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1.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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2.
Mayaudon  Jacques  Simonart  Paul 《Plant and Soil》1958,9(4):367-375
Conclusions Par l'emploi de substrats radioactifs, il a été possible de montrer que le glucose, le ray-grass tel quel, la fraction soluble, les hemicelluloses et la fraction cellulosique du ray-grass ne sont pas, dans les conditions expérimentales appliquées, entièrement transformés en CO2 dans le sol après une période de deux mois.La décomposition du glucose est plus rapide que celle des hemicelluloses et celle-ci est plus rapide que celle de la fraction cellulosique. Pour le glucose et pour la fraction cellulosique, 11% et 15% respectivement ne se retrouvent pas sous forme de C14O2 tandis que pour la fraction soluble, pour les hemicelluloses et pour le ray-grass tel quel, c'est près de 20% qui ne sont pas oxydés en CO2.La décomposition de chacun de ces substrats radioactifs donne encore lieu à la production de produits organiques radioactifs que l'on trouve dans la fraction des substances solubles, dans la fraction groupant l'- et le -humus et dans l'humine. La radioactivité de cette dernière fraction est du même ordre de grandeur que la somme des deux autres fractions.Travail effectué sous les auspices de l'Institut pour l'Encouragement de la Recherche Scientifique dans l'Industrie et l'Agriculture (I.R.S.I.A.).  相似文献   

3.
The discovery of nuclear polyhedrosis virus disease (NPV) of Gilpinia hercyniae (Hartig) in bird droppings had given rise to the suggestion that birds might be important in virus dispersal. Advantage was taken of the continuing spread of sawfly and virus to sample larvae in an area with sawfly and virus, and in adjacent areas with sawfly only: bird dropping were also collected in the latter. In the previously virus-free areas, NPV was identified in some larvae but not in bird droppings. It is therefore suggested that sawfly adults might be major agents of dispersal.
Résumé La découverte du virus de la polyédrose nucléaire (NPV) dans les excréments d'oiseaux a conduit à penser que ces derniers pourraient jouer un rôle important dans la dispersion de ce virus. On a profité du fait de l'extension continue de la tenthrède et de son virus, pour sélectionner et échantillonner d'une part des larves de tenthrèdes, d'autre part des excréments d'oiseaux, dans des zones contaminées ou non par le virus. Dans les zones non encore atteintes par l'épidémie de la virose, le virus NPV fut cependant identifié dans quelques larves mais non dans les excréments d'oiseaux. Il est donc suggéré que les tenthrèdes adultes pourraient être les agents principaux de la dispersion du virus.
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4.
A calculated correction factor due to food respiration is applied to the consumption term in energy budgets for invertebrates. The factor is expressed as a function of the growth rate of the invertebrates, the food respiration rate and the fraction of food remaining when changed. It is shown that applying this correction factor to several energy budgets balances them.
Résumé Il est bien connu que, dans les bilans énergétiques des invertébrés l'assimilation, calculée comme différence entre la consommation et la defécation, est supérieure à celle calculée comme addition de la production et de la respiration. Un terme de correction tenant compte de la respiration de la nourriture a été calculé pour être utilisé dans le calcul de la consommation. Il dépend de la vitesse de croissance des invertébrés, du taux de respiration de l'aliment et de la fraction qui en est consommée. Mais on constate que la vitesse de croissance des invertébrés n'influence que peu ce terme de correction, tandis que les deux autres facteurs, particulièrement la fraction de nourriture consommée, peuvent être très importants. La vitesse de croissance peut donc être considérée comme constante, ce qui permet un calcul exact du terme de correction. En l'appliquant à différents bilans énergétiques, les différences entre les deux estimations qui atteignaient 30% et 250%, se trouvent réduites à moins de 4%.
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5.
