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1.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

2.
Hylobius abietis migrates by flight to new breeding habitats early in summer. Flight speed and height, wind speeds during flight, and flight direction in relation to wind were studied in the field. Flight duration estimates were obtained from flight mill experiments. Using these data dispersal distances of the females in a population were calculated. According to this tentative estimate a majority of the weevils migrated more than 10 km, and some as far as 80 km, during the entire flight period.
Aire de dispersion de Hylobius abietis (Coleoptera — Curculionidae)
Résumé Hylobius abietis émigre par vol vers de nouveaux habitats tôt en été. La vitesse et la hauteur de vol, la vitesse du vent pendant le vol, et l'orientation du vol en fonction du vent ont été étudiées dans la nature. Après l'envol de nombreux adultes s'élèvent au-dessus des arbres et volent orientés dans le sens du vent, ce qui est certainement une adaptation aux dispersions à distance par le vent. La vitesse de vol est de 1,9 m/s par rapport à celle de l'air. Les captures avec des pièges à succion ont fourni des indications sur la vitesse du vent pendant le vol; en combinant ces données avec les mesures de la vitesse du vol elle-même, une estimation de la fréquence relative des vitesses de disperison a été obtenue.L'estimation de la durée du vol a été obtenue en laboratoire par des expériences avec un moulin de vol. A partir de ces données les distances de dispersion des femelles dans une population ont été calculées. Selon ces essais d'estimation, la majorité des insectes émigrent à plus de 10 kilomètres et certains vont jusqu'à 80 kilomètres pendant l'ensemble de la période de vol.
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3.
A study was made of Hymenoptera, particularly aphid parasitoids in hop gardens receiving three different pesticide regimes. Aphidophagous species accounted for 50% of the total Hymenoptera caught in each site, using water traps, and comprised equal numbers of primary and hyperparasitoids. There was no significant increase in the proportion of aphid parasitoids captured when aphid populations were allowed to rise. However, there was a significant decrease in all Hymenoptera when weed control was employed.Parasitoids bred from the hop aphid, Phorodon humuli (Schrank), comprised three species of Aphidiinae which are primary parasitoids and five species of hyperparasitoid. From mummies which completed development, 48% hyperparasitism was recorded. However, 34% of mummies failed to emerge, most likely killed by predation from Anthocoridae or unsuccessful attack by hyperparasitoids. Native Aphidiinae do not appear to offer a significant contribution towards the integrated control of the hop aphid.
Résumé L'étude a porté sur les Hyménoptères, particulièrement parasitoïdes d'Aphides, des houblonnières du Kent, ayant reçu 3 traitements chimiques différents. L'intérêt de ces Hyménoptères dans la lutte contre le Puceron, Phorodon humuli, a été envisagé.Dans ces houblonnières, pendant la saison, 2286 Hyménoptères ont été capturés dans des pièges à eau (le maximum se situe en juillet et août), bien que dans un cas il semble que la lutte contre les mauvaises herbes ait réduit le nombre total d'Hyménoptères. Les aphidiphages correspondent à environ la moitié des Hyménoptères capturés, avec à peu près les mêmes nombres d'entomophages primaires et secondaires. Ces proportions ne varient pas avec l'importance de la canopée foliaire, l'abondance des mauvaises herbes, la présence de pucerons ou l'utilisation d'insecticides.L'élevage du puceron P. humuli a permis d'obtenir 3 espèces de parasitoïdes primaires (Aphidiinae) et 5 espèces d'hyperparasitoïdes; 34% des pucerons momifiés n'ont rien donné; 48% d'hyperparasitisme est enregistré à partir des momies qui ont donné naissance à des insectes.Les Aphidiinae indigènes ne semblent pas permettre d'espérer une contribution intéressante à la lutte intégrée contre P. humuli. Les taux de parasitisme les plus élevés sont obtenus aux faibles densités de pucerons et en absence de prédateurs ce qui ne se produit qu'avec une utilisation abondante de pesticides. L'hyperparasitisme réduit nettement toute population d'Aphidiinae bénéfiques.
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4.
