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1.
The construction and use of a device the virgin chamber, for preventing houseflies, Musca domestica L., from copulating are described. The flies emerge between two horizontal plates kept at a distance of 5 or 4 mm and may be kept in this chamber for 1–3 days before the sexes are separated. The method is regularly used at the Danish Pest Infestation Laboratory for providing unmated flies for selection for resistance to insecticides. Original tests showed that all eggs produced by flies that stayed 1–3 days in the device were infertile, but in recent experiments a small proportion of fertile eggs were found.
Résumé La construction et l'utilisation d'une chambre de virginité, pour empêcher la copulation de M. domestica L. est décrite. Les mouches émergent entre deux plaques horizontales séparées par 4 à 5 mm et sont maintenues dans cette chambre pendant 1 à 3 jours jusqu'à la séparation des sexes. Il s'agit d'une méthode de routine du Laboratoire Danois des Animaux Nuisibles qui fournit des mouches vierges en vue de la sélection pour la résistance aux insecticides. Les tests originels ont montré que tous les ufs pondus par les mouches qui avaient séjourné de 1 à 3 jours dans le dispositif étaient stériles, mais dans des expériences récentes une faible proportion d'ufs fertiles a été observée dans quelques tests.
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2.
Egg production under laboratory conditions was examined over the lifespan of Heliothis zea (Boddie) and Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae). Although H. zea oviposits singly and S. ornithogalli oviposits in masses, temporal trends were similar. Egg numbers peaked shortly after mating and then rapidly declined. Egg weights also peaked shortly after mating, but decreased gradually over time. Temporal oviposition patterns were more erratic for unmated than mated females, suggesting the importance of mating in establishing the shape of the oviposition curve.
Résumé La production d'ufs d'Heliothis zea (Boddie) et de Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae) durant toute la vie adulte a été examinée au laboratoire. Bien que H. zea dépose ses ufs isolément et que S. ornithogalli les dépose en groupes, les courbes temporelles d'oviposition chez des individus fécondés sont similaires. Le nomber d'ufs culmine peu après l'accouplement, puis décline rapidement. Le poids des ufs culmine aussi peu après l'accouplement, puis décroît graduellement. Des femelles fécondées produisent environ deux fois autant d'ufs que les femelles non fécondées, quoique la longévité ne diffère pas significativement entre les deux groupes. Des femelles non fécondées montrent des distributions temporelles plus irrégulières que des femelles fécondées, en ce qui concerne le nombre des ufs et leur poids. Ces irrégularités ont été attribuées à la tendance des femelles non fécondées à retenir leur ufs, ce qui suggère que l'accouplement exerce une influence sur la forme de la courbe temporelle d'oviposition. Des femelles d'H. zea contenant un, deux ou trois spermatophores n'ont pas produit des nombres d'ufs significativement différents.
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3.
Résumé Une femelle pondeuse de Poliste ne réagit pas e la même façon envers les deverses catégories d'ufs qu'elle rencontre sur le nid. Notamment, il arrive qu'elle détruise systématiquement tous ceux qui proviennent d'autres femelles (ufs étrangers), alors qu'elle respecte les siene propres. Cette différence de traitement selon l'origine de l'uf définit l'oophagie différentielle.On cherche à analyser, dans le présent article, divers facteurs, internes et externes, qui sont à l'origine de ce comportement.Dans la société polygyne, l'oophagie différentielle devient le privilège de l'individu . Cette spécialisation d'une seule Guêpe dans l'oophagie assure l'homogénéité du couvain: en règle, toute la descendance provient de la même mère.
Summary A laying female ofPolistes does not react in the same manner to the different categories of eggs which she encounters in the nest. Particularly, she may exterminate systematically all those layed by other females (foreign eggs) while she respects her own. This difference of treatment occording the origine of egg defines the differential oophagy.In that paper, various internal and external factors which may be the start of that behaviour, are analysed.In the polygynous society, the differential oophagy becomes the privilege of the subject . This specialization of a single wasp in the oophagy assure the homogeneity of the brood: as a general rule, all the progeny comes from the same mother.

Zusammenfassung Eine LegerinPolistes reagiert nicht auf die selbe Art bei den verschieden Kategorien die sie antrifft im Nest. Namentlich kommt es vor dass sie systematisch alle Eier vernichtet die sie von anderen Weibchen vorfindet (d. h. fremde Eier), während sie ihre Eigenen respektiert. Diese unterschiedliche Behandlung je nach herkommen des Eies bezeichnet mandifferentiale Oophagie In diesem Artikel versucht man die verschiedenen intern und extern Faktoren zu analysieren, sowie was das Benehmen ihres Ursprungs sind.Bei den Polygyne die differentiale Oophagie wird das Privilegium des Einzelwesens . Diese Spezialization einer einzelnen Wespe der Oophagie sichert die Gleichartigkeit der Brut: in der Regel stammen alle Nachkommen von der selben Mutter.


