologie, leur répartition en fonction de leur taille, et leur composition chimique élémentaire, analysée par la microsonde électronique, qui révèle la présence de carbone et de phosphore, sont décrites, puis évaluées en fonction des critères disponibles d'une éventuelle origine biologique. Les critères intrinsèques aux objets sont bien satisfaits, mais non le critère extrinsèque d'un environnement sédimentaire convenable.L'analyse des hypothèses qui ont été avancées pour décrire l'environnement originel de la météorite, permet de suggérer une explication de ces sphères creuses organiques, qui repose entièrement sur cet environnement à l'époque de leur formation. Ce sont des revêtements organiques à la surface de microchondrules d'olivine, de globules de verre et de magnétite, minéraux de haute température appartenant à la fraction minérale de la météorite qui a été dissoute par la macération acide.Ces coques organiques résulteraient de la polymérisation de petites molécules organiques dispersées, qui se seraient condensées à la surface de gouttelettes minérales en fusion. Ces dernières ont pu être éjectées par une nuée ardente volcanique issue du corps parent de la météorite, et projetées dans la poussière cosmique primitive froide en suspension autour de ce corps parent, composée de silicates hydratés et de petites molécules organiques.C'est ensuite seulement que cette suspension de poussière primitive aurait subi l'accrétion pour former finalement la couche extérieure froide de matière étéoritique carbonée du corps parent. En outre, des gaz réducteurs à haute température, s'élevant de la nuée ardente, ont pu polymériser en partie la matière organique en suspension, pour former la matière météoritique organique amorphe, résistant aux acides, qui a peut-être été l'agent agglomérant lors de l'accrétion.Les formes spiralées de plusieurs des structures organiques décrites ici suggèrent des microturbulences atmosphériques dûes à la chaleur. Des membranes organiques, et l'appendice en forme de queue de comète d'une sphérule, suggèrent une polymérisation organique dans le sillage de la trajectoire de microchondrules. Selon notre opinion, ces diverses structures organiques résultent donc de l'organisation abiogénique sous l'effet de la température, de matière organique préexistante, plus simple, dans un système solide-gaz extraterrestre.
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7.
The efficiency of amino acid, organic acid and sugar metabolism was quantified for adult Homalodisca coagulata (Say) (Homoptera: Cicadellidae) by comparing chemical profiles of xylem fluid (food source) and insect exudate. Leafhoppers were confined in Parafilm® sachets to stems of 4 host plants: [Baccharis halimifolia (L.), Lagerstroemia indica (L.), Prunus salicina (Lindl.), Prunus persica (L.), Batsch]. Insect feeding rates (0.09–0.27 ml h–1), exudate osmolarity (7.8–12.8 mM) and exudate composition (mainly inorganic entities) were characteristic of a xylem feeder. Total organic solute concentration in the xylem fluid of B. halimifolia, L. indica, P. salicina and P. persica was ca. 9.4, 13.8, 5.5 and 1.8 mM, respectively. Nineteen protein amino acids, 7 organic acids and 3 or 4 sugars were identifid in the xylem fluid. Total amino acids, organic acids and sugars were metabolized with ca. 99% efficiency. Glutamine, asparagine, arginine and citric, malic and succinic acids, the predominant organic compounds in the xylem fluid of all four plant species, were metabolized with greater than 99% efficiency. Cysteine (51%), methionine (74%) and oxalic acid (77%) were metabolized with the lowest efficiency. The primary nitrogenous waste was NH inf4 sup+ ; uric acid or urea were not detected. Nitrogen retention was generally less than 60% of dietary nitrogen. High feeding rates, ammonotelism and an extremely high metabolic efficiency of organic compounds permit H. coagulata to subsist on the dilute and skewed chemical profile of xylem fluid.
