首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 31 毫秒
1.
Résumé L'ensemble des recherches faites sur la sexualisation cytoplasmique a permis de montrer que les faits exprimés par les deux premières lois de sexualisation cytoplasmique traduisent des phénomènes très généraux de la sexualité, mais aucune démonstration expérimentale des lois n'avait été tentée.Les rapports intimes qui existent entre les faits exprimés par ces lois permettent de supposer que les deux énoncés traduisent peut être deux aspects différents d'un même phénomène. Il semble donc illusoire de chercher à donner pour chaque énoncé une démonstration indépendante et nous avons essayé d'établir une démonstration d'ensemble.L'état d'avitominose B entraine dans l'organisme une série de perturbations: 1 dans le métabolisme, 2 dans l'énergétique des tissus, 3 dans la respiration intracellulaire. Cet ensemble de modifications se trouve être analogue à celui qu'entrainerait une diminution du rH intracellulaire.D'autre part, la carence en vitamine B entraine une hyperlipémie qui place les cellules dans des conditions de nutrition nouvelles par rapport aux graisses dont elles disposent.L'ensemble de ces perturbations, tant dans la valeur du rH intracellulaire que dans les conditions de nutrition par rapport aux lipides, réalise, d'après les lois de sexualisation cytoplasmique, des conditions particulièrement défavorables à la polarisation des cellules dans le sens mâle.Or, on peut constater que, dans l'organisme ainsi modifié expérimentalement par l'avitominose, parmi toutes les cellules, ce sont les cellules polarisées dans le sens mâle qui se trouvent être le plus rapidement et le plus fortement frappées.Le rapprochement de ces diverses constatations nous parait constituer une véritable démonstration expérimentale des deux lois de sexualisation cytoplasmique.Une partie des recherches concernant la sexualisation cytoplasmique a été faite avec un microscope offert par la fondationElizabeth Thompson. L'auteur exprime sa gratitude au comité de cette fondation.  相似文献   

2.
Zusammenfassung Gegenüber den Ansichten vonJ. Gross (1925), der den Mendelismus für die Stütze der selektionsdarwinistischen Evolutionserklärung halten will, stellt der Verfasser die Argumente zusammen, die beweisen können, dass, im- Grunde genommen, beide Lehren identifiziert sein sollten, da sie mit gleichem Begriffe der allerkleinsten, von einander unabhängigen, hauptsächlich äusserlichen, unbestimmten und meistens nur geringere Lebensbedeutung zeigenden Varianten operieren, deren Ursachen, nachDarwin, öfters unbekannt, das Entstehen sogar zufällig bleiben, d.h. dass sie vollständig den Regeln der Wahrscheinlichkeitsrechnung unterworfen sein müssen, was-im Mendelismus – gleichfalls in dem freien Zusammentreffen und dem Kombinieren der mendelnden Merkmale sein Ausdruck findet, was inbezug auf die sich abspielenden Interaktionen der Genallele, und zwar in Folgte der Anteilnahme von immer zwei Elternseiten, mit allgemeiner Gleichung desNewtonschen Binoms ausgedruckt werden kann, wie das der Verfasser im Jahre 1938 entwickelte.Der alte Vorwurf somit, der seit langem dem Darwinismus gemacht wurde, es habe eine allzugrosse Bedeutung den zufälligen Variationen beigemessen, sollte, im Grunde genommen, von dem Standpunkte der Wahrscheinlichkeitstheorie für ein Argument zugunsten ebengleich des Darwinismus, als des Mendelismus angeführt werden. Umso mehr, wenn es gelingen könnte die Ansicht vonTh. H. Morgan (1919) zu bestätigen, dass die Entwickelung eines jeden beliebigen Merkmals, bloss kraft seines Anwachsens, die Chancen für die weitere Entwickelung desselben in der eingenom-. menen Richtung vergrössert.Zugleich wird jedoch ein deutlicher Vorbehalt gemacht, dass die erschlossene Identifizierung einstweilen nur die microevolutiven Vorgänge (lautW. Ludwig's Terminologie, 1938) betreffen könnte, keineswegs aber die natürliche Zuchtwahllehre, die vor allem die Dynamik der Populationsänderungen behandelt.
Résumé En s'opposant aux points de vue exprimés parJ. Gross (1925) que la doctrine mendélienne aurait pu être considérée comme le support de celle du sélectionisme darwinien, l'auteur avance des preuves que tous les deux devraient au fond s'identifier, parce qu'elles basent leurs déductions sur les variantes minimes, en majeure partie concernant les traits extérieurs, très souvent d'une importance vitale insignifiante, en même temps peu définies et réciproquement indépendantes, l'origine desquelles, selonDarwin, reste d'ordinaire inconnue, l'apparition même étant imprévue et fortuite, ce qui signifie, qu'elles doivent être assujetties complètement aux règles, requisitions et conséquences de la théorie de probabilité, tandis que dans le mendélisme la même chose se manifeste également dans les associations en majeure partie libres et indépendantes des caractères semblables, qui représentent les interactions combinatoires géniques entre les paires allélomorphiques, qui grâce à la participation de pas plus que deux partenaires parentals s'expriment dans une équation générale du binôme newtonien (1938).De cette manière, l'objection faite jadis contre la doctrine darwinienne d'avoir assigné un poids trop grand au hasard des variations indéfinies, doit être au fond considérée, au point de vue de la théorie de probabilité, plutôt comme l'argument de l'appui en faveur de cette doctrine, aussi bien naturellement que du mendélisme même, lui aussi étant une expression de cette théorie. Cela d'autant plus s'il était possible de confirmer les idées deTh. H. Morgan (1919), selon lequel le développement d'un trait quelconque, une fois commencé, acquiert, par la seule apparition, plus de chances pour son progrès consécutif dans le même endroit.Néanmoins, toute réserve est prise par l'auteur au fait, que cette identification déduite ne saurait être attribuée pour le moment du moins, qu'aux phénomènes microévolutifs (conformément à la terminologie deW. Ludwig, 1938) et qu'elle ne pourrait jamais être appliquée à la théorie de la sélection naturelle, cette denière concernant avant tout les facteurs impliqués dans la dynamique des changements quantitatifs des populations.
  相似文献   

3.
Poliomyelitis and weather during 10 years in England and wales   总被引:1,自引:0,他引:1  
In a preliminary analysis by Spicer, the effects of temperature and humidity upon poliomyelitis frequencies were investigated, using only deviations of monthly means from the 10-year means for the same month. In this way seasonally varying factors influencing the polio frequencies but unconnected with the weather were removed from the analysis.The data have been analysed in greater detail,holding to this basic principle. The results yield modified or new conclusions concerning the role of the weather variables, their importance compared with other factors,the distribution of time intervals between weather deviations and onset of symptoms,and the seasonal variation in the effect of the weather itself. A biometeorological interpretation is given, in which warm damp weather is implicated. In an appendix the statistical method is described and compared with the one previously used, and applications to other disease-weather problems are considered.
Zusammenfassung In einer vorläufigen Analyse hat Spicer die Auswirkungen von Temperatur und Feuchtigkeit auf die Erscheinungshäufigkeit von Poliomyelitis untersucht, wobei er nur Abweichungen des Monatsmittels im Vergleich zum Zehnjahresmittel für den gleichen Monat verwendete.Die erzielten Ergebnisse wurden jetzt eingehender analysiert,wobei der Autor am Basisprinzip festgehalten hat. Sie führen zu veränderten und neuen Schlussfolgerungen in Bezug auf die Rolle,welche die Witterung als veränderliche Grösse spielt, ihre Bedeutung im Vergleich zu anderen Faktoren, die Verteilung der Zeitabstände zwischen Abweichungen in der Witterung und dem Eintritt der Symptome, und die saisonbedingte jeweilige Anderung in der Auswirkung der Witterung selber. Es wird eine biometeorologische Erklärung gegeben in der warmes feuchtes Wetter einkalkuliert ist. In einem Anhang wird die statistische Methode beschrieben und mit der früher angewandten verglichen.

