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1.
The lethal and anti-allatin effects of various doses of 7-ethoxy-precocene II (PIII), topically applied to crowdedSchistocerca gregaria nymphs, 0–27 h after the previous moult, were investigated for the five nymphal instars. The LD (lethal dose) probit lines were parallel for the different instars. The ED (effective anti-allatin dose) probit lines were also parallel. But for each instar the LD and ED probit lines seemed to be convergent toward the higher doses. The LD50 and the ED50 (g PIII/g fresh weight) were not widely separated; the LD50/ED50 ratio was instar dependent and varied between 1.26 (Vth instar) and 5.35 (IIIrd instar). Thus, separation between lethal effect, anti-allatin effect and no effect was rather poor; indeed in many instances all these types of results were obtained in a group of hoppers treated with the same dose in the same instar. A low precocene susceptibility was observed for the Ist instar and for each subsequent instar the susceptibility further decreased; the LD50 and the ED50 were respectively 886 g/g and 328 g/g for the Ist instar, but increased to 14 307 g/g and 11 367 g/g for the Vth instar. The anti-allatin effect of the precocene induced various morphogenetic responses: (1) permanent adultiform in the instar next to that treated; (2) death in the moult from the next to the second consecutive instar; (3) permanent adultiform in the second consecutive instar. The occurrence and/or distribution of these responses were instar dependent and for the first three instars also limitedly dose dependent. The anti-allatin effect of the precocene applied to Vth (last) instar nymphs became overt by sterility and lack of yellow colour in the adult. An overt anti-allatin effect was always coupled with a response dependent increase of the duration of the instar treated and/or of the next instar.
Etudes quantitatives des effets létaux ou antiallates d'un précocène de synthèse sur différents stades larvaires du criquet pélerin
Résumé L'étude a porté sur les effets létaux ou antiallates de différentes doses de 7-éthoxy-précocène II (PIII), déposées de 0 à 27 heures après la mue sur la surface dorsale de l'abdomen de larves groupées de chacun des 5 stades larvaires deSchistocerca gregaria. Les courbes des doses létales (LD) ont été parallèles pour les différents stades. Les courbes pour les doses antiallates (ED) étaient elles aussi parallèles. Cependent pour chaque stade, ces deux courbes semblaient converger et même se croiser vers les doses les plus fortes. Les LD50 et ED50 (en g de PIII par gramme de poids frais) n'étaient pas nettement séparées; le rapport LD50/ED50 dépendait du stade et variait entre 1,26 (5è stade) et 5,35 (3è stade). Ainsi la distinction entre effet létal, effet antiallate et absence d'effet était plutôt faible; à la vérité, dans de nombreux cas, tous ces effets ont été obtenus dans un groupe de criquets traités avec la même dose au même stade. Une sensibilité assez faible au précocène a été observée, même au ler stade, et pendant chaque stade suivant la sensibilité ultérieure diminuait; LD50 et ED50 ont été respectivement 886 g/g et 328 g/g pour le ler stade, mais ont augmenté à 14 307 g/g et 11 367 g/g pour le 5è stade. Les effets antiallates ont induit différentes conséquences morphologiques: (1) des adultiformes permanents lors du stade suivant immédiatement le stade traité; (2) mort pendant la mue du ler ou 2nd stade suivant le traitement; (3) des adultiformes permanents dans le 2nd stade après le traitement. L'apparition et/ou la distribution de ces réponses dépendaient du stade, et pour les 3 premiers stades étaient partiellement dépendantes de la dose. L'effet antiallate du précocène au 5è stade (dernier) devenait évident avec la stérilité et la perte de la coloration jaune de l'adulte. Un effet antiallate manifeste était toujours associé à un accroissement d dépendant de la dose de la durée du stade traité et/ou du stade suivant.
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2.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

3.
Résumé Les réponses E.A.G. d'Acrolepiopsis assectella Zell., Lépidoptère Hyponomeutoïdea spécialiste des Allium, montrent une sensibilité à l'odeur de la plante-hôte larvaire A. porrum saine ou attaquée, et à ses composés volatils soufrés spécifiques, toutes odeurs actives dans l'attraction des deux sexes en olfactomètre. Le Ti-P2, le plus abondant et le plus spécifique du végétal est toujours le plus efficace. Ceci confirme le rôle prépondérant des substances allélochimiques soufrées dans la recherche de la plante-hôte. Une réactivité antennaire plus ou moins importante est également enregistrée avec l'odeur de certaines plantes non-hôtes (chou et tomate). L'antenne du lépidoptère est également très sensible à certains produits volatils du complexe odorant vert des végétaux qui sont identifiés dans l'odeur du poireau, le cis-hexen-3-ol-1 le plus actif est aussi le seul à être attractif. Le rôle biologique exact des composés verts et l'interférence de l'odeur complète de la plantehôte avec celle de plantes non-hôtes, telle que la tomate, efficace sur l'antenne et sur le comportement sont discutés.  相似文献   

4.