The variation in response to photoperiod and temperature of different populations of the peacock butterfly, Inachis io (L.) (Lepidoptera: Nymphalidae), was investigated to test the extent to which species can adjust their response to the environment, and therefore maximise their reproductive potential. The photoperiodic (adult) diapause induction response varies between populations, and appears to be finely tuned to the local conditions. There is however variation within populations and the response can be adjusted in a population by selective breeding. The developmental rate is not significantly different between three latitudinally distinct populations, over the range of temperatures tested, and pupal weights are similar at given temperatures. However, pupal weights increase with decreasing development temperature. The implications of these findings are discussed with reference to modelling life history strategies.
Résumé Inachis io (L.), observable dans une grande partie de l'Europe, y présente des différences quant au cycle biologique, au voltinisme et à la durée du développement. Trois populations provenant de la zone de transition entre monovoltinisme et bivoltinisme ont été échantillonnées pour examiner les différences de réponses à la photopériode et à la température, et pour évaluer l'étendue des possibilités d'adaptation de cette espèce à l'environnement et ainsi optimaliser son potentiel reproductif. L'induction photopériodique de la diapause est de type jour long pour toutes les souches examinées, mais la photopériode critique 50 (CPh50) varie suivant les populations et paraît étroitement ajustée aux conditions locales. Il y a cependant assez de variabilité à l'intérieur des populations pour que le seuil puisse être rapidement abaissé dans chaque population par des expériences d'élevage sélectif. Par contre, la vitesse de développement ne varie pas significativement entre les populations pour la gamme de température: 15–27°C. Les poids de chrysalides ne diffèrent pas suivant les populations, bien qu'ils augmentent quand la température de dévelppement diminue. On peut penser que des modèles, prédisant que la diminution du nombre de générations pendant une saison sera accompagnée d'une prolongation de la durée de développement et d'une augmentation de la taille, et que ceci est d'origine génétique et non le résultat seul du refroidissement de l'environnement, ne tiendront pas compte de l'absence de variation entre populations dans la relation entre température et développement.
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6.
Résumé Afin d'étudier les effets de l'acidité lors de la fécondation chez l'Omble de fontaine, la motilité des spermatozoïdes, l'absorption d'eau par les oeufs et la survie de ceux-ci ont été déterminées à différents pH. Les poissons fournissant les gamètes utilisés pour ces tests provenaient de lacs acides ou non acides.Pour les valeurs de pH inférieures à 5,0, la proportion de spermatozoïdes motiles diminue rapidement et devient nulle à pH 3,0. A pH 4,0, cette proportion est plus élevée dans une solution d'acide sulfurique, qui est totalement dissocié, que dans une solution d'acide acétique, faiblement dissocié. Dans cette dernière, la quantité d'ions H+ neutralises par le sperme est environ cinq fois plus élevée que dans la solution d'acide sulfurique.La pression osmotique du milieu de fécondation ainsi que l'origine des géniteurs, provenant de lacs acides ou non, affectent également la résistance des spermatozoïdes.L'absorption d'eau par les oeufs est diminuée à pH 5,2 ou 4,5 selon l'origine des géniteurs. La survie des oeufs est peu affectée pour des pH de 4,5 et plus, mais est réduite à pH 4,0.L'ensemble des résultats permet d'avancer qu'un pH de 4,5 représente la limite inférieure compatible avec une bonne fécondation chez l'Omble de fontaine; cette limite semble cependant susceptible d'être modifiée par la présence d'acides faibles dans le milieu et par l'origine des géniteurs.
Variations in acidity were shown to have pronounced effects on the gametes of Salvelinus fontinalis collected from populations living in acid or circum-neutral lakes.Spermatozoa motility was reduced at pH less than 5.0 and ceased at pH 3.0. Within this range, motility was greater in the presence of strongly dissociated acid (H2SO4) than in a weakly dissociated one (CH3COOH). In the latter solution, at pH 4, sperm neutralized 5 times as many H+ as in the former. Differences in spermatozoa motility were observed depending upon the origin of the gametes and the osmotic pressure of the medium.Egg survival was reduced at pH 4. Water absorption by eggs decreased below pH 5.2 or 4.5 for eggs collected from circumneutral or acid lakes, respectively.These results suggest that pH 4.5 represents the lower limit for successful fertilization of eggs of brook trout, the precise point depending upon the types of acid present and the origin of the parental stock.