Résumé L'efficacité du métabolisme des amino-acides, des acides organiques et des sucres a été quantifiée chez des H. coagulata Say (Hom. Cicadellidae) adultes, en comparant la composition chimique de la sève du xylème et du miellat des insectes. Les cicadelles ont été maintenues dans des sachets de parafilm avec des tiges de 4 plantes hôtes: Baccharis halimifolia L., Lagerstroemia indica L., Prunus salicina Lindl. et Prunus persica Batsch. Le taux de consommation (0,09 à 0,27 ml hr–1), l'osmolarité du miellat (7,8 à 12,8 mM) et la composition du miellat (principalement des éléments inorganiques) sont caractéristiques des consommateurs de xylème. Les concentrations organiques totales en soluté de la sève du xylème étaient respectivement: 9,4; 13,8; 5,5; et 1,8 mM chez B. halimifolia, L. indica, P. salicina et P. persica. 19 amino acides protéiques, 7 acides organiques et 3 ou 4 sucres ont été identifiés dans la sève du xylème. Les acides aminés, les acides organiques et les sucres ont été métabolisés dans leur ensemble avec une efficacité de 99%. La glutamine, l'asparagine, l'arginine et les acides citrique, malique et succinique,-les principaux composés organiques de la sève du xylème de ces 4 plantes,-ont été métabolisés avec plus de 99% d'efficacité. La cystéine (51%), la méthionine (74%) et l'acide oxalique (77%) ont été métabolisés avec une plus faible efficacité. Le déchet azoté primarie était NH inf4 sup+ ; l'acide urique et lurée n'ont pas été décelés. La fixation d'azote a été généralement inférieure à 60% de l'azote consommé. Des taux de consommation élevés, l'ammonotélisme et une efficacité extrêmement élevée du métabolisme des composés organiques permettent à H. coagulata de survivre malgré la composition chimique biaisée et la dilution de la sève du xylème.
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8.
Summary Two experiments were carried out on the import and export of water by colonies ofMacrotermes natalensis (Haviland) Fuller. In the first experiment, tritiated water and chromium 51 complexed with versenate were injected into the water table, at about 12 m depth, in order to trace the movement of water from the water table to the overlying termite mounds. The results of the experiment do not support the hypothesis that the termites carry up water from the water table to their mounds.In the second experiment, a hole was made in each of three termite mounds, and the moist soil carried by termites to plug the hole was removed daily over a period of seventeen weeks. It was estimated, from the weight of soil and its moisture content, that the termite colonies had each lost about 5 litres of water a week. Calculations involving another author's measurement of respiration indicated that a colony of one millionMacrotermes produces about 4 litres of water a week as a result of metabolic activity. Loss of water from the termite mounds was, therefore, probably counterbalanced by production of metabolic water within the mounds.
Résumé Deux expériences ont été faites sur l'importation et l'exportation d'eau par des colonies deMacrotermes natalensis (Haviland) Fuller. Dans la première expérience, de l'eau tritiée et un complexe chromium 51 versenate ont été injectés dans la nappe aquifère, vers 12 m de profondeur, à fin de suivre le mouvement de l'eau partant de la nappe aquifère jusqu'aux termitières surjacentes. Les résultats de l'expérience ne soutiennent pas l'hypothèse que les Termites remontent de l'eau de la nappe aquifère jusqu'à leurs termitières.Dans la seconde expérience, une ouverture a été faite dans chacune des trois termitières, et le sol humide apporté par les Termites pour boucher cette ouverture a été enlevé chaque jour pendant une période de six-sept semaines. D'après le poids du sol enlevé et l'humidité qu'il contenait, il a été possible de calculer que chaque colonie de Termites avait perdu environ 5 litres d'eau. Des calculs employant des mesures faites par un autre auteur sur la respiration indiquent qu'une colonie contenant un million deMacrotermes produit à peu près 4 litres d'eau par semaine, résultat d'activité métabolique. La perte d'eau provenant des termitières était done probablement contrebalancée par la prodution d'eau métabolique à l'intérieur des termitières.
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9.
Oxalic acid, isolated from leaf sheath extract of rice, has been identified as a potent sucking inhibitor against the brown planthopper. Potassium and sodium oxalate at concentrations of 0.1%–0.2% completely inhibited sucking on a 15% sucrose solution. Of twelve aliphatic acids commonly present in plants, only oxalic, maleic, andtrans-aconitic acids at 0.1%, significantly reduced sucking activity while Krebs cycle acids, such as citric, malic, and succinic, did not have any inhibitory effect.