Résumé L'ultrastructure des plaquettes a été étudiée à l'aide de différentes techniques de fixation, d'inclusion et de coloration.L'association de la fixation au permanganate de potassium, à l'inclusion à l' Araldite et à la coloration à l'acétate d'uranyl s'est montrée très utile pour l'étude de ces éléments du sang.Avec cette méthode nous avons mis en évidence le glycogène des plaquettes. Cette substance se présente sous l'aspect de grains de 180 à 200 Å, très denses, très abondants, dispersés ou formant des agrégats de plusieurs centaines de grains dans la substance fondamentale.Selon les observations réalisées, la membrane des plaquettes est identique aux membranes cellulaires. Nous n'avons reconnu á l'aide des différentes techniques employées, aucune couche que l'on puisse identifier á l'atmosphère plasmatique périplaquettaire de Roskam. Nous avons admis que certains phénomènes dont l'explication reposait sur l'existence de cette atmosphére peuvent être expliqués par la capacité phagocytaire des plaquettes.Dans le granulomére des plaquettes de sang humain normal nous avons observé des granules en baguette de tambour que nous admettons pouvoir être des constituants normaux des plaquettes.Boursier du Centre d'Études d'Histologie et Embryologie Celestino da Costa de l'Institut de Haute Culture.  相似文献   

5.
Conclusion En 1959, dans une note (2) à l'Académie des Sciences, nous écrivions, en conclusion d'un travail préliminaire sur l'étude immunoélectrophorétique desCandida: Si l'avenir apportait la démonstration de résultats similaires obtenus avec d'autres champignons que les levures du genreCandida, on disposerait en mycologie d'une méthode générale d'analyse des fractions antigéniques...; de plus, les connaissances acquises dans ce domaine auraient vraisemblablement d'heureuses répercussions pratiques sur les problèmes taxonomiques en suspens et sur le diagnostic sérologique des mycoses. Six ans plus tard, il nous semble que l'application de l'immunoélectrophorèse à la mycologie ait tenu ses promesses. Sans se substituer à d'autres techniques, ne fut-ce que parce que son objet est limité à l'étude des fractions antigéniques solubles ou à celle des anticorps précipitants, et parce que sa mise en oeuvre est souvent longue et délicate, elle complète heureusement ces techniques, apportant effectivement, dans bien des cas, un argument nouveau, analytique et élégant, à la taxonomie des champignons et ouvrant une voie nouvelle au diagnostic sérologique de certaines mycoses.(avec la collaboration technique deM. Brugge)Communication présentée à l' International Society for human and animal mycology, Third meeting. Edinburgh, July 31st-August 2nd, 1964.  相似文献   

6.
Résumé Les auteurs ont étudié, à l'aide de différentes techniques cytologiques et histo-chimiques, la cytologie du lobe distal de l'hypophyse chez 66 exemplairse et de Xenopus laevis, lesquels ont été traités au 4-methyl-2-thiouracil et au Percorten (acétate de désoxycorticostérone).Le tableau cytologique observé dans l'hypophyse des exemplaires adultes et normaux, est fondamentalement en harmonie avec ce qu'avaient décrit les autres auteurs qui s'étaient déjà occupés de la même espèce.Dans le cadre des cellules acidophiles, que le auteurs précédents avaient considérées toutes identiques, il a cependant été possible de distinguer — surtout à la suite du traitement expérimental — un comportement variable. Forts des résultats obtenus précédemment sur cette espèce et sur d'autres, les auteurs estiment donc que les cellules acidophiles qui sont situées principalement à la partie antérieure du lobe, pourraient être les cellules responsables de la secretion de l'ACTH; quant aux cellules plus petites, plus allongées et moins nettement acidophiles qui se trouvent surtout à la partie ventrale et postérieure du lobe, elles constitueraient plutôt les cellules qui sécrètent l'hormone somatotrope.Les auteurs décrivent en outre les transformations speciales (hypertrophie cellulaire, aspect particulièrement évident du nucléole, perte de la colorabilité typique, présence de granulations acidophiles aldéhyde-fuchsine positives) que subissent les cellules thyrotropes de l'hypophyse de certains exemplaires élevés dans les aquariums du laboratoire, transformations qui vont de pair avec une hypertrophie et une altération fort marquées de la structure de la thyroïde.Ce résultat relatif à l'hyperactivité thyrotrope, laquelle serait la cause à son tour de l'hypertrophie et du tableau histologique d'hyperfonction que présente la thyroïde, est discuté et interprété, à titre d'hypothèse, en tant que la conséquence d'une diminution de l'hormone thyroïdien en circulation, ceci à la suite de conditions d'élevage peu propices.Ce travail a été publié avec l'aide du Conseil National des Recherches (C.N.R.).C'est A. Guardabassi qui a élaboré l'avant-propos et la discussion.  相似文献   

7.
