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1.
Des cellules réticulaires remplies de molécules de ferritine et d'hémosidérine se trouvent au centre "d'ilots érythroblastiques." Dans la zone de contact entre la cellule réticulaire chargée de ferritine et les érythroblastes, on voit des invaginations et des petites vacuoles au bord desquelles adhérent des molécules de ferritine. Il est postulé que la ferritine passe de la cellule réticulaire centrale dans les érythroblastes par ce mécanisme, apparenté à la pinocytose (rhophéocytose). Dans tous les érythroblastes normaux, il existe du fer sous forme de ferritine. Celle-ci peut se trouver à l'état dispersé ou agglomérée en amas. Lorsque ces amas sont assez gros, ils sont visibles au microscope optique: ce sont les granules des sidéroblastes. On trouve du fer dans les mitochondries, mais rarement à l'état normal. Il est soit sous forme de granules ferritiniques soit sous forme de micelles ferrugineuses. Dans les thalassémies et d'autres maladies s'accompagnant d'un trouble de l'hémoglobinogénèse, on trouve, en grande quantité, du fer visible au microscope électronique, dans les érythroblastes. Il s'y trouve sous forme de ferritine, en amas ou dispersé. Il existe parfois en grande quantité dans les mitochondries soit sous forme de ferritine, soit sous forme de micelles ferrugineuses. Il semble que soit objectivé ainsi le trouble de la synthèse de l'hémoglobine: le fer inutilisé s'accumule dans des érythroblastes hypochromes. Il est probable qu'à l'etat normal, le fer est métabolisé dans les mitochondries. Dans le thalassémies et les anémies hypochromes hypersidérémiques, il semble souvent bloqué dans ces organites.  相似文献   

2.
RESUME. L'individualisation de 2 spores bicellulaires à partir d'un měme pansporoblaste caractérise la sporulation du parasite de l'Amphipode Orchestia gammarellus (Pallas) précédemment décrit sous le nom de Marteilia sp. Cette sporulation le distingue des espèces du měme genre parasite d'Hutres qui sont toutes caractérisées par la production de spores tricellulaires. Les conditions semblables dans lesquelles les pansporoblastes paraissent se differencier à partir d'une cellule souche dans laquelle ils poursuivent leur évolution vers la sporogenèse ainsi que divers caractères cytologiques communs, nous incitent à maintenir tous ces parasites dans une měme famille mais à placer celui de l'Amphipode dans un genre différent. Nous proposons de le nommer Paramarteilia orchestiae gen. n., sp. n.
Ces parasites ne peuvent ětre maintenus dans les Protozoaires en raison de leur évolution vers la pluricellularité et de l'individualisation de ces éléments somatiques que représentent la cellule souche primaire, les pansporoblastes et cellules sporales (à l'exception des sporoplasmes). Il semble logique de les inclure dans l'embranchement des Myxozoaires créé par Grassé pour les Myxosporidies et Actinomyxidies qui différencient également des spores pluricellulaires et des éléments somatiques. Les centrioles à 9 singlets de P. orchestiae ainsi que les cellules primaires uninucléées, quel que soit le nombre de pansporoblastes qu'elles contiennent, peuvent ětre considérés comme des caractères résiduels d'Unicellulaires.  相似文献   

3.
J. Dufrenoy 《Protoplasma》1930,11(1):303-311
Conclusions Les pédicelles des poils absorbants deDrosera, les nodosités radicales deMelampyre ou deMyrica, l'insertion des hampes florales de Phanérogames parasites, c'est-à-dire les organes qui servent plus spécialement à l'absorption, et qui sont la voie de transport de matières nutritives solubles, sont pauvres en bois: autour des vaisseaux ligneux, rares et peu différenciées, nous trouvons toujours, dans le tissu libérien, des cellules vivantes, allongées et disposées en files, contenant des vacuoles tanniques. Dans les pédicelles des poils deDrosera, nous savons depuisDarwin que le système vacuolaire se fragmente en une série de petites vacuoles filamenteuses lorsque les cellules sont le lieu de passage de matériaux nutritifs solubles (en particulier de protides).Des modifications identiques affectent le vacuome des cellules périvasculaires des nodosités radicales ou des hampes florales de Phanérogames parasites, et y font apparaître des formes filamenteuses de vacuoles analogues à celles qui caractérisent le «phénomène de l'agrégation». Ces vacuoles filamenteuses sont colorables vitalement par le rouge neutre. Elles sont mises en évidence, après fixation mitochondriale, sous forme de canalicules homologues des «canalicules de Holmgren» ou des «Canaux de Golgi».Ces vacuoles filamenteuses s'observent dans les territoires cytoplasmiques riches en mitochondries. Leur présence parait trahir la formation ou le passage de matériaux nutritifs solubles, et plus particulièrement, de protides solubles.  相似文献   

