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1.
Conclusion Ce travail a pour but de montrer l'importance de l'action de l'aneurine comme facteur de croissance; les différentes hypothèses relatives à l'absorption et à l'utilisation de cette vitamine sont discutées. L'hypothèse d'une resynthèse de l'aneurine est admise; cependant en considérant critiquement la question, à l'aide des données fournies par tous les microorganismes étudiés, on constate qu'un certain nombre de faits sont encore à expliquer si l'on veut justifier cette hypothèse; dans certains cas, la possibilité d'une action séparée des deux constituants peut être envisagée.En accord avec l'intervention possible de l'aneurine comme catalyseur d'oxydo-réduction, le thiazol semble spécialement important.On est en droit de parler d'un métabolisme des facteurs de croissance.L'étude de la plante supérieure, qui synthétise elle-même son aneurine indispensable peut nous apporter des arguments importants sur le métabolisme et la biosynthèse de l'aneurine. Toutes ces considérations sont basées sur l'étude de l'aneurine seule; nous savons pourtant que dans beaucoup de cas, elle agit de concert avec d'autres facteurs de croissance.  相似文献   

2.
Résumé L'ensemble des recherches faites sur la sexualisation cytoplasmique a permis de montrer que les faits exprimés par les deux premières lois de sexualisation cytoplasmique traduisent des phénomènes très généraux de la sexualité, mais aucune démonstration expérimentale des lois n'avait été tentée.Les rapports intimes qui existent entre les faits exprimés par ces lois permettent de supposer que les deux énoncés traduisent peut être deux aspects différents d'un même phénomène. Il semble donc illusoire de chercher à donner pour chaque énoncé une démonstration indépendante et nous avons essayé d'établir une démonstration d'ensemble.L'état d'avitominose B entraine dans l'organisme une série de perturbations: 1 dans le métabolisme, 2 dans l'énergétique des tissus, 3 dans la respiration intracellulaire. Cet ensemble de modifications se trouve être analogue à celui qu'entrainerait une diminution du rH intracellulaire.D'autre part, la carence en vitamine B entraine une hyperlipémie qui place les cellules dans des conditions de nutrition nouvelles par rapport aux graisses dont elles disposent.L'ensemble de ces perturbations, tant dans la valeur du rH intracellulaire que dans les conditions de nutrition par rapport aux lipides, réalise, d'après les lois de sexualisation cytoplasmique, des conditions particulièrement défavorables à la polarisation des cellules dans le sens mâle.Or, on peut constater que, dans l'organisme ainsi modifié expérimentalement par l'avitominose, parmi toutes les cellules, ce sont les cellules polarisées dans le sens mâle qui se trouvent être le plus rapidement et le plus fortement frappées.Le rapprochement de ces diverses constatations nous parait constituer une véritable démonstration expérimentale des deux lois de sexualisation cytoplasmique.Une partie des recherches concernant la sexualisation cytoplasmique a été faite avec un microscope offert par la fondationElizabeth Thompson. L'auteur exprime sa gratitude au comité de cette fondation.  相似文献   

