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1.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

2.
E. Thibout 《BioControl》1988,33(4):439-452
Résumé La spécificité deDiadromus pulchellus vis-à-vis de son h?te habituel,Acrolepiopsis assectella, est testée à l'aide de 3 autres espèces de Lépidoptère,Plutella xylostella, Ephestia kuehniella etPlodia interpunctella. D. pulchellus parasite spontanémentA. assectella etP. xylostella, que les chrysalides soient nues ou avec leur cocon et que les larves soient élevées ou non sur leur plante h?te. Les 2 autres espèces ne sont parasitées que si elles sont introduites dans un cocon d'A. assectella ou deP. xylostella. Le cocon est donc un des éléments de la spécialisation deD. pulchellus. Il pourrait s'agir de facteurs physiques liés à la structure du cocon, mais également de composés chimiques insolubles présents dans la soie et les glandes labiales mais absents des glandes mandibulaires. La spécificité deD. pulchellus, essentiellement éthologique, semble renforcée par des facteurs physiologiques nutritionnels, la mortalité deD. pulchellus étant plus élevée dansP. unterpunctella que dans les autres espèces h?tes, en particulierA. assectella etE. kuehniella. La base trophique des larves est donc plus large que la base de ponte des femelles. Les parasito?des entièrement élevés surE. kuehniella ouP. interpunctella étant incapables de pondre spontanément dans les chrysalides des espèces dont ils sont issus, l'hypothèse d'Hopkins est ici infirmée.   相似文献   

3.
A. Delobel 《BioControl》1989,34(3):351-363
Résumé Le trichogrammeUscana caryedoni Viggiani se développe aux dépens des œufs deCaryedon congense Decelle et de ceux de la bruche de l'arachide,Caryedon serratus (Olivier), sur les fruits d'une légumineuse arbustive commune au Congo,Poliostigma thonningii (Schum.). Dans la région de la Bouenza, dans le sud du pays, les taux de parasitisme dus àU. caryedoni s'accroissent au cours de l'année, à mesure que m?rissent les gousses, pour atteindre en novembre près de 40% (taux cumulé). La biologie du parasito?de a été étudiée au laboratoire sur œufs deC. serratus. A 30°C, la femelle pond en moyenne 66 œufs et vit un peu plus de 5 jours. Le développement préimaginal s'effectue en 16 jours à 26° et 12 jours à 30°. L'effet de la densité de l'h?te sur divers paramètres biologiques du parasite a été étudié. Un essai réalisé dans les conditions du laboratoire a révélé chezU. caryedoni de très faibles potentialités comme agent de limitation des populations deC. serratus dans les stocks d'arachide.   相似文献   

4.
Résumé

La sélection du substrat de ponte par des souches de la bruche de l’arachide, Caryedon serratus, issues d’hôtes différents est étudiée au laboratoire. Des tests de choix sur des gousses de différentes plantes ont été d’abord effectués. Les distributions des oeufs sur les différents substrats de ponte sont comparées. Les niveaux d’adaptation des souches dites sauvages (Bauhinia rufescens, Cassia sieberiana, Piliostigma reticulatum et Tamarindus indica) sur l’arachide et les capacités de développement de la souche ? arachide ? sur les graines des plantes hôtes ? sauvages ? sont aussi testés. Les résultats révèlent que, d’une manière générale, les souches évoluent selon le principe de sélection d’hôtes de Hopkins puisque la ponte se fait de manière privilégiée sur la gousse de la plante d’où est issue la femelle. La souche ? Piliostigma ? dépose ses oeufs de manière indifférenciée sur gousses de P. reticulatum et sur gousses d’arachide. Les résultats des tests sur les niveaux d’adaptation révèlent du point de vue de la durée de développement, qu’on peut considérer les différentes souches comme identiques quant à leurs possibilités intrinsèques de développement sur l’arachide. Le paramètre poids des adultes, montre que la souche ? Bauhinia ? est intrinsèquement moins bien adaptée que les autres souches sur l’arachide. Les taux fécondité révèlent que les différentes souches sont identiques quant à leurs possibilités intrinsèques de développement sur l’arachide mais, ici également, la souche ? Bauhinia ? paraît moins bien adaptée à l’arachide. Le passage de la souche ? arachide ? aux plantes hôtes sauvages est possible mais, élevée sur graines plantes hôtes sauvages, celle-ci se comporte généralement moins bien que sur arachide.  相似文献   