4.
Deux types de structure kystique ont été observés au microscope éectronique. Dans le ler, qui correspond aux kystes d'infection ou gamontokystes, la cellule est relativement libre dans l'enveloppe kystique. Celle-ci est formée de 2 couches distinctes d'inégale épaisseur (ectokyste, endokyste) sécrétées par la cellule et doublées intérieurement par un mince feuillet cytoplasmique dûà une extension des plis cuticulaires. C'est la seule modification du cortex cellulaire. Par contre, dans le 2ème type les modifications sont beaucoup plus importantes. La cellule est étroitement accolée aux parois du kyste; crêtes et flagelles ont disparu de la surface. Cependant on retrouve leurs traces dans la région corticale, sous forme d'axonèmes intracytoplasmiques plus ou moins désorganisés et d'empilements de saccules associés à des rangées de microtubules. Ce seraient des kystes de résistance. Les structures observées dans ces derniers kystes nous permettent de discuter quelques idées sur la participation des microtubules et des systèmes membranaires à la morphogénèse du cortex des Opalines.  相似文献   

5.
The effect of nitrate and nitrite on long-term chlorophyll fluorescence has been studied in filamentous blue-green algae. Cells grown autotrophically with nitrate as nitrogen source show, under argon atmosphere, a high level of fluorescence. The addition of either nitrete or nitrite induces a significant fluorescence quenching, but, whereas in the case of nitrite no previous treatment is required, in the case of nitrate the cells have to be sonicated or treated with Triton X-100 in advance without destroying their cellular integrity. DCMU strongly inhibits the quenching of fluorescence caused by nitrate or nitrite. Using cells grown with ammonia, a nutritional repressor of the two enzymes of the nitrate-reducing system, the fluorescence quenching observed in either case becomes negligible. These results clearly indicate that both nitrate and nitrite can physiologically act as primary Hill reagents in photosynthesis in blue-green algae.
Résumé L'effect du nitrate et du nitrite sur la fluorescence de la chlorophylle a été étudié chez quelques algues bleues filameneuses. Les cellules alimentées avec du nitrate montrent, sous argon, un haut niveau de fluorescence. L'addition de quantités égales de nitrate et de nitrite induit une diminution significative de la fluorescence, mais si, dans le cas du nitrite, un traitement préalable n'est pas nécessaire, dans le cas du nitrace, les cellules doivent être traitées légèrement aux ultra sons ou avec du Triton X-100, sans détruire leur intégrité cellulaire. Le DCMU inhibe sévèrement la diminution de fluorescence causée par le nitrate ou le nitrite. Dans les cellules alimentées avec l'ammoniaque, un répresseur des deux enzymes du système de réduction du nitrate, la diminution de fluorescence devient negligeable quel que soit le composé employé. Enfin, ces résultats montrent clairement que tant le nitrate que le nitrite peuvent être des réactifs primaires et physiologiques de la réaction de Hill dans la photosynthèse de nitrate en algues bleues.

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6.
Sommaire Chez la femelle de cobaye gravide, une injection intracardiaque de 200 mg/kg d'alloxane provoque en 6–8 hs, une pycnose généralisée des cellules B des îlots endocriniens du pancréas; 18–20 hs après l'injection, les acini exocrines en bordure des îlots devenus nécrotiques se différencient et prolifèrent des cordons de cellules endocriniennes. Cette régénération intense et rapide est pratiquement achevée 42 hs après l'injection.L'effet, sur le pancréas foetal, de l'alloxane injectée à la femelle gravide, varie suivant le stade de développement atteint par le tissu endocrine au moment de l'injection. Pendant la phase de différenciation, aux dépens de l'épithélium des canaux, des premières cellules A (emb. de 13 mm, 25e jour) et B (emb. de 27 mm, 34e jour), puis de prolifération de cordons aboutissant à la formation des îlots primitifs dits îlots à manteau (foetus de 58 mm, 43e jour), les cellules B sont totalement réfractaires à l'action de l'alloxane. Chez les foetus ayant atteint 75 mm (50–51e jour), les premiers îlots à architecture définitive ont fait leur apparition par remaniement secondaire des îlots à manteau, processus qui continuera jusqu'à la naissance. Dès que ce stade est atteint, l'alloxane injectée à la mère provoque la pycnose généralisée des cellules B dans les îlots définitifs alors que les îlots à manteau voisins restent intacts. Il semble donc que les cellules B doivent atteindre un certain degré de maturité pour être sensibles à l'alloxane.  相似文献   

