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1.
The development of some parasitoids is coordinated by their hosts, via endocrine head or thoracic factors. Ligation of these hosts disrupts parasitoid development. To determine if host ligation affects the solitary, larval endoparasitoid Campoletis sonorensis (Cameron) (Ichneumonidae: Hymenoptera), Heliothis virescens (F.) (Noctuidae: Lepidoptera) larvae were parasitized by C. sonorensis and ligated or starved at various times after parasitization. Ligation and starvation increased parasitoid developmental time and the time of ligation or starvation affected parasitoid emergence. However, ligation and starvation had similar effects on parasitoid development and emergence. Based on our data, C. sonorensis development does not appear to be closely coordinated by hormonal factors produced by the host head and/or thorax.
Résumé Le développement de certains parasitoïdes est coordonné avec celui de leur hôte, via les centres endocrines de la tête et du thorax. La ligature de ces hôtes interrompt le développement du parasitoïde. Pour déterminer si la ligature de l'hôte affecte l'endoparasite larvaire solitaire, C. sonorensis, des chenilles d'Heliothis virescens ont été parasitées par C. sonorensis, et ensuite ligaturées ou mises à jeûner à des temps variables après avoir été parasitées.Tant les chenilles parasitées avec succès que les autres ont présenté une croissance réduite (Fig. 1), mais, 3 jours après avoir été parasitées sans succès l'augmentation de poids a été plus rapide et a pu être distinguée de l'augmentation de poids des chenilles parasitées avec succès. La nymphose des témoins parasités sans succès était retardée par rapport à la nymphose des véritables témoins. La ligature et le jeûne ont eu des effets identiques sur l'émergence des parasitoïdes (Fig. 2), le pourcentage de parasitisme avec succès augmentant avec la durée du délai entre le parasitisme et le traitement (ligature ou jeûne). Les durées de développement des hôtes ligaturés ou mis à jeûner (Fig. 3) étaient toutes significativement plus longues que les durées de développement des témoins. Cependant, les durées de développement des parasitoïdes n'ont pas été modifiées par le traitement des hôtes, le sexe du parasitoïde et le moment du traitement. Le poids des cocons des parasitoïdes (Fig. 4) était lié linéairement avec le jour du traitement, mais sans modification significative par le sexe du parasitoïde ou le traitement de l'hôte.D'après nos travaux, C. sonorensis ne synchronise apparemment pas sa mue et son émergence avec son hôte, H. virescens. La ligature n'empêche pas complètement le développement ou l'émergence de C. sonorensis bien que le pourcentage d'émergence soit réduit par une ligature dans les 7 jours après le parasitisme. De plus, l'effet du jeûne est semblable sur le pourcentage d'émergences. Le pourcentage réduit d'émergence d'hôtes ligaturés ou mis à jeûner était lié significativement avec le moment du traitement, suggérant la responsabilité éventuelle de l'alimentation réduite de l'hôte. Des hôtes parasités ont continué de s'alimenter et de prendre du poids pendant 5 à 7 jours après la ponte, bien que d'une façon bien inférieure aux témoins non parasités, et cette prise d'aliments par l'hôte peut être nécessaire au succès du développement et à la croissance des parasitoïdes. Ligature et jeûne retardent de la mème façon le développement du parasitoïde; ce retard n'est pas lié au moment de la ligature ou du début du jeûne; ainsi, la réduction de la prise d'aliments peut ne pas être la cause première. L'émergence retardée peut être provoquée par un stress général plutôt que par un ou des facteurs céphaliques ou thoraciques spécifiques.
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2.
The effect of parental age at oviposition on the offspring of diapaused and non-diapaused females of Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) was examined under laboratory conditions. Diapause was induced in the laboratory by reducing day lengths and temperatures. The number of eggs per female, duration of the egg stage, percent hatch, duration of the larval stage, percent pupation and four-day pupal weights of progeny from diapaused and non-diapaused adults were determined. Significantly reduced egg production and increased duration of egg and larval stages occurred in offspring of diapaused females, but no effect on hatching and pupation percentages and pupal weights were observed. The possible effects of these differences on reproductive potential and length of generation are discussed.
