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1.
Growth, heterocyst frequency and nitrogenase-catalysed hydrogen evolution, but not nitrogenase activity, hydrogen uptake and photosynthetic O2 evolution activities of the cyanobacteriumNostoc linckia, were significantly affected by shikimic acid (up to 10 g/ml). Exposure ofN. linckia to shikimic acid at 50 g/ml for 24 h caused fragmentation of filaments into 10- to 15-celled trichomes.
Résumé L'acide shikimique (jusqu'à 10 g/ml) anecte de manière significative la croissance, la fréquence des hétérocystes, l'emission d'hydrogène catalysée par la nitrogénase, et de manière non significative l'activité de la nitrogénase, le prélèvement d'hydrogène et la génération photosynthetique d'O2 de la cyanobactérieNostoc linckia. L'exposition deN. linckia à l'acide sinkinique à 50 g/ml pendant 24h a causé la fragmentation des filaments en trichomes de 10 à 15 cellules.
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2.
The physiological factors responsible for behavioral regulation of water balance by differential feeding in Schistocerca gregaria were investigated. Locusts given the option to regulate their water intake by feeding on high-water content (wet) food or low-water content (dry) food had values for percent body water and hemolymph volumes intermediate between those for locusts given either food exclusively. Locusts given wet food only prior to no-choice tests had relatively small meals and long latencies to feed on wet food and large meals and short latencies to feed on dry food. Increasing volume by adding 75 l normal saline did not alter meal size on either food, while locusts given dry food prior to testing had the opposite behavior. Increasing hemolymph concentration led to smaller meals on both wet and dry food, but diluting the hemolymph by an equal volume of distilled water resulted in larger meals on dry food and smaller meals on wet food. Removing an equal volume of hemolymph had no effect, but combining hemolymph removal with increased osmotic pressure reduced the meal size on dry food and increased meal size on wet food.
Résumé L'étude a porté sur les bases physiologiques de la régulation comportementale de l'équilibre hydrique par alimentation différentielle chez S. gregaria. Les teneurs en eau (pourcentage du poids du corps) et les volumes d'hémolymphe des criquets ayant eu la possibilité de moduler leur apport en eau en conssommant des aliments à forte teneur en eau (frais) ou à faible teneur (secs), étaient intermédiaires entre ceux des criquets ayant l'un ou l'autre exclusivement. Les criquets, ayant uniquement des aliments frais avant des expériences sans choix, ont présenté des temps de latence prolongés et des repas relativement brefs sur aliments frais, et des temps de latence brefs et des repas abondants sur aliments secs; les résultats ont été inversés quand l'alimentation préalable était sur nourriture sèche.Ces résultats sont partiellement simulés par des altérations du volume et de la pression osmotique de l'hémolymphe. L'augmentation de la concentration de l'hémolymphe entraîne des repas moins abondants sur aliments frais et secs, vraisemblablement par suite de signaux de satiété. L'augmentation du volume en ajoutant 75 l de solution physiologique n'a pas modifié la taille du repas sur les deux types d'aliments, mais la dilution de l'hémolymphe par un volume égal d'eau distillée a induit des repas plus importants sur aliment sec, et plus petit sur aliment frais. Une augmentation de volume plus importante, de 150 l, réduisait la taille du repas sur aliment frais, mais pas sur aliment sec. Le prélèvement d'environ 75 l d'hémolymphe a été sans effet; mais, combiné avec l'augmentation de la pression osmotique, il a réduit la taille du repas sur aliment sec (comme l'augmentation de la pression osmotique seule), mais a augmenté la taille du repas sur aliment frais. Ce dernier résultat est semblable à ceux obtenus lors des études du déterminisme de l'abreuvement. La discussion porte sur la relation entre le contrôle de l'absorption de l'eau et des aliments.
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3.
Résumé Le volume moyen des noyaux dans l'uf deScapsipedus marginatus passe de 3101 3 au stade 4 de la segmentation, à 40,71 3 dans l'embryon à l'éclosion, avec une diminution constante tout au long de l'embryogenèse.Le volume nucléaire des neuroblastes se caractérise par sa constance. Les pleuropodes présentent un accroissement de 190 à 561 3, puis une diminution brutale peu avant l'éclosion.Les noyaux de l'amnios dérivent des noyaux de la périphérie de l'écusson embryonnaire. Après une légère augmentation au cours de l'anatrepsis, leur volume diminue jusqu'à la disparition de cette annexe.La séreuse se caractérise par un fort accroissement du volume nucléaire au cours des trois premiers jours d'incubation, puis une diminution rapide pendant sa disparition.Les vitellophages subissent un important accroissement de leur volume nucléaire qui demeure considérable en fin de vie embryonnaire.L'évaluation de la teneur en ADN des différents noyaux au stade 96 heures montre que ceux qui accroissent leur volume sont polyploïdes. L'amnios demeure diploïde ainsi que les neuroblastes.Le rapport établi entre accroissement nucléaire, polyploïdie et activité physiologique montre que l'amnios ne semble pas être le siège d'une activité sécrétrice.L'estimation de la teneur en ADN des noyaux deGryllus domesticus et deLocusta migratoria au même stade de développement donne des résultats analogues. Alors que les degrés de ploïdie trouvés chezGryllus sont les mêmes que chezScapsipedus, ceux deLocusta sont plus importants. Les vitellophages dépassent 128 C.
Volume variations and DNA content of the nuclei ofScapsipedus marginatus Afz. and Br. (Orthoptera, Gryllidae) during embryogenesis
Summary The average volume of the nuclei in the egg ofScapsipedus marginatus varies from 3101 3 at the tetra-nucleate cleavage stage, to 40,7 3 in the hatching embryo, with a constant decrease throughout development. The nuclear volume of neuroblasts remains constant; in the pleuropodia, it increases from 190 to 561 3 and decreases rapidly before hatching.The nuclei of the amnion derive from peripheral nuclei of the germ disk. After a small increase during anatrepsis, their volume decreases until the degeneration of this membrane.The serosa shows a great nuclear volume increase during the first three days of incubation, then a rapid decrease during its disappearance. Yolk cells present an important increase of their nuclear volume which remains high.Estimation of DNA content of the different nuclei at about the 96 hour stage, shows that those whose volume increases are polyploid. Amnion nuclei remain diploid together with neuroblasts. The relation between nuclear increase, polyploidy and physiological functions shows that the amnion is not involved in a particular secretory activity.Estimation of DNA content of the nuclei ofGryllus domesticus andLocusta migratoria at the same developmental stage give comparable results. The degrees of polyploidy found inGryllus are the same as inScapsipedus. InLocusta they are higher, yolk cells attaining values up to 128 C.
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4.