Résumé L'acide oxalique, isolé des gaines foliaires du riz, a été identifie comme un puissant inhibiteur de la succion deNilaparvata lugens. Les oxalates de potassium et de sodium aux concentrations de 0,1% et 0,2% inhibent complètement la succion d'une solution de sucrose à 15%. Parmi les douze acides aliphatiques généralement présents dans la plante, seuls les acides oxalique, maleique et trans-aconique réduisent significativement à 0,1% l'activité de succion, tandis que les acides cycliques comme les acides citrique, malique et succinique n'ont pas d'effet inhibiteur.
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10.
Résumé L'analyse (acides aminés et sucres) d'extrait de feuille, de 5 variétés de manioc (Manihot esculenta), du Faux caoutchouc (Hybride deM. esculenta x M.glaziovii), du Poinsettia (Euphorbia pulcherrina) et du Talinum (Talinum triangularae), caractérisés par différents degrés de résistance par antibiose à la cochenille du manioc (Phenacoccus manihoti (Mat. Ferr.)) (Homoptera: Pseudococcidae), a été réalisée sur des extraits obtenus par centrifugation du matériel foliaire. Les teneurs en acids aminés, très différentes d'une plante à l'autre, apparaissent aussi importantes entre les variétés de l'espèce manioc qu'entre les différentes espèces végétales avec respectivement un rapport de variation de 4,5 et 5,5. De même, les teneurs en sucres (exprimées en équivalent saccharose), sont très différentes d'une plante à l'autre avec un rapport de variation de 1 à 33 entre les deux extrêmes, si l'on ne considère que l'espèceM. esculenta, il n'est plus que de 3,5.Des différences dans les proportions relatives des acids aminés libres d'extrait de feuille sont observées aussi bien entre les variétés de manioc qu'entre les espèces végétales. Cependant pour toutes les plantes étudiées l'acide glutamique, la glutamine, l'ethanolamine, et l'alanine représentent près de 50% des acides aminés de l'extrait de feuille; l'acide aspertique, l'asparagine et la sérine près de 20% tandis que la tyrosine, la méthionine, l'isoleucine, la leucine et la lysine sont présents en très faibles pourcentages.Le degré de résistance à la cochenille du manioc des différentes plantes-hôtes n'a pu être relié, ni à la teneur de leur extrait de feuille en acides aminés et en sucres, ni à leur composition relative en acides aminés. Il n'a pu être non plus relié au rapport Sucres/Acides aminés Nos résultats suggèrent que des caractéristiques biochimiques autres que celles étudiées dans ce travail interviennent dans les mécanismes de résistance vis-à-vis de la cochenille du manioc.
Summary The levels of sugars and amino acids were determined in leaf extracts from a number of plants showing different levels of resistance to the cassava mealybug,Phenacoccus manihoti (Homoptera: Pseudococcidae). There were five varieties of cassava (Manihot esculenta), as well as a hybrid obtained by crossingM. esculenta andM. glaziovii, poinsettia (Euphorbia pulcherrina) and talinum (Talinum triangularae). The variability in the total concentration of amino acid concentrations was as great between varieties of cassava as at the species level. In contrast, there was much less variability in the concentration of sugars at the intervarietal that at the interspecies level.While there were both intervarietal and interspecific differences in the amino acid composition, glutamic acid, glutamine, ethanolamine and alanine represented nearly 50% of the total in all plants examined. Aspartic acid, asparagine and serine accounted for approximately 20%, while tyrosine, methionine, isoleucine, leucine and lysine are present at low levels.The different levels of resistance noted in the different plants were not associated with the concentrations of either amino acids or sugars, the ratios of sugar/amino concentrations or the amino acid compositions obtained from leaf extracts. This suggests that other aspects of plant chemistry confer resistance to cassava mealybugs.
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11.
