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1.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

2.
Earlier experiments seemed to indicate a positive correlation between the choice of the oviposition site of Ostrinia nubilalis Hbn. on maize (Zea mays L.) leaves and their carbohydrate content. In the present study a growth regulator, maleic hydrazide (M.H.), is used to increase the soluble carbohydrate content of the plants. It seems that the insect prefers to oviposit on the treated plants which display higher carbohydrate contents. On the other hand the distribution of the egg-masses on the leaf blade is also modified. Plant height has no influence on these choices.
Résumé A la suite de nos expérimentations antérieures, qui mettent en évidence l'existence d'une relation entre le choix de site de dépôt des oeufs d'Ostrinia nubilalis et la teneur en sucres du feuillage chez le maïs (Zea mays), la présente étude a été entreprise pour essayer de confirmer cette corrélation positive. A cet égard, nous avons choisi d'augmenter les teneurs en sucres solubles des feuilles de maïs par l'emploi d'un régulateur de croissance: l'hydrazide maléique. Ce composé est en effet connu pour perturber la photosynthèse et ralentir la migration des sucres dans les feuilles, ce qui a pour conséquence d'augmenter leurs teneurs en sucres solubles (glucose, fructose, saccharose). Les femelles montrent alors une préférence pour les plantes ainsi traitées par rapport à des plantes non traitées. Les résultats obtenus ne permettent cependant pas de distinguer les actions respectives de ces trois sucres solubles. En outre, on observe des modifications dans la répartition des oeufs sur les feuilles des plantes traitées par rapport à celles des plantes témoins. La taille des plantes ne semble pas avoir de rôle dans le choix de site d'oviposition.
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3.
Second-stage integrated management of apple arthropod pests   总被引:2,自引:0,他引:2  
To date, integrated pest management (IPM) of arthropods in commercial apple orchards has been comprised almost exclusively of a suite of what we term first-stage IPM practices focused upon pest monitoring. These practices predict first appearance, rate of development, and abundance of pest and beneficial arthropods, which leads to recommendation of selective properly-timed pesticides as the sole tactic of controlling pests not effectively suppressed by beneficials. Here, we evaluated in Massachusetts the effectiveness of what we term second-stage IPM practices. These involved integration of pesticidal control of early season apple arthropod pests and behavioral, cultural and biological control of mid and late season apple arthropod pests in the absence of insecticide and acaricide application after mid June. The behavioral approach consisted of ringing the perimeter of several apple orchard blocks (each ca. 1 ha) with sticky-coated red spheres baited with synthetic apple odor to intercept immigrating Rhagoletis pomonella (Walsh) flies. The cultural approach focused on removing unmanaged host trees in a ring around the orchard block perimeter to prevent entry of Cydia pomonella (L.) and Argyrotaenia velutinana (Walker) females. The biological approach emphasized buildup of natural enemies of foliar pests in an orchard environment free of insecticide and acaricide use after mid June.During the second year (1988) of second-stage IPM implementation, test blocks in which baited red spheres were placed 5 m apart on perimeter apple trees and in which all unmanaged host trees within 100 m of the block perimeter had been removed received only 0.6% combined fruit injury by the above and all other pests active after mid June. Nearby blocks treated under first-stage IPM practices received 0.4% combined injury from such pests. As revealed by unbaited within-block monitoring traps, comparatively few R. pomonella flies penetrated the ring of interception traps, despite the large numbers caught on the latter. Beneficial predators of pest mites and aphids were nearly twice as common in second-stage as first-stage IPM blocks. Total cost was essentially the same for second-stage as first-stage IPM practices. But we propose a potentially much less costly, labor-saving method as a substitute for using a sticky substance to control R. pomonella flies alighting on perimeter-tree spheres.
