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1.
Oviposition responses to natural and artificial substrates were investigated. More eggs were deposited on plants that contain isothiocyanates (natural hosts). Depletion of isothiocyanate content by sulfur-deficient plant nutrition appears to reduce attractiveness of host plants as egg substrates. Eggs are laid preferentially in concavities of leaves or stems. Significantly more eggs are laid on dimpled than smooth polyvinyl plastic surfaces. On both types of plastic substrate more eggs are laid if allyl isothiocynate or mustard leaf juice is added. Mustard leaf juice contains allyl isothiocyanate but is more stimulating to oviposition indicating that other factors contribute to the total effect.Although the coumarin in Melilotus sp. tends to inhibit oviposition, Plutella may be induced to increase egg deposition on such plants by treating them with allyl isothiocyanate. Unknown inhibitory constituents in tomato leaves prevent egg laying even in the presence of allyl isothiocyanate. It was concluded that oviposition is regulated significantly by external stimuli and that inhibitory chemical influences as well as positive chemical stimuli and texture of the surface are all significant factors.
Resume Nous avons étudié la ponte au point de vue des réponses de Plutella maculipennis aux surfaces naturelles et artificielles. La ponte s'est avérée plus forte sur les plantes qui contenaient des isothiocyanates (hôtes naturels). La baisse du contenu d'isothiocyanate dans une nourriture pauvre en souffre semble réduire l'attraction de la surface des hôtes à la ponte. L'insecte préfère pondre ses oeufs dans les concavités des feuilles ou des tiges. D'une manière significative, la ponte s'avère plus forte sur une surface rugueuse que sur des surfaces lisses de plastiques polyvinyls. La ponte est plus élevée sur la surface des deux espèces de plastiques si on ajoute du jus de feuilles de moutarde ou de l'allylisothiocyanate. L'allylisothiocyanate est un des constituants de jus de la feuille de moutarde, mais exerce une action moins prononcée sur la ponte que ce jus. Ceci indique que d'autres agents contribuent à l'effet total.Bienque la coumarine dans Melilotus (sp.) ait tendance à inhiber la ponte, on peut induire Plutella à augmenter la ponte sur de telles plantes en les traitant avec de l'allylisothiocyanate. Certains constituants inhibitifs inconnus qu'on trouve dans les feuilles de Lycopersicum empêchent la ponte même avec traitement d'allylisothiocyanate. La conclusion s'impose: la ponte est fortement influencée par des excitants externes et les inhibitions causées par des influences chimiques aussi bien que par des excitants chimiques favorables, de même que la texture de la surface en question. Ces choses sont tous des facteurs importants.


On visit from the University of Lucknow, India.  相似文献   

2.
Résumé Des élevages expérimentaux deCallosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae) sur les graines deVicia faba décortiquées ou non, ou sur des pastilles faites des mêmes graines, ont permis de mettre en évidence une barrière empêchant le développement de la bruche.Avec les graines entières, toutes les larves meurent au premier stade enfoncées dans le tégument; alors qu'elles se développent normalement dans les graines décortiquées.Avec des pastilles de broyats de graines non décortiquées, la majorité des larves meurt avant le terme de leur développement; la plus forte mortalité est observée au quatrième stade larvaire. Les larves, qui survivent, accusent une augmentation de leur durée de développement par rapport à celles qui se nourrissent aux dépens des pastilles faites de graines sans tégument.  相似文献   

3.
Galling by Dysaphis devecta benefits groups of Aphis fabae as they are larger both on control and nitrogen-deprived apple plants which have been galled. Presumably D. devecta gains these advantages for itself because it can produce galls.Honeydew from A. fabae feeding on galled and ungalled control apple plants of the same age differs in its amino-acid content. It is thought that the presence of larger amounts of amino acids in the honeydew of aphids feeding on galled plants indicates that they had access to a better supply of these essential nutrients and consequently were able to attain a larger body-size.
Résumé Le puceron Dysaphis devecta Walker provoque des galles rouges sur les feuilles du pommier. Il n'est pas possible d'évaluer les bénéfices que peuvent offrir à ce puceron cette formation de galles, mais si on élève sur ces mêmes feuilles Aphis fabae Scop. qui lui ne provoque pas de galles, alors on peut constater que la formation de galles est bénéfique pour cette dernière espèce.Deux lots de ces pucerons ont été élevés sur des jeunes pommiers âgés de deux semaines, un lot se composant uniquement de cinq larves d'A. fabae, l'autre comportant quatre larves d'A. fabae et une de D. devecta. La même expérience a été répétée pendant quatre générations avec les descendants de chacun de ces lots de Puceron. Dans toutes les générations la longueur moyenne des pucerons élevés sur les plantes attaquées simultanément par un individu de D. devecta était supérieure à celle des pucerons issus de lots se composant seulement d'A. fabae. En même temps les Aphis fabae des lots mixtes se développaient plus rapidement et moins d'ailés sont apparus.D'autres essais ont été réalisés de la même façon, mais les plantes étaient âgées de cinq semaines et avaient reçu des solutions nutritives complètes ou sans azote. A nouveau, l'influence de d. devecta sur la plante-hôte a entraîné une alimentation plus favorable pour Aphis fabae pendant quelques générations.Le miellat d'A. fabae s'alimentant sur des plantes de même âge, attaquée ou non par D. devecta diffère par sa teneur en acides aminés; celle-ci est plus, élevée dans le miellat des pucerons se nourrissant sur des feuilles portant des galles. La production de galles foliaires par D. devecta favorise donc la production d'acides aminés ce qui est bénéfique pour ce puceron gallicole.