A method for injection of substances into the intestinal lumen via the anal pore is described for fourth instar larvae of Aedes aegypti. Both oral and anal injections were possible with fourth instar larvae of Toxorhynchites amboinensis.
Résumé On a pu introduire à partir du pore anal des échantillons liquides d'environ 1/3 l dans la lumière intestinale de larves du 4e stade d'Aedes aegypti. Un colorant injecté s'est réparti dans l'intestin postérieur et l'intestin moyen.11 l de solution ont pu être injectés oralement ou analement dans des larves de 4e stade de Toxorhynchites amboinensis. Les mortalités moyennes ont été de 20% (0 à 30%) pour des larves de A. eegypti et de 4% (0 à 10%) pour les larves de T. amboinensis. Nous avons évalué l'interêt de cette technique pour l'étude de l'action directe de toxines et d'autres substances sur les cellules intestinales. Nous avons souligné les possiblités de prélèvement local et de mesures physiologiques (pH, potentiel électrique transépithélial).
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5.
Summary 1. Marine sandy beaches allow interesting basic studies on animal distribution and other marine ecological aspects.2. The field distributions observed should be accompanied by laboratory experiments in order to establish the specific effects of the different environmental factors. The use of tolerance and preference experiments as simple and highly successful tools is discussed.3. The distribution of the copepodParastenocaris vicesima Klie in a sandy beach on Askö (Baltic Sea) has been investigated and tested in laboratory experiments. Measurements of salinity, temperature, water content, oxygen availability, grain size and organic matter in four successive beach stations are presented.4.P. vicesima was absent in the two most seaward stations and the vertical distribution in the two inner stations seemed rather irregular.5. Tolerance experiments with 8 different salinity concentrations showed the greatest survival in 10 to 0.1 S. Preference experiments revealed a preference zone at 2.5 to 0.16. Tolerance to high temperature was tested at 30° C in 5 different salinities. The survival was best in 5 to 0.57. A simple apparatus for testing the responses of small animals to low oxygen availabilities was constructed. A lower tolerance limit in habitat water of 15° C was located around 1×10–7 gO2 cm–2min–1.8. In preference experiments with different grain sizes,P. vicesima preferred sand with a medium grain size of 250µ.9. The results of our laboratory experiments could be used to explain the field distributions ofP. vicesima observed. The lack of animals in the outer station was caused by the salinity factor. The vertical distribution in the inner stations was a result of the combined effects of (a) detritus concentration, (b) oxygen availability and (c) great percentages of fine sand, which attracted the animals in several layers.10. The necessity of knowing the local weather conditions which were effective during the period previous to the field investigations is stressed.
L'importance d'experiments de tolerance et de préférence pour la compréhension de la distribution de mesopsammon dans la nature
Extrait La plage marine est un endroit propice aux études des problèmes fondamentaux de l'écologie marine. Des échantillons quantitatifs permettent d'étudier la distribution des animaux dans le réseau des gradients verticaux et horizontaux. Les causes de la distribution relevée doivent être élucidées par des expériences faites au laboratoire. Il est surtout indiqué de procéder à des expériences de tolérance et de préférence. Ces méthodes ont été appliquées à étude écologique du Copépode HarpacticideParastenocaris vicesima qui colonise une plage de la Baltique. Les concentrations les plus importantes de cet organisme furent relevées entre 2 et 3,5 m du bord de la mer dans une salinité de 0,7 à 0,2 et la distribution verticale était très irrégulière. Les facteurs notés constitutifs du milieu sont: salinité, température, teneur en eau, accessibilité d'oxygène, granulométrie et teneur en matière organique. En plus de l'espèce étudiée il y avait une faune très riche dont les groupes dominants étaient: Oligochètes, Nématodes, Turbellariés. Au cours des expériences faites au laboratoire les organismes ont montré une grande résistance à des salinités basses et ils ont préféré une salinité de 2,5 à 0,5 S. A une température de 30° C et dans des salinités de 5 et de 0,5 respectivement, 50% des animaux ont subsisté pendant 4 à 5 jours. Quant à l'accessibilité d'oxygène la limite inférieure était à 1×10–7 gO2 cm–2min–1 et aucun individu n'a été récolté dans les couches de sable ayant une accessibilité inférieure à 1,9×10–7 gO2 cm–2min–1.P. vicesima a préféré au laboratoire le sable ayant des grains d'un diamètre de 250–125 microns et n'a été relevé que dans les horizons caractérisés par ce type de sable. On peut s'attendre à trouver une pareille corrélation entre la distribution de la faune interstitielle et l'incidence des facteurs écologiques, mais seulement après des délais ayant permis aux animaux de rechercher leurs microhabitats normaux.
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6.
Sommaire Dans les lésions pneumocomotiques ou tuberculeuses, chez l'homme ou l'animal d'expérience, on peut rencontrer des cellules du type macrophage ou éputhélioïdes présentant un nombre variable de voiles protoplasmiques réguliers minces de 0,05 à 0,1, long de 1 à 2 et toujours séparés entre eux par des espaces réguliers très minces. Ces voiles sont intriqués étroitement avec ceux de cellules voisines. Ces dispositifs peuvent conduire finalement à la fusion de cellules en éléments à noyaux multiples.  相似文献   

7.
Résumé L'utilisation de l'actinomycine D, au cours de la régénération de Planaires à l'éclosion ou de celle d'adultes, montre que ces deux groupes d'animaux réagissent différemment à l'antibiotique.La régénération se produit en présence de l'antibiotique chez les jeunes Planaires, alors que, pour la même concentration (50 g/cm3), elle est totalement bloquée chez les adultes. Elle débute dès la décapitation des animaux; le retour dans l'eau, après un traitement par l'antibiotique qui va de 1 à 4 jours, ne modifie pas son déroulement morphologique.L'examen ultrastructural montre que les cellules différenciées présentent le plus souvent des dissociations nucléolaires importantes.Les lésions s'étendent progressivement à toute la cellule qui dégénère fréquemment. Les cellules morphologiquement indifférenciées ne sont que faiblement altérées (raréfaction du composant granulaire du nucléole), et récupèrent une structure normale après retour dans l'eau.Ces résultats conduisent à envisager l'étude des synthèses d'ARN, au cours de ces expériences, au niveau des organismes entiers et au niveau cellulaire.