Résumé A ce jour, la lutte intégrée (IPM) contre les arthropodes des vergers commerciaux de pommiers, —que nous nommons IPM de première génération —, est conçue presque exclusivement comme une suite de pratiques focalisées sur l'interception des insectes nuisibles. Ces pratiques calculent d'abord la date d'apparition, la vitesse de développement et l'abondance des phytophages et des entomophages, conduisant à l'épandage à des dates appropriées d'insecticides sélectifs, comme seule tactique de protection contre les phytophages qui ne sont pas supprimés efficacement par des entomophages.Nous avons examiné au Massachusetts l'efficacité de ce que nous avons appelé le seconde génération d'IPM. Elle implique l'intégration de la lutte chimique contre des insectes consommateurs précoces, et de la lutte comportementale, culturale et biologique contre les insectes de pleine saison et tardifs, sans traitements insecticides ou acaricides des pommiers à partir de la mi-juin.L'approche comportementale consiste à encercler plusieurs massifs de pommiers (chacun de 1 ha) avec des sphères rouges engluées d'odeur synthétique de pommier pour intercepter les vols de Rhagoletis pomonella Walsh. L'approche culturale est concentrée sur l'élimination autour du verger des pommiers non inclus dans le programme de protection pour empêcher la pénétration de femelles de Cydia pomonella L. et Argyrotaenia velutinana Walker. L'approche biologique insiste sur la mise en place après la mi-juin des entomophages des ennemis du feuillage dans un verger sans insecticide ni acaricide.Pendant la seconde année (1988) de l'application du programme, les fruits attaqués par tous les phytophages après la mi-juin n'ont été que de 0,6% pour les parcelles d'arbres témoins dans lesquels les pièges rouges avaient été placés tous les 5 mètres sur les arbres du pourtour et dont les arbres non inclus dans l'expérience, avaient été enlevés sur une bande de 100 m autour de la parcelle. Des parcelles proches, traitées avec IPM première génération, avaient un taux d'attaque de 0,4% par les mêmes espèces d'arthropodes. Par rapport aux parcelles sans sphères rouges, relativement peu de R. pomonella ont pénétré au-delà de la rangée de pièges, malgré le grand nombre de mouches capturées dans ceux-ci. Les prédateurs d'acariens et de pucerons nuisibles étaient 2 fois plus abondants dans les parcelles protégées par IPM de deuxième génération, que dans celles protégées par IPM de première génération. Les coûts totaux sont à peu près les mêmes, mais nous proposons une méthode potentiellement beaucoup moins coûteuse, demandant moins de maind'uvre, par remplacement l'utilisation de la glue sur les sphères comme protection contre la pénétration de R. pomonella dans la parcelle.
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4.
Life tables of Tetranychus urticae Koch were used to assess resistance to spider mites in five varieties of cotton in the southern San Joaquin Valley of California. Experiments were conducted during midseason and again in mid- to late season. The most resistant variety was Pima S-5 and the most susceptible was Acala SJ-2. Resistance of S-5 was expressed primarily as lower mite survivorship and fecundity. Developmental rates were similar on all 5 varieties. Although differences in the net reproductive rate (Ro) were large, there were only slight differences in the intrinsic rate of increase (r). Comparisons of the data in the first and second experiment, showed that resistance to spider mites increased as the plants matured. It is hypothesized that increased resistance associated with plant maturation results from a decrease in available nutrients in the leaves of older plants.
Résumé Les tables de vie de T. urticae Koch ont servi à la mise en évidence de la résistance de cinq variétés de coton dans la partie méridionale de la vallée de San Joaquin en Californie. Les expériences ont eu lieu à la mi-saison et à nouveau de la mi à la fin saison. La variété la plus résistante a été Pima S-5 et la plus sensible Acala SJ-2. La résistance de S-5 s'est traduite d'abord par une diminution de la survie et de la fécondité des acariens. Les taux de développement ont été les mêmes sur les cinq variétés. Bien que les différences entre les taux de reproduction nets (Ro) aient été importants, il n'y a eu que de légères différences entre les taux intrinsèques d'accroissement (r). La comparaison des résultats des lère et 2ème expériences a montré que la résistance aux acariens a augmenté quand les plantes ont mûri. L'hypothèse est émise d'un accroissement de la résistance lié à la maturation par suite d'une diminution de la quantité de'éléments nutritifs dans les feuilles des plantes âgées.
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5.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

6.