3.
Visual symptoms of malnutrition associated with the unsatisfactory development of natural and planted black spruce seedlings in a 20-year-old burn suggested low supply and uptake of nitrogen, phosphorus, and possibly other nutrients as the primarily adverse factors.In order to test the hypothesis, both soil and foliage of the species there and in another climatic region were compared and the diagnosis partly confirmed. Of the elements studied (K, Mg, Ca, P, Mn, Fe, and N) only nitrogen was found to be related to needle colour and poor leader growth.A lichen crustLecidea granulosa rich in nutrients, especially nitrogen, dominates the sites. The crust decomposes very slowly and retains large proportions of available nutrients in its tissues. Incorporation of the crust in the mineral soil is suggested as a means of accelerating nutrient cycling and promoting development of future plantations.
Sommaire Nous basant sur certains symptômes de déficiences minérales, nous avons émis l'hypothèse que la faible croissance des jeunes épinettes noires et de celles plantées dans le brûlis de 1941 de la rivière York, était surtout attribuable à la carence de l'azote et du phosphore et peut-être aussi à d'autres éléments dans le sol et les tissus. L'hypothèse a été vérifiée et partiellement confirmée. De tous les éléments étudiés (K, Mg, Ca, P, Mn, Fe et N), seul l'azote est relié à la couleur des aiguilles et à la croissance de la flèche terminale. Cette relation cependant est beaucoup plus marquée lorsque la couleur est estimée à l'aide de comparaison avec des semis recueillis sur la place même de l'étude plutôt qu'avec le guide des couleurs de Munsell.Les résultats de cette étude ont été comparés avec d'autres déjà obtenus avec l'épinette noire, ayant le même âge et croissant dans un sol de même texture mais dans des régions climatiques différentes. Même si le contenu minimum en azote d'un sol est susceptible de varier d'une région climatique à l'autre, il semblerait que la disponibilité de l'azote dans le brûlis de la rivière York est nettement insuffisante pour espérer le développement normal d'une plantation d'épinettes noires.A la suite de travaux préliminaires faits en serre, nous avons constaté que le lichenLecidea granulosa, riche en azote et qui recouvre en partie l'aire étudiée, favorisait la croissance des jeunes épinettes quand il était broyé et incorporé au sol minéral. On suggère donc, comme moyen d'amélioration du sol en vue de futures plantations, de broyer sur place ce lichen et de l'incorporer au sol.
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4.
RésuméMorphologie des myosynapses d'Insectes Les terminaisons nerveuses motrices des muscles squelettiques (à l'exclusion des muscles fondamentaux du vol) de la Mouche domestique et de quelques autres Diptères, ainsi que de l'Abeille et du Bourdon, se présentent le plus souvent comme de simples bifurcations des fibres nerveuses, mais il arrive qu'elles comportent un plus grand nombre de rameaux. Chez les Orthoptéroïdes, on observe des terminaisons de types différents, la structure pouvant être, comme chez la Blatte, comparable à celle des Diptères, mais plus complexe chez le Criquet où la ramure terminale est irrégulière et abondamment divisée. Les terminaisons motrices des Orthoptéroïdes sont très fréquemment composées, c'est-à-dire constituées par la superposition de plusieurs ramures terminales.La structure fine de ces myosynapses semble identique à celle des myosynapses de guêpe, décrites d'après des micrographies électroniques.Des noyaux siègent parfois au niveau des myosynapses, mais de façon inconstante. Ce sont essentiellement des noyaux du névrilemme.Les terminaisons motrices des muscles des larves de Diptères semblent morphologiquement plus simples que celles des imagos, mais leur structure reste encore mal connue.Les myosynapses des Insectes se distinguent de celles des Vertébrés par l'absence d'appareil sous-neural et de cholinestérases décelables histochimiquement à son niveau, alors que ces enzymes peuvent être aisément mis en évidence dans les nerfs et le système nerveux central.Différents modes d'innervation motrice de la fibre musculaire des Insectes Chez tous les insectes examinés ici, chaque fibre musculaire reçoit plusieurs terminaisons motrices réalisant une innervation dite multiterminale. Toutes les terminaisons motrices d'une seule fibre musculaire sont parfois issues des divisions d'un même axone: il s'agit alors d'une innervation multiterminale mononeuronale. Dans d'autres cas, tout un muscle est innervé par plusieurs axones jumelés qui se bifurquent simultanément et, le plus souvent, cheminent parallèlement jusqu'à la fibre musculaire, chaque rameau du nerf formant généralement une terminaison motrice composée: une seule fibre musculaire est alors innervée à la fois par plusieurs axones, son innervation est multiterminale polyneuronale. Plusieurs physiologistes ont pu démontrer sur certains insectes que ces axones jumelés ne déterminaient pas les mêmes effets moteurs, mais ces résultats ne sauraient être généralisés à l'ensemble des cas d'innervation polyneuronale, sans recherches physiologiques plus complètes. Ce mode d'innervation polyneuronale n'a pas un caractère général chez les Insectes.  相似文献   

