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1.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

2.
Resume et conclusions La région de Beni-Ounif, Figuig et Ben Zireg, cadre de cette étude, est située sur la bordure méridionale de l'Atlas saharien et supporte un climat de caractère désertique par la faiblesse et l'irrégularité des précipitations. A la suite de périodes relativement pluvieuses, l'apparition de nombreuses thérophytes, l'acheb des indigènes, permet de faire l'étude des groupements végétaux dans leur développement optimum. Trois types de stations se montrent particulièrement riches en ces espèces: les stations cultivées et rudérales, les dépressions sablo-limoneuses du reg et des plateux rocheux, les pentes rocailleuses des montagnes et des collines. Seuls les deux dernières stations ont fait de notre part l'objet d'une étude phytosociologique approfondie.o| li]I.|Les d\'epressions non sal\'ees portent trois associations: association \`a Althaea Ludwigii et Trigonella anguina des cuvettes limoneuses, association \`a Lotononis dichotoma des ravinelles, association \`a Asphodelus pendulinus des talus sableux. La composition floristique et le sol de la premi\`ere sont nettement diff\'erents des deux autres, qui sont au contraire tr\`es voisines. Ce sont les diff\'erences dans la teneur en limon et argile qui sont d\'eterminantes dans la localisation respective des trois groupements: 28% en moyenne d'\'el\'ements fins (limon + argile) dans l'Althaeetum, 8,5% dans le Lotononidetum, 5% dans l'Asphodeletum; c'est pour une teneur de l'ordre de 12% d'\'el\'ements fins que s'\'etablit le passage entre l'Althaeetum et le Lotononidetum. La teneur plus \'elev\'ee en argile du sol du premier groupement lui conf\`ere une plus grande hygroscopicit\'e; mais tr\`es rapidement, apr\`es les pluies, la teneur en eau du sol des trois groupements dans les 10 cm sup\'erieurs se r\'eduit \`a l'eau d'hygroscopicit\'e. Les autres caract\`eres d'habitat sont semblables.Aux abords des habitations, l'enrichissement en matières organiques provoque le remplacement de ces associations par un groupement nitrophile, l'association à Peganum Harmala et Bassia muricata.L'élément floral saharo-sindien est nettement prédominant dans tous ces groupements, avec une représentation de 2,5 à 5 fois plus grande que celle de l'élément méditerranéen. li]II.|Les associations des pentes rocailleuses, contrairement aux pr\'ec\'edentes, sont peu sensibles \`a la nature physico-chimique du substratum, mais sont \'etroitement li\'ees aux conditions climatiques locales, elles-m\^emes sous la d\'ependance de l'exposition, de l'altitude et de la situation g\'eographique de la cha\^ine. Ce caract\`ere est particuli\`erement apparent dans le territoire que nous avons \'etudi\'e, par sa situation \`a la limite commune de deux groupes d'associations de rocailles, l'un saliarien que nous appelons l'Atractyletalia babelii, l'autre m\'editerran\'een, le Sedetalia altissimae.Au premier appartient l'association à Morettia canescens et Fagonia longispina qui colonise les rocailles des chaînons les plus méridionaux de l'Atlas saharien occidental jusqu'à une altitude de 1100 m eviron, à l'exception des fortes pentes d'exposition Nord où se localise une association à Senecio flavus et Centaurea incana var. Saharae, groupement moins héliophile, plus riche en formes méditerranéennes et faisant transition avec le Sedetalia.Le groupe du Sedetalia est représenté au Dj. Antar de Ben Zireg par l'association à Ferula Cossoniana et Leucanthemum paludosum var. gaetulum, avec une sous-association à Aristida Adscensionis aux expositions Sud à Est et Ouest depuis 1100 m jusqu'à plus de 1600 m, et une sous-association à Rosmarinus officinalis aux expositions Nord au dessus de 1500 m. Ces deux groupements ont le même aspect de steppe montagnarde d'halfa, mais les formes sahariennes sont encore dans la proportion de 4/5 des espèces méditerranéennes dans le premier, alors qu'elles n'y sont plus que dans la proportion de 1/2 dans le second. La présence du Juniperus phoenicea dans la sous-association rosmarinetosum, son absence totale de la sous-association aristidetosum donnent une indication précieuse pour des essais éventuels de reboisement. On trouvera dans Vegetationsbilder, 6 (4), T. 19, une photographie d'un de ces groupements de rocailles, le Morettieto-Fagonietum anabasidetosum, au pied d'une pente occupée par le M.-F. artemisietosum. Au fond, la face Sud de l'Antar, couverte dans sa plus grande partie par le Feruleto-Leucanthemetum.Les caractères physico-chimiques du substratum ont peu d'influence sur la composition des groupements; seuls les grès tendres, dont les éboulis se colmatent de sable, ont permis dans le Morettieto-Fagonietum l'établissement de psammophytes qui différencient une sous-association à Aristida floccosa.Ainsi, alors que les groupements sahariens des surfaces planes ou de faible relief sont des indicateurs très sensibles des conditions édaphiques, ceux des montagnes se montrent le plus influencés par les facteurs climatiques locaux. Une étude des associations de rocailles étendue à l'ensemble de l'Atlas saharien occidental permettrait sans doute d'établir avec une grande précision les moindres variations du climat dans cette région et apporterait une documentation précieuse pour une mise en valeur de ces territoires déshérités.Reçue par la rédaction le 14.XII.1951.  相似文献   