Summary 1. Six scientists and technicians were trained in lock-out diving from the submersible Deep Diver.2. A planned program of saturation diving on predetermined sites in depths between 150 and 250 feet (46 and 76 m) was only partially successful because of extreme cold experienced by divers breathing heliox mixtures in 3.5° C water, and because of inadequacies in the submarine handling system.3. An alternate system of bounce lock-out dives permitted completion of an abbreviated scientific program in depths down to 287 ft (87.5 m).4. Divers took photographs, rock and sediment core samples, and made collections of common benthic species for subsequent analysis for environmental contaminants.5. It was effectively proved that diver scientists can train rapidly for lock-out diving programs and perform effective scientific work.
Valeur du sousmarin à plongée humide «Deep Diver» pour les recherches in situ dans les eaux boréales
Extrait Dans le cadre d'un programme à long terme, subventionné par le Manned Undersea Science and Technology Office (MUS&T) de la NOAA en vue de développer les possibilités de travail sousmarin, six savants et techniciens de la biologie marine furent entraînés, à partir du submersible «Deep Diver», à des plongées humides utilisant des mélanges respiratoires d'air, hélium et oxygène. Un programme de plongée saturée à 45–76 mètres, utilisant comme habitacle des plongeurs une chambre de décompression maintenue à une pression correspondant à 45 mètres de hauteur d'eau, n'eut qu'un succès partiel, en raison du froid pénible auquel furent somis les plongeurs dans une eau à 3,5° C et de défectuosités apparues dans l'équipement sousmarin. Un programme alternatif utilisa la plongée rapide, humide et non saturée, la décompression commençant dans le sousmarin et s'achevant dans la chambre de décompression; il permit d'accomplir à peu près tout le programme scientifique prévu. Au cours de 18 plongées fut atteinte la profondeur maximum de 87,5 mètres. Les plongeurs prirent des photographies, récoltèrent des échantillons de roches et de sédiments en vue d'analyser les contaminations par des agents polluants. Il fut démontré qu'un submersible, couplé avec la chambre de décompression adaptée, constitue un équipement susceptible d'aboutir à des observations in situ du fond sousmarin et que des plongeurs de formation scientifique peuvent être rapidement entraînés à effecteur sans danger des plongées humides et à utiliser des techniques de plongée hautement spécialisées.
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8.
Résumé Chez le cobaye, une injection intracardiaque d'alloxane de 200 à 400 mg/kg provoque des altérations hépatiques bien caractérisées:4–12 heures après l'injection, les lésions sont déjà étendues: stase sanguine avec dilatation considérable des veines périlobulaires et des capillaires, immigration massive, par voie sanguine, de granulocytes neutrophiles, rupture des capillaires des zones périportales par destruction pycnotique des cellules endothéliales. Les cellules hépatiques de la zone périlobulaire dégénèrent par vacuolisation aqueuse aboutissant à la lyse cellulaire.24 heures après l'injection, les altérations hépatiques ont atteint leur degré maximum, de vastes lacunes, résultant de la lyse cellulaire et remplies de sang extravasé, encerclent des espaces de Kiernan plus ou moins détruits; en bordure de ces lacunes, les endothéliums manquent sur une certaine distance et, dans cette zone, les cellules hépatiques sont moins vacuolisées qu'au stade précédent. Les premiers bourgeons de régénération apparaissent aux depens des régions les moins altérées des espaces de Kiernan.48 heures après l'injection, les lésions sont en grande partie réparées; la fréquence des mitoses dans les cellules hépatiques saines, en bordure lésions assure la régénération de ces éléments; tandis que des bourgeons de régénération périportaux sont responsables de la reconstruction de nouveaux espaces de Kiernan et probablement de la néoformation des endothéliums des capillaires.L'étendue des lésions dépend de la quantité d'alloxane injectée et de la voie d'injection; à dose égale, les lésions; provoquée par injection intrapéritonéale sont beaucoup moins accusées que par voie intracardiaque.Il existe une relation étroite entre la quantité de glycogène contenue dans les lobules hépatiques et l'étendue des zones nécrotiques; à dose égale d'alloxane, les altérations sont nettement moins accusées dans les foies riches en glycogène que dans ceux qui en sont dépourvus.L'intoxication alloxanique ne provoque pas chez le cobaye de dégénérescence graisseuse hépatique dans les 48 heures qui suivent l'injection.Ge travail est dédié au professeur Eugène Bujard, directeur de l'Institut d'Histologie de l'Ecole de Médecine de Genève, en l'honneur de ses 70 ans, en hommage de profonde estime et de très grande reconnaissance.  相似文献   

9.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

10.