Résumé Les auteurs définissent plusieurs formes de matières organiques et procèdent à leur inventaire dans des sols bruns et des chernozems. Ils effectuent un premier fractionnement par tamisage destiné à quantifier la matière végétale figurée et à séparer les complexes organo-minéraux. Ils procèdent ensuite sur ces derniers, à des extractions chimiques en vue de déterminer les complexes organométalliques et les complexes organo-argilliques. Les résultats démontrent que les sols bruns étudiés sont formés d'agrégats de consistance très lâche, caractérisés par un fort taux de complexes organométalliques à base d'acides fulviques à turn-over très rapide. Ces propriétés contrastent beaucoup avec celles des chernozems qui sont constitués d'agrégats très compacts renfermant un fort taux d'acides humiques très polycondensés, liés à un taux élevé de complexes organo-argilliques, ces deux types de produits apparaissant très résistants aux dégradations microbiennes.  相似文献   

12.
Résumé Les néoblastes de la région postérieure du corps de la PlanaireD. lacteum ont les mêmes propriétés migratrices et histogénétiques que les néoblastes de la région prépharyngienne. En cas de section transversale à quelque niveau que ce soit, les néoblastes du fragment postérieur se déplacent d'arrière en avant pour s'accumuler en un bourgeon de régénération normal. Mais la différenciation de ces cellules ne se produit qu'en cas de section nettement antérieure à la racine du pharynx (alors il y a régénération). Après une section postérieure à la racine du pharynx, les néoblastes dégénèrent.
Neoblasts in the anterior regeneration ofDendrocoelum lacteum, Turbellaria tricladida
Summary Neoblasts of the posterior region of the body in the PlanarianD. lacteum have the same migratory and histogenetic properties as neoblasts of the prepharyngeal region. With transverse cuts at whatever level, neoblasts of the posterior fragment migrate forward to accumulate as a normal regeneration bud. But differentiation of these cells only occurs in ease of a section clearly anterior to the root of the pharynx (regeneration then follows). After a transection posterior to this level, the neoblasts degenerate.
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13.
A comparative morphological, physiological and biochemical study ofGilbertella persicaria andGilbertella persicaria var.indica has been made. The two organisms differ not only in the morphological characters (phototropic branched hyphae bearing sporangia and rate of growth) but also in their cellular contents, with regard to amino acids, organic acids, lipids and fatty acids.Quantitative determinations of the free amino acids during the course of development of the species and the variety in media containing different sugars, show that the two organisms differ in the following groups of amino acids: glutamic acid group, glycine-alanine group and tyrosine group.The species synthesizes citric acid, malic acid, succinic acid, fumaric acid and one unknown organic acid, whereas the variety synthesizes glyceric acid, lactic acid and two unknown acids in addition to the first four organic acids of the species.The amount of lipids in the variety is higher than that of the species under all the cultural conditions. Further, the difference between the two organisms lies in oleic acid. This acid is three times and less than one time more in quantity in the species than in the variety with mannose and trehalose, respectively. From the biochemical studies it is evident that the metabolism of the two organisms is different.The taxonomic position ofGilbertella has been discussed. The important morphological and physiological characters in which the genus shows similarities with the Choanephoraceae are: morphology of asexual apparatus and negligible or no growth in the absence of thiamine. On the other hand, the genus exhibits a number of morphological and physiological differences from the family Choanephoraceae.Sporulation inGilbertella is more intense than in the family. Besides, it produces phototropic branched hyphae bearing sporangia. Normally the family produces two different asexual structures (sporangia and sporangiola inBlakeslea: sporangia and conidia inChoanephora), whereas in the genus only sporangia are produced. Sporangia in the genus, unlike the family, deliquisce at maturity.Zygospores in the genus, unlike the characteristic sexual spores of the family, are Mucor-type.Gilbertella persicaria (IMI 101698) is found to develop a good number of Mucor-type zygospores, when mated withMucor luteus (obtained from Prof.Montant). No such mating is reported between Choanephoraceae andMucor spp.The rate and amount of growth ofGilbertella is generally much superior to that of the family. The genus grows and sporulates satisfactorily at low pH values (2.5 and 3.0) which are not suitable for the family. Besides, it utilizes quite satisfactorily both nitrite and nitrate nitrogen, whereas the family fails to grow on these nitrogen compounds.The genus may be separated from the family Choanephoraceae in view of the characteristic physiological differences and Mucor-type zygospores, and suitably placed in the Mucoraceae after broadening the concept of the family to include forms with appendaged sporangiospores (Hesseltine, 1960). A detailed study of lipids inG. persicaria by column chromatography has been made and the thirteen different fractions have been analysed. The fraction no. 12 richest in phospholipids (with and without amino groups) was analysed for amino acids. It was found to contain 33.14% of ethanolamine. Further, it contained glycerol, mannose and an unidentified sugar.A new method for measuring sporulation inGilbertella persicaria with the help of Densitometer Chromoscan is described. This method is suitable for fungi with intense and homogenous sporulation on solid agar medium.