Résumé Nos méthodes expérimentales permettent l'isolement d'une larve de sexe déterminé par hôte de l'ectoparasite grégaire Dinarmus vagabundus et du solaitire, D. basalis. Des hôtes porteurs de 3 à 8 larves par hôte de D. vagabundus sont aussi isolés. Dans ces conditions la quantité de nourriture disponible est la même pour toutes les densités larvaires étudiées.Les larves élevées en solitaire des deux espèces assimilent une quantité de nourriture significativement supérieure à celle assimilée par les . Ceci conduit à des adultes de poids moyen supérieur à celui des . Le poids moyen des et des de D. vagabundus diminue significativement aux fortes densités larvaires. L'intensité de la liaison entre la quantité de nourriture assimilée et la biomasse produite s'affaiblit au fur et à mesure que la densité larvaire par hôte augmente.Les de D. vagabundus de poids moyen (0,42 mg) engendrent deux fois et demi plus de descendants que les lilliputiennes (0,20 mg) émergées d'hôtes à forte densité larvaire. Celles de D. basalis (0,65 g) sont moins prolifiques que les de D. vagabundus.  相似文献   

5.
The physiological factors responsible for behavioral regulation of water balance by differential feeding in Schistocerca gregaria were investigated. Locusts given the option to regulate their water intake by feeding on high-water content (wet) food or low-water content (dry) food had values for percent body water and hemolymph volumes intermediate between those for locusts given either food exclusively. Locusts given wet food only prior to no-choice tests had relatively small meals and long latencies to feed on wet food and large meals and short latencies to feed on dry food. Increasing volume by adding 75 l normal saline did not alter meal size on either food, while locusts given dry food prior to testing had the opposite behavior. Increasing hemolymph concentration led to smaller meals on both wet and dry food, but diluting the hemolymph by an equal volume of distilled water resulted in larger meals on dry food and smaller meals on wet food. Removing an equal volume of hemolymph had no effect, but combining hemolymph removal with increased osmotic pressure reduced the meal size on dry food and increased meal size on wet food.
Résumé L'étude a porté sur les bases physiologiques de la régulation comportementale de l'équilibre hydrique par alimentation différentielle chez S. gregaria. Les teneurs en eau (pourcentage du poids du corps) et les volumes d'hémolymphe des criquets ayant eu la possibilité de moduler leur apport en eau en conssommant des aliments à forte teneur en eau (frais) ou à faible teneur (secs), étaient intermédiaires entre ceux des criquets ayant l'un ou l'autre exclusivement. Les criquets, ayant uniquement des aliments frais avant des expériences sans choix, ont présenté des temps de latence prolongés et des repas relativement brefs sur aliments frais, et des temps de latence brefs et des repas abondants sur aliments secs; les résultats ont été inversés quand l'alimentation préalable était sur nourriture sèche.Ces résultats sont partiellement simulés par des altérations du volume et de la pression osmotique de l'hémolymphe. L'augmentation de la concentration de l'hémolymphe entraîne des repas moins abondants sur aliments frais et secs, vraisemblablement par suite de signaux de satiété. L'augmentation du volume en ajoutant 75 l de solution physiologique n'a pas modifié la taille du repas sur les deux types d'aliments, mais la dilution de l'hémolymphe par un volume égal d'eau distillée a induit des repas plus importants sur aliment sec, et plus petit sur aliment frais. Une augmentation de volume plus importante, de 150 l, réduisait la taille du repas sur aliment frais, mais pas sur aliment sec. Le prélèvement d'environ 75 l d'hémolymphe a été sans effet; mais, combiné avec l'augmentation de la pression osmotique, il a réduit la taille du repas sur aliment sec (comme l'augmentation de la pression osmotique seule), mais a augmenté la taille du repas sur aliment frais. Ce dernier résultat est semblable à ceux obtenus lors des études du déterminisme de l'abreuvement. La discussion porte sur la relation entre le contrôle de l'absorption de l'eau et des aliments.
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6.