3.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

4.
Resumé L'évolution de la musculature longitudinale dorsale de S. amica, au cours de la stolonisation, est comparable à celle affectant la musculature longitudinale des Nereidiens, lors de l'épitoquie: une seule et même fibre musculaire subit une dédifférenciation, puis une redifférenciation pour se transformer finalement en cellule musculaire stoloniale.La fibre musculaire primitive, à double striation oblique, est de nature striée par la direction de ses myofilaments. Les myofilaments sont les uns épais (350 Å) et effilés à leurs extrémités, les autres fins (50 Å). Entre les myofibrilles, correspondant aux bandes A des sarcomères. se situent les bandes I, au milieu desquelles sont disposés, en alternance, des éléments Z et des saccules sarcoplasmiques. De rares mitochondries s'observent à la périphérie de la cellule musculaire.Le début de la dédifférenciation musculaire se traduit par l'apparition de figures myeliniques. Puis, la dégénérescence des myofilaments, des éléments Z et du reticulum sarcoplasmique, survient. Corrélativement, de nombreuses mitochondries apparaissent au sein du sarcoplasme.Au cours de la dédifférenciation musculaire, de nouvelles myofibrilles se constituent à la périphérie. Les nouveaux myofilaments épais ont un diamètre beaucoup plus faible que ceux des fibres primitives: 280 Å. De même, un nouveau système d'éléments Z et de saccules sarcoplasmiques se différencie à l'intérieur des bandes I. On observe surtout l'apparition de saccules sarcoplasmiques, recouvrant les faces internes des bandes A et I, en contact étroit avec la membrane des mitochondries. Celles-ci ont nettement augmenté de taille et remplissent le centre de la fibre musculaire.La cellule musculaire du stolon est finalement constituée par une couche de myofibrilles périphériques, une couche interne de sarcosomes et, en son milieu, par un certain nombre de vésicules claires et quelques figures myéliniques.Les conséquences physiologiques de ce remaniement de la fibre musculaire sont discutées.
Summary The development of the dorsal longitudinal musculature of S. amica, during stolonization, can be compared with that of the longitudinal musculature of the Nereidae, during epitoky: the same muscle fibre undergoes a dedifferentiation, then a redifferentiation to turn finally into a muscle cell of the stolon. The original muscle fibre, with a double oblique striation, is of a striated nature due to the direction of its myofilaments. Some myofilaments are thick (350 Å) with slender ends, some thin (50 Å). Between the myofibrils, corresponding to the A band of the sarcomere, are the I bands, in the center of which Z elements alternate with saccules of the sarcoplasmic reticulum. A few mitochondria can be seen in the periphery of the muscle cell.The beginning of muscular dedifferentiation is revealed by the appearance of myelin figures. Then degeneration of myofilaments, Z elements, and sarcoplasmic reticulum occurs. Concomitantly, numerous mitochondria appear within the sarcoplasm. During muscular dedifferentiation, new myofibrils form in the periphery. The new thick myofilaments have a smaller diameter (280 Å) than those of the original fibres. Likewise, a new system of the Z elements and sarcoplasmic saccules differentiates inside the I bands. We can especially observe the appearance of sarcoplasmic saccules, covering the most internal A and I bands in close contact with the mitochondrial membranes. These have clearly increased in size and now fill the center of the muscle fibre. The muscle cell of the stolon consists of a layer of peripheral myofibrils, an internal layer of sarcosomes and, in the center, some light vesicles and myelin figures. The physiological implications of this recasting of the muscle fibre are discussed.
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5.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