On the action of actinomycin D on the cellular differentiation during the regeneration in PlanariansI. Morphological, histological and ultrastructural studies on the regeneration capacity in presence of the antibiotic
Summary The utilization of actinomycin D during the regeneration of young and adult Planarians shows that the two groups of animals react differently to the antibiotic.Regeneration takes place in the presence of the antibiotic in young Planarians, whereas it is entirely inhibited in adult ones, applying the same concentration (50 g/cm3). In the young animals it begins immediately after decapitation. Their return into the water, after a treatment with the antibiotic lasting from 1 to 4 days, does not interfere with the morphological differentiation. The ultrastructural investigation exhibits that in the majority of the undifferentiated cells the nucleolus is largely dissociated.The lesions gradually extend to the whole cell which frequently degenerates. The morphologically undifferentiated cells are weakly impaired (depletion of the granular component of the nucleolus), and they recover a normal structure after their return into water.These results lead us to study the RNA synthesis, during these experimentations, on the whole organism as well as the cellular level.
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8.
Several commercially available mitosis inhibitors have been studied for their effects on an Acer pseudoplatanus cell suspension culture; these were colchicine, N-(1,1-dimethylpropynyl)3-chlorobenzamide, propyzamide and trifluralin. The last two compounds are known as preemergence herbicides. In the studied cultures, the concentrations necessary to arrest mitosis were between 50 and 100 M for colchicine, and between 10 and 100 M for propyzamide, N-(1,1-dimethylpropynyl)3-chlorobenzamide and trifluralin. However, protein synthesis, plastid and mitochondria division and dry weight increase occurred in the treated cells, leading to the formation of giant cells. These results suggest that mitosis inhibition is the fundamental effect of these compounds at the concentrations studied. At these concentrations, metabolic activities seem unaffected, in contrast with what was found previously in the case of chlorpropham. This phenylcarbamate inhibited mitosis in the same cells at 100 M, but also prevented protein synthesis and weight increase, probably as a result of its uncoupling properties.The effect of another compound, glyphosate, on Acer cell suspension cultures, was studied concurrently. At concentrations between 10 and 100 M, it only slightly decreased protein formation in the culture, and was unable to prevent mitosis from occurring.The formation of giant cells in Acer cell suspension cultures seems to be a good criterion to demonstrate that selective mitosis inhibition has taken place. This criterion might be used in the case of mitosis inhibitors acting on the G 2-phase.
Résumé Les effets de divers inhibiteurs de la division cellulaire ont été étudiés sur des suspensions cellulaires d' Acer pseudoplatanus. Ces produits sont la colchicine, le N-(1,1-diméthylpropynyl)3-chlorobenzamide, le propyzamide et la trifluraline. Les 2 derniers composés sont des herbicides de pré-levée. Les concentrations nécessaires pour bloquer la mitose dans les suspensions cellulaires se situent de 50 à 100 M pour la colchicine et de 10 à 100 M pour les 3 autres composés.Dans les cellules traitées la synthèse protéique, la multiplication des plastes et des mitochondries et l'augmentation de masse sèche ont lieu, entraînant la formation de cellules géantes. Ces résultats suggèrent que, aux concentrations étudiées, le blocage de la mitose est l'effet primaire de ces produits; les activités métaboliques des cellules, à ces concentrations, ne semble pas affecté contrairement à ce que l'on a observé précédemment avec le chlorprophame. Ce phénylcarbamate, en effet, inhibe la mitose des cellules d'Acer á 100 M mais aussi, et probablement du fait de ses propriétés découplantes, empêche la synthèse protéique et l'augmentation de masse sèche. Le glyphosate étudié parallèlement est incapable de bloquer la mitose entre 10 et 100 M; il freine légèrement la synthèse protéique.L'obtention de cellules géantes dans les suspensions cellulaires d'Acer pseudoplatanus semble un bon test pour mettre en évidence une inhibition sélective de la mitose. Ce critère pourrait être utilisé pour les composés antimitotiques agissant sur la phase G 2.
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9.
Résumé La pars intermedia de l'Anguille (Anguilla anguilla L. et Anguilla japonica) contient deux catégories de cellules. L'une, colorable avec l'hématoxyline au plomb, varie peu au cours de l'adaptation à l'eau de mer, mais elle est souvent plus active et moins granulée chez les Anguilles à livrée foncée.L'autre catégorie, PAS positive, est beaucoup plus active chez l'Anguille Japonaise d'élevage, en eau douce. La comparaison de la composition des eaux douces de Tokyo et Paris révèle une teneur environ 5 fois plus élevée en calcium dans celle de Paris, alors que celles en sodium, potassium et chlore sont similaires.Chez ces deux espèces, les cellules PAS positives réagissent au transfert direct en eau de mer par une atrophie nucléaire (réduction très significative du diamètre nucléaire de 4,50 à 3,82 m après 6 mois pour l'Anguille Européenne et de 5,02 à 4,13 m après 48 jours pour l'Anguille Japonaise, P<0,001) et cellulaire (chute très marquée de la surface cellulaire chez Anguilla anguilla de 50,26 à 29,90 m2 en 17 jours à 2 mois, et chez Anguilla japonica de 96,36 à 30,03 m2 en 48 jours, P<0,001) et une perte des granulations, la différence entre les deux espèces s'atténuant fortement en eau de mer.Dans les cas d'hyperactivité des cellules PAS+, l'établissement d'un contact avec la membrane basale limitant le tissu intermédiaire semble important. Il disparaît lors de l'hypoactivité induite par le séjour en eau de mer.Le neurosécrétat du tractus hypothalamo-hypophysaire est rapidement mobilisé; la réaction est initialement synchrone de celle des éléments PAS positifs; la quantité de neurosécrétat se normalise assez vite dans le noyau préoptique, plus lentement dans la neurohypophyse, alors que la régression des cellules PAS se poursuit et s'intensifie.Ces résultats sont comparés à ceux d'autres auteurs ayant effectué des changements de salinité bien que les données sur les cellules du lobe intermédiaire soient très limitées chez les Téléostéens.L'hypothèse du rôle des cellules PAS positives dans le métabolisme hydro-minéral, déjà formulée à propos de leur hyperplasie et leur hypertrophie considérables en eau désionisée, est à nouveau discutée. Par contre, la production d'intermédine par les cellules colorées avec l'hématoxyline au plomb apparaît probable, hypothèse renforcée par les résultats d'une étude cytologique de greffons hypophysaires.