Ce travail a été fait en collaboration avec Ed. Ph.Deleurance.  相似文献   

4.
Résumé On compare l'ultrastructure et la localisation des phosphatases acides au niveau des cellules hypophysaires delta et beta, chez des Cailles mâles thyroïdectomisées et maintenues en photopériode courte ou bien castrées, puis placées en photopériode longue. On étudie en outre, dans ces deux cas, les effets d'injections de doses croissantes de thyroxine.La thyroïdectomie provoque la transformation des cellules delta en cellules de thyroïdectomie groupées en îlots à la périphérie du lobe céphalique. Ces cellules sont pauvres en phosphatases acides. La thyroxine (10 g/j pendant 2 jours) provoque la régression de ces cellules et l'apparition de lysosomes. Les cellules beta ne sont pas modifiées par la thyroïdectomie.La castration-photostimulation stimule les cellules beta localisées dans le lobe céphalique. Elle provoque dans les deux lobes de la glande l'hypertrophie et la vacuolisation des cellules delta qui se distinguent des cellules de thyroïdectomie par la présence de nombreux lysosomes. La thyroxine freine simultanément l'activation des cellules delta et des cellules beta, en provoquant la formation de lysosomes, mais la dose efficace chez le mâle photostimulé (20 g et 60 g/j pendant 5 jours) est sans effet chez le castrat photostimulé (dose efficace 180 g/j).Pour interpréter ces faits, on admet que les cellules delta, thyréotropes et les cellules beta, gonadotropes, seraient simultanément soumises à un contrôle freinateur des hormones thyroïdiennes et des stéroïdes mâles.
Thyroidectomy cells and castration cells in the Japanese quail, Coturnix coturnix japonica Ultrastructure and cytoenzymology
Summary The ultrastructure and the localization of acid-phosphatase activity are compared in beta and delta pituitary cells of male Japanese quail, either thyroidectomized and maintained in short days, or castrated then put in long days. Moreover, in these two cases, the effects of brief treatments with increasing doses of thyroxine are studied.Thyroidectomy induces transformation of delta cells into thyroidectomy cells arranged in clumps at the periphery of the cephalic lobe. The acid-phosphatase activity of such cells is low. Thyroxine (10 g per day for two days) causes regression of these cells and the appearance of numerous lysosomes. Beta cells are not modified by thyroidectomy.Castration and exposure to long days stimulate beta cells, localized in the cephalic lobe. It induces, also, in both pituitary lobes, hypertrophy and vacuolization of delta cells which differ from thyroidectomy cells by the presence of numerous lysosomes.Thyroxine in photostimulated quail inhibits both delta- and beta-cell stimulation and increases the frequency of lysosomes but the effective doses on males (20 g or 60 g per day for five days) are inactive on castrates, the response of which is obtained with 180 g per day.In order to explain these data, a hypothesis is suggested: Thyrotropic delta cells and gonadotropic beta cells are both subject to a double inhibiting control by thyroid hormones and male steroids.
Nous remercions très vivement pour leur excellente collaboration technique Mme Renée Picart (préparation des tissus pour la microscopie électronique) et M. Claude Pennarun (photographe).  相似文献   

5.
A biometeorological analysis of the daily asthma complaints, classified in 5 degrees of severity, of 50 boys and 25 girls, 7 to 16 years old, at the asthma center Eykeloord (Eastern Netherlands), during 1964 has shown that in winter and early spring the number of asthma attacks in both sexes increased during periods of cooling. The total rise in asthma attacks increased with the length of the cooling period and decreased in relation to the length of the period of warming up. During the summer months June and August these meteorotropic effects were not statistically significant. The observations confirmed the previous findings at an asthma center in the Western Netherlands.
Zusammenfassung Eine biometeorologische Analyse der täglichen Asthmabeschwerden, die in 5 Schweregraden klassifiziert wurden, bei 50 Knaben und 25 Mädchen im Alter von 7 bis 16 Jahren in der Asthmaklinik Eykeloord (Ost-Holland)während des Jahres 1964 hat gezeigt, dass im Winter und Vorfrühling die Anzahl der Asthmaanfälle bei Kälteeinbrüchen zunimmt. Asthmaanfälle nehmen an Zahl mit der Länge der Kälteperioden zu und mit der Länge der Wärmeperioden ab.Während der Sommermonate Juni bis August waren diese Beziehungen zwar auch nachweisbar aber nicht signifikant. Die Beobachtungen bestätigten früheren Ergebnisse in einer Asthmaklinik in West-Holland.

Resume Une analyse biométéorologique des accès d'asthme a montré qu'en hiver et au début du printemps le nombre des dits accès augmente au moment d'une advection d'air froid. Pour ce faire, on s'est basé sur l'observation de 50 garçons et de 25 fillettes de 7 à 16 ans répartis en 5 classes d'acuité de la maladie. Tous étaient en traitement durant l'année 1964 à la clinique pour asthmatiques d'Eykeloord(Hollande orientale). Les accès d'asthme sont d'autant plus nombreux que la période froide est plus longue et leur nombre diminue parallèlement à la durée des périodes plus chaudes. La même relation a pu être établie durant les mois d'été (de juin à août), mais pas de façon significative. Ces observations confirment celles qui avaient été faites antérieurement dans une clinique pour asthmatiques de l'ouest de la Hollande.
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6.
Zusammenfassung Der Verfasser bespricht das Kriterium der biologischen Superiorität (der biologischen Vollkommenheit); er sieht dieses Kriterium in dem Mass, in dem ein Lebewesen fähig ist die Umwelt zu erforschen und auszunützen, d.h. sich die nötigen inneren Bedingungen an Hand der äusseren Bedingungen zu schaffen. Das Wachsen dieser Fähigkeit ist mit dem allmählichen Erlangen einer relativen Unabhängigkeit der Lebewesen der Umwelt gegenüber, durch die Entwicklung der Homöostasie, verbunden.Damit die Reaktionen der Lebewesen auf die Umweltsfaktoren möglichst wirksam sind, ist eine grösstmögliche Genauigkeit der Funktionen erforderlich. Diese Genauigkeit (analytische Fähigkeit) ist dimensionell (räumlich und zeitlich) und quantitativ (stärkemässig). Der Verfasser bespricht ausführlich nur den dimensionellen Genauigkeitsaspekt der Funktionen, da er diesen als das eigentliche Mass der morpho-physiologischen Evolution betrachtet. Er zeigt, dass zwischen der räumlich-morphologischen und der zeitlichphysiologischen Seite dieser Evolution nicht nur ein Parallelismus besteht, sondern auch eine Wesensanalogie: beide Aspekte der Evolution bedeuten eine Steigerung der Komplexität, eine Verkleinerung der relativen Dimensionen der zusammensetzenden Elemente; vom physiologischen Standpunkte aus, bedeutet dieses eine Geschwindigkeitssteigerung der Vorgänge. In dieser Geschwindigkeitssteigerung, die in der phylogenetischen Reihe vor allem auf dem Gebiete der animalische Funktionen festgestellt wurde, sieht der Verfasser den physiologischen Aspekt der Tierweltevolution.Dann wird das Problem der relativen Dimensionen besprochen: der eigenen Zeit und des eigenen Raumes.Abschliessend, zeigt der Verfasser, dass die vergleichenden morphologischen Studien nicht genügen um den Gang der Evolution, den biologischen Fortschritt, zu klären. Die Evolution hat auch seinen physiologischen Aspekt, der genau so wichtig ist wie der morphologische. Nur das gleichzeitige Studium beider Aspekte (die heute noch sehr ungleich bekannt sind) wird eine genaue, quantitative Erforschung der Evolution ermöglichen.
About the physiological aspect of evolution
Summary The author discusses the criterion of the biological superiority (perfection); he sees this criterion in the measure in which a being is able to explore and to make use of its environment, that means to create for itself the necessary internal conditions on account of the external ones. The increase of this capacity is dependent of a gradual gaining of a relative independence of the beings towards the environment, by the development of homoiostasy.In order that the reactions towards the factors of the environment shall be more efficatious, a greater precision of the functions is necessary. This precision (analytical capacity) is dimensional (spatial and temporal) and quantitative (of intensity). The author discusses in detail only the aspect of the dimensional precision of the functions, meaning that this is the real measure of the morpho-physiological evolution. He shows that between the spatial-morphological aspect of this evolution and the temporal-physiological one there is not only a parallelism, but an analogy of nature: under the two aspects evolution means an increase of complexity, a reduction of relative dimensions of component elements; under physiological aspect this means an increase of the speed of processes. In this increase of speed (evidentiated in the phyletic series of animals particularly in the functions of reception and reaction) the author views the physiological aspect of the evolution of the animal kingdom.Than the problem of relative dimensions is discussed: of the own time and own space.In conclusion the author shows that comparative morphological studies are not sufficient to elucidate the way of evolution, the biological progress. Evolution also has a physiological aspect, as important as the morphological one. Only the concomitent study of both aspects (very inequally known to-day) will permit a precise, quantitative research on evolution.