Larval growth, reproduction and energetics of Aphis pomi was determined for apterae living and feeding in the newly formed and 2 or 3 week old pseudogalls. Aphids were reared on stems and mature leaves. Similar investigations were undertaken with apterous Dysaphis devecta in its own gall and with the alatiform living in the aptera gall or on young leaves.The beneficial effect of feeding in galls is soon lost because aptera growth rate is 0.015 dry mg day–1 in young galls but falls to 0.0045 dry mg day–1 in older galls, a decline of 30%. Larval life is correspondingly extended by 50%. Mean life time fecundity of A. pomi in young galls was 55 but in older galls or on nongalled tissue it was 23. Fecundity of D. devecta apterae was 71 compared to 34 for alatiforms living in similar galls.Life time energy consumption of A. pomi in young galls was 62.5 joules (J) with a mean of 31.2 joules in older galls. The assimilation/consumed energy (A/C) ratio, an indicator of food quality, was 57% for A. pomi in young galls and 22% on other feeding sites. Apterous D. devecta had an A/C ratio of 76% compared to a mean of 31% for alatiforms within and outside galls.The highly specialized gall inhabiting D. devecta apterae derive greater physiological benefit from gall feeding than the generalis A. pomi which can survive and reproduce within or outside its gall.
Résumé Le développement larvaire, la reproduction et le bilan énergétique d'A. pomi ont été déterminés à partir d'aptères vivant et s'alimentant dans des galles venant d'être formées et de pseudogalles de 2 à 3 semaines. Les pucerons ont été élevés sur des pousses et des feuilles développées. Des recherches du même type ont été faites sur Dysaphis devecta aptères dans ses propres galles et sur des alatiformes vivant dans des galles d'aptères ou sur de jeunes feuilles.Les effects bénéfiques de l'alimentation dans des galles a été rapidement perdu puisque les aptères ont crû à la raison de 0,015 mg de matière sèche par jour dans des jeunes galles et de 0,0045 seulement dans les galles plus âgées, soit une diminution de 40%. La durée du développement larvaire s'étant parallèlement accrue de 50%. La fécondité moyenne de A. pomi était de 55 dans les jeunes galles contre 23 dans les galles plus âgées sur des tissus ordinaires. La fécondité de D. devecta aptère était de 71 contre 34 pour les alatiformes vivant sur les mêmes tissus.Le bilan énergétique global de A. pomi dans de jeunes galles était de 62,5 j contre 31,2 j dans des galles plus âgées. Le rapport d'assimilation sur énergie consommée (A/C), — indicateur de qualité de l'alimentation —, était de 0,57 pour A. pomi dans des galles jeunes et de 0,22 dans les autres situations. D. devecta aptère avait 0.76 comme rapport A/C contre 0,31 pour les alatiformes se développant à l'intérieur ou à l'extérieur des galles. D. devecta aptère fortement spécialisé au développement dans des galles tire un plus grand bénéfice physiologique de la consommation dans des galles que A. pomi généraliste qui peut survivre et se reproduire tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de galles.
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7.
Endoproteinase activity was confined to luminal fluid from anterior and posterior ventricular regions of midguts of larvae of the sweetpotato weevil,Cylas formicarius elegantulus (Summers). Aminopeptidase was found in luminal fluid (18%) but was primarily associated with insoluble fractions from cells of the posterior ventriculus (82%). Depending on substrate, carboxypeptidase activity was about equally distributed between luminal fluid and insoluble fractions from posterior ventriculus cells. Amylase was found in luminal fluid in both the anterior and posterior ventriculus. Five bands of amylase activity were detected on starch zymograms following electrophoresis of whole midgut samples. Three of the amylase bands may be plant-derived. At least two -glucosidases were present, one secreted and one bound to anterior ventriculus cells. -Glucosidase activity was bound to anterior ventriculus cells whereas -galactosidase activity was confined to luminal fluid. -Galactosidase and cellulase activities were found in both luminal fluid and the insoluble cell fraction. Thus, initial digestion of large protein and carbohydrate polymers occurs in luminal fluid in both anterior and posterior ventriculus regions. However, terminal digestion of oligopeptides occurs primarily in the posterior ventriculus while terminal digestion of oligosaccharides occurs in the anterior ventriculus.A 20-fold difference in trypsin-inhibitor concentration was found among five sweetpotato cultivars. Endoproteinases from sweetpotato weevil larvae were inhibited by extracts from the cultivars but cultivars with relatively high concentrations of inhibitor were previously shown to be susceptible to weevil attack in field trials.