Neuro-intermediate lobe and osmoregulation: comparison of the European eel and the cultured Japanese eel during a transfer from fresh water to sea water
Summary The pars intermedia of the eel (Anguilla anguilla and Anguilla japonica) contains two types of cells. One, stainable with lead haematoxylin, is not clearly affected during the adaptation to sea water, but is often more active and less granulated in eels with a dark pigmentation.The other cell type, PAS positive, is much more active in cultured Japanese eels than in European eels in fresh water. The comparison of the water composition in Tokyo and Paris shows that the calcium content is about 5 times higher in Paris water, the sodium, potassium and chlore levels being similar.In both species, the PAS positive cells react to a direct transfer in sea water with a nuclear atrophy (highly significant decrease of nuclear diameter from 4,50 to 3,82 m after 6 months in the European eel, and from 5,02 to 4.13 m after 48 days in the Japanese eel, P< 0.001) and with cellular atrophy (important reduction of the cell surface in the European eel from 50.26 to 29.90 m2 after 17 days to 2 months, and in the Japanese eel from 96.36 to 30.03 m2 after 48 days, P<0.001) and with a loss of granulation. The difference between the two species in fresh water is not evident in sea water.When these PAS cells are hyperactive, the establishment of a contact with the basal membrane limiting the pars intermedia seems important. It disappears when hypoactivity is induced by a stay in sea water.The neurosecretory material of the hypothalamo-hypophysial tract is rapidly mobilized: at the beginning, its reduction occurs simultaneously with the reaction of the PAS positive cells; then the amount of neurosecretory substance returns rather quickly to normal values in the preoptic nucleus, more slowly in the neurohypophysis, but the regression of the PAS cells continues and becomes more marked.These results are compared with those of other authors who performed changes of salinity, despite the scarcity of data on the cytology of the pars intermedia in Teleosts. Once again, the hypothesis concerning the role of the PAS positive cells in the water and electrolyte metabolism, previously suggested because they show a considerable hypertrophy and hyperplasia in deionized water, is discussed. On the other hand, the elaboration of intermedin by the lead haematoxylin cells seems probable. This hypothesis is also supported by the results of a cytological study of pituitary autografts.


Nous remercions bien vivement le Pr. S. Utida, de l'Université de Tokyo, qui a mis à notre disposition toutes les Anguilles Japonaises utilisées dans cette expérience réalisée dans son Laboratoire. Nous adressons aussi nos remerciements à Melle Shirai qui nous a apporté une aide très précieuse lors de la dissection de ces animaux. Les expériences sur les Anguilles Européennes sont effectuées dans le cadre des recherches du Laboratoire Associé d'Endocrinologie Comparée, dirigé par le Pr. M. Fontaine que nous remercions. Notre reconnaissance va également à Melle J. Olivereau, du C.N.R.S., pour son excellente collaboration technique et les mesures planimétriques qu'elle a faites.  相似文献   

10.
Summary The ultrastructural and chemical differences between mature enameloid and dentine in the teleost fish Lophius were demonstrated using transmission (TEM) and scanning (SEM) electron microscopy, X-ray diffraction analysis, electron diffraction analysis and electron microprobe analysis. An enameloid cap (about 50 m thick) and a thin layer (1 m thick) of collar enameloid were revealed in the scanning (SEM) and transmission (TEM) electron microscopes. Collar enameloid, structurally different from dentine both in SEM and TEM, proved to be less mineralized than the cap as revealed by electron microprobe analysis. The enameloid cap was seen to differ from dentine by (i) its electron density in TEM; (ii) the structural arrangement perpendicular to the underlying dentine, observed in SEM and TEM and corroborated by electron diffraction data, which showed a preferred orientation of enameloid crystallites; (iii) its higher F content decreasing gradually from the apex of the tooth to the junction with dentine and falling suddenly below this junction; and (iv) its lower Mg content. Establishment of a classification of enameloids is proposed, similar to that for dentines, in which selachian enameloid would be a reference standard.
Résumé La microscopie électronique à transmission, la microscopie électronique à balayage, la diffraction X, la diffraction électronique et l'analyse par microsonde ont prouvé l'existence d'un émailoïde, ultrastructuralement et chimiquement différent de la dentine, chez la baudroie. La microscopie électronique à balayage et la microscopie électronique à transmission ont mis en évidence un chapeau d'émailoïde, d'environ 50 m d'épaisseur, et une couche fine (1 m) d'émailoïde du collet. L'émailoïde du collet, dont l'ultrastructure différente de celle de la dentine a été mise en évidence en microscopie électronique à transmission et en microscopie électronique à balayage, apparaît, après analyse par microsonde, moins minéralisé que le chapeau. Le chapeau d'émailoïde diffère de la dentine par (i) sa densité aux électrons en microscopie électronique à transmission; (ii) sa structure perpendiculaire à celle de la dentine sous-jacente, visible en microscopie électronique à transmission et en microscopie électronique à balayage et confirmée par la diffraction électronique, qui montre une orientation préférentielle des cristaux; (iii) son contenu en fluor plus élevé, qui diminue progressivement de l'apex à la jonction avec la dentine et chute brutalement au-dessous de cette jonction; (iv) sa teneur plus basse en magnésium. Les auteurs proposent que soit établie une classification des émailoïdes analogue à celle des dentines et dans laquelle l'émailoïde de Sélaciens constituerait un standard de référence.
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11.
Résumé Le spermatozoïde de Lithobius forficatus L. a été étudié grâce aux microscopes électroniques, classique et à balayage. Le spermatozoïde a une longueur d'environ 2 mm et comprend deux parties: la tête, avec l'acrosome et le noyau, et la queue, divisée en zone de liaison, pièce intermédiaire et pièce terminale.L'acrosome, entouré par du matériel fibrillaire exogène, a environ 4 de long sur 0,2–0,3 de large. Le noyau spiralé (300 à 400 de long) est constitué d'un axe fibrillaire et d'une spire granulaire dans la région postérieure. La zone de liaison est composée de la partie basale différenciée du noyau et des parties antérieures du complexe flagellaire et de la pièce intermédiaire. La pièce intermédiaire, particulièrement longue (1,5 mm environ) est formée par le flagelle entouré de ses gaines et du manchon mitochondrial. La pièce terminale est un court prolongement flagellaire (6 à 7 ). Les spermatozoïdes matures (prélevés dans les vésicules séminales) ont une structure mitochondriale légèrement différente de celle des spermatozoïdes prélevés dans le testicule.
Ultrastructural study of the spermatozoa of Lithobius forficatus L. (myriapoda chilopoda)
Summary The spermatozoon of Lithobius forficatus was investigated by transmission and scanning electron microscopy. The spermatozoon has a length of about 2 mm long, it is subdivided into a head with acrosome and nucleus, and a tail with a connecting piece, a middle piece and an end piece.The acrosome, surrounded by exogenous fibrillar material is about 4 long and 0.2–0.3 wide. The spiral nucleus (300–400 in length) consists of a fibrillar axis and of a whorl of granular material in the posterior part. The connecting piece is composed of the basal differentiated part of the nucleus and the anterior parts of the flagellar complex and middle piece. The latter is particularly long (about 1.5 mm) and consists of the flagellar complex and the mitochondrial sheath.The flagellar end piece is short (6–7 ). Mature spermatozoa (seminal vesicles) have a mitochondrial structure slightly different from those within the testis.