5.
Conclusions Ces essais effectués en plein champ prouvent que les nitrites produisent dans plusieurs cas des dégâts parfois conséquents aux cultures et que les plantes présentent une sensibilité variable à leur action. Il n'est cependant pas encore possible de déduire des résultats si l'utilisation des nitrites comme herbicides sélectifs peut être envisagée. L'action des nitrites semble cependant de courte durée probablement en raison de la prompte transformation des nitrites; plusieurs résultats portent d'ailleurs à croire que l'azote des nitrites à été eventuellement après transformation, utilisée par les plantes. Il n'en reste pas moins vrai, que l'emploi de nitrites comme engrais ferait courir le risque grave de voir occasionner d'importantes brûlures. Mais nous estimons que la présence de faibles quantité de nitrite, à l'état d'impureté dans d'autres engrais, ne peut pas provoquer de sérieux dégâts aux cultures.  相似文献   

6.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

7.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

8.
The eastern swallowtail butterfly, Papilio glaucus, is often classified as a polyphagous species but growth of individuals is hindered rather than aided by feeding on a sequence of plants in no-choice situations. The spicebush swallowtail, Papilio troilus, is a close relative of P. glaucus. P. troilus has restricted its feeding primarily to the Lauraceae and the efficiency of P. troilus larvae in utilizing foodplants in this family is 2 x – 3 x that of the generalized P. glaucus larvae. Again, however, a sequence of acceptable foods reduces rather than favors larval growth rate.
Résumé Les taux de consommation, les rendements de transformation, les bilans de biomasse et d'azote, et la croissance de chenilles herbivores de Papilio glaucus et Papilio troilus ont été déterminés sur les plantes-hôtes naturelles dans des conditions écologiques contrôlées. Les effets d'une alternance périodique des plantes-hôtes tous les 2 jours ont été déterminés dans des expériences supplémentaires. Sur Sassafras (Lauraceae), Papilio troilus, plus spécialiste, croît plus vite et avec un meilleur rendement que Papilio glaucus, espèce généraliste. La croissance des 2 espèces de Papilio est supprimée quand on les oblige à changes d'aliments. Les gains en poids des larves et les poids finaux des chrysalides dans des séries alternantes sont intermédiaires, atteignant les moyennes observées entre les meilleures et pires alimentations avec une espèce végétale unique.Bien que l'on puisse conclure que l'alternance des plantes consommées réduit généralement la consommation et la conversion de la biomasse végétale des plantes-hôtes, Papilio glaucus est capable de survivre sur Lindera benzoin (Lauraceae) alternant avec cerisier et frêne, alors que toutes les chenilles meurent sur L. benzoin seul. D'autres faits montrent que cette Lauraceae ne peut être qu'occasionnellement acceptable comme plante-hôte naturelle par Papilio glaucus, tandis qu'elle est essentielle pour les populations plus spécialisées de P. troilus.Ceci suggère que toute classification en généraliste, ou polyphage, doit être accompagnée d'une discussion se référant à l'espèce, la population ou aux larves elles-mêmes. Des informations quantitatives sur des plantes supplémentaires seraient utiles pour distinguer entre l'aptitude des espèces et celle des individus à consommer des plantes-hôtes fournies alternativement ou simultanément.
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9.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