Resume Dans une analyse préliminaire, Spicer a recherché l'influence de la température et de l'humidité sur la fréquence de la poliomyélite en n'y employant que les écarts entre les moyennes mensuelles et la moyenne décennale du même mois. Les données ont été soumises à une analyse détaillée en partant de ce principe de base.Les résultats ont donné lieu à de nouvelles conclusions ou à des conclusions modifiées sur l'influence des variables atmosphériques, leur importance en comparaison d'autres facteurs, la distribution des intervalles entre les écarts atmosphériques et la manifestation des symptômes, ainsi que sur les variations saisonnières dans l'influence des conditions atmosphériques elles-mêmes. On propose une interprétation biométéorologique, dans laquelle les conditions de temps chaud et humide sont incorporées. La méthode statistique est traitée en appendice et elle est comparée à celle pratiquée antérieurement.
  相似文献   

4.
Sex attraction by pheromones seems general among the Tortricidae. Using virgin live females, female gland extracts or synthetic chemicals similar to known tortricid pheromones, it is shown that the species are attracted very specifically to their own pheromones. However, because of differences in seasonal cycles, circadian rhythms and secondary chemicals, many species may use the same primary attractant, without much interspecific attraction. There is some correlation between taxonomic groupings and pheromone structures.
Résumé L'attraction sexuelle par les phéromones semble être la règle chez les Tortricidae. L'attraction interspécifique a été étudiée dans la nature au moyen de femelles vierges vivantes, et de produits chimiques synthétiques semblables aux phéromones de Tortricidae dont la structure chimique a été élucidée. En général, les mâles d'une espèce donnée sont attirés très spécifiquement par un produit ou par un mélange qui, à leur égard, a valeur de phéromone.Cependant, le même produit attractif est souvent utilisé par plusieurs espèces. Il existe dans ce cas des différences de cycle saisonnier, de rythme circadien ou de produit chimique additionnel servant à l'attraction, de sorte que l'attraction interspécifique demeure un évènement rare. On observe une corrélation entre les groupements taxonomiques et la structure chimique des phéromones: dans la sous-famille des Olethreutinae, il y a surtout des alcools insaturés à 12 carbones et leurs acetates; dans la sous-famille des Tortricinae, surtout des alcools à `4 carbones et leurs acetates, généralement avec une double liaison en position 11.
  相似文献   

5.
Zusammenfassung Auf Grund der Vorstellung, dass die Erregungsleitung auf einer Wiedererregung der benachbarten Gewebebezirke durch lokale bioelektrische Ströme beruht, wurde vorher eine mathematische Theorie der Fortpflanzung der Erregung im Nerv entwickelt, welche einige Tatsachen befriedigend darstellt. In der vorliegenden Arbeit wird die Theorie auf den Fall angewandt, dass die Erregung von einem Gewebe auf ein anderes übertragen wird, wobei die beiden Gewebe verschiedene elektrische Eigenschaften haben. Es zeigt sich, dass dabei gewisse Bedingungen für die Möglichkeit der Übertragung der Erregung erfüllt sein müssen, welche an den vonL. Lapique geforderten Isochronismus erinnern.
Résumé Dans deux mémoires précédents nous avons développé une théorie mathématique de la propagation de l'excitation nerveuse, basée sur l'hypothèse, que cette propagation est due à une réexcitation par les courants bioélectriques. Dans le mémoire présent nous étudions le cas de deux tissus adjacents, différents dans leurs constantes électriques, du point de vue du passage de l'excitation d'un tissu sur l'autre. Il se trouve, que pour que ce passage put avoir lieu, certaines relations doivent être satisfaites, des relations qui rappellent l'isochronisme postulé parL. Lapique.
  相似文献   

6.
Résumé L'équivalence des résultats donnés par deux groupes identiques d'animaux soumis à la même épreuve, et leur constance lorsqu'on répète l'expérience dans les mêmes conditions, masque des phénomènes intéressants. Il existe entre les individus de grandes différences de réactivité dont il faut rechercher les causes. Il y a, d'autre part, une fluctuation notable des réponses données par un même individu d'un jour à l'autre. S'agit-il d'une fluctuation liée à des facteurs physiologiques ou à un cycle? Enfin, certains sujets semblent présenter des caractéristiques particulières: ils sont, dans les limites de l'expérimentation, constamment positifs ou constamment négatifs.
Summary Equivalence in results given by two similar groups of animals put through a same test, and their constancy when the test is repeated in same conditions, conceal important phenomena. Responses are very different according to individuals. There is also a striking fluctuation in responses given by a same animal from a day to another. Some insects seem to exhibit peculiar features: inside experimental bounds, they are always positive or negative.
  相似文献   