Résumé Nous avons examiné au laboratoire l'influence de l'age des parents au moment de la ponte sur la descendance des femelles d'Heliothis zea Boddie diapausantes ou non. La réduction de la longueur du jour et de la température avait induit la diapause au laboratoire. L'étude a porté sur le nombre d'oeufs par femelle, la durée de l'incubation des oeufs, le taux d'éclosion, la durée du développement larvaire, le taux de nymphose et le poids des chrysalides de 4 jours chez les descendants d'adultes diapausantes ou non. Chez les descendants des femelles diapausantes, la production d'oeufs est significativement réduite; de même, l'incubation des oeufs et le développement larvaire sont significativement prolongés; mais on n'a observé aucun effet tant sur les taux d'éclosion et de nymphose que sur le poids des chrysalides. La discussion porte sur les influences envisageables de des différences dans le potentiel reproducteur et la durée des générations.
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3.
A simple artificial diet consisting of minced tea leaves and brewer's yeast was found to be suitable for mass-rearing the Tea Tortrix, Homona coffearia, in the laboratory. Growth and development on this diet approximated that observed in the field. At 24° and 75% R.H., the average larval periods were 22.4 days for males and 26.7 days for females while average pupal duration was 6 days for both. The average pupal weights were 35.7 mg for males and 72.2 mg for females. The survival of inoculated 1st-instar larvae to adults was 78% and oviposition rates were superior to those observed in the field. Additional dietary ingredients did not result in any further improvement, on the contrary, an excess supply of enzymatic hydrolysate of casein suppressed development.
Résumé Un aliment artificiel simple, formé d'un mélange de feuilles de thé hachées et de levure de brasserie s'est révélé convenable pour l'élevage de masse en laboratoire de la Tordeuse du thé Homona coffearia. La croissance et le développement sur ce milieu est très comparable à ceux observés dans la nature. A 24° et pour une humidité relative de 75%, la durée du développement larvaire est en moyenne de 22.4 jours pour les mâles et 26.7 jours pour les femelles, cependant que la durée du développement nymphal est en moyenne de 6 jours pour les deux sexes. Le poids moyen de pupes obtenues est de 35.7 mg pour les mâles et 72.2 pour les femelles.La survie moyenne du premier stade larvaire au stade adulte est de 78% et la ponte des femelles issues des élevages est supérieure à celle de femelles provenant de chrysalides récoltées dans la nature.L'addition de sucrose, d'acide linoléique, de chlorure de choline, d'acide ascorbique et de vitamines du groupe B n'apporte aucune amélioration, au contraire, un apport en excès d'hydrolysat enzymatique de caséine empêche le développement.
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4.
Female brown-banded cockroaches, Supella longipalpa (F.) (Dictyoptera: Blattellidae), failed to elevate consumption rates when fed a 5% protein diet compared with females fed either 25% protein or commercial rat food. Adult performance was directly influenced by dietary protein level: Females fed 65% protein died rapidly, while in females fed 5% protein feeding and reproductive rates were reduced after production of three oothecae. In females fed a low protein diet as both late instar nymphs and as adults, mating was delayed and they required more time to form oothecae than females switched to 25% protein as adults. The role of nymphal reserves in adult reproduction is discussed.