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4.
Résumé Dans les sociétés dePachycondyla caffraria les ouvrières nourrices regroupent les larves qui ont redressé leur région antérieure à la suite des palpations antennaires reçues, puis les nourrissent. Nous avons pu montrer expérimentalement que cette réaction de redressement de l'avant du corps est le seul indice qui permette aux ouvrières de reconnaître les larves affamées. Elles ne savent pas déceler les larves qu'elles n'ont pas sélectionnées à ce moment, si celles-ci ont expérimentalement été placées dans le groupe des larves qu'elles vont nourrir.
Observations on the signals preparing for larval feeding in the ponerine ant Pachycondyla caffraria (Smith)
Summary In colonies ofPachycondyla caffraria the nurse workers gather together the larvae which lift the anterior part of their body as a result of the antennal palpation they receive, and then feed them. We have shown experimentally that this response of raising the anterior part of the body is the only signal by which workers are able to recognize hungry larvae. They are not able to detect larvae they have not selected, as follows from experiments in which such larvae are placed in the group of larvae that they are about to feed.
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5.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

6.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

7.
Conclusion Les deux faits que j'ai surtout illustrés: 1. apparition d'un carotinoïde rouge avant la chlorophylle, 2. nécessité de la lumière pour obtenir ce carotinoïde rouge, n'ont pas d'importance chacun en soi-même, isolément. Mais ils se valorisent l'un l'autre et ils acquièrent ensemble une signification physiologique spéciale. Je ne dis pas que ce soit un fait général, pas même pour l'Aloe: assurément ce comportement est sous la dépendance de facteurs internes et externes spéciaux. Mais le fait que ce phénomène existe, et qu'il peut même être provoqué par des moyens faciles et contrôlables, est de nature à ouvrir des perspectives nouvelles aux problèmes de la chlorophyllogénèse, et des rapports biologiques entre chlorophylle et carotinoïdes.  相似文献   

8.
Chrysopa nigricornis Burm, exhibits a facultative diapause during the third instar within the cocoon. The first, second, and free-living third instars must experience short-day (LD 12 : 12) for diapause to occur; however, the third instar within the cocoon and the egg appear to have no role in diapause induction. As day-lengths decreased from 13 to 12.5 hours. diapause incidence increased from 50% to 100%, whereas at LD 13.5 : 10.5 no diapause resulted.Diapause ended spontaneously under LD 12 : 12 and after 142 days (s.d.±32) larva-pupal ecdysis occurred. Exposure to long-day conditions (LD 16 : 8) 4 or 6 weeks after the beginning of diapause hastened diapause termination; i.e. larval-pupal ecdysis occurred in about 40 days. Apparently during the first 6 weeks of diapause under short-day, little or no diapause development took place.It seems that the short days of late summer-early fall, which act on the three free-living instars, initiate diapause and that subsequent to diapause development, which occurs under short-day conditions, the insect's temperature requirements and temperature summations govern the rate of development and the proper timing of ecdysis in the spring.