7.
Résumé— Dans le but d'étudier la localisation cytologique de I'AChE dans divers tissus de Gymnote, nous avons préparé un antisérum anti-AChE en utilisant une préparation commerciale partiellement purifiée, contenant une forme globulaire de l'AChE G p. Cet antisérum réagit dans le test de double diffusion avec l'enzyme purifié G p, mais également avec la forme globulaire spontanée G b, ainsi qu'avec les trois espèces 'natives' asymétriques A , C et D . Nous avons mis en évidence l'existence de ces quatres formes G b, A , C et D dans des extraits de cerveau, de moelle épinière et de muscle de Gymnote. La forme globulaire G b est particulièrement abondante dans la moelle épinière et à un moindre degré, dans le cerveau. La distribution des espèes est identique dans le muscle et l'organe électrique. Grâce à notre antisérum, nous avom Iocalisé par immunofluorescence indirecte l'AChE dans les terminaisons nerveuses sur le muscle, dans le cytoplasme de certains neurones situés dans le centre moteur de la décharge (moelle épinière) et au voisinage du noyau central de la décharge (cerveau).  相似文献   

8.
Résumé Les variations du volume du protoplasme pendant le développement ont été suivis chezD. virilis etD. melanogaster. Le protoplasme de l'uf fraîchement pondu remplit la membrane vitelline; bientôt, il se produit une contraction de volume, et il se forme un ellipsoïde. Le protoplasme continue à sa contraction pendant quelque temps, puis il se produit à une augmentation de volume. La projection des cellules polaires se fait immédiatement après cette augmentation. Celle-ci est élevée après la formation des cellules polaires et le volume atteint alors un maximum. Pendant cette période, la formation du blastoderme s'accomplit. Ensuite, pendant la période de la formation de la gouttière ventrale, le volume de l'embryon se réduit à nouveau; mais cela la contraction se limite à la partie céphalique seulement. Dans l'embryon létal nullo X, la contraction et l'augmentation de volume se font comme dans l'embryon sain, bien que les noyaux n'exécutent pas leur migration centrifuge. La relation entre la variation de volume et la migration des noyaux est discutée.  相似文献   

9.
Resumé

Corrélation entre le nombre des chromosomes et les dimensions des microscopores dans la taxonomie botanique. spectre génétique pollinique.

Le concept de proportion domine dans la nature vivante. L'intéraction du noyau et du cytoplasme détermine sur le volume de ce dernier et en conséquence sur la cellule à l'état jeune, une régulation des dimensions cellulaires.

Non seulement la forme des divers pollens, mais aussi leurs dimensions (en tenant compte des fluctuation possibles), constituent des caractères qui peuvent avoir une importance taxonomique, tant par eux memes que par le fait d'etre mis en rapport avec les nombres des chromosomes.

On a déjà constaté que le numéro diploïde 24 est le plus fréquent, soit dans le règne animal que dans le régne végétal et que les numéros diploïdes compris entre 12 et 32 sont plus fréquents dans les plantes, que les autres numéros. Corrélativement l'A. a constaté que le diamètre équatorial le plus fréquent dans les pollens est celui de 23–25 microns; suivent, avec des fréquences décroissantes, les mesures 16–14–18–32–12 etc. microns.

De même, tandis que les numéros diploïdes éleves (2a = 100–200) sont très rares dans les plantes, les espéces avec des pollens à grains volumineux sont elles aussi en nombre très réduit.

Parmi les Convolvulacées, au nombre chromosomique diploïde 2n = 14 de Cuscuta europaea correspondent des microspores de 18–25 μ à 2n = 50 de Convolvulus arvensis, microspores de 50–70 μ, tandis que les Ipomées ayant un nombre élevé de chromosomes (2n = 60, 2n = 90 ca.) ont des grains de pollen d'un diamètre de 150–210 microns. Parmi les Nyctaginacées, le genre Bougainvillea (2n=20) a des pollens de petites dimensions dont le diamètre equatorial est de 30–40 microns, tandis que le genre Mirabilis (2n = 58) a des graines de pollens de grandes dimensions, de 160–226 microns de diamètre.

Bien d'autres exemples de corrélation semblables, appartenant à plusieurs genres et families de plantes, peuvent être cités, sur la base de l'examen des pollens de plus de 1000 espèces.

Si des espèces de proche parenté et semblables au point de vue de la taxonomie, diffèrent entre elles par le nombre des chromosomes respectifs, elles diffèrent aussi quant aux dimensions des pollens.

Le cardinal diamétrique equatorial des grains de pollens des espèces vraisemblablement élémentaires et de leurs variétés est souvent très proche du cardinal chromosomique diploïde des entités respectives; il est quelquefois un des ses multiples, très rarement un sous-multiple.

