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1.
La nervation des élytres d’Acrididae de la région ouest paléarctique a été étudiée au moyen de 2 méthodes de morphométrie de manière à faire ressortir les caractères adaptatifs relatifs à la stridulation et les marqueurs de phylogénie. Huit Points de Repère (PR) situés dans la région proximale des élytres, incluant le champ médian, ont été considérés pour l’analyse de morphométrie géométrique. L’importance relative des champs a été appréhendée par ACP. Il apparaît que le dimorphisme sexuel des PR caractérise les espèces à stridulation de forte intensité chez le mâle (Gomphocerinae et Stethophyma grossum). Les mâles présentent par rapport aux femelles un élargissement des champs sous-costaux antérieur et postérieur, et du champ radial, lié à un déplacement distal de la bifurcation entre les radiales antérieure et postérieure, ce qui entraîne un élargissement de la surface de résonance. L’élargissement du champ cubital antérieur est une déformation propre à la tribu des Locustini et n’a pas de valeur adaptative apparente.  相似文献   

2.
RESUME. Deux espèces d'Enteromonas sont observées, provenant, l'une de l'intestin de Triton, l'autre des crottes du Lapin domestique. La cellule piriforme porte un noyau antérieur et 4 flagelles insérts près du pôle ventral du noyau. Le flagelle récurrent (R) est logé dans une dépression ventrale ou cytostome. Les cinétosomes, disposés en une paire antérieure (#1, #2) et une paire postérieure (#3, R), sont liés entre eux par des microfibrilles. Une fibre microtubulaire située au-dessus du noyau est reliée au cinétosome #1. Une autre fibre microtubulaire sous-nucléaire est homologue de la fibre microtubulaire croisée qui existe chez les cellules de Diplozoaires. Le cytostome est bordé par 2 lèvres: la gauche proéminente et armée par plusieurs rangées de microtubules, la droite contenant seulement une mince fibre microtubulaire associée à des microfibrilles. Le cytostome occupe les 2/3 de la face ventrale. Le flagelle récurrent pénètre dans le cytostome puis dépasse l'extrémite de la cellule. Les Bactéries sont phagocytées au fond du cytostome, entre les 2 lèvres distendues. Elles sont digérées dans les nombreuses vacuoles et les corps résiduels sont évacués par rupture de la membrane cellulaire. L'ergastoplasme est concentré près de la périphérie de la cellule. Il n'y a pas de mitochondrie ni d'appareil de Golgi. Dans les kystes observés la cellule plurinucléée est enfermée dans une enveloppe kystique microfibrillaire, les axonèmes sont libres dans le cytoplasme. Les formes diplomonades sont nombreuses et ressemblent aux cellules d'Hexamita, excepté par le cytostome qui est différent. Dans ces formes, les 2 monades sont souvent disposées selon une symétrie axiale binaire mais quelquefois elles sont associées de façon plus anarchique. La cinétide d'Enteromonas est organisée comme celle d'un zoïde de Diplozoaire. Il est possible que le genre Enteromonas soit à l'origine des Diplomonadida et que l'état diplomonadien transitoire chez Enteromonas se soit stabilisé ensuite chez les Diplomonadida. Enteromonas apparaît plus primitif que les autres genres de Diplomonadida aussi nous proposons de créer 2 sous-ordres: celui des Enteromonadina avec le genre Enteromonas et celui des Diplomonadina avec les genres Trepomonas, Trigonomonas, Hexamita, Spironucleus, Octomitus, Giardia. La disposition des cinétosomes et l'existence du cytostome sont les principaux caractères communs entre Enteromonas et les Retortamonadida, cependant les fibres annexes ne sont pas homologues. Une étude plus complète de la division nucléaire et cellulaire de ces 2 ordres de Zooflagellés est nécessaire pour donner un meilleur schéma évolutif. SYNOPSIS. Fine structure of 2 species of Enteromonas, one from the intestine of the salamander, Triturus vulgaris, and another from the feces of domestic rabbit, Oryctolagus cuniculi, is described. The pyriform cell has an anteriorly located nucleus. The 4 flagella originate from an area near the anterior end of the nucleus. The recurrent flagellum (R) is lodged in a ventral depression or cytostome. The kinetosomes, arranged into 2 pairs, anterior (#1, #2) and posterior (#3, R), are interconnected by microfibrils. One microtubular fiber, connected to kinetosome #1, is situated near the anterior surface of the nucleus. Another, subnuclear, microtubular fiber is homologous to the “crossed'’fiber found in Diplozoa. The cytostome is bordered by 2 lips: the preeminent left lip is equipped with several rows of microtubules, while the right lip contains only a thin microtubular fiber associated with microfibrils. The cytostome occupies 2/3 of the ventral surface. The recurrent flagellum passes over the anterior surface of the cell and then comes to lie in the cytostome. The bacteria are phagocytosed in the bottom part of the cytostome between the 2 distended lips. They are digested in numerous vacuoles. The undigested residual bodies are evacuated by a rupture of the cell membrane. The ergastoplasm is concentrated near the cell periphery. Mitochondria and the Golgi apparatus are absent. In the cyst stage, the multinucleate cell is enclosed in a microfibrillar membrane; the axonemes lie free in the cytoplasm. Diplomonad forms of Enteromonas resembling Hexamita are numerous, except that the cytostome is different in these 2 genera. In such forms, the arrangement of the 2 individuals often has binary axial symmetry, but on occasion they are associated in a more anarchic fashion. The mastigont of Enteromonas is organized like that of a single zooid of a diplozoon. It is possible that the genus Enteromonas is ancestral to Diplomonadida and that the diplomonad state, transitory in Enteromonas, became permanently established in Diplomonadida. Enteromonas appears to be more primitive than the other genera of Diplomonadida. Thus we propose 2 suborders: Enteromonadina, subord. nov. with the genus Enteromonas, and Diplomonadina Wenyon, emend., with the genera Trepomonas, Trigonomonas, Hexamita, Spironucleus, Octomitus, Giardia. The arrangement of the kinetosomes and the existence of a cytostome are the principal characters common to Enteromonas and Retortamonadida, while their “accessory'’fibers are not homologous. A more complete study of division of the 2 zooflagellate orders is necessary for the presentation of a more detailed evolutionary scheme of these groups.  相似文献   