Résumé Chrysopa nigricornis qui est prédateur à la fois à l'état larvaire et à l'état adulte, hiverne sous la forme de larve de 3ème stade à l'intérieur du cocon. Une alimentation à base de Myzus persicae assure le développement et la reproduction de cette espèce, tandis que les Pucerons desfèves se révèlent impropres. C. nigricornis montre une diapause facultative induite par des jours courts (LD 12 : 12) agissant sur le premier, le second stade larvaire ainsi que sur la phase libre du 3ème stade. L'exposition d'un quelconque de ces stades larvaires à un jour long (LD 16 : 8) empêche la diapause. Ni le stade uf ni le 3ème stade larvaire inclus dans le cocon ne semblent avoir de rôle dans l'induction ou l'inhibition de la diapause.Les conditions de développement des stades de prédiapause ne sont pas affectées par les régimes de photopériode qu'ils ont subis.Dans les populations de C. nigricornis que nous avons étudiées, et qui proviennent d'Ithaca, New York (42° 27 latitude N) des jours de 13 heures ou moins, provoquaient plus de 50% de diapause, tandis que des jours de 13h.30 ou plus empêchaient la diapause.Sous les conditions d'induction de la diapause (LD 12 : 12), celle-ci se termine spontanément, la mue nymphale du 3ème stade larvaire intervenant 20 semaines après la secrétion du cocon de nymphose. Cependant, si les larves ont subi une LD 16 : 8, la diapause s'achève beaucoup plus tôt, dans un délai de 6 semaines (40 jours) après la secrétion du cocon de nymphose. Durant ces 6 semaines et peut-être plus, peu ou pas développement de diapause ne semble avoir pris place.Nous suggérons que dans la nature les jours courts de la fin de l'été et du début de l'automne agissent sur le ler, le second et le 3ème stade larvaire (phase libre) pour induire la diapause du 3ème stade larvaire inclus dans son cocon de nymphose. Après que le développement de type diapause ait pris place sous l'influence des jours courts, les conditions saisonnières de température et les exigences thermiques de l'insecte interviennent pour régler la vitesse de la morphogénèse et en conséquence le moment même de la mue nymphale.

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9.
The cabbage root fly, Delia radicum (L.), was deterred from laying eggs on cauliflower plants that had been sprayed with a suspension of the frass of caterpillars of the garden pebble moth, Evergestis forficalis (L.). Polar extracts of the frass deterred oviposition irrespective of the cruciferous plant species on which the caterpillars had been feeding. Non-polar extracts of the frass had no effect. Spraying plants with macerates from Brassica leaves stimulated fly oviposition whereas spraying plants with macerates from garlic mustard leaves deterred fly oviposition. Macerates from the leaves of all other plants tested had no effect. In field experiments the deterrent effect persisted 2–3 days after leaves were sprayed with frass extracts. Plants infested with feeding caterpillars and contaminated with only a few discrete frass pellets were as deterrent to the fly as those sprayed with frass suspensions.
Résumé D. radicum a évité de pondre sur des pieds de chou-fleur, qui avaient été pulvérisés avec une suspension d'excréments d'E. forficalis. Les extraits polaires de ces excréments empêchent la ponte quelle que soit l'espère de crucifère sur laquelle les chenilles se sont alimentées. Les extraits non polares sont sans effet. Dans la nature, l'action dissuadante persiste 2 à 3 jours après la pulvérisation des feuilles avec les extraits d'excréments. La pulvérisation tous les deux jours a maintenu l'action dissuadante. Des plantes contaminées par des chenilles en train de s'alimenter et souillées par quelques crottes sont aussi dissuadantes pour la mouche que celles pulvérisées avec une suspension d'excréments.
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10.
The ability of eight antimicrobial food additives to suppress the growth of seven micro-organisms in a chemically defined diet for an insect, Agria affinis auct. nec Fallén, was tested by inoculating a standard number of the microorganisms into the diet and determining the amount of microbial growth and the effects on the rate of growth and survival of the insect. The antibiotics, mycifradin sulfate, streptomycin sulphate, and tetracyn, suppressed the growth of bacteria, and aerosporin suppressed the growth of yeast at concentrations that were innocuous for the insect. Mold inhibitors were less effective, and failed to suppress the growth of a species of Aspergillus. Potassium sorbate suppressed the growth of yeast, bacteria, and species of Penicillium, but only at concentrations that adversely affected the rate of growth and survival of the insect.Antimicrobial compounds that are added to synthetic diets of insects to control contamination by microorganisms must be chosen carefully with due regard for the species of micro-organisms that are responsible for the most serious contamination, for the tolerance of the insect to the effective concentrations of the antimicrobials, and for the nutritional level of the synthetic diet.
Résumé Ce travail montre que les contaminations expérimentales d'un milieu synthétique pour l'élevage axénique des larves d'Agria affinis a des effets défavorables ou nocifs, soit en retardant le développement, soit en provoquant une mortalité des divers stades. L'adjonction d'antibiotiques au milieu d'élevage, peut avec des doses appropriées, éviter les contaminations, sans affecter la croissance ou la survie de l'insecte.Les micro-organismes utilisés pour la contamination du milieu d'élevage sont: 2 bactéries (Serratia marcescens Bizio et Providencia alcalifaciens (De Salles Gomes), 1 levure (Rhodotorula sp.) 4 moississures (Penicillium sp. A, B et C et Aspergillus sp.).Les composés anti-microbiens utilisés sont: 5 antibiotiques (Aerosporin, Sulfate de Mycifradin, Penicilline G potassium, sulfate de Streptomycine, et Tetracyn) 3 mycostatiques (sorbate de potassium, benzoate de sodium et propionate de sodium). La mycifradine, la streptomycine et la tetracyne empêchent bien la développement des deux bactéries testées, l'aerosporine supprime celle de la levure (tout cela à des concentrations non-nocives pour l'insecte). Les mycostatiques furent moins efficaces en particulier contre une espèce d'Aspergillus. Le sorbate de potassium inhibe la croissance de la levure, des bactéries et de Penicillium, mais seulement à des doses qui sont défavorables à la croissance et à la survie de l'insecte. Les micro-organismes semblent exercer leurs effets nocifs en modifiant la consistance ou la valeur nutritive du milieu alimentaire des larves, plutôt qu'en provoquant des infections directes.Le choix des composés anti-microbiens qui peuvent être adjoints à un milieu alimentaire d'élevage pour des larves d'insectes doit donc être réalisé avec soin, en tenant compte d'une part, de leur efficacité réelle sur les germes dont on doit éviter la prolifération, d'autre part, de leur inocuité sur l'insecte aux doses utilisées.