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7.
A study of sampling variability in field populations of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata (Say), on tomato in eastern Ontario, showed that inter-plant variance was the major source of variation for eggs and larvae, and that intra-plant variance was the major source for adults. For eggs and larvae, the most appropriate sample unit was the basal one-sixth of the plant with its foliage or fruit. For adults, it was preferable to take the whole plant. The number of plants required for reliable population estimates was inversely proportional to population density; this relationship was graphed for three levels of sampling precision (10%, 15%, and 20% standard error).
Résumé Dans le but d'expliquer pourquoi le Doryphore est un ravageur de peu d'importance pour la tomate, des études de populations ont été entreprises dans l'est de l'Ontario en 1968. L'objet était de réaliser des tables de vie écologiques et d'élucider le ou les facteurs qui sur tomate agissent sur les populations de l'insecte. Ce travail rapporte la variation entre les échantillons pour les différents stades de développement et se base sur l'étude de ces faits pour concevoir une méthode d'échantillonnage pour l'estimation des populations et de leur mortalité.L'analyse de variance montre que la variance entre les plantes hôtes est la source principale de la variation du nombre d'ufs et de larves, et que la variance à l'intérieur de l'échantillon de plante-hôte était à l'origine de la variation observée dans le nombre d'adultes.Pour les ufs et les larves l'unité d'échantillonnage la plus favorable est la partie basale de la plante avec son feuillage et ses fruits, représentant 1/6 de l'individu entier. Pour les adultes il est préférable de prendre la plante entière. Le nombre des plantes nécessaires pour aboutir à des estimations valables est inversement proportionnel à la densité de population; ces relations ont été traduites en graphiques pour 3 niveaux de précision de l'échantillonnage (10%, 15% et 20% de l'erreur standard). Dans les conditions des populations existantes il a été montré qu'un homme travaillant 40 heures/semaine pourrait recueillir et examiner un nombre suffisant d'échantillons pour obtenir une précision de 15%.


Contribution No. 338, Ottawa Research Station.  相似文献   

8.
Summary Three methods were used to estimate simultaneously the population density of young adult bugs; their accuracy, advantages and disadvantages are discussed using data from two wheat fields in North Iran.
Résumé Trois méthodes d'estimation de la densité de la population de jeunes adultes d'Eurygaster integriceps ont été employées simultanément dans deux champs de froment dans le Nord de l'Iran en 1960, lorsque les insectes (tous adultes) se nourissaient de froment avant de se rendre à leurs quartiers d'hivernage.Sur les parcelles d'environ 1 m2 l'emploi d'un filet à main s'avéra inefficient pour estimer la densité de la population, bien que les erreurs d'échantillonage furent minimes et que la méthode est utile pour des estimations comparatives entre différents champs.Le comptage direct sur des parcelles d' 1 m2 (1 m×1 m) donna généralement les meilleurs résultats et des erreurs types de la moyenne étaient de l'ordre de 10–15%. Sur une parcelle cependant une tempête chassa beaucoup d'insectes dans des fentes du sol où il fut impossible de les compter; la densité estimée de la population des carrés fut inférieure à celle obtenue par la méthode «marquage-lâchage-recapture». Les erreurs types des estimations par la méthode «marquage-recapture» étaient de l'ordre de 8–18%, mais la méthode présente trop de désavantages, pour des recherches pratiques concernant les populations de ces punaises.


Seconded to CENTO Institute of Nuclear Science, Tehran, Iran.

CENTO Sunn Pest Entomologist.  相似文献   

9.
Unless leaf-water content is maintained near the saturation level of excised leaves via high humidities and leaf-water supplementation via the petiole, larval growth is suppressed. In 87 paired feeding experiments involving sixteen species of Lepidoptera, the effects on larval growth of leaves with, and without, leaf-water supplementation were compared. Suppressive effects upon the efficiencies of larval growth were observed for larvae fed leaves without water supplementation. These effects were more pronounced for tree leaf-feeders than for forb leaf-feeders.