Résumé La consommation et la reproduction de S. longipalpa ont été examinées lors de la consommation d'aliment standard pour rat et de régimes artificiels contenant 5, 25 et 65% de protéines. Les femelles élevées sur régime à 5% de protéines ne consomment pas plus et leur reproduction est significativement inférieure à celle de femelles élevées sur aliment standard ou à 25% de protéines; après la production de 3 oothèques, la reproduction de ces femelles se ralentit, leur consommation diminue et les oothèques deviennent plus petites que celles des femelles élevées sur un régime à 25% de protéines. Nous supposons que les premiers cycles reproductifs de ces femelles ont été assurés avec les réserves accumulées pendant la vie larvaire. Les femelles alimentées sur régime à 5% de protéines à la fois pendant le dernier stade larvaire et pendant la vie imaginale ont besoin de beaucoup plus de temps pour s'accoupler et pour produire des oothèques que les femelles alimentées sur régime à 5% pendant le dernier stade larvaire et transférées adultes sur un régime à 25% de protéines. Ainsi, les réserves larvaires sont une ressource importante améliorant la reproduction des adultes ayant un régime pauvre en protéines. Cependant, le passé alimentaire larvaire a peu d'effet sur la reproduction des adultes alimentés convenablement.
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5.
A chemically defined synthetic rearing medium was used to compare larval growth of Aedes aegypti with or without crude animal lecithin or synthetic dipalmitoyl lecithin. Pupal weights, adult female life spans and oviposition histories of pupae and adults derived from synthetic diet rearings and from crude culture (liver powder) rearings were also compared. Both lecithins improved larval growth rate; optimal concentrations reduced time to pupation by 2 and 1 days for animal and synthetic lecithins respectively, and animal lecithin was better tolerated by the mosquito larvae at the higher concentrations tested. Addition of crude animal lecithin to the basal synthetic rearing medium had little effect on the weights of male and female pupae, but it increased adult female life spans and improved weekly egg production. In no case did mosquitoes from axenic rearings in synthetic media deviate greatly from limits specified by earlier workers for field-derived mosquitoes.
Résumé Les développements larvaires d'Aedes aegypti ont été comparés sur des substrats alimentaires avec ou sans lecithine animale brute ou DL-a-dipalmitoyle lecithine synthétique.Les comparaisons ont porté aussi sur les poids nymphaux, la longé-vité et la fécondité de femelles élevées sur régime synthétique ou à partir de poudre de foie.Les deux types de lecithines améliorent le développement larvaire; les concentrations optimales des deux régimes (lecithine animale et lecithine synthétique) avancent respectivement la pupaison de 2 et 1 jour; les lecithines animale et synthétique sont tolérées par les larves respectivement jusqu'aux concentrations de 0,008 et 0,006%.L'addition de lecithine animale brute au régime contenant de la lecithine synthétique a eu peu d'effets sur les poids des nymphes mâles et femelles mais a augmenté la longévité et la fécondité hebdomadaire des femelles.Les performances des moustiques élevés sur substrat aseptique synthétique n'ont jamais été très éloignées des limites indiquées antérieurement par les travaux sur moustiques provenant de la nature.
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6.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

7.
Crowding larvae of Spodoptera littoralis (Boisd.) [= Prodenia litura F.] shortened the larval period but lengthened the pupal period. Crowding also reduced the pupal weight and the length of the body of the resultant adult, and produced darker coloured larvae. The type of food also affected the time taken to develop. When larvae are reared in isolation they are pale in colour, very inactive and hardly react to other larvae that touch them. Crowded larvae may be pale or darker in colour and show a number of reactions to one another on contact. They are more active than isolated larvae, and darker ones are more active than pale ones.
Résumé Des chenilles de Spodoptera littora is élevées isolément et nourries de feuilles de Patience (Rumex patiencia), ont un développement larvaire plus long que celles élevées sur d'autres plantes à des températures analogues. Le groupement de 20 chenilles, dans une cage de 500 ml, diminue la durée de leur vie larvaire (22,3 jours en moyenne, contre 25,3 jours pour les chenilles témoins élevées isolément), mais accroît la durée de la nymphose (14,7 jours en moyenne, contre 9,7 jours pour les témoins). Toutefois la durée totale du développement larvaire et nymphal demeure semblable: en moyenne 35,0 et 35,6 jours respectivement.Les chrysalides obtenues à partir de chenilles isolées sont plus lourdes et les adultes qui en proviennent ont le corps et les ailes plus longs, par rapport aux chrysalides et adultes des élevages groupés. La mortalité est plus élevée dans les élevages en groupes, surtout pendant les derniers stades, larvaires. A l'éclosion les parties dorsales du corps sont de couleur vert jaune, mais en vieillisant les chenilles prennent dorsalement une coloration jaune — rouge foncé. Les chenilles isolées sont de coloration pâle, celles groupées sont pâles ou sombres; les premières sont les moins actives, les secondes les plus actives.Les chenilles elevées groupées se déplacent beaucoup plus que celles élevées isolement, L'activité varie d'ailleurs avec l'âge, elle est plus grande pour des chenilles âgées de 10 jours que pour celles âgées de 15 jours.II y a quelques similitudes entre le comportement des chenilles groupées de Spodoptera et celui des larves de Criquet, en particulier dans les mouvements de masse et l'aggrégation des chenilles de Spodoptera.