Des tanins condensés sont extraits et isolés à partir du tégument de Vicia faba var. Géante Portugaise. Quatre polymères sont quantifiés et identifiés à quatre fractions: A, B, C et D. Ces fractions sont incorporées, en mélange ou séparées à différentes concentrations, dans un milieu nutritif favorable au développement de Callosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae).Les composés phénoliques provoquent la mortalité d'une partie de la population et retardent le développement des survivants. La mortalité observée varie suivant les fractions, leurs doses et le stade de développement de la bruche.La barrière constituée par le tégument des fèves est bien de nature chimique et concerne les tanins condensés.Dans un système de production agricole, l'utilisation des cultivars de fèves riches en tanins faiblement condensés pourrait permettre de réduire les taux d'infestation des graines de V. faba par C. maculatus.  相似文献   

7.
Puparium formation and adult development in Calliphora vomitoria L. (Diptera: Calliphoridae) are seriously disrupted after treating final-stage larvae with ivermectin. Fifty % of larvae treated topically with 1.01 g ivermectin 2 days before anticipated pupariation fail to form puparia, while the same response requires 2.24 g given one day before pupariation. Permanent larvae so produced remain alive for up to 2 weeks. Of the larvae that pupariate, there is disruption of adult development, leading to larval-adult intermediates. Only 0.1 g ivermectin induces such disruption in 50% of the treated larvae.The effects on puparium formation and adult development are independent. Inhibition of pupariation can be explained in terms of a disturbance of neuromuscular events leading up to pupariation. The effect on adult development is more difficult to explain. This work shows that ivermectin has great potential in clarifying the sequence of events leading up to puparation in cyclorrhaphous Diptera.
Résumé L'ivermectine est un insecticide qui a été développé dans le but d'éradiquer les parasites chez les bestiaux. Mais ce produit élimine également beaucoup d'insectes herbivores aussi bien en expériences de laboratoire qu'à l'extérieur. Cet insecticide est effectif dans les synapses entre les nerfs et les muscles, là où la substance chimique GABA est active. Cependant lorsque l'ivermectine est administrée aux larves de mouches à viande, Calliphora vomitoria L., elle produit des réactions différentes.En conditions normales, les larves, une fois qu'elles se sont nourries, errent sans but, deux ou trois jours avant de se transformer en nymphes. Si on administre une dose de 1,01 g d'ivermectine aux larves deux jours avant leur transformation anticipée, 50% d'entr'elles n'accompliront pas leur métamorphose. Elles resteront en permanence à l'état larvaire. Mais, si on leur administre une dose un jour seulement avant la transformation anticipée, il faut alors qu'elle de 2,24 g pour pouvoir empêcher la métamorphose de s'opérer. Ces doses ne tuent pas les larves. Si le traitement est donné le jour même de la transformation, celle ci s'opère alors normalement.Cependant un certain nombre de larves se métamorphosent en nymphes malgré leur traitement par ivermectine, mais beaucoup d'entr'elles n'atteindront jamais le stade adulte; elles resteront á un stade intermédiaire entre celui de nymphe et celui d'adulte. La dose nécéssaire pour empêcher le développement de l'adulte est de 0,1 g d'ivermectine. Il semble que les deux effets soient indépendants l'un de l'autre.L'effet produit par l'ivermectine sur la transformation de larve en nymphe peut s'expliquer par le fait que le traitement soit donné avant la métamorphose, affectant le comportement normal par une perte de mobilité mais non de paralysie. Par contre, l'effet sur le développement des adultes est plus difficile à expliquer. Néanmoins, l'ivermectine pourrait être employée très utilement dans les travaux de recherches sur la métamorphose des diptères.
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8.
Several commercially available mitosis inhibitors have been studied for their effects on an Acer pseudoplatanus cell suspension culture; these were colchicine, N-(1,1-dimethylpropynyl)3-chlorobenzamide, propyzamide and trifluralin. The last two compounds are known as preemergence herbicides. In the studied cultures, the concentrations necessary to arrest mitosis were between 50 and 100 M for colchicine, and between 10 and 100 M for propyzamide, N-(1,1-dimethylpropynyl)3-chlorobenzamide and trifluralin. However, protein synthesis, plastid and mitochondria division and dry weight increase occurred in the treated cells, leading to the formation of giant cells. These results suggest that mitosis inhibition is the fundamental effect of these compounds at the concentrations studied. At these concentrations, metabolic activities seem unaffected, in contrast with what was found previously in the case of chlorpropham. This phenylcarbamate inhibited mitosis in the same cells at 100 M, but also prevented protein synthesis and weight increase, probably as a result of its uncoupling properties.The effect of another compound, glyphosate, on Acer cell suspension cultures, was studied concurrently. At concentrations between 10 and 100 M, it only slightly decreased protein formation in the culture, and was unable to prevent mitosis from occurring.The formation of giant cells in Acer cell suspension cultures seems to be a good criterion to demonstrate that selective mitosis inhibition has taken place. This criterion might be used in the case of mitosis inhibitors acting on the G 2-phase.