Résumé La croissance des chenilles est supprimée quand la teneur en eau des feuilles coupées n'est pas maintenue proche de la saturation grâce à une humidité ambiante élevée et grâce à un apport d'eau supplémentaire par le pétiole. La comparaison des effets sur le développement larvaire de 16 espèces de Lépidoptères avec ou sans apport supplémentaire d'eau foliaire a été effectuée au cours de 87 expériences.L'absence d'apport supplémentaire d'eau affecte la croissance des chenilles alimentées sur feuilles. Les effets les plus marqués s'observent sur l'avant dernier stade et sont plus nets sur les chenilles consommant les feuilles d'arbres que sur celles consommant les plantes herbacées. L'E.C.D. (efficacité de conversion de la biomasse digérée) subit la réduction la plus nette, particulièrement chez les chenilles consommatrices de feuilles d'arbres. La teneur en eau de ces dernières est faible même quand elles sont saturées. La croissance des chenilles observée dans ces expériences laisse supposer que les feuilles d'arbres, avec une teneur à saturation de 50% à 75% d'eau, ne permettent pas le taux de croissance des chenilles des plantes herbacées dont la teneur en eau est de 80% à 95%.Un apport supplémentaire en eau pour les feuilles d'arbres peut empêcher la combustion superflue de biomasse assimilée et d'énergie pour l'eau métabolique, ainsi que toutes les tentatives pour mesurer les dépenses respiratoires liées au degré de spécialisation alimentaire larvaire ou les possibilités de détoxification devraient comprendre un apport supplémentaire d'eau pour maintenir la saturation des feuilles coupées. Même alors, l'efficacité des conversions de biomasse végétale, d'énérgie et d'azote pendant la croissance larvaire dépend fortement des disponibilités, pour les larves, des différentes plantes-hôtes, en eau foliaire.
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10.
A simple artificial diet consisting of minced tea leaves and brewer's yeast was found to be suitable for mass-rearing the Tea Tortrix, Homona coffearia, in the laboratory. Growth and development on this diet approximated that observed in the field. At 24° and 75% R.H., the average larval periods were 22.4 days for males and 26.7 days for females while average pupal duration was 6 days for both. The average pupal weights were 35.7 mg for males and 72.2 mg for females. The survival of inoculated 1st-instar larvae to adults was 78% and oviposition rates were superior to those observed in the field. Additional dietary ingredients did not result in any further improvement, on the contrary, an excess supply of enzymatic hydrolysate of casein suppressed development.
Résumé Un aliment artificiel simple, formé d'un mélange de feuilles de thé hachées et de levure de brasserie s'est révélé convenable pour l'élevage de masse en laboratoire de la Tordeuse du thé Homona coffearia. La croissance et le développement sur ce milieu est très comparable à ceux observés dans la nature. A 24° et pour une humidité relative de 75%, la durée du développement larvaire est en moyenne de 22.4 jours pour les mâles et 26.7 jours pour les femelles, cependant que la durée du développement nymphal est en moyenne de 6 jours pour les deux sexes. Le poids moyen de pupes obtenues est de 35.7 mg pour les mâles et 72.2 pour les femelles.La survie moyenne du premier stade larvaire au stade adulte est de 78% et la ponte des femelles issues des élevages est supérieure à celle de femelles provenant de chrysalides récoltées dans la nature.L'addition de sucrose, d'acide linoléique, de chlorure de choline, d'acide ascorbique et de vitamines du groupe B n'apporte aucune amélioration, au contraire, un apport en excès d'hydrolysat enzymatique de caséine empêche le développement.
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11.