Résumé Dans cette étude on met en évidence la propriété phagocytaire des plaquettes pour des substances étrangères. Les observations ont été faites sur des coupes de tissu pulmonaire de lapins injectés par voie endoveineuse avec du dioxyde de thorium colloïdal et sur des plaquettes humaines isolées et mises en contact in vitro avec du dioxyde de thorium colloïdal.La possibilité de la participation des plaquettes sanguines dans la défense de l'organisme contre certains agents est admise.Le mécanisme de la phagocytose du thorotrast est décrit et on explique l'origine d'une partie · des éléments du granulomère . L'auteur admet aussi l'hypothèse que les éléments du granulomère décrits par Schulz et coll. (1958) soient le résultat de la phagocytose des substances étrangères par les plaquettes.A propos des observations réalisées sur les plaquettes humaines isolées in vitro l'auteur décrit des granules de 230 Å possédant en son intérieur des granules de 30 Å très évidents dans les coupes traitées à l'acetate d'uranyl.Avec la collaboration technique de Mme. Karin David Ferrbira.  相似文献   

11.
Guinea  Emilio 《Plant Ecology》1954,5(1):147-156
Résumé Cette étude vise à faire remarquer la signification, les limites et les caractéristiques du sous-secteur Cantabrique du secteur Ibéro-Atlantique lequel a été proposé pour la première fois dans mon récent travail Geografía Botanica de Santander, Santander, p. 101 (1953).Ce sous-secteur comprend la bande étroite des bords du Nord de la Péninsule Ibérique, limité par la mer Cantabrique et comprenant les provinces de Guipuzcoa, Vizcaya, Santander et la partie Est de la province des Asturies, plus une bande de transition qui, tout le long du versant sud de la Cordillera Cantábrica, suit les limites septentrionales des provinces de Navarre, Alava, Burgos, Palencia, et le coin Nord-Est de Leon.A l'Est, ses limites disparaissent graduellement dans le secteur Pyrénéen, à l'Ouest, il atteint la zone siliceuse des Asturies. Il représente la limite sud de la Province Atlantique.Le climat est humide et tempéré, les hivers sont doux et les étés pluvieux, excepté aux hautes altitudes (au-dessus des 1.000 m). Le relief est très accidenté et montagneux, mais les pics ne dépassent pas les 2.700 m, avec des ruisseaux torrentiels qui rendent possible des innondations comme celles qui ont pris places en automne de 1953. La structure géologique comprend surtout du calcaire du Cretacé avec en plus des grandes masses de dolomites et du calcaire Carbonifère du massif de Picos de Europa. Dans la zone centrale de la Cordillera Cantábrica surgissent quelques rochers du Triassique et d'autres du Jurassique en de petites surfaces. Les terres argileuses et calcaires, très lavées par une pluie intense sont moins répandues (plus nombreuses que les terres siliceuses), avec un pH presque neutre, mais avec des variantes un peu prononcées vers l'acidité (quelques exceptions). Il y a un climax prédominant de forêts du (Quercetum roboris, Fagetum sylvaticae) strictement liées aux pentes des montagnes Cantabres et de Quercetum pyrenaici sur les pentes du sud.Les activités anthropogéniques ont causé la déforestation de la plus grande partie du territoire et ont fait place a un grand développement des landes de l'Uleto-ericetum (Atlantic).Il y a une représentation intéressante du Quercetum ilicis ericetosum sur les bandes de calcaire au-dessous de 800 m. Il est très rare sur les sols siliceux. Les communautés de prairie qui représentent un plagioclimax maintenu par l'homme, éliminent une grande partie de l'Uleto-ericetum que nous avons déjà cité.Il y a des grands champs de maïs et de betteraves à sucre et une extension moindre de céréales et de jardins potagers, et il en resulte une pauvre végétation ségétale et des bords des chemins. Les communautés végétales des plages, falaises, et bords de la mer, celles des mares et des ruisseaux sont très peu développées.On cultive avec intensité le Pinus radiata et l'Eucalyptus globulus. Il reste à exploiter en grand, l'agriculture, les pâturages, et la sylviculture.