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11.
This study demonstrated how simple, lanate trichomes on the stem of Anaphalis margaritacea (D.C.) inhibit feeding by young nymphs of Philaenus spumarius (L.). Nymphs were caged on stems which were subsequently sectioned and examined for feeding marks. The lack of stylet punctures at sites where nymphs were unable to feed indicated that trichomes prevented the start of stylet penetration rather than interfering with the progress of the stylets after penetration had begun. Trichome resistance declined progressively with spittlebug instar from complete resistance to first instar nymphs through complete absence of resistance to fifth instar nymphs. Discriminant analysis of the effect of number of trichomes per mm2, vertical density, and height on trichome resistance to third instar nymphs revealed that trichome height was the critical factor in resistance. Variation in the percent of nymphs in each instar able to feed when caged on the stem was (1) positively correlated with degree to which the average rostrum length of the instar exceeded the trichome height, (2) independent of trichome density, which was uniformly high on all stems. Trichomes prevented stylet penetration where trichome height exceeded the length of the nymph's rostrum, probably because the necessary stimuli were not received when the sensilla on the tip of the rostrum could not touch the surface of the stem. A similar mechanism may explain resistance of simple trichomes to crop pests in the Cicadellidae.
Résumé Ce travail montre comment des trichomes simples et laineux sur les tiges d'Anaphalis margaritacea (D.C.) inhibent la prise d'aliments par les jeunes larves de Philaenus spumarius L. Les larves ont été encagées sur des tiges qui ont été ultérieurement coupées et les piqûres alimentaires dénombrées. L'absence de piqûres par les stylets aux lieux où les larves ont été incapables de s'alimenter a montré que les trichomes ont empêché le début de la pénétration des stylets plus qu'ils n'ont entravé leur progression après le début de la pénétration. La résistance des trichomes diminue progressivement: totale pour le premier stade larvaire, elle est devenue nulle au cinquième stade. Une analyse discriminante des effets de la densité des trichome par mm2, de la densité verticale, de leur hauteur sur la résistance des trichomes aux larves de 3ème stade, a révélé que la hauteur du trichome est le facteur de résistance. La variation dans le pourcentage de larves de chaque stade encagées sur la tige, capables de consommer, présentait une relation positive avec le degré par lequel la longueur du rostre dépasse la hauteur du trichome, quelle que soit la densité des trichomes qui est toujours élevée sur toutes les tiges. Les trichomes ont empêché la pénétration des stylets quand leur hauteur a dépassé la longueur du rostre, probablement parce que les stimuli nécessaires n'ont pas été reçus quant l'extrémité du rostre ne pouvait pas atteindre la surface de la tige. Un mécanisme semblable peut expliquer la résistance de trichomes simples aux Cicadellidae.
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12.
The deterrent substances diverting D. oleae females from ovipositing on already attacked olives are contained, at least partly, in the juice which trickles from the oviposition wounds. Surprisingly, the water fraction of the olive juice had limited deterrent activity. The principal deterrent stimuli are present in the oil fraction. Acetophenone and benzaldehyde are likely to be involved.Some liposoluble volatile substances can be deterrent to the females as vapours. The deterrent power of olives containing D. oleae larvae is probably linked to these substances.Most deterrent hydro-soluble substances had two contiguous hydroxyls, characterized by a comparative acidity and located in the ortho position in diphenols and somewhat analogously in glycolic acid.Amongst orthodiphenols, Pyrocatechol-the simplest compound-was the most active substance.