Résumé Alors que la plupart des travaux sur la réaction hygrotaxique des Termites ont étudié l'effet de l'humidité de l'air, le présent travail est consacré à l'étude de l'eau du substrat, comme facteur attractif chez le Termite de Saintonge.Quand l'eau est présentée aux Termites sur des barres de plâtre en quantité croissante continue, aucun gradient pour l'hygropreferendum n'est mis en évidence: les Termites tendent à se grouper dans la zone d'humidité maximale. La réaction est plus rapide à température plus élevée.Quand l'eau est répartie de façon discontinue sur des morceaux de plâtre, les Termites manifestent toujours une préférence pour l'humidité maximale. Les Termites peuvent très bien discriminer des humidités peu différentes entre elles. Ils évitent de se fixer à l'humidité la plus grande lorsqu'on leur présente à proximité une humidité légèrement inférieure à cette dernière. Cet hygropreferendum est aussi bien marqué pour les substrats neutres (plâtre) que pour les bois attractifs. Le nombre de Termites joue un rôle important dans la réaction hygrotaxique. Un termite isolé peut choisir l'humidité maximale, mais plus le groupe est important plus la réaction hygrotaxique est intense. La réaction hygrotaxique est plus intense si l'eau est présentée sur le substrat que si elle parvient par l'atmosphère. Les Termites ne vont pas directement dans les zones humides mais essaient, avant, toutes les possibilités offertes.
Summary Most works upon Termites hygrotactic reactions studied the effect of air humidity; this paper deals with water into the substrate as an attractive factor in Saintonge Termite.When water is presented to termites into plaster bars following a continuous pattern, no hygropreferendum gradient can be detected; termites seek to cluster in maximal humidity zone. The reaction is faster at higher temperature.When water is presented following a discontinuous pattern (separate plaster bars) termites prefer always maximum humidity. They are very able to discriminate humidities slightly different only. They avoid saturation hygrometry when a slightly inferior humidity is presented close to. This hygropreferendum is as clearly seen in the case of neutral substrates (plaster) than in the case of attractive ones (pieces of wood). Termites number play an important role in hygrotactic reaction. An isolated worker can choose maximal hygrometry but the more the Termites group is big, the more hygrotactic reaction is intense. It is more intense when water is into the substrate than into the air. Termites do not go directly towards wet zones, but try first all the possibilities following a chance schedule.
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12.
Résumé Les auteurs ont étudié quelques enzymes de la chaîne ganglionnaire chezEisenia foetida.La recherche histochimique a permis de révéler la présence dans les pyrénophores des cellules nerveuses d'une réaction positive pour la phosphatase acide, pour l'ATPase, pour la succino-déshydrogénase, pour la cytochrome-oxydase et pour les estérases. L'acétylcholinestérase est sourtout concentrée au niveau du tissu conjonctif de la chaîne ganglionnaire qui forme une gaine épaisse autour des neurocordes et qui enveloppe les pyrénophores ainsi que les différents faisceaux de fibres nerveuses. Dans le cas de tous les enzymes que les auteurs ont pris en considération, l'axoplasme des neurocordes, qui est pauvre en organules cellulaires et très fluide, ne révèle, même lorsque les fibres nerveuses du neuropylème présentent une activité assez nette (phosphatase acide, succino-déshydrogénase), aucune réaction ou, tout au plus, une réaction très faible. Les auteurs discutent les résultats auxquels ils ont abouti en les comparant `a ceux qu'ont obtenus d'autres auteurs qui ont étudié le système nerveux de certains Vertébrés ou Invertébrés.Avec 6 Figures dans le TexteL'agencement du travail est dû à A.Guardabassi.  相似文献   

13.
Résumé Les expériences que nous avons réalisées nous ont permis d'étudier le rôle de l'absence du gaz carbonique dans l'atmosphère où se trouve l'Insecte. L'une des deux femelles deBombus est introduite dans une cellule microcalorimétrique en atmosphère normale, l'autre femelle dans une cellule dont l'atmosphère est dépourvue de gaz carbonique.Dans l'expression des résultats, je considère d'abord les indications fournies par la forme des enregistrements. Afin d'apporter une plus grande précision dans l'interprétation des enregistrements, j'ai effectué une étude quantitative de la thermogenèse.Les résultats concernant l'influence de la température sur la thermogenèse des reines de Bourdons sont généralement conformes à ce que nous connaissons de la stimulation du métabolisme thermique par une élévation de la température chez la plupart des Poïkilothermes.On peut noter, qu'à température égale, les reines deBombus terrestris ont une thermogenèse relative supérieure à celle des reines deBombus lapidarius. D'autre part, pour chacune des espèces considérées, les valeurs thermogéniques des reines deBombus sont plus élevées — à une exception près — lorsque celles-ci sont placées en atmosphère dépourvue de gaz carbonique.En conclusion, l'absence de gaz carbonique dans l'atmosphère de la cellule microcalorimétrique ne modifie pas profondément le niveau des échanges respiratoires des reines deBombus, dans les limites de mes expériences.