3.
In Loimosina, during spermiogenesis, the zone of differentiation of the spermatid contains two centrioles continued as two 9 +‘1’axonemes. One of the axonemes lengthens and will become the principal axoneme of the spermatozoon. The other axoneme is as long as the first one at the beginning of spermiogenesis, but is shorter in the mature sperm cell. The spermatozoon consists of several regions: (a) at the anterior end, the centriolar derivative of the principal axoneme; (b) a short region which shows cortical microtubules coinciding with external ornamentations; (c) a long uniflagellate region, with mitochondrion; (d) a biflagellate region containing the anterior slender part of the nucleus; (e) the posterior part of the nucleus, with no accompanying cytoplasmic organelles. Spermiogenesis and sperm structure in Loimosina differ from what is known in all other described monogeneans, excepting the monocotylid Heterocofyle to which they show close resemblances. However, the alteration of the second axoneme is more complete in Heterocofyle than in Loimosina. Comparative study of spermiogenesis and sperm ultrastructure thus shows an interesting coincidence with classical phylogenies of the monogeneans, in which the families Loimoidae and Monocotylidae are closely related. Chez Loimosina, pendant la spermiogenèse, la zone de différenciation de la spermatide contient deux centrioles prolongés par deux axonemes de type 9 +‘1′. L'un des axonemes s'allonge et deviendra l'axonème principal du spermatozoïde mûr. Le deuxième axontme est aussi long que le premier au début de la spermiogenèse, mais il est plus court dans le spermatozoïde mûr. Le spermatozoïde comprend: (a) à l'avant, le dérivé centriolaire de l'axonème principal; (b) une courte région contenant quelques microtubules corticaw longitudinaux coincidant avec des omementations extramembranaires; (c) une longue région miflagellée avec mitochondrie; (d) une région biflagellée contenant La partie antérieure effilée du noyau; (e) la région postérieure du noyau, sans organites cytoplasmiques accompagnateurs. La spermiogenèse et la structure du spermatozoïde de Loimosina sont différentes de ce qui est connu chez tous les autres Monogènes décrits, excepté le Monocotylidae Heterocofyle auquel elles ressemblent beaucoup. Toutefois, l'altération du deuxième axonème est moins complète chez Loimosina que chez Heterocotyle. L'étude comparée des spermatozoïdes et des spermiogenèses montre une bonne coincidence avec les phylogenèses classiques, dans lesquelles les familles Loimoidae et Monocotylidae sont proches.  相似文献   