Resume Une étude comparative morphologique, physiologique et biochimique deGilbertella persicaria etGilbertella persicaria var.indica a été effectuée. Les deux organismes diffèrent non seulement par les caractères morphologiques (les hyphes phototropiques ramifiées portant des sporanges; et la vitesse de croissance) mais aussi par leurs contenus cellulaires en ce qui concerne les acides aminés, les acides organiques, les lipides et les acides gras.L'analyse quantitative des acides aminés libres constitutifs au cours du développement de l'espèce et de sa variété, cultivées sur différents sucres, montre des différences importantes entre les deux organismes. Ces différences résident dans les groupes suivants d'acides amines: groupe de l'acide glutamique, groupe du glycocolle-alanine et groupe de la tyrosine.L'espèce synthétise les acides citrique, malique, succinique, fumarique et un acide organique inconnu, tandis que la variété synthétise les acides glycerique, lactique et deux acides organiques inconnus; en plus les quatre premiers acides organiques de l'espèce.La synthèse des lipides chez les deux organismes est influencée par les facteurs physiques ainsi que par les facteurs nutritifs. De plus, la quantité de lipides synthétisée chez la variété est généralement plus élevée que chez l'espèce. Une différence très importante entre les deux champignons relative à l'acide oléique apparaît lorsqu'ils sont cultivés sur un milieu contenant du mannose ou du tréhalose. Avec l'espèce cet acide est trois fois plus abondant qu'avec variété sur le tréhalose, cet acide n'excède guère la moitié de la valeur obtenue avec la variété.La position taxonimique deGilbertella a été discutée. Les caractères morphologiques et physiologiques importants par lesquels le genre montre des similitudes avec les Choanéphoracées sont: la morphologie de l'appareil asexué et une croissance négligeable ou nulle en absence de thiamine. Par contre, le genre montre un certain nombre de différences morphologiques et physiologiques avec la famille.La sporulation deGilbertella est plus importante que celle des diverses espèces de Choanéphoracées. Il existe d'autre part dans le genre des hyphes phototropiques très caractéristiques. La famille des Choanéphoracées forme deux types de fructifications asexuelles: sporanges et sporangioles (Blakeslea): sporanges et conidies (Choanéphora) alors queGilbertella ne produit que des sporanges déliquescentes à maturité.Gilbertella forme normalement de très nombreuses chlamydospores à l'inverse des Choanéphoracées.Les zygospores deGilbertella sont de typeMucor et peuvent même provenir du croisement deGilbertella persicaria (IMI 101698) etMucor luteus, alors que cette aptitude n'a pas été observée avec les Choanéphoracées.La croissance deGilbertella est plus rapide que celle des Choanéphoracées et le poids sec normalement plus élevé; les pH acides (2.5 et 3) sont mieux supportés parGilbertella que par les Choanéphoracées; ces dernières à l'inverse deGilbertella n'assimilent pas l'azote minéral (nitrite ou nitrate).En définitive, les différences d'ordre morphologique entre le genreGilbertella et les Choanéphoracées sont donc confirmées par les caractéristiques physiologiques et biochimiques que nous venons de mettre en évidence et nous adopterons la conception d'Hesseltine (1960) qui suggérait de rangerGilbertella chez les Mucoracées et la considérerons comme parfaitement acceptable.Une nouvelle méthode pour mesurer la sporulation chezGilbertella persicaria à l'aide du Densitomètre Chromoscan est décrite. Cette méthode est convenable pour les champignons sporulant d'une manière intense et homogène sur les milieux gélosés.
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14.