Sur l'aspect physiologique de l'évolution
Résumé L'auteur discute le critérium de la supériorité (de la perfection) biologique. Il voit ce critérium dans la mesure, dans laquelle un être vivant est capable d'explorer et d'exploiter le milieu; c'est-à-dire la capacité de se créer les conditions internes nécessaires, les conditions externes étant données. Cette capacité devient plus grande au fur et à mesure que les êtres gagnent une indépendence relative envers le mileu, par le développement de l'homéostasie.Pour pouvoir réagir d'une manière plus efficace envers les facteurs du milieu, il est nécessaire que les fonctions de l'organisme soient plus précises. Cette précision (capacité analytique) est dimensionnelle (spaciale et temporelle) et quantitative (d'intensité). L'auteur discute en détail seulement l'aspect de la précision dimensionnelle des fonctions, considérant celle-ci comme la mesure proprement dite de l'évolution morpho-physiologique.Il montre, que le coté spacial-morphologique et celui temporel-physiologique de cette évolution sont non seulement parallèles, mais encore analogues selon leur nature: sous les deux aspects, l'évolution signifie une augmentation de la complexité, une réduction des dimensions relatives des éléments composants; sous l'aspect physiologique, cela veut dire une augmentation de la vitesse des processus. Dans cette augmentation des vitesses (mise en évidence dans la série phylétique des animaux surtout en ce qui concerne les fonctions de relation) voit l'auteur l'aspect physiologique de l'évolution du monde animal.On discute ensuite le problème des dimensions relatives: du temps propre et de l'espace propre.En conclusion, l'auteur montre l'insuffisance des études comparatives morphologiques pour élucider la marche de l'évolution, le progrès biologique. L'évolution a de même un aspect physiologique, aussi important que celui morphologique. Seulement l'étude combinée des deux aspects (aujourd'hui très inégalement connus) permettra les recherches précises, quantitatives sur l'évolution.
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7.
Summary The pars tuberalis of the hypophysis in the monkey Macaca irus encompasses the hypophysial stem up to the median eminence. Histologically, it consists of several layers of chromophobic cells. A few PAS1-positive cells also stainable with Alcian blue (pH 3.0) can be observed among the unstained elements. Using the indirect immunofluorescence antibody technique, scattered immunoreactive cells were revealed with the anti-oLH antibody; these cells did not react with the anti-hFSH antibody. In contrast, the immunoreactions to anti-hGH, anti-hPRL, anti-ACTH, anti-MSH, anti-LPH and anti-endorphin sera were completely negative. Single cells reacting with the anti-hTSH serum were observed at the inferior end of the hypophysial stalk (zona tuberalis), i.e., beyond the pars tuberalis proper. These results are compared with data reported in the literature.
Résumé La pars tuberalis de l'hypophyse du Singe Macacus irus entoure la tige infundibulaire jusqu'à l'éminence médiane. En techniques histologiques, elle apparaît constituée de plusieurs assises cellulaires d'aspect chromophobe. On y observe quelques cellules PAS-positives réagissant simultanément avec le bleu Alcian (pH3.0). En technique d'immunofluorescence indirecte, des cellules dispersées sont mises en évidence uniquement avec un anticorps anti-oLH; ces cellules ne réagissent pas avec un anticorps anti-hFSH. L'utilisation d'anticorps anti-hGH, anti-hPRL, anti-ACTH, anti-MSH, anti-LPH et antiendorphines ne permet pas de révéler des cellules immunoréactives. Quelques cellules réagissant avec un anticorps anti-hTSH s'observent à la base de la tige hypophysaire (zona tuberalis), c'est-à-dire au-delà de la pars tuberalis proprement dite. Ces résultats sont confrontés à ceux rapportés dans la littérature.

Abbreviations used in this Article PAS periodic acid Schiff - oLH ovine luteinizing hormone - hFSH human follicle stimulating hormone - hGH human growth hormone - hPRL human prolactin - ACTH corticotropin - MSH melanotropin - LPH lipotropin - hTSH human thyrotropin - BSA and HSA bovine and human serum albumin  相似文献   