Résumé Les jus d'olive qui sourt des blessures dues à la ponte, contient des substances inhibitrices qui empêchent les attaques ultérieures de la mouche de l'olivier.Une telle activité était attribuée à des substances hydrosolubles et, en particuliet, au dihydroxyphenil ethanol.On a testé l'activité inhibitrice des fractions huileuse et acqueuse obtenues par centrifugation de la pulpe des olives, rendue homogène.De facon inattendue, la fraction huileuse s'estavérée posséder une activité inhibitrice environ 20 fois supérieure à celle de la fraction acqueuse.Les différences d'activités inhibitrices d'huile d'olives mûres ou non, ou d'huiles commerciales, permet de penser que l'activité inhibitrice principale est liée à des substances liposolubles présentes dans l'huile.En outre, on a constaté que la pulpe d'olives, broyée, présente une action inhibitrice en l'absence de contact direct avec les femelles. Des substances inhibitrices volatiles sont aussi présentes dans l'huile.Des inhibiteurs volatiles qui se libèrent des tissus lacérés par les larves, peuvent expliquer l'activité inhibitrice des olives attaquées durant la période de développement des larves. Les substances inhibitrices dont la femelle couvre la surface cireuse des fruits, sont, en effet, facilement éliminées par la pluie.Parmi les substances liposolubles dont on connaît la présence dans l'huile, l'aceto-phénone et le benzaldehyde, possèdent un pouvoir inhibiteur prononcé.Les substances hydrolsolubles jouent un rôle mineur dans l'ensemble des stimuli inhibiteurs. Le pouvoir inhibiteur relatif est lié à deux hydroxyles contigus à une fonction acide présente en position ortho dans les diphénols, ceci par analogie avec l'acide glycolique qui possède un hydroxyle en caractérisé par une certaine acidité.Le plus actif orthodiphénol s'est avéré être la pyrocatéchine. Aussi une part des inhibiteurs liposolubles sont des substances liées au biochimisme des phénols.
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13.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

14.
Summary The factors influencing the size of hibernating larvae have been investigated. The large ones are formed early in summer, become quiescent at an important developmental stage known as brain position 0.5, and then pass through a period of slow growth characterised by high ratios of growth rate to development rate. They can be forced to metamorphose by vernal workers or temperatures as high as 25°C when they always yield workers. The medium larvae are formed after the large, and have reached the quiescent diapause stage (brain 0.5) before winter.The small larvae are formed last of all, and do not reach this stage before winter. They are plastic, and their development can be influenced experimentally by varying the worker type and the incubation temperature. Male larvae do not have a diapause.Vernalisation is an essential step in the queen formation process. The ability of large female larvae to sustain a high ratio of growth rate to development rate increases gradually from nil to full during winter. Males and the smallest female larvae are, on the other hand, unaffected. Vernalisation also develops the mechanism by which intercastes are avoided.
Résumé On a déterminé les facteurs qui influencent la taille des larves d'hiver. Les grosses larves qui apparaissent au début de l'été deviennent quiescentes à un stade ontogénétique important désigné par: ganglions cérébroïdes 0,5; puis elles passent par une période de lent accroissement que caractérise la haute raison de la vitesse de l'accroissement par rapport à celle du développement. La métamorphose peut être produite par l'action des ouvrières vernales ou par des températures assez hautes (25°C); de telles larves donnent surtout des ouvrières. Les larves de taille moyenne se produisent après les grosses larves, et elles atteignent le stade de la diapause (ganglion cérébroïde, 0,5) avant l'hiver. Les petites larves se forment les dernières et n'atteignent pas ce stade avant l'hiver. Elles sont plastiques et leur développement peut être modifié expérimentalement si l'on change le type d'ouvrières nourricières et la température d'élevage. Les larves mâles ne subissent pas de diapause.La vernalisation est un processus essentiel pour la production des femelles-(reines). La faculté des grosses larves femelles à soutenir une haute raison de la vitesse de l'accroissement par rapport à celle du développement augmente peu à peu, pendant l'hiver, de zéro jusqu'au maximum. D'autre part, les larves mâles et les plus petites larves femelles ne changent pas. La vernalisation développe aussi le processus par lequel sont évitées les intercastes.

Sumario Por examinación de los factores que influyen el tamaño de las larvas en invernación, se ha determinado que las mayores se forman en la primera parte del verano y quedan durmientes durante un importante estado del desarrollo conocido como (posición cerebral 0,5). Luego pasan por un perido de crecimiento lento caracterizado por alta proporciôn de crecimiento a la proporción de desarrollo.Puédese enforzar su metamorfosis, por medio de trabajadores vernales o temperatura hasta 25°C cuando rinden siempre trabajadores.La larva mediana fórmase después de la mayor y llega al estado durmiente del (diapause) cérebro 0,5 antes del invierno.La larva menor es última en formarse y no llega a este estado antes de comenzar el invierno. Debido a su plasticidad, se puede influir su desarrollo experimentando con la variación de los trabajadores y la temperatura de incubación. Larva del sexo masculino no pasa por este estado.Vernalización es un paso esencial en el proceso de formación de la reina. La abilidad de la larva hembra mayor de sostener un alto porcentaje de crecimiento hasta llegar al de desarrollo, se aumenta gradualmente de cero para completarse durante el invierno.Mientrastanto, los machos y la larva hembra menor quedan sin afectarse. Asimismo la vernalización asiste al desarrollo del mecanismo por el cual se evita fecundación cruzada.