4.
B. Le Rû  Y. Iziquel 《BioControl》1990,35(2):173-183
Résumé Cet article présente les résultats obtenus en 1987 sur des points non encore abordés précédemment dans le cadre de l'étude des circonstances épidémiologiques favorisant le déroulement de l'Entomophthorose àNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, pathogène de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Hom.: Pseudococcidae). Il montre notamment que l'évolution de la maladie, très rapide, correspond à la succession de 2 phases: une première phase, d'implantation, fortement liée à la taille et à la structure des colonies et une deuxième phase (épizootique au sens strict) indépendante de leur taille et de leur structure. Son évolution appara?t plus liée à la régularité des pluies qu'à la quantité d'eau. Les conditions sont très favorables quand l'humidité relative est supérieure à 90% pendant au moins 5 heures par jour de fa?on régulière. Le r?le important joué par la durée d'humectation du feuillage est montré ici pour la première fois. La densité des conidies du pathogène dans l'air est proportionnelle aux taux de mycose observés dans les populations deP. manihoti.   相似文献   

5.
L'analyse expérimentale du comportement de la femelle de Pimpla instigator, hyménopTÈre parasite de chrysalide, précise les stimuli qui lui permettent de localiser son hôte. Pimpla possède une acuiTÉ sensorielle particulièrement efficace dans le processus de découverte de l'hôte. L'olfaction permet à cet hyménopTÈre parasite de percevoir l'hôte à distance. La forme, qui n'est per?ue qu'après contact direct, joue un rôle déterminant pour déclencher l'acte de ponte. Ce criTÈre forme n'est cependant pas indispensable puisqu'en son absence, Pimpla per?oit, grâce à son seul sens olfactif, la présence de l'hôte-chrysalide.  相似文献   

6.
Au cours de leur transit épididymaire, les spermatozo?des rencontrent un environnement varié, au regard des protéines avec lesquelles ils rentrent en contract. Dans la partie proximale de l'épididyme, ils sont soumis à l'action d'enzymes, et exposés à des protéines susceptibles de modifier les membranes. Dans la partie moyenne prédomine une autre catégorie de protéines et d'enzymes; celles associées au transport de stérols pourraient modifier les membranes spermatiques afin de permettre l'ancrage de protéines de liaison à la zone pellucide: P 34H et CD52. Dans la partie distale les spermatozo?des rencontrent des activités croissantes d'enzymes lytiques, des protéines impliquées à la fois dans la liaison à la zone pellucidé et la fusion ovocytaire, l'antigène de maturation CD 52, une activité anti-microbienne, et enfin des agents décapacitants qui facilitent leur survie avant l'éjaculation. L'adhérence des protéines aux différents domaines membranaires (comme la région antérieure ou le segment équatorial de l'acrosome) peut dépendre de la nature de la protéine, de la composition lipidique de la région membranaire concernée, et de l'environnement ionique dans la lumière épididymaire. La localisation des protéines sur le spermatozo?de, qu'il soit à acrosome intact (membrane acrosomique) ou acrosome-réagi (segment équatorial) pourra dicter leur r?le, concernant par exemple la fixation à la zona (P 34H), ou la liaison à l'ovocyte (gp 20). Les protéines comme les membranes peuvent être modifiées durant le transit épididymaire par des enzymes qui peuvent ajouter ou retirer des sucres et des peptides de la surface spermatique.  相似文献   