Distribution des protéinases et des carbohydrases dans l'intestin moyen des larves deCylas formicarisus elegantulus et réponse des proténases aux inhibiteurs d'Ipomoea batatas
Résumé L'activité endoprotéinase était limitée au liquide de la lumière des régions ventriculaires antérieure et postérieure de l'intestin moyen des larves deCylas formicarius elegantulus Summers. Les aminopeptidases ont été trouvées dans le liquide de la lumière (18%), mais étaient principalement associées avec les fractions insolubles des cellules du ventricule postérieur (82%). Suivant le substrat, l'activité carboxypeptidase était à peu près également répartie entre le liquide de la lumière et les fractions insolubles des cellules du ventricule postérieur. L'amylase, enzyme secrétée, a été observée à la fois dans la lumière antérieure et postérieure. Cinq bandes d'activité amylase ont été révélées sur zymogrammes d'amidon après électrophorèse d'intestins moyens entiers. Trois des bandes d'amylase pouvaient provenir de la plante. Il y avait au moins 2 -glucosidases, une secrétée et une liée aux cellules du ventricule antérieur. L'activite -glucosidase était liée aux cellules du ventricule antérieur, fandis que l'activité -galactosidase était limitée au fluide de la lumière. Les activités -galactosidase et cellulase ont été trouvées à la fois dans le liquide de la lumière et dans la fraction cellulaire insoluble. Ainsi, la digestion initiale des grosses protéines et des polymères de carbohydrates se produit dans le liquide de la lumière dans les régions ventriculaires antérieure et postérieure. Cependant, l'achèvement de la digestion des oligopeptides se produit principalement dans le ventricule postérieur, tandis que la fin de la digestion des oligosaccharides se produit dans le ventricule antérieur.Les concentrations en inhibiteurs de trypsine de 5 cultivars d'I. batatas L. diffèrent de 1 à 20. Les endoprotéinases deC. formicarius elegantulus ont été inhibées par des extraits de cultivars, mais les cultivars avec des concentrations relativement élevées d'inhibiteur avainent antérieurement montré être susceptibles d'être attaqués par le coléoptère dans des essais en champs.
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8.
The responses of some Lepidoptera to labiate herb and white clover extracts   总被引:2,自引:0,他引:2  
Herbs have been traditionally used as intercrops with crop plants on the assumption that their odour repels pest species. Alcohol extracts and essential oils of labiate herbs were tested in the laboratory for deterrent/repellent responses to ovipositing Plutella xylostella (L.) and feeding larvae of P. xylostella and Pieris brassicae L.Alcohol extracts of hyssop, rosemary, sage, thyme and white clover reduce oviposition by P. xylostella on pieces of brassica leaf in dual-choice tests. Essential oils of sage and thyme reduce oviposition on pieces of brassica leaf. Feeding, in dual-choice tests, by final instar P. xylostella and P. brassicae larvae is reduced by application of alcohol extracts of herbs.
Résumé Des plantes médicinales ont traditionnellement été utilisées en association avec des plantes cultivées dans l'espoir que leur odeur repousserait les insectes nuisibles. Des extraits à l'alcool et des essences volatiles de labiées médicinales ont été essayés au laboratoire pour examiner leur effets répulsif et dissuadant pour la ponte de Plutella xylostella et l'alimentation des chenilles de P. xylostella et Pieris brassicae. Les extraits alcooliques d'hysope, de romarin, de sauge, de thym et de trèfle blanc réduisent la ponte de P. xylostella sur des morceaux de feuilles de chou traitées. Les essences volatiles de sauge et de thym réduisent la ponte de P. xylostella sur des morceaux de feuilles de chou dans des expériences de choix. L'alimentation des chenilles de dernier stade de P. xylostella et P. brassicae dans des expériences de choix est réduite par l'application d'extraits alcooliques des labiées médicinales.
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9.