6.
Résumé Pendant l'essaimage, les imagos ailés deNeotermes tectonae sont attirés en grand nombre par les branches mortes ou les chicots des cimes des arbres de teck (Tectona grandis). Ces parties mortes, pour la plupart d'origine non pathologique, s'observent en abondance dans les plantations serrées, et elles restent attachées aux arbres longtemps, se décomposant peu à peu. Pour établir leur loge, les imagos attaquent très souvent la moelle exposée aux endroits où une partie terminale s'est détachée, ou bien ils transpercent latéralement les branches pourrissantes. Ils n'utilisent que rarement d'anciens forages abandonnés. Les colonies primaires sont saprophages. Leurs galeries initiales suivent le fil du bois et sont tantôt dirigées vers le sommet, tantôt et le plus souvent vers la base des branches, ce qui s'explique peut-être par le plus fort degré hygrométrique des parties basales. Ordinairement, les galeries des colonies juvéniles s'étendent après un ou deux ans dans les parties vivantes de la cime ou du tronc, mais les colonies peuvent subsister pendant trois ans et plus sur le bois mort, atteignant exceptionnellement dans ce milieu la phase de première apparition des individus ailés. On peut trouver jusqu'à six colonies primaires dans la même branche. Bien qu'occupant la même partie limitée d'un arbre et possédant des galeries entremêlées, les colonies peuvent rester séparées très longtemps, du moins lorsque leur nombre n'excède pas deux. Les jeunes colonies vivent côte à côte avec d'autres espèces d'insectes utilisant le bois pourri comme nourriture ou, tels que les fourmis, comme abri. Une fois établies, les colonies paraissent ne subir que peu de pertes à la suite d'influences défavorables ou de prédateurs; chose curieuse, elles ne sont pas recherchées par les pics.

The preparation of this paper has been made possible thanks to a grant received from the Netherlands Organization for the Advancement of Pure Research (Z. W. O.).  相似文献   