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12.
Résumé A partir de mesures physiques réalisées sur des échantillons de sols de différentes tailles portés a une contrainte hydrique de 0,1 MPa on obtient des informations sur la porosite et l'évolution de la taille des pores des échantillons.L'action deT. macrothorax (termite humivore) sur le sol affecte en premier lieu les horizons de surface. On note, à 1 mètre autour du nid, une forte augmentation de la porosité qui devient exceptionnellement élevée au pied de la termitière. Le volume des pores de > à 1,5 m est considérablement amplifié par rapport au sol témoin mais la contribution des pores de < à 1,5 m diminue. L'action mécanique de mastication du sol par les termites conjuguée à l'augmentation de matière organique apparait jouer un rôle décisif dans la stabilité des contructions deT. macrothorax.Les horizons avoisinants le nid deM. mülleri (termite champignonniste) ainsi que la muraille du nid enregistrent une diminution de la porosité avec disparition complète des pores > 1,5 m. On constate dans ce cas une baisse du taux de matière organique dans les échantillons. Dans le cas deM. mülleri les données physiques et physico-chimiques montrent que la stabilité structurale du sol ne peut être vraisemblablement pas assurée par les forces de cohésion envisagées habituellement dans ce genre de matériau.
Termitic action on the porous spectrum of tropical forest soils. The case of Thoracotermes macrothorax Sjöstedt (Termitinae) and Macrotermes mülleri (Sjöstedt) (Macrotermitinae)
Summary Insights on the porous properties and evolving sizes of sample pores have been derived by means of physical measures carried out on several soil samples of various sizes placed under a hydric strain of 0.1 MPa.Under the very influence ofT. macrothorax (humivorous termite), surface horizons are the first to be altered. Within one metre's radius around their nest, a significant increase of porosity is noticeable, reaching an exceptionally high degree at the bottom of the nest. The volume of pores > 1.5 m is held to be considerably amplified as compared with control soils; however, the interference < 1.5 m pores. The masticative and mechanical power of termites on the soil, together with the organic matter bulk increase turn out to play a paramount role in the stability ofT. macrothorax constructions.On the contrary, horizons in the vicinity ofM. mulleri's nests (fungus growing termite) undergo a diminutive porosity with the total disappearance of pores > 1.5 m. A sharp decrease or organic matter rates has been recorded. Alternatively, as far asM. mulleri are concerned, physical and physico-chemical data do emphasize that the soil structural stability is not to be correctly ensured by the cohesive properties which are normally to be taken into account with this type of material.
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13.
The possiblity of using 14C to mark red-scale for ecological studies has been investigated. Citrus leaves were labelled with 14C to have an activity in the range 3–300 Ci gm-1. All insects feeding on these leaves became radioactive. Mature females had an activity of 5000–160,000 c.p.m., mature males an activity of 1000–16,000 c.p.m. and the progeny of the females labelled to the level of 10,000 c.p.m. had an activity of 10–30 c.p.m. Higher levels of activity affected the development and fecundity of the insects. High mortality was observed in first-instar larvae which had an activity 10,000 c.p.m. and in second-instar larvae which had an activity 20,000 c.p.m. Fertilized females which had an activity of 30,000 c.p.m. did not reproduce.The marking method has been extended to the mass-rearing of labelled insects on green melons which have incorporated 14C during photosynthesis.
Résumé Afin d'étudier l'écologie du coccide, Aonidiella aurantii, on a marqué des insectes en les nourrissant de matière végétale marquée au 14C. L'isotope est appliqué aux feuilles de citronnier sous forme de solution de glucose 14C, ou bien en exposant les feuilles à la lumière dans un milieu contenant du 14CO2. On a également marqué des melons au 14CO2. Quelle que soit la méthode utilisée, l'activité se maintenait dans la plante pendant de longues périodes et était transmissible aux insectes suceurs. Les insectes se nourrissent des plantes pendant toute leur vie et tous les stades finissent par être marqués.On a vérifié la méthode pour des activités de l'ordre de 3 à 300 Ci gm-1 de tissu végétal. Des adultes femelles montrainent une activité de 5000–160,000 c.p.m., des adultes mâles une activité de 1000–16,000 c.p.m. et leur progéniture une activité de 10–30 c.p.m. Les insectes se développaient normalement quand l'activité des tissus végétaux était de moins de 10 Ci gm-1 et l'activité relevée chez les femelles correspondant à moins de 10,000 c.p.m. Des niveaux d'activité plus élevés influençaient la survie et la reproduction à divers degrés. Une forte mortalité est observée au premier stade pour une activité de 10,000 c.p.m. et au second stade pour une activité de 20,000 c.p.m. Des femelles fécondées ayant une activité de 30,000 c.p.m. ne se reproduisaient pas. Les résultats font penser qu'en réglant l'activité de la plante, il sera possible d'élever un grand nombre d'insectes marqués et viables, mais simultanément stériles.
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14.
The majority of the 50Bradyrhizobium japonicum strains tested were resistant to ampicillin, kanamycin, streptomycin and tetracycline in concentrations below 100 g/ml but resistant to chloramphenicol in concentrations equal to or above 100 g/ml. Two strains had high levels of resistance to ampicillin and to streptomycin and six strains were very sensitive to several antibiotics.
Résumé La majorité de la cinquantaine de souches deBradyrhizobium japonicum s'est révélée résistante à l'ampicilline, à la kanamycine, à la streptomycine et à la tétracycline aux concentrations intérieures à 100g/ml mais au chloramphenicol aux concentrations égales ou supérieures à 100 g/ml. Deux souches présentalent un haut degré de résistance à l'ampicilline et à la streptomycine. Six souches étaient très sensibles à plusleurs antibiotiques.
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15.
Cores from sweet potato (Ipomoea batatas L.) storage roots, with either the outer periderm or inner core exposed, were presented to female sweet potato weevils, Cylas formicarius elegantulus (Summers) (Coleoptera: Curculionidae) in cage preference tests. Tests with weevils of different ages showed that feeding was constant 21 to 76 days after emergence, while oviposition showed a slight peak between 21 and 45 days. Differences in the levels of feeding and oviposition were noted for the periderms of four sweet potato cultivars, but these differences were not evident for the inner cores. Oviposition was reduced to low levels on the inner core and, therefore, the oviposition stimulant appears to reside in the root periderm. Feeding did occur on the inner cores, but at a reduced level compared to the root periderm in preference tests where both were available. Inner root cores have a potential use in the elucidation of the oviposition stimulant of the sweet potato weevil.