10.
Each plant can be recognized by its general shape. Nevertheless, this physiognomy is the result of a very precise structure that expresses the existence of a strong organization. The architecture of a plant depends on the nature and relative arrangement of each of its parts; it is at any given time the result of an equilibrium between endogenous growth processes and the constraints exerted by the environment. Architectural studies have been carried out for some twenty years and have led to the definition of several concepts that provide a powerful tool for studying plant form. The results obtained in this field show that the architecture of a plant can be summarized by a small number of elementary structures: internode, growth unit, axis, architectural model,... In the course of ontogenesis, these structures are repeated and reveal several levels of organization that seem to be only different stages of a common process of growth and transformation.
Résumé Toute espèce végétale peut être reconnue par sa forme générale. Toutefois, au-delà de cet aspect physionomique, la forme d'une plante repose sur une structure très précise qui traduit l'existence d'une grande organisation. L'architecture d'une plante dépend de la nature et de la position relative de ses différentes parties; elle est à tout instant, l'expression d'un èquilibre entre des processus endogénes de croissance et des contraintes extérieures exercées par le milieu. D'origine assez récente, les études en architecture végétale ont permis de dégager quelques concepts qui rendent compte du développement des végétaux. Les résultats obtenus dans ce domaine montrent que l'architecture d'une plante peut être résumée par un petit nombre de structures élémentaires: entre-noeud, unité de croissance, axe, modèle architectural,... Au cours du développement, ces structures élémentaires se répètent et dérivent les unes des autres traduisant l'existence de plusieurs niveaux d'organisation au sein de l'organisme végétal. L'analyse architecturale permet de révéler et de caractériser ces différents niveaux qui apparaissent alors comme les étapes d'un même processus dans une séquence précise et ordonnée d'événements.
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11.
Juvenile praying mantids are faced with a wide variety of prey types, including physiologically harmful ones. How they respond to these prey, behaviorally and physiologically, is examined in this study. By adapting a technique developed by Blau et al. (1978) for herbivorous insects, we determined the deterrence and toxicity of unpalatable prey. Artificial diets containing different percentages of cardenolide-containing prey were offered to third instar juveniles. When fed diets containing small proportions of unpalatable milkweed bugs (Oncopeltus fasciatus Dallas), juvenile mantids (Tenodera sinensis Saussure) showed a slight decrease in consumption and growth. In contrast, with an intermediate proportion of milkweed bugs in the diet, feeding was not inhibited and, correspondingly, a marked reduction in growth rate occurred. Yet higher proportions of milkweed bugs in the diet acted primarily as a feeding deterrent. Mantids from different egg cases responded differently to the same range of milkweed bug diets. This variation was evident both in acceptance of the novel diet and in relative consumption rates.
Résumé De jeunes mantes ont été mises en présence d'une grande diversité de proies, y compris certaines physiologiquement nocives. La pénurie alimentaire peut être sévère dans la nature pour les jeunes mantes (Hurd & Rathet, 1986), et par conséquent, elles peuvent attaquer la plupart des proies rencontrées. Nous avons examiné comment les mantes réagissent éthologiquement et physiologiquement aux proies toxiques. A partir de la technique utilisée par Blau & al (1978) pour des insectes herbivores, nous avons examiné l'effet dissuasif et la toxicité de proies au goût désagréable. Des régimes artificiels avec différents pourcentages de proies contenant des cardénolides ont été proposés à des juvéniles de stade 3. Les courbes de l'efficacité de la croissance (taux de croissance relative en fonction du taux de consommation relative) pour différents lots traités ont été comparées à une courbe de référence (régime artificiel témoin ne contenant pas de cardénolides) en accord avec Blau et al. (1978). Les courbes significativement plus basses que la courbe de référence indiquent une efficacité de croissance inférieure et ainsi un effet toxique. Les individus de ces groupes ont consommé autant que les témoins, mais leur croissance a été inférieure. A l'opposé, quand les proies contenant des cardénolides étaient répulsives, la distribution de RGR/RCR coïncide avec la courbe de référence, mais montre des valeurs de RCR plus faibles. Ainsi les réponses des mantes indiquent les propriétés dissuasives ou toxiques de ces régimes.Quand elles consommaient des régimes contenant de faibles proportions de Oncopeltus fasciatus Dallas au goût désagréable, les mantes juvéniles, Tenodera sinensis Saussure ont présenté une légère diminution de la consommation et de la croissance. A l'opposé, avec une proportion intermédiaire de O. fasciatus dans le régime, la consommation n'a pas été inhibée et une réduction marquée du taux de croissance a été observée. De plus, il y a eu un effet compensateur des concentrations intermédiaires de O. fasciatus dans le régime alimentaire avec augmentation de la consommation, lorsque cette dernière n'est pas fortement inhibée et que l'on observe un effet immédiat sur la croissance. De plus fortes proportions de O. fasciatus dans le régime alimentaire agissent d'abord comme répulsif. Les mantes de différentes oothèques réagissent différemment, tant en ce qui concerne l'acceptation que les taux de consommation à la même gamme de régimes contenant O. fasciatus. Une des 3 oothèques acceptait deux fois moins le nouveau régime que les deux autres oothèques; 2 des 3 oothèques ont présenté des taux de consommation respectivement de la moitié et du dixième de la troisième oothèque.