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Diapause in Coccinella transversoguttata can be inhibited by exposing adult females to photoperiod regimens of LD 16 : 8 or 14 : 10 hours. The photoperiod regimen to which the immature instars are exposed has little effect on the diapause status of the adult female.
Résumé Coccinella transversoguttata est un des plus importants prédateurs des Pucerons de la pomme de terre dans l'État du Maine (U.S.A.). C'est la photopériode à laquelle les adultes sont soumis qui conditionne la diapause imaginale de cet insecte: une photopériode jour/nuit de 16 : 8 heures empêche la diapause, alors qu'une photopériode jour/nuit de 12 : 12 heures déclenche la diapause. Un éclairement permanent n'a pas d'effet significatif sur l'inhibition de la diapause. La photopériode à laquelle sont soumis les ufs, les larves et les nymphes n'a guère d'effet sur la diapause des adultes. La photopériode n'a pas non plus d'influence sur le développement larvaire ni sur la mortalité des larves ou des adultes.
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16.
The searching capacity of Pharoscymnus numidicus, determined by criteria of mobility and survival rates, increases with age of larvae. The searching pattern is of a random nature; the predator does not orientate toward its prey, and the direction of its movement is influenced by physical factors such as light. The ability to feed on alternative foods increases the predator's chance to survive under natural food scarcity conditions. In this respect, its cannibalistic behavior is of particular importance for survival. The feeding capacity is dependent on instar, sex, history of larvae in relation to amounts of food previously consumed, atmospheric temperature, and population density of the host insect.
Résumé La capacité de Ph. numidicus de trouver la proie, determinée par la mobilité et le degré de survie, s'améliore avec l'âge des larves. Les mouvements de recherche sont de nature aléatoire; le prédateur ne possède pas le pouvoir de percevoir la proie, et les directions de son mouvement sont déterminées par des facteurs physiques, comme la lumière. La possibilité de se nourrir sur des aliments non-spécifiques augmente les chances de survie dans les conditions d'une pénurie de nourriture naturelle. De ce point de vue le cannibalisme possède une importance particulière pour la survie. La capacité de se nourrir dépend du stade, du sexe, de la nourriture précédente, de la température atmosphérique et de la densité de population de l'insecte-hôte.


Contribution from the National and University Institute of Agriculture Bet Dagan, Israel. 1967 Series; No. 1200-E.  相似文献   

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Evidence is presented in support of the hypothesis that in Piezosternum calidum the mid-gut contents consist of symbiotic bacteria from the gastric caeca, and are not derived from the plant sap ingested. A similar process has been observed in other large sap-sucking Heteroptera, of which Mygdonia tuberculosa (Coreidae) has been studied as an example, the site of bacterial digestion is usually posterior to an interruption in the continuity of the mid-gut, but in P. calidum the gut is continuous and the contents fill it completely. It is suggested that the mid-gut contents of some other sap-sucking Heteroptera with continuous guts may also prove to be derived from their bacterial symbionts.
Résumé Les Hétéroptères suceurs de sève possèdent sur le mesenteron postérieur de nombreux coecums remplis de bactéries symbiotiques. Chez beaucoup d'espèces, par exemple Mygdonia tuberculosa (Coreidae) le mesenteron est interrompu dans sa région moyenne et la partie postérieure renferme un contenu digestif qui représente les bactéries coecales digérées. La partie antérieure contient peu de matière solide provenant de la sève de la plante-hôte. Chez Piezosternum calidum, suceur de sève sur des cucurbitacées; l'intestin moyen n'est pas interrompu et est complètement rempli par un matériel presque solide. Ce contenu digestif est uniforme d'aspect sur coupes histologiques et sa composition riche en acides aminés, le rapproche davantage des bactéries coecales que de la sève de la plante-hôte. Le mesenteron présente d'ailleurs une région très acide où les bactéries pourraient être digérées. Ces bactéries se cultivent sur un milieu à base d'acide urique, de nitrate ou d'ammoniaque, en ce qui concerne la source d'azote. L'utilisation massive des bactéries symbiotiques par l'insecte lui est peut-être nécessaire car la source d'azote dans la plante n'est pas directement assimilable. La continuité de la lumière intestinale est peut-être liée à l'absence dans la sève de la plante d'une substance qui serait nuisible aux bactéries.
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18.
The size of cottonwood (Populus deltoides L. Bartr.) leaf discs used in insect feeding preference trials with the chrysomelid beetle, Plagiodera versicoloraLaich., was shown to affect behavior, and the outcome of the feeding trial. It is suggested that disc size has an effect because it alters the ratio of chemical signals from the cut leaf edge to those of the intact leaf center. The implications of this finding to the design of bioassays; to previously noted differences in feeding behavior for insects on discs versus leaves; and to the study of feeding preference and induction of plant defense are discussed.