8.
When gravid onion fly females, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae) were presented in laboratory choice test with 6-week-old plants of a susceptible cultivar and of onion breeding lines selected for resistance, mean numbers of eggs laid ranged from 34.8 to 1.6 eggs per plant. Differences in ovipositional responses were mirrored by differences in plant size. Analysis of covariance revealed no significant differences in ovipositional responses to breeding lines when differences in size were taken into account. Foliar surrogates were developed so that single size parameters could be varied while holding all other plant stimuli constant. Tests using these surrogates revealed that among plants with basal diameters of 1 to 4 mm and heights of 100 to 350 mm, diameter alone significantly influenced responses of ovipositing females. Ovipositional responses to plants beyond this size range could not be explained strictly by diameter differences. These results underscore the necessity of considering plant size as well as plant chemistry and texture in efforts to evalute and design resistant cultivars.
Résumé A la lumière d'opinions récentes concernant la découverte des plantes-hôtes par D. antiqua, nous avons examiné les conditions de la résistance chez plusieurs lignées de A. cepa les moins attaquées lors d'essais en plein champ aux Pays-Bas, et dont on considérait que la résistance était due à une antixénose.Des femelles gravides en présence, au laboratoire, d'un choix de plants de 6 semaines, pondent en moyenne 1,6 à 34,8 oeufs par plant. Les différences entre les pontes correspondent aux tailles des plants. Si l'on tient compte de ces dernières, l'analyse de covariance ne montre pas de différence significative entre les pontes sur les différentes lignées. Des substituts de feuilles ont été créés de façon à faire varier les paramètres de taille tout en maintenant constants les autres stimuli de la plante: pour des plantes, dont le diamètre à la base variait de 1 à 4 mm et la hauteur de 100 à 350 mm, seul le diamètre a significativement influé sur la ponte. Les pontes sur les plantes hors de ces dimensions n'ont pu être expliquées par les seules différences de diamètre.Comme les paysans des principales régions productrices d'oignons d'Europe et des U.S.A. font des bénéfices importants avec la culture d'oignons précoces, ces lignées, sélectionnées par mégarde pour leur développement lent, ne sont probablement pas une bonne source de résistance à la mouche de l'oignon. Cependant, ces résultats soulignent la nécessité de tenir autant compte de la taille de la plante que de son chimisme ou de sa texture lors de l'évaluation et de la création de cultivars résistants.
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9.
Zusammenfassung Die Vorgeschichte und der Verlauf von 8 Bruten eines Hohltauben-Männchens mit einem Ringeltauben-Weibchen (Columba oenas × Columba palumbus), die 16 Eier und daraus 4 lebensfähige Jungvögel (2 , 2 ) ergaben, werden geschildert.Die Bastarde sind nach Größe, Gewicht und Färbung intermediär. Sie haben den grünen Halsschild der Hohltaube, doch tritt der Einfluß der Ringeltaube insgesamt stärker hervor, z. B. in der Färbung der Brust und des Flügels, sowie in der Flügellänge, die etwa die Länge des Ringeltaubenflügels erreicht.Der Balzruf des einzigen männlichen Bastards, der das Jugendalter überlebte (HR3), klang wie kurrrú oder rruuhg; er hatte keine Ähnlichkeit mit dem der beiden Elternarten. Auch sein Verhalten bei der Balz (Haltung beim Ruf, Beteiligung beim Nest-bau) wich von dem Verhalten männlicher Hohl- und Ringeltauben ab. Er verpaarte sich mit seiner Schwester HR2. HR2 trug auf einer flachen hölzernen Unterlage wenige Zweige zusammen und legte ein unbefruchtetes Ei, das es gleich im Stich ließ. Herrn Prof. Dr. Erwin Stresemann zum 70. Geburtstag gewidmet  相似文献   

10.
Résumé Nos méthodes expérimentales permettent l'isolement d'une larve de sexe déterminé par hôte de l'ectoparasite grégaire Dinarmus vagabundus et du solaitire, D. basalis. Des hôtes porteurs de 3 à 8 larves par hôte de D. vagabundus sont aussi isolés. Dans ces conditions la quantité de nourriture disponible est la même pour toutes les densités larvaires étudiées.Les larves élevées en solitaire des deux espèces assimilent une quantité de nourriture significativement supérieure à celle assimilée par les . Ceci conduit à des adultes de poids moyen supérieur à celui des . Le poids moyen des et des de D. vagabundus diminue significativement aux fortes densités larvaires. L'intensité de la liaison entre la quantité de nourriture assimilée et la biomasse produite s'affaiblit au fur et à mesure que la densité larvaire par hôte augmente.Les de D. vagabundus de poids moyen (0,42 mg) engendrent deux fois et demi plus de descendants que les lilliputiennes (0,20 mg) émergées d'hôtes à forte densité larvaire. Celles de D. basalis (0,65 g) sont moins prolifiques que les de D. vagabundus.  相似文献   

11.
Guinea  Emilio 《Plant Ecology》1954,5(1):147-156
Résumé Cette étude vise à faire remarquer la signification, les limites et les caractéristiques du sous-secteur Cantabrique du secteur Ibéro-Atlantique lequel a été proposé pour la première fois dans mon récent travail Geografía Botanica de Santander, Santander, p. 101 (1953).Ce sous-secteur comprend la bande étroite des bords du Nord de la Péninsule Ibérique, limité par la mer Cantabrique et comprenant les provinces de Guipuzcoa, Vizcaya, Santander et la partie Est de la province des Asturies, plus une bande de transition qui, tout le long du versant sud de la Cordillera Cantábrica, suit les limites septentrionales des provinces de Navarre, Alava, Burgos, Palencia, et le coin Nord-Est de Leon.A l'Est, ses limites disparaissent graduellement dans le secteur Pyrénéen, à l'Ouest, il atteint la zone siliceuse des Asturies. Il représente la limite sud de la Province Atlantique.Le climat est humide et tempéré, les hivers sont doux et les étés pluvieux, excepté aux hautes altitudes (au-dessus des 1.000 m). Le relief est très accidenté et montagneux, mais les pics ne dépassent pas les 2.700 m, avec des ruisseaux torrentiels qui rendent possible des innondations comme celles qui ont pris places en automne de 1953. La structure géologique comprend surtout du calcaire du Cretacé avec en plus des grandes masses de dolomites et du calcaire Carbonifère du massif de Picos de Europa. Dans la zone centrale de la Cordillera Cantábrica surgissent quelques rochers du Triassique et d'autres du Jurassique en de petites surfaces. Les terres argileuses et calcaires, très lavées par une pluie intense sont moins répandues (plus nombreuses que les terres siliceuses), avec un pH presque neutre, mais avec des variantes un peu prononcées vers l'acidité (quelques exceptions). Il y a un climax prédominant de forêts du (Quercetum roboris, Fagetum sylvaticae) strictement liées aux pentes des montagnes Cantabres et de Quercetum pyrenaici sur les pentes du sud.Les activités anthropogéniques ont causé la déforestation de la plus grande partie du territoire et ont fait place a un grand développement des landes de l'Uleto-ericetum (Atlantic).Il y a une représentation intéressante du Quercetum ilicis ericetosum sur les bandes de calcaire au-dessous de 800 m. Il est très rare sur les sols siliceux. Les communautés de prairie qui représentent un plagioclimax maintenu par l'homme, éliminent une grande partie de l'Uleto-ericetum que nous avons déjà cité.Il y a des grands champs de maïs et de betteraves à sucre et une extension moindre de céréales et de jardins potagers, et il en resulte une pauvre végétation ségétale et des bords des chemins. Les communautés végétales des plages, falaises, et bords de la mer, celles des mares et des ruisseaux sont très peu développées.On cultive avec intensité le Pinus radiata et l'Eucalyptus globulus. Il reste à exploiter en grand, l'agriculture, les pâturages, et la sylviculture.