5.
Résumé L'endoparasito?deMicrocharops anticarsiae (Hym.: Ichneumonidae), est un des agents naturels de régulation d'Anticarsia gemmatalis (Lep.: Noctuidae). La préférence pour un stade de l'h?te, les effets sur la sex ratio et la réponse fonctionnelle ont été étudiés expérimentalement chezM. anticarsiae pour six densités différentes de l'h?te. Dans des expériences de choix impliquant 2 stades de développement consécutifs ou dans les cas où étaient offerts en même temps les quatre premiers stades larvaires, les femelles du parasito?de n'ont présenté aucune préférence pour un stade donné. Ces résultats montrent que les femelles deM. anticarsiae acceptent tout h?te disponible indépendamment de son stade. La sex ratio présente des différences significatives entre les quatre stades de l'h?te (G3df=18.21, p<.001). La sex ratio du parasito?de est plus favorable aux femelles chez les larves se développant dans le 4e stade de l'h?te. Une réponse fonctionnelle de type II a été observée chez les parasito?des femelles en réponse à des densités variables de l'h?te. Ces informations fondamentales concernant les effets de la sex ratio ont montré quel est le stade de l'h?te qui doit être parasité pour obtenir la sex ratio la plus favorable aux femelles, tandis que la réponse fonctionnelle a fourni le taux moyen (38.0±7.5) de parasitisme par femelle. Ces informations sont importantes pour la production en masse deM. anticarsiae pour le programme de lutte biologique.   相似文献   

6.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

7.
C. Alauzet 《BioControl》1990,35(1):119-126
Résumé L'étude examine l'influence du cortège parasitaire dans la dynamique des populations deP. notatus dans une forêt de pin maritime du sud-ouest de la France. De 1968 à 1977, le niveau du parasitisme apparent total à l'émergence a varié, mais est resté le plus souvent compris entre 20 et 30%. Les parasito?des les plus abondants appartenant aux genresEubazus etCoelo?des se sont montrés densito-dépendants par rapport à leur h?te et le rapport entre leurs effectifs respectifs est resté assez constant au cours des 10 années d'observation. Un calcul basé sur l'évolution théorique des populations deP. notatus au vours de leur développement a permis d'estimer qu'en moyenne 16% seulement des charan?ons étaient détruits chaque année par l'ensemble des parasito?des alors que dans cet habitat le taux de parasitisme annuel moyen à l'émergence a été de 0,28.   相似文献   

8.
Résumé Commencés en 1954, les essais de naturalisation deProspaltella perniciosi Tower pour la lutte biologique contre le Pou de San-José,Quadraspidiotus perniciosus Comstock dans la région Sud-Ouest de l'Allemagne ont conduit aux résultats suivants. Jusqu'en 1965, dans une région d'expérience de plus de 1 000 ha située près de Heidelberg, en moyenne le quart desQ. perniciosus ont été exterminés parProspaltella peerniciosi, tant sur les arbres où ils avaient été lachés, que sur les arbres voisins. Les résultats donnés par les graphiques et les tableaux précédents expliquent l'augmentation des taux de parasitisme, la composition et l'importance des différents éléments de la faune des parasites dans le Baden-Württemberg ainsi que dans la région de Stutgtart où se trouvent des échantillons de pommier du Connecticut. Dans les régions d'expérience,Prospaltella perniciosi est le parasite le plus important. L'origine du parasite joue seulement un r?le secondaire. LesProspaltella bisexués, mis en élevage et lachés depuis 1963 se sonst bien maintenus à c?té des races unisexuées qui avaient été libérées précédemment. Sous le climat des lieux d'expérience, leP. perniciosi parthénogénétique a aussi bien réussi que le bisexué.   相似文献   

9.
Résumé L'étude de la dynamique des populations de la cochenille farineuse des arbres fruitiersRastrococcus invadens Williams [Hom.: Pseudococcidae], avant et après l'introduction accidentelle du parasito?de primaire indo-pakistanaisGyranuso?dea tebygi Noyes [Hym.: Encyrtidae], a été entreprise au Congo, sur 2 de ses plantes h?tes, le manguier (Mangifera indica L.,Anacardiaceae) et le frangipanier (Plumeria alba L.,Apocynaceae). Avant l'introduction du parasito?de exotique, le complexe entomophage local s'est révélé peu abondant et diversifié. Le profil de gradation des populations du ravageur, très différent sur les 2 plantes h?tes, semble davantage lié aux caractéristiques physiologiques et phénologiques du végétal qu'aux facteurs climatiques. La cochenille est capable de développer 5 générations de 70–80 jours par an sur les 2 plantes h?tes. Trois à quatre mois après son introduction, les 50 à 90% de parasitisme développés parG. tebygi ont affecté significativement la dynamique des populations de la cochenille. Huit à neuf mois plus tard, son maintien sur de faibles effectifs du ravageur confirme son acclimatation. Les 50 à 60% de mortalité provoqués par les 8 espèces du complexe hyperparasitaire ne paraissent pas limiter son efficacité. Le complexe parasitaire deR. invadens est comparé à celui de la cochenille du manioc.   相似文献   