7.
Zusammenfassung Obwohl man allgemein den Ameisen weder medizinische noch veterinär-medizinische Bedeutung beimißt, so sind diese Insekten doch mit der Ubertragung von Krankheiten auf mechanishem Wege und als Faktoren in Entwicklungszyklen von Krankheitserregern beteutungsvoll. Darüber hinaus können Ameisen direkt Tiere und Menschen angreifen und Hautverletzungen verursachen. Die Reaktion auf Stiche kann bei Wiederholungen zunehmend ernsthaft werden nach dem Empfindlichkeitsgrade. Empfindlichkeit ist offenbar nicht artspezifisch wie im Falle der Moskitobisse, erstreckt sich aber weitgehend auf andere Hymenoptera, so daß Tiere, die für Ameisengift empfindlich sind, sehr ernsthafte und gelegentlich tödliche Auswirkungen durch Bienen- oder Wespenstiche erleiden.Das häufige Vorkommen der Formicidae und die Allgemeinheit ihrer Nahrungssuche verleitet zum Verdacht, sie als mögliche mechanische Verbreiter von Bakterien und Viren anzusehen. Tatsächlich sind jedoch die Beweise, die die Ameisen der Ausbreitung irgendwelcher Krankheiten beschuldigen, unzulänglich, obgleich man vermutet, daß diesem Problem unzureichende Aufmerksamkeit gewidmet wurde. Die Annahme, daß der Ameisensäuregehalt des Körpers eine mechanische Übertragung durch den Darm verhindert, hat nur dürftige theoretische Grundlagen, die kürzlich erfolgte Isolation von Antibiotica aus einer Reihe von Arten hat mehr Bedeutung. Die epidemiologische Bedeutung der Ameisen während bestimmter Blatternepidemien in Nord-Afrika wird beschrieben.Unzureichende Aufmerksamkeit wurde auf die Rolle der Ameisen als Teilnehmer an Zyklen von Eingeweidewurm-Parasiten gerichtet. Man weiß von Ameisen, daß sie als Zwischenwirte von Cestoden des Hausgeflügels und von Rebhühnern fungieren und neuere Arbeiten in den U. S. A. und Deutschland haben nachgewiesen, daß sich in ihnen die Metacercarien des PlattwurmsDicrocoelium dendriticum (Rudolphi) finden, ein wichtiger Parasit der bei Rindvieh und Schafen bestimmter Gebiete vorkommt.Zukünftige Forschungen sollten das Gebiet ausdehnen, welche Arten in den Entwicklungszyklus der Eingeweidewürmer-Parasiten eingreifen und sollten vielleicht einige Rätsel der Helminthologie lösen.Die hohe Populationsdichte der Ameisen, besonders in den Tropen, macht sie als Abfallbeseitiger nützlich und verhütet die Anhäufung von möglicherweise gefährlichen Kadavern. Außerdem halten sie die Vielzahl medizinisch wichtiger Insekten streng im Zaum z. B. durch Verzehren vonMusca-Larven,Glossina-Puppen und einigen Moskito-Eiern.
Résumé Bien qu'en général on n'accorde aux fourmis aucune importance médicinale, ni vétérino-médicinale, ces insectes sont cependant liés à la transmission de maladies par voie mécanique et ils interviennent dans les cycles de développement d'agents de maladie. Bien plus, les fourmis peuvent attaquer directement les animaux et les êtres humains et occasionner des lésions cutanées. La réaction aux piqûres, si celles-ci sont répétées, peut augmenter de façon sérieuse suivant le degré de sensibilité. Il semble que la sensibilité ne soit pas spéciale à l'espèce, comme c'est le cas pour les piqûres de moustiques; elle s'étend au contraire à d'autres hyménoptères, de sorte que les animaux sensibles au venin des fourmis peuvent être sérieusement et quelquefois mortellement atteints par des piqûres d'abeilles ou de guêpes.Étant donné la fréquence de l'apparition des Formicidés et la généralité de leur quête de nourriture, on est amené à les considérer comme propagateurs mécaniques éventuels de bactéries et de virus. En fait, les preuves qui permettent de rendre les fourmis responsables de la propagation d'une maladie quelconque sont cependant insuffisantes, bien que l'on puisse admettre que jusqu'alors trop peu d'attention a été consacrée à ce problème. L'hypothèse qui admet que le contenu d'acide formique du corps empêche une propagation mécanique par l'intestin n'a qu'un fondement théorique précaire; l'isolement récent d'antibiotiques d'une série d'espèces présente plus d'intérêt. On signale l'importance épidémiologique des fourmis lors d'une certaine épidémie de variole en Afrique du Nord.On n'accorda aussi qu'une attention insuffisante à la contribution des fourmis au cycle de vers intestinaux. On sait qu'elles constituent le milieu intermédiaire de développement du cestode de la volaille et des perdrix; des travaux récents aux U. S. A. et en Allemagne ont démontré que l'on peut trouver en elles les métacercaires du verDicrocoelium dentriticum (Rudolphi), grave parasite qui fait son apparition chez les bêtes à cornes et les moutons de certaines régions.Les recherches ultérieures chercheront à étendre leur champ d'action, à reconnaître quelles espèces interviennent dans le cycle de développement des vers intestinaux et réussiront peut-être à résoudre quelques-unes des énigmes de l'helminthologie.La forte densité des agglomérations formicoles, surtout sous les tropiques, les rend très utiles pour déblayer les déchets et évite l'accumulation de cadavres éventuellement dangereux. En outre, elles refrènent fortement l'augmentation de nombreux insectes importants du point de vue médicinal en se nourrissant, par exemple, de larvesMusca, de chrysalidesGlossina ou de certains ufs de moustiques.
  相似文献   

8.
Conclusions Cette étude du fonctionnement ovarien nous a notamment permis d'évaluer quantitativement les principales variables du phénomène, ce qui était, dans notre programme de travail, à résoudre en première urgence.Nous avons montré l'importance de l'ovosorption dont nous connaissions l'existence sans pouvoir lui attribuer une valeur quantitative.Nous noterons une différence avec le Dytique: la dégénérescence peut frapper les ufs mûrs.D'un point de vue plus général, nous mettons en évidence dans une même fonction, la dualité des caractères entre les phénomènes de comportement marqués par leur grande variabilité et leur discontinuité, et les phénomènes physiologiques qui expriment sans rupture l'action des facteurs externes.Le fait qu'une certaine proportion des ufs produits puisse ne pas être pondue, permet d'expliquer la diminution ou l'augmentationbrusque de la ponte sous l'action de stimulations d'origine sociale, dues soit à l'évolution normale du nid (cellules libres, couvain, etc.), soit, plus fréquemment dans nos conditions d'expérience, à l'effet de groupe.
Summary Ovarian function inPolistes is governed by three fundamental parameters:the delivery rate of the ovaries, the duration of oocyte development, andthe rythm of egg-laying. The first two, which act directly upon the ovaries (particularly the number of developing oocytes), are immediately influenced by the physical environment, especially the temperature. The third, on the other hand, is under behavioral control.It is emphasized that the late parameter rarely attains its maximum value: the female does not lay all her eggs, eliminating a variable proportion by ovosorption.
  相似文献   

9.
Zusammenfassung Fussend auf der Quantentheorie und Wellenmechanik, sowie unter Berücksichtigung der Topik desAristoteles und der SystemeDrieschs undWhiteheads studiert der Autor die Resultate welche die biologische Forschung bis jetzt bezüglich der Erscheinungen der biologischen Induktion, der Stimulation und der Vererbung geliefert hat und umreisst schliesslich eine allgemeine Theorie dieser Erscheinungen, welche sie durch interne, normative Beziehungen zwischen verschiedenen Ganzheiten erklärt. Diese Ganzheiten haben als solche keine Existenz im Raum, sondern nur in der Zeit in derselben Weise wie bei einem grammatikalischen, esthetischen oder ethischen Gesetz. Diese Gesetze äussern sich mittels Symbolen, welche ihren Sinn repräsentieren und die Substanzen, welche Induktion, Stimulation oder Vererbung bewirken, werden als solche Symbole aufgefasst, welche ihre Wirkung nicht produzieren, sondern sie nur in einer andern Ganzheit induzieren, einer Ganzheit, welche auf das betreffende Symbol anspricht und welche dem Gesetz, das durch das Symbol repräsentiert wird, gehorcht.
Résumé Se basant sur la théorie des quanta et sur la mécanique des ondes, ainsi que sur la Topique d'ARistote et les systèmes philosophiques deDriesch et deWhitehead, l'auteur examine les résultats biologiques relatives aux phénomènes de l'induction, de la stimulation et de l'activité des gènes acquis jusqu'à présent et propose en conclusion l'esquisse d'une théorie générale de ces phénomènes qui les explique par des relations internes et normatives ayant lieu entre différentes entités. Ces entités ont une existence non spatiale, mais temporelle, semblablement à des lois grammaticales, esthétiques ou éthiques. Ces lois s'expressent par le moyen de symboles qui représentent leur sens et les substances inducteurs, stimulateurs ou géniques sont interprêtées comme étant des symboles semblables qui ne produisent pas leurs effets mais les induisent seulement dans une autre entité qui répond au symbole et obéit à la loi normative que ce dernier représente.
  相似文献   