Résumé Les effets de divers inhibiteurs de la division cellulaire ont été étudiés sur des suspensions cellulaires d' Acer pseudoplatanus. Ces produits sont la colchicine, le N-(1,1-diméthylpropynyl)3-chlorobenzamide, le propyzamide et la trifluraline. Les 2 derniers composés sont des herbicides de pré-levée. Les concentrations nécessaires pour bloquer la mitose dans les suspensions cellulaires se situent de 50 à 100 M pour la colchicine et de 10 à 100 M pour les 3 autres composés.Dans les cellules traitées la synthèse protéique, la multiplication des plastes et des mitochondries et l'augmentation de masse sèche ont lieu, entraînant la formation de cellules géantes. Ces résultats suggèrent que, aux concentrations étudiées, le blocage de la mitose est l'effet primaire de ces produits; les activités métaboliques des cellules, à ces concentrations, ne semble pas affecté contrairement à ce que l'on a observé précédemment avec le chlorprophame. Ce phénylcarbamate, en effet, inhibe la mitose des cellules d'Acer á 100 M mais aussi, et probablement du fait de ses propriétés découplantes, empêche la synthèse protéique et l'augmentation de masse sèche. Le glyphosate étudié parallèlement est incapable de bloquer la mitose entre 10 et 100 M; il freine légèrement la synthèse protéique.L'obtention de cellules géantes dans les suspensions cellulaires d'Acer pseudoplatanus semble un bon test pour mettre en évidence une inhibition sélective de la mitose. Ce critère pourrait être utilisé pour les composés antimitotiques agissant sur la phase G 2.
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9.
A method for injection of substances into the intestinal lumen via the anal pore is described for fourth instar larvae of Aedes aegypti. Both oral and anal injections were possible with fourth instar larvae of Toxorhynchites amboinensis.
Résumé On a pu introduire à partir du pore anal des échantillons liquides d'environ 1/3 l dans la lumière intestinale de larves du 4e stade d'Aedes aegypti. Un colorant injecté s'est réparti dans l'intestin postérieur et l'intestin moyen.11 l de solution ont pu être injectés oralement ou analement dans des larves de 4e stade de Toxorhynchites amboinensis. Les mortalités moyennes ont été de 20% (0 à 30%) pour des larves de A. eegypti et de 4% (0 à 10%) pour les larves de T. amboinensis. Nous avons évalué l'interêt de cette technique pour l'étude de l'action directe de toxines et d'autres substances sur les cellules intestinales. Nous avons souligné les possiblités de prélèvement local et de mesures physiologiques (pH, potentiel électrique transépithélial).
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10.
Growth, heterocyst frequency and nitrogenase-catalysed hydrogen evolution, but not nitrogenase activity, hydrogen uptake and photosynthetic O2 evolution activities of the cyanobacteriumNostoc linckia, were significantly affected by shikimic acid (up to 10 g/ml). Exposure ofN. linckia to shikimic acid at 50 g/ml for 24 h caused fragmentation of filaments into 10- to 15-celled trichomes.
Résumé L'acide shikimique (jusqu'à 10 g/ml) anecte de manière significative la croissance, la fréquence des hétérocystes, l'emission d'hydrogène catalysée par la nitrogénase, et de manière non significative l'activité de la nitrogénase, le prélèvement d'hydrogène et la génération photosynthetique d'O2 de la cyanobactérieNostoc linckia. L'exposition deN. linckia à l'acide sinkinique à 50 g/ml pendant 24h a causé la fragmentation des filaments en trichomes de 10 à 15 cellules.
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11.
Sommaire Dans les lésions pneumocomotiques ou tuberculeuses, chez l'homme ou l'animal d'expérience, on peut rencontrer des cellules du type macrophage ou éputhélioïdes présentant un nombre variable de voiles protoplasmiques réguliers minces de 0,05 à 0,1, long de 1 à 2 et toujours séparés entre eux par des espaces réguliers très minces. Ces voiles sont intriqués étroitement avec ceux de cellules voisines. Ces dispositifs peuvent conduire finalement à la fusion de cellules en éléments à noyaux multiples.  相似文献   

12.
A total of 548 spiders (Gnaphosidae, Clubionidae, Thomisidae, Philodromidae, Salticidae, Lycosidae, Pisauridae, Linyphiidae) from three sand dune grassland sites were tested serologically for feeding on the grasshoppers, Chorthippus brunneus (Thunberg) and Myrmeleotettix maculatus (Thunberg). Lycosidae were the most commonly tested species and gave the greatest proportion of positive tests. Laboratory observations suggest that predation in the field was predominantly on first instar grasshoppers.