Three field experiments, with factorial designs and consisting of monocrops of oats, Avena sativa, and mixtures of oats with faba bean, Vicia faba, were conducted in 1983–1985. The densities of generalist epigeal predators were manipulated by vertical barriers or ingress and egress trenches. Pitfall trapping was used to measure the effect of manipulation. Tillers were sampled to monitor populations of the major pest of oats, the bird cherry-oats aphid, Rhopalosiphum padi, and to estimate their peak densities. Also grain yields were measured.The barriers and the egress trenches significantly reduced the pitfall catches of carabids, staphylinids and spiders. The effect on Coccinella septempunctata was variable. The peak aphid densities were 11–125% higher in the predator reduction treatments than in the controls. The grain yields of oats were reduced by 19–22% in all cases where aphid densities were increased by the manipulations. Relief of predation pressure by generalist epigeal predators is the proposed explanation for the increased R. padi densities and subsequently decreased oat yields.Mixed cropping increased the pitfall catches of carabids by 14–36%. Trechus spp. contributed most to the pattern. In 1985 the early egress manipulation increased the aphids' peak density and decreased the yield of oats significantly more in the monocrop than in the mixture: this was thought to be because the R. padi population escaped predation as the result of a higher colonization rate in the mixture, rather than being due to responses of the predators to crop diversification.
Résumé Trois expériences en plein champ ont été réalisées en Finlande en 1983–85 pour étudier l'influence des prédateurs épigés sur le niveau de contamination par R. padi et la production de grains d'avoine en cultures pures ou associées à Vicia faba. R. padi est le principal ravageur de l'avoine dans ce système. Les captures réalisées par les prédateurs épigés, principalement des carabidae, des staphylinidae et des araignées ont réduit les attaques dans les parcelles entourées de barrières verticales (1983) ou de fossés inondés. Les réactions de Coccinella septempunctata à ces manipulations ne sont pas constantes et ne peuvent pas expliquer son influence sur les populations de R. padi. Les densités maximales de pucerons ont été de 11 à 125% élevées dans les parcelles modifiées que dans les parcelles témoins ou entourées de fossés inondés. Les récoltes d'avoine ont été réduites de 19 à 22% dans tous les cas où la densité de pucerons a augmenté.Dans la discussion, la limitation de la pression de prédation par les généralistes épigés a été mise en avant pour expliquer l'augmentation des densités de R. padi et la diminution consécutive de la récolte d'avoine. La comparaison des caractéristiques du système R. padi avoine de printemps et du système R. padi/blé d'hiver laisse supposer qu'elles ont contribué à la relative importance des prédateurs généralistes consommant R. padi tôt dans la saison.Ces résultats ne suggèrent aucun effet négatif de la culture mixte avec V. faba sur la prédation épigée. Cependant, des éléments montrent qu'une forte densité de colonisation par des immigrants ailés de R. padi dans les cultures peut permettre à la population proie d'échapper aux prédateurs généralistes quand ceux-ci deviennent saturés aux densités de proies élevées. On peut en conclure que la contribution potentielle des prédateurs épigés aux récoltes de céréales de printemps,-qui ne se rlise que lorsque R. padi n'est pas limité d'une autre façon-, dépend du niveau atteint par la première colonisation par R. padi ailés. Leur contribution est la plus faible lors d'une très faible ou d'une très forte colonisation.
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10.
Résumé Les réponses E.A.G. d'Acrolepiopsis assectella Zell., Lépidoptère Hyponomeutoïdea spécialiste des Allium, montrent une sensibilité à l'odeur de la plante-hôte larvaire A. porrum saine ou attaquée, et à ses composés volatils soufrés spécifiques, toutes odeurs actives dans l'attraction des deux sexes en olfactomètre. Le Ti-P2, le plus abondant et le plus spécifique du végétal est toujours le plus efficace. Ceci confirme le rôle prépondérant des substances allélochimiques soufrées dans la recherche de la plante-hôte. Une réactivité antennaire plus ou moins importante est également enregistrée avec l'odeur de certaines plantes non-hôtes (chou et tomate). L'antenne du lépidoptère est également très sensible à certains produits volatils du complexe odorant vert des végétaux qui sont identifiés dans l'odeur du poireau, le cis-hexen-3-ol-1 le plus actif est aussi le seul à être attractif. Le rôle biologique exact des composés verts et l'interférence de l'odeur complète de la plantehôte avec celle de plantes non-hôtes, telle que la tomate, efficace sur l'antenne et sur le comportement sont discutés.  相似文献   

11.