Received for publication 15.I.1954.  相似文献   

12.
Larvae of Heliothis zea (Boddie) were fed foliage of the resistant wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) and susceptible L. esculentum (cultivar Walter), either with the glandular trichomes removed or with the trichomes intact. Response variables measured included larval mortality, larval weight, consumption rate (CR), and efficiency of conversion of ingested material (ECI). Resistant foliage was found to contain factors in both the trichomes and leaf lamellae which increased larval mortality, reduced larval weight, reduced CR, and, except in second instars, reduced ECI. Susceptible foliage also contained trichome-based factors which increased larval mortality and decreased weight, as well as CR of second instars and ECI of fifth instars. Implications of these findings for breeding resistant tomato cultivars are discussed.
Résumé La tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) est fortement résistant à Heliothis zea. Les études préalables ont indiqués que la résistance est associée avec la présence de 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires de la tomate sauvage, et que les facteurs dans la lamelle des feuilles sont peut-être impliqués. À déterminer la présence des facteurs lamellaires et à caractériser de plus les facteurs de résistance dans les extrémités des poils glandulaires aussi, nous nourrissions les larves du feuillage résistant de PI 134417 et du feuillage susceptible L. esculentum (lignée Walter) les deux avec les extrémités des poils glandulaires enlèvés ou avec les extrémités des poils glandulaires intacts. Nous mesurions la mortalité des larves, les poids des larves, la taux de consommation relative et l'efficacité de conversion de matière mangé.On se trouvait le feuillage résistant à contenir les facteurs, tous deux dans le feuillage lamellaire et dans les extrémités des poils glandulaires, qui causaient l'augmentation de mortalité, les poids plus basses, la taux de consommation relative plus basse, et, hormis dans le cas des larves en phase deuxième, l'efficacité de conversion réduite. Le feuillage susceptible contenait aussi les facteurs dans les extrémités des poils glandulaires qui augmentaient la mortalité, diminuaient les poids et la taux de consommation relative des larves en phase deuxième, et diminuaient l'efficacité de conversion des larves en phase cinquième. Cettes conclusions indiquent la présence des facteurs de résistance en outre de 2-tridécanone et peuvent fournir les indices à l'identité de ces facteurs.
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13.
Column chromatography of the unsaponifiable lipids from pine wood, on which the fungus Lenzites trabea was cultured, yielded two well-separated fractions, which were highly active in choice tests as well as in a trail-following test with the termite Reticulitermes lucifugus var. santonensis (Feytaud).Thin layer and gas chromatography confirmed that these fractions contained distinctly different active compounds. Column chromatography of the non-saponifiable lipids of the worker termites yielded only one active fraction, which corresponded to one of the fractions obtained from the wood. These results are in agreement with the opinion of Smythe et al., (1967), that a trail-following pheromone may at the same time be a food attractant. Our data show, however, that the food contains more than one highly active trail-following substance. Comparison of gas chromatographic data showed that cis-3, cis-6, trans-8-dodecatrien-1-ol, described by Matsumura et al. in 1968, may be present in one of these fractions.
Résumé Le champignon Lenzites trabea a été cultivé sur le bois de Pinus silvestris, qui, en conséquence, devient attractif pour le termite de Saintonge, Reticulitermes lucifugus var. santonensis.Le bois attaqué est soumis à une distillation par la vapeur d'eau et le distillat est extrait avec l'hexane. La saponification de cet extrait et la séparation des lipides non-saponifiables donnent un produit très actif dans des tests de choix et dans un essai quantitatif pour des substances de pistage. Par la chromatographie sur colonne de ces lipides on a obtenu deux fractions très actives. Une de celles-ci est semblable à la fraction active obtenue par une méthode analogue, à partir d'extraits d'ouvriers du Termite de Saintonge. La chromatographie en phase gazeuse démontre qu'une des fractions des lipides du bois peut contenir la substance de pistage, cis-3, cis-6, trans-8-dodecatrièn-1-ol, qui a été décrite par Matsumura en 1968.L'autre fraction se comporte différemment, non seulement en chromatographie sur colonne, mais aussi en chromatographie en phase gazeuse et sur couche mince. Néanmoins elle aussi est fort active dans des tests de choix et dans l'essai de pistage.Les résultats indiquent que la phéromone de pistage du termite de Saintonge est aussi présente dans le bois attaqué par le champignon, qui peut être considéré comme une source de nourriture du termite. En outre les résultats démontrent que ce bois contient au moins une autre substance très active.