The effects of photoperiod and temperature on the production of sexual forms by two clones of Sitobion avenae, the grain aphid, were examined. One clone did not produce sexual forms, whereas the other did under conditions of short light (<14 h) and low temperature (15°C). Temperature and photoperiod interacted to some extent both in the production of oviparae and of males. Even when the sexual forms were produced there was always a proportion of virginoparae.
Production de sexués par Sitobion avenae, puceron monoécique
Résumé Un clone de Sitobion avenae a produit sans difficulté jusqu'à 7 générations de sexués en réaction à des photopériodes courtes (<14 h) et à de faibles températures (15°C) tandis qu'un autre clone n'en produit aucune.La proportion de sexués différait suivant les parents. La production de mâles avait une nette tendance à apparaître lors des reproduction les plus tardives. Dans les générations tardives avec jours courts, les vivipares (virginopares et gynopares) avaient eu tendance à être produits à la fin de la période de reproduction.Les gynopares (c'est à dire les parents d'ovipares) de S. avenae étaient surtout aptères, mais comprenaient beaucoup plus d'ailés que les virginopares obtenus dans les mêmes conditions. Un vivipare était induit comme gynopare (ou ses embryons étaient déterminés comme ovipares) avant la naissance, mais cette détermination pouvait apparemment encore être inversée en soumettant l'insecte à de longues photopériodes et à de hautes températures jusqu'à deux jours après la naissance.Aucun S. avenae ovipare n'a été produit jusqu'à la troisième génération. Aucun ovipare n'a été produit avec des photopériodes supérieures à 13 H 30 à 10°C, 13 H à 15°C et 8 H à 20°C. La proportion d'individus produisant des ovipares à 15°C a été plus faible qu'à 10°C pour toutes les photopériodes, et à cette dernière température beaucoup plus de vivipares étaient gynopares que virginopares.Les basses températures ont été vraisemblablement le facteur dominant de stimulation de la production de mâles de S. avenae, mais cependant il semble qu'un plus grand nombre de mâles a été produit aux températures et photopériodes intermédiaires qu'aux extrêmes.La capture de mâles ailés de S. avenae dans des pièges à succion a été généralement limitée à Octobre-soit à peu prés le moment prévu par les expériences de laboratoire. Des mâles de S. avenae sont aussi capturés fréquemment et été, ce qui peut être lié à des hivers précédents doux.
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15.
Résumé Les levures Schizosaccharomyces possèdent, entre autres propriétés remarquables, celle de métaboliser l'acide l-malique, provoquant en anaérobiose une fermentation alcoolique: HOOC·CH2 CHOH·COOHCH3CH2OH+2CO2. Au point de vue énergétique cette fermentation ne peut satisfaire la croissance des cellules et est liée à la fermentation du sucre. La présente étude des souches de Schizosaccharomyces se trouvant dans les collections de levures est centrée sur la fermentation de l'acide l-malique.Nous avons étudié dans quelle mesure cette propriété peut servir de base à une classification de ces levures et se trouve en relation avec le milieu d'origine, suivant le concept de «classification naturelle» de Kudrjawzew. En réalité il ne saurait y avoir de distinction d'espèce fondée sur cette propriété entre les Schizos. pombe provenant de fruits à pulpe amylacée des pays tropicaux et les Schizos. acidodevoratus provenant de fruits à pulpe acide des régions tempérées, tous attaquant plus ou moins l'acide l-malique, et ces deux termes doivent être considérés comme synonymes.Certaines propriétés physiologiques ont été étudiées: intensités respiratoire et fermentative, fermentation sélective du glucose et du fructose, produits secondaires formés, besoins en facteurs de croissance, etc. Enfin, on a défini les facteurs de la fermentation de l'acide l-malique par les Schizosaccharomyces, notamment la nature des souches, les conditions de pH, etc. L'étude de fermentations associées révèle la concurrence qu'exerce sur les Schizosaccharomyces la présence des Saccharomyces et illustre la difficulté de modifier la microflore naturelle dans la fermentation d'un milieu naturel.  相似文献   

16.