10.
Résumé La distribution du butin a été suivie individuellement chez des ouvrières deFormica polyctena à l'extérieur de la colonie. On a observé la distribution effectuée par une ou plusieurs butineuses nourries avec du miel radioactif, après des temps variables.Malgré la distribution d'une quantié de nourriture surabondante, on constate que certains individus en reçoivent plus que d'autres. Il n'y a jamais égalité de niveau entre tous les individus d'un groupe.Les ouvrières de l'extérieur, qui avaient reçu une large part au commencement de la distribution, en avaient encore la plus grande partie à la fin de l'expérience, tandis que celles qui n'avaient rien ou reçu une part minime ne les égalaient jamais.Le même résultat a été observé quand la nourriture a été offerte directement sans passer par l'intermédiaire de butineuses. En utilisant des ouvrières ramassées à l'extérieur dans la forêt six heures avant l'expérience, on trouve également les mêmes résultats. Les ouvrières ayant reçu une ration importante refusent de la nourriture aux quémandeuses quand on les met au contact d'ouvrières affamées. Après avoir séparé les fourmis ayant reçu une grosse ration et celles n'anyant rien rçu ou très peu, il est apparu que ces dernières n'étatient pas aussi actives en ce qui concerne la distribution. Cela est également vrai quand on offre le butin directement sans l'intermédiaire des butineuses.L'observation individuelle et l'enregistrement du butin montrent que l'activité des quémandeuses ne provoque pas toujours la transmission. Celle-ci peut être refusée par des fourmis au jabot bien rempli.Le comportement des fourmis ayant reçu une grande ration et conservant la nourriture dans leur jabot est discuté en liaison avec la circulation de la nourriture dans le nid et l'existence d'insectes «transporteurs».
Zusammenfassung Bei der individuellen Verfolgung von radioaktiven Futter bei kleinen Gruppen von Aussendiensttieren der AmeiseFormica polyctena treten auch bei optimalem Futterangebot unterschiedliche Mengen bei den Einzelindividuen am Ende ciner Verteilung auf.In den Aussendienstgruppen haben meist die Tiere, die am Anfang viel erhalten haben, auch am Ende noch das meiste, oft noch stark gesteigert, während Tiere, die am Anfang wenig erhalten hatte, auch am Ende noch am tiefsten lagen. Eine Parallelität zeichnet sich klar ab; auch bei freier Aufaahme von Futter.Frisch gefangene Aussendiesttiere zeigten ein ähnliches Ergebnis.Die von Einzeltieren aufgenommene grosse Menge wird auch beim Zusetzen hungriger Tiere oft im Kropf zurückbehalten.Wurden in einer Gruppe Tiere, die viel, und Tiere, die wenig erhalten hatten, separiert, dann zeigten die schwach-radioaktiven Tiere eine weit geringere Verteilungs- und Aufnahmeaktivität als die Gruppe der starkradioaktiven Tiere. Dies gilt auch für die Aufnahme und Weiterverteilung von freiem Futter.Bei der individuellen Beobachtung und Ausmessung weitergegebenen Futters zeigte sich, dass nich unbedingt die Bettelaktivität für die erhaltenen Futtermenge entscheidend ist. Tiere mit gefülltem Kropf verweigerten häufig bei Anbettelung eine Weitergabe.Das Verhalten von Tieren, die während der verschiedenen Verteilungen das meiste erhielten und auch speicherten, wird im Zusammenhang mit dem Nahrungsfluss im Nest diskutiert, wobei auch das Vorhandensein von «Transporttieren» im Aussendienstbereich erörtert wird.
  相似文献   

11.
Zusammenfassung Die spezifische Wirkung von männlichen und weiblichen funktionellen Ersatzgeschlechtstieren auf die Produktion von Ersatzgeschlechtstieren wurde bei der TermiteKalotermes flavicollis (Fabr.) untersucht. In Kolonien von Larven und Nymphen des I. Stadiums hat ein männliches Geschlechtstier bei Abwesenheit des funktionellen Weibchens keine oder nur eine äusserst schwache Hemmwirkung auf die Entstehung männlicher Ersatzgeschlechtstiere. Eine solche Hemmwirkung wird jedoch deutlich, wenn ein zweites männliches Geschlechtstier vorhanden ist. Einzelne weibliche Geschlechtstiere hemmen auch bei Abweseneit funktioneller Männchen die Entstehung weiblicher Ersatzgeschlechtstiere sehr stark. Weibliche Geschlechtstiere geben also immer ein geschlechtsspezifisch wirkendes, hemmendes Pheromon ab, während die männlichen Geschlechtstiere ein entsprechendes Pheromon nur bei Anwesenheit des Geschlechtspartners abgeben, wobei dieser bis zu einem gewissen Grade durch ein gleichgeschlechtiges Geschlechtstier ersetzt werden kann.Ein einzelnes Männchen hat eine stimulierende Wirkung auf die Entstehung weiblicher Ersatzgeschlechtstiere. Diese Wirkung ist auf ein Pheromon zurückzuführen, das in Kopfextrakten von Ersatzgeschlechtstieren nachweisbar ist. Die Produktion dieses stimulierenden Pheromons scheint eingestellt zu werden, sobald das Männchen das geschlechtsspezifische hemmende Pheromon abgibt.Obschon alle Versuche mit Ersatzgeschlechtstieren durchgeführt wurden, haben die Befunde wahrscheinlich auch für primäre Geschlechtstiere Gültigkeit.
Summary The specific effect of male and female functional replacement reproductives upon the transformation of larvae and 1st stage nymphs into replacement reproductives has been studied inKalotermes flavicollis (Fabr.).In the absence of functional females, a single male reproductive has no inhibitory effect, or only a very slight one, upon the transformation of male larvae and nymphs into replacement reproductives. Such an inhibitory action becomes evident, however, if a second male reproductive is present. A single reproductive female exerts, in the absence of a male reproductive, an almost complete inhibition on the transformation of female larvae and nymphs. Female reproductives thus always produce a sex-specific inhibitory pheromone, whilst male reproductives only produce a comparable pheromone when they are in the presence of a female reproductive. The female here can be replaced by another male reproductive, but the effect is not so pronounced.Single male reproductives have a stimulatory effect upon the transformation of female larvae and nymphs into replacement reproductives. This action is due to a pheromone which can be demonstrated in extracts of heads of replacement reproductives. The production of this stimulatory pheromone seems to be suppressed as soon as the male gives off the sex-specific inhibitory pheromone.Although all experiments have been performed with replacement reproductives, it is probable that the findings are also valid for primary reproductives.