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14.
Gehu  Jean-Marie 《Plant Ecology》1977,34(2):117-125
Résumé Le concept de sigmassociation (sensu Tüxen 1973–1976) est discuté dans une première partie. Il dérive de la notion des complexes de groupements, progressivement développée par Braun-Blanquet dans les éditions successives de sa Pflanzensoziologie (1928, 1951, 1964). Le Tableau 1 résume les différences essentielles entre sigmassociation et complexe de groupements.Dans la deuxième partie de l'exposé, des examples de sigmassociations sont étudiés sur les côtes atlantiques françaises: ceux, notamment, des falaises cristallines armoricaines et des falaises crétaciques normandes. Le tableau 2 explicite bien les variations dans la combinaison des groupements pour chaque cas. A une combinaison différente des groupements constitutifs des sigmassociations correspond une physionomic totalement autre du paysage. Quelques problèmes concernant les sigmasystèmes sont présentés en conclusion.Parce que le concept de sigmassociation paraît spécialement fructueux pour le développement d'une science chère et tout particulièrement utile dans l'approche scientifique des problèmes de l'environnement végétal, j'ose dédier, très amicalement et à l'occasion de son 60ème anniversaire, cette modeste note, au Professeur V. Westhoff, éminent spécialiste de la végétation néerlandaise et inlassable protecteur de la Nature.
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15.
In tests under controlled conditions Anopheles albimanus and A. stephensi were caught in significantly greater numbers by a 4-watt ultraviolet trap with a fan-generated updraft air stream than by a similarly equipped trap with a conventional downdraft air movement. Elevation in the test chambers also affected the traps' performance, which was best near the ceiling, poor near the floor. Mesh size of the hardware cloth screens on the traps influenced only the catches of A. albimanus females. Survival in both traps was improved by reduced air flow. This was accompanied by a marked decrease in total captures by the downdraft trap, but with the updraft model, capture levels were maintained despite substantial reduction in air velocity. The updraft trap therefore showed greater potential for recovery of live specimens. Observations of the mosquitoes' flight behavior near the traps offer an explanation for the superiority of the updraft principle.
Résumé Deux pièges à lumière ultraviolette sont comparés dans leur efficacité pour la capture des adultes Anopheles a.bimanus et A. stephensi en essai au laboratoire. Chaque trappe se compose d'une lampe BLB 4-watt fixée à une extrêmité d'un conduit de métal, l'autre extrêmité s'ouvrant sur une cage de grillage, cependant qu'un aspirateur (moteur 6-volts DC) placé dans le conduit fournit le courant d'air pour attraper les insectes. Dans un premier type de piège l'aspiration de l'air entraîne les insectes vers le bas dans la cage de grillage (downdraft trap), dans un second type les insectes sont au contraire tirés de bas vers le haut avec le courant d'air (updraft trap).Les tests ont été effectués dans les chambres à parois blanches de 1.8 m de côté. Les lampes BLB sont disposées à trois niveaux: (a) le plus haut à 20 cm sous le plafond: (b) le plus central à 91 cm au-dessus du plancher; et (c) le plus bas, 52 cm au-dessus du plancher. Tous les essais ont montré que le piège lumineux du type updraft était le meilleur pour la prise des adultes âgés de 5 à 6 jours. Les pièges disposés sous le plafond ont donné les meilleurs résultats.La survie des insectes capturés était meilleure dans le piège de type downdraft, pour une aspiration de l'air à une vitesse de 171 m/min. En réduisant le voltage à 5 ou 4 volts, la vitesse du courant d'air d'aspiration se réduit à 137 et 110 m/min et on observe une forte amélioration de la survie des insects capturés dans le piège updraft, sans qu'il y eut réduction du nombre des insectes capturés. Mais ce n'est pas le cas avec le piège de type down-draft pour lesquels le nombre des captures se trouve réduit avec diminution du voltage.Les observations du vol des moustiques autour des trappes permettent d'expliquer la supériorité du piège de type updraft.
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16.