A total of 548 spiders (Gnaphosidae, Clubionidae, Thomisidae, Philodromidae, Salticidae, Lycosidae, Pisauridae, Linyphiidae) from three sand dune grassland sites were tested serologically for feeding on the grasshoppers, Chorthippus brunneus (Thunberg) and Myrmeleotettix maculatus (Thunberg). Lycosidae were the most commonly tested species and gave the greatest proportion of positive tests. Laboratory observations suggest that predation in the field was predominantly on first instar grasshoppers.
Résumé Afin d'améliorer la connaissance de l'importance des prédateurs dans la biologie des populations de criquets (Orthoptères; Acrididae), les araignées de trois pelouses sur dunes de sable ont été examinées sérologiquement pour estimer leur consommation des populations sympatriques de Chorthippus brunneus Thunberg et Myrmeleotettix maculatus Thunberg. Au total, 548 araignées (Gnaphosidae, Clubionidae, Thomisidae, Philodromidae, Salticidae, Lycosidae, Pisauridae, Linyphiidae) ont été récoltées à la main ou par piège pendant la période d'éclosion des ufs de criquets. Les Lycosidae ont été le plus fréquemment observées (90,5% de toutes les récoltes) et ont donné la plus forte proportion d'individus positifs (jusqu'à 32,3%). Les expériences d'alimentation en laboratoire suggèrent que, dans la nature, les Lycosidae sont les plus actives contre les criquets du premier stade.
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12.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

13.
Observations of adult Agromyza frontella (Rondani) (Diptera: Agromyzidae) in alfalfa, Medicago sativa L. (cv. Saranac), fields in two regions of Quebec, Canada, demonstrated that males were most abundant on alfalfa plants early in the morning and in the late afternoon/early evening, which coincided with the occurrence of bimodal mating activity. Male abundance and incidence of mating were usually negatively correlated with air temperature, solar insolation and wind speed and positively correlated with relative humidity. The daily pattern of female abundance on alfalfa varied less than that of males. Females fed and oviposited throughout the day, and the frequency of these activities were usually positively correlated with air temperature and solar insolation and negatively correlated with relative humidity. Possible reasons for the sexual dimorphism in the daily activity patterns of this leaf miner, and their significance for individual fitness, are discussed.
Résumé L'observation visuelle des adultes de la mineuse virgule de la luzerne, A. frontella, dans des champs de luzerne de deux regions differentes du Québec, ont démontré que les mâles étaient plus nombreux sur les plantes tôt le matin, vers la find de l'après — midi et tôt en soirée, ce qui a coincidé avec l'occurence bimodale de l'accouplement. L'abondance diurne des femelles variait moins que celle des mâles et les femelles se nourrissaient activement pendant toute la journée. La fréquence de l'alimentation et de la ponte chez les femelles (les mâles n'étant observé que très rarement en train de se nourrir) étaient corrélées positivement à la température ambiante de l'air de méme qu'à l'insolation mais étaient négativement corrélées à l'humidité relative. Contrairement aux femelles, l'abondance des mâles et l'incidence de l'accouplement étaient habituellement corrélées négativement à la température ambiante de l'air, à l'insolation et à la vitesse du vent alors qu'elles étaient positivement corrélées à l'humidité relative. Plusieurs hypothèses pouvant expliquer le dimorphisme sexuelle des activitées diurnes de cette mineuse ainsi que leurs implications quant à la fitness, des individus, sont discutés.
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14.
Infection by tobacco mosaic virus improved the suitability of tomato, Lycopersicon esculentum Mill. for survival of Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata (Say), larvae. This improvement was due, at least in part, to the increase in total nitrogen content of virus-infected plants. The simultaneous increase in tomatine content had no discernable effect on L. decemlineata survival. Our results are consistent with the suggestions that virus infection may improve the suitability of partially resistant or non-preferred hosts, and that virus infection may facilitate the adaption of phytophagous insects to such marginal host plant species.