Résumé Afin d'améliorer la connaissance de l'importance des prédateurs dans la biologie des populations de criquets (Orthoptères; Acrididae), les araignées de trois pelouses sur dunes de sable ont été examinées sérologiquement pour estimer leur consommation des populations sympatriques de Chorthippus brunneus Thunberg et Myrmeleotettix maculatus Thunberg. Au total, 548 araignées (Gnaphosidae, Clubionidae, Thomisidae, Philodromidae, Salticidae, Lycosidae, Pisauridae, Linyphiidae) ont été récoltées à la main ou par piège pendant la période d'éclosion des ufs de criquets. Les Lycosidae ont été le plus fréquemment observées (90,5% de toutes les récoltes) et ont donné la plus forte proportion d'individus positifs (jusqu'à 32,3%). Les expériences d'alimentation en laboratoire suggèrent que, dans la nature, les Lycosidae sont les plus actives contre les criquets du premier stade.
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13.
Résumé La métamorphose des insectes est régie par un équilibre hormonal complexe dans lequel l'hormone juvénile (HJ) joue un rôle important. Au dernier stade larvaire, la teneur en HJ est particulièrement faible dans le corps de l'insecte. Si un régulateur de croissance d'insectes (RCI)-un mimétique de l'HJ-est appliqué à ce moment-là, la mue nymphale est pertubée provoquant des déformations morphogénétiques caractéristiques. La teneur en HJ est également très faible dans les ufs fraîchement pondus. Les traitements aux RCI peuvent par conséquent perturber le développement embryonnaire de certaines espèces et produire ainsi un effet ovicide. Depuis quelques années deux RCI-le fenoxycarb et le CGA 45 128-ont été testés pour leur activité morphogénétique sur le dernier stade larvaire de quelques ravageurs tels qu'Adoxophyes orana F.v.R., ainsi que pour leur activité ovicide sur les ufs frais de Cydia pomonella L. et Grapholita funebrana Tr. Après quelques années d'expérimentation et de commercialisation des RCI dans les vergers européens, il s'avère que l'utilisation de ces produits peu toxiques, sélectifs et peu nocifs pour la faune utile, constitue une amélioration considérable pour l'aménagement de la lutte intégrée.
Insect growth regulators (IGR), mimics of juvenile hormone, as morphological and ovicidal means of control against orchard tortricids
Summary Metamorphosis is regulated by a complex hormonal balance in which juvenile hormone (JH) plays an important part. At the last larval instar the content of JH is particularly low in the insect body. If an insect growth regulator (IGR) — a mimic of JH-is applied at this time, the pupal moult may be disturbed with the characteristic morphogenetical deformations. The JH content is also very low in freshly laid eggs. Therefore IGR treatments may disturb the embryonic development of some species and produce an ovicidal activity. During a few years two IGR-fenoxycarb and CGA 45128-were evaluated for their morphogenetical effect on the last larval instar of Adoxophyes orana F.v.R. and their ovicidal effect on freshly laid eggs of Cydia pomonella L. and Grapholita funebrana Tr. After a few years of experimentation with both compounds and of commercialisation of fenoxycarb in European orchards, IGR confirmed to present a considerable improvement in integrated pest management due to selectivity, and low mammal toxicity.
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14.
Summary The ultrastructural and chemical differences between mature enameloid and dentine in the teleost fish Lophius were demonstrated using transmission (TEM) and scanning (SEM) electron microscopy, X-ray diffraction analysis, electron diffraction analysis and electron microprobe analysis. An enameloid cap (about 50 m thick) and a thin layer (1 m thick) of collar enameloid were revealed in the scanning (SEM) and transmission (TEM) electron microscopes. Collar enameloid, structurally different from dentine both in SEM and TEM, proved to be less mineralized than the cap as revealed by electron microprobe analysis. The enameloid cap was seen to differ from dentine by (i) its electron density in TEM; (ii) the structural arrangement perpendicular to the underlying dentine, observed in SEM and TEM and corroborated by electron diffraction data, which showed a preferred orientation of enameloid crystallites; (iii) its higher F content decreasing gradually from the apex of the tooth to the junction with dentine and falling suddenly below this junction; and (iv) its lower Mg content. Establishment of a classification of enameloids is proposed, similar to that for dentines, in which selachian enameloid would be a reference standard.