Tandis que la proportionalité entre les dimensions des grains de pollen et le nombre des chromosomes est fréquente dans les espèce élémentaires, elle nè se rencontre pas dans beaucoup d'autre cas, à cause de l'interférence de la polyploïdie. Dans les Cucurbitacées, aux pollens avec grains de 20 et 22 μ (Bryonia dioica, Momordica charantia) correspondent 2n = 20 et 2n = 22 respectivement; tandis que dans les espèces à gros grains de pollens (Cucurbita pepo: 170 μ; Cucumis sativus: 72–76 μ) ont a trouvé jusqu'à present: 2n = 40,42 (80) et 2n = 14,28 respectivement.

Une des manifestations de la polyploïdie, est la présence dans les pollens de macro-grains, de grains abortifs, de sillons et de pores aberrants, en somme de grains atypiques par leur forme et parfois aussi par leur coleur, présence qui, outre à indiquer l'origine hybride, peut, dans certains cas, inciter à faire des recherches sur les parents supposés et à tirer un plus grand parti de ces caractères.

Dans bien de cas il est possible de dessiner les spectre des pourcentages selon lesquels les différentes entités on concouru à la constituion de la variété ou de la cultivar.

L'A. propose d'appeler un tel diagramme: spectre génétique pollinique. [Agrave] le définir concourent aussi bien les différences morphologiques et microchimiques, que le pourcentage des grains physiologiquement inactifs (abortifs).

La biométrie est très utile dans l'interprétation des préparations microscopiques hétérogènes des allopolyploïdes.  相似文献   

10.
Résumé La greffe de pancréas foetal chez le rat alloxanisé (une injection d'alloxane de 100–250 mg/kg) corrige immédiatement et définitivement le diabète. La sécrétion d'insuline est, au début, assurée par le greffon puisque dans les îlots du pancréas de l'hôte l'alloxane a provoqué la destruction totale des cellules B. Durant les deux premières semaines qui suivent la bréphoblastie, les îlots sont le lieu d'une prolifération massive de cellules A; les premières cellules B néoformées apparaissent vers le 15e jour mais la proportion normale des cellules AB n'est rétablie que 1 1/2 à 2 mois après l'implantation de la greffe. Au fur et à mesure de la régénération des cellules B, la fonction insulinique des îlots du pancréas de l'hôte se substitue à celle du greffon qui dégénère progressivement.Chez les rats pancréatectomisés et greffés, la sécrétion d'insuline est également assurée par le greffon pendant le 1er mois environ. La régénération du pancréas à partir de reliquats pancréatiques laissés dans la région de la confluence des canaux de Wirsung et biliaire, aboutit, à 3 1/2 mois, à une polynésie d'îlots, souvent volumineux et irréguliers, formés presqu'exclusivement de cellules B. La glycémie restant constamment normale, la sécrétion d'insuline est ici encore dans une première phase, assumée par le greffon qui dégénère, par la suite, au fur et à mesure que les îlots du régénérat sont capables de secréter de l'insuline en quantité suffisante pour assurer l'équilibre glycémique.La prolifération et la néogenèse des cellules A, comme celles des cellules B, se font essentiellement aux dépens des cellules des acini exocrines qui perdent leurs caractères de cellules exocrines (disparition des granulations de zymogène et de la réserve de RNA) et prolifèrent en gros bourgeons plasmodiaux A ou B. La différenciation de cellules endocrines se fait également, mais plus rarement, à partir de l'épithélium des petits canalicules secrétoires sous acineux.Bréphoplastie = greffe d'organe foetal; terme créé par R. M. May.  相似文献   

11.
Résumé Les utricules, glandes annexes de l'appareil génital mâle deBlatella germanica, constituent un organe à la fois excréteur et sécréteur. Ils comportent un épithélium simple, formé d'un seul type de cellules qui cumulent ces deux fonctions. Le réticulum endoplasmique a un rôle primordial dans l'élimination des substances provenant de l'hémolymphe et qu'il transporte vers la lumière sous forme dissoute ou après cristallisation. L'excrétion des urates s'effectue en moins de 15 mn, la cristallisation en moins de 3 h. Les sphérocristaux sont constitués de plusieurs couches concentriques. Ils contiennent des urates et divers ions: Mg, K, Ca, P, Na, Cl, S et Cu. La structure et la fonction des utricules sont comparées à celles des tubes de Malpighi, la composition ionique des cristaux à celle de cristaux d'autres organes d'excrétion ou d'accumulation.
Cyto-physiological observations on a peculiar excretory organ in the insectBlatella germanica L.
Summary The Utricules, male accessory glands ofBlatella germanica are both excretory and secretory organs. They are formed by a simple epithelium composed of one type of cells which performs those two functions. The endoplasmic reticulum plays an important role in the elimination of substances — either in solution or crystallized — from the haemolymph. The excretion of urates is initiated in less than 15 mn, crystallisation in less than 3 h. The concretions include numerous concentric strata which contain uric acid and a number of ions: Mg, K, Ca, P, Na, Cl, S, and Cu.A morphological and physiological comparison has been envisaged between the Utricules and the Malpighian tubules; also the ionic constitution of the concretions is compared with the composition of other excretory or accumulatory organs.