Résumé Des coeurs de racines tubéreuses d'I. batatas ont été proposés, soit avec leur périderme externe, soit avec la partie interne du coeur seule, à des femelles du charançon, C. formicarius elegantulus Summers, dans des cages pour expériences sur le choix. Les coeurs étaient prélevés à l'emportepièce pour liège dans des racines stockées et, après tirage au hasard, les expériences ont été distribuées dans des plaques à 24 puits pour cultures de tissus.L'alimentation des charançons de différents âges était constante du 21ème au 47ème jour après l'émergence, tandis que la ponte était maximale entre les 25ème et 45ème jours. Des différences quantitives quant à l'alimentation et à la ponte ont été observées avec les péridermes de 4 cultivars: Centennial, Jewel, Resisto et Regal; ces différences n'étaient pas nettes pour les parties profondes du coeur.La ponte était réduite à un niveau bas avec la partie interne du coeur; il semble ainsi qu'un stimulant de la ponte soit contenu dans de périderme de la racine. L'alimentation s'est effectuée sur la partie centrale du coeur, mais moins que sur le périderme, quand les deux étaient disponibles dans des expériences de choix. La ponte paraît un meilleur critère que l'alimentation, pour comparer les résistance variétales. La partie intérieure du coeur peut être utilisée pour connaître le stimulant le stimulant de la ponte de C. formicarius elegantulus.
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16.
We document individual and age-specific variation in reproductive output and clutch size of Anastrepha ludens Loew. (Diptera: Tephritidae). The influence of host size, color, and density on clutch size are also examined. Individual and groups of flies were offered artificial hosts composed of agar spheres wrapped in Parafilm. The gross reproduction rate of individual flies was 1000 eggs/female and 165 clutches/female with a range of 1 to 40 eggs/clutch. Mean clutch sizes for these females ranged from 4.5 to 10.6 eggs/clutch. The number of eggs/clutch laid by females held in groups was highly correlated with host size, ranging from about 4.4 eggs/clutch in 2 cm diameter hosts to 12.7 eggs/clutch in 11 cm hosts. Host color, host density, fly density, and fly age did not affect clutch size. This study suggests that variation among females and host size are the principal determinants of clutch size in A. ludens.
Résumé L'examen a porté sur l'influence du polymorphisme et des modifications dues à l'âge des mouches sur la fécondité et la taille des pontes de A. ludens Loew (Dipt. Tephritidae). L'étude a concerné aussi l'influence de la dimension, de la couleur et de la densité des hôtes sur la taille des pontes. Des mouches isolées ou par groupes ont reçu des hôtes artificiels formés de sphères d'agar enveloppées dans du parafilm. La fécondité brute de femelles isolées a été de 1000 oeufs/femelle et de 165 pontes/femelle, avec une variation de 1 à 40 oeufs/ponte. La taille moyenne des pontes des différentes femelles isolées s'étalait de 4,5 à 10,6 oeufs/ponte. Le nombre d'oeufs/ponte des femelles groupées était fortement liée à la dimension de l'hôte, s'étalant de 4,4 oeufs/ponte pour des hôtes de 2 cm de diamètre à 12,7 oeufs/ponte pour ceux de 11 cm de diamètre. Ni la couleur et la densité des hôtes, ni la densité et l'âge des mouches n'ont influé sur la taille des pontes. Ces résultats suggèrent que les variabilités du comportement des femelles et de la dimension des hôtes déterminent par priorité la taille des pontes de A. ludens.
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17.
Experiments are described in which young adult Eurygaster integriceps were kept in cages on various diets including dry wheat ears, ears in the stage of milky ripeness, green camel-thorn (Albagi camelorum) and water in various combinations. The sufficiency of the various diets was compared by estimating the mortality, change in live weight and final fat content of the insects, and by the extent of feeding as shown by feeding scars on the wheat grains.
Resume Des expériences en cage sont décrites, faites dans la région de Varamine près de Téhéran, Iran, avec pour buts de rechercher si les grains de blé mûrs et durs conviennent pour l'alimentation des adultes nouvellement sortis de Eurygaster integriceps (Hemiptera; Scutelleridae), comment on peut les comparer, avec les grains tendres au stade plus précoce de maturité laiteuse et dans quelles circonstances les grains durs peuvent être effectivement ingérés et assimilés.On conclu que les insectes ne peuvent utiliser le blé sec sans eau. Celle-ci peut être fournie sous la forme d'eau ordinaire, ou peut être également obtenue des plantes fraiches, telles que les mauvaises herbes qui poussent dans les champs de blé, le camel-thorn (épine de chameau) Albagi camelorum Fisch. étant utilisé dans ces expériences. Les expériences indiquent que de cette manière, le blé sec fournit de meilleures conditions d'alimenattion que le blé tendre. On obtient également quelques indications que le camel-thorn vert est meilleur que l'eau ordinaire comme addition au blé sec, peut-être parce qu'il fournit des éléments nutritifs aussi bien que de l'eau.L'aptitude des différentes combinaisons alimentaires utilisées dans les différentes cagés a été comparée par l'estimation de la mortalité des insectes, les changements dans leur poids vif, le contenu en graisse des insectes survivants à la fin de l'expérience, et l'activité alimentaire indiquée par le nombre de traces d'alimentation.Les conclusions tirées des expériences sont d'une importance économique du fait qu'elles indiquent, dans les régions où la pluie d'été est inexistante ou négligeable, et où la récolte de blé mûrit avant que les adultes nouvellement sortis aient terminé leur très importante alimentation et leur accumulation de réserves alimentaires, qu'Eurygaster integriceps peut seulement le faire si des plantes sauvages vertes, telles que le camel-thorn sont présentes; l'élimination de ces mauvaises herbes, comme politique à long terme peut de ce fait avoir pour effet de réduire le nombre d'Eurygaster. Les expériences suggèrent aussi que des expériences ultérieures sur les éléments nutritifs les meilleurs pour l'élevage de laboratoire d'Eurygaster, en vue de la propagation de parasites oophages, seraient intéressantes.
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18.