Résumé Plagiodera versicolora Laich (Coléo., Chrysomelidae) a préféré significativement consommer les grandes rondelles (diamètre 17 mm) de Populus deltoides préalablement exposées à l'ozone ambiant, aux témoins exposés à de l'air filtré sur charbon de bois. Cependant, quand le diamètre a été réduit à 10 mm, les insectes n'ont plus préféré les feuilles soumises à l'ozone. Les préférences alimentaires de cet insecte consommant le centre des feuilles ont probablement changé parceque les signaux chimiques de la coupure ont surpassé ou masqué ceux des petits disques. Ainsi, le rapport périmètre sur surface du disque est un critère important de la procédure expérimentale. L'influence de la taille du disque dépend vraisemblablement du fait que l'insecte consomme le centre ou la pourtour de la feuille, de la taille de l'insecte et du type d'expérience. Nous en avons déduit que l'effet de la taille du disque est fréquent particulièrement chez les insectes consommant le centre des feuilles.Les modificatons du choix des insectes lorsque les plantes avaient été présentées sous forme de rondelles au lieu de feuilles ou plantes entières, peuvent être expliqués aussi par le changement des signaux provoqué par le découpage des rondelles, plutôt que par l'induction de modifications chimiques dues à la cueillette, comme cela a été précédemment indiqué par différents auteurs. Par ailleurs, dans les conditions naturelles, des changements dans les signaux chimiques des feuilles dus à une consommation antérieure par des insectes, peuvent être aussi importants dans le comportement alimentaire des insectes que n'importe quel changement chimique induit dans les feuilles par les dégâts.
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19.
Summary In the antMyrmica rubra L. (=laevinodis Nyl.) two brood cycles (from egg to adult) run concurrently, and are so phased that eggs and pupae occur together and larvae hatch when new workers are appearing. The mechanism of coordination is investigated. Dephasing experiments in which either the queen or the larvae are added late, although affecting performance adversely in the former case, do not bring to light any strong intrinsic alignment mechanism, even when food is short.The factors affecting the shape and size of brood-type frequency distribution peaks are considered. The pupal peak is later if larvae are small and numerous, or if food is short; and in these conditions worker attention is concentrated on relatively few of the largest. Temperature, if above prepupation threshold, hastens the peak. The egg peak is not much affected by wide variation in the larval population, but is substantially smaller if food is short. There is evidence that the queen's total annual output is limited so that a bad start may be later compensated orvice versa.Extrinsic co-ordinating influences are then considered, and it is found that the temperature relations of developmental processes may be adapted by natural selection so that the brood pattern is set in motion and controlled each year by the rise and fall in mean temperature. By spring, the whole colony is ready to respond to warmth, and larval growth, oviposition and prepupation start in that order. Once set in step in this way they so remain owing to the isochronism of incubation, metamorphosis and larval life. The season closes when as a result of independent parallel changes in queen and worker respectively, oviposition ceases and larval dormancy gives way to prepupation.
Resumen En la hormigaMyrmica Rubra L. (=Laevinodis Nyl.), concurren dos períodos de cría de huevos a adultos en cuyas fases los huevos y crisálides ocurren juntos y la larva sale al mismo tiempo que aparecen las nuevas trabajadoras.Se investiga el mecanismo de coordinación. Experimentando con las fases es decir, agregando mas tarde ya sea la reina o la larva, aunque afecta adversamente el funcionamiento de la reina, no se produce ningún mecanismo esencial de alineación aun cuando es poco su alimento.Se consideran los factores que afectan figura y tamaño de pico de distribución de frecuencia del tipo cría.En las crisálides, el pico ocurre más tarde si la larva es pequeña y numerosa o si el alimento es escaso y en estas condiciones la atención de la trabajadora se concentra sobre relativamente pocas de las más grandes.La temperatura si sobre comienzo de la crisálide, adelanta el pico de distribución. En el huvo el pico no se ve muy afectado por la variación en la populación de la larva pero es considerablemente mas pequeña si escasea el alimento.Es evidente que la producción total anual de la reina es escasa asi que un mal principio compensaríase quizá, o vice versa.Luego se consideran las influencias de coordinación ajenas y se encuentra que la relación de temperatura de procesos de desarrollo se pueden adaptar por medio de selección natural asi que se empieza el tipo de cría y se controla anualmente por el aumento y disminución de temperatura. Al llegar la primavera, toda la colonia esta lista para el calor y aun cuando puede crecer la larva y puédense poner algunos huevos a temperaturas medianas no es hasta que ocurre un aumento importante que empiezan el estado pre-crisálide y colocación de huevos cuantitativa. Una vez empezado esto permanecen juntos puesto que la formación del embrio y metamorfosis, toman el mismo período. La temporada se cierra cuando como resultado de cambios paralelos independientes en la reina y trabajadora respectivamente, cesa la colocación de huevos y adormecencia larval da lugar al estado pre-crisálide.