Received for publication 15.I.1954.  相似文献   

12.
    
Zusammenfassung Im Ismaninger Teichgebiet sind seit 1934 im Frühling und Sommer mehrfach männliche Bastarde Tafelente × Reiherente aufgetreten. In den Jahren 1954–59 zeigten sich mindestens 3 verschiedene derartige Bastarde.Diese Kreuzung wird offenbar begünstigt dadurch, daß im April, also während des Höhepunktes der Balz beider Arten, bei der Tafelente (infolge ihrer besonderen Zugverhältnisse) die auf den Ismaninger Wasserflächen überwiegen, wogegen dann bei der Reiherente ein geringer Überschuß an besteht.Wiederholt wurden bei Ismaning fest zusammenhaltende Paare Reiher- und Tafel- bemerkt. Durch ihre Balzbewegungen unterscheiden sich die Tauchenten-Arten der GattungAythya viel weniger deutlich voneinander als die Schwimmenten-Arten, was die Bildung von Mischpaaren beiAythya erleichtern mag.Die Balz der Bastarde ließ Anteile der Bewegungsformen beider Elternarten erkennen.  相似文献   

13.
Un apport unique de 10 g d'hormone juvénile 1, réalisé chez des criquets du dernier stade larvaire à corpora allata intacts ou préalablement soumis à une application de precocène 2, provoque, à la mue suivante, l'apparition d'individus dont les caractéristiques sont intermédiaires entre celles du dernier stade larvaire et celles de l'imago. Cependant, les criquets traités par le précocène 2 présentent des variations phénotypiques plus prononcées, se traduisant par un maintien accru des caractéristiques larvaires. Les études ultrastructurales montrent que les corpora allata dégénèrent rapidement sous l'action des 400 g de précocène 2.
Summary In fifth instar locusts, with intact corpora allata or previously subjected to precocene 2 action, a single injection of 10 g juvenile hormone 1 leads, at the next molt, to the appearance of individuals displaying characters ranging from the typical larval to the typical imaginal ones. But, unexpectedly, the phenotypic variations are more marked in the precocene 2 treated locusts, and are typified by an increased retention of larval characters. Electron microscopic studies indicate that the use of 400 g of precocene 2 rapidly leads to the degeneration of the corpora allata.
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14.
Zusammenfassung Zum Studium des Inseminationsvorganges wurde eine Anzahl von unmittelbar nach der Paarung oder 2–24 Stunden später konserviert und zum Teil an Hand von Serienschnitten untersucht. Es zeigte sich, daß der an der Luft sehr rasch erstarrende Schleim nie weiter als bis in das orificium vaginae reicht und mit dem Begattungszeichen schon kurze Zeit nach der Copula abgestoßen wird. Nach Entfernung des Begattungszeichens bestehen also keine anatomischen Schwierigkeiten für eine nochmalige Besamung.Die Spermatozoen zeigen infolge einer charakteristischen Reaktion die Tendenz, sich parallel anzuordnen, so auch in der Kuppel des medianen Oviduktes an der Stelle des Abganges des Ductus spermaticus. Durch den engen Gang wird das Sperma aber passiv in die Spermatheka gepreßt. Die Bedeutung derValvula vaginalis und der überaus kräftigen Sphinktermuskulatur für diesen Vorgang wird beschrieben. Die Beobachtung eines pathologischen Falles, bei dem die Füllung der Samenblase unterblieb, erbrachte eine Bestätigung dieser Auffassung.Die Zeit, die für die Entfernung des während eines Hochzeitsfluges in die Ovidukte gelangten Spermas erforderlich ist, zeigt von zu beträchtliche Schwankungen, ist aber für die Möglichkeit weiterer Paarungen ohne Belang. 5 Stunden nach der Paarung enthielten die Ovidukte oft noch erhebliche Spermamassen, nach 24 Stunden waren sie aber in allen untersuchten Fällen frei von Sperma und Schleim.
Summary As in the main anatomical objections have been made against the possibility of multiple mating, it seemed necessary to re-examine the intake of sperma in the oviducts and into the spermatheca, multiple insemination under natural conditions having been proved by means of genetic tests. A number of queens were fixed immediately or 2 to 24 hours after mating and studied by dissection and histological sections.It is shown that the coagulating mucus never extends farther than to the vaginal orifice and that it is extruded together with the mating sign a short time after the copula. The spermatozoa, owing to a characteristic reaction, have the tendency to arrange themselves parallelwise, for example also within the copula of the median oviduct near the origin of the spermathecal duct. Through the narrow passage however the sperma is pressed passively into the spermatheca. The importance of the valve fold and of the very vigorously developed musculature in regard to this process is discussed. The observation of a pathological case where the sperma failed to reach the spermatheca might contribute to the evidence for this interpretation.The time which is needed to eliminate the sperma taken up into the oviducts during the one mating flight varies considerably between one queen and another; but it is without importance as to the possibility of further matings. 5 hours after mating the oviducts may contain considerable masses of sperma. 24 hours later generally they are emptied of sperma.