Thermogenesis in Bumble-bees' queens
Summary Experiments have been performed on queens ofBombus terrestris L. andBombus lapidarius L., with a Calvet micro-calorimeter. Curves of thermogenesis (thermograms) are first examined; they vary according to individuals, species, temperature of the ambiance, and composition of the atmosphere.As a rule, at constant temperature, queens ofBombus terrestris produce more heat than these ofBombus lapidarius.Experiments performed in the presence of sodium hydroxide in order to absorb the carbon dioxide elaborated display less undulated thermograms, but individual differences are wide.The thermogenesis of insects placed in micro-calorimetric cells without carbon dioxide is a little higher than that of females in normal atmosphere, but variable results of thermogenic reactions are sometimes observed.
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14.
    
The spatial and temporal distribution of eggs by Callosobruchus chinensis L. indicates under-dispersion. This holds true for either individual females or populations, and after antennectomy as well. An experimental design for assaying ovipositional preference of many seed species together is advanced, in which equal surface areas of the different seeds are available for oviposition.
Résumé La distribution des oeufs dans l'espace et dans le temps chez Callosobruchus chinensis L. est determinée quantitativement. Une distribution plus uniforme que celle qu'on pouvait attendre d'une distribution au hasard apparaît pendant la ponte normale. L'inhibition de la ponte pendant quelques jours entraine, dans la distribution des oeufs, des groupements, qui s'éliminent par la suite. L'antennectomie n'influence pas cette distribution uniforme. Les femelles ne distinguent pas leurs propres oeufs de ceux pondus par d'autres femelles. Si l'on ajoute des graines additionelles dans un récipient dans lequel la ponte s'est faite pendant un certain temps, les femelles concentrent alors leur ponte sur les nouvelles graines, jusqu'à ce que la densité soit égale dans l'espace. Un système expérimental est proposé pour évaluer la ponte préférentielle lorsque beaucoup de différentes sortes de graines sont mélangées ensemble et que chaque sorte est représentée par une aire égale. Lorsque sept sortes de graines ont été évaluées de cette manière, on a trouvé qu'on pouvait distinguer trois groupes de préférence, le groupe primaire comprenant quatre sortes de forme et de taille semblables.


I—General considerations of developmental compatibility. J. Ins. Physiol. 10: 783–788.
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15.
In field experiments, larvae of codling moth Cydia pomonella (L.) rarely acquired granulosis virus on hatching from the egg, but picked up most later, on the tree surface. Deposits of virus sprayed in 1.0% w/v skimmed milk did not affect neonate larval behaviour. Larvae died, usually in the first instar, after entering treated fruit, but they frequently entered via the calyx or near the base of the stalk or through cracks in the skin, where little feeding damage by first-and sometimes second-instar larvae was seen.