7.
Deux types de structure kystique ont été observés au microscope éectronique. Dans le ler, qui correspond aux kystes d'infection ou gamontokystes, la cellule est relativement libre dans l'enveloppe kystique. Celle-ci est formée de 2 couches distinctes d'inégale épaisseur (ectokyste, endokyste) sécrétées par la cellule et doublées intérieurement par un mince feuillet cytoplasmique dûà une extension des plis cuticulaires. C'est la seule modification du cortex cellulaire. Par contre, dans le 2ème type les modifications sont beaucoup plus importantes. La cellule est étroitement accolée aux parois du kyste; crêtes et flagelles ont disparu de la surface. Cependant on retrouve leurs traces dans la région corticale, sous forme d'axonèmes intracytoplasmiques plus ou moins désorganisés et d'empilements de saccules associés à des rangées de microtubules. Ce seraient des kystes de résistance. Les structures observées dans ces derniers kystes nous permettent de discuter quelques idées sur la participation des microtubules et des systèmes membranaires à la morphogénèse du cortex des Opalines.  相似文献   

8.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

9.
Résumé

Au cours des dernières décennies, les essais de régénération du chêne-liège en forêt de la Mamora se sont heurtés à des attaques massives de vers blancs sur les racines des jeunes plants, avec un taux de réussite des plantations ne dépassant guère 12% dans la majorité des parcelles de régénération. La biologie de Sphodroxia maroccana Ley (Coleoptera : Melolonthidae), le ravageur principal, a été en partie élucidée, avec encore des lacunes concernant la période exacte ?émergence des mâles par rapport aux femelles, la longévité des imagos et la sex-ratio. La sècheresse esti vale est parmi les autres causes de dépérissement des jeunes plants. Lors de la première année suivant la plantation dans des parcelles expérimentales, la mortalité cumulée due aux attaques larvaires et à la sècheresse a varié entre 41% et 68% selon les blocs considérés dans les parcelles. La mortalité liée aux attaques des larves de S. maroccana était comprise entre 24 et 43%, avec une distribution en taches des dégâts, plus ou moins importantes selon la densité initiale des plants. L’isolement par micro-extraction en phase solide des effluves femelles de S. maroccana a permis ?identifier le résorcinol (1,3-benzènediol) comme composé phéromonal présumé. La fonction de cette molécule comme phéromone reste toutefois à démontrer.  相似文献   

10.
Y. Carton 《BioControl》1973,18(1):25-39
Résumé L'analyse expérimentale du comportement de ponte dePimpla instigator Hyménoptère,Ichneumonidae) sur des chrysalides dePieris brassicae a permis de montrer que ce parasite choisissait préférentiellement une certaine région (2e et 3e segments abdominaux) de l'h?te pour déposer ses œufs. Pour localiser cette zone, la femelle dePimpla prend comme repère les extrémités antérieure et postérieure de la chrysalide. Cette implantation des œufs est favorable à l'espèce; c'est en effet dans cette région de l'h?te que le taux de réussite de développement des œufs est le plus élevé.
Summary Experimental investigations onPimpla instigator show that females of this parasitic Hymenopteron are able accurately to select a site for the placement of their eggs in the body of Lepidopterous pupae (Pieris brassicae). For this purpose, the female takes its bearings in relation to the extremities of the pupa. Thus the female inserts its ovipositor in the second and third thoracic segments of the pupa. I have demonstrated that physiological defense reactions (cellular immunity) against eggs ofPimpla are weaker in this part of the host body than in others.
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11.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

12.
Résumé

Ce travail a pour objectif l’étude de quelques aspects bio-écologiques de la cochenille violette, Parlatoria oleae Colvée 1880, bio-agresseur des cultures de l’Olivier en régions arides. Le suivi du cycle biologique ainsi que la démo-écologie de ce ravageur ont été réalisés grâce à des dénombrements périodiques des populations sur les différents organes de l’arbre (méthodes de Vasseur &; Schvester) de décembre 2010 à décembre 2011 dans la région d’Ain Touta (nord-est algérien). L’espèce y a montré deux générations par an : une génération printanière se développant entre avril et juillet et une génération automnale évoluant entre août et octobre. La ponte débuta en avril et s’échelonna jusqu‘à la fin septembre. L’exposition nord est la plus favorable à cette diaspine qui y trouve des conditions microclimatiques optimales pour son développement. La ponte moyenne est de 8 à 9 ?ufs par femelle. L’analyse statistique de l’effet des conditions climatiques étudiées (températures minimale, maximale et moyenne ; précipitations, gelée et indice d’aridité De Martone) sur les effectifs des différents stades, montre une grande variabilité d’un stade à un autre. L’analyse statistique établie révèle également que les effectifs de l’espèce présentent des variations très hautement significatives selon l’orientation dans l’arbre d’olive colonisé.  相似文献   