Conclusions Il n'est pas impossible, en toute première approximation, d'assimiler une société d'insectes à un système multistable (Ashby) et les individus qui la composent à un ensemble d'organes de base (von Neuman).Ce sont là, en effet, deux façons de raisonner qui permettent de retrouver par la théorie de nombreauses formes de comportement observées dans la nature et, surtout, d'aborder de manières complémentaires l'important problème des interactions sociales et de la transmission de l'information entre insectes sociaux.Il est clair, à la lumière des travaux d'Ashby, qu'un certain bruit de fond est nécessaire à l'intérieur d'une société d'insectes, afin de réaliser l'indépendance relative des différents sous-systèmes, dont l'ensemble est susceptible de s'adapter, dans des délais convenables, à toute modification d'environnement. Quant aux théories devon Neuman, elles permettent de comprendre comment l'existence de ce bruit de fond, si elle est cause du caractère aléatoire et plus ou moins incorrect de la transmission de l'information, n'entrave pas pour autant le fonctionnement correct et fidèle de l'ensemble de la société.Il est, par ailleurs, curieux de constater que l'étude des systèmes cybernétiques auxquels nous nous sommes constamment référé ici,visait à l'origine la mise en évidence des analogies qu'ils présentent avec le cerveau. Or, si l'on veut bien admettre le bien-fondé des considérations développées dans cet article, il existe des rapports relativement étroits entre ces systèmes et ceux que constituent les insectes sociaux. Il semble, dès lors, que l'application de la cybernétique à l'étude des sociétés d'insectes constitue une méthode d'investigation qui devrait se révéler fructueuse et conduire, en particulier, à un renouveau de la théorie du superorganisme.  相似文献   

17.
Topical application of JHA to Spodoptera littoralis larvae extends the duration and increases the final weight of the last larval instar. No supernumary moults occur. Respiration decreases to very low levels and glycogen and lipid stores increase. Respiration remains lower in JHA-treated pharate pupae and more polyunsaturated C18 fatty acids accumulate than in normal pharate pupae. These physiological parameters are similar to those occurring during diapause but are not definitive. Diapause has not been reported in field populations of S. littoralis, nor it's artificial induction by photoperiodic manipulation.
Résumé Le dernier stade des chenilles de Spodoptera littoralis, traitées avec JHA, est nettement prolongé par rapport aux témoins. Bien que le poids final des chenilles traitées soit plus élevé que celui des témoins, il n'y a pas de mue surnuméraire. Ces chenilles géantes s'alimentent rarement et leur respiration est sérieusement réduite. Les réserves de glycogène s'accumulent chez les chenilles traitées à la même date chronologique que chez les prénymphes non traitées. Bien que les prénymphes traitées à la JHA conservent leur profil biochimique juvénile — tout au moins dans la mesure où on considère la teneur en glycogène et en lipides totales — leur composition en acides gras saturés et non saturés diffère de celle normalement rencontrée à la fin du développement larvaire, et beaucoup plus d'acide oléique monosaturé s'accumule finalement chez les insectes traités par JHA. Ces résultats suggèrent que la JHA fournie peut avoir provoqué un état de développement de diapause naissante semblable par quelques traits fondamentaux à celle induite par la JH endogène chez les insectes enclins à la diapause. Il est cependant prématuré de définir cet état physiologique comme indiquant une vraie diapause chez Spodoptera littoralis.
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18.
Résumé Les expériences que nous avons réalisées nous ont permis d'étudier le rôle de l'absence du gaz carbonique dans l'atmosphère où se trouve l'Insecte. L'une des deux femelles deBombus est introduite dans une cellule microcalorimétrique en atmosphère normale, l'autre femelle dans une cellule dont l'atmosphère est dépourvue de gaz carbonique.Dans l'expression des résultats, je considère d'abord les indications fournies par la forme des enregistrements. Afin d'apporter une plus grande précision dans l'interprétation des enregistrements, j'ai effectué une étude quantitative de la thermogenèse.Les résultats concernant l'influence de la température sur la thermogenèse des reines de Bourdons sont généralement conformes à ce que nous connaissons de la stimulation du métabolisme thermique par une élévation de la température chez la plupart des Poïkilothermes.On peut noter, qu'à température égale, les reines deBombus terrestris ont une thermogenèse relative supérieure à celle des reines deBombus lapidarius. D'autre part, pour chacune des espèces considérées, les valeurs thermogéniques des reines deBombus sont plus élevées — à une exception près — lorsque celles-ci sont placées en atmosphère dépourvue de gaz carbonique.En conclusion, l'absence de gaz carbonique dans l'atmosphère de la cellule microcalorimétrique ne modifie pas profondément le niveau des échanges respiratoires des reines deBombus, dans les limites de mes expériences.