This is a part of post-doctorate research carried out at the Anti-Locust Research Centre, London.  相似文献   

8.
The rice green leafhopper, Nephotettix cincticeps, was reared from the first instar to the adult stage on a holidic diet. Adult emergence from the diet-reared nymphs was ca. 53.3%, similar to rice seedlingreared; nymphal period being 22.5 days at 25°. The diet-reared females did not lay eggs under artificial feeding conditions although they had normal eggs in their ovarioles and could oviposit on rice seedlings in a test tube. The diet containing 1.68% (w/v) amino acid mixture and 5% (w/v) sucrose was best for growth and development.
Résumé Nephotettix cincticeps a été élevé des larves venant d'éclore à l'adulte sur un régime holidique. Le taux d'adulte obtenus (53,3%) est voisin de celui obtenu avec élevage sur pousses de riz. Le développement larvaire demande 22,5±0,4 jours à 25°. Les femelles élevées avec ce régime ne pondent pas d'ufs en alimentation artificielle bien qu'elles aient un nombre normal d'ufs dans les ovarioles et pondent sur pousses de riz dans un tube témoin. Un régime contenant 1,68% d'acides aminés mélangés et 5% de sucrose assure la meilleure croissance et le développement le plus rapide.
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9.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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10.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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11.
Even though they consumed equal amounts of the two diets, it was confirmed that females of Phormia regina (Meigen) did not mature eggs after feeding to repletion on the gleba of the stinkhorn fungus, Mutinus caninus (Pers.) for 1 h but did so after 1 h of feeding on liver. However, continuous exposure of females for several days to the gleba diet resulted in fully developed eggs, which contained equal amounts of protein and vitellin when compared to eggs from liver-fed females. These eggs from gleba-fed females supported embryonic development and produced first instar larvae.
Résumé Bien que des femelles de Phormia regina en aient consommé autant, l'absence de maturation des ovocytes après alimentation pendant une heure jusqu'à réplétion sur la gelba de Mutinus caninus Pers a été confirmée, contrairement à ce qui se produit après alimentation sur foie. Cependant, l'exposition continue pendant plusieurs jours sur un régime de gelba donne des ovocytes totalement développés, qui contiennent autant de protéïne et de vitelline que les ovocytes de femelles alimentées sur foie. Les ufs de femelles alimentées sur gelba présentent un développement embryonnaire et donnent des larves de premier stade.
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12.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
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13.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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14.
Host-specific development and survival rates were measured and population parameters computed for both a wild and a laboratory strain of the oriental fruit fly (Dacus dorsalis Hendel) in Hawaii. Gross fecundities of the wild and laboratory strains were 241 and 1551 eggs per female, respectively. Egg to eclosion developmental rates were 27 days for the wild strain and 24 days for the laboratory strain. The preovipositional period of the wild strain was 19 days compared to 9 days in the laboratory strain.Differences of this magnitude in fecundity and developmental rates between laboratory and wild strains have not been observed in other recent demographic studies of tephritids. The results suggest that the laboratory strain of the oriental fruit fly may have undergone more intense selection than laboratory strains of the other species.