7.
Résumé 1. Les travaux deSarà (1953) et deBurton (1963) ont remis en question la valeur systématique des caractères morphologiques dans la classification des Eponges Calcaires, et ont proposé de considérer de nombreuses formes connues comme des variétés individuelles et régionales d'espèces très plastiques et variables. Nous avons essayé de préciser, par l'observation directe en plongée libre, la distribution et les préférences écologiques des Calcaires, de définir ainsi les limites naturelles de leurs populations, et d'étudier ensuite la variabilité des caractères morphologiques à l'intérieur de ces populations.2. Nous exposons ici l'exemple des espèces des genresClathrina etAscandra, étudiées en Adriatique, dans les régions de Marseille et de Roscoff. Leur distribution est en rapport direct et très précis avec l'exposition aux vagues et à la lumière, à tel point que sur une surface réduite plusieurs espèces se succèdent et se remplacent en fonction de l'exposition de l'endroit. Dans la règion de Roscoff cette distribution est plus large ce qui est dû aux effets des marées, mais les zones écologique préférentielles pour les espèces deClathrina ont pu être établies en fonction de l'importance de l'apport des sédiments par les eaux côtières.3. La possibilité de définir des populations dont la distribution est très précisemment délimitée malgré une coexistence dans un espace réduit, et qui ne sont pas réliées par les formes transitoires, permet d'éliminer l'hypothèse de la cospécificité de ces populations. Elle permet également d'établir les variations morphologiques possibles au sein d'une espèce, de retenir les caractères significatifs pour la classification, et finalement de distinguer les espèces qui se ressemblent morphologiquement. Dans le cas d'animaux qui, commeClathrina, possèdent très peu de caractères utilisables en systématique, c'est la seule façon de résoudre les problèmes de leur taxonomie.
The importance of research on the ecological distribution for the taxonomy of calcareous sponges
The particular difficulties of the taxonomy of calcareous sponges are due to their great plasticity and their capacity for adaptation which obscure the natural limits of species. An attempt was made to define the natural populations of the Mediterranean species of the generaClathrina andAscandra through a study of their ecological distributions. The populations not connected by the transitory forms were defined by their ecological preferences, and, as they are found in a close cohabitation, were treated as having the specific values. The variability of different morphological features is discussed, the features significant for taxonomy are pointed out and the morphologically close species are defined.
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8.
Some behavioral and physical defenses of Lymantria dispar (L.) pupae are described. It was found that the layer of webbing surrounding pupae significantly reduced oviposition rates in the pupal parasitoid Brachymeria intermedia (Nees) (Hymenoptera, Chalcididae). The reasons for this reduction and consequent parasitoid responses were investigated. The role of these behaviors in this host parasitoid relationship are discussed.
Résumé Le comportement défensif des chrysalides de Lymantria dispar L. consiste en cambrage et en tournoiement. Les chrysalides encoconées étaient plus sensibles aux stimuli tactiles que celles qui ont été extraites des cocons. Brachymeria intermedia Nees avait moint de succès dans l'insertion complète de la tarière dans des chrysalides encoconées qu'extraites, car elles devenaient empêtrées dans le cocon quand la chrysalide se défendait. Il y avait différentes réponses du parasitoïde à l'empêtrement. Elles comprenaient l'abandon de l'attaque par un départ, la remise en selle sur l'hôte, la morsure à travers les fils du cocon, l'attaque d'un hôte voisin, le repos ou la toilette. Les taux d'insertion de la tarière pouvaient être augmentés par l'élimination artificielle de quelques fils. La durée des opérations était plus courte sur les chrysalides plus petites. La discussion a porté sur l'importance de ces comportements sur les relations de ces parasitoïdes avec leurs hôtes.
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9.
Summary Distributions and abundances of ants were determined on the N, E, W and S upper slopes of a conical hill that had a gradient of conditions from moist-cool oakjuniper-pine woodland to warm-dry open shrub woodland. Species distributions varied remarkably with slope, even in terms of subfamilies and unique common species. A formicine was the most abundant species on the north slope. A different species of dolichoderine was most abundant on the other slopes. The assemblages of ant species were much more distinct for these small sites on each slope than are the known groups of species associated with vegetation types on a broad geographical basis. Interpretation of the causes of such specific assemblages awaits detailed information on species ecologies However, there is considerable circumstantial evidence that body size is an important factor. The percentage similarity of body size of pairs of species in the same site was least for common species of the same feeding guild; similarity was greater when one or both members of a pair were uncommon; similarities were highest for species in different guilds. Combinations of species that would have had very high size overlaps did not occur together. Some combinations that occurred were those that had the least overlap possible for the species known to occur on the entire hill.
Resume La répartition et l'abondance des populations de fourmis ont été analysées sur les versants d'une colline dont le couvert végétal va de la forêt touffue du type chênegenévrier-pin, humide et fraîche, au maquis ouvert, chaud et sec. On a constaté que la répartition des espèces variait de façon très marquée suivant la pente du versant, même en ce que concerne les sous-familles et les espèces uniques abondantes. Les assemblages d'espèces sont plus nettement démarqués dans ce cas que ne le sont ceux des groupes connus d'espèces associées avec des types de végétation sur des aires géographiques plus étendues. Avant de pouvoir donner une interprétation satisfaisante des causes qui déterminent les divers assemblages, il faudra disposer d'informations beaucoup plus détaillées sur l'écologie des diverses espèces. Il existe déjà, portant, beaucoup de preuves indirectes qui montrent l'importance de la taille spécifique. Les pourcentages de ressemblances des tailles spécifiques entre les espèces d'un même site étaient minimum chez les espèces communes appartenant au même groupe trophique. Les ressemblances étaient considérablement plus grandes lorsque l'un des membres d'une paire, ou les deux membres, appartenaient à des espèces rares. Les ressemblances maximum se rencontrent entre espèces appartenant à des groupes trophiques différents. On n'a trouvé aucune combinaison d'espèces communes dont les tailles spécifiques sont à peu près identiques. Les quelques combinaisons d'espèces communes qui ont été observées apparaissent entre espèces à la taille spécifique aussi divergentes que possible parmi toutes les expèces recensées dans l'air délimitée.
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10.
Résumé Chez les souris du Basler Laboratoriumsstamm, atteintes d'une lésion dégénérative héréditaire du neuro-épithélium rétinien, les cellules visuelles se différencient de façon normale au cours de la première semaine post-natale. Les premiers signes de condensation et puis de pycnose nucléaires apparaissent au niveau de la granuleuse externe au moment même où s'ébauche la différenciation de l'article externe des bâtonnets. L'immense majorité des cellules visuelles disparaît au cours des deuxième et troisième semaines de la vie. Quelques rares cellules visuelles survivent pourtant jusqu'aux stades les plus avancés de l'affection dégénérative, et ces cellules conservent des bourgeons cytoplasmiques dont la structure rappelle celle des articles internes des bâtonnets.Parallèlement avec la disparition progressive des cellules visuelles, on observe la prolifération à partir de la région apicale de l'épithéliuni pigmentaire, d'un système lamellaire organisé qui entre en contact étroit avec les cellules visuelles subsistantes, et plus précisément avec ce qui reste de leurs articles internes.Une hypothèse est formulée, selon laquelle ce système lamellaire organisé pourrait être porteur d'un pigment photolabile et pourrait ainsi suppléer à l'absence des articles externes des bâtonnets. Le processus initial de l'excitation visuelle prendrait naissance au niveau de ce système membranaire organisé, l'état d'excitation se propageant ensuite à la membrane plasmique des restes d'articles internes.  相似文献   