Résumé Pour vérifier l'hypothèse selon laquelle une contamination par un virs végétal peut accroître la consommation de plantes délaissées ou partiellement résistantes, nous avons examiné les interactions entre Leptinotarsa decemlineata Say, Lycopersicon esculentum Mill., et le virus de la mosaïque du tabac (TMV). La survie des larves de L. decemlineata a augmenté avec la contamination par TMV; les teneurs en azote et en tomatine étaient toutes deux plus élevées dans les plantes contaminées par le virus. La survie a augmenté linéairement avec la teneur en azote, mais sans dépendre de la teneur en tomatine. L'influence positive pour L. decemlineata de la contamination par le virus peut être attribuée au moins en partie à la teneur en azote plus élevée. Nos résultats correspondent à l'hypothèse selon laquelle la consommation de plantes délaissées ou partiellement résistantes peut être augmentée par la contamination virale, et que cette contamination peut faciliter l'adaptation d'insectes phytophages sur des plantes marginalement consommables.
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15.
When gravid onion fly females, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae) were presented in laboratory choice test with 6-week-old plants of a susceptible cultivar and of onion breeding lines selected for resistance, mean numbers of eggs laid ranged from 34.8 to 1.6 eggs per plant. Differences in ovipositional responses were mirrored by differences in plant size. Analysis of covariance revealed no significant differences in ovipositional responses to breeding lines when differences in size were taken into account. Foliar surrogates were developed so that single size parameters could be varied while holding all other plant stimuli constant. Tests using these surrogates revealed that among plants with basal diameters of 1 to 4 mm and heights of 100 to 350 mm, diameter alone significantly influenced responses of ovipositing females. Ovipositional responses to plants beyond this size range could not be explained strictly by diameter differences. These results underscore the necessity of considering plant size as well as plant chemistry and texture in efforts to evalute and design resistant cultivars.
Résumé A la lumière d'opinions récentes concernant la découverte des plantes-hôtes par D. antiqua, nous avons examiné les conditions de la résistance chez plusieurs lignées de A. cepa les moins attaquées lors d'essais en plein champ aux Pays-Bas, et dont on considérait que la résistance était due à une antixénose.Des femelles gravides en présence, au laboratoire, d'un choix de plants de 6 semaines, pondent en moyenne 1,6 à 34,8 oeufs par plant. Les différences entre les pontes correspondent aux tailles des plants. Si l'on tient compte de ces dernières, l'analyse de covariance ne montre pas de différence significative entre les pontes sur les différentes lignées. Des substituts de feuilles ont été créés de façon à faire varier les paramètres de taille tout en maintenant constants les autres stimuli de la plante: pour des plantes, dont le diamètre à la base variait de 1 à 4 mm et la hauteur de 100 à 350 mm, seul le diamètre a significativement influé sur la ponte. Les pontes sur les plantes hors de ces dimensions n'ont pu être expliquées par les seules différences de diamètre.Comme les paysans des principales régions productrices d'oignons d'Europe et des U.S.A. font des bénéfices importants avec la culture d'oignons précoces, ces lignées, sélectionnées par mégarde pour leur développement lent, ne sont probablement pas une bonne source de résistance à la mouche de l'oignon. Cependant, ces résultats soulignent la nécessité de tenir autant compte de la taille de la plante que de son chimisme ou de sa texture lors de l'évaluation et de la création de cultivars résistants.
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The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
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17.
Des tanins condensés sont extraits et isolés à partir du tégument de Vicia faba var. Géante Portugaise. Quatre polymères sont quantifiés et identifiés à quatre fractions: A, B, C et D. Ces fractions sont incorporées, en mélange ou séparées à différentes concentrations, dans un milieu nutritif favorable au développement de Callosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae).Les composés phénoliques provoquent la mortalité d'une partie de la population et retardent le développement des survivants. La mortalité observée varie suivant les fractions, leurs doses et le stade de développement de la bruche.La barrière constituée par le tégument des fèves est bien de nature chimique et concerne les tanins condensés.Dans un système de production agricole, l'utilisation des cultivars de fèves riches en tanins faiblement condensés pourrait permettre de réduire les taux d'infestation des graines de V. faba par C. maculatus.  相似文献   

18.