Résumé L'action spécifique de sexués de remplacement mâles et femelles sur la transformation de larves et de nymphes du premier stade a été étudiée chez le termiteKalotermes flavicollis (Fabr.). En l'absence d'un sexué femelle, un seul sexué mâle n'a que peu ou pas de pouvoir inhibiteur sur la transformation des larves et nymphes mâles en sexués de remplacement. Cependant, ce pouvoir inhibiteur devient apparent si un deuxième sexué mâle est présent. En revanche, en l'absence d'un sexué mâle, un seul sexué femelle inhibe presque complètement la transformation des larves et nymphes femelles. Les sexués femelles produisent donc toujours une phéromone inhibitrice qui agit spécifiquement sur les larves du même sexe, tandis que les sexués mâles ne produisent une phéromone analogue qu'en présence d'une femelle fonctionnelle. Jusqu'à un certain degré, la femelle peut être remplacée dans cette action inductrice sur le mâle par un autre mâle fonctionnel.Un seul sexué mâle exerce en l'absence du sexué femelle un pouvoir stimulateur à l'égard de la transformation des larves et nymphes femelles en sexués de remplacement. Cette action est due à une phéromone qui a pu être mise en évidence dans des extraits de tête de sexués de remplacement. La production de cette phéromone stimulatrice semble être supprimée dès que le mâle produit la phéromone qui inhibe spécifiquement le développement des larves et des nymphes mâles.Bien que ces expériences aient été exécutées avec des sexués de remplacement, les résultats obtenus sont, selon toute probabilité, valables aussi pour les sexués primaires.


Durchgeführt mit Hilfe eines Forschungskredits des Schweizerischen Nationnalfonds zur Förderung der wissenschaftlichen Forschung.  相似文献   

12.
Zusammenfassung Die vorliegende Arbeit ist eine Fortsetzung derThompson'schen Analysen des Parasitenzyklus bei Insekten, die mit der irrealen Folgerung endeten, dass unter gewissen Voraussetzungen — die wir in der gegenwärtigen Analyse akzeptiert haben —jeder Parasit in relativ kurzer Generationenfolge seinen Wirt, und damit sich selbst, zur Ausrottung bringen muss. Der Einfluss von wiederkehrenden Umwelt-katastrophen wie sie z.B. durch ungünstiges Wetter sehr häufig bedingt sind, wurde untersucht mit dem Ergebnis, dass solche Katastrophen, wenn sie in nicht allzugrossen Intervallen auftreten, völlig genügen, um die Unterbrechung der akkumulativen Parasitierung im Zyklus zu erklären.Die grössere Empfindlichkeit der Parasiten, welche aus allen Beobachtungen und Analysen sich ergibt, ist nicht physiologisch, sondern ökologisch bedingt. Methodisch hat sich gezeigt, dass die Analyse tierischer Populationen weitgehend ohne Anwendung von Integralen möglich ist.Die Ergebnisse, welche die hohe Bedeutung der Feinde bei grosser Wirtsdichte, und ihre minimale Wirksamkeit, wenn letztere niedrig ist, zeigen, sind unabhängig von einem besonderen Dichtefaktor der Feindvermehrung — wie er im allgemeinen besteht und die aufgezeigten Tendenzen noch verstärkt — gewonnen. Der Einfluss des Superparasiten wird unter dem Einfluss wiederkehrender Umwelt-katastrophen minimal. Am Modell einiger beobachteter Gradationen wird die Übereinstimmung mit unserer Analvse demonstriert.
Résumé Le travail ci-dessus est la continuation des analyses deThompson des cycles parasitaires chez les insectes, qui l'ont à la conclusion absurde qu'en acceptant certaines suppositions — que nous avons acceptées dans la présente analyse — chaque parasite exterminerait son hôte et par conséquent soi-même. Nous avons étudié l'influence de certains phénomènes catastrophiques récurrents provenant du milieu comme par exemple celle d'un temps défavorable. Ces phénomènes, pourvu qu'ils ne se présentent pas à des intervalles trop grands, suffisent amplement pour expliquer l'interruption de la parasitation accumulative dans les cycles.La sensibilité plus grande des parasites qui est démontrée dans toutes les observations et analyses ne provient pas de causes physiologiques, mais écologiques.La méthodologie a donné comme résultat intéressant le fait que l'analyse des populations animales peut se faire sans l'application des intégrales.Les résultats démontrant la grande importance des ennemis quand les hôtes sont nombreux, mais par contre une activité minimale des ennemis quand les hôtes sont rares, ont été obtenus indépendamment d'une augmentation spéciale des ennemis qui, en général, constitue un facteur important, ce qui renforce encore les tendances que nous avons trouvées. L'influence des superparasites devient minime sous l'action des catastrophes récurrentes dus au milieu. Finalement, au moyen de quelques gradations bien observées, nous avons démontré que notre analyse est conforme aux faits.
  相似文献   

13.
The validity of serum creatine phosphokinase (CPK) as an index of tissue damage due to cold injury was tested in the rat. Immersion of the feet in the freezing mixture (salt and ice, –19°±1°C) for one or five minutes produced reversible and irreversible damage, respectively. The increase in CPK activity over a 5-hr period following freezing showed that the severity and extent of cold injury was associated with the amount of CPK released into the bloodstream. -Exposure of the whole rat to cold air at –29°C for three hours resulted in a highly variable increase in serum CPK two hours after exposure which was related to the degree of hypothermia during the exposure. The extent of hypothermia was also related to the amount of tissue loss estimated two weeks after the exposure. These findings show that the increase in serum CPK after cold injury reflects subsequent tissue loss and might conceivably be useful in early classification of cold injury.
Zusammenfassung Die Verwendbarkeit der Serumkreatinphosphatase (CPK) als Indikator von Gewebsschäden nach Erfrierungen wurde an der Ratte untersucht. Eintauchen der Pfote in eine Kältemischung (Salz und Eis, –19°±1°C) über Perioden von 1–5 Minuten führte zu reversiblen und irreversiblen Gewebsschädigungen. Der Anstieg der CPK-Aktivität 5 Stunden nach Beginn der Erfrierungen zeigte, dass die Schwere und das Ausmass des Kälteschadens im Zusammenhang stand mit der in das Blut ausgetretenen CPK-Menge. - Aussetzen von Ratten während 3 Stunden bei –29°C führte zu einem Anstieg der Serum CPK 2 Stunden später. Die Werte wiesen eine grosse Streuung auf, die im Zusammenhang stand mit dem Ausmass der Hypothermie während der Belastung. Die Hypothermie war positiv korreliert mit der Menge des Gewebsverlustes 2 Wochen später. Danach ist der Anstieg der Serum-CPK nach Erfrierungen Ausdruck der Gewebsschädigung und kann eventuell zur frühen Beurteilung von Erfrierungen dienen.

Resume Des rats ont servi de bêtes d'essai pour vérifier si l'analyse de la phosphatase de la créatine du sérum (CPK) est utilisable comme indicateur de dommages des tissus après des phénomènes de gelures. Le fait de placer les pattes des rats dans un mélange réfrigérant (mélange de glace et de sel; température –19° à ± 1°C) durant des périodes de 1 à 5 minutes a conduit à des dégâts réversibles et irréversibles des tissus. L'augmentation de l'activité de CPK cinq heures après le début des gelures a montré que l'importance des lésions était en liaison directe avec les quantités de CPK présentes dans le sang. L'exposition de rats durant 3 heures à une température de –29°C a conduit à une augmentation du taux de CPK du sérum deux heures après. Les valeurs recueillies présentent cependant une très grande variabilité qui est en relation directe avec l'importance de l'hypothermie durant la période de contrainte. Cette hypothermie est en corrélation positive avec la quantité de tissu perdu deux semaines après l'exposition. Il ressort de cette expérience que l'augmentation de CPK dans le sérum sanguin après des gelures peut être utilisée comme expression des dégâts subis par les tissus et éventuellement pour la détermination précoce de phénomènes de gelures.