13.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

14.
Les analyses polliniques ont été effectuées sur 40 échantillons de miel qui proviennent des deux grandes régions phytogéographiques situées dans la province de León (N.O. de l'Espagne). La densité pollinique (grains de pollen/g de miel), est de moins de 10.000 grains/g dans 27 échantillons, de 10.000 à 50.000 grains/g dans 12 miels et de 50.000 à 100.000 grains/g dans 1 seul cas.

Treize miels monofloraux ont été typifiées: 3 de châtaignier (Castanea sativa) 1 de bruyère dont 4 d'Erica sp, 2 d'E. umbellata et 1 d'E. arborea, 1 de tournesol (Helianthus annuus) et 2 de lavande (type Lavandula pedunculata). Les autres miels sont tous multifloraux.

Dans l'ensemble des miels analysés, 122 formes de pollen on pu être identifiées. Les types polliniques Erica australis, Genista florida, Lotus corniculatus, Trifolium repens, Mentha aquatica, Plantago lanceolata, Poaceae, Prunus, Rubus ulmifolius et Salix fragilis ont été identifiées dans 80% des échantillons provenant des deux régions phytogéographiques alors que ceux de Cistus ladanifer et de Lavandula pedunculata sont typiques des seuls miels de la région Méditerranéenne. Dans la région phytogéographique Eurosibérienne, les communautés végétales les mieux représentées dans les spectres polliniques ce sont celles à gênets, à bruyères et à épineux. Dans les miels de la région Méditerranéenne il y a également une bonne représentation des genêts, des bruyères et des épineux qui font cependant partie d'associations végétales différentes comme l'indique la présence de Lavandula pedunculata, Lavandula sampaiana et Cistus sp.  相似文献   

15.
Résumé. La leishmaniose cutanée est un important problème de santé publique dans la province de Sidi Kacem au nord-ouest du Maroc. L'incidence de cette affetion, due aussi bien à Leishmania tropica qu'à L. infantum est en augmentation progressive depuis 1997. La présente étude a été menée dans le but d'étudier l'écologie et la dynamique des populations des vecteurs de cette maladie dans les principaux foyers de cette province. Un total de 4504 spécimens appartenant à deux genres et six espèces a été capturé à l'aide de pièges adhésifs et lumineux, dans cinq foyers. Les espèces dominantes sont Phlebotomus sergenti représentant 42,6% du total des phlébotomes capturés et P. longicuspis avec 27,2% des captures. Ces deux espèces sont présentes de mai à novembre et évoluent en deux générations avec deux pics de densité, le premier en juin et le second en septembre. En considérant la grande spécificité vecteur-parasite connue en épidémiologie des leishmanioses ainsi que l'abondance des espèces capturées pendant la saison favorable à la transmission, P. sergenti et P. longicuspis seraient respectivement les vecteurs les plus probables des leishmanioses à L. tropica et à L. infantum dans la région étudiée. Le risque de transmission de la maladie serait plus grand durant le deuxième pic de densité en fin été- début automne.  相似文献   

16.
Pendant sa diapause reproductrice, la teigne du poireau ne présente pas d'activité sexuelle. La reprise de cette activité, après l'hiver, est essentielle au maintient de la population. Chez les insectes qui ont subi la diapause (D), la durée de copulation est plus courte, et la période précédant la copulation est plus longue que chez les insectes matures (M). Deux caractères intéressants sont observés chez les insectes D après la levée de leur diapause: l'apparition d'un pourcentage de doubles copulations et d'insectes qui copulent après la fin de la scotophase, ce, les ♀♀ matures possèdent des ovocytes en rétention dans les oviductes. Le nombre augmente jusqu'à l'âge de 3 jours environ. Par contre, les ♀♀ en diapause n'ont aucun ovocyte à l'émergence. Sous conditions levant la diapause, ces ♀♀ atteignent leur production ovarienne maximum après une douzaine de jours. L'évolution du nombre des ovocytes dépend de la copulation et de la présence de la plante-hôte. Celle-ci est essentielle pour la ponte et intervient sur la production ovarienne, aussi bien chez les ♀♀ D que chez les ♀♀ M.  相似文献   