Résumé Chez la FourmiMyrmica rubra L. (=lævinodis Nyl.), on remarque deux cycles de couvaison (depuis l'uf jusqu'à l'insecte adulte) qui se déroulent simultanément et qui sont ordonnés de telle façon qu'il se trouve en même temps des ufs et des nymphes et que l'éclosion de larves corresponde à l'apparition de nouvelles ouvrières.Examen du système de coordination.Les expériences introduisant des erreurs de phase par suite de l'introduction tardive de la reine ou des larves ont, dans le premier cas, relevé une influence défavorable à l'évolution normale; néanmoins, elles n'ont mis en lumière aucun mécanisme d'alignement essential, même lorsque l'alimentation est restreinte.Étude des agents pouvant modifier la forme et l'ampleur des pointes de la distribution de fréquence de couvées-type. La pointe de la nymphose est retardée si les larves sont nombreuses ou s'il y a carence alimentaire. Dans ces conditions, les soins des ouvrières visent particulièrement un petit nombre de larves choisies parmi les plus grosses. Si la température subit une hausse alors que la nymphose se prépare, elle active l'apparition de la pointe. De grandes variations de la population larvaire modifient peu la pointe de ponte, mais celle-ci est sensiblement réduite par une carence alimentaire.On peut démontrer que le rythme de ponte de la reine varie au cours de l'année; de ce fait, un mauvais début peut être compensé par la suite et réciproquement.Si l'on étudie ensuite la coordination des conditions externes, on trouve que les rapports existant entre les températures de développement sont susceptibles de s'adapter par sélection naturelle; en conséquence, la marche de la couvaison s'amorce et se règle ensuite chaque année sur les variations de la température moyenne.Dès le printemps, la colonie entière est à même de réagir à la chaleur et, quoique des températures modérées n'empêchent ni la croissance des larves ni une légère ponte, la préparation à la nymphose et la ponte abondante ne se déclenchent qu'après une élévation sensible de température. Ainsi commencés, les deux cycles se développeront de pair, puisque l'embryogenèse et la métamorphose accusent toutes deux le même mouvement périodique. La saison se termine lorsque, par suite de modifications s'opérant en même temps mais indépendamment chez la reine et les ouvrières respectivement, la ponte cesse; l'engourdissement de la larve cède alors le pas à la préparation de la nymphose.
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20.
The survival and liveweight gain of Rhopaea morbillosa and Anoplognathus spp. larvae were determined in pot experiments over 9 weeks. Liveweight gain was greatest at soil moistures about two-thirds field capacity, and where 4% of soil was replaced with manure. Trifolium repens caused a significant reduction in liveweight gain compared with grasses. The reduction of liveweight gain in the absence of plants was not significant.Increased soil moisture caused a decline in survival, and the addition of manure to soil increased survival. Phalaris tuberosa tended to cause high mortality in Rhopaea. Trifolium and Phalaris caused more than half the Anoplognathus to fail to pupate.
Résumé La survie et le gain en poids vif de Rhopaea morbillosa Blackburn (Melolonthinae, Coleoptera) et de Anoplognathus spp. (Rutelinae, Coleoptera) on été déterminés par des essais en pots durant une période de neuf semaines. Le gain en poids vif le plus important a été obtenu avec des humidités du sol situées aux environs des deux tiers de la capacité au champ, et quand on ajoutait 4% de fumier (en poids) au sol. Les gains ont été les mêmes pour les deux espèces de scarabaeides avec Dactylis glomerata, Festuca arundinacea et Lolium perenne. Avec Phalaris les gains avaient tendance a être plus réduits qu'avec les trois autres herbes. Trifolium repens a provoqué une réduction significative de la vitesse de croissance des larves du deuxième stade de Anoplognathus et des larves du troisième stade de Rhopaea, par comparaison avec Dactylis et Lolium. Avec Trifolium et Phalaris sans fumier, plus de la moitié des larves d'Anoplognathus ne réussirent pas à se métamorphoser en nymphes. Le gain en poids vif de R. morbillosa n'était pas réduit d'une façon plus significative en l'absence de plantes.Une augmentation de l'humidité du sol a provoqué une diminution de la survie, et des additions de fumier l'augmentèrent. La survie des larves du deuxième et du troisième stades de R. morbillosa fut limitée avec Phalaris en l'absence de fumier, par contre la survie avec Trifolium fut de 100% pour les deux stades larvaires. La survie des larves du second stade d'Anoplognathus a été faible avec Trifolium sans fumier.
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