11.
Résumé On peut rendre horizontaux les rayons d'une ruche et verticaux ceux d'un nid de guêpes sans perturbations visibles pour l'élevage ou le comportement des ouvrières.Les abeilles réparent très facilement et immédiatement les trous creusés dans les cellules d'ouvrières ou de reines, elles posent sans difficulté un fond aux cellules d'ouvrières si on l'a enlevé. Elles tordent une lame de cire perpendiculaire aux rayons pour la mettre en position parallèle.Les abeilles peuvent déposer leur miel dans les trous d'une plaque de bois, dans des rayons de métal ou de plastique; elles peuvent élever leur couvain dans des rayons de plastique et leurs reines dans des cellules de verre ou de plastique. Les guêpes peuvent operculer avec du carton les rayons des abeilles. Les guêpes souterraines dont on vient de déterrer le nid le couvrent de terre et l'enterrent en creusant au-dessous. Si une plaque de métal glissée au-dessous s'y oppose, elles le reconstruisent peu à peu de manière à l'amener sur le bord de la plaque et à l'enterrer à nouveau.  相似文献   

12.
Unless leaf-water content is maintained near the saturation level of excised leaves via high humidities and leaf-water supplementation via the petiole, larval growth is suppressed. In 87 paired feeding experiments involving sixteen species of Lepidoptera, the effects on larval growth of leaves with, and without, leaf-water supplementation were compared. Suppressive effects upon the efficiencies of larval growth were observed for larvae fed leaves without water supplementation. These effects were more pronounced for tree leaf-feeders than for forb leaf-feeders.
Résumé La croissance des chenilles est supprimée quand la teneur en eau des feuilles coupées n'est pas maintenue proche de la saturation grâce à une humidité ambiante élevée et grâce à un apport d'eau supplémentaire par le pétiole. La comparaison des effets sur le développement larvaire de 16 espèces de Lépidoptères avec ou sans apport supplémentaire d'eau foliaire a été effectuée au cours de 87 expériences.L'absence d'apport supplémentaire d'eau affecte la croissance des chenilles alimentées sur feuilles. Les effets les plus marqués s'observent sur l'avant dernier stade et sont plus nets sur les chenilles consommant les feuilles d'arbres que sur celles consommant les plantes herbacées. L'E.C.D. (efficacité de conversion de la biomasse digérée) subit la réduction la plus nette, particulièrement chez les chenilles consommatrices de feuilles d'arbres. La teneur en eau de ces dernières est faible même quand elles sont saturées. La croissance des chenilles observée dans ces expériences laisse supposer que les feuilles d'arbres, avec une teneur à saturation de 50% à 75% d'eau, ne permettent pas le taux de croissance des chenilles des plantes herbacées dont la teneur en eau est de 80% à 95%.Un apport supplémentaire en eau pour les feuilles d'arbres peut empêcher la combustion superflue de biomasse assimilée et d'énergie pour l'eau métabolique, ainsi que toutes les tentatives pour mesurer les dépenses respiratoires liées au degré de spécialisation alimentaire larvaire ou les possibilités de détoxification devraient comprendre un apport supplémentaire d'eau pour maintenir la saturation des feuilles coupées. Même alors, l'efficacité des conversions de biomasse végétale, d'énérgie et d'azote pendant la croissance larvaire dépend fortement des disponibilités, pour les larves, des différentes plantes-hôtes, en eau foliaire.
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13.
Conclusion La technique à l'hématoxyline au plomb de Mac Conaill permet l'identification d'un type cellulaire situé dans la pars distalis rostrale, en bordure des ramifications de la neurohypophyse dans l'hypophyse de plusieurs Poissons Téléostéens; il est également colorable par le bleu d'alizarine d'Herlant; toutefois, l'intensité de ces deux réactions tinctoriales est très variable selon les espèces. Chez l'Anguille, les Salmonidés et le Cyprin, la nature corticotrope de ces cellules est établie expérimentalement. La colorabilité par l'hématoxyline d'une autre catégorie cellulaire dans la pars intermedia laisse supposer l'existence de constituants communs aux deux types cellulaires, et peut-être même à leurs produits d'élaboration. Cette communauté de certains aminoacides entre l'ACTH et l'intermédine a déjà été démontrée chez divers Mammifères.  相似文献   