Suppression of growth and molting occurred in Mexican bean beetle (Epilachna varivestis) larvae confined with bean plants treated with 25-azacholesterol (25-A) or 3-methoxy-25-azacholesterol (3-M-25-A). No larvae confined with bean plants dipped into 10 ppm of 3-M-25-A completed development and over half failed to complete the first ecdysis. Three larvae treated with 25-A developed everted wing pads on the last instar. Addition of an equal weight of cholesterol to the dipping solution completely nullified the inhibitive effects of a dose of 25-A 100 x greater than that required for inhibitive effects. Treatment of the bean plants with a combination of 25-A and a JH mimic resulted in additive and possibly synergistic pathological developmental effects in confined larvae.
Résumé Des larves d'Epilachna varivestis élevées sur des plants de haricots trempés dans des solutions d'acétone et eau contenant soit du 25-azacholesterol (25-A) ou du 3-methoxy-25-azacholesterol (3-M-25A), cessent de muer et leur croissance est stoppée. Avec des plants de haricots trempés dans une solution à 10 p.p.m. de. 3 M-25A, aucune larve n'acheva son développement et plus de la moitié des 100 larves expérimentées ne purent achever leur lère mue. Les pupes obtenues ne pesaient fréquemment que la moitié du poids des témoins. Trois larves traitées avec 25-A développèrent des ébauches alaires inversées au cours du dernier stade.Il a été reconnu que ces azasterols inhibent les D22 et D22,24 sterolreductases dans le tissu larvaire de l'intestin moyen des larves de Manduca sexta (Tobacco Hornworm). Ces enzymes interviennent dans la transformation des principaux phytostérols des feuilles de haricots (stigmasterol, -sitosterol et campesterol) en cholesterol. Comme il y a moins de 1% de cholesterol dans les feuilles de haricots, nous avons essayé de compenser l'effet inhibiteur du 25-A en ajoutant du cholesterol aux solutions du bain. L'addition de 1000 ppm de cholesterol annule complètement les effets inhibiteurs de 1000 ppm de 25-A (100 fois plus que la dose nécessaire pour provoquer des effets inhibiteurs).Des larves de Manduca sexta élevées sur plants de tabac à l'azasterol ne sont pas affectées, bien que leur développement soit grandement retardé par de petites quantités de ces azasterols ajoutés à un aliment synthétique dépourvu de cholestérol. Sans doute, la haute teneur en cholesterol des feuilles de tabac (9% des sterols totaux) est suffisante pour satisfaire les besoins en cholesterol des larves. Des traitements de plants de haricots avec une combinaison de 25-A plus la substance mimétique de l'hormone juvénile (E)-4-[(6,7-epoxy-3-ethyl-7-methyl-2-nonenyl) oxy]-1,2-(methylenedioxy) benzène, ont provoqué des effets pathologiques surjoutés et peut être synergiques sur le développement des larves d'Epilachna.
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17.
Summary Alates ofTrinervitermes appear in the mounds two or three weeks before their first flights. Those ofT. carbonarius fly first towards the end of May, the other four species in mid-June. Development of alates inT. ebenerianus was accelerated by moisture. The mean sex ratio of all five species in 3664 per cent, males to females, comparable to the percentages of soldiers and workers in young colonies. Flights of alates are late nocturnal, most often at low air temperatures with high relative humidities. «Tandem behaviour» follows wing shedding and precedes «digging-in». A relatively strong stimulus is needed to initiate flight. Thimogtaxis is important in nest site selection. Development of young colonies was followed in glass plate observation nests. The timetable of main events is given for all five species; oviposition and hatching rates and lengthsof instars are tabulated comparatively. The rates of development of young colonies are discussed in relation to their possible adaptive significance.
Résumé On trouve les ailés deTrinervitermes dans leurs termitières de deux à trois semaines avant les premiers vols. ChezT. carbonarius, les vols commencent vers la fin de mai, et chez les autres espèces à la mi-juin. On accélérait la croissance des nymphes deT. ebenerianus en humidifiant les termitières. Le rapport moyen des sexes est 36,64 pour cent, mâles à femelles, et c'est en proportion comparable au rapport entre les soldats et les ouvriers dans les colonies jeunes. Les vols des ailés ont lieu à une heure avancée de la nuit, et ils se présentent le plus souvent en conditions de températures peu élevées, et d'humidités relatives élevées. Le «comportement en tandem» suit l'amputation des ailes et précède le creusement d'une chambre nuptiale. La thygmotaxie est importante en ce qui concerne le choix d'un emplacement pour cette chambre. On a observé le développment des colonies nouvelles dans des nids sous verre. La table chronologique des événements d'importance est donnée pour les cinq espees. On a disposé en tables les données relatives à l'oviposition et à l'éclosion pour effectuer des comparaisons entre les cinq espèces. On examine les vitesses de croissance des jeunes colonies en fonction de leurs significations adaptives.