Résumé La microscopie électronique à transmission, la microscopie électronique à balayage, la diffraction X, la diffraction électronique et l'analyse par microsonde ont prouvé l'existence d'un émailoïde, ultrastructuralement et chimiquement différent de la dentine, chez la baudroie. La microscopie électronique à balayage et la microscopie électronique à transmission ont mis en évidence un chapeau d'émailoïde, d'environ 50 m d'épaisseur, et une couche fine (1 m) d'émailoïde du collet. L'émailoïde du collet, dont l'ultrastructure différente de celle de la dentine a été mise en évidence en microscopie électronique à transmission et en microscopie électronique à balayage, apparaît, après analyse par microsonde, moins minéralisé que le chapeau. Le chapeau d'émailoïde diffère de la dentine par (i) sa densité aux électrons en microscopie électronique à transmission; (ii) sa structure perpendiculaire à celle de la dentine sous-jacente, visible en microscopie électronique à transmission et en microscopie électronique à balayage et confirmée par la diffraction électronique, qui montre une orientation préférentielle des cristaux; (iii) son contenu en fluor plus élevé, qui diminue progressivement de l'apex à la jonction avec la dentine et chute brutalement au-dessous de cette jonction; (iv) sa teneur plus basse en magnésium. Les auteurs proposent que soit établie une classification des émailoïdes analogue à celle des dentines et dans laquelle l'émailoïde de Sélaciens constituerait un standard de référence.
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15.
Larvae of Heliothis zea (Boddie) were fed foliage of the resistant wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) and susceptible L. esculentum (cultivar Walter), either with the glandular trichomes removed or with the trichomes intact. Response variables measured included larval mortality, larval weight, consumption rate (CR), and efficiency of conversion of ingested material (ECI). Resistant foliage was found to contain factors in both the trichomes and leaf lamellae which increased larval mortality, reduced larval weight, reduced CR, and, except in second instars, reduced ECI. Susceptible foliage also contained trichome-based factors which increased larval mortality and decreased weight, as well as CR of second instars and ECI of fifth instars. Implications of these findings for breeding resistant tomato cultivars are discussed.
Résumé La tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) est fortement résistant à Heliothis zea. Les études préalables ont indiqués que la résistance est associée avec la présence de 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires de la tomate sauvage, et que les facteurs dans la lamelle des feuilles sont peut-être impliqués. À déterminer la présence des facteurs lamellaires et à caractériser de plus les facteurs de résistance dans les extrémités des poils glandulaires aussi, nous nourrissions les larves du feuillage résistant de PI 134417 et du feuillage susceptible L. esculentum (lignée Walter) les deux avec les extrémités des poils glandulaires enlèvés ou avec les extrémités des poils glandulaires intacts. Nous mesurions la mortalité des larves, les poids des larves, la taux de consommation relative et l'efficacité de conversion de matière mangé.On se trouvait le feuillage résistant à contenir les facteurs, tous deux dans le feuillage lamellaire et dans les extrémités des poils glandulaires, qui causaient l'augmentation de mortalité, les poids plus basses, la taux de consommation relative plus basse, et, hormis dans le cas des larves en phase deuxième, l'efficacité de conversion réduite. Le feuillage susceptible contenait aussi les facteurs dans les extrémités des poils glandulaires qui augmentaient la mortalité, diminuaient les poids et la taux de consommation relative des larves en phase deuxième, et diminuaient l'efficacité de conversion des larves en phase cinquième. Cettes conclusions indiquent la présence des facteurs de résistance en outre de 2-tridécanone et peuvent fournir les indices à l'identité de ces facteurs.
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16.
Resume 14 activités enzymatiques (3 deshydrogénases et 11 hydrolases) ont été recherchées systématiquement sur les électrophorégrammes en gel d'agar des extraits de 2 souches de Aspergillus fischeri et de 14 souches de A. fumigatus (8 isolées de lésions humaines ou animales intitulées souches pathogènes, et 6 souches d'origine saprophytique). La composition enzymatique de A. fumigatus est apparue très polymorphe et sans rapport avec l'origine des souches.D'autre part, l'analyse immunoélectrophorétique de ces extraits antigéniques, par des sérums de lapins hyperimmuns et des sérums de malades atteints d'aspergillose, a montré que l'activité chymotrypsique de type II, supportée par l'arc C, est caractérisée de manière plus fréquente et plus intense lorsque les antigènes provenant de souches pathogènes sont opposés à des sérums de malade.De plus, si cette activité chymotrypsique est révélée avec la même fréquence par une souche saprophyte et une souche pathogène, le nombre de précipitines mises en évidence est apparu significativement plus élevé avec cette dernière.Les antigènes utilisés pour le diagnostic de précipitation en gel devraient donc être, de préférence, extraits de souches pathogènes et leur qualité évaluée par des sérums de malades atteints d'aspergillose.  相似文献   

17.