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12.
With the advent of suitable techniques for rearing plant-sucking insects, especially aphids, on chemically defined diets, knowledge of their nutrition has evolved considerably over the past 7 years. Thus, contrary to some earlier beliefs, the nutritional requirements of plantsucking insects have been found to be, with minor exceptions, generally similar to those of other insects, and it is now possible to sustain aphid colonies on artificial diets for two or more generations, and in some cases, for an almost indefinite period of time.A discussion is presented on the comparative requirements of aphids and other Hemiptera for the main classes of nutrients and for individual compounds, both on a qualitative and quantitative basis, and on the relative importance of symbiotes in the nutrition and metabolism of these insects. Some nutritional and related factors that may influence feeding behaviour will be examined, such as the influence of the pH of the medium, the light, the quality of the diet and the concentration of certain nutrients on feeding preferences by aphids. Correlations will be attempted on the significance of these findings in relation to parasite-hostplant relationships.The main subject of the entire paper will be centered on the nutrition of about half a dozen species of aphids, but some examples will be given using other plant-sucking insects.
Résumé Les besoins nutritifs des insectes suceurs de sève, et tout particulièrement des aphides, ont été étudiés à l'aide de régimes de composition chimique connue. Ces besoins se sont avérés comparables à ceux des insectes en général, et on a pu jusqu'à présent maintenir indéfiniment des cultures d'au moins deux espèces d'aphides sur de tels régimes. II semble que ces insectes soient parmi les premiers Métazoaires à être gardés vivants indéfiniment sur des régimes chimiques définis. Les composés nutritifs essentiels aux aphides comprennent des acides aminés, des vitamines hydrosolubles, dont l'acide ascorbique, des sels minéraux, et du sucrose. Dans certains cas, les microorganismes symbiotiques procurent à leurs hôtes aphidiens quelques substances nutritives, dont des acides aminés, des vitamines et du stérol. De plus, les propriétés phagostimulantes du sucrose et de certains composés aminés ont été démontrées expérimentalement, de même que l'influence du pH et de la qualité de la lumière sur la prise de nourriture. Les résultats des tests de choix multiples, dans lesquels différents régimes nutritifs étaient accessibles aux aphidiens, ont démontré clairement que ces insectes peuvent choisir entre les régimes et préférer ceux qui sont de valeur nutritive supérieure, c'est-à-dire ceux sur lesquels leur croissance, leur reproduction et leur survivance sont maxi-males. Ces résultats confirment l'hypothèse par laquelle, chez les insectes, le choix d'un aliment peut être influencé considérablement par sa valeur nutritive. II apparaît évident que dans les conditions naturelles, le choix de la plante-hôte, et, plus particulièrement, le choix de l'endroit précis de la plante pour la prise de nourriture, et éventuellement, la pullulation de l'insecte, seront influencés, entre autres, par le métabolisme et les qualités nutritives de l'hôte. Finalement, il semble que des différences qualitatives et quantitatives observées entre les besoins nutritifs des différents insectes suceurs de sève se révèleront être en relation de plus en plus étroite avec leurs habitudes oligophages ou polyphages, et avec le pouvoir de synthèse de leurs symbiotes.
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13.
Résumé Cette note décrit l'application de la technique de culture en dialyse continue à Nitrobacter. La culture ne peut pas être maintenue en phase exponentielle beaucoup plus longtemps par cette méthode que dans le cas où les nitrates peuvent s'accumuler dans le milieu de culture. Toutefois, la croissance continue à vitesse constante au lieu de s'arrêter complètement, et l'on peut atteindre une concentration de quelque 500 mg de matière sèche au litre. Il est montré que c'est la diffusion du nitrite à travers la membrane qui limite la croissance bactérienne et que si l'on augmentait la quantité de nitrite diffusée une nouvelle limitation de la croissance due cette fois à un apport d'oxygène insuffisant ne tarderait pas à se manifester.
Summary This note describes the use of continuous dialysis for growing Nitrobacter.It is not possible to keep Nitrobacter growing exponentially during a much longer time by this method than when nitrate is not dialyzed from the culture medium. However, growth continues at a constant velocity instead of stopping and a cell concentration of about 500 mg per 1 (dry weight) is easily reached. It is shown that nitrite diffusion through the membrane is rate limiting for growth and that increase of the amount of nitrite diffusing through the membrane would soon lead to another rate limiting process, namely oxygen diffusion through the medium from the air bubbles.