10.
B. Le Rû  Y. Iziquel 《BioControl》1990,35(2):173-183
Résumé Cet article présente les résultats obtenus en 1987 sur des points non encore abordés précédemment dans le cadre de l'étude des circonstances épidémiologiques favorisant le déroulement de l'Entomophthorose àNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, pathogène de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Hom.: Pseudococcidae). Il montre notamment que l'évolution de la maladie, très rapide, correspond à la succession de 2 phases: une première phase, d'implantation, fortement liée à la taille et à la structure des colonies et une deuxième phase (épizootique au sens strict) indépendante de leur taille et de leur structure. Son évolution appara?t plus liée à la régularité des pluies qu'à la quantité d'eau. Les conditions sont très favorables quand l'humidité relative est supérieure à 90% pendant au moins 5 heures par jour de fa?on régulière. Le r?le important joué par la durée d'humectation du feuillage est montré ici pour la première fois. La densité des conidies du pathogène dans l'air est proportionnelle aux taux de mycose observés dans les populations deP. manihoti.   相似文献   

11.
Résumé. Les insectes pollinisateurs des cultures de Vicia faba L. en région de Constantine (Algérie) ont été étudiés pendant trois périodes de floraisons (2000, 2001 et 2002). Huit espèces d’abeilles ont été inventoriées. L’abeille sauvage Eucera numida Lepeletier et l’abeille domestique Apis mellifera L. en sont les butineurs les plus abondants. Eucera numida est probablement le pollinisateur le plus efficace car toutes ses visites peuvent être pollinisantes. A l’inverse, un tiers des visites de l’abeille domestique sont consacrées au “vol de nectar” à travers des trous faits par les bourdons à la base des corolles. Ces visites sont non pollinisantes. Les visites d’ Eucera numida sont également plus rapides (m = 10 visites par minute) et son aptitude à déclencher les fleurs de fève est plus grande que celle de l’abeille domestique. Les plants accessibles aux pollinisateurs produisent plus de gousses, les gousses contiennent plus de graines et les graines sont plus grosses et mieux formées que sur les plants encagés.  相似文献   

12.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

13.
Résumé

Ce travail retrace les événements qui ont conduit à une collaboration exemplaire entre entomologistes enançais et américains (principalement le professeur C. V. Riley) pendant la crise du Phylloxera en France, grâce aux nombreuses archives existant de part et d’autre de I’Atlantique. Une des premiéres questions a été de savoir si le Phylloxera était identique dans les deux pays, prouvant ainsi son origine américaine. Une autre question a été de savoir si ce parasite était la cause ou la conséquence de la maladie de la vigne. Cette question, primordiale car lourde de conséquences sur les plans économique et politique, a vu s’afenonter certains entomologistes enançais (le professeur J. E. Planchon et J. Lichtenstein), tenant de I’hypothèse causale, à ?autres (V. A. Signoret) qui soutenaient que le puceron ne s’installait que sur des vignes malades. II s’est établi une collaboration remarquable entre les entomologistes enançais et C. V. Riley, qui a pu apporter des résultats très convaincants à la thèse causale. Enfin son rôle a été déterminant pour conforter la seule solution à long terme défendue par Planchon et Lichtenstein : la greffe de la vigne enançaise sur des vignes américaines résistantes.  相似文献   