To evaluate its uptake, metabolism, and excretion, we studied the fate of tritiated 22,23-dihydroazadirachtin, when injected either orally or directly into the hemocoel of last instar larvae of Heliothis virescens (Fabr.). An oral injection of 1.0 g of tritiated 22,23-dihydroazadirachtin, the minimum oral dose necessary to disrupt pupation, was rapidly absorbed through the midgut such that >50% of the radioactivity was detected in the body 1 h post injection. Excretion of radioactivity following an oral injection was slow; 24 to 72 h elapsed before approximately 50% of the radioactivity was detected in the feces. In contrast, excretion of radioactivity following a hemocoel injection of 0.3 g of tritiated 22,23-dihydroazadirachtin, the minimum hemocoel dose necessary to disrupt pupation, was rapid; almost 50% of the radioactivity was detected in the feces only 1 h post injection. Tritiated 22,23-dihydroazadirachtin was metabolized to a more polar compound(s) by H. virescens larvae, as indicated by thin layer chromatography. Metabolism to a more polar form(s) occurred probably following absorption through the midgut, since hemocoel-injected larvae exhibited a more rapid rate of conversion than oral-injected larvae. Even though metabolism to a more polar form(s) should enhance its excretion, approximately 25% of the radioactivity remained in the body 72 h following either oral or hemocoel injection, and this was sufficient to disrupt pupation.
Résumé L'étude a été réalisée avec de la 22,23-dihydroazadirachtine tritiée injectée soit oralement, soit directement dans l'hémocoele des chenilles de H. virescens Fabr. du dernier stade. La dose orale minimale de 1,0 g, nécessaire pour perturber la nymphose, a été rapidement absorbée à travers l'intestin moyen, d'une façon telle que plus de 50% de la radioactivité a été retrouvée dans le corps une heure après l'injection. L'excrétion de la radioactivité à la suite d'une injection orale a été lente; 24 à 72 heures se sont écoulées avant que 50% de la radioactivité ait été décelée dans les excréments. A l'opposé, l'excrétion de la radio-activité à la suite d'une injection hémocoelique de 0,3 g, — dose hémocoelique minimale pour perturber la nymphose-, a été rapide; presque 50% de la radioactivité a été décelée dans les excréments au bout d'une heure seulement après l'injection. La chromatographie en couche mince a montré que la 22,23-dihydroazadirachtin a été métabolisée en substance(s) plus polaire(s) par les chenilles de H. virencens. La métabolisation en forme(s) plus polaire(s) se produit vraisemblablement après l'absorption à travers l'intestin moyen, puisque les chenilles injectées directement dans l'hémocoele ont présenté un taux de conversion plus rapide que les chenilles injectées oralement. Bien que la métabolisation sous une (des) forme(s) plus polaire(s) ait augmenté l'excrétion, approximativement 25% de la radioactivité subsistait dans le corps 72 heures après une injection orale ou hémocoelique, ce qui est suffisant pour perturber la nymphose.
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18.
Plant chemicals in three cruciferous crop species, Brassica napus L., B. juncea (L.) Czerniak, and Sinapis alba L., that stimulate oviposition in the diamondback moth, Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera: Plutellidae) were investigated in laboratory bioassays. Aerial portions of 4- to 6-week-old plants were extracted and fractionated using ion-exchange liquid chromatography. The oviposition stimulants were identified as glucosinolates, which are found in all Brassicaceae species. Activity of extracts was largely eliminated by treatment with myrosinase or sulphatase, enzymes which degrade glucosinolates. Reference standards of the same glucosinolates and in the same concentrations as in the extracts were equally stimulatory. A test with eight different glucosinolates demonstrated that the moths do not discriminate between glucosinolates with different side-chain structures. However, in tests using allylglucosinolate the oviposition response was dose-dependent. One of the species tested, S. alba, contained a possible oviposition deterrent.