Summary Strains ofRhizobium phaseoli were evaluated with respect to their ability to grow or survis when subjected to various stresses common to soils of the tropics. These stresses included low pH, high Al and Mn. In liquid culture 10 strains ofR. phaseoli all grew well at pH 5.0, a few strains grew at pH 4.5 and one at pH 4.0. Some strains grew at pH 4.0 after repeated transfer to medium at this pH, but this characteristic remained stable for only one strain, S-442, which combined a tolerance to low pH with an improved tolerance to Al and Mn compared to the parent strain P-442. Survival studies of S-442 and P-442 in three acidic Brazilian soils, at their natural pH (4.2–4.6) and when limed to near neutral pH, showed little difference in numbers after a 21–30 day period. Only a one log cycle decrease in numbers of P-442 occurred in the Erechim soil that had a 185 mol/l Al concentration in the soil saturation extract. Strains ofR. phaseoli were screened for their ability to grow in liquid culture at pH 5.0 in the presence of Al up to 100 mol/l (16 strains) and Mn up to 320 g/ml (13 strains). Strains differed in relative tolerance to both Al and Mn with some strains being capable of excellent growth at the highest concentrations of Al and Mn employed. With the exception ofR. phaseoli (C-12) the ability to tolerate high levels of Mn did not show any relationship to Al tolerance. It was concluded that soil stress factors need not have a serious impact on survival ofR. phaseoli in soils because sufficient variability in tolerance to these factors occurs naturally among strains.
Resumen Se evaluaron cepas deRhizobium phaseoli en relación con su habilidad para crecer o sobrevivir bajo las condiciones de stress que son habituales de suelos tropicales. Estas condiciones comprenden bajos pH y altas concentraciones de Al y Mn. Diez cepas deR. phaseoli crecieron bien, en cultivo líquido, a pH: 5; tan solo algunas lo hicieron a pH: 4.5 y únicamente una cepa creció a pH: 4.0. Aunque varias cepas consiguieron crecer a pH: 4.0, tras transferencias sucesivas a un medio con dicho pH, esta característica solo logró establizarse en la cepa S-442 que combinó esta tolerancia a la acidez con un incremento en la tolerancia a Al y Mn comparada con la cepa parental P-442. Se realizaron estudios sobre la supervivencia de las cepas S-442 y P-442 en tres suelose ácidos del Brasil, en estado natural (pH: 4.2–4.6) y neutralizados con cal. Se observaron pocas diferencias cuantitativas al cabo de un periodo de 21–30 dias un solo ciclo Log de P-442 mostró una disminución numérica en un suelo denominado Erechim que contenía 185 mol/l de Al medido en extracto de pasta saturada. Se estudió la capacidad de cepas deR. phaseoli para crecer en cultivo liquido a pH: 5.0 en presencia de hasta 100 mol/l de Al (16 cepas) y 320 g/ml de Mn (13cepas), algunas de estas cepas fueron capaces de crecer a las máximas concentraciones de Al y Mn utilizadas. ExceptuandoR. phaseoli (C-12) la tolerancia a niveles altos de Mn no estaba correlacionada con la tolerancia al Al. Se concluyó que estos factores edáficos de stress no deberían de tener efecto alguno en la supervivencia deR. phaseoli en suelo, ya que existe una variabilidad natural de tolerancias a dichos factores suficiente para garantizar esta supervivencia.

Résumé Des souches deRhizobium phaseoli ont été téstées pour leur aptitude à se développer et à survivre lorsqu'elles soumises à diverses contraintes habituelles dans les sols tropicaux, c'est à dire des pH acides et à de fortes teneurs en Al et Mn. En culture liquide, 10 souches deR. phaseoli ont toutes poussé à pH 5,0, un petit nombre à pH 4,5 et une seule à pH 4,0. Certaines souches parviennent, après repiquages répétés, à se developper à pH 4,0; mais ce caractère ne s'est stabilisé que dans le cas d'une seule souche (S-442), qui présente à la fois une résistance à l'acidité et une tolérance accrue à Al et Mn par rapport à la souche originelle P-442. L'étude de la survie de S-442 et P-442 dans trois sols brésiliens acides, à leur pH naturel (4,2–4,6) et après chaulage à pH neutre, n'a montré au bout de 21 à 30 jours que de faibles différences numériques. Dans le sol d'Erechim, où la concentration en Al est de 185 mol/l, on n'a constaté dans l'extrait de sol à saturation qu'une diminution de la population d'un seul facteur logarithmique. Des souches deR. phaseoli ont été téstées pour leur aptitude à pousser en milieu liquide à pH 5,0 et en présence de concentrations allant jusqu'à 100 mol/l d'Al (16 souches) et 320 g/l de Mn (13 souches). Les souches différent en ce qui concerne leur résistance à la fois à Al et à Mn, certaines étant capables de se développer très bien aux concentrations en Al et Mn les plus élevées. A l'exception deR. phaseoli C-12, la tolérance aux fortes concentrations en Mn ne présente aucune corrélation avec la résistance à Al. En conclusion, les facteurs d'agression n'ont pas d'effet important sur la survie deR. phaseoli dans le sol, étant donné que le tolérance des souches à ces facteurs peut varier de façon suffisante.
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19.
Five populations of Tetranychus neocaledonicus, collected in various biotopes from different plants, were studied in order to become informed about variation in this species. It appeared that all strains differed with respect to longevity and fecundity. Crossings resulted in incompatibility, hybrid inviability, hybrid sterility and hybrid breakdown. It is suggested that the great interpopulational variation as found in T. neocaledonicus is a consequence of the haplo-diploid system.An important difference in longevity and fecundity between mated and unmated females has been stated for all strains. Outcrosses with males from another species indicated that it is not the fertilization, but the insemination only which induces the enhanced fecundity in T. neocaledonicus. Irradiated males appeared to be able to inseminate females effectively, resulting in the prevention of viable diploid offspring.