Résumé Contre l'accouplement multiple de la reine, on a invoqué surtout des causes anatomiques. Mais il y a peu de temps fut fournie la preuve génétique de l'insémination multiple. Il était indispensable de vérifier comment le sperme est transporté par l'oviducte à la spermathèque de la reine. Nous avons donc tué plusieurs reines tout de suite après l'accouplement, d'autres deux à vingt-quatre heures après, pour les examiner en pratiquant des coupes en série.La sécrétion spermatique (mucus), se figeant rapidement à l'air, n'avance jamais plus loin que jusqu'à l'avant-cour du vagin. Après la copulation elle est vite rejetée, ainsi que le signe de copulation. Les spermatozoïdes, montrant une réaction caractéristique, cherchent à se grouper parallèlement et montrent la même tendance dans la coupole de l'oviducte médian en quittant leductus spermaticus. A travers le corridor rétréci, le sperme est passé de force dans la spermathèque. L'importance de lavalvula vaginalis et de la musculature très puissante du sphincter est soulignée. Un cas pathologique — la spermathèque ne fut pas remplie — confirma notre conception.Quant au temps nécessaire pour repousser le sperme de l'oviducte, il diffère beaucoup selon la nature de chaque reine. Mais cela n'a aucune importance pour la possibilité d'autres accouplissements. Après cinq heures, souvent il y a encore des masses de sperme dans les oviductes. Après vingt-quatre heures, les oviductes ne contiennent plus de sperme.
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15.
Résumé Les auteurs, dans le cadre d'une étude ultrastructurale du foie foetal humain, ont utilisé une méthode directe à pH 8 pour mettre en évidence l'activité de la phosphatase alcaline.L'accumulation du produit final de la réaction histochimique (phosphate de plomb) a pu être observée de façon constante sur les membranes plasmatiques des hepatocytes et des érythroblastes. Dans la lignée érythropoïétique les dépôts sont toujours plus intenses sur les cellules les plus immatures.Les auteurs ont observé également des dépôts importants de phosphate de plomb dans certains granules péribiliaires ainsi que dans des granules des cellules érythropoïétiques.La disposition des dépôts le long des membranes cellulaires et dans certains organites cytoplasmiques est discutée en fonction de la technique de mise en évidence.
Summary A direct lead method for visualization of alkaline phosphatase activity at pH 8 was used in an electron microscope study of the foetal development of human liver.An accumulation of lead phosphate, the final product of the enzymatic reaction, was observed on the cell membranes of hepatocytes and also on those of erythroblasts, especially in immature cells.An intense reaction was observed in peribiliary granules and in granules of the erythropoietic cells.The localization of lead phosphate precipitate along the cell membranes and in some cytoplasmic bodies is discussed in relation to the procedure used.


Ce travail a été effectué avec l'aide du Fonds National Suisse de la Recherche Scientifique .  相似文献   

16.
Summary Social or semisocial behavior in nomiine bees is here reported for the first time. InNomia capitata and perhaps inN. oxybeloides, presumed sister bees share cell clusters and cooperatively provision the same cells. Unlike other primitively social bees, the sisters simultaneously forage and oviposit. There is no apparent inhibition of the oviposition of daughters, although their nest-founding mother or perhaps an older sister appears to stay in the nest and continue to oviposit.Nesting behavior and nest structure ofNomia capitata andN. oxybeloides are similar; cells are vertical and clustered. In contrastNomia nasicana makes horizontal cells scattered along the main burrow.
Zusammenfassung Zum ersten Mal wird über soziales oder halbsoziales Verhalten von Bienen aus der Unterfamilie der Nomiinen berichtet. BeiNomia capitata und vielleicht auch beiN. oxybeloides teilen sich mehrere Bienen—wahrscheinlich Schwestern—ein und denselben Zellkomplex und verproviantieren auch die Zellen gemeinsam. Ganz im Gegensatz zu anderen sozial primitiven Bienen verproviantieren diese Nestgenossen nicht nur, sondern legen auch Eier. Die Fähigkeit Eier zu produzieren ist in diesen Bienen offenbar nicht unterdrückt, obwohl sich in jedem Nest ein eierlegendes Individuum befindet, die entweder die Nestgründerin, oder eine ältere Schwester sein muss. Im Nistverhalten und in der Struktur der Nester sind sichN. capitata undN. oxybeloides sehr ähnlich. Die Zellen stehen vertikal und sind in Gruppen angeordnet. Im Gegensatz dazu fertigtN. nasicana horizontal liegende Zellen, die entlang eines Tunnels verteilt sind.

Résumé Un comportement social est décrit pour la première fois chez des abeilles nomiine. ChezNomia capitata et probablementN. oxybeloides, il existe des abeilles surs qui partagent les cellules et les approvisionnent ensemble. Contrairement à d'autres abeilles à comportement social primitif, les surs butinent et pondent des ufs simultanément. Les filles ne montrent pas d'inhibition apparente de ponte malgré que leur mère ayant bâtit le nid, ou peut-être une vieille sur, reste dans le nid et continue à pondre des ufs.Le comportement et la structure des nids desNomia capitata, N. oxybeloides etNomia nasicana sont décrits.


Contribution No 1304 from the Department of Entomology, The University of Kansas, Lawrence. This paper is the second of a series on behavior of Halictidae in India; the others areBatra andMichener (1966) andBatra (1966).  相似文献   