Avec la collaboration technique de Mme C. Davy.  相似文献   

12.
Deux types de diffuseurs en caoutchouc (Michelin) et en plastique polystratifié (Hercon®) sont testés en laboratoire pour étudier quelques aspects des phénomènes de diffusion. Trois composantes phéromonales, le Z9-12: Ac, le 12: Ac et le Z9-14: Ac imprégnées dans ces différents supports servent à détermineer le rôle joué par la longueur de la chaîne de la molécule et la présence de doubles liaisons sur la vitesse de diffusion. L'influence de la température, de la vitesse du vent et de l'humidité est déterminée en cellules climatisées.Parmi les facteurs relatifs à la structure chimique, l'influence de la longueur de la chaîne est prédominante par rapport à la présence d'une double liaison. Parmi les facteurs climatiques, le vent agit plus que la température sur la diffusion, alors que l'humidité paraît secondaire.  相似文献   

13.
Citrus leaves, banana squash and lemon fruit, labelled by photosynthesis, have been used as a source of 14C for red scale, Aonidiella aurantii (Mask.). The distribution of the isotope amongst the constituents of these plants has been studied using chemical methods of separation and chromatography.In citrus leaves, whether they were labelled as discs in the laboratory or in situ in the field, activity occurred as sucrose initially, but within 5 days a comparable amount was present in the amino acid, proline, and also in the insoluble carbohydrates, the proportions remaining fairly stable for long periods. Although the total activity of the leaf discs did not decrease with time, the activity of successive groups of newly hatched red scale larvae which fed on these discs for 10 days, fell significantly. It is suggested that due to the interaction of the insects' saliva with plant tissue, areas where red scale fed became depleted in activity. Sap obtained from the labelled discs contained activity in the form of sucrose and proline, but the body fluid from the mature female red scale contained activity in sucrose only.In banana squash and in lemons most of the activity occurred in the form of sugars, principally sucrose, with glucose taking up a greater proportion in the lemons; there was no appreciable activity in amino acids and a much smaller fraction in the insoluble carbohydrates.
Résumé On a utilisé des feuilles de citronnier, des courges () et des fruits de citronnier, marqués par photosynthèse, comme source de 14C pour la cochenille rouge, Aonidiella aurantii. La distribution de l'isotope parmi les constituants des tissus végétaux, c'est-à-dire, les sucres, les acides aminés et les hydrates de carbone insolubles, a été étudiée en utilisant des méthodes chimiques de séparation et de chromatographie.Les feuilles de citronnier furent marquées soit sous forme de disques au laboratoire, soit à l'état de feuilles intactes sur une branche d'arbre vivant. Dans les deux cas la radioactivité était présente d'abord sous forme de sucrose, mais après 5 jours une quantité comparable était présente dans un acide aminé, la proline, et dans les hydrates de carbone insolubles, et cela dans des proportions restant assez stables pendant de longues périodes. Le suc extrait des disques marqués, sur lesquels se sont nourries les cochenilles rouges, montre une radioactivité du sucrose et de la proline, mais le liquide de l'hémocoele de la femelle mûre de la cochenille rouge ne se révèle radioactif que sous forme de sucrose.Bien que la radioactivité totale des disques de feuilles de citronnier ne diminue que très lentement à la longue, l'activité moyenne obtenue par des groupes successifs de larves de cochenilles rouges récemment écloses, se nourrissant sur ces disques pendant 10 jours, diminue beaucoup plus rapidement. La différence ne peut être expliquée ni par le transport de l'isotope des fractions solubles aux fractions insolubles du tissu de feuille, ni par son prélèvement par les insectes suceurs; on considère comme probable que cette différence traduit la réaction de la plante à l'injection de salive par les insectes, ce qui conduirait à une respiration augmentée et une photosynthèse diminuée dans les régions du tissu foliaire où se nourrissaient les insectes.Chez les courges l'activité se maintient dans les régions qui ont été exposées à la lumière pendant la photosynthèse; cependant une quantité minuscule est transportée vers d'autres parties du fruit. L'activité est concentrée dans le sucrose et, dans une mesure moins importante, dans le glucose; il n'y a pas d'activité appréciable dans les acides aminés, et une fraction minime dans les hydrates de carbone insolubles, comparée à l'activité dans les feuilles de citronnier.Chez les citrons la quantité absorbée pendant la photosynthèse dépend d'une façon marquée de la maturité des citrons: les citrons verts absorbent une activité presque 10 fois supérieure à celle absorbée par des citrons mûrs. L'activité est partagée entre le sucrose et le glucose, et il n'y a pas d'activité appréciable dans les autres fractions.