Résumé A la suite d'une étude morphologique concluant à l'homogénéité d'un grand nombre de prélèvements de Tetranychus neocaledonicus, dans plusieurs régions de la zone intertropicale, les auteurs proposent 3 séries d'expériences portant sur la physiologie et la compatibilité de quelques souches de ce taxon.La première série d'essais, porte sur la comparaison de la longévité et de la fécondité de femelles fécondées ou non, appartenant à 4 souches prélevées à Madagascar et à une souche originaire de Louisiane (U.S.A.). Pour ces souches élevées dans des conditions identiques, les femelles fécondées pondent davantage et vivent moins longtemps que les femelles vierges. Les graphiques fournis et les tests statistiques employés, montrent que suivant leur appartenance à l'une des 5 souches, les femelles étudiées ont une longévité propre et présentent du point de vue de la reproduction, des différences très nettes.La seconde série d'expériences a pour but de vérifier la compatibilité entre les différentes souches malgaches précédentes, aussi bien entre elles qu'avec la souche Louisiane white eye, marquée génétiquement et dérivant de la souche Louisiane précédente. Un croisement a été également tenté entre une souche de T. neocaledonicus et une souche de T. urticae. Huit croisements ont été ainsi réalisés avec chaque fois le croisement réciproque. La composition des F1, F2 et F3 est analysée. Une très forte agressivité des mâles à l'égard des jeunes femelles est chaque fois constatée. Le croisement de T. neocaledonicus avec T. urticae n'entraîne aucune hybridation. Entre les souches de T. neocaledonicus il y a formation de femelles, dans l'un des 2 sens au moins mais les femelles produites en F1 se révèlent stériles dans 5 cas sur 12 et peu de souches semblent vraiment compatibles au-delà de la F3. Finalement, les différences entre les souches du point de vue physiologique et les incompatibilités génétiques, amènent les auteurs à considérer qu'il y a, en fait, plusieurs espèces d T. neocaledonicus devant être groupées en un complexe. Ces croisements permettent aussi de remarquer, que l'abaissement de la longévité des femelles fécondées, dépend étroitement du taux de fécondation des ufs.La troisième série d'expériences tente d'expliquer l'augmentation de la production d'ufs chez les femelles fécondées. Les pontes des 14 premiers jours de vie, de femelles de la souche Lousiane fécondées ou non, sont comparées à celles de femelles fécondées, par des mâles de la même souche, irradiés aux rayons X ou par des mâles de T. urticae. La technique d'élevage employée ici permet l'intervention de plusieurs mâles. L'analyse de la F1 et la quantité d'ufs produits à la suite du croisement avec les mâles de T. urticae, prouvent que l'augmentation de la ponte est dûe à un phénomène indépendant du taux de fécondation des ufs.Les auteurs signalent, en conclusion, que les incompatibilités entre les différentes souches de T. neocaledonicus pourraient être utilisées en lutte biologique par voie génétique, mais que la stérilisation des mâles aux rayons X, obtenue au cours de la dernière série d'expériences, aboutit aux mêmes résultats et paraît plus sûre.
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20.
Ivermectin produced 100% mortality in adult teneral males, mature males and fertile females ofGlossina morsitans morsitans following a single meal of defibrinated pig blood containing concentrations of 0.1, 1.6 or >1.6 g ml–1 respectively. The lethal concentration was reduced to <0.04 g ml–1 for teneral males when fed repeatedly on treated blood. When pregnant females were fed a single blood meal containing ivermectin (0.08 g ml–1) on the day after their first larviposition, followed by normal blood meals, no offspring were produced in the subsequent reproductive cycle but full recovery occurred thereafter. A dose dependent decline in fecundity was measured and data were subjected to Probit analysis. Thus estimates were made of ivermectin concentrations in the peripheral blood of treated animals by measuring the reduction in fecundity induced in flies fed on such blood. Indications are that with subcutaneous injections at least, amounts greatly in excess of the recommended clinical dose would be required to achieve levels lethal to feeding flies following a single blood meal. Oral treatment of a horse with twice the anthelmintic dose of ivermectin (0.4 mg kg–1) produced a maximum concentration in the blood of about 0.14 g ml–1 within 24 h and this was adequate to reduce tsetse fecundity to zero following a single meal. Such levels in a single blood meal were also sufficient to shorten the life expectancy of teneral male flies. The half-life of ivermectin in the horse was approximately 5–6 days with a maximum of 2.4% of ingested material entering the peripheral circulation. A cow treated with injectable ivermectin (0.2 mg kg–1) produced maximum blood levels of about 0.005 g ml–1 after one week; this was only 0.17% of the administered dose and sufficient to reduce fecundity in female flies to 50% of normal following a single blood meal. Such levels in a single blood meal had no effect on the longevity of flies. However, at least half the maximum activity was present in the circulation between 3 and 14 days following injection. Repeated feeding on the blood of a treated animal reduced considerably the dose of ivermectin required to produce a given effect. The fecundity of female flies was reduced to zero by repeated feeding on blood taken from the horse 8 days after treatment, and even after 15 days the blood of the horse contained sufficient drug to reduce fly fecundity to 50% of normal. Thus where domestic animals constitute major hosts of tsetse, treatment with ivermectin can be expected to achieve some measure of fly population reduction.
L'invermectine comme moyen de lutte utilisable contre la mouche tsé-tsé,Glossina morsitans
Résumé Après un repas unique de sang de porc défibrillé contenant 0,1; 1,6 ou plus de 1,6 g ml–1 d'ivermectine, tous les mâles jeunes non encore alimentes, tous les mâles adultes et toutes les femelles fécondes deGlossina morsitans morsitans sont tués. Les concentrations léthales ont été réduites à moins de 0,04 g ml–1 pour les jeunes mâles quand on les a alimentés régulièrement sur du sang traité. Quand des femelles en gestation ont été alimentées, le jour après leur première parturition, avec un seul repas de sang contenant 0,08 g ml–1 d'ivermectine, et ensuite avec des repas de sang normal, il n'y a pas eu production de descendants pendant le cycle suivant, bien qu'une restauration totale ait eu lieu par la suite. Une diminution de la fécondité en relation avec la dose a été enregistrée, et les données soumisses à un test Probit. Ainsi des estimations de la concentration en ivermectine du sang périphérique des animaux traités ont été obtenues en mesurant la réduction de la fécondité induite chez les mouches ayant consommé ce sang. Ceci montre qu'une dose absorbée de 4 mg kg–1, ou une injection souscutanée de 16 mg kg–1, seraient nécessaires pour obtenir le seuil létal chez des mouches alimentées après un repas de sang unique, c'est-à-dire 20 fois la dose absorbée et 80 fois la dose subcutanée nécessaires contre les nématodes gastrointestinaux. Le traitement par voie buccale d'un cheval avec 2 fois la dose vermifuge d'ivermectine (0,4 mg kg–1) provoque dans les 24 heures des taux sanguins suffisants pour réduire la fécondité jusqu'à zéro après un seul repas de sang. La demi-vie dans le cheval a été approximativement de 5 à 6 jours avec une pénétration dans la circulation périphérique d'une quantité maximale de 2,4% de l'ivermectine absorbée. Une vache traitée avec de l'ivermectine injectable (0,2 mg kg–1) atteint la teneur sanguine maximale au bout d'une semain; celle-ci, correspondant seulement à 0,17% de la quantité administrée, était suffisante pour réduire de 50% la fécondité des mouches après un repas unique de sang. Cependant, entre les 3ème et 14ème jours suivant l'injection, la circulation sanguine présente au moins la moitié de l'activité maximale. Des repas répétés sur le sang des animaux traités réduisent considérablement la dose d'ivermectine nécessaire pour produire un effet donné. La fécondité des mouches devient nulle après des repas répétés sur le sang d'un cheval 8 jours après le traitement; et même après 15 jours, le sang de ce cheval contient suffisamment de produits pour abaisser la fécondité des mouches de 50%. Ainsi, à où les animaux domestiques constituent les principaux hôtes de la mouche tsé-tsé, avec le traitement à l'ivermectine, on peut espérer réduire d'une façon efficace la population de mouches.
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