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Zusammenfassung Die Arbeit stellt die Frage nach den Kriterien des fossil belegten Biologischen Aufstiegs der Organismenwelt, d.h. derjenigen Vervollkommnung, die sich nicht innerhalb des Rahmens eines gegebenen Bauplans hält, wie die Anpassungsvervollkommnung, sondern über verschiedenrangige Baupläne hinweg zu höheren Typen führt, z.B. von den Fischen über die Amphibien und Reptilien zu den Säugern bzw. Vögeln. Ausführlich werden zwei Gruppen von Kriterien besprochen, ihr Inhalt dargelegt und ihre Eindeutigkeit zur Charakterisierung des Biologischen Aufstiegs untersucht. Die erste Gruppe umfasst die Kriterien der zunehmenden Differenzierung und harmonischeren Integration. Diese legen die morphologisch-physiologische Differenzierung oder genauer die Ganzheit der Organismen zugrunde, d.h. ihre Vielheit in der Einheit. Die zweite Kriteriengruppe, nämlich zunehmende Umweltunabhängigkeit und zunehmende individuelle Autonomie, geht von den Beziehungen des Organismus zur Umwelt und zu andern Lebensformen aus und betont die Subsistenz der Individuen, d.h. ihr grösseres oder geringeres Losgelöstsein oder ihre Selbständigkeit. Da nun Ganzheit und Subsistenz die entscheidenden Elemente einer biologischen Definition des Individuums sind, lässt sich sagen, dass der Biologische Aufstieg eines Organismus um so höher ist, je stärker seine Ganzheit und Subsistenz und damit sein Individuumsein ist.Eindeutigkeit kommt allen genannten Kriterien nicht zu. Die Gründe für ihre Unschärfe sind verschiedener Art. Zunächst gibt es noch keine eindeutige und vollständige Definition des biologischen Individuums, so dass sich nicht eindeutig umreissen lässt, was einem Organismus eine stärkere oder weniger starke Individualität verleiht. Dann sind die Linien, über die sich Vervollkommnungen vollziehen und von denen die eine innerhalb des Bauplans bleibt (Anpassungsvervollkommnung), die andere aber über ihn hinausführt (Biologischer Aufstieg) so innig und in so eigenartiger Weise miteinander verflochten, dass sie sich nicht sauber scheiden und in ihren charakteristischen Merkmalen genau beschreiben lassen. Jeder Vertreter eines Bauplans, ganz gleich von welcher Ranghöhe, ist nämlich notwendig in eine Umwelt eingepasst und irgendwie spezialisiert. Es gibt keine Typen mit reinen Bauplanmerkmalen, die nach keiner Richtung hin eine Anpassungsvervollkommnung, sondern nur Merkmale des Biologischen Aufstiegs aufweisen. Schliesslich kennen wir fossil nur die Entfaltung oder Ausgestaltung der Grossbaupläne des Tierreichs, nämlich des Wirbeltierstammes und der verschiedenen Gruppen der Wirbellosen, nicht aber das Interessanteste und Wichtigste, nämlich ihren Biologischen Aufstieg zu der organisatorischen Höhe, mit der sie sich im Silur bzw. im Kabrium bereits vorstellen. Das erst würde einen tieferen Einblick in das Wesen des Biologischen Aufstiegs vermitteln.
Summary This article deals with the question of the criteria for the biological ascent (Biologischer Aufstieg) of the organic world, resting on fossil evidence. That is, of that improvement which is not only restricted to the framework of a given general structure (Bauplan) as is the improvement of adaptation, but which also leads beyond general structures (Baupläne) of differentiated levels to a higher type,e.g. from the fishes through the amphibians and reptiles to the mammals or birds. Two groups of criteria are discussed at length, their content exposed and their univocity for the characterisation of this biological ascent is examined. The first group includes the criteria of increasing differentiation and more harmonious integration. The basis for these is the morphological-physiological differentiation, or more exactly, the totality of the organisms,i.e., their variety-in-unity. The second group of criteria, increasing independence of environment and increasing individual autonomy, is derived from the relationships of the organism to its environment and to other living forms, and stresses the subsistence of individuals,i.e., their greater or lesser degree of independence or self-sufficiency. Now since totality and subsistence are the decisive elements in a biological definition of the individual, it may be said that the biological ascent of an organism is higher, the more perfect its totality and subsistence and therefore its individuality is.The criteria mentioned are not univocal. The reasons for this lack of clarity are varied. First of all, there is no univocal and complete definition of the biological individual, so that it cannot be exactly stated just what gives an organism a more or less perfect individuality. Then the lines, along which improvements are made, and according to which the one remains within the general structure (improvement of adaptation) and the other goes beyond the general structure (biological ascent), are so intimately and singularly bound together, that they cannot be cleanly distinguished, and their characteristic notes exactly described. For each representative of a general structure, regardless of its level, is necessarily fitted into an environment and somehow or other specialised. There are no types with only notes of the general structure which show in no direction an improvment of adaption, but only the signs of biological ascent. Finally, we only have fossil evidence for the development or deployment of the great general structures (Grossbaupläne) of the animal world, namely that of the vertebrates and of the different groups of invertebrates, not for the most interesting and most important, that is, their biological ascent to the level of organisation with which they are found in the Silurian or Cambrian periods. Only that would give us a deeper insight into the essence of biological ascent.