Aspirant du Fonds national de la recherche scientifique.  相似文献   

14.
W. H. Schopfer 《Protoplasma》1941,36(1):546-557
Conclusions Nous confirmons la perméabilité et l'intrabilité du thiochrome pour les cellules des épidermes supérieurs des écailles de bulbesd'Allium. La très belle fluorescence bleue du thiochrome peut-être utilisée pour la détection intravacuolaire de cette substance à l'aide du microscope à luminescence. Le thiochrome fonctionne comme un fluorochrome vital, à action colorante très intense, dépourvu de toxicité dans les limites utilisées.Un certain nombre de caractéristiques sont indiquées, qui peuvent être utiles lors de l'utilisation du thiochrome en cytophysiologie: destruction par les UV, influence du pH sur la fluorescence. Dans des conditions de concentration déterminées du thiochrome et de l'acide ascorbique, le premier peut être utilisé comme indicateur fluorescent intracellulaire rendant visible l'intrabilité de l'acide ascorbique dans les cellules étudiées. La modification intracellulaire de la fluorescence bleue du thiochrome doit être attribuée avant tout à l'acidité de ce dernier. L'acide ascorbique utilisé sans solution tampon exerce une action toxique nette en concentration M/500, après 12 heures.La méthode peut-être éventuellement utilisée pour l'étude de l'intrabilité des acides.  相似文献   

15.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

16.
Résumé Les auteurs ont étudié quelques enzymes de la chaîne ganglionnaire chezEisenia foetida.La recherche histochimique a permis de révéler la présence dans les pyrénophores des cellules nerveuses d'une réaction positive pour la phosphatase acide, pour l'ATPase, pour la succino-déshydrogénase, pour la cytochrome-oxydase et pour les estérases. L'acétylcholinestérase est sourtout concentrée au niveau du tissu conjonctif de la chaîne ganglionnaire qui forme une gaine épaisse autour des neurocordes et qui enveloppe les pyrénophores ainsi que les différents faisceaux de fibres nerveuses. Dans le cas de tous les enzymes que les auteurs ont pris en considération, l'axoplasme des neurocordes, qui est pauvre en organules cellulaires et très fluide, ne révèle, même lorsque les fibres nerveuses du neuropylème présentent une activité assez nette (phosphatase acide, succino-déshydrogénase), aucune réaction ou, tout au plus, une réaction très faible. Les auteurs discutent les résultats auxquels ils ont abouti en les comparant `a ceux qu'ont obtenus d'autres auteurs qui ont étudié le système nerveux de certains Vertébrés ou Invertébrés.Avec 6 Figures dans le TexteL'agencement du travail est dû à A.Guardabassi.  相似文献   