Thermogenesis in Bumble-bees' queens
Summary Experiments have been performed on queens ofBombus terrestris L. andBombus lapidarius L., with a Calvet micro-calorimeter. Curves of thermogenesis (thermograms) are first examined; they vary according to individuals, species, temperature of the ambiance, and composition of the atmosphere.As a rule, at constant temperature, queens ofBombus terrestris produce more heat than these ofBombus lapidarius.Experiments performed in the presence of sodium hydroxide in order to absorb the carbon dioxide elaborated display less undulated thermograms, but individual differences are wide.The thermogenesis of insects placed in micro-calorimetric cells without carbon dioxide is a little higher than that of females in normal atmosphere, but variable results of thermogenic reactions are sometimes observed.
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19.
Résumé Tetrahymena geleii provenant de cultures âgées de 70 heures, étudié à l'état non proliférant en milieu minéral tamponné à pH 7.3, à la température de 22°C., présente une respiration de base correspondant à QO 2 voisin de 14. La consommation d'oxygène de cet organisme est accrue de 54% en présence de butyrate de sodium 0,01 M; elle est également accrue en présence d'acétate de sodium et de butyrate d'éthyle. Elle n'est pratiquement pas modifiée ni par le glucose ni par les acides dicarboxyliques participant au cycle deKrebs. Elle est inhibée de 50% par la pyrocatéchine 0,01 M.  相似文献   

20.
Perception of the oviposition deterring pheromone by contact chemoreceptors in female Pieris brassicae was studied employing a tip recording technique. Electrophysiological responses of tarsal taste hairs to eggwash solutions show a marked increase in frequency of spikes originating from only one sensory cell. This suggests that in foretarsal taste hairs females, apart from the glucosinolate cells also possess sense cells specifically sensitive to the oviposition deterring pheromone.Morphological studies by means of the scanning electron microscope revealed that the ovipositor of P. brassicae is provided with two groups of contact chemoreceptors. Electrophysiological recordings from these sensilla indicate the presence of at least three sensory cells, one of them being a mechanoreceptor. Stimulation with eggwash evokes a slight increase in spike frequency which cannot be ascribed to one particular sense cell. This indicates that abdominal taste hairs in some way may participate in the perception of the oviposition deterring pheromone. Responses to glucosinolates do not differ significantly from control stimulations.
Résumé Une technique d'enregistrement apical a été utilisée pour examiner la perception d'une phéromone dissuadant la ponte par les poils récepteurs chimiques de contact des femelles de Pieris brassicae. Les réponses électrophysiologiques des poils gustatifs des tarses en présence de solutions de rinçage d'oeufs présentent une fréquence marquée des potentiels d'action provenant principalement d'une cellule sensorielle. Ceci suggère que les poils gustatifs des tarses des pattes antérieures des femelles possèdent, en plus de cellules répondant aux glucosinolates, des cellules sensorielles sensibles spécialement à la phéromone dissuadant la ponte.Des études morphologiques au microscope à balayage révèlent que l'oviposition de P. brassicae est pourvu de deux groupes de chimiorécepteurs de contact. Des enregistrements électrophysiologiques de ces sensilles révèlent la présence d'au moins trois cellules sensorielles, l'une d'entre elles étant un mécanorécepteur. La stimulation avec la solution de rinçage des oeufs évoque un léger accroissement de la fréquence des potentiels d'action qui ne peut être attribué à une cellule sensorielle particulière. Ceci indique que les poils gustatifs abdominaux peuvent participer d'une certaine façon à la perception de la phéromone dissuadant la ponte. Les réponses aux glucosinolates ne diffèrent pas significativement des stimulations témoin.
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