Résumé Les produits chimiques trouvés dans trois espèces de crucifères cultivées, Brassica napus L., B. juncea (L.) Czerniak, et Sinapis alba L., qui stimulent l'oviposition chez la teigne des crucifères, Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera: Plutellidae) ont été examinés. La partie aérienne des plants agés de 4 à 6 semaines a été extraite avec le methanol bouillant à 80%, le methanol pur, et l'éther. La concentration par filtration sur célite a donné comme resultat un extrait aqueux. Le materiel restant sur la célite a été dissout avec hexane pour donner un extrait lipophillique. L'extrait aqueux a été fractionné à l'aide de la chromatographie liquide sur échangeur d'ion pour donner trois fractions: neutre, cationique, et anionique. Les extraits et les fractions ont été ajustés à 1 g poids frais de tissu de plant par ml, appliqués sur du papier filtre, et exposés aux papillons femelles dans les essais de choix d'oviposition. L'oviposition a été stimulée fortement en présence de l'extrait aqueux, la fraction anionique, et quelque sous-fractions anioniques. Plus tard, il a été déterminé que ces derniers contenaient des glucosinolates.Chez les trois espèces de crucifères, les stimulants d'oviposition ont été identifiés comme étant des glucosinolates, que l'on retrouve dans toutes les espèces de crucifères. L'activité des extraits a été éliminée en grande partie par traitement avec myrosinase ou sulphatase, des enzymes qui dégradent spécifiquement les glucosinolates. Des standards de references des mêmes glucosinolates et aux même concentrations que dans les extraits ont eu également un effet stimulant. Un essai avec huit glucosinolates differentes à une concentration de 50 g/ml appliquées sur du papier filter à 3.2 g/cm2 a démontré que les papillons ne discriminent pas entre les glucosinolates possédant des chaines secondaires differentes. Par contre, dans les essais utilisant l'allylglucosinolate, la réponse d'oviposition a été dépendente de la dose. S. alba a semblé contenir un inhibiteur de l'oviposition, qui est retrouvé dans l'extrait aqueux mais non pas dans la fraction anionique.
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19.
Résumé Les modalités morphologiques et chronologiques de la formation des corps jaunes ont été étudiées dans les conditions de la ponte provoquée chez la ratte.Des rattes Wistar offrant des cycles de 4 jours et préparées au début du cycle par une dose non lutéinisante d'oestradiol ont été soumises le 2ème jour de ce cycle à un stimulus copulatoire de 8 coïts.Ce stimulus suscite la formation de deux types de corps jaunes: les uns sont des corps jaunes postovulatoires édifiés aux dépens de follicules rompus; les autres sont des corps jaunes à ovule inclus formés aux dépens de follicules non encore aptes à se rompre mais déjà aptes à se lutéiniser.Ces corps jaunes se forment progressivement de la 11ème à la 24ème heure après le rapprochement sexuel. Un petit nombre d'entre eux sont déjà repérables dans les ovaires de rattes sacrifiées 11 heures après le coït. Leur nombre s'accroît au cours des 13 heures suivantes aux dépens de follicules prélutéiniques que l'on observe dans les ovaires des rattes sacrifiées 11 heures après le coït.
Summary Morphological and chronological modalities of the formation of corpora lutea were studied in the conditions of evoked ovulation in the rat. 4-day cyclic female rats of the Wistar strain received at the beginning of the cycle a non luteinizing dose of oestradiol. They mated on the afternoon of the 2th day under visual control and mating was limited to 8 acts of coïtus. Two types of corpora lutea elicited by coïtus were observed i. e. postovulatory corpora lutea and corpora lutea with included ovocytes. Their formation proceed from about the 11th to the 24th hour after coïtus. A few number of these corpora lutea were already visible on the 11th hour post coïtum. Their number progressively increased during the following hours from preluteinic follicles which appeared in great number in the ovaries of animals sacrificed on the 11th hour after coïtus.
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20.
Résumé G. mellonella infestée au dernier stade larvaire avec 1, 2, 3 ou 5 planidia/hôte (ph/H) produit 1 à 5 pupes/hôte (pu/H). La mortalité des chenilles augmente avec le nombre de pl/H. Le poids des pupes et décroît avec un nombre croissant de pu/H (18,2 à 12,9 mg pour les et 12,5 à 9,7 mg pour les ). Le développement larvaire dure 8,7 j. chez les et 8,3 chez les ; il est peu affecté par le superparasitisme. Avec 1, 2, 3 et 5 pl/H nous obtenons 0,84–1,61–2,17 et 3,43 pu/H et 0,81–1,48–2,10 et 3,11 imagos/H. L'optimum est de 3 pl/H ou 1 à 2=pl/H pour obtenir des parasitoïdes plus lourds.
Summary The influence of superparasitism on larval and pupal development is investigated. Last-larval instar G. mellonella (200±5 mg) were infected with 1, 2, 3 or 5 planidia/host (pl/H) producing 1 to 5 pupae per host (pu/H). Host mortality (8.6–8.3–14.3 and 22.2%) increased with the number of planidia. The planidia may transmit a bacteriosis. Pupal weight ( and ) decreased as number of pu/H increased. pupae were heavier than ones: 12.9 to 18.2 mg for against 9.7 to 12.5 mg for . Larval development lasted slightly longer for (8.7 d.) than for (8.3 d.), and its duration was little affected by superparasitism. 1, 2, 3 or 5 pl/H yielded 0.84–1.61–2.17 and 3.43 pu/H and 0.81–1.48–2.10 and 3.11 adults/H. An optimum was obtained with 3 planidia of L. diatraeae on G. mellonella or 1 to 2 to obtain heavier parasitoids.
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