Résumé Ce travail pose la question des critères de la progression biologique (Biologischer Aufstieg), d'après les documents fossiles, dans le monde des organismes, c'est-à-dire de ce perfectionnement qui ne s'arrête pas à l'intérieur du cadre d'un phylum (Bauplan) donné, comme le perfectionnement de l'adaptation, mais qui conduit, au-de-là de phylums (Baupläne) de rang différent, à des types supérieurs, par exemple, des Poissons pas les Amphibies et les Reptiles jusqu'aux Mammifères ou aux Oiseaux. Deux groupes de critères y sont recensés en détail, leur contenu est exposé, et on les examine pour voir s'ils caractérisent sans ambiguïté la progression biologique. Le premier groupe comprend les critères de différenciation croissante et d'intégration harmonique. Ils sont fondés sur la différenciation morphophysiologique ou plus exactement sur la totalité des organismes, c'est-à-dire leur multiplicité dans l'unité. Le second groupe de critères, à savoir indépendance croissante du milieu et autonomie individuelle croissante, part des relations de l'organisme au milieu et aux autres formes vivantes et souligne la subsistence des individus, c'est-à-dire leur plus ou moins grande indépendence ou leur stabilité interne. Comme totalité et subsistence sont les éléments décisifs d'une définition biologique de l'individu, on peut dire que la progression biologique d'un organisme est d'autant plus élevée que sa totalité et subsistence et par là son être individuel sont plus accusés.Tous les critères mentionnés ne sont pas uniformes. Les motifs de leur imprécision sont divers. Tout d'abord, il n'y a pas encore de définition unique et complète de l'individu biologique, de sorte qu'on ne peut circonscrire d'une manière univoque ce qui confère à un organisme une individualité plus forte ou moins forte. Ensuite les lignées au-delà desquelles s'accomplissent des perfectionnements, et dont l'une reste intérieur au phylum (perfectionnement de l'adaptation), tandis que l'autre le transcende (progression biologique), sont entrelacées si intimement et d'une façon si particulière qu'elles ne se laissent pas séparer franchement et décrire rigoureusement selon leurs signes distinctifs. Tout représentant d'un phylum, peu importe son palier, est en effet nécessairement inséré dans un milieu et en quelque façon spécialisé. Il n'existe pas des types à caractères phylétiques purs, qui ne montrent dans aucune direction un perfectionnement de l'adaptation, mais seulement des marques caractéristiques de la progression biologique. Enfin nous ne connaissons pas les restes fossiles que le développement ou la formation des grands phylums (Grossbaupläne) du règne animal, à savoir du rameau des Vertébrés et des divers groupes des Invertébrés, mais non pas le plus intéressant et le plus important, leur progression biologique jusqu'au degré d'organisation qu'ils présentent déjà à l'époque du Silurien ou plutôt du Cambrien. C'est cela seulement qui permettrait une vue plus profonde sur la nature de la progression biologique.
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The olfactory response from male pheromone sensitive sensilla was investigated in the endemic New Zealand brownheaded leafrollers Ctenopseustis obliquana (Walker) and C. sp. ropeana (Lepidoptera, Tortricidae). The responses from 281 sensilla from the parental strains and from both the reciprocal crosses, including F1, F2 and maternal and paternal backcrosses were recorded, and statistically analysed using a multivariate analysis.In males of both the parental strains, a large amplitude cell responded to the main pheromone component of the conspecific female, in C. obliquana (Z)-8-tetradecenyl acetate (Z8-14:OAc) and in C. sp ropeana (Z)-5-tetradecenyl acetate (Z5-14:OAc). Both male types also possessed a small amplitude cell, which in C. obliquana responded weakly to Z5-14:OAc and tetradecyl acetate (14:OAc), and in C. sp ropeana responded to Z8-14:OAc. The responses from the different types of hybrid males were more variable than the responses from parental males. A main pattern could, however be seen, corresponding with the expected pattern in a sex-linked inheritance on the Z-chromosome of a C. sp ropeana type dominant genetic factor. The more pronounced variation in the hybrids could not be explained by this model, and might be due to the involvement of additional genes.
Résumé Les réactions olfactives des sensilles mâles sensibles aux phéromones ont été examinées par enregistrement de l'extrémité de la sensille chez les tordeuses C. obliquana Walker et C. sp. ropeana. Les enregistrements ont porté sur 281 sensilles des lignées parentales et des croisements réciproques de F1, F2 et de croisements en retour maternel et paternel. Les résultats des enregistrements d'une sensille ont été soumis à une analyse en composantes principales.Chez les mâles de chaque lignée parentale un seul type physiologique de sensille a été découvert; une cellule répond par un pic grand au principal constituant de la phéromone femelle conspécifique. (Z)-8-acétate tétradécényl (Z8-14:OAc) pour C. obliquana, et (Z)-5-acétate tétradécényl (Z5-14:OAc) pour C. sp. ropeana. Une seconde type de cellule dans les sensilles des deux espèces de mâles présente un pic petit pour Z5-14:OAc et pour l'acétate tétradécyl (14:OAc) chez C. obliquana, et pour C. sp. ropeana au Z8-14:OAc. Les réponses des sensilles des différents types de mâles hybrides sont plus hétérogènes que celles des sensilles de leurs pères. Un schéma général pourrait cependant être décelé, correspondant au schéma prévu avec une hérédité d'un facteur dominant liée au sexe sur le chromosome Z de C. sp. ropeana. La variation plus accentuée chez les hybrides ne peut être expliquée par ce modèle, et pourrait impliquer des gènes additionnels.
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19.
Oviposition rate and developmental capacity was determined for Amblyseius hibisci (Chant), A. limonicus Garman and McGregor, A. largoensis (Muma), Metaseiulus pomoides Schuster & Pritchard, M. occidentalis (Nesbitt), Typhloseiopsis arboreus (Chant), Typhodromus pyri Scheuten, Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, and Iphiseius degenerans (Berlese) on both artificial and natural diets. Oviposition and development occurred in seven of nine species when fed artificial diet and in all species when fed natural diets (phytophagous mites or pollen). The combined mean oviposition rate (21-d tests) for all species which oviposited on artificial diet was ca. one third the rate achieved by these species when tested on natural diets. Eggs and immature stages derived from oviposition tests with artificial diet showed no abnormalities and developmental times (egg to egg) were similar to those observed on natural diets. Predator cultures maintained on artificial diet showed gradual declines in viability within 2–3 months and only A. hibisci survived longer than 6 months. Adult predators of species which failed to oviposit when fed artificial diet survived longer than adults tested in the absence of food and water. Immature stages of these species failed to develop on artificial diet.
Ponte et developpement d'acariens predateurs alimentes a partir d'un regime artificiel et d'un regime naturel (Acari: Phytoseiidae)
Résumé Le nombre d'ufs pondus par 7 espèces de Phytoseiidae nourries sur milieu artificiel a varié de 0,1 à 1,2 uf/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 0,5 uf/femelle/jour pour une période de ponte moyenne de 18,5 jours.Deux espèces, Phytoseiulus persimilis et Metaseiulus occidentalis nourries sur milieu artificiel, n'ont pas pondu; leurs longévités moyennes ont été respectivement de 11,3 et de 10,3 jours.Avec un régime naturel (acariens phytophages ou pollen), le nombre d'ufs pondus, pour 9 espèces de Phytoseiidae a varié de 0,8 à 3,2 ufs/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 1,7 uf/femelle/jour pour une durée moyenne de la période de ponte de 19,0 jours.La viabilité des ufs provenant des expériences de ponte avec régime artificiel était elevée chez toutes les espèces prédatrices et les durées du développement sur milieu artificiel étaient semblables à celles observées avec régime naturel. La viabilité des élevages de prédateurs maintenus sur milieu artificiel a diminué progressivement et la plupart des élevages avaient disparu en moins de 6 mois. Les tentatives d'élevage de P. persimilis et M. occidentalis sur milieu artificiel ont été négatives bien que les prédateurs adultes femelles aient eu une plus grande longévité sur milieu artificiel qu'en absence de nourriture et d'eau.
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Conclusion En dix ans l'histoenzymologie ovarienne a fait des progrès considérables; en effet, en 1948, Dempsey ne pouvait faire état que de la répartition de la phosphomonoestérase alcaline chez quelques espèces (Guenon, Truie, Lapine, Ratte); or nous pouvons compter avec une douzaine d'activités enzymatiques (phosphomonoestérase alcaline et acide, phosphamidase, nucléotidase, acétylnaphtolestérase, tweenestérase, -glucuronidase, amylo-1,4 1,6-transglucosidase, -galactosidase, -mannosidase, succinodéshydrogénase, et stéroïde-3--ol-déshydrogénase); à ces activités il faut ajouter des activités nadi-oxydasique, histaminoxydasique, carboanhydrasique, acétyl- et butyrylthiocholinestérasique.Le nombre des espèces étudiées s'est également accru; cependant les recherches n'ont guère porté que sur des Mammifères et l'équipement enzymatique histochimiquement décelable de la gonade femelle des Vertébrés inférieurs et des Invertébrés est inconnu.  相似文献   

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