DCIEM Research Paper 913  相似文献   

14.
Summary Censuses showing the numerical relations between adults and immature stages are presented for numerous colonies of social Hymenoptera. Emphasis is placed on primatively social forms having colonies of very few individuals and lacking a worker caste or having such a caste only feebly differentiated. Evidence is presented for considering the number of immature individuals in a colony as an index of the ability of the adult females (queens and workers) of the colony to produce reproductives of the next generation. The censuses therefore relate colony size (number of adult females) to reproductive potentiality. It is not surprising that in all species the number of immature individuals rises with the number of females in the colony.When the immature stages are measured in numbers of individuals, it can be seen that the number of young rises slowly in relation to increases in number of females (mostly workers),i. e., the curves are rather flat if the same units of measurement are used for both x and y axes. Therefore a relatively large increase in worker number is associated with any increase in production of reproductives of the next generation. (A possible exception occurs inPseudagapostemon which lacks a worker caste.)When numbers of immature stages in a series of colonies of a species are divided by the number of females (queens and workers) in each colony to determine the efficiency of those females in rearing young, it is found that the efficiency per adult female is usually greater the smaller the colony, and that in those primitively social forms which sometimes live as lone individuals, it is these isolated females that produce the most progeny per female. Behavioral social interactions causing deminishing efficiency with increasing colony size must be common.Since higher reproductivity per female is attained by lone individuals rather than by those in groups, selection among egg-layers in small primitive social groups and in early season groups, when worker action is absent or minimal, may be partly responsible for the fact most social insects have colonies with only one queen. Such differential selection may partially explain the fact that colonies of bees typically contain only a single queen in spite of the belief that at least some of them arose phylogenetically through aggregations instead of through subsocial family groups. Other reasons for the frequency of colonies with one rather than many queens are probably more important and include the ease of establishment of a colony by a lone queen, the simplicity of caste controlling mechanisms if the number of functional queens is limited to one as contrasted to the complications if some additional queens are allowed, and various reasons related to selection and intracolonial competition as suggested in the text.
Zusammenfassung Die zahlenmässigen Beziehungen zwischen den Imagines und den jugendlichen Stadien werden für zahlreiche Nestpopulationen von sozialen Hymenopteren aufgezeigt. Besonders berücksichtigt sind dabei primitiv soziale Formen, die kleine Nestpopulationen und keine oder eine nur schwach entwickelte Arbeiterinnenkaste besitzen. Es wird gezeigt, dass die Anzahl der jugendlichen Individuen in einem Nest als Index für die Fähigkeit der erwachsenen Weibchen (Königinnen und Arbeiterinnen) Geschlechtsformen der nächsten Generation zu erzeugen gewertet werden darf. Die Zahlen zeigen daher die Beziehungen zwischen der Grösse der Kolonie (Anzahl der erwachsenen Weibchen) und dem Fortpflanzungspotential. Es ist nicht überraschend, dass in allen Arten die Anzahl der jugendlichen Individuen mit der Anzahl der Weibchen in einer Kolonie steigt.Wenn die Anzahl der jugendlichen Individuen gegen die Anzahl der erwachsenen Weibchen aufgetragen wird, so zeigt sich, dass die Anzahl der Jungen mit wachsender Anzahl von Weibchen (zumeist Arbeiterinnen) langsam ansteigt, d. h. ziemlich falche Kurven werden erhalten. Eine verhältnismässig starke Erhöhung der Arbeiterinnenzahl ist mit einer erhöhten Produktion von Geschlechtstieren für die nächste Generation verbunden (Eine Ausnahme darf möglicherweise inPseudagapostemon gesehen werben, in der eine Arbeiterinnenkaste fehlt).Wenn die Anzahl der jugendlichen Individuen pro Nest durch die Anzahl von erwachsenen Weibchen (Königinnen und Arbeiterinnen) pro Nest geteilt wird um die Leistungsfahigkeit der Weibchen in der Produktion von Nachwuchs zu bestimmen, so stellt sich heraus, dass die Produktionsfähigkeit eines Weibschens um so grösser ist je kleiner die Kolonie ist. Es sind gerade die zeitweise einsamen Weibchen von primitiv sozialen Formen die die meiste Nachkommenschaft pro Weibchen produzieren. Soziale Wechselbeziehungen, die eine Verringerung jener Leistungsfähigkeit mit steigender Koloniegrösse hervorrufen, muss weit verbreitet sein.Da eine erhöhte Fortpflanzungsfähigkeit pro Weibchen eher in einsamen Weibchen erreicht wird als in solchen die in Gruppen leben, muss Selektion unter den Eierlegern in den zahlenmässig schwachen primitiv sozialen Nestverbanden und in den Frühjahrsstadien von anderen Nestpopulationen die dann keine oder wenige Arbeiterinnen haben, teilweise fur die Tatsache verantwortlich sein, dass die meisten sozialen Insekten nur eine Königin pro Volk besitzen. Eine solche differentielle Selektion mag zum Teil die Tatsache erklären, dass im typischen Fall Bienen nur eine Königin besitzen obwohl angenommen wird, dass sich zumindest einige der sozialen Bienen phylogenetisch eher von Aggregationen als von subsozialen Familienverbänden ableiten. Andere Gründe für die Häufigkeit von Arten mit nur einer Königin sind vielleicht ausschalaggebender; jene schliessen mit ein die relative Leichtigkeit der Koloniegründung durch nur ein Weibchen, die Einfachheit des Mechanismus fur die Regulierung der Kastenstärke durch nur ein Weibchen im Gegensatz zur Kompliziertheit im Falle von mehreren Königinnen, und verschiedene andere Gründe, die mit Selektion und Konkurrenz zwischen den Kolonien zu tun haben und im Text näher dargelegt sind.