17.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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18.
The effects of media composition on growth parameters, total protein production (including delta-endotoxin) and its relation to the biological properties ofBacillus thuringiensis var.israelensis was investigated. The replacement of glucose by glycerol as the carbon source yielded higher concentrations of delta-endotoxin. This increase in toxicity was associated with increased amounts of the 130 kDa polypeptide fraction. The biocide activity was not related to haemolytic activity. specific growth rate nor spore count.
Résumé On a étudié les effets de la composition du milieu sur les paramètres de croissance, sur la production de protéines totales, ce qui inclut la delta-endotoxine, ainsi que sur sa relation avec les propriétés biologiques deBacillus thuringiensis var.israelensis. Le remplacement du glucose par le glycerol comme source de carbone resulte en des concentrations plus élevées de delta-endotoxine. Cet accroissement en toxicité est associé avec une quantité croissante de la fraction polypeptidique de 130 kDa. L'activité biocide n'est liée ni à l'activité hémolytique, ni à la vitesse specifique de croissance ni à l'énumération des spores.
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19.
Résumé LeHansfordia pulvinata a été observé sur feuilles de tomate où sa présence est liée aux thalles duCladosporium fulvum. Il se comporte en parasite à l'égard de ce champignon phytopathogène: ses rameaux télémorphiques terminés en appressorium enserrent les hyphes et les chaînes de spores de son hôte et les tuent. Dès le contact, la croissance du mycoparasite s'accélère, il recouvre les thalles duCladosporium (lui-même freiné par les substances fongistatiques émises) et gêne la dissémination de ses propagules.L'effet néfaste pour leC. fulvum de cette interaction ainsi que certains caractères biologiques duH. pulvinata (notamment la dissémination aisée de ses abondantes xérospores et leur aptitude à la germination en conditions difficiles, ses exigences thermiques) nous font penser que cette espèce mycoparasite pourrait être utilisée comme agent de lutte biologique contre la cladosporiose de la tomate en serre.  相似文献   

20.
Résumé Pendant l'essaimage, les imagos ailés deNeotermes tectonae sont attirés en grand nombre par les branches mortes ou les chicots des cimes des arbres de teck (Tectona grandis). Ces parties mortes, pour la plupart d'origine non pathologique, s'observent en abondance dans les plantations serrées, et elles restent attachées aux arbres longtemps, se décomposant peu à peu. Pour établir leur loge, les imagos attaquent très souvent la moelle exposée aux endroits où une partie terminale s'est détachée, ou bien ils transpercent latéralement les branches pourrissantes. Ils n'utilisent que rarement d'anciens forages abandonnés. Les colonies primaires sont saprophages. Leurs galeries initiales suivent le fil du bois et sont tantôt dirigées vers le sommet, tantôt et le plus souvent vers la base des branches, ce qui s'explique peut-être par le plus fort degré hygrométrique des parties basales. Ordinairement, les galeries des colonies juvéniles s'étendent après un ou deux ans dans les parties vivantes de la cime ou du tronc, mais les colonies peuvent subsister pendant trois ans et plus sur le bois mort, atteignant exceptionnellement dans ce milieu la phase de première apparition des individus ailés. On peut trouver jusqu'à six colonies primaires dans la même branche. Bien qu'occupant la même partie limitée d'un arbre et possédant des galeries entremêlées, les colonies peuvent rester séparées très longtemps, du moins lorsque leur nombre n'excède pas deux. Les jeunes colonies vivent côte à côte avec d'autres espèces d'insectes utilisant le bois pourri comme nourriture ou, tels que les fourmis, comme abri. Une fois établies, les colonies paraissent ne subir que peu de pertes à la suite d'influences défavorables ou de prédateurs; chose curieuse, elles ne sont pas recherchées par les pics.

The preparation of this paper has been made possible thanks to a grant received from the Netherlands Organization for the Advancement of Pure Research (Z. W. O.).  相似文献   

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