17.
18.
Résumé

Wasmannia auropunctata (Roger 1863) est une fourmi originaire d’Amérique du Sud. Elle a été introduite au Gabon vers 1920 par des agronomes qui l’ont utilisée comme agent de lutte biologique contre certains insectes parasites du cacaoyer. Aujourd’hui, cette fourmi se retrouve en zone forestière même hors des anciennes plantations de cacaoyers. Depuis 1984, sa présence a été signalée dans le parc national de la Lopé qui fait partie des réserves protégées du Gabon. Des études antérieures réalisées en Nouvelle-Calédonie ont montré que la présence de W. auropunctata a d’énormes conséquences sur la biodiversité car elle a fait disparaître l’ensemble des fourmis de cette région. Quel peut donc être l’impact de sa présence au Gabon dans la zone de la Lopé? Ces études préliminaires de l’impact de W. auropunctata sur la biodiversité de la Lopé ont consisté à évaluer la dispersion de cette espèce et la densité relative des autres espèces de fourmis en présence sur le site. Les résultats montrent que W. auropunctata se répartit selon un gradient décroissant du point d’introduction vers l’intérieur de la forêt jusqu’à une distance de 120 m. Il n’y a pas de W. auropunctata au-delà de cette distance. Du point d’introduction jusqu’à 80 m de distance, la densité relative des autres espèces de fourmis varie de 0 à 10 %. Lorsqu’il y a forte densité de W. auropunctata, les autres espèces de fourmis sont absentes.  相似文献   

19.
REGULAR ARTICLES     
《Biometrics》2006,62(2):636-643
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20.
Dans le but de préciser Ies désplacements migratoires de Agrotis ipsilon, des analyses polliniques ont été réalisées a partir de lavage de têtes entières (surface, trompes et antennes) de papillons mâles sur neuf échantillons correspondant à neuf piégeages effectués en Camargue (France) entre le 28.III et le 05.V.1989 et sur un piégeage d'individus mâles et femelles le 20.IX.1989 au Col du Glandon (2000 m, Savoie, France). Les traitements chimiques classiques de la palynologie ont été appliqués à des groupes de 10 têtes par piégeage donnant une image pollinique de la population.

Les résultats obtenus mettent en éevidence des quantités de pollens recueillies et une richesse taxonomique largement suffisantes pour l'établissement de spectres polliniques. Elles attestent la présence de pollens de plantes à pollinisation entomophile mais aussi anémophile (35%). Les taxons rencontrés appartiennent à la flore locale (Tamarix, Matthiola, type Genista, Brassicaceae, Gentianaceae, Rosaceae et Saxifragaceae) et lointaine (Citrus, Eucalyptus, Ostrya, Castanea, Betula, Alnus et Hedera). La reconnaissance dans les spectres polliniques des genres appartenant au citronnier, clémentinier, charme-houblon ou à l'eucalyptus suggère une migration sud-est/est a partir de la Corse ou de la région Alpes-Cote-d'Azur. Une migration sud (Afrique du Nord) est suspectée par la présence de pollens en dehors de leur période de pollinisation (Olea et Castanea). Dans l'état actuel de nos observations, il n'a pas encore été possible de mettre en évidence des taxons nord-africains. Les ressources nectarifères ont pu être précisées: Salix, Citrus, Eucalyptus, Ligustrum, Castanea et Brassicaceae.

Pollen analysis were carried out on moths [Agrotis (Scotia) ipsilon] collected on two sites in south-east France, one near the Mediterranean sea (Camargue), the other in the Alps, at 2000 m altitude. A spring migration from east and south-east (Corsica and the French Riviera) was found at the Camargue site, while a possible fall migration from the North (Lyon area) appeared in the Alps. In addition, the analyses indicate that moths visit certain nectariferous floral sources.  相似文献   

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