14.
Résumé La persistance des conidiospores deNomuraea rileyi (F.) Samson à la surface du couvert végétal a été étudiéein situ en culture de féverole (?Féverole 1 et 2?) et de chou. L'effet du rayonnement solaire sur la survie du germe a été analysé, d'une part, dans des microparcelles recouvertes d'écrans sélectifs arrêtant les radiations de longueurs d'onde inférieures à 320 nm (UV A+) ou à 400 nm (UV) ou par un écran total vis-à-vis du rayonnement direct (RYT) et, d'autre part, dans une microparcelle découverte (RYT+). Les conditions microclimatiques ont été suivies pendant toute la durée des expérimentations et le contr?le de l'activité résiduelle du champignon a porté essentiellement sur le dénombrement des spores viables sur milieu nutritif après mise en suspension d'un broyat des échantillons de feuilles prélevés sur le terrain. Dans le cas des variantes expérimentales (RYT+) et (RYT) le potentiel infectieux a été éprouvé sur des larves deSpodoptera littoralis Boisd. (Lépidoptère Noctuidae) alimentées pendant 24 h avec des rondelles de feuilles recueillies dans le couvert. La durée de demi-vie de l'inoculum sporal est étroitement liée à l'ensoleillement; par temps clair elle peut atteindre un minimum de 3,6 h (?Féverole 1?), alors que dans les microparcelles totalement protégées du rayonnement direct, elle est supérieure à 40 h. Les données d'activité pathogène confirment l'inactivation de l'inoculum soumis au rayonnement solaire. Parallèlement, le recours aux écrans transparents (UV A+) ou opaques (UV) au proche ultra-violet (320–400 nm) a permis de démontrer clairement l'effet léthal de l'UV A naturel sur les conidiospores deN. rileyi, dont les demi-vies peuvent être réduites jusqu'à 4 fois (?Féverole 1?: XUV A +=11,6 h au lieu de XUV−=48,2 h). A partir de ces résultats, on estime que par temps ensoleillé en été, le potentiel d'inoculum deN. rileyi exposé au rayonnement solaire direct peut chuter de 104 fois en une semaine, alors que par temps couvert cette réduction n'aurait été que de 100 fois. Avec la collaboration technique deH. Vermeil de Conchard.  相似文献   

15.
Résumé La longévité, la fécondité, le nombre d'adultes émergés, le sex-ratio et le cycle de développement deTrichogramma evanescens Westwood etTrichogrammatoidea lutea Girault ont été étudiés sur un h?te de substitution (Anagasta kuehniella) ou sur un h?te naturel (Helicoverpa armigera), ainsi que le nombre d'œufs parasités par ces 2 espèces. La longévité des ♀♀ des 2 oophages est très influencée par l'alimentation. Une ♀ deT. evanescens nourrie vit 7 fois plus longtemps qu'une privée d'alimentation et celle deT. lutea 5 fois plus. La présence de l'h?te joue également un r?le non négligeable. La fécondité est plus élevée chezT. evanescens (42 œufs en moyenne) que chezT. lutea (31 œufs). Cependant le nombre moyen d'œufs deH. armigera parasités par ♀ ainsi que le nombre d'adultes émergés sont presque équivalents chez les 2 espèces parasito?des. Le sex ratio (♂♂/♀♀) est de 0,59 chezT. evanescens et de 0,71 chezT. lutea. Quant à la durée de développement, elle est plus longue chezT. evanescens que chezT. lutea aux basses températures (36 jours contre 30 jours à 15°C). Cette différence est moins marquée lors de l'augmentation de la température (4 h à 30°C). La température de 35°C s'avère néfaste pour le développement des 2 espèces oophages ce qui restreint la possibilité de leur utilisation en lutte biologique au Maroc. Des études complémentaires seront à développer pour vérifier leur aptitude dans les conditions de terrain.   相似文献   

16.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

17.
Résumé Le parasitePauesia cedrobii Stary et Leclant, spécifique du puceron du CèdreCedrobium laportei Remaudière, a été récolté dans le Moyen-Atlas, (Maroc) puis introduit dans un peuplement de cèdre (Cedrus atlantica Manetti) du sud-est de la France au printemps 1981. La méthode utilisée a consisté en une introduction directe des parasites, préalablement isolés sur le lieu de récolte (momies) puis mis à éclore en chambre climatisée de fa?on à éliminer les hyperparasites. Après accouplement, 225 adultes ont été introduits dans des manchons installés sur des rameaux abritant des colonies deC. laportei. L'évolution des populations de l'h?te et du parasite a été suivie au niveau des points de lacher d'une part, et dans la parcelle d'autre part. L'installation définitive du parasite dans la parcelle s'est produite, 1 an après le lacher, grace à un automne et à un hiver particulièrement doux, qui ont favorisé la multiplication de l'h?te. Le parasite est définitivement implanté: il est encore présent 4 années après le lacher. Entre temps, il a été étendu à d'autres forêts de cèdre du sud-est de la France. Huit espèces d'hyperparasites autochtones se sont portés surP. cedrobii, mais ceci ne remet pas en cause la réussite de l'introduction de l'aphidiide. Avec la collaboration technique deE. Robert, A. Chalon, J. Chizky.  相似文献   