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18.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

19.
Résumé Par la technique de Falck et Hillarp, nous avons étudié la localisation des monoamines indoliques et catéchniques épiphysaires durant la vie pré- et postnatale, chez Lacerta vivipara. A partir du stade 36 de l'embryogenèse, le traitement par les vapeurs de paraformaldéhyde induit en U.V. une fluorescence jaune, labile, dans l'épithélium épiphysaire dont la localisation est étudiée en fonction de la différenciation épiphysaire. L'analyse microspectrofluorimétrique des fluorophores jaunes permet de garantir, à tous les stades de la vie, un stockage de 5-HT et peut-être de 5-HTP, dans les cellules de type photorécepteur rudimentaire sécrétoire. Chez l'embryon, la confrontation des recherches histochimiques et ultrastructurale montre que les cellules «interstitielles» de type épendymaire (= «cellules de soutien») jouent un rôle dans le captage des acides aminés, dont les précurseurs de la sérotonine.Grâce à la technique de culture des embryons, en chambre noire, l'application de traitements pharmacologiques renseigne sur les modalités d'incorporation, et de stockage des dérivés indoliques. Le problème des systèmes enzymatiques impliqués dans la biosynthèse et le catabolisme de la sérotonine est discuté chez l'embryon.La fluorescence verte des fibres nerveuses pinéalopètes n'apparaît qu'au stade 39. L'analyse microspectrofluorimétrique des fluorophores verts, chez l'adulte, montre que le neurotransmetteur de ces fibres est la noradrénaline. L'apparition de la sérotonine et de ses rythmes éventuels ne dépendent donc pas de l'innervation adrénergique, aux jeunes stades de la vie embryonnaire.Dans les conditions normales et expérimentales, les monoamines (5-HTP, 5-HT et catécholamines) ne peuvent pas être mises en évidence dans l'oeil pariétal embryonnaire.
Monoamines in the pineal organ and the parietal eye of Lacerta vivipara A fluorescence microscopic and microspectrofluorometric study
Summary The distribution of monoamines (indole- and catecholamines) was studied in the pre- and postnatal pineal organ of the lizard Lacerta vivipara (J.) using fluorescence histochemistry. After formaldehyde treatment, a yellow (U.V.-labile) fluorescence first appears at stage 36 in the parenchyma. The distribution of this fluorescence is considered with regard to cellular differentiation. Microspectrofluorometric analysis of the yellow fluorophores shows a storage of 5-HT, and possibly 5-HTP, in secretory rudimentary photoreceptors throughout life.The fluorescence histochemistry and electron microscopy of the embryonic pineal organ indicates that the interstitial cells of the ependymal type play a role in the uptake of tryptophan and 5-HTP (precursors of serotonin).Dark chamber culture of embryos was used to clarify the incorporation and storage of indole compounds. The presence of enzymatic systems, involved in the metabolism of indoleamines is discussed.From stage 39 onwards a green fluorescence can be demonstrated in sympathetic nerve fibres running in the pineal capsule. Microspectrofluorometric analysis of the green fluorophores in the adult showed noradrénaline to be the normal neurotransmitter. Evidently the appearance of 5-HT during embryonic life does not depend on the adrenergic innervation of the pineal organ.In normal and experimental series, monoamines could not be demonstrated in the embryonic pariétal eye.
Que le Dr. Björklund (Institute of Anatomy and Histology, University of Lund, Lund) trouve ici l'expression de notre profonde reconnaissance, pour avoir accepté de nous conseiller dans l'application de la technique microspectrofluorimétrique et dans la correction des courbes.Ce travail doit également à la collaboration technique de Mme. Benay, et à Frl. Vaihinger pour la réalisation des schémas. Nous remercions également la firme Beckman (BRD) qui nous a autorisé à modifier l'un de ses schémas, concernant le microspectrophotomètre MS 1206, la firme Leitz (BRD) qui nous a procuré une lampe à tungstène calibrée et les Laboratoires CIBA, PFIZER-CLIN et ROCHE (France) qui nous ont gracieusement fourni des drogues.Avec l'aide de la Deutsche Forschungsgemeinschaft.  相似文献   

20.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

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