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14.
Résumé Chez les deux Columbidae étudiés, les cellules C sont présentes à la fois dans les corps ultimobranchiaux et dans la thyroïde. Les corps ultimobranchiaux sont constitués de cordons renfermant des cellules glandulaires et des cellules bordantes. Dans certaines zones périphériques de la thyroïde, des cordons ultimobranchiaux typiques sont localisés dans les espaces interfolliculaires et sous-capsulaires. Des cellules C folliculaires basales analogues à celles de la thyroïde du mammifère sont rarement observées.Les caractères morphologiques des cellules C sont identiques quelle que soit leur localisation: ultimobranchiale, thyroidienne extrafolliculaire ou folliculaire basale. Les granules sécrétoires diffèrent légèrement par leur forme chez le pigeon et le tourtereau; leur diamètre moyen est plus variable d'une cellule à l'autre chez le pigeon.Des contacts neuroglandulaires existent au niveau des cordons glandulaires localisés dans les corps ultimobranchiaux et dans la thyroïde. Leur signification reste obscure.
Ultimobranchial and thyroidian localization of C cells in two Columbidae: the pigeon and the turtle-doveAn electron microscopic study
Summary In the two Columbidae we studied, C cells are present both in the ultimobranchial bodies and in the thyroid. Ultimobranchial bodies consist of cords which are made up of glandular cells and limiting cells. In certain peripheral regions of the thyroid, typical ultimobranchial cords are situated in the interiollicular and infracapsular spaces. Basal follicular C cells similar to those of the mammalian thyroid are rarely observed.The morphological characteristics of the C cells are identical whatever their situation may be: ultimobranchial or thyroidian, be it extrafollicular or basal follicular. The secretory granules differ slightly by their shape in the pigeon and the turtle-dove; their medium diameter varies more from one cell to another in the pigeon.Neuroglandular contacts exist at the level of the glandular cords situated in the ultimobranchial body and in the thyroid. Their signification is not clearly understood.
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15.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

16.
DNA and histones were studied by cytophotometry, in cartilaginous cells from urodele amphibians (Triturus vulgaris and Triturus cristatus) during ageing. With the Feulgen reaction, the DNA colorability decreased and their acid hydrolysis was more difficult. The coloration of the histones linked to DNA in chromatin was also changed. The results are discussed in relation to numerous works on deoxyribonucleoprotein modifications during cell ageing.ADN et histones ont été étudiés par cytophotométrie dans les cellules cartilagineuses d'Amphibiens Urodèles (Triturus vulgaris et Triturus cristatus) au cours du viellissement. Nous avons observé une baisse des affinités tinctoriales des ADN et une augmentation de leur résistance á l'hydrolyse acide pratiquée dans le cadre de la réaction de Feulgen. La colorabilité des histones associées aux ADN dans la chromatine est aussi modifiée. Tous ces résultats sont discutés en liaison avec les nombreux travaux effectués sur les modifications des désoxyribonucléoprotéines au cours du viellissement cellulaire.  相似文献   