Résumé Pour deux souches, l'une sauvage, l'autre de laboratoire, de D. dorsalis de Hawaï, les mesures ont porté sur la durée de développement et le taux de survie, les paramètres caractéristiques de la population ont été traités sur ordinateur. Pour les souches sauvage et de laboratoire, les fécondités brutes ont été respectivement de 241 et 1551 oeufs par femelle. Les durées de développement larvaire et nymphal ont été de même de 27 jours pour la souche sauvage et de 24 j pour celle de laboratoire; les périodes de latence avant la ponte ont été de 19 j pour la souche sauvage contre 9 j pour celle de laboratoire.Jamais de telles différences de fécondités et de durées de développement entre souches sauvages et de laboratoire n'avaient été observées lors des études récentes sur des téphritidae. Ces résultats suggèrent que la sélection subie par la souche de laboratoire de D. dorsalis été plus intense que celles subies par d'autres espèces.
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15.
The poplar clearwing moth, Paranthrene tabaniformis Rott. (Lepidoptera: Sesiidae) was successfully reared through two generations on a semi-artificial diet. Because of the long period required for larval development, three diets were used in a labour-extensive method. The mean times required for rearing the first and second generations to adulthood on the most suitable diet averaged about 352 and 250 days, respectively. The survival to the adult stage was 6.8% for the first generation and 43.5% for the second. Biological data on sex ratio, longevity and number of eggs per female are given for adults obtained from the wild.
Résumé P. tabaniformis Rott. a été élevé avec succés pendant deux générations sur un substrat alimentaire semi-artificiel. Par suite de la lenteur du développement des chenilles, trois régimes ont été utilisés avec une méthode demandant moins de travail. Le temps moyen requis pourmener les premières et secondes générations jusqu'au stade imaginal one été respectivement de 352 et 250 jours pour le régime leur convenant le mieux. Les survies jusqu'au stade imaginal ont été respectivement de 6,8% et 43,5% pour la première et la seconde génération. Des informations biologiques sont fournies sur la fréquences des sexes, la longévité et le nombre d'ufs par femelle à partir des adultes provenant de la nature.
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16.
Larval developmental time and adult fecundity of the flour beetles Tribolium confusum and T. castaneum were measured on twelve different diets: top patent fluor; top patent flour enriched with riboflavin, thiamine and niacin, singly or in combinations; top patent flour mixed with bran, germ or both; and whole wheat flour.Larval mortality did not exceed 5% on any of the diets. Larvae of both species developed slightly faster and laid significantly more eggs in flour enriched with the three vitamins than in unenriched patent flour. The improvement was due to the addition of riboflavin. The addition of thiamine or niacin or both did not accelerate development or increase fecundity. It was concluded that top patent flour contains enough thiamine and niacin but not enough riboflavin for proper growth and development of flour beetles.Whole wheat flour was the best diet for T. castaneum, and the flour-germ-bran mixture for T. confusum. Larvae of T. confusum developed as rapidly in the mixture, as in whole wheat flour, but the adults laid significantly more eggs. T. castaneum was equally fecund on these diets, but developed faster in the coarser whole wheat flour. In both species, especially T. castaneum, dietary components had a greater effect on fecundity than on rate of larval development.