14.
L. Joly 《Insectes Sociaux》1958,5(4):373-378
Conclusion on aurait pu s'attendre à ce que les adultoïdes (stades Vbis) se groupent sur la même droite que les stades V normaux et les adultes prématurés (V) sur celle des imagos (fig. 6). On voit qu'il n'en est rien et que cela tient à ce que la croissance des organes du vol à la fin du développement larvaire deLocusta migratoria n'est pas représentée par une droite d'allométrie unique, mais présente une discontinuité à chacune des dernières mues, de sorte que les adultoïdes ne sont pas des stades V géants mais un stade supplémentaire ajouté au développement normal, et les imagos prématurés ne sont pas des adultes nains mais des adultes privés d'une partie de leur évolution larvaire.  相似文献   

15.
Quantitative nutritional indices were measured in 3rd instar gypsy moths, Lymantria dispar L. Analyses of the main and interactive effects of host plant consumed (oak or pine), foliar phenology (early or late season) and larval dietary history (whether fed artificial diet or foliage as second instars) indicate that larval performance was significantly affected by all three variables tested. Relative Growth Rate (RGR) was higher on oak than pine early in the season, but the reverse occurred one month later, owing largely to the slower Relative Consumption Rate (RCR) of late season oak feeders. Efficiency of Conversion of Digested food (ECD) was depressed in larvae fed pine foliage for two instars compared with those fed oak. The interaction between larval dietary history and foliar phenology produced significant effects on all indices measured. Foliar analyses showed that, as the season progressed, oak had a higher percent dry weight than did pine. On a dry weight basis, pine foliage had significantly less total and protein nitrogen than did oak collected at the same time.
Résumé Les indices nutritionnels larvaires ont été évalués sur des chenilles de L. dispar L. du troisième stade. L'analyse des effets et des interactions de la nature de la plante consommée (Quercus microcarpa) ou Pinus strobus, de la phénologie foliaire (en début de saison, c'est-à-dire seconde quinzaine de mai, ou en fin de saison, c'est-à-dire à la mi-juin), de l'alimentation antérieure (régime artificiel de germes de blé ou feuillage pendant le second stade) montre que les performances larvaires sont fortement modifiées par ces 3 variables. Le taux de croissance relative (RGR) est plus élevé sur chêne que sur pin en début de saison, mais s'inverse un mois plus tard avec une forte diminution sur chêne. L'efficacité de conversion de l'aliment (ECD) est diminuée sur pin pendant les second et troisième stades. L'interaction entre l'alimentation antérieure et le phénologie foliaire a des effets significatifs sur la digestibilité approchée (AD), sur l'efficacité de la conversion de l'aliment ingéré (ECI), et sur ECD, RCR et RGR.Les analyses foliaires ont montré que, lorsque la saison avance, le poids sec du chêne devient supérieur à celui du pin. En considérant le poids sec, le feuillage de pin contient moins d'aliments et de protéines que le chêne récolté au même moment. La teneur en azote tend à diminuer chez les deux espèces, de 17% pour le pin et 26% pour le chêne.Nous pensons que certains de ces facteurs déterminent la valeur de ces plantes pour L. dispar. Les chenilles âgées peuvent compenser plus ou moins la faible assimilation sur pin par des RCR plus élevés. Le même comportement ne semble pas possible sur chêne, une plus grande quantité de chêne avancé en saison que de feuilles jeunes ne pouvant être consommée pour compenser la diminution de la digestibilité.
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16.
Résumé Les auteurs définissent plusieurs formes de matières organiques et procèdent à leur inventaire dans des sols bruns et des chernozems. Ils effectuent un premier fractionnement par tamisage destiné à quantifier la matière végétale figurée et à séparer les complexes organo-minéraux. Ils procèdent ensuite sur ces derniers, à des extractions chimiques en vue de déterminer les complexes organométalliques et les complexes organo-argilliques. Les résultats démontrent que les sols bruns étudiés sont formés d'agrégats de consistance très lâche, caractérisés par un fort taux de complexes organométalliques à base d'acides fulviques à turn-over très rapide. Ces propriétés contrastent beaucoup avec celles des chernozems qui sont constitués d'agrégats très compacts renfermant un fort taux d'acides humiques très polycondensés, liés à un taux élevé de complexes organo-argilliques, ces deux types de produits apparaissant très résistants aux dégradations microbiennes.  相似文献   