17.
Electron microscopy of thin sections of two mosqulto-toxic isolates ofBacillus thuringiensis H-14 showed inlcusions that varied in shape, size and stainability. The shape of some of these inclusions have not been reported before. Uitrastructural analysis of sporulation and parasporal crystal development shows that the insecticidal inclusions are initiated at the stage of axial filament formation during sporulation. In most of the inclusions there is a common subunit, formed first, which has a regular geometrical shape (rhomboid, hexagonal rectangular, trapezoid or pentagonal). Later added sub-units are more amorphous and this leads to a variety of inclusion shapes which appear at the end of sporulation. Some of these reguiar moleties develop in different ways, leading to cubical, rhomboid or parallelogramic-shaped crystais. In a freeze-tractured cell, the internal fracture faces of a crystal are seen. The size of the sub-units of this crystal was about 5×5 nm. For French summary, see next page.
Résumé La microscopie électronique de sections minces de deux isolates deBacillus thurigiensis H-14, toxiques pour les moustiques révèle des inclusions de forme, de taille et de comportement à la coloration variables. La forme de certaines de ces inclusions n'a pas été rapportée auparavant. L'analyse ultrastructurale de la sporulation et du développement cristallin parasporal montre que les inclusions insecticides sont initiées au stade de la formation des filaments axiaux pendant la sporulation. Dans la plupart de ces inclusions, il y a une sous-unité commune formée d'abord, qui a une forme géométrique régulière (rhomboïde, hexagonale, reclangulaire, trapézoïdale ou pentagonale). Les sous-unités ajoutées par la suite sont plus amorphes et ceci conduit a une variété de forme des inclusions qui apparaît à la fin de la sporulation. Certaines de ces parties régulières se développent de diverses manières ce qui conduit à des cristaux cubiques, rhomboïques ou de forme parallélogramique. On peut voir les faces internes du cristal dans les cellule fracturées sous gel. La taille des sousunités de ce cristal était de 5 nm sur 5 nm environ.
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18.
Résumé Les chalones 1 et 2, extraites de l'intestin de pleurodèle adulte, inhibent en phase G1 et G2 respectivement les cycles mitotiques de l'épithélium intestinal embryonnaire. Les effets de ces chalones sur la prolifération et la différenciation cellulaires dans ce tissu ont été étudiés en fonction de la dose injectée, du stade de développement et de la durée du traitement. L'inhibition provoquée par la chalone 2 est proportionnelle à la dose injectée entre deux seuils de concentration. Le quart environ des cellules intestinales en activité mitotique est insensible à la chalone 2 même à la suite d'injections répétées de l'inhibiteur. Seules les cellules intestinales des embryons âgés (stade 34) sont sensibles à cette chalone et répondent par un allongement de la phase G2 qui, malgré des injections répétées de l'inhibiteur, n'excède pas une vingtaine d'heures. La sensibilité des cellules de l'épithélium intestinal à la chalone 1 se manifeste à la fin du développement (stade 33), comme dans le cas de la chalone 2. A l'égard de la chalone 1, la population cellulaire en activité mitotique dans l'intestin embryonnaire apparaît hétérogène et comprend: 50% de cellules aptes à être inhibées par des doses faibles de chalone 1; 25% de celludes aptes à n'être inhibées que par des doses de chalone 1 cent fois plus élevées et 25% environ de cellules insensibles à cet inhibiteur. Les injections répétées de chalone 1 bloquent définitivement en phase G1 la moitié environ des cellules en activité mitotique dans l'épithélium intestinal indifférencié au stade 34; en outre, elles accélèrent la consommation du vitellus, favorisent la différenciation des cellules à mucus et diminuent le nombre des cellules constituant les nids sous-épithéliaux qui apparaissent au stade 36 et représentent le compartiment générateur de l'épithélium intestinal. Les réultats obtenus permettent de proposer un modèle de cinétique de la prolifération cellulaire au cours de la différenciation de l'épithélium intestinal du pleurodèle; de plus, ils conduisent à l'hypothèse que le nombre de divisions subies par une cellule embryonnaire et le taux de chalone dans le tissu auquel elle appartient, sont les deux signaux complémentaires qui déclenchent le blocage du cycle mitotique et l'achèvement de la différenciation dans cette cellule.
Relationships between the cell proliferation and the differentiation in the embryonic and larval intestine ofpleurodeles waltlii michah. II. Effects of intestinal chalones extracted from the intestine of the adult newt
Summary The intestinal chalones 1 and 2, extracted from the intestine of the adult newt, are known to inhibit the G1 and G2 phases of the cell cycle in the embryonic intestine. The effects of these intestinal chalones on the proliferation and differentiation of intestinal cells of newt embryos were studied with special attention to the dose-response relationship, the embryonic stage and the duration of treatment. The chalone 2 triggered a linear, dose-dependent inhibition between two concentration thresholds; nevertheless about 25% of the cycling cells were not inhibited either by the highest doses injected or by repeated injections. Sensitivity to chalone 2 appeared in the intestinal epithelium at the end of embryonic development (stage 34) but the cells were not delayed in the G2 phase for more than about 20 h in spite of repeated injections. It was inferred from the doseresponse curve of the mitotic inhibition by chalone 1, that the intestinal cell population was heterogeneous: about 50% of the cycling cells were inhibited by low concentrations of chalone 1; an additional proportion of about 25% of cycling cells was inhibited by 100 x more concentrated chalone 1 and the remaining 25% was insensitive to the inhibitor. Repeated injections of chalone 1 blocked about 50% of the cycling cells definitively in the G1 phase, speeded up digestion of yolk platelets, promoted the differentiation of goblet cells and depressed the number of stem cells in the proliferative compartment located beneath the epithelium. A kinetics model of cell proliferation and cell differentiation in the intestinal cell lineages was elaborated and it was suggested that the arrest of mitotic activity and the completion of differentiation in an embryonic cell depends on two incoming signals: one is intracellular and appears when the required number of cell cycles has occured in the cell lineage, leading to a committed stem cell sufficiently differentiated to synthesise chalone and to respond to chalone; the other signal is extracellular and appears when the chalone concentration is high enough: i.e. when the required number of cells is obtained in this tissue.
Ce travail a bénéficié de l'aide du CNRS (ATP No A655 1799) et de l'INSERM (AT No 74142036)  相似文献   