During 4-day field exposure intervals, Phenacoccus herreni Cox & Williams, third-instar mealybugs on artificially infested potted cassava plants were reduced 73% from initial densities of 235.7–1100.2/infested plant to 63.7–314.2/plant due to dispersal, rain, and predation. Frequency of parasitoid attack did not differ between high and low mealybug densities. The same species of parasitoids, in approximately the same proportions, were reared from mealybugs on artificially infested potted plants as from field mealybugs (Acerophagus coccois) Smith, 88.1% and Epidinocarsis diversicornis (Howard), 11.3%. Parasitoid attack rates on artificially exposed mealybugs, when combined with a simulation model of parasitism, accurately predicted observed levels of stage-specific parasitism in the field population.
Résumé Pendant des expositions de 4 jours dans la nature de plants en pots de M. esculenta contaminés artificiellement par des P. herreni du troisième stade, les densités de cochenilles ont été réduites de 73%: de 235.7–1100.2/par plant contaminé à 63.7–314.2/par plant, par suite des évasions, de la pluie et de la prédation. Les attaques de parasitoïdes ne changent pas suivant les densités de cochenilles. Les mêmes espèces de parasitoïdes, ont été élevées dans à peu près les mêmes proportions (Acerophagus coccois, 88.1%, et Epidinocaris diversicornis, 11.3%) à partir de cochenilles sur pots artificiellement contaminés ou de manioc de la nature. Les taux d'attaques par les parasitoïdes sur les cochenilles artificiellement exposées, associés à un modèle de simulation du parasitisme, ont permis de prévoir avec précision les niveaux de parasitisme observés pour chaque stade dans la population de la nature.
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19.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

20.
Cores from sweet potato (Ipomoea batatas L.) storage roots, with either the outer periderm or inner core exposed, were presented to female sweet potato weevils, Cylas formicarius elegantulus (Summers) (Coleoptera: Curculionidae) in cage preference tests. Tests with weevils of different ages showed that feeding was constant 21 to 76 days after emergence, while oviposition showed a slight peak between 21 and 45 days. Differences in the levels of feeding and oviposition were noted for the periderms of four sweet potato cultivars, but these differences were not evident for the inner cores. Oviposition was reduced to low levels on the inner core and, therefore, the oviposition stimulant appears to reside in the root periderm. Feeding did occur on the inner cores, but at a reduced level compared to the root periderm in preference tests where both were available. Inner root cores have a potential use in the elucidation of the oviposition stimulant of the sweet potato weevil.
Résumé Des coeurs de racines tubéreuses d'I. batatas ont été proposés, soit avec leur périderme externe, soit avec la partie interne du coeur seule, à des femelles du charançon, C. formicarius elegantulus Summers, dans des cages pour expériences sur le choix. Les coeurs étaient prélevés à l'emportepièce pour liège dans des racines stockées et, après tirage au hasard, les expériences ont été distribuées dans des plaques à 24 puits pour cultures de tissus.L'alimentation des charançons de différents âges était constante du 21ème au 47ème jour après l'émergence, tandis que la ponte était maximale entre les 25ème et 45ème jours. Des différences quantitives quant à l'alimentation et à la ponte ont été observées avec les péridermes de 4 cultivars: Centennial, Jewel, Resisto et Regal; ces différences n'étaient pas nettes pour les parties profondes du coeur.La ponte était réduite à un niveau bas avec la partie interne du coeur; il semble ainsi qu'un stimulant de la ponte soit contenu dans de périderme de la racine. L'alimentation s'est effectuée sur la partie centrale du coeur, mais moins que sur le périderme, quand les deux étaient disponibles dans des expériences de choix. La ponte paraît un meilleur critère que l'alimentation, pour comparer les résistance variétales. La partie intérieure du coeur peut être utilisée pour connaître le stimulant le stimulant de la ponte de C. formicarius elegantulus.
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