Résumé En verger, la pulvérisation d'oeufs de carpocapse avec du virus de la granulose en suspension dans l'eau (additionnée de lait écrémé dilué à 1%) n'a pas modifié la survie des chenilles avant pénétration dans le fruit; par contre la pulvérisation des arbres a provoqué une forte mortalité. Bien que des chenilles consommant des poils et la surface des feuilles aient été observées avant leur pénétration dans le fruit, ce qui aurait pu provoquer leur contamination par le virus, il semble que la contamination létale provienne des fruits seuls.La présence de produit n'a modifié ni le comportement larvaire, ni le taux de pénétration dans les fruits; la mortalité y a lieu ensuite, généralement au premier stade. Dans 74 à 78% des cas, les chenilles ont pénétré dans le fruit par le calice ou près de la base du pédoncule — aucun dégât provenant de larves du premier stade n'y était visible, de même que dans le calice pour les larves du deuxième stade. Par contre, toute pénétration par la surface du fruit était repérable dès le premier stade. Il est possible que la répartition des lieux de pénétration dans le fruit influe sur la létalité due au virus et explique les variations d'efficacité observées en verger. Un système de classification des dégâts, provoqués lors de la pénétration dans le fruit, de chenilles du premier au troisième stade est proposé pour évaluer l'efficacité des essais en verger.
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16.
Sexual morph production in Hyperomyzus lactucae (L.) is under photoperiodic control. In southern England oviparae are not produced in night lengths of less than 10 h 40 min at 15 ° C but males are produced in all night lengths between 8 and 14 h with a peak between 10 and 12 h. Old clones produce sexual morphs after fewer generations and via a limited sequence of morphs compared to young clones, but the restraining mechanism in young clones is very variable in the extent of its operation.
Résumé La production des sexués chez Hyperomyzus lactucae est sous un déterminisme photopériodique, mais les mécanismes qui provoquent la production des ovipares et des mâles sont indépendants et contrôlés par des stimulus photopériodiques différents. La durée de la scotophase pour la production des ovipares est déterminante et d'environ 10 h 40 pour les clones étudiés. Il n'y a pas de production d'ovipares à 15° C en scotophase plus courte. Par contre, des mâles sont produits à toutes les scotophases étudiées entre 8 et 14 h, atteignant un pic entre 10 h 20 et 12 h, mais avec diminution de leur apparition encore plus nette quand les nuits se prolongent.La diversité des conditions tendant à produire des sexués chez les jeunes clones fait contraste avec le nombre limité de possibilités chez les clones plus âgés et prouve qu'un mécanisme réduit dans certains cas la sensibilité à la scotophase tôt dans l'année. Mais, même dans un seul clone, la variation causée par un tel mécanisme est considérable.Il semble que la longueur de la scotophase critique chez cet insecte suffise seule à empêcher la production de sexués au printemps dans le sud de l'Angleterre. Ceci peut donc expliquer les variations du mécanisme restrictif qui, vraisemblablement, ne doit pas être important pour la survie des clones de cette région.
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17.
Female blowflies (Phormia regina Meigen) which had been fed either sucrose (S flies) or sucrose and yeast (SY flies) were tested for their response to novel odours in an actograph. All responded with an increase in activity. S flies were consistently more responsive than SY flies both in their increase in activity and in the number of different odours to which they responded significantly. S flies found food rapidly over a short distance when they were made active either by a stimulating odour or by mechanical agitation. Olfaction, rather than vision, was demonstrated to be the sense mediating the increase in activity.
Résumé Des effluves de banane, pomme, foie de buf et levure ont été testées en actographe contenant 20 femelles de Phormia regina de 2 à 9 jours. Ces mouches avaient été nourries antérieurement, soit sur sucrose seul à 0,1M (mouches S), soit sur sucrose (0,1M) et 10% de levure (mouches SY). L'activité des mouches croît quand les odeurs sont introduites, mais il en est de même quand le courant d'air pur est changé.L'augmentation de l'activité provoquée par la banane, la pomme, et la levure est significativement supérieure pour les mouches S, à celle provoquée par le changement du courant d'air (Fig. 1). Chez les mouches SY l'augmentation significative est observée avec la banane et la levure (Fig. 2). Les mouches S sont plus actives et répondent mieux que les mouches SY: Une goutte de levure dans un récipient avec des mouches S de 6 jours stimule leur activité et la goutte est trouvée rapidement (16 sec.). Des gouttes d'eau ou de sucrose ne stimulent pas l'activité, et les mouches mettent beaucoup plus long-temps pour les trouver (> 100 sec.). En secouant les récipients pour rendre les mouches actives on obtient une découverte des gouttes d'eau ou de sucrose aussi rapide que la découverte des gouttes de levures par les mouches non perturbées. Des mouches antennotectomisées, non perturbées, mettent 252 sec. pour trouver une goutte de levure, mais des mouches antennotectomisées et agitées artificiellement trouvent les gouttes presqu'aussi rapidement que les mouches normales non perturbées (Fig. 3).