19.
Summary Four cases of hair invasion by Microsporum gypseum are reported. In three the scalp was involved and in one, the beard. All presented a kerion type of invasion. In 3 cases hair penetration was of the ectothrix type, while in one case the kerion of the scalp resembled the type of invasion seen in T. schönleini infection. None of the invaded hairs showed fluorescence in Wood's light. The soil was the source of infection in 3 patients, the fungus having been isolated from soil samples collected in the vicinity of the houses of these patients through the hair bait method. In one case the source of contamination was the family dog, in which scaly, alopecic, follicularlike lesions caused by the same agent were found.
Résumé Quatres cas avec l'invasion des cheveux par Microsporum gypseum sont ici rapportés. Dans trois cas le cuir chevelu a été afecté, dans un cas la barbe.Tous les cas présentaient l'aspect clinique du Kérion de Celse. Le type ectothrix de l'invasion a été observé dans 3 cas, tandisque le quatrième — un Kérion du cuir chevelu — le type de l'invasion ressemblait de très près celui trouvé dans l'infection par T. schönleini. Les poils invadés n'étaient pas fluorescents dans la lumière de Wood. Le sol a été la source d'infection pour 3 malades, l'agent étant isolé à partir des échantillons de terre collectés en voisinage des maisons des malades. Dans un cas la source de contamination a été le chien de la famille, qui présentait des lésions alopéciques, a type de folliculite, causées par le même organisme.
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20.
Résumé Des hypophyses de jeunes rats de 10 jours greffées sous la capsule du rein exercent une activité lutéotrophique alors que, lorsqu'elles sont transplantées en divers points de l'hypothalamus, elles n'ont pas exercé cette action. Dans ces deux groupes d'animaux un traitement oestrogénique a déterminé l'hypertrophie des corps jaunes ovariens et une mucification vaginale, montrant l'inhibition de l'oestrogène par la progestérone provenant des corps jaunes activés. Cependant, tandis que cette inhibition s'est maintenue après hypophysectomie chez les animaux greffés sous la capsule du rein, elle a rapidement disparu après ablation de l'hypophyse en place chez ceux transplantés dans l'hypothalamus.Du point de vue morphologique, l'hypophyse greffée dans l'hypothalamus montre une structure différente de celle greffée sous la capsule du rein uniquement dans des localisations précises correspondant à l'aire hypophyséotrophe de Halász, Pupp et Uhlarik et plus particulièrement au voisinage des noyaux arqués: de nombreuses cellules gonadotropes apparaissent dans ces greffons. Dans d'autres localisations, ces cellules font défaut et la greffe est constituée de cellules à prolactine qui sont les éléments dominants des greffes sous la capsule du rein. Après stimulation oestrogénique, toutes les greffes que leur siège soit hypothalamique ou rénal sont constituées de cellules à prolactine stimulées. Cependant, les greffes hypothalamiques n'ont pu libérer la prolactine qu'elles élaborent.Le contact hypothalamique semble doncavoirempêché la libération mais non la synthèse de de prolactine par les greffons. Le mécanisme de cette inhibition ainsi que celui de l'action des oestrogènes sur le lobe antérieur sont discutés.
Summary Pituitaries from young 10-day old rats, when transplanted under the renal capsule, show luteotropic activity, whereas grafted to various hypothalamic sites they do not. In these two groups of animals, estrogen treatment has led to hypertrophy of the corpora lutea and mucification of the vagina, showing inhibition of estrogen by the progesterone derived from active corpora lutea. Whereas this inhibition was maintained in hypophysectomized animals with renal grafts, it disappeared quickly in hypophysectomized animals that had received hypothalamic transplants.Morphologically, hypothalamic grafts of pituitary differ in structure from those in the renal capsule only when located in specific regions corresponding to the hypophyseotropic area of Halász, Pupp, and Uhlarik, and more specifically in the vicinity of the arcuate nuclei: numerous gonadotropic cells appear in these grafts. In other locations these cells are missing and the grafts consists of prolactin cells which are the dominant elements in grafts under the renal capsule. After estrogen stimulation, all grafts, be they hypothalamic or renal, consist of stimulated prolactin cells. However, the hypothalamic grafts were unable to liberate the prolactin that they produced. Thus contact with the hypothalamus seems to have prevented the liberation but not the synthesis of prolactin by the grafts. The mechanism of this inhibition, as well as that of the effect of estrogen on the anterior lobe are discussed.


Travail effectué avec l'aide d'une subvention du Ponds National de la Recherche scientifique belge. — En hommage au professeur Bargmann, dont les importantes découvertes sur les phénomènes de neurosécrétion ont largement contribué à une meilleure compréhension des relations hypothalamo-hypophysaires, avec nos sincères félicitations à l'occasion de son 60 ème anniversaire.  相似文献   

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