Résumé Le taux de développement larvaire et la fécondité des sujets adultes du Tribolium brun de la farine, Tribolium confusum Jacquelin duVal, et du Tribolium rouge de la farine, Tribolium castaneum Herbst, ont été examinés en rapport avec 12 formules alimentaires différentes: fleur de farine; fleur de farine enrichie de riboflavine, de thiamine et de niacine, seules ou combinées; fleur de farine mélangée de son, de germe de blé ou de ces deux éléments à la fois; enfin, farine de blé entier.Dans chacun de ces régimes, la mortalité larvaire n'a jamais été supérieure à 5%. Les larves de ces deux espèces se sont developpées légèrement plus vite et ont pondu beaucoup plus d'oeufs avec le régime de fleur de farine enrichie de trois vitamines qu'avec le régime de fleur de farine non enrichie. Ces améliorations du développement sont dûes à la riboflavine, car l'addition de thiamine ou de niacine, seules ou associées, n'a ni accéléré le développement ni augmenté la fécondité. On en a conclu que la fleur de farine contenait assez de thiamine et de niacine, mais qu'il y avait une insuffisance en riboflavine pour assurer le développement et la croissance des Tribolium spp.La farine de blé entier a été la plus efficace pour les T. castaneum, et le mélange de farine, de germe et de son a eu les mêmes effets sur les T. confusum. Les larves des T. confusum se sont développées au même rythme dans ce mélange que dans la farine de blé entier, toutefois les sujets adultes ont pondu une quantité d'oeufs beaucoup plus grande dans ce même mélange. Les T. castaneum étaient également féconds dans ce mélange, mais se sont développés plus rapidement dans la farine plus grossière de blé entier.Pour les deux espèces, mais spécialement pour les T. castaneum, les composants du régime ont eu un plus grand effet sur la fécondité que sur le développement larvaire.


Contribution No. 708 of the Canada Agriculture Research Station, Winnipeg.  相似文献   

17.
Résumé Au début du printemps les adultes de Coccinella septempunctata L. (Col., Coccinellidae) issus des sites d'hivernation, les larves et les nymphes qui en proviennent, fréquentent le sol et les parties basses du blé. En juin, les adultes nés dans le champ et leur descendance sont dispersés sur toute la hauteur des talles bien qu'une fraction non négligeable de leur population se rencontre à l'extrémité supérieure. La plupart des pontes sont déposées sous les mottes de terre, les pierres et les petites adventices qui constituent des sites privilégiés. Ces variations de la distribution de cette coccinelle peuvent être mises en relation avec le climat, en particulier la température, avec la thermophilie de cette espèce et avec la répartition sur les différentes parties des talles des 3 espèces de puceron qui se succèdent au cours de la saison. Ces observations sont importantes à considérer lors du choix ou de la mise au point d'une méthode d'échantillonnage.  相似文献   

18.
Laboratory studies with the southern green stink bug, Nezara viridula (L.) (Hemiptera: Pentatomidae), feeding on seeds or fruits of some alternate host plants, demonstrated differences in nymphal survival and development time, and body weight at adult emergence. Lowest mortalities (25%) were observed for nymphs on fruits of dakota mustard [Brassica kaber (DC.)] and siberian motherwort (Leonurus sibiricus L.). On fruits of castor bean (Ricinus communis L.) nymph mortality was ca. 60%, and on mature seeds of L. sibiricus ca. 75%. Total development time from second instar to adult ranged from ca. 26 days on B. kaber to ca. 42 days on R. communis. Fresh body weight at adult emergence was greatest for nymphs on L. sibiricus and lowest on R. communis. Adult survival after 30 days and mean longevity was greater on L. sibiricus than on the remaining foods, being drastically reduced on R. communis. In general, reproductive performance on all foods was similar, except R. communis, on which no female reproduced. Female weight gain of N. viridula was generally greater on L. sibiricus On R. communis, adults lost weight during their first week and showed the lowest weight gain at the end of day 29. Field observations coupled with these laboratory studies suggest that in the Warta area (northern Paraná state, Brazil, 23° 11 S), L. sibiricus and B. kaber are important alternate food plants in the seasonal phenology of N. viridula. R. communis, however, is of poor nutritional quality, serving primarily as a refuge.