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18.
In Drepanosiphum dixoni H. R. L. the heavier the adult the greater the fecundity. However, brachypterous alatae are more fecund than macropterous alatae in the first 10 days of adult life as well as in the first 10 days of reproductive life. There is no difference in the weight at birth between the offspring of brachypterous and macropterous alatae.
Résumé Les ailés brachyptères et les ailés macroptères de Drepanosiphum dixoni sont très semblables dans leurs structures. Les brachyptères sont dépourvus des muscles indirects du vol et leurs ailes, quoique de forme parfaite, sont plus courtes que celles des ailés macroptères.La fécondité est d'autant plus grande que l'insecte adulte est plus lourd. Cependant, les ailés brachyptères sont plus féconds que les ailés macroptères aussi bien pendant les 10 premiers jours de leur vie adulte (Fig. 1A) que pendant les 10 premiers jours de leur reproduction (Fig. 1B). La différence de fécondité est plus marquée quand on se réfère aux 10 premiers jours de la vie adulte, (comparer Fig. 1, A et B), car le délai entre la mue imaginale et le début de la reproduction est plus court chez les brachyptères (2, 4 jours) que chez les macroptères (3, 3 jours).On n'observe pas de différences dans le poids à la naissance de la descendance de chacune des 2 formes.Dans l'évolution de l'aptérisme chez les Aphides il est vraisemblable que l'avantage initial réside dans un accroissement de fécondité, comme chez D. dixoni. Un développement secondaire possible dans l'évolution du dimorphisme alaire chez les Aphides est celui observé chez A. fabae où les ailés produisent une plus petite descendance, la proportion de celle-ci qui naît dans les quelques premiers jours de la vie adulte étant plus élevée que chez les formes aptères.
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19.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
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20.
Mating ability, sexual aggressiveness and competitiveness of irradiated males subjected to 12-krad dose in air as compared to untreated males of Glossina palpalis palpalis (Rob.-Desr.) were evaluated in relation to the time required for initiation and completion of copulation with the transfer of viable and motile sperm into the female spermathecae. Males of G. p. palpalis can inseminate up to eight females. The minimum age for successful insemination is 4-days-old while the minimum copulatory time for optimal insemination is 40 min. However, sterile males require at least a day longer to mature (day 4 instead of day 3) and remained in copula for longer period but they become aspermic at the same rate as fertile males. There was significant reduction (P<0.05) in female fecundity during a mixed mating test involving a ratio of one sterile to one fertile male. Therefore 12-krad-treated males could satisfy the mating requirements of female G. p. palpalis.
Résumé L'aptitude à l'accouplement, l'agressivité sexuelle et le succès dans la compétition ont été comparés chez des mâles soumis à 12 krad dans l'air et des mâles témoins. Ces paramètres ont été évalués en fonction du temps nécessaire pour provoquer l'accouplement et l'accomplir avec le transfert de spermatozoïdes viables et mobiles dans la spermathèque de la femelle. Un mâle de G. p. palpalis peut inséminer jusqu'à 8 femelles. L'âge minimum pour obtenir une insémination réussie est 4 jours, tandis que le temps de copulation minimal pour une insémination optimale est 40 mn. Cependant les mâles stériles demandent au moins 1 jour supplémentaire pour atteindre leur maturité (4ème jour au lieu du 3ème); ils restent accouplés pendant plus longtemps, mais deviennent aspermiques au même taux que les mâles fertiles. Il y a eu une réduction significative de la fécondité des femelles (P>0.05) après accouplements mixtes impliquant autant de mâles stériles que de mâles fertiles. Ainsi des mâles traités avec 12 krad pourraient satisfaire les exigences sexuelles de femelles de G. p. palpalis.
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