Résumé Des chiffres indiquent les rapports numériques qui existent entre les stades adulte et larvaire chez de nombreuses colonies d'Hyménoptères sociaux. L'étude porte principalement sur des formes de sociétés primitives constituées par des colonies réduites à quelques individus et dont la caste ouvrière est inexistante ou peu différenciée. Il est montré que, dans une colonie, le nombre d'individus à l'état larvaire peut être un indice de la capacité, pour les femelles adultes (reines et ouvrières), à produire les sexués de la génération suivante. Les chiffres établissent donc un rapport entre la taille de la colonie (nombre de femelles adultes) et le pouvoir reproducteur. Il n'est pas étonnant que, chez toutes les espèces, le nombre d'individus à l'état larvaire s'élève avec le nombre de femelles dans la colonie.Lorsque l'on compte les individus à l'état de larves, on constate que le nombre de jeunes s'élève lentement par rapport à l'accroissement du nombre des femelles (ouvrières pour la plupart), c'est-à-dire que les courbes sont peu expressives si l'on utilise les mêmes unités de mesure pour les 2 axes x et y. Donc, à un accroissement relativement important du nombre des ouvrières, correspond un accroissement variable dans la production des sexués de la génération suivante. (Exception faite peut-être pourPseudagapostemon qui n'a pas de caste ouvirère).Lorsque, dans une série de colonies d'une espèce déterminée, on divise le nombre de larves par le nombre de femelles (reines et ouvrières) afin de déterminer les capacités nourricières des femelles dans chaque colonie, on constate que ces capacités sont d'autant plus grandes pour chaque femelle adulte que la colonie est plus petite; et que dans ces formes de sociétés primitives qui ne comprennent parfois que des individus solitaires, les femelles isolées sont celles qui ont la plus forte descendance par individu. Il est probablement courant que les interactions du comportement social provoquent une diminution des capacités lorsque la colonie s'accroît. Etant donné que le pouvoir reproductif par individu est plus élevé lorsque les femelles sont isolées que lorsqu'elles sont groupées, la sélection parmi les pondeuses de petits groupes sociaux primitifs, tôt dans la saison, lorsque l'activité ouvrière est nulle ou à son minimum, est sans doute une des raisons pour lesquelles la plupart des insectes sociaux forment des colonies à une seule reine. Cette sélection différentielle peut expliquer en partie que des colonies d'abeilles ne contiennent habituellement qu'une reine en dépit du fait que, au moins une certain nombre d'entre elles, proviennent génétiquement de groupes collectifs et non de familles subsociales. Les autres raisons auxquelles on peut attribuer la fréquence des colonies à une plutôt qu'à plusieurs reines, sont sans doute plus importantes: ce sont la facilité de s'établir pour une colonie à reine unique, la simplification des mécanismes de contrôle de caste lorsque le nombre des reines actives est limité à une, opposée aux complications qui surgissent à l'admission d'autres reines, d'autres raisons diverses, liées à la sélection et à la compétition entre les colonies sont suggérées dans le texte.


Contribution number 1117 from the Department of Entomology, the University of Kansas, Lawrence, Kansas.

The preparation of this paper was facilitated by a grant (No. G 11967) from theNational Science Foundation. I wish to thank Dr. RobertR. Sokal for valuable criticism of the paper; Drs.C. L. Farrar andF. E. Moeller of the U. S. Department of Agriculture, Madison, Wisconsin, and Dr.W. E. Laberge of the University of Nebraska for helping me to. obtain certain data, especially unpublished data, on honeybees and bumblebees.  相似文献   

15.
Zusammenfassung Alle Formen von Leben entstanden aus der primitiven Zelle, betrachtet eher als eine Art denn als ein Individuum, welches die Fähigkeit für ununterbrochene Selbst-Teilung besass. Fortgesetzte Vermehrung der Zellen mag eins von drei verschiedenen Verfahren folgen: 1. Die zwei Zellen von jeder Teilung hervorgehend, mögen sich vollständig von einander trennen; diese Linie der Entwicklung der primitiven Zelle rief die Protozoa hervor. 2. Während die Zellen sich teilen, mögen sie mehr oder weniger unregelmässig zusammen hängen. Diese Linie rief die Porifera (Schwämme) hervor. 3. Die sich teilenden Zellen mögen regelmässig zusammenhängen, eine Blastula und eine Gastrula bildend. Die Gastrula ist fähig eine unbestimmte Anzahl von Variationen hervorzubringen, und durch diese Variationen in der Gastrula entstanden alle Tier-Typen ausser der Protozoa und der Porifera.Diese Linien der Entwicklung von der einzelnen Zelle stellen alle die physischen und geometrischen entfaltungsfähigen Möglichkeiten, denkbar im Falle von Zellen, dar, die die Kraft besitzen sich durch Selbst-Teilung zu vermehren. Da diese entfaltungsfähigen Linien einfach mechanische Antworten auf die geometrischen und physischen Eigentümlichkeiten sind, eigen der Vermehrung der sich selbst teilenden Zellen, so gibt es keine Rechtfertigung für die Annahme einer bestimmten Ordnung in ihrem Vorkommen. Es ist logischer anzunehmen, dass die primitive Zelle gleich nach ihrem Erscheinen sich nach jeder möglichen Richtung gleichzeitig entwickelte, kurz, dass alle die Haupttypen des Tierlebens gleichzeitig erschienen.Es gibt keinen Beweis gegen diese Annahme, welche in Übereinstimmung mit dem geologischen Hintergrund des Lebens ist, wie wir es verstehen; mit der Fossilien-Urkunde, wie illustriert durch Fossilien von genau vergleichbaren Umgebungen; und mit der angenommenen Nötigkeit für ein System von Kontrolle und Ausgleich zwischen den verschiedenen Typen von Leben.
Résumé Toutes les formes de la vie proviennent d'une cellule primitive unique, considérée comme espèce plutôt que comme individu, possédant le pouvoir de se multiplier par bi-partition répétée. La propagation continue de cellules peut avoir lieu de trois façons différentes: 1. Les deux cellules, après la division, peuvent se séparer complètement l'une de l'autre; cette forme de propagation de la cellule primitive a donné lieu aux Protozoaires. 2. Les cellules, en se divisant, peuvent rester liées plus ou moins irrégulièrement; cette forme de propagation caractérise les Porifères (spongiées). 3. Les cellules, en se divisant, peuvent rester liées selon un arrangement régulier, en formant une blastula et une gastrula; la gastrula peut être formée selon un infinité de modalités, et c'est à ces différences de la formation de la gastrula que sont dues toutes les espèces animales exceptés les Protozoaires et les spongiées.Ces formes de propagation de la cellule unique représentent la somme des possibilités d'arrangement permises par les lois de la géométrie et de la physique. Du moment que ces procédés de propagation sont soumis à un arrangement mécanique gouverné par des lois physiques et géométriques, il n'y a pas lieu d'admettre qu'il y ait, dans leur succession, d'ordre déterminé. Il est plus logique de supposer qu'aussitôt parue la cellule primitive se soit propager simutanément dans toutes les directions concevables, en d'autres mots que toutes les phyla animales se soient différenciées au même moment.Aucune preuve ne démont cette hypothèse qui, d'ailleurs, concorde avec les prémises géologiques de la vie telles que nous les comprenons, avec les vestiges fossilisés de couches géologiques strictément comparable, et avec la théorie qui admet l'établissement de l'équilibre entre les différentes espèces animales au moyen d'un contrôle et de limitations mutuelles.
  相似文献   

16.
Résumé On peut rendre horizontaux les rayons d'une ruche et verticaux ceux d'un nid de guêpes sans perturbations visibles pour l'élevage ou le comportement des ouvrières.Les abeilles réparent très facilement et immédiatement les trous creusés dans les cellules d'ouvrières ou de reines, elles posent sans difficulté un fond aux cellules d'ouvrières si on l'a enlevé. Elles tordent une lame de cire perpendiculaire aux rayons pour la mettre en position parallèle.Les abeilles peuvent déposer leur miel dans les trous d'une plaque de bois, dans des rayons de métal ou de plastique; elles peuvent élever leur couvain dans des rayons de plastique et leurs reines dans des cellules de verre ou de plastique. Les guêpes peuvent operculer avec du carton les rayons des abeilles. Les guêpes souterraines dont on vient de déterrer le nid le couvrent de terre et l'enterrent en creusant au-dessous. Si une plaque de métal glissée au-dessous s'y oppose, elles le reconstruisent peu à peu de manière à l'amener sur le bord de la plaque et à l'enterrer à nouveau.  相似文献   