18.
Une analyse bibliographique exhaustive révèle que 71 espèces et sous-espèces d’Odonates sont présentes sur l’ensemble des îles voisines de Madagascar appartenant aux archipels des Mascareignes, des Comores et des Seychelles. Le taux d’endémisme maximal pour l’ensemble des îles voisines de Madagascar est de 34 %. Le taux d’endémisme est sensiblement plus important dans les Mascareignes (34 %) qu’aux Comores (23 %) ou aux Seychelles (19 %). Le peuplement odonatologique y est dominé par les Libellulidae (36 taxons) et les Coenagrionidae (18 taxons). Chaque archipel possède au moins un des 23 taxons endémiques présents sur ces îles. Les Seychelles comptent deux genres monospécifiques endémiques: Allolestes et Leptocnemis. Les Mascareignes abritent deux genres endémiques: Thalassothemis et Coenagriocnemis. Ce dernier a subi une radiation évolutive au sein de l’archipel. Les îles voisines de Madagascar se caractérisent par une radiation évolutive des genres Hemicordulia et Gynacantha à l’échelle de la région. Les affinités géographiques sont principalement afro-tropicales. La colonisation à partir de l’Afrique est le fait de taxons particuliers qui ne sont pas un échantillon aléatoire de l’ensemble du pool continental. Sur l’ensemble des îles voisines de Madagascar, la richesse spécifique des peuplements d’Odonates d’affinité africaine est maximale sur les îles proches du continent.  相似文献   

19.
Résumé Parmi les parasites des œufs deNezara viridula, Asolcus mitsukurii est bisexué et manifeste un comportement d'agressivité dans les 2 sexes, tandis queTelenomus nakagawai est unisexué et non agressif. Les observations sur le comportement des 2 espèces révèlent quelques différences spécifiques dans la reconnaissance de la ponte h?te et le mode d'oviposition. Asolcus mitsukurii a bien plus d'h?tes secondaires queTelenomus nakagawai; le premier est capable de choisir des pontes beaucoup plus petites que celles deNezara viridula, tandis que le second parasite probablement, les pontes comportant un nombre d'œufs élevé, telles que celles deNezara viridula etNezara antennata. La signification écologique du comportement d'agressivité de la femelle est discutée du point de vue des relations intra- et interspécifiques. Le comportement d'agressivité chez le male du genreAsolcus semble avoir une signification écologique différente de celui des femelles.   相似文献   

20.
A. Bekkaoui  E. Thibout 《BioControl》1992,37(4):627-639
Résumé Le comportement des femelles de l'inchneumonideDiadromus pulchellus, parasito?de d'Acrolepiopsis assectella, a été étudié au contact des chrysalides-h?tes avec leur cocon ou nues, lavées ou non par des solvants. L'implication de kairomones cuticulaires hydrosolubles dans le processus de reconnaissance de l'h?te par ce parasito?de a été mise en évidence. Des chrysalides lavées voient en effet leur pouvoir stimulant fortement réduit, et les extraits aqueux ainsi obtenus ont une activité biologique importante sur les femelles du parasito?de. Ces kairomones cuticulaires semblent avoir un r?le complémentaire à celui de substances actives issues du cocon. L'élevage du parasito?de en laboratoire ne semble pas avoir significativement modifié son comportement par rapport à l'h?te. En effet, la comparasion en présence des extraits cuticulaires aqueux de l'h?te, du comportement de femelles élevées au laboratoire depuis 3 ou 36 générations ne montre pas de différences comportementales très significatives entre elles. Cependant, les plus faibles taux de parasitisme à partir de chrysalides provenant de teignes élevées depuis longtemps en présence de composés du poireau laissent envisager une possible modification du métabolisme larvaire du parasito?de, par suite d'une adaptation aux conditions d'élevage du phytophage-h?te sur milieu artificiel. Ainsi, le régime alimentaire de l'h?te n'est pas sans effet sur l'entomophage. Enfin, la comparaison deD. pulchellus et d'une espèce sympatrique,D. collaris, attaquant plut?t la teigne du chou,Plutella xylostella, montre une meilleure adaptation de la première espèce vis-à-vis de leur h?te communA. assectella.   相似文献   

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