17.
L'analyse des régimes alimentaires de deux espèces d'Araignées à toile géométrique,Argiope bruennichi (Scopoli) etAraneus marmoreus (Clerk), montre qu'A. marmoreus capture 14,1 proies/jour surtout des Diptères (75%) et des proies de petite taille (0–4 mm) (86%) et qu'A. bruennichi capture 4,3 proies/jour. Les proies de cette dernière espèce sont plus diversifiées (Diptères, Hyménoptères, Orthoptères et Hémiptères) et de plus grande taille que pourA. marmoreus. L'analyse des proies potentielles disponibles montre que ces deux espèces occupent des strates différentes faunistiquement, dans un même milieu.  相似文献   

18.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

19.
Conclusions L'invasion de la cornée par les leucocytes est tardive. Ces cellules sont évidemment destinées à servir de moyen de protection contre les microbes, mais elles ont encore probablement une autre fonction, qui reste inconnue, car elles se transforment par métaplasie en éléments différenciés, les cellules en épieu, décrites par Ranvier, dont la durée de vie est limitée.Cette métaplasie s'effectue au cours d'un processus spécial, qui m'a paru fort étrange lorsque j'ai commencé à l'étudier; mais la netteté des images observées aux différentes phases ne m'a laissé aucun doute sur sa réalité. Il ne peut d'ailleurs y avoir aucune erreur sur le sens dans lequel ces phases de la métaplasie se succèdent, à partir d'un leucocyte banal.Les leucocytes sont d'abord englobés par les cellules fixes en donnant des images identiques à celles de la phagocytose ordinaire; mais ils ressortent ensuite de ces cellules et redeviennent libres, ayant acquis une morphologie nouvelle, très caractéristique; souvent ils restent quelques temps rattachés par un mince filament à la cellule d'où ils sortent. Leur noyau a subi, chez l'adulte, mais non chez l'animal très jeune, un amoindrissement; il est normalement en bâtonnet régulier mais présente souvent une fragmentation qui indique un état de dégénérescence. Pourtant la plupart des cellules en épieu possèdent des pseudopodes lamelleux très développés, qui témoignent d'une grande activité migratrice. Les différents stades de cette évolution se rencontrent avec une très grande fréquence, dans toutes les coupes de cornée, et ils sont faciles à voir; s'ils n'ont pas été remarqués jusqu'ici, cela tient uniquement à des raisons techniques.  相似文献   

20.
Boischot  P.  Coppenet  M.  Hebert  J. 《Plant and Soil》1950,2(3):311-322
Conclusion Les expériences ci-dessus nous montrent que le P2O5 des solutions du sol à faible concentration se fixent sur les grains calcaire de la terre arable non par précipitation, mais par un phénomène d'adsorption.L'acide phosphorique ainsi fixé peut repasser en solution par le phénomène inverse de désorption pour être mis a la disposition des plantes lorsque le titre de la solution du sol en P2O5 s'appauvrit.Lorsqu'on ajoute au sol des engrais phosphates, la concentration en P2O5 autour des grains d'engrais peut ëtre suffisamment élevée pour qu'il y ait précipitation de phosphate gélatineux autour des granules d'engrais.Mais ces précipités se redissolvent au moins partiellement dans les solutions du sol et se fixent sur les grains calcaire suivant le processus que nous venons d'indiquer.  相似文献   

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