Résumé L'alimentation au laboratoire de N. viridula avec les graines et les fruits de diverses plantes a entraîné différentes mortalités larvaires, différentes vitesses de développement et des différences dans les poids des adultes à l'émergence. Les mortalités les plus faibles (25%) on été observées avec les fruits de Brassica kaber DC. et de Leonurus sibiricus L.Avec les fruits de Ricinus communis L., la mortalité larvaire était de 60%; sur graines mûres de L. sibiricus, elle était de 75%. La durée du développement du second stade à l'adulte a varié de 26 jours sur B. kaber à 42 jours sur R. communis. Le poids frais des adultes à l'émergence était le plus élevé avec L. sibiricus et le plus faible avec de R. communis. La longévité des adultes au-delà de 30 jours était la plus élevée avec L. sibiricus, et était fortement réduite avec R. communis. Dans l'ensemble, la reproduction était de même importance avec les différents aliments, à l'exception de R. communis avec lequel les femelles ne se reproduisaient pas. Le gain de poids des femelles était généralement supérieur avec L. sibiricus; avec R. communis les adultes ont perdu du poids pendant la première semaine et ont présenté le plus faible gain à la fin du 29ème jour.Des observations dans la nature, associées à ces expériences de laboratoire, laissent supposer que dans la zone de Warta (au Nord de l'état de Paraná, 23° 11 S, au Bresil), L. sibiricus et B. kaber sont des plantes hôtes alternatives importantes dans la phénologie saisonnière de N. viridula. Cependant, R. communis, de faible valeur alimentaire, sert avant tout de refuge.
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19.
Recently emerged adults of Tribolium confusum, maintained at 30° in flour-yeast medium, were exposed to X-ray doses between 8 and 75 kR at dose rates of 225 or 1000 R/min. In all cases, there was no significant mortality for about 10 days, and all deaths attributable to the irradiation occurred during the next 10 to 15 days; after the lower doses, many insects survived this critical period and then lived on for many months. The relative dose-independence of the survival-time of decedents suggested that there is a specific mode of death, i.e., an as-yet-unrecognized acute lethal syndrome. Irradiated beetles incubated at 22° exhibited about twice as great a delay in the onset of mortality, and a mortality period with about twice the duration, as those at 30°, suggesting the necessity of a sequence of metabolic events in the development of lethality. Beetles on a cornstarch diet were at least as radioresistant as beetles on flour yeast; beetles at 22° were distinctly more sensitive than those kept at 30°. Older beetles, exposed 4 or 10 months after emergence, showed progressive increases in acute radiosensitivity. Implications of these findings for radiobiological investigations on adult insects are discussed.
Lethalite aigüe apres irradiation aux rayons X des adultes de Tribolium Confusum
Résumé La plupart des insectes utilisés dans les expériences de radiobiologie ont une longévité relativement brève à l'état adulte. De ce fait, il est difficile ou impossible de distinguer la mortalité aigüe liée à des mécanismes spécifiques d'une diminution nonspécifique de la résistance à un stress.La longévité des adultes de Tribolium rend possible de séparer ces deux catégories de réponses, elle peut aussi permettre la mise en évidence des différents modes de léthalité aigüe.Des adultes récemment formés de Tribolium confusum, maintenus à 30° dans le milieu farine-levure, ont été exposés à des doses de rayons X de 8 à 75 kR aux taux de 225 ou 1000 R/min. Dans tous les cas, il n'y a pas eu de mortalité significative pendant 10 jours, et toutes les morts attribuables à l'irradiation ont eu lieu au cours des 10 à 15 jours suivants; après les doses les plus faibles, beaucoup d'insectes ont survécu à cette période critique et ont alors vécu de nombreux mois. L'indépendance relative par rapport à la dose de la durée de la survie des descendants suggère l'existence d'un mode spécifique de mortalité, ou d'un syndrome léthal aigu.Les insectes irradiés en élevage à 22° ont présenté un délai de début de mortalité environ le double et une durée de la période de mortalité environ double de ceux enregistrés à 30°. Ceci représente un Q10 d'environ 2,3, qui suggère la nécessité d'une succession de phénomènes métaboliques dans le développement de la léthalité.Des insectes sur un régime à base d'amidon de maïs étaient au moins aussi radiorésistants que ceux sur farine et levure; les insectes à 22° furent sans conteste plus sensibles que ceux élevés à 30°. Des coléoptères plus âgés, exposés 4 ou 10 mois après leur formation, ont montré des augmentations progressives dans la radiosensibilité aigüe.Ces résultats ont deux conséquences importantes pour d'autres recherches radiobiologiques sur les insectes adultes. La mise en évidence de l'existence d'un syndrome léthal spécifique et de ses délais de manifestation devrait accélérer l'analyse des facteurs intervenant dans la mort des insectes irradiés; d'autre part dans toute expérimentation radiobiologique sur des insectes adultes, les imagos doivent être d'un âge uniforme et connu.