17.
In northeastern North Carolina, outbreaks ofTetranychus urticae Koch on commercial corn and peanut plantings were observed to coincide with flowering and fruiting of the crop host. In greenhouse studies, when equal mite numbers were started on plants in either vegetative or reproductive growth stages, populations increased significantly more after 3–4 weeks on reproductive plants of both corn and peanut. This direct response of mite populations to differences in plant phenology appears to be an important component in the population dynamics ofT. urticae. The importance of this effect in understanding mite outbreaks on corn and peanut is discussed, especially in reference to the corn-peanut agroecosystem in North Carolina.
Réponse de populations deTetranychus urticae Koch., aux phénologies du maïs et de l'arachide
Résumé Les populations de tétraniques sont souvent associées à la floraison et à la fructification des plantes attaquées. Dans les agrosystèmes maïsarachide du N.E. de la Caroline du Nord, l'augmentation rapide de populations deT. urticae a été observée lors de la maturation des épis mâles du maïs et du maximum de floraison de l'arachide. Bien que ces observations suggèrent une relation causale avec la phénologie des plantes hôtes, il est difficile de déterminer dans les conditions de la nature si l'augmentation des populations d'acariens sur les stades reproducteurs des plantes est due à une réponse à la phénologie des cultures ou à une autre cause, comme le passé de la population ou une immigration. Des expériences ont été réalisées dans une serre pour mettre en évidence l'action de la phénologie du maïs et de l'arachide sur les populations d'acariens en maîtrisant ces autres hypothétiques facteurs. Des effectifs identiques d'acariens femelles ont été libérés sur des plantes à des stades tant végétatifs que reproductifs, et ensuite laissés sans interventions pendant plusieurs semaines, au bout desquelles les effectifs sur chaque plante ont été dénombrés. Sur les deux hôtes, les populations sur plante à un stade reproducteur avaient augmenté significativement plus que sur les plantes de même espèce à un stade végétatif. Ces résultats montrent queT. urticae répond directement à des différences entre plantes à un stade végétatif et à un stade reproductif. Cette réponse semble jouer un rôle important dans la dynamique des populations deT. urticae.
  相似文献   

18.
The effect of exposure to 5,500 m and 7,300 m simulated altitude on rat adrenal glands was assessed by the measurement of urinary 11-hydroxycorticosteroids (11-OHCS). Since rat urine contains large amounts of non-corticosteroid fluorogens, a modification was introduced into the conventional fluorimetric method. At 5,500 m altitude increased excretion of 11-OHCS was confined to the first 24 hr. At 7,300 m the excretion of 11-OHCS continued at elevated levels throughout the exposure period. The excretion of catecholamines was also increased in rats during exposure to altitude. Since changes in the levels of excreted adrenaline and body weight were comparable with changes in 11-OHCS excretion at both altitudes, in the rat urinary 11-OHCS levels appear to constitute an index of the stress imposed by high altitudes.
Zusammenfassung Die Wirkung von 5.500 m und 7.300 m simulierter Höhe auf die Nebennieren der Ratte wurde überprüft durch Messung der 11-Hydroxykortikosteroide (11-OHCS) im Harn. Da Rattenharn grosse Mengen von Fluorogenen enthält, die keine Kortikosteroide sind, wurde die konventionelle fluorimetrische Methode modifiziert. In 5.500 m Höhe bestand eine erhöhte 11-OHCS Ausscheidung nur in den ersten 24 Stunden. In 7.300 m Höhe wurde eine erhöhte Ausscheidung von 11-OHCS während der gesamten Expositionsperiode von 14 Tagen beobachtet. Die Ausscheidung der Katecholamine war während der Periode in den beiden Höhen ebenfalls erhöht. Da die Veränderungen der Adrenalinausscheidung und des Körpergewichts vergleichbar waren mit den Veränderungen der 11-OHCS Ausscheidung scheint der 11-OHCS Gehalt im Harn als Index für das Ausmass der Höhenbelastung bei Ratten geeignet zu sein.

Resume On a examiné l'effet de l'exposition à des altitudes simulées de 5,500 m et de 7,300 m sur les surrénales des rats en mesurant le taux de 11-hydroxycorticostéroïde (11-OHCS) dans l'urine. Comme cette dernière contient de grandes quantités de substances fluorogènes qui ne sont pas des corticostéroïdes, on a modifié la méthode conventionelle de mesure fluorimétrique. A 5.500 m d'altitude, on ne constate une sécrétion accrue de 11-OHCS que durant les premières 24 heures d'exposition. A 7.300 m d'altitude par contre, la sécrétion accrue a duré jusqu'à la fin de l'expérience, c'est-à-dire 14 jours. On a constaté en outre une sécrétion accrue de catécholamine dans les deux cas et durant toute la période. Comme les variations de poids et de sécrétion d'adrénaline étaient en relation directe avec celles de 11-OHCS, le taux de ce dernier dans l'urine semble être un bon indice pour déterminer la contrainte d'altitude chez les rats.


DCIEM Research Paper 821.  相似文献   

19.
Zusammenfassung Es wurde vergleichend die Histotopochemie der Tetrazolsalze MTT, Nitro-BT und TNBT an Retina, Leber und Nebenniere von Katze und Kaninchen untersucht. Es zeigt sich, daß mittels TNBT die gesamten negativen Eigenschaften von Nitro-BT und MTT zu überwinden sind. Reduziertes TNBT ist nicht lipoidlöslich, besitzt eine gewisse Proteinbildung und zeigt eine extreme Feinkörnigkeit. Das TNBT-Formazan hat im Gewebe, in Abhängigkeit von der Zeit, eine hohe Beständigkeit. In fettreichen Organstrukturen zeigt es keine Änderung seiner Gewebsbindung. Am elektronenmikroskopischen Schnitt läßt sich bestätigen, daß bei Entwässerung des Gewebeschnittes keine wesentliche Änderung der Gewebsbindung von reduziertem TNBT auftritt und das Formazan gut auf die Mitochondrien lokalisiert ist.
Résumé On a procédé à des examens histotopochimiques comparatifs des sels de tétrazol MTT, Nitro-BT et TNBT au niveau de la rétine, du foie et de la surrénale du chat et du lapin. Au moyen du TNBT, il est possible de compenser toutes les propriétés négatives du Nitro-BT et du MTT. Le TNBT réduit n'est pas soluble dans les lipoides, présente une certaine fixation aux protéines et révèle un grain extrêmement fin. Dans le tissu le TNBT-Formazan possède une grande stabilité au cours du temps. Dans les structures d'organes riches en graisse il ne présente pas de modifications de sa fixation tissulaire. L'examen en microscopie électronique confirme que lors de la déshydratation des coupes de tissu, aucune modification importante de la fixation tissulaire du TNBT réduit ne se produit, et que le Formazan est bien localisé sur les mitochondries.


Teilweise anläßlich des II. Internationalen Kongresses für Histo- und Cytochemie 1964 in Prankfurt a. M. vorgetragen.  相似文献   

20.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号