This work was supported by U. S. Public Health Service, NIH Grant GM-10208. During 1964–1965, the senior author held a Special Fellowship (1-F3-GM23423), U. S. Public Health Service, at the Department of Zoology, University of Cambridge; he is indebted to Professor C. F. A. Pantin, F. R. S., and other members of the Department, and especially to Dr. George Salt, F. R. S., both for extending use of their facilities and for many illuminating discussions.  相似文献   

20.
Labotatory mosquitos are commonly maintained using larval media based on crude food materials such as powdered animal chows, dried yeast, liver powder, etc. Males of Culex tarsalis so reared for use in studies of sterile male control methods proved unsuccessful in competition for mates against wild males in the field, even if tested after one generation of laboratory rearing. Such laboratory-reared adults had much lower levels of an essential fatty acid, eicosapentaenoic acid (EPA) than wild C. tarsalis adults from the sterile-male-control experimental sites. Hypothesizing that suboptimal essential fatty acid status might reduce adult vigor, we attempted to raise levels of EPA in tissues of laboratory-reared C. tarsalis by supplementing the larval food mixture with fish oils, which are rich sources of EPA and related n3 polyunsaturated fatty acids. Supplementation with codliver oil doubled tissue phospholipid EPA levels compared with unsupplemented controls, and a proprietary fish oil, Walgreen EPA 500, trebled the level, as high as for wild adults. Oil-supplemented diets improved growth, as judged by bigger pupae and increased female adult longevity, and flight mill studies provided some evidence that improved EPA status improved flight. Although the phenotypic contribution to mating inferiority of laboratory-reared mosquitos remains unclear, this work illustrates how an apparently satisfactory stock rearing regimen may be cryptically suboptimal with respect to an essential nutrient.
Résumé Les souches de laboratoire de moustiques sont généralement conservées en utilisant un régime larvaire brut tel que pâtée pour animaux domestiques, levure desséchée, poudre de foie, etc. Les mâles de C. tarsalis élevés de la sorte se sont révélés défavorisés dans la compétition sexuelle avec des mâles sauvages dans la nature, lors d'expériences sur l'utilisation de mâles stériles dans la lutte contre les moustiques, même si la compétition a eu lieu après un seul cycle larvaire en élevage au laboratoire. Les adultes provenant de ces élevages avaient une teneur en acide eicosapentaenoique (EPA),-acide gras essentiel-, beaucoup plus faible que les adultes provenant de la nature. En envisageant qu'une teneur suboptimale en acides gras essentiels pouvait diminuer la vigueur des adultes, nous avons tenté d'augmenter la teneur en EPA des tissus de C. tarsalis élevés au laboratoire en complétant le régime avec des huiles de poisson qui sont riches en EPA et en acides gras polyinsaturés n3 apparentés. L'addition d'huile de foie de moure double la teneur des tissus en phospholipides EPA par rapport aux témoins, et la spécialité Walgreen EPA 500, triple la teneur en EPA, la mettant au niveau des adultes de la nature. Les régimes complétés en huile ont amélioré la croissance (pupes plus grosses et longévité des femelles accrue), et quelques études en moulin à vol ont montré que l'amélioration de la teneur en EPA modifiait les caractéristiques du vol. Bien que ce travail n'ait pas permis de clarifier la part phénotypique de l'infériorité des mâles des moustiques élevés au laboratoire, son intérêt général a été de montrer comment un régime apparemment satisfaisant peut être en réalité suboptimal en ce qui